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vendredi 8 août 2025

La Dédicace - 04 -

 

Au lycée


Quand son mari rentra, elle prétexta une journée fatigante pour aller se coucher tôt et elle enfila un pyjama pour dormir afin de cacher la ceinture. En allant aux toilettes, elle réalisa que si la ceinture ne la gênait pas pour uriner, il n’en allait pas de même pour le reste. Elle allait devoir attendre jeudi pour se soulager. Elle eut une bouffée d’angoisse.

Il n’en prit pas ombrage et vint se coucher après le match de football. Il s’endormit rapidement après avoir embrassé son épouse.

Ce fut à ce moment-là que le téléphone de Chantal vibra, un SMS.

« Très bien je vous rappelle que je n’ai toujours pas les photos debout jambes écartées et main sur la tête pour ton dossier.

Cela peut être fâcheux pour ta demande d’immatriculation auprès de la confrérie à laquelle j’appartiens. »

« Comment cela ? »

« Je suis membre d’une confrérie qui regroupe des maîtres et des soumis partout dans le monde. En tant que Maître, je me dois d’y inscrire mes soumises » eut-elle en réponse. Elle comprit alors que sa décision de l’après-midi pourrait avoir des répercussions plus importantes qu’elle ne l’avait imaginé.

« Dites-moi Chantal, dans quel établissement enseignez-vous ? »

Elle lui donna le nom de son nouveau lycée en lui expliquant qu’elle avait changé à la rentrée et qu’elle ne connaissait pas encore l’ensemble de ses collègues seulement un mois après la reprise.

« Très bien, Nadia enseigne également dans cet établissement. Elle sera mon œil si cela ne vous ennuie pas, car je dois vous imposer un nouveau dress-code.

À partir de demain vous ne devrez plus porter que des jupes qui ne descendront pas en dessous des genoux et un large décolleté qui doit dévoiler la base de vote poitrine et ainsi laisser votre cou bien en vue et bien évidement des talons hauts. »

Elle pensa qu’elle devait revoit toute sa garde-robe, car elle était plutôt habituée à porter des pantalons et des tuniques du fait de ses formes généreuses. Mais elle lui répondit qu’elle serait vêtue comme il le désirait.

« Je vous laisse maintenant dormir. Bonne nuit. Je vous écrirai demain. »

Elle eut du mal à s’endormir avec la ceinture et les godes qui la pénétraient. À chaque mouvement, elle était proche de la jouissance.

Quand le réveil sonna, elle se leva rapidement pour aller se doucher. Elle fit pipi sous la douche afin de pouvoir nettoyer avec le jet de la douche l’urine qui aurait pu être entre la ceinture et sa peau.

Elle choisir un tailleur foncé et un chemisier blanc sur un soutien-gorge noir, une demande de son maître pendant la nuit. Et elle se chaussa de talons de huit centimètres qui étaient les plus hauts qu’elle possédait.

Lorsqu’elle arriva dans la salle des professeurs, Nadia s’approcha d’elle avec un grand sourire comme si elle la connaissait depuis toujours.

— Chantal ! Je vous attendais. Erwan m’a demandé deux trois petites choses avant que les cours commencent.

Puis elle lui chuchota à l’oreille :

— Viens allons aux toilettes de l’étage !

— Oui Nadia ! dit-elle en la suivant.

Nadia savait que de monter les escaliers allait attiser son trouble et elle le remarqua. Ce qui la fit sourire vicieusement. Les portes du lycée ne s’ouvrant pas avant une demi-heure aux élèves, elle avait le temps de faire ce que son mari lui avait demandé de faire. Quand elles furent toutes les deux dans les toilettes, Nadia referma la porte et fixa Chantal du regard.

— Bon ! Erwan m’a demandé des photos de toi est de ta tenue. Donc si tu veux bien te mettre en position numéro un : tu sais main sur la tête debout jambes écartées.

Obéissante, elle prit la pose demande et Nadia la photographia sous toutes les coutures et transmit aussitôt les images à son époux.

— Merci Chantal ! lui dit-elle en l’enlaçant.

Elle profita de sa surprise pour arracher le bouton du haut de sa jupe ce qui allait s’avérer très inconfortable, car celle-ci risquait de glisser à tout instant.

— C’est pour un petit souvenir ! dit-elle en lui montrant le bouton entre ses doigts, souriante.

— Je te laisse, je file préparer mon cours.

Chantal réalisa que sa journée allait être longue et qu’elle ne pouvait plus presser le pas sans risque de perdre sa jupe. Heureusement pour elle, elle n’avait pas besoin de changer de salle ce jour-là, mais au réfectoire les choses en furent tout autrement. En effet, il n’était pas facile de tenir le plateau avec son déjeuner et de marcher en espérant que la jupe ne glissa pas. Au moment où elle allait s’asseoir, Nadia l’invita à s’asseoir avec deux autres collègues qu’elle ne connaissait pas encore.

— Éric ! Nathalie ! Je vous présente Chantal. Je ne sais pas si vous vous connaissez.

— Non ! dit-elle. Je ne vous connais pas. C’est ma première année dans ce lycée !

— Ne t’inquiète pas l’ambiance est sympa ! dit Nadia en souriant puis se tournant vers les deux autres collègues, elle ajouta :

— J’ai rencontré Chantal hier chez moi elle se fait dresser par Erwan.

Complètement affolée par les mots de Nadia, elle ne savait plus comment réagir. Éric souriait vicieusement. Elle remarqua alors la tenue de Nathalie, très similaire à la sienne avec une jupe droite bien plus courte que celle qu’elle portait et de très hauts talons.

— Elle est novice, mais d’après Erwan elle est très prometteuse ! Et Éric ! Ne fait pas ta tête de soiffard, elle est équipée de toute façon.

Chantal ne savait plus où se mettre, elle aurait voulu être une petite souris pour se glisser sous la table. Surtout que les regards de son collègue se faisaient de plus en plus insistants vers sa poitrine. Nadia le réprimanda comme un enfant.

— Tu sais comment ça se passe Éric, tu laisses Erwan faire son rodage. Il y a des choses qu’elle ne peut pas encore entendre.

Chantal était de plus en plus déstabilisée par cette partie de ping-pong entre les deux et le fut plus encore quand Nadia lui demanda de leur dire comment elle était sous sa jupe. Même si elle l’avait bien laissé entendre quelques minutes plus tôt, elle voulait que sa collègue le leur dît elle-même.

— Je porte une ceinture de chasteté, murmura-t-elle rouge de honte.

— Plus fort, je suis sûre que Nathalie et Éric n’ont pas bien entendu.

Elle répéta ces mots un peu plus fort, de plus en plus rouge.

— Voilà, ce n’est pas si difficile ! Et dis-nous qui te l’a posée et qui en a la clé ?

— C’est Erwan…

Les yeux de Nadia la foudroyèrent et Chantal se reprit en disant :

— Mon Maître me l’a posée.

Nadia sourit et sans insister davantage, elle les invita à finir leur repas avant de retourner dans leur classe. Elle s’était renseignée et elle savait que Chantal tout comme elle, n’avait cours que dans deux heures.

Chantal remonta lentement les deux étages qui conduisaient à sa salle de cours, elle devait faire attention à ce que sa jupe de ne glissa pas pour ne pas dévoiler ce qu’elle portait dessous. Mais la montée faisait remuer les godes dans ses orifices. Elle dut s’arrêter pour calmer l’excitation qui montait en elle. Elle s’installa alors à son bureau pour corriger le dernier devoir qu’elle avait donné à ses élèves. Le premier de l’année qui allait lui permettre de se faire une idée plus précise du niveau de cette classe de terminale. Soudain son téléphone vibra.

« Bonjour Chantal. Nadia m’a raconté votre repas. J’espère que cela vous fait plaisir d’être vu à votre place de soumise. Vu l’engouement d’Éric, je désire que vous lui proposiez une pipe dans les toilettes pour 40 euros. Vous lui direz que c’est moi qui ai fixé le prix. »

Aussitôt elle lui répondit :

« Mais je ne peux pas faire cela… »

Elle ignorait qu’Éric et Nadia avait reçu un message similaire. Elle se disait que si elle l’ignorait, il ne se passerait rien. Les pensées troubles, elle entendit quelqu’un toquer. Nathalie ouvrit la porte après avoir attendu l’autorisation.

— Chantal ! Monsieur Éric désire vous voir dans son bureau à la fin des cours.

— Merci, Nathalie, j’y vais de suite.

Elle suivit la jeune femme, en se demandant ce que lui voulait le CPE. Elle aurait dû comprendre à la manière dont sa collègue lui avait parlé qu’il ne s’agissait pas d’une affaire concernant le lycée, mais elle n’était pas encore parfaitement au courant des règles de langages.

Eric l’attendait assis derrière son bureau, il leva à peine la tête à son entrée.

— Ah ! Chantal ! Fermez la porte à clé, je vous en prie.

Un peu surprise de sa demande, elle obéit néanmoins et resta immobile au milieu de la pièce.

— Vous avez reçu un message d’un ami commun…

Ces mots achevèrent de la déstabiliser, surtout quand il ajouta.

— Je trouve cela un peu cher, mais le prix, c’est le prix. Alors à ce tarif, je veux profiter de vos mamelles.

En tremblant, elle commença à déboutonner son chemisier dévoilant la dentelle du soutien-gorge. Le Maître ne perdait pas de temps pour appliquer les termes du contrat qu’elle avait signé la veille. Éric la regardait faire toujours installée à sa place comme si l’attitude de cette professeure qui dévoilait une opulente poitrine devant lui était naturelle.

— Chantal ! Vous allez vous mettre à poil pour ma fellation, dit-il sans lever la tête.

Humiliée par l’attitude de cet homme, elle acheva de se dévêtir, posant ses vêtements sur une chaise à côté d’elle. Il sourit vicieusement en voyant la ceinture qu’elle ne pouvait pas retirer.

— À genoux ! Les mains dans le dos.

Il attendit qu’elle eût pris la pose pour se lever et s’approcher d’elle. Il tourna autour d’elle, soupesa ses seins. Il prit quelques photos et l’attrapa par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière.

— Ouvre la bouche !

Chantal s’exécuta avec les yeux nimbés de larmes. Il ouvrit son pantalon et approcha son gland de ses lèvres. Il le frotta autour de la bouche puis il recula. Il se pencha au-dessus de son visage et fit couler un filet de bave dans la bouche de la femelle humiliée à genoux devant lui. Elle déglutit, choquée, tremblante. Puis il posa son sexe sur les lèvres en attendant qu’elle entrât en action. Sans les mains, elle devait sucer et lécher ce membre qui lui remplissait la bouche. Pendant qu’elle s’activait, il répondit à l’appel d’un parent d’élève.

Il la prit en photo avec son téléphone au moment où il gicla dans sa bouche et sur son visage. Il envoya immédiatement les images à Erwan puis retourna à son bureau, la laissant nue immobile face à lui. Elle n’osait pas bouger et commençait à avoir mal de cette posture pas très confortable. Quelques minutes avant le début de son cours, il l’autorisa à se relever. Quand elle fut debout, il s’approcha d’elle et lui glissa deux billets de vingt euros dans la ceinture.

-— Tu es un peu chère pour ce qui tu offres, mais Erwan saura te bonifier…

Il lui donna une claque sur la fesse par-dessus la jupe quand elle quitta le bureau sans se soucier si des élèves avaient pu se trouver dans le couloir.

Au milieu de l’escalier pour regagner sa classe et parmi les lycéens qui changeaient de salle elle fut obligée de s’arrêter, submergée par un violent orgasme.

Une élève lui demanda si tout allait bien. Elle ne put que lui faire un signe de la tête pour ne pas trahir son état puis parvint à rejoindre la salle de cours. Aussitôt Nadia entra et lui dit qu’elle voudrait la voir après les cours avant de rentrer.

À peine le dernier venait-il de refermer la porte de la classe, que Nadia entra en souriant.

— Coucou Chantal ! Je passe rapidement pour chercher l’argent. Erwan m’a dit que tu as bien travaillé… Tu as droit à cinq pour cent des gains, dit-elle

Elle prit les deux billets et tendit une pièce de deux euros à sa collègue médusée.

Abasourdie, celle-ci regarda la jeune femme quitter la salle. Elle fixait la pièce sur le bureau. Elle s’effondra en larmes en prenant conscience que son acte de l’après-midi était celui d’une prostituée.

lundi 4 août 2025

La Belle-Fille - 05

 Ce texte a été écrit il y a quelques années par une personne sous le pseudo : BERNARD240

 

Sophie, ma belle-fille, devient soumise


Début du dressage de ma belle-fille ; donc pendant deux semaines, je suis venu la rejoindre dans son lit,

elle avait les consignes suivantes :

Semi-assise avec un oreiller derrière elle et les mains derrière la tête pour faire sortir sa poitrine.

Moi, je me branlais bien fort dans mon lit avant et en arrivant sans préparatif je lui plantais mon gros sexe en fond de gorge…

Rapidement, elle s’est habituée au traitement et elle avalait de mieux en mieux.

Et donc tous les deux jours, je me vidais les couilles au fond de sa gorge en lui envoyant de grosses quantités de foutre sans lui donner de plaisir…

Ce traitement était vraiment rude et même si elle se plaignait un peu, elle essayait d’y aller à fond, mon emprise sur Sophie fonctionnait bien, elle commençait à être accro et en manque…

Un jour, je lui ai bandé les yeux pour faire un test…

Sophie : « C’est quoi ce nouveau jeu ? » me dit-elle

Moi : « Je vais voir ton endurance, j’ai acheté quelques godes bien réalistes, tu dois tout avaler ! »

Pour mettre du piment, je lui attache les mains en l’air aux barreaux du lit et cela a pour effet de gonfler sa poitrine à bloc.

Comme Marc m’emmerdait tous les jours pour savoir ce que je faisais avec elle…

Très discrètement je le fais participer..

Je dis à Sophie : « Je descends chercher les godes. »

En bas, je file les consignes à Marc

Moi « surtout tu fais très gaffe pas de bruit, il faut qu’elle ne se rende compte de rien »

Moi « on lui baise la bouche à tour de rôle en plus des godes sans s’arrêter pendant une heure »

Moi « tu lui décharges au fond du gosier quand tu veux je ferai les commentaires »

Marc « OK no problème… »

Arrivé à l’étage on se dessape je monte sur le lit et passe direct dans la bouche de Sophie, pas trop profond pour la faire saliver, 5 min de baise buccale…

Je me retourne Marc se branle, il est monté comme moi, elle ne devrai pas voir la différence…

Dès que je descends, il lui choppe les nibards pour les pétrir sans ménagement et lui mord les tétons. Puis il lui met un gode moyen bien au fond et elle dit « ça c’est un petit gode c’est pas votre sexe !!!… »

Marc lui fou ensuite son chibre direct en bouche et je commente :

Moi « alors tu préfères ça ? Hummm tes mamelles sont bien tendues avec tes bras en l’air j’ai envie de me branler dedans pour les faire encore grossir »

« mais d’abord pompe-moi un peu et mouille bien ma bite aller »

Et la je fais signe à Marc d’y aller franchement.

Il rentre doucement cm par cm en entier et passe la porte de sa gorge en percutant le fond, le nez de Sophie est plaqué contre son ventre, il attrape sa tête et commence à lui limer la bouche en prenant soin de faire de grand aller-retour toujours bien profond…

Moi « aller ma grande, montre-moi ta profondeur »

Et il tape de plus en plus fort au fond, je lui pince les seins en même temps elle croit que c’est lui !

Puis il ressort sa bite est couverte de salive et de liquide visqueux, sa bite me semble un peu plus volumineuse que la mienne.

Elle suffoque et dit « putain vous êtes hyper membré ce matin !! moins fort vous aller trop profond et votre bite est si grosse et longue que je risque de vomir »

Ce commentaire énerve Marc et il lui reprend la bouche en lui défonçant la gorge il lui serre le cou elle s’étouffe il reste au fond, elle crache un max de salive ça sort par tous les trous ses lèvres sont distendues, il a une bite vraiment énorme..

Je rajoute sévèrement : « tu ne te plains pas, je te défonce comme je veux »

Il reste planté, elle : « slurc, sniff, flourqu »

Elle est bloquée, elle essaie de trouver de l’air, avale, souffle par le nez, les larmes lui coulent… c’est extrême comme il lui remplit la bouche..

Elle se débat encore puis Marc relâche son cou et commence à limer doucement le fond de son gosier pendant quelques minutes, il ressort à peine 4 cm et lui refourre tout en entier…

Lorsqu’il sort enfin toute sa longueur et entre deux respirations elle s’exclame : « putain ça va pas ! J’ai dit moins fort ! J'avais l’impression que vous étiez dans mon estomac. Détachez-moi les mains ! »

Là, on permute et je lui fous une baffe sur les nichons « Ta gueule ! T’es là pour apprendre à sucer ! Alors laisse-toi faire et avale ! » Et je lui baise à mon tour la bouche. Elle n’en peut plus, je continue pas trop profond, car je veux qu’elle avale ma sauce et j’éjacule une bonne dose…

Ce traitement dur un peu moins d’une heure quand soudain elle me dit :

Sophie « vous avez l’air bien en forme j’en peux plus j’ai mal à la mâchoire et la gorge en feu me pique »

Moi « donc tu préfères les godes, deux godes à la fois !! »

Sophie « Non s’il vous plaît, j’ai plus de salive ! Vous ne voulez pas changer de trou !? »

Moi « OK mais en levrette alors »

Je tire ses jambes. Je la retourne, les liens pivotent elle est toujours mains attachées devant elle, tendues au-dessus de sa tête et ses seins pendent. C’est inconfortable, Marc en profite pour lui pincer les bouts et la malaxer…

Moi « Si c’est ce que tu veux je vais te baiser, te défoncer t’es d’accord ? »

Et je laisse le soin à Marc de la bourrer, il est tellement en forme qu’il va lui élargir le minou..

Il lui fourre quatre doigts directs, bien profond…

Commentaire de moi « T’es tellement trempée que tu es bien élargie, une vraie rivière entre les jambes »

Moi « Aller je vais te limer un peu avec ma main pour t’ouvrir »

Et là Marc se met en mode marteau-piqueur avec sa main, il tient un de ses nibards et agite sa main dans la chatte de Sophie comme un malade. Il fait tourner son poing, elle commence des petites jouissances.

Moi « Bon maintenant, je vais te saillir comme tu le mérites et comme tu aimes »

Je fais un signe du pouce et il l’emboîte !!!

Sophie « AHHHHHHHH c’est quoi ce truc vous êtes monstrueux ce matin on dirait un animal »

Moi « Ouais tu m’as bien fait bander à faire des gorges profondes ! T’es vraiment une experte de la pipe maintenant »

Moi « Je vais donc t’exploser le vagin, te limer jusqu’à ce que tu hurles de plaisir »

Et Marc rentre en la défonçant, il fait tout trembler, le lit est secoué dans tous les sens il veut la casser en deux. Je lui détache les mains, elle commence à rentrer en transe, elle se raidit tremble de partout. Elle pose sa tête et sa poitrine sur l’oreiller ce qui a pour effet de faire remonter sa croupe en l’air au maximum.

