Depuis son goûter chez Pierre et Florence, Erika s'arrange pour prendre la même navette que Florence, le matin. C'est devenu une habitude. Florence doit lui envoyer un message pour lui dire qu'elle quitte la maison et elles se retrouvent devant chez Erika. Alors, comme un rituel, Erika lui pose toujours la même question :
— Tu portes ta tenue de petite salope ?
Florence répond invariablement :
— Oui, Madame, je suis une petite salope.
Les deux femmes partent d'un éclat de rire et bras dessus, bras dessous, elles vont prendre leur navette. Pendant le trajet, elles discutent comme deux amies “ordinaires”, même si Erika donne insidieusement des consignes à Florence. Elle lui dit comment elle aime qu'elle se maquille, qu'elle est bien plus jolie avec ses escarpins à talons, qu'elle devrait envisager de raccourcir ses robes et ses jupes. Avec de si belles cuisses, il ne faut pas avoir peur de les montrer.
Au fil des jours, Erika voit ainsi les jupes de Florence raccourcir. Elle a commencé à montrer ses genoux et maintenant, elle dévoile ses cuisses avec des jupes qui, si elles étaient plus courtes, montreraient la lisière des bas. L'étape suivante sera plus complexe, dévoiler la poitrine. Mais Erika sait très bien que face aux lycéens, c'est une mission délicate.
Quand elles se séparent de l'autre côté de la Loire, ce ne sont plus deux amies mais deux amantes. La première fois qu'Erika avait posé ses lèvres sur celle de Florence, celle-ci s'était offusquée, mais le froncement de sourcils d'Erika était venu à bout de la réticence de la jeune professeure. Aujourd'hui, elles s'embrassent à pleine bouche et lorsque personne ne peut les voir, Erika glisse sa main sous la jupe de Florence et joue avec la ficelle de son string. Ce geste a le don d'exciter Florence dont les tétons pointent aussitôt. En riant, elle se plaint à Erika que ses nouvelles tenues attirent les regards de ses élèves qui sont alors plus intéressés par sa poitrine et ses cuisses que par ses cours. Elle lui dit même que certains cherchent à regarder sous sa jupe. Erika sourit puis rétorque :
— A toi de garder une posture qui te protège de leur regard ! Tu n’es pas obligée de te trémousser ni de leur montrer ta chatte !
Pierre s'est évidemment aussi rendu compte de ces changements chez sa femme. Il en avait parlé à Erika qui lui avait répondu qu'il était le premier à en profiter. Il n'avait pas su quoi lui répondre, car effectivement, il apprécie l'évolution de sa femme. Erika lui avait définitivement cloué le bec en l'embrassant sur les lèvres. Erika est dans une situation délicate mais qu’elle assume et domine sans problème ! Elle doit trouver l'équilibre entre ce qu'elle désire faire de ce couple et conserver la complicité bienveillante de Pierre. Mais, pour le moment, c'est de Florence dont elle a envie de s'occuper.
Ce matin, Florence annonce qu'elle finira sa journée plus tôt que prévu. Evidemment, Erika y voit une belle opportunité
— Je viendrais t'attendre devant le lycée et nous irons prendre le thé à la maison, d'accord ?
— Ce serait avec plaisir, mais…
— Depuis quand, tu n'es pas d'accord avec moi, ma petite salope ?
— Excusez-moi Madame… dit Laurence en baissant les yeux.
— Florence ! Écoute-moi bien ! Ma petite salope, à partir de maintenant, tu vas m’appeler Maîtresse, compris ?
— Oui Maîtresse, j'ai compris.
— Et toi, qui es-tu ?
— Florence !
— Non, tu n'es pas Florence ! Tu es petite salope !
— Oui Maîtresse… répond Florence tête basse.
— Répète, qui es- tu ?
— Je suis petite salope.
— Très bien, je suis fière de toi. Viens que je t'embrasse !
Erika ouvre ses bras et attend immobile que Florence vienne l'embrasser. Elle hésite un peu mais elle finit par venir se coller contre Erika et souder ses lèvres aux siennes. Elle réalise qu'en fait c'est la première que c'est elle qui fait le geste d'embrasser Erika. Les autres fois, c'était toujours Erika qui prenait l’initiative. Pourquoi a-t-elle attendu si longtemps avant de faire ce geste ? Elle ne sait pas mais en frissonne de plaisir.
— Bon alors a tout à l'heure devant le lycée !
— Oui Maîtresse.
— Maintenant, pour ton hésitation à répondre directement à mon invitation, tu dois être punie, tu le sais…
Florence regarde Erika, elle se demande de quoi elle veut parler.
— Euh, oui, punie, mais comment cela ?
— Oh, simplement ! Tu te souviens de l'église… eh bien tu vas faire pareil aujourd'hui !
Florence veut protester mais elle a peur qu'Erika ne devienne encore plus exigeante. Discrètement, elle retire un string rouge, comme pour lui montrer sa passion. OK pas mal pour la passion. Elle le tend à Erika qui le porte à son nez.
— Tu es excitée petite salope ! Pourquoi es-tu excitée ? dis-moi !
Tête basse et avec une voix toute feutrée, Florence lui répond :
— Parce que vous obéir Maîtresse, faