mercredi 28 février 2024

Erika : Dresseuse de Couples -10- Le Beau-Père Pervers

 

Erika passe maintenant régulièrement chez Olivier et Marie-Gabrielle. Le couple a pris l’habitude de la recevoir, même quand elle passe à l’improviste, comme ce jour où elle s’est invitée alors que Marie-Gabrielle avait ses parents à la maison.

Erika est parfaitement au courant quand elle franchit le portail dont elle possède maintenant une clé que Jean-Bernard et Monique sont présents. Olivier et Marie-Gabrielle doivent la tenir informée de leurs activités en permanence.

En voyant la voiture d'Erika pénétrer dans le jardin, Marie-Gabrielle est prise d'un frisson. La robe qu'elle porte est trop longue pour sa Maîtresse. De plus, pour ne pas choquer sa mère, elle a mis un soutien-gorge.

Erika, comme à son habitude, débarque en terrain conquis. Elle vient saluer les parents de Marie-Gabrielle. Sur les photos qu'elle avait vues dans le salon du couple, elle avait bien remarqué que Jean-Bernard a la prestance d'un chef de service hospitalier, mais quand elle se trouve face à face avec lui, elle reste impressionnée. D'autant plus que Monique s'efface devant son mari.

Au cours du repas, servi par Marie-Gabrielle, Jean-Bernard est lui aussi impressionné, mais c’est par le brillant parcours d'Erika. Il est cependant étonné qu'elle soit venue s'installer ici, à Nantes, au lieu de rester à Paris.

— Vous savez, dit-elle. Il y a dix ans, quand Gilles et Elodie m'ont proposé de partager leur cabinet, j'ai pensé que c'était une bonne idée. D'autant plus que mes grands-parents vivaient encore dans leur ferme entre Cholet et Niort…

— Oui, je comprends, mais vous dites Gilles et Elise, le couple Mertault ?

— Oui exactement, pourquoi ? Vous les connaissez ?

— Disons que je connais surtout Gilles ! Puis baissant la voix et se penchant vers Erika, il ajoute. Mais, pas pour ses qualités de médecin !

Erika le regarde en fronçant les sourcils. Mais, Jean-Bernard lui fait comprendre qu'il ne peut pas en dire plus devant sa femme et sa belle-fille. Elle n'insiste pas.

Erika joue son rôle d'invitée modèle à la perfection et à la fin du repas, quand elle prend congé de ses hôtes, Jean-Bernard lui donne sa carte de visite.

— Pour parler d'un sujet médical, dit-il à sa femme qui fronce les sourcils.

— Ne vous inquiétez pas Madame, la rassure Erika. Je ne vais pas le manger !

— Oh ! Il doit commencer à être rance, dit Monique amusée. Mais, vous me plaisez bien jeune fille. Cela fait bien longtemps que je n'ai pas vu mon Jean-Bernard comme cela ! Parler avec quelqu'un qui le comprend lui manque. Il peut venir vous voir quand il veut !

— Maman ! dit Marie-Gabrielle affolée, imaginant déjà combien cette éventuelle rencontre risque de poser problème !

—Qu'est-ce qu'il y a petite… demande Erika.

— Rien ! Rien ! Oui Jean-Bernard, va voir Erika quand tu veux. Tu verras elle est merveilleuse.

Marie-Gabrielle se mord les lèvres. Elle a bien entendu, Erika allait l'appeler petite pute. Afin de ne pas risquer une nouvelle bévue, elle baisse la tête, silencieuse. C'est alors qu'elle entend Erika dire qu'elle va passer aux toilettes avant de partir pour sa ferme.

— Je t'attends, petite pute, lui murmure Erika.

Jean-Bernard annonce qu'il va rejoindre Olivier qui finit de ranger ce qui traînait sur la table tandis que Monique s'installe sur un transat sur la pelouse.

Marie-Gabrielle rejoint Erika aux toilettes et s'agenouille devant sa maîtresse pendant qu'elle pisse. Appliquée, elle lèche les gouttes qui sont restées sur ma fente d'Erika.

— Fais-moi jouir petite pute ! Et dépêche-toi, si tu ne veux pas que tes parents trouvent cela étrange.

Marie-Gabrielle met tout son cœur à cette tâche et Erika compatissante, jouit rapidement sur le visage de petite pute.

— Ne t'essuie pas ! Petite pute. Je demanderai à Petit Chien de vérifier que tu as obéis !

— Oui Maîtresse !

Quelques minutes plus tard, après le départ d'Erika, Marie-Gabrielle rejoint Olivier et ses parents sur la terrasse.

— Je finissais de ranger dans la cuisine, dit-elle.

Elle aurait pu ne rien dire car ni son père ni sa mère n'avaient réalisé la longueur de son absence. Olivier s'approche d'elle et il constate qu'elle a obéi.

— C'est bien, lui dit-il. Je n'aurais pas à dire à Maîtresse Erika que tu as désobéi.

***

Quelques jours plus tard, Erika accueille Jean-Bernard chez elle pour un café.

— Alors que vouliez-vous me dire sur Gilles ?

— Oh ! Je ne sais pas si je devrais !

— Vous m'en avez trop dit, depuis ce dimanche, je ne pense qu'à cela. Et j'ai bien essayé de surprendre quelque chose, mais à part son machisme et racisme ordinaire, je n'ai rien trouvé.

— Machisme ! C'est là tout le secret de Gilles…

— Comment ça ?

— Quand il était dans mon service, j'ai plusieurs fois dû le rappeler à l'ordre…

— Expliquez !

— C'est un coureur de jupons invétéré et Elodie n'est pas mieux, elle couvre ses activités.

— Il n'y a rien de répréhensible à cela !

— Non, tant que les femmes sont consentantes…

— Vous voulez dire qu'il aurait violé… Non ! Ce serait trop gros !

— Et si ! J'ai reçu, en tant que responsable de l'hôpital, plusieurs plaintes de patientes. Je lui ai fait comprendre qu'il lui était impossible de continuer à travailler avec nous. Soit, il démissionnait de son plein gré, soit je dévoilais les courriers des patientes devant le conseil d'administration de l'hôpital.

— Et ?

— Il a démissionné avec Elodie qui n'était encore que sa fiancée.

— Je vois, donc il est blanc comme neige !

— En quelque sorte, mais aujourd'hui je regrette de ne pas avoir déposé plainte. Car, je sais qu'il continue !

— Cela peut s'arranger ! Laissez-moi faire.

— Merci ma petite, vous soulagez ma conscience.

— Allez ! A mon tour de vous faire une confidence.

— Je suis tout ouï !

Erika sourit. Elle commence à lui parler de sa vie et sa découverte de sa bisexualité et de fil en aiguille elle lui raconte comment elle est devenue une dominatrice. Jean-Bernard lui avoue que ce monde le fascine mais que maintenant il est trop vieux pour ce genre de chose. Erika le contredit et elle lui propose de monter voir son donjon.

Jean-Bernard est émerveillé comme un enfant devant tous ces appareils.

— Quel dommage que nous n'ayons pas une petite soumise à notre disposition !

— Revenez demain ! Je vous promets une surprise.

— Vraiment !

— Promis !

C'est donc les yeux brillants de concupiscence que Jean-Bernard quitte Erika, à regrets.

***

"Demain, chez moi à 14h"

En recevant ce message, Marie-Gabrielle est surprise. Erika n'a pas l'habitude de la convoquer l'après-midi, elle sait qu'elle tient sa boutique. Mais, elle se débrouillera avec Laure. Son employée est largement capable de rester seule un jour de semaine, les clientes sont peu nombreuses.

Mais aujourd'hui, Marie-Gabrielle joue de malchance. Non seulement, Laure est rentrée plus tard de sa pause déjeuner mais en plus la navette fluviale est en panne et elle a dû prendre le bus et le tramway pour se rendre chez Erika. Elle arrive avec trente minutes de retard.

— Tu es en retard !

— Mais…

— Il n'y a pas de mais ! Je voulais te récompenser pour ton repas avec tes parents même si ta jupe était trop longue et tes talons trop petits et surtout ce soutien-gorge, ne t'ai-je pas interdit d'en porter ! Mais bon, j'étais prête à passer là-dessus ! Mais là c'est trop ! Trente minutes de retard ! Je suis obligée de te punir ! Tu le sais ! Allez va dans la boîte !

Marie-Gabrielle monte piteusement les escaliers et s'installe dans la boîte. A sa grande surprise, Erika la fait mettre sur le ventre et elle ne lui met pas de bouchon d'oreilles mais juste un bâillon et la cagoule. Marie-Gabrielle se retrouve les chevilles écartées au sol, sa croupe avec le rosebud, exposée.

Elle craint le pire. Mais le silence s'installe. Combien de temps ? Dix minutes, vingt minutes, plus, elle n'en sait rien.

Enfin, des pas dans l'escalier, les talons de sa Maîtresse, elle en est sûre mais aussi des pas plus feutrés, un homme ? Olivier ? Non, c'est impossible depuis qu'ils se sont révélés l'un à l'autre, Maîtresse ne lui a jamais ôté sa cage.

Soudain, elle n'en croit pas ses oreilles. Non ! Ce n'est pas possible, Maîtresse Erika ne va pas faire cela !

— Jean-Bernard, je vous avais promis une soumise ! En voilà une !

— En effet, une belle croupe prête pour la cravache. Mais cet objet dans ce cul ! Pourquoi ?

— Quand je l'ai rencontrée, cette soumise enfin Petite Pute, c'est son nom maintenant, était presque vierge du cul. Il faut bien attendrir ce trou. Vous verrez, c'est un vrai délice !

— Je n'en doute pas ! Et ce K sur la fesse, c'est votre marque, je suppose.

— Oui, il faut bien que Petite Pute sache à qui elle appartient. Mais penchez-vous, regardez son pubis !

Jean-Bernard se penche et découvre le tatouage.

— Ah oui !

— Il faut bien qu'elle se souvienne de son nom, vous ne croyez pas !

— Oui c'est sûr, un nom pareil, ce n'est pas facile à porter au quotidien !

— Pourtant, je vous assure qu'elle le porte bien.

Dans la boîte, Marie-Gabrielle crie dans son bâillon, elle se débat, mais Erika l'a bien attachée.

— Que dit-elle ? Demande Jean-Bernard.

— Elle nous remercie de nous occuper de son cul… Au fait, auriez-vous besoin de ces pilules magiques ? Je ne voudrais pas vous offenser mais vous n'avez plus vingt ans !

— Je vous remercie, vous êtes vraiment merveilleuse. Oui, il m'en faut, je ne suis pas présomptueux.

Marie-Gabrielle est complètement dévastée. Erika va donner à son beau-père ces fameuses pilules bleues. Il a donc l'intention de la pénétrer, peut- être même de jouir dans un de ses trous.

— Mais pourquoi est-elle dans cette boîte ?

— Je suis déçue de son comportement. Je vous propose de la punir à ma place. Voyez-vous, tous ces accessoires sont à votre disposition.

Jean-Bernard regarde la collection de godes, de pinces, de poids, de cravache, de fouets, de badines, de martinets, enfin tout le nécessaire pour punir une petite pute désobéissance, se dit-il.

Il avale la pilule que lui tend Erika, puis il choisit une fine baguette de roseau. Il la fait siffler dans l'air. Marie-Gabrielle frissonne en entendant ce sifflement.

— Dois-je retenir mes coups ?

— Oh non, je vous l'ai dit petite pute doit être punie sévèrement. Elle est arrivée avec une demi-heure de retard donc je pense que trente coups pour commencer lui feront comprendre son erreur.

— Je reconnais que c'est très logique, un coup par minutes.

Joignant le geste à la parole, Jean-Bernard frappe les fesses de la pauvre Marie-Gabrielle qui hurle dans son bâillon. Sur les conseils d'Erika, Jean-Bernard alterne les coups sur les fesses et les cuisses, ne respecte aucun rythme. Instinctivement Marie-Gabrielle compte. Au bout de dix, ses fesses sont en feu. Elle ne va pouvoir tenir. Elle ne pourra plus s'asseoir, il lui faudra une bouée comme après ses accouchements.

De punir la femelle qui lui est offerte, Jean-Bernard commence à bander. Il souffle un peu en caressant du bout de ses doigts les stries qui ornent la peau de petite pute.

— Je suis sûre que cette salope est trempée, dit Erika. Vérifiez !

Jean-Bernard confirme l'état d'excitation de la femme, il s'amuse à entrer ses doigts dans cette chatte brûlante et trempée.

— Est-il possible de la mettre sur le dos ? j’ai envie de voir son tatouage de pute.

— Bien-sûr ! dit Erika. Détachez-lui les chevilles et demandez-lui de se retourner.

Jean-Bernard libère les chevilles de Marie-Gabrielle et lui dit :

— Tourne toi “Petite Pute” de Maîtresse Erika !

Marie Gabrielle se retourne docilement. Elle est trop choquée pour protester et surtout elle est effrayée par ce que pourrait lui réserver Erika si elle s'avise de montrer son désaccord. Elle sent les mains de son beau-père lui attacher les chevilles en hauteur.

Jean-Bernard est encore tout ému de s’être adressé à une soumise qui lui était ainsi offerte. Cet instant de calme ne dura pas longtemps. Ce fut l'horreur. Elle sent un sexe s’introduire facilement dans sa chatte. La queue de son beau-père va et vient en elle avec vigueur

— La sensation avec le plug est exquise, dit Jean-Bernard à Erika.

— Je vous crois sur parole, je ne suis pas équipé pour connaître cela !

Ils se mettent à rire de concert. Marie-Gabrielle en est encore plus humiliée. Elle sent alors son père gicler en elle. Elle se met alors à pleurer.

— Ces pilules sont vraiment extraordinaires, je viens de jouir et je bande encore !

— Oui, c'est merveilleux, cela devrait vous tenir une heure !

— Alors je peux tester son cul !

— Oui bien sûr !

— Erika, je dois vous avouer quelque chose !

— Quoi donc ? Non ne me dites pas que…

— Et si ! Je n'ai jamais enculé une femme ! Ni un homme d'ailleurs, ajoute-t-il en riant.

— Il n'y a pas d'âge pour commencer !

Jean-Bernard arrache sans douceur le rosebud du cul de Marie-Gabrielle qui gémit dans son bâillon. D'un puissant coup de rein, il encule sa fille “adoptive”.

Toute l'heure pendant laquelle la pilule est efficace, il alterne pénétrations vaginales et anales. Marie-Gabrielle en jouit, elle aussi, plusieurs fois. Elle est au bord de la crise d'hystérie.

Puis soudain, plus rien, le silence !

***

Jean-Bernard épuisé, reprend son souffle dans le salon en buvant un thé avec Erika.

— Ma chère Erika, je vous remercie. Je crois que je vais demander à Monique de me sucer plus souvent.

Erika sourit, elle essaie d'imaginer la petite Monique, du haut de ses soixante-quinze printemps, sucer son mari. Elle grimace, un peu dégoûtée. Même si une idée perverse lui traverse l'esprit.

— Ma maison vous est ouverte, revenez quand vous voulez, même avec Monique !

— J'y penserai, bien sûr ! Vous faites un thé remarquable, Monique est une connaisseuse, elle pourra vous donner des tuyaux.

Quand Jean-Bernard est parti, Erika laisse Marie-Gabrielle en sanglot, seule dans sa boîte pendant encore de longues minutes avant de s'équiper d’un gode ceinture et de venir s'occuper du cul de Marie-Gabrielle jusqu'à ce qu'elle tombe d'épuisement. Quand elle la libère, Marie-Gabrielle est tellement choquée qu'Erika appelle Olivier pour qu'il vienne la chercher.

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