La position permet à Marc d’aller au plus profond, il pose ses mains en appuie sur les reins de Sophie pour la maintenir au niveau de la taille, comme ça il imprime son rythme, les secousses sont très violentes, il percute comme un malade souffle fort, il transpire, elle secoue la tête dans tous les sens.

D’un coup Sophie se redresse cabrée au maximum, il lui attrape les nichons les presse, les pinces. Il augmente encore les coups, c’est vraiment brutal. Il est monté comme un taureau. Elle jouit depuis un petit moment quand ils entrent tous les deux dans un orgasme violent, les deux corps collés s’électrisent tout trempés. Il s’acharne en éjaculant au fond de son vagin, elle crie tellement c’est brutal. L’orgasme est incroyable…

Ils tombent ensemble sur le lit, elle ne sait plus ou elle est, perdue dans sa jouissance…

Et là, Marc dit « Ahh putain !! Je crois que j’ai jamais baisé comme ça, pire que dans un porno... Oups ! »

Elle retire immédiatement son masque et se met à pleurer…

Sophie « bande de salauds vous avez abusé de moi, espèce de pervers ! Roger, je vous faisais confiance… »

Je l’attrape par les pieds et lui écarte en grand écart les jambes et je lui mets une claque sur la chatte en disant :

Moi « Ferme là un peu et regarde dans quel état Marc t’a mise ! Tu as eu plusieurs orgasmes comme une grosse salope et ta cyprine coule à flot… »

Moi « T’as pris ton pied, espèce de salope ! Et je suis sûr que tu pouvais encore en prendre tu deviens une vraie nymphomane si je me retenais pas, je t’emmènerai sur un de mes chantiers, mais faut d’abord t’ouvrir le cul »

Sophie « Ah ça jamais, vous êtes monté comme des vrais animaux ça ne passera pas… »

Moi « Comment ça des animaux, un âne et un taureau en même temps, t’es pas d’accord Marc ? »

Marc « Ouais Roger ! Une chienne comme elle, ça devrait se faire baiser plusieurs fois par jour »

Il sort un billet de 100 euros et lui lance…

Marc « Tiens, c’est pour la passe et ta perf de la matinée ! Tu sais que tu peux gagner plus !!, à la prochaine… »

Marc s’éloigne et dit : « Roger, je me douche et je t’attends en bas, faut aller bosser quand même »

Il s’en va et elle me dit :

Sophie « C’est quoi cette histoire, il me prend pour une pute ou quoi… »

Moi « Non, mais tu viens de faire 100 balles en une heure et demie de plaisir, c’est pas mal non… »

Je la laisse dans ses pensées (chantier, sodomie, faire la pute et gagner du blé…)

dimanche 27 juillet 2025

Chantage à la Campagne - 22

 

Je me réveille en sentant la bouche de ma femme sur mon sexe. Je ne dis rien. Je la laisse me faire cette caresse buccale. Ses lèvres montent et descendent sur mon membre qu’elle avale entièrement. Je sens progressivement mon plaisir monter. Quand je jouis, elle ne recule pas. Elle ne se relève que lorsqu’elle a tout avaler.

— Humm ma truie d’amour, que c’est bon d’être réveillé de cette manière…

— Mais…

— Mais quoi ?

— Je ne suis…

— Pas quoi ?

— Une truie…

— N’est-ce pas ce qui est écrit sur ton front ?

— Si, mais…

— Donc, tu es une truie ! Veux-tu que j’appelle Frédéric ?

— Non… non… non… Oui, je suis une truie, si tu veux…

— Ma truie d’amour ?

— Oui ta truie d’amour !

Je la serre dans mes bras et je lui dis d’aller préparer le petit déjeuner si on ne veut pas être en retard à la messe, il ne faut pas traîner.

— Que fais-tu ? Lui demandai-je en voyant prendre un peignoir.

— Ben… je me couvre !

— Tu es une truie, non ?

— Oui, je suis une truie…

— Et les truies, portent-elles des vêtements ?

— Euh, non…

— Alors ?

— Oui tu as raison…

— Donc tu restes comme cela, cela me fera plaisir…

— Oui mon chéri !

— Allez ! File ! Je vais me doucher !

Je lui donne une petite claque sur la fesse avant d’aller dans la salle de bain.

Seul, j’envoie un message à Marie-Catherine concernant sa tenue pour l’église.

Ma pute porte une jupe grise à mi-cuisses des bas noirs, porte-jarretelles pas de culotte et en haut, chemisier blanc décolleté avec un soutien gorge noir et n’oublie pas le plug“

De son côté, Bernard envoie un SMS similaire à Sophie.

chemisier blanc suggestif avec un Soutien gorge balconnet noir. Une veste ouverte par dessus. Jupe mi-cuisse ample pj et bas noir pas de culotte et pense aux inscriptions”

Les femmes sont affolées mais obéissent. Sophie met sa perruque blonde pour masquer le mot “TRUIE” sur son front.

Lorsque nous arrivons à l’église, nous saluons nos voisins, discrètement je passe une main sous la jupe de Marie-Catherine pour vérifier si elle a respecté ses consignes. Je fais un signe de tête à Paul qui s’approche de nous et s’excuse de l’absence de sa femme au barbecue, souffrante à cause d’un mauvais virus.

Pendant l’office, Bernard reste sage, méditant sérieusement, respectant le sacré de la cérémonie. Je suis son exemple, mais je constate que mon épouse, même à l’église observe les consignes de son maître-chanteur et relève discrètement sa jupe pour s’asseoir, fesses nues, sur la chaise

Après avoir salué toutes nos connaissances, le diacre et le curé qui trouvent les deux femmes radieuses, nous nous dirigeons vers la maison de Bernard et Marie-Catherine. Nous garons nos trois voitures dans leur allée assez grande.

Frédéric nous rejoint avec une caisse de Saint-émilion, il serre la main des hommes et embrasse les femmes. Paul offre un plateau de fromage tandis que Bernard allume le barbecue.

Je prépare l’apéritif tandis que les femmes, dans la cuisine, avec Frédéric, disposent les amuse-gueules sur des plateaux.

— Tu prendras une Suze, Bernard ?

— Oui merci avec des glaçons !

— Comme d’habitude… Ne crois-tu pas que le maire n’a pas fait trop fort ? Paul, je vous sers quoi ?

— Je veux bien un whisky on the rock, me répond Paul.

