Erika passe maintenant régulièrement chez Olivier
et Marie-Gabrielle. Le couple a pris l’habitude de la recevoir, même quand elle
passe à l’improviste, comme ce jour où elle s’est invitée alors que Marie-Gabrielle
avait ses parents à la maison.
Erika est parfaitement au courant quand elle
franchit le portail dont elle possède maintenant une clé que Jean-Bernard et
Monique sont présents. Olivier et Marie-Gabrielle doivent la tenir informée de
leurs activités en permanence.
En voyant la voiture d'Erika pénétrer dans le
jardin, Marie-Gabrielle est prise d'un frisson. La robe qu'elle porte est trop
longue pour sa Maîtresse. De plus, pour ne pas choquer sa mère, elle a mis un
soutien-gorge.
Erika, comme à son habitude, débarque en terrain
conquis. Elle vient saluer les parents de Marie-Gabrielle. Sur les photos
qu'elle avait vues dans le salon du couple, elle avait bien remarqué que
Jean-Bernard a la prestance d'un chef de service hospitalier, mais quand elle
se trouve face à face avec lui, elle reste impressionnée. D'autant plus que
Monique s'efface devant son mari.
Au cours du repas, servi par Marie-Gabrielle,
Jean-Bernard est lui aussi impressionné, mais c’est par le brillant parcours
d'Erika. Il est cependant étonné qu'elle soit venue s'installer ici, à Nantes,
au lieu de rester à Paris.
— Vous savez, dit-elle. Il y a dix ans, quand
Gilles et Elodie m'ont proposé de partager leur cabinet, j'ai pensé que c'était
une bonne idée. D'autant plus que mes grands-parents vivaient encore dans leur
ferme entre Cholet et Niort…
— Oui, je comprends, mais vous dites Gilles et Elise,
le couple Mertault ?
— Oui exactement, pourquoi ? Vous les connaissez ?
— Disons que je connais surtout Gilles ! Puis
baissant la voix et se penchant vers Erika, il ajoute. Mais, pas pour ses
qualités de médecin !
Erika le regarde en fronçant les sourcils. Mais,
Jean-Bernard lui fait comprendre qu'il ne peut pas en dire plus devant sa femme
et sa belle-fille. Elle n'insiste pas.
Erika joue son rôle d'invitée modèle à la
perfection et à la fin du repas, quand elle prend congé de ses hôtes,
Jean-Bernard lui donne sa carte de visite.
— Pour parler d'un sujet médical, dit-il à sa femme
qui fronce les sourcils.
— Ne vous inquiétez pas Madame, la rassure Erika.
Je ne vais pas le manger !
— Oh ! Il doit commencer à être rance, dit Monique
amusée. Mais, vous me plaisez bien jeune fille. Cela fait bien longtemps que je
n'ai pas vu mon Jean-Bernard comme cela ! Parler avec quelqu'un qui le comprend
lui manque. Il peut venir vous voir quand il veut !
— Maman ! dit Marie-Gabrielle affolée, imaginant
déjà combien cette éventuelle rencontre risque de poser problème !
—Qu'est-ce qu'il y a petite… demande Erika.
— Rien ! Rien ! Oui Jean-Bernard, va voir Erika
quand tu veux. Tu verras elle est merveilleuse.
Marie-Gabrielle se mord les lèvres. Elle a bien
entendu, Erika allait l'appeler petite pute. Afin de ne pas risquer une
nouvelle bévue, elle baisse la tête, silencieuse. C'est alors qu'elle entend
Erika dire qu'elle va passer aux toilettes avant de partir pour sa ferme.
— Je t'attends, petite pute, lui murmure Erika.
Jean-Bernard annonce qu'il va rejoindre Olivier qui
finit de ranger ce qui traînait sur la table tandis que Monique s'installe sur
un transat sur la pelouse.
Marie-Gabrielle rejoint Erika aux toilettes et
s'agenouille devant sa maîtresse pendant qu'elle pisse. Appliquée, elle lèche
les gouttes qui sont restées sur ma fente d'Erika.
