Charlotte :
Je m'appelle Charlotte de Villaret. Je viens de franchir le cap de
la quarantaine. Je suis une jolie rousse aux yeux verts, résurgence de mes
ancêtres irlandais. Je me bats sans cesse avec les boucles de ma chevelure
épaisse. Je suis condamnée à l'écran total l'été si je ne veux pas ressembler à
une écrevisse. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, les poils de
roux poussent bien et je dois régulièrement parfaire l'épilation de mes jambes
et mes aisselles. Pour mon pubis, je n'y touche jamais sauf l'été où je rase ce
qui dépasse du maillot. Je suis assez fière de mon ventre plat et de ma
poitrine ferme, même si depuis ma dernière grossesse, j'ai pris une taille de bonnet.
Mon assiduité à la salle de sport porte ses fruits et mes cuisses et mes fesses
sont toujours bien galbées.
Après avoir fini mes études dans une grande école de commerce,
j'ai monté mon entreprise, une agence de voyages, spécialisée dans les voyages
atypiques pour ces nouveaux riches travaillant dans l'économie numérique. Cela
m'a permis de la développer et je suis à la tête d'un groupe avec une dizaine
d'agences dans différentes capitales européennes.
Mon mari, François, est lui cadre supérieur dans une
multinationale. Nous nous sommes rencontrés pendant nos études et ce fut tout
de suite le grand amour. Nous nous sommes mariés après avoir décroché haut la
main notre diplôme et cela fait maintenant presque quinze ans que nous sommes
mariés. Certes, il faut reconnaître que la fougue du début s'est
considérablement atténuée. Cela fait maintenant presque un an que son sexe
n'est pas venu plonger dans ma chatte. Je compense ce manque en me caressant
régulièrement, cela fait un moment que j'hésite à commander des jouets pour mon
plaisir intime, mais je n'ai jamais osé le faire. Pourtant, avec internet, je
pourrais les recevoir en toute discrétion.
Pour sa part, je le soupçonne d'avoir une maîtresse, mais il reste
très prudent et je n'ai aucune preuve qu'il me trompe. Ce parfum que je sens le
soir quand il rentre pourrait n'être que celui d'Agnès son assistante, une
petite brune toute en rondeurs, un peu nunuche et en extase devant son
supérieur direct. Je pense qu'il n'aurait qu'à claquer des doigts pour qu'elle
écarte ses cuisses. Charles m'a dit plusieurs fois qu'elle lui avait montré sa
culotte.
Pour ma part, je travaille avec une jeune assistante blonde,
Adeline, une ancienne élève de notre école. Je l'ai embauchée pour ses
compétences, mais je dois faire abstraction de son homosexualité. Je ne
comprends pas comment on peut trouver du plaisir avec une femme.
Nous venons d’acquérir avec mon mari un splendide duplex dans les
beaux quartiers. Je dirai que c’est presque l’apothéose de notre réussite.
Il y a aussi notre voisin de palier, un homme dans la
cinquantaine, élégant, bel homme, mais qui est tellement insignifiant à mon
avis. Il a beau posséder les trois étages supérieurs de l’immeuble, il ne fait
pas partie de notre monde. Lorsque je le croise dans l'ascenseur ou sur le
palier, je m'efforce de l'ignorer superbement. C'est tout juste si je lui ai
répondu ce matin quand il m'a dit bonjour. Même si je dois avouer que son
costume sur mesure parfaitement taillé m’a fait une forte impression.
Indéniablement, cet homme a du charme et il le sait. Quand son regard a croisé
le mien, j’ai eu une boule au ventre. Cela faisait une éternité que je n’avais
pas ressenti cela.
Comment en suis-je venue à prendre les autres de haut ? Sûrement à
cause de mon passé.
J'étais la petite rousse avec des taches de rousseur, des yeux
verts et des lunettes, toujours tête de classe. Ces caractéristiques m'ont valu
d'être moquée et parfois humiliée par mes camarades de classe.
Au lieu d'en faire un complexe d'infériorité, je me suis protégée.
Je méprisais ces élèves qui ne comprenaient pas les explications de nos
professeurs. Je le leur faisais bien sentir, et je n'accordais mon aide que si
je pouvais avoir un retour sur investissement. Cette attitude a fait de moi la
garce du lycée, celle que l’on aborde que si on ne peut pas faire autrement.
En sortant de l’immeuble, ce matin, je croise
Albert, notre concierge. C’est un homme dans la quarantaine au physique de
lutteur sénégalais. Il est très souriant et toujours serviable.
— Bonjour Albert ! Comment allez-vous ce matin
?
— Très bien Madame de Villaret. Merci ! Vous
êtes très élégante, comme toujours.
— Je vous remercie, c’est très gentil de votre
part.
Je lui rends son sourire avant de me diriger
vers ma voiture. Je sais qu’il ne faut jamais mépriser les personnels de
maison. J’ai appris cela de mes parents et de mon enfance en Afrique.
Mon père était un cadre supérieur dans une
grande société pétrolière et nous avons longuement vécu à Port-Gentil au Gabon.
Nous étions logés dans une magnifique villa avec vue sur l’océan. Mes parents
étant souvent absents, une gouvernante noire s’occupait de nous. Nous avions
aussi une cuisinière, un jardinier et un chauffeur qui se chargeait de nous
conduire à l’école française.
J’ai toujours considéré que les noirs étaient
parfaits dans leurs tâches subalternes, tant qu’ils ne désirent pas exercer des
fonctions qui ne sont pas de leur ressort. Les blancs dirigent et les noirs
exécutent, voilà comment j’avais été éduquée. Mais mes parents avaient bien insisté.
“Tu dois toujours respecter le travail d’un exécutant et savoir le remercier
quand il travaille bien.”
Je dois reconnaître que le travail d’Albert
est impeccable, le couloir et les escaliers sont toujours propres. Il gère
notre courrier à la perfection et sa carrure dissuade les sans-abris de
squatter devant l’immeuble. De plus, il a de l’instruction et c’est agréable de
parler avec lui.
Nous avions bien choisi notre nouvelle
résidence. La seule ombre au tableau est ce mystérieux propriétaire du haut de
l’immeuble. Je ne le sens pas même s’il me trouble. Peut-être devrais-je
demander à mon mari de lui proposer de venir prendre un apéritif un de ces
jours ?
Mieux nous nous connaîtrons et moins nous
risquons de nous fâcher.
J’y pense toute la journée, pendant que je
m’énerve après mon assistante qui n’a pas pris les bons billets pour mon
prochain déplacement. Mais c’est une habitude chez elle, elle me prend toujours
des billets en classe économique. À croire qu’elle aime que je la réprimande.
Ce soir, c’est à mon tour d’aller récupérer
les enfants à la garderie après l’école. Nous n’avons pas encore trouvé une
étudiante pour cela. Peut-être qu’une des étudiantes qui logent dans les
chambres de bonnes de notre immeuble acceptera.
J’ai déjà croisé la petite grosse timide,
Rachel, il me semble. Elle ne semble pas avoir beaucoup de revenus et je suis
certaine qu’elle aimerait avoir un peu plus d’argent pour améliorer son
quotidien. Je lui aurais bien proposé les vêtements que je ne mets plus pour
remplacer ses vêtements bon marché et mal coupés qu’elle porte, mais je ne suis
pas sûre que son cul et ses mamelles, à ce stade ce ne sont plus des seins,
rentrent dedans.
Quand nous arrivons à l’immeuble, je m’efforce
de calmer l’ardeur de Thomas et Clotilde qui courent vers l’escalier.
— Les enfants ! Doucement ! Je vous rappelle
qu’on ne court pas et on ne crie pas dans les escaliers...
— Oui maman !
Je hausse les épaules, un peu énervée, car je
sais que leurs bonnes résolutions ne vont pas durer. C’est alors que je vois
notre voisin sortir de l’ascenseur.
— Bonsoir Monsieur ! dit Clothilde.
— Bonsoir Monsieur ! ajoute Thomas.
Je souris, au moins, ils ont intégré le
respect dû aux adultes. Je regarde cet homme qui me fixe et je ne peux pas
faire autrement que le saluer aussi. Devant les enfants, je ne peux pas me
permettre d’avoir mon attitude arrogante.
Je me permets alors de lui demander, sans en
avoir parlé à mon mari.
— Accepteriez-vous de venir prendre l’apéritif
un de ces soirs ? Cela nous permettra de faire mieux connaissance. Cela va
faire deux mois que nous sommes arrivés et mon mari et moi serions ravis de
connaître nos voisins.
******
Didier :
— Quelle garce !
Je claque la porte de mon appartement
en colère. Je viens de rencontrer la femme d’un nouveau couple qui vient de
s’installer dans mon immeuble. Oui je dis bien « mon » immeuble. En effet je le
possède presque en totalité. Avec le quatrième et troisième étage, je me suis
aménagé un grand duplex. Je possède aussi tout le cinquième étage avec ses anciennes
chambres de bonne que j’ai fait aménager en studio pour étudiants. Oh, je n’ai
pas vraiment besoin de leurs loyers pour vivre. Je suis le rejeton d’une grande
famille et mes parents, hélas décédés aujourd’hui, m’ont laissé une grosse
fortune. Je n’ai même pas besoin de travailler, une banque gérant tous mes
avoirs. Si bien qu’à cinquante et un ans, je profite de la vie et je fais
exactement ce que je veux. Ma passion ce sont les femmes. Mais attention,
seulement celles qui ont du caractère, qui me résistent, celles que je vais
pouvoir soumettre. Pour moi, une femme n’est faite que pour mon plaisir. Elle
se doit d’être obéissante et esclave de mes besoins.
Mais revenons à cette femme qui vient
de me mettre en colère. Comme je le disais, il s’agit d’une voisine qui s’est
installée il y a un ou deux mois dans l’immeuble. Je n’avais jamais eu le temps
de lui parler donc aujourd’hui j’ai voulu réparer cette erreur en la
rencontrant dans l’escalier. Elle m’a accueilli avec un regard froid et hautain
et sans un mot elle m’a tourné le dos. Pour qui se prend-elle ? Je la trouve
pourtant jolie avec sa chevelure rousse, ses lunettes, et appétissante avec sa
belle poitrine et son cul que je suppose bien rond sous sa jupe. Mais quel
caractère !
Le fait qu’elle m’ignore de cette
façon, comme si j’étais un moins que rien, me hérisse le poil. Mais en
réfléchissant, j’y vois un nouveau défi.
— Oui c’est ça, prends tes grands airs
pour le moment, mais bientôt tu seras à genoux devant moi ! dis-je tout haut
dans mon appartement cossu.
Voilà je viens de trouver de
l’occupation pour les prochains jours. Il faut que j’aille voir Albert le
concierge pour qu’il se renseigne sur le couple. Il sera ravi de le faire pour
moi. C’est moi qui lui ai trouvé ce travail, car il est le fils d’un couple
sénégalais ayant travaillé toute leur vie pour mes parents. Ils sont
aujourd’hui repartis au Sénégal et profitent de leur retraite. J’ai fait en
sorte que leur fils obtienne ce boulot de concierge, il me rend service si j’ai
besoin.
Mais pour le moment cette garce me
fait bander. L’idée de l’asservir est trop excitante. Je crois que la petite
étudiante en troisième année d’économie est rentrée chez elle. Elle est un
petit peu moche, un petit peu enrobé avec de grosses mamelles, mais elle suce bien.
Je l’ai bien éduquée en échange de loyers qu’elle ne peut pas payer. Fille
d’une famille assez pauvre, elle ne peut se permettre de perdre cet
appartement. Sinon elle risque de louper ses études.
Je monte deux à deux les marches
jusqu’aux chambres de bonne transformées et j’entre sans frapper dans le
premier appartement à gauche.
— Salut petite salope ! Au boulot !
La petite boulotte, qui s’appelle
Rachel, est à son bureau en train de travailler. Bien sûr elle est nue comme je
lui ai ordonné quand elle est chez elle. Elle se dépêche de se lever et de
venir s’agenouiller devant moi. Sans un mot, elle descend ma braguette et sort
ma bite bien dure. Elle commence à me sucer avec application. Je lui tiens la
tête afin de bien enfoncer mon membre dans sa bouche.
Au bout de cinq minutes, je lui
ordonne de se mettre à quatre pattes et de se caresser. J’attends un peu et je
m’agenouille derrière elle. Estimant qu’elle mouille assez, je l’embroche d’un
coup sec et je la pilonne rudement. Ses gros seins ballottent sous elle.
— Tu aimes ça, petite chienne ?
— Oui Monsieur, mais votre plaisir est
le plus important. Merci, Monsieur, de vous occuper de moi.
Satisfait de sa réponse, je la baise
pendant un moment avant de me libérer dans son ventre. Je me retire et donne
une grande claque sur son cul en disant :
— Bien salope ! Viens me nettoyer !
Elle obéit et vient me lécher la bite
et les couilles pour les rendre bien propres. Bientôt je la repousse, range mon
attirail et me dirige vers la porte. Alors que j’ai la main sur la poignée, je
me rappelle d’une chose. Je me retourne et je demande à Rachel :
— Tu as vu Albert le concierge ?
— Oui Monsieur, je l’ai sucé à la
cave. Il m’a dit que vous l’aviez autorisé.
— Oui salope. Si quelqu’un se présente
de ma part, tu fais ce qu’il demande.
— Oui Monsieur !
— C’est bien, tu viens de gagner un
mois de loyer que tu me dois.
— Merci Monsieur, répond-elle en
baissant la tête, mon foutre sortant de sa chatte.
J’ouvre la porte et je rentre chez
moi, content, avec un nouvel objectif à remplir.
Le
lendemain, je décide de parler à Albert. Je le cherche et le trouve dans
l’escalier en train de balayer.
— Bonjour
Albert ! Comment vas-tu ?
— Bien
Monsieur, je vous remercie. Et vous ?
— Oh ça
va ! As-tu apprécié le cadeau ?
— Oh oui
Monsieur, cette petite est vraiment bonne suceuse. Et elle est très docile,
j’ai pu malaxer ses nichons sans qu’elle se plaigne pendant qu’elle me suçait.
Et elle a bien tout avalé.
— Bien,
elle doit obéir à toute personne que je lui envoie. Donc tu peux t’en servir,
mais ne l’abîme pas.
— Merci
Monsieur !
—
Dis-moi, j’ai un service à te demander. Tu connais bien les nouveaux arrivants
de l’immeuble, le nouveau couple ?
— Pas
tant que ça Monsieur. Je ne rencontre pas souvent l’homme, car il part tôt et
rentre tard. Je vois plus souvent sa femme qui me salue toujours ainsi que
leurs enfants.
— Et
qu’en penses-tu ?
— Oh !
Vous savez Monsieur, je connais bien ce genre de personne. Ils sont gentils
avec vous, mais ce n’est que de la condescendance. Ils se croient toujours
supérieurs et nous les noirs, sommes des inférieurs. Ils clament tout haut
qu’ils ne sont pas racistes, mais en vérité ils le sont.
—
J’aimerais que tu fasses quelques recherches sur eux, que tu te renseignes.
Je fais
un clin d’œil et continue :
— Surtout
sur elle, je la trouve hautaine et je voudrais bien la remettre à sa place. De
plus elle a un corps d’enfer dont j’aimerai bien profiter.
— Ah !
Monsieur, vous n’arrêtez jamais. J’ai un ami qui est un as dans l’informatique.
Il pourrait faire des recherches, mais ça risque de ne pas être gratuit.
— Peu
importe Albert, tu sais que je peux payer. Et puis emmène donc avec toi la
petite étudiante, ça pourra peut-être motiver ton ami.
Albert a
un grand sourire. Je sais qu’il m’aidera et fera tout pour me satisfaire. Notre
relation est plus forte qu’une simple relation patron-employé. Nous nous
connaissons depuis que nous sommes jeunes et avec sa stature il m’a souvent
sorti d’ennuis. Mes parents ont fait en sorte que ses parents aient une qualité
de vie vraiment supérieure à la moyenne au Sénégal et n’aient pas à s’inquiéter
de quoi que ce soit. De cela Alfred est très reconnaissant.
Nous nous
quittons et je rentre à mon appartement pour régler quelques affaires. Je passe
ma journée sur mon ordinateur et en fin d’après-midi je me prépare pour sortir
en soirée avec des amis.
Alors que
je sors de l’ascenseur, je vois les deux gamins de la nouvelle voisine courir
vers les escaliers. Ils me disent bonjour poliment et je marmonne en retour.
Qu’est-ce que je déteste les gosses !