— Je crois surtout qu’il est très satisfait de sa nouvelle source de financement

— Oui je pense aussi…

— Bon voilà ça prend bien, encore quelques sarments de vigne avec le charbon de bois…… Alors les femmes les amuse-gueules pour l’apéro ça vient ? crie Bernard face à la fenêtre de la cuisine ouverte !

— Oui, crie Frédéric, elles arrivent !

— S U P E R !

Nous les voyons arriver avec les plateaux remplis de charcuterie, canapés divers et variés, ainsi que des bretzels, des olives et des Apéricubes.

Alors que nous nous préparons à trinquer, Bernard s’adresse à Paul.

— Mon cher ami, que penses-tu de la nouvelle coupe de Sophie ?

— J’avoue que je la préférais en brune…

— Sophie ! Dis à Paul pourquoi tu as mis une perruque ?

— Oui… dis ma femme. Je voulais changer de tête mais mes cheveux n’étaient pas encore assez longs…

— Ne mens pas… la reprend Bernard.

La pauvre femme bafouille

— Je… je, enfin… c’est… que j’ai… enfin je dois avouer… que j’ai fait un enfin disons que un pari stupide que…… que j’ai… perdu… elle est rouge de confusion

— Et si on demandait à Frédéric ??

Frédéric la regarde en silence, puis je le vois tourner les yeux moi et lentement, il nous dit.

— Je pense que tu devrais retirer ta perruque…

— Je pense la même chose, dit Bernard. Retire-la donc…

— mais… s’il vous plaît…

— Retire-la ma chérie, cela me fera plaisir… lui dis-je.

Sophie hésite mais en tremblant elle ôte sa perruque qui dévoile l’inscription sur son front.

Paul reste bouche-bée, il ne s’attendait pas à cela. Frédéric prend alors la parole.

— Sophie vient généreusement faire le ménage chez moi et je lui ai demandé ce qu’elle était…

— Et… qu’a —-t-elle répondu ?

— Elle va vous le dire… n’est-ce pas Sophie ?

— Euh… Oui… Bien sûr… je… je suis une salope, une pute…

— Oui et… ??

— Une chienne, une cochonne et aussi, ooh ! mon dieu, comme vous… vous pouvez le lire u… un… une truie…

Marie-Catherine se faisait toute petite cherchant à disparaître mais plutôt heureuse que cela soit Sophie qui subisse ces avanies amorales. Bien qu’elle sache qu’elle n’est pas à l’abri d’excès de turpitude de ces mâles pervers en chaleur.

Tandis que Bernard s’active à griller côtes de porc, chipolatas merguez et autres andouillettes et brochettes pour satisfaire tous les palais qui dorment laissant les yeux saturer les neurones commandant les couilles et verges de ces messieurs.

— Une truie a-t-elle des vêtements ? demande Frédéric.

— Heu je… je non, répond la pauvre cramoisie.

— Alors ? Qu’attends-tu ?

— Je… heu… je… dois me… me déshabiller ici ?

— Tu me feras plaisir ma chérie… dis-je.

— Mais, on est dans le jardin… tout le monde peut me voir !?

Bernard la rassure, en mentant un peu : “de ce côté, il n’y a pas de vis-à-vis.”

— Et le pignon là… demande-t-elle en montrant le mur presque aveugle de la maison voisine.

Frédéric lui fait remarquer qu’il n’y a pas de fenêtre juste un œil de bœuf dans le grenier et de toutes manières, il a vu les voisins partir avec leur camping car

Pas vraiment rassurée, ma malheureuse épouse abdique et sous nos yeux de mâles lubriques, elle commence à retirer son chemisier, dévoilant complètement le soutien-gorge de dentelle noir qui maintient sa lourde poitrine.

Frédéric regarde alors Marie-Catherine avec insistance.

— Et toi, dis-nous ce que tu es ?

— Je suis… pas là…

Je la fixe en souriant et lui montrant mon téléphone.

— Réponds à notre voisin…

— Gloup… Un… une… sa… gloup… lope, bafouille-t-elle, en rougissant et baissant la tête.

— J’ai pas bien compris, dit Frédéric. Et toi Paul, tu as compris ?

— J’avoue que je n’ai pas compris pourquoi elle parle de sacoche ou je ne sais pas… d’escalope au barbecue ??

— Répète sans bafouiller ! exige Frédéric.

— Oooh “salope”, dit-elle d’une traite, mais à voix basse.

— J’ai pas entendu, dit Frédéric, dis-nous clairement ce que tu es !

Marie-Catherine se racle la gorge et avec une voix toujours tremblotante mais plus claire, elle déclare plus fort :

— Je… je suis une salope !

Pendant ce temps, Sophie ne porte plus que ses sous-vêtements, dévoilant toutes ses inscriptions.

— Alors Paul, demande Frédéric. Qu’en penses-tu ?

— Là, franchement je suis scotché… je ne sais plus quoi dire et ce barbecue m’a l’air fortement sympathique et je me demande si vous me charriez ou si cela va aller plus loin ? dit-il descendant son apéro d’un trait.

— À toi de voir… Bernard et Hervé ne sont pas égoïstes !

— Comment ça à moi de voir ? Pour le reste je le suppute à voir ça !

— L’autre soir, tu avais semblé attiré par le cul de Sophie la truie… peut être veux tu un avant goût avec ton apéro ?

— Je suis gêné, mais à ce point-là je suis d’accord.

— Je pense que Marie-Catherine pourrait s’occuper d’Hervé pendant que Sophie s’occupe de toi ! Bernard, cela te va ?

— Oh tu sais moi j’ai la cuisson à surveiller et ma femme est libre comme je ne suis pas jaloux entre adultes vous faites ce que vous voulez !

Je regarde alors ma voisine et de manière naturelle, je lui demande :

— … et si tu nous montrais ce que tu caches sous tes vêtements, comme Sophie ?

Sachant que la réunion va déraper, regardant la maison voisine et sans ignorer que l’œil de bœuf donne sur la chambre du fils du voisin, Marie-Catherine est beaucoup plus inquiète que Sophie mais, elle accepte de retirer son chemisier puis sa jupe, entendant des voitures passer dans la rue, pas loin.

Bernard détourne l’attention pour faire redescendre les tensions, en disant qu’il faudrait une autre tournée d’apéro, d’autant qu’il reste des petits fours et que la cuisson n’est pas encore finie.

— Les femmes prendront leur apéro à la source, dit Frédéric. Sophie avec Paul et Marie-Catherine avec Hervé. Mais je veux bien un autre whisky

Un ange passe en un éclair mais personne n’ose contredire cette injonction hormis les femmes qui soupirent tête basse.

— Approche la truie, dit Paul en rompant le silence.

— Viens me sucer Salope, dis-je à mon tour à Marie-Catherine

Paul tend la main vers le postérieur rebondit de la femme brune pendant que j’écarte mes genoux attendant que la blonde prenne position. Je lui indique de rester debout, penchée les mains dans le dos, exposant son arrière-train aux présents et à l’œil de bœuf qui regardait… non, non pas Caïn…

Alors qu’elle prend en bouche mon sexe dressé, je guide ses mouvements en lui tenant la tête et regarde les doigts de Paul explorer l’entrejambe de ma femme.

— Crois-tu que le jeune Kevin est parti avec ses parents ? peut-être te regarde-t-il ! murmuré-je à Marie-Catherine

Je sais que, malgré elle, cela doit l’affoler, tout en l’excitant. Je m’empresse de le vérifier en passant ma main entre ses cuisses.

— La salope mouille… dis-je à Frédéric. Tu veux vérifier ?

— Avec plaisir ! me répond-il de son sourire pervers.

— Avec ta main ou autre chose ! Comme tu veux…

— Juste la main pour le moment… je préfère en garder pour plus tard.

— Bien de cet avis, dit Bernard. On a le temps pour s’amuser, finissez tous vos apéros, les petits fours. Les chipolatas et travers sont prêts et ces dames pourront servir après leur apéro !

Je ne tarde pas à jouir dans la bouche de ma soumise qui subit les manipulations de Frédéric dans sa chatte trempée. Je plaque sa tête pour qu’elle avale bien le jus que je lui offre en l’entendant gémir sous les attouchements de notre voisin.

Je tourne les yeux vers Sophie qui est à quatre pattes, mamelles pendantes, sorties du soutien-gorge devant le notaire. Je vois ses joues creusées tant elle est appliquée à sucer le membre du notable qui malaxe la poitrine de sa suceuse.

— J’ai rarement eu une aussi belle poitrine entre les mains, me dit-il ravi. Elle doit être parfaite pour les cravates de notaire… Hahaha…

Sophie se sent humiliée par cette remarque, mais elle sent que sa fente mouille de plus en plus, elle a envie de sentir une bite la pénétrer. Mais au moment où elle a cette pensée, Paul envoie son jus en lui appuyant sur la tête. Elle avale le foutre épais du notaire et s’applique à bien lui nettoyer le vit avant de le ranger dans le pantalon.

— Bien ! dit Bernard. Maintenant que tout le monde à eu son apéro, nous pouvons passer aux choses sérieuses…

— Tu as raison mon ami, dis-je. Frédéric et moi allons aller avec Marie-Catherine dans la cuisine pour l’aider à préparer les crudités. Sophie tu vas rester avec Bernard et Paul, n’est-ce pas ?

— Bien sûr ! Allez-y ! me dit Bernard.

***

Les deux hommes restés avec Sophie, autour du barbecue la regardent assise nue, devant eux. Bernard prend alors la parole.

— Montre à Paul comment tu aimes déguster les chipos…

— Heu… je… voui… monsieur Bernard.

Sophie prend la saucisse avec une pincette et comprenant bien ce qu’il attend d’elle, elle la suce comme elle sucerait un sexe masculin.

— Ne dégustes-tu les saucisses que par la bouche ?

— Ooh heu no… non, mais je… je… dit-elle, regardant affolée son voisin.

— Tu quoi ? Rappelle-nous ce que tu es…

— Hoho… je… je suis une salope, une pute, une chienne, une truie, Monsieur !

— Alors ! Montre ce qu’une pute fait avec une saucisse…

Vaincue ma femme prend en main la saucisse refroidie et la frotte sur ses lèvres vaginales écartant les jambes, exposant sa vulve et frottant aussi son clitoris avec.

— Qu’en penses-tu Paul ?

— Je pense que je pourrais lui offrir une autre saucisse…

— Quelle bonne idée ! N’est-ce pas ce que tu voudrais la chienne ?

— Heu… je oui… oui…

— Alors demande poliment !

— Gloup… monsieur Paul pourrais-je s’il vous plaît avoir votre saucisse ?

— Quoi ?

— Heu… votre bite monsieur… précise-t-elle en sachant plus où se mettre, le visage écarlate

— Avec plaisir mais ou la veux-tu ?

Sophie regarde Bernard, ayant peur de ne pas faire le bon choix, elle propose son cul pour éviter toute brimade, sachant que les hommes semblent particulièrement attirés par cette partie de son anatomie.

— Quelle salope tu fais… Paul cela te convient-il ?

Elle rougit fortement tout en sentant un picotement dans son ventre.

— Oh ! Pour rendre service et faire preuve de charité humaniste, je vais faire cet effort de l’enculer ! Hahahaha !

— Penses-tu que ton mari sera content, la Truie ?

— Je… je ne sais pas… je ne crois pas… enfin je ne sais plus…

— En es-tu sûre ?

— Non il ne serait pas content !

— Veux-tu que nous le lui demandions ?

— Non… non ! Pas de ça s’il vous plaît !

— Ne t’a-t-il pas dit qu’il aime que tu me fasses plaisir ?

— Heu ou… oui… je ne sais plus, je perds la tête vous me rendez folle…

— Folle de plaisir, non ?

— Oui j’avoue ! Je suis toute excitée, mais c’est pas bien, c’est pas normal !

— Ce n’est pas normal de faire plaisir aux mâles ?

— Pas comme ça monsieur…

— Et comment une pute donne du plaisir aux mâles alors ?

— En s’offrant, en obéissant… Monsieur.

— Alors obéis… mets-toi en position de chienne !

— Oui d’accord ! Monsieur Paul voulez-vous bien m’enculer s’il vous plaît, dit-elle en se mettant à quatre pattes devant le notaire.

— Quel cul ! Ne peut s’empêcher de dire le notaire. Il a dû rendre heureux de nombreux hommes, non ?

— Oui c’est un cas…… un ca… llipyge ! Hihihhi !

- Comme tu dis… un cas…

- Oh… oh non messieurs, c’est presque la première fois…

Paul se positionne derrière le gros cul de la pauvre femme qui attend d’être embrochée, après avoir enfilé un condom. Alors que Bernard entame une côte de porc tout en fouettant les joues de Sophie avec une merguez, lui barbouillant le visage de sauce.

Le notaire excité par la situation, force l’anus de ma femme qui pousse un gémissement. Sous la pénétration, elle commence à remuer, ce qui fait ballotter lourdement ses mamelles, entraînant des remarques de Bernard.

— Profite petite chienne ! Après tu pourras déguster une brochette au jus de couille que tu extrairas de la capote…

Cette ignominie augmente la libido de la pauvre femme humiliée mais terriblement excitée par les assauts de Paul qui s’active et fait remarquer à Bernard qu’en général, les chiennes sont tatouées.

— Cela permet de retrouver leur propriétaire, dit-il en riant grassement.

— C’est pas faux… on y songe…

La pauvre se demande ce que veut dire monsieur Bernard, mais elle commence à sentir le plaisir qui arrive… Elle gémit, ferme les yeux… l’orgasme monte en elle et vient la submerger, râlant bruyamment, ne sachant plus où elle est dans ce septième ciel, d’où elle a une vue plongeant sur sa déchéance jouissive.

Paul finit par jouir et sort de ce cul qui reste béant.

— Tu as bien mérité ta brochette, dit Monsieur Bernard. Mais avant tu retires le préservatif et tu le vides dessus le temps que je te filme… Alors souris bien.

Obéissante, avec un grand sourire à peine forcée, elle retire avec douceur la capote du sexe ramolli de Paul et vide le jus qu’il contient le long de la colonne de chair.

Sous le regard goguenard des deux compères, elle lèche ce jus de couille qui recouvre le membre viril du notaire qu’elle finit par prendre à pleine bouche sous les grognements de satisfaction de son propriétaire.

C’est à ce moment que le trio que je forme avec Frédéric et Marie-Catherine revient sur la terrasse.

***

Dans la cuisine, les choses n’ont pas été particulièrement plus sages. Je demandais aussitôt à notre hôtesse ce qu’elle avait prévu pour accompagner la viande.

— Une salade de tomates fraîches…

— Et tu as bien sûr un assaisonnement particulier pour toi ?

— Euh… Non…

Je regarde Frédéric en souriant.

— Bien, il va donc falloir que nous nous en occupions alors… qu’en penses-tu cher voisin ?

— Euh… oui… sûrement, mais je ne vois pas de quoi tu veux parler…

— Notre chère voisine apprécie particulièrement les vinaigrettes spermées…

— Ah d’accord… Je vois…

— Bien ma salope, tu as compris ce que tu as à faire ?

— Oui je vois très bien, malheureusement mais aurai-je le choix ?

— Le choix de celui qui va gicler dans ton assiette… Peut-être, pensé-je.

Ouf !” se dit-elle. “Un seul, c’est bien suffisant !”

Ce qu’elle ignore c’est que j’avais des idées bien plus vicieuses en tête. Je la vois se pencher devant moi. Je souris et regarde Frédéric.

— Cette salope est affamée, mais pas uniquement de la bouche… Je pense que tu devrais aussi la nourrir par-derrière…

— Bonne idée, cher voisin… Je vais la fourrer comme il se doit.

Marie-Catherine que Frédéric vient d’attraper par les hanches sait ce qui va lui arriver Elle sait également qu’elle n’a que le droit de se taire et de subir cette humiliation de soumission à son voisin. Elle est aussi confuse et furieuse d’avoir quelques papillons dans le ventre.

— Ne te trompe pas de trou, dis-je à Frédéric. Et toi, dis-lui dans quel trou je veux que tu sois baisée !

— Oui Maître, heu dans le petit trou…

— Demande-le et mieux que ça !

— Gloup… Oui… Je vous en prie Frédéric, enculez-moi !

— Tu peux faire mieux ma salope…

— ??? Je… Je… Oui… S’il vous plaît Frédéric, perforez-moi le trou du cul.

Frédéric grogne et s’enfonce d’un coup. Je sens alors la bouche de Marie-Catherine s’activer sur ma queue raide. Je la tiens par les cheveux pour la forcer à avaler plus. J’aime la sensation d’avoir mon sexe enveloppé par une bouche. Ma voisine ne peut que subir tout en étant émoustillée par sa situation avilissante qui l’excite malgré elle. Dans cet état psychologique, elle s’abandonne complètement étant prête à tout pour vivre à fond cette déchéance grisante.

— Fais-moi gicler sur ton assiette… lui dis-je alors que je sens ma sève monter.

Elle s’exécute et présente son assiette devant mon vit. Elle voit alors les longs jets de semence se répandre sur ce qu’elle devra manger.

Au même moment, Frédéric me demande ce qui est prévu pour l’assiette de Sophie tout en grognard en jouissant.

— Je ne sais pas, c’est du ressort de Bernard et de Paul…

Mon voisin semble déçu, mais il n’insiste pas et se retire de ce cul accueillant, laissant la femme insatisfaite, n’ayant pu jouir elle aussi, mais est-elle là pour son plaisir ou simplement servir les mâles dans leur perversité ?

— N’oublie pas de nettoyer Frédéric… ensuite tu pourras apporter les assiettes.

Marie-Catherine retire la capote en nous regardant. Elle comprend qu’elle doit la vider sur son assiette avant de gober le sexe ramollissant pour le nettoyer.

***

Quand nous arrivons sur la terrasse, je peux voir ma femme à genou en train de sucer le notaire. Bernard semble aux anges, je me demande ce qu’il a en tête. Sophie, occupée avec le membre de Paul, ne réagit pas à notre arrivée.

— Tout s’est bien passé ? demandé-je a Bernard.

— Comme tu peux le voir cher ami et toi ?

— La cuisinière sait bien dresser les assiettes et est une bonne Maîtresse de maison avec ses invités…

— AH AH AH “Maîtresse” je me marre dit Bernard.

— C’est vrai que ce mot n’est pas le plus adéquat… on pourrait dire serveuse…

Nous rigolons tous et commençons à déguster la viande que Bernard à cuit à la perfection.

— Sophie apprécie les merguez dis-je…

— Surtout les juteuses, rigole Bernard.

Ces mots ne plaisent pas à Sophie qui ravale sa frousse craignant le pire d’autant qu’ils ont bien tous bien bu. Elle avale la semence que Paul lui envoie dans la bouche avant de prendre place à table, entre ses tourmenteurs, nue comme sa compagne d’infortune, mais tout aussi excitée qu’elle, à en juger par leurs tétons qui pointent avec arrogance.

A part, quelques mains qui s’égarent entre les cuisses de nos femmes et qui nous permettent de constater leur état d’excitation et le fait qu’elles soient nues, le repas se déroule normalement.

***

Après le dessert, Frédéric nous quitte. Paul, qui comme nous tous, a bien arrosé le repas appelle sa femme pour qu’elle vienne le chercher. Pendant ce temps, Sophie et Marie-Catherine, dans la cuisine, rangent dans la cuisine.

En attendant Svetlana, nous discutons entre hommes.

— Alors, cette petite bouffe ! Ça t’a plu ? Demande Bernard à Paul.

— Oh oui, je ne m’attendais pas à être aussi bien servi…

— Tant mieux alors on pourra recommencer ?

Paul me regarde, cherchant à savoir si je suis d’accord. Je lui souris.

— Je suis partant, bien sûr ! dis-je. Puis m’adressant à Bernard. Je vais devoir m’absenter quelques jours pour le travail. Je te confie ma femme.

— OK, ne t’inquiète pas je veillerai sur elle. Par ailleurs, la banque a demandé de repasser pour un complément d’info. Marie-Catherine ne t’a rien dit ?

— Non pas du tout… Je donnerai quelques consignes à Marie-Catherine.

— Je n’en doute pas ?

A cet instant nous voyons approcher Svetlana, la superbe jeune épouse de Paul qui vient embrasser Bernard et lui demander où est Marie — Catherine pour la saluer aussi.

— Dans la cuisine, elle fait la vaisselle avec Sophie, la femme d’Hervé…

— Enchanté, dis-je à la blonde souriante.

— Bon… je crois qu’il fait que nous y allions, dit Paul à sa femme en se levant. Je comprends qu’il n’a pas envie que celle-ci découvre nos femmes nues. Dans les yeux de Bernard, je crois y déceler des pensées aussi lubriques que les miennes envers cette magnifique slave.

— Hervé ! Embrasse ta femme pour moi… me demande Paul.

— Je n’y manquerai pas…

Paul parti, je prends congé de Bernard.

— Nous n’allons pas traîner nous aussi. Je dois préparer ma valise. Je pars tôt demain. Je prendrai la voiture, Sophie devra aller travailler avec le train.

Quelques minutes plus tard, Sophie nous rejoint. Nous prenons congés de nos hôtes.

***

Pendant que je prépare mes bagages, j’envoie un message à Marie-Catherine.

Ma salope, je pars quelques jours pour le travail. Je t’enverrai des consignes chaque jour.

Je viens d’apprendre que tu dois aller à la banque demain. Tu iras nue sous ta jupe et ton chemisier et tu devras t’arranger pour que Monsieur Rafalli puisse profiter de la vue… et s’il veut toucher, tu ne refuses pas.

Tous les soirs, tu devras me faire un compte rendu de ta journée.”

Je rejoins Sophie dans la cuisine qui prépare de quoi grignoter un peu avant d’aller nous coucher, après ce barbecue, nous n’avons plus très faim. Je la découvre souriante.

— Es-tu fier de moi ? me demande-t-elle.

— Comment cela ?

— J’ai fait tout cela pour toi, pour te faire plaisir…

— Oui ma chérie ! Je suis très fier. Tu as fait tout ce que j’aime… Je suis certain que tu vas pouvoir faire encore mieux… Bernard saura te guider pour dépasser tes limites… Fais tout ce qu’il te demandera…

— Oui mon chéri… je te le promets.

Je la prends dans mes bras pour l’embrasser. Elle frissonne quand mes mains s’attardent sur ses fesses nues sous sa jupe. Je me demande si elle a envie de plus. Mais je suis fatigué et devant me lever tôt, je ne prolonge pas mon geste et nous nous installons autour de la table.

À la fin du repas, je lui demande si cela ne la gêne pas que je la laisse ranger.

— Non, pas du tout mon chéri, va te coucher, je te rejoins plus tard.

De la chambre, j’entends Sophie se rendre dans la salle de bain. Au moment où elle va entrer sous la douche, son téléphone sonne. C’est Bernard. Elle prend l’appel en visio, ce qui me permet d’entendre leur conversation.

— Dis donc la truie ! Ton mari va être absent. Alors je veux que tu sois toujours nue chez toi, volets non fermés et rideaux ouverts. Idem dans le jardin, il doit être suffisamment protégé !

— Oui Maître Bernard, je resterai nue chez moi et dans le jardin. Il est complètement clos.

— Je vais te proposer de commander des petits cadeaux, tu les recevras ainsi !

— Nue ? Mais…

— Ça ne te plaît pas ?

— Si Maître Bernard, merci !

— Et pourquoi ça te plaît ?

— Car je suis une truie qui aime vos cadeaux, Maître Bernard.

— C’est bien tu comprends vite !

— Merci Maître Bernard.

— De rien je ne fais que mon boulot de révélateur car tu es une grosse cochonne qu’il faut décoincer…

— Oui Maître Bernard, je suis une grosse cochonne à décoincer.

— Bon ! Donc plus jamais de culotte, que des porte-jarretelles avec bas et soutien-gorge quart de seins.

— Oui Maître Bernard ! J’irai en acheter et je vais jeter mes culottes et mes collants.

— Excellente idée ! Et tu iras à la déchetterie en les jetant une par une, après avoir demandé dans quel bac tu dois les jeter !

— Oui Maître Bernard ! Je demanderai ou les jeter…

Il y alors un blanc dans la conversation. Sophie est troublée et honteuse d’accepter cette exigence, mais un frisson parcourt son ventre. J’entends alors Bernard poursuivre.

— Et tu commanderas un serre-cou comme celui-là…

Bernard lui a envoyé une image du collier en question, ce qui explique le silence de mon voisin. Lorsque j’entends la réponse de ma femme, mon excitation monte d’un cran et je regrette de ne pas être là lorsqu’elle recevra ce collier.

— C’est une laisse ! Maître Bernard.

— Oui et alors ? Cela te pose un problème ? N’es-tu pas une chienne ?

— Non Maître Bernard. Pas de problème, je suis une chienne !

— Tu dois être fière d’être une chienne comme d’autres se sentent dans le mauvais corps.

— Oui Maître Bernard. Je comprends, Je suis une chienne dans un corps de femme.

— Non ! Tu es une truie dans un corps de chienne. Tu n’es pas une femme, qu’un réceptacle de foutre que des trous à remplir.

— Oui Maître Bernard, je suis une truie, un réceptacle à foutre, des trous à remplir.

— Et là tu mouilles, les tétons tout durs, n’est-ce pas ?

— Oui Maître Bernard, je mouille et mes tétons sont tout durs.

— Bon… Je dois faire autre chose. Va te masturber sur la véranda !

— Oui Maître, j’y vais.

Obéissante à Bernard comme je le lui ai demandé, elle va se caresser sur la véranda. Du lit, je l’entends gémir de plaisir.