— Fais-moi jouir petite pute ! Et dépêche-toi, si
tu ne veux pas que tes parents trouvent cela étrange.
Marie-Gabrielle met tout son cœur à cette tâche et
Erika compatissante, jouit rapidement sur le visage de petite pute.
— Ne t'essuie pas ! Petite pute. Je demanderai à
Petit Chien de vérifier que tu as obéis !
— Oui Maîtresse !
Quelques minutes plus tard, après le départ
d'Erika, Marie-Gabrielle rejoint Olivier et ses parents sur la terrasse.
— Je finissais de ranger dans la cuisine, dit-elle.
Elle aurait pu ne rien dire car ni son père ni sa
mère n'avaient réalisé la longueur de son absence. Olivier s'approche d'elle et
il constate qu'elle a obéi.
— C'est bien, lui dit-il. Je n'aurais pas à dire à
Maîtresse Erika que tu as désobéi.
***
Quelques jours plus tard, Erika accueille
Jean-Bernard chez elle pour un café.
— Alors que vouliez-vous me dire sur Gilles ?
— Oh ! Je ne sais pas si je devrais !
— Vous m'en avez trop dit, depuis ce dimanche, je
ne pense qu'à cela. Et j'ai bien essayé de surprendre quelque chose, mais à
part son machisme et racisme ordinaire, je n'ai rien trouvé.
— Machisme ! C'est là tout le secret de Gilles…
— Comment ça ?
— Quand il était dans mon service, j'ai plusieurs
fois dû le rappeler à l'ordre…
— Expliquez !
— C'est un coureur de jupons invétéré et Elodie
n'est pas mieux, elle couvre ses activités.
— Il n'y a rien de répréhensible à cela !
— Non, tant que les femmes sont consentantes…
— Vous voulez dire qu'il aurait violé… Non ! Ce
serait trop gros !
— Et si ! J'ai reçu, en tant que responsable de
l'hôpital, plusieurs plaintes de patientes. Je lui ai fait comprendre qu'il lui
était impossible de continuer à travailler avec nous. Soit, il démissionnait de
son plein gré, soit je dévoilais les courriers des patientes devant le conseil
d'administration de l'hôpital.
— Et ?
— Il a démissionné avec Elodie qui n'était encore
que sa fiancée.
— Je vois, donc il est blanc comme neige !
— En quelque sorte, mais aujourd'hui je regrette de
ne pas avoir déposé plainte. Car, je sais qu'il continue !
— Cela peut s'arranger ! Laissez-moi faire.
— Merci ma petite, vous soulagez ma conscience.
— Allez ! A mon tour de vous faire une confidence.
— Je suis tout ouï !
Erika sourit. Elle commence à lui parler de sa vie
et sa découverte de sa bisexualité et de fil en aiguille elle lui raconte
comment elle est devenue une dominatrice. Jean-Bernard lui avoue que ce monde
le fascine mais que maintenant il est trop vieux pour ce genre de chose. Erika
le contredit et elle lui propose de monter voir son donjon.
Jean-Bernard est émerveillé comme un enfant devant
tous ces appareils.
— Quel dommage que nous n'ayons pas une petite
soumise à notre disposition !
— Revenez demain ! Je vous promets une surprise.
— Vraiment !
— Promis !
C'est donc les yeux brillants de concupiscence que
Jean-Bernard quitte Erika, à regrets.
***
"Demain, chez moi à 14h"
En recevant ce message, Marie-Gabrielle est
surprise. Erika n'a pas l'habitude de la convoquer l'après-midi, elle sait
qu'elle tient sa boutique. Mais, elle se débrouillera avec Laure. Son employée
est largement capable de rester seule un jour de semaine, les clientes sont peu
nombreuses.
Mais aujourd'hui, Marie-Gabrielle joue de
malchance. Non seulement, Laure est rentrée plus tard de sa pause déjeuner mais
en plus la navette fluviale est en panne et elle a dû prendre le bus et le
tramway pour se rendre chez Erika. Elle arrive avec trente minutes de retard.
— Tu es en retard !
— Mais…
— Il n'y a pas de mais ! Je voulais te récompenser
pour ton repas avec tes parents même si ta jupe était trop longue et tes talons
trop petits et surtout ce soutien-gorge, ne t'ai-je pas interdit d'en porter !
Mais bon, j'étais prête à passer là-dessus ! Mais là c'est trop ! Trente
minutes de retard ! Je suis obligée de te punir ! Tu le sais ! Allez va dans la
boîte !
Marie-Gabrielle monte piteusement les escaliers et
s'installe dans la boîte. A sa grande surprise, Erika la fait mettre sur le
ventre et elle ne lui met pas de bouchon d'oreilles mais juste un bâillon et la
cagoule. Marie-Gabrielle se retrouve les chevilles écartées au sol, sa croupe
avec le rosebud, exposée.
Elle craint le pire. Mais le silence s'installe.
Combien de temps ? Dix minutes, vingt minutes, plus, elle n'en sait rien.
Enfin, des pas dans l'escalier, les talons de sa
Maîtresse, elle en est sûre mais aussi des pas plus feutrés, un homme ? Olivier
? Non, c'est impossible depuis qu'ils se sont révélés l'un à l'autre, Maîtresse
ne lui a jamais ôté sa cage.
Soudain, elle n'en croit pas ses oreilles. Non ! Ce
n'est pas possible, Maîtresse Erika ne va pas faire cela !
— Jean-Bernard, je vous avais promis une soumise !
En voilà une !
— En effet, une belle croupe prête pour la
cravache. Mais cet objet dans ce cul ! Pourquoi ?
— Quand je l'ai rencontrée, cette soumise enfin
Petite Pute, c'est son nom maintenant, était presque vierge du cul. Il faut
bien attendrir ce trou. Vous verrez, c'est un vrai délice !
— Je n'en doute pas ! Et ce K sur la fesse, c'est
votre marque, je suppose.
— Oui, il faut bien que Petite Pute sache à qui
elle appartient. Mais penchez-vous, regardez son pubis !
Jean-Bernard se penche et découvre le tatouage.
— Ah oui !
— Il faut bien qu'elle se souvienne de son nom,
vous ne croyez pas !
— Oui c'est sûr, un nom pareil, ce n'est pas facile
à porter au quotidien !
— Pourtant, je vous assure qu'elle le porte bien.
Dans la boîte, Marie-Gabrielle crie dans son
bâillon, elle se débat, mais Erika l'a bien attachée.
— Que dit-elle ? Demande Jean-Bernard.
— Elle nous remercie de nous occuper de son cul… Au
fait, auriez-vous besoin de ces pilules magiques ? Je ne voudrais pas vous
offenser mais vous n'avez plus vingt ans !
— Je vous remercie, vous êtes vraiment
merveilleuse. Oui, il m'en faut, je ne suis pas présomptueux.
Marie-Gabrielle est complètement dévastée. Erika va
donner à son beau-père ces fameuses pilules bleues. Il a donc l'intention de la
pénétrer, peut- être même de jouir dans un de ses trous.
— Mais pourquoi est-elle dans cette boîte ?
— Je suis déçue de son comportement. Je vous
propose de la punir à ma place. Voyez-vous, tous ces accessoires sont à votre
disposition.
Jean-Bernard regarde la collection de godes, de
pinces, de poids, de cravache, de fouets, de badines, de martinets, enfin tout
le nécessaire pour punir une petite pute désobéissance, se dit-il.
Il avale la pilule que lui tend Erika, puis il
choisit une fine baguette de roseau. Il la fait siffler dans l'air.
Marie-Gabrielle frissonne en entendant ce sifflement.
— Dois-je retenir mes coups ?
— Oh non, je vous l'ai dit petite pute doit être
punie sévèrement. Elle est arrivée avec une demi-heure de retard donc je pense
que trente coups pour commencer lui feront comprendre son erreur.
— Je reconnais que c'est très logique, un coup par
minutes.
Joignant le geste à la parole, Jean-Bernard frappe
les fesses de la pauvre Marie-Gabrielle qui hurle dans son bâillon. Sur les
conseils d'Erika, Jean-Bernard alterne les coups sur les fesses et les cuisses,
ne respecte aucun rythme. Instinctivement Marie-Gabrielle compte. Au bout de
dix, ses fesses sont en feu. Elle ne va pouvoir tenir. Elle ne pourra plus
s'asseoir, il lui faudra une bouée comme après ses accouchements.
De punir la femelle qui lui est offerte,
Jean-Bernard commence à bander. Il souffle un peu en caressant du bout de ses
doigts les stries qui ornent la peau de petite pute.
— Je suis sûre que cette salope est trempée, dit
Erika. Vérifiez !
Jean-Bernard confirme l'état d'excitation de la
femme, il s'amuse à entrer ses doigts dans cette chatte brûlante et trempée.
— Est-il possible de la mettre sur le dos ? j’ai
envie de voir son tatouage de pute.
— Bien-sûr ! dit Erika. Détachez-lui les chevilles
et demandez-lui de se retourner.
Jean-Bernard libère les chevilles de
Marie-Gabrielle et lui dit :
— Tourne toi “Petite Pute” de Maîtresse Erika !
Marie Gabrielle se retourne docilement. Elle est
trop choquée pour protester et surtout elle est effrayée par ce que pourrait
lui réserver Erika si elle s'avise de montrer son désaccord. Elle sent les
mains de son beau-père lui attacher les chevilles en hauteur.
Jean-Bernard est encore tout ému de s’être adressé
à une soumise qui lui était ainsi offerte. Cet instant de calme ne dura pas
longtemps. Ce fut l'horreur. Elle sent un sexe s’introduire facilement dans sa
chatte. La queue de son beau-père va et vient en elle avec vigueur
— La sensation avec le plug est exquise, dit
Jean-Bernard à Erika.
— Je vous crois sur parole, je ne suis pas équipé
pour connaître cela !
Ils se mettent à rire de concert. Marie-Gabrielle
en est encore plus humiliée. Elle sent alors son père gicler en elle. Elle se
met alors à pleurer.
— Ces pilules sont vraiment extraordinaires, je
viens de jouir et je bande encore !
— Oui, c'est merveilleux, cela devrait vous tenir
une heure !
— Alors je peux tester son cul !
— Oui bien sûr !
— Erika, je dois vous avouer quelque chose !
— Quoi donc ? Non ne me dites pas que…
— Et si ! Je n'ai jamais enculé une femme ! Ni un
homme d'ailleurs, ajoute-t-il en riant.
— Il n'y a pas d'âge pour commencer !
Jean-Bernard arrache sans douceur le rosebud du cul
de Marie-Gabrielle qui gémit dans son bâillon. D'un puissant coup de rein, il
encule sa fille “adoptive”.
Toute l'heure pendant laquelle la pilule est
efficace, il alterne pénétrations vaginales et anales. Marie-Gabrielle en
jouit, elle aussi, plusieurs fois. Elle est au bord de la crise d'hystérie.
Puis soudain, plus rien, le silence !
***
Jean-Bernard épuisé, reprend son souffle dans le
salon en buvant un thé avec Erika.
— Ma chère Erika, je vous remercie. Je crois que je
vais demander à Monique de me sucer plus souvent.
Erika sourit, elle essaie d'imaginer la petite
Monique, du haut de ses soixante-quinze printemps, sucer son mari. Elle
grimace, un peu dégoûtée. Même si une idée perverse lui traverse l'esprit.
— Ma maison vous est ouverte, revenez quand vous
voulez, même avec Monique !
— J'y penserai, bien sûr ! Vous faites un thé
remarquable, Monique est une connaisseuse, elle pourra vous donner des tuyaux.
Quand Jean-Bernard est parti, Erika laisse
Marie-Gabrielle en sanglot, seule dans sa boîte pendant encore de longues
minutes avant de s'équiper d’un gode ceinture et de venir s'occuper du cul de
Marie-Gabrielle jusqu'à ce qu'elle tombe d'épuisement. Quand elle la libère,
Marie-Gabrielle est tellement choquée qu'Erika appelle Olivier pour qu'il
vienne la chercher.