C’est
alors que je vois leur mère qui s’approche pour me parler. Tiens, elle est
moins arrogante aujourd’hui. Elle me dit :
—
Accepteriez-vous de venir prendre l’apéritif un de ces soirs ? Cela nous
permettra de faire mieux connaissance. Cela va faire deux mois que nous sommes
arrivés et mon mari et moi serions ravis de connaître nos voisins.
Sans
hésiter, je la regarde dans les yeux et j’accepte son invitation :
— Je
serai enchanté ! Mais quelque chose de simple n’est-ce pas, je n’aime pas
les réceptions ampoulées. Quand voulez-vous ?
— Disons
vendredi soir ! Ça vous va ?
Je
réfléchis et je me dis que dans quatre jours j’aurais sûrement déjà des
renseignements sur le couple. Donc j’accepte :
—
Volontiers.
Je la
regarde. Elle rougit avant de se tourner et repartir. Je vois son cul se
balancer de droite à gauche alors qu’elle marche avec ses talons. Bon sang,
comment a-t-elle pu rester aussi bien faite après avoir accouché de deux
gosses ? Je suis sûr que son corps est parfait. Je vais prendre beaucoup
de plaisir à m’amuser avec elle.
Deux
jours plus tard, Albert le concierge sonne à ma porte. Je le fais entrer et
asseoir. Je nous sers un verre et j’attends qu’il parle.
— Bon
Monsieur, j’ai beaucoup de renseignements pour vous. Mon ami a passé près d’une
journée entière à récolter des renseignements. Il a réussi à pirater
l’ordinateur du couple ainsi que le portable du mari.
—
Alors ?
— D’abord
le mari. Il est cadre dans une importante multinationale. Il a un salaire
mirobolant. Il rentre tard le soir, car il se tape sa secrétaire. Ses messages
ne laissent aucun doute là-dessus.
— Tiens !
Tiens ! Avec la femme qu’il a, il va voir ailleurs.
— Oui
étonnant. Mais ça confirme ce que l’on pense mon ami et moi pour la femme. Elle
n’a pas été baisée depuis longtemps. Tout d’abord elle est cheffe d’entreprise
et dirige plusieurs agences de voyages dans le monde. Elle gagne beaucoup
d’argent elle aussi.
—
D’accord ! Mais dis-moi pourquoi tu penses qu’elle est mal baisée ?
— Mon ami
a piraté leur WiFi et a pu s’introduire dans leurs ordinateurs. J’ai déjà parlé
des messages du portable du monsieur. Mais le plus intéressant est dans
l’ordinateur de la famille. Après avoir consulté l’historique des recherches
internet, mon ami a constaté qu’aux heures où le mari est absent, il y a des
recherches sur des sites pornos et des sites de jouets sexuels. Les gamins sont
trop petits donc c’est sûrement elle qui est en manque.
—
Bien ! Bien ça ! Avez-vous regardé les comptes personnels et ceux des
entreprises pour voir s’il y avait des irrégularités ? Elle est dirigeante
de société, ça serait bien étonnant qu’elle ne détourne pas un peu d’argent
pour ne pas le déclarer au fisc.
— Mon ami
regarde ça, j’aurais les résultats demain.
— Très
bien Albert, je te remercie. Dis-moi combien je dois à ton ami, je vais te
faire un chèque.
— Je vous
remercie Monsieur, mais comme il a bien apprécié la petite Rachel, il a tout
fait gratuit. Elle a commencé à le sucer comme une bonne professionnelle, puis
il l’a fait mettre à quatre pattes et s’est branlé en regardant son gros cul et
ses seins qui pendaient. Il m’a demandé la permission de la baiser et je l’ai
autorisé. J’espère avoir bien fait ?
— Oui
Albert bien sûr. Et je suis certain que la petite a aimé.
— Au
début elle était un peu réticente, mais mon ami est vraiment bien monté. Il l’a
fait couiner et jouir deux fois puis il s’est vidé dans sa bouche. Je pense
qu’elle a aimé. Elle ne s’est pas plainte. Au retour je me suis permis de
l’amener à ma loge pour qu’elle me suce.
— Tu as bien
fait Albert, tu as bien fait. Je te remercie pour les renseignements. N’oublie
pas de me dire quand tu auras les comptes. Merci.
— Merci
Monsieur. À bientôt ! Me dit Albert en partant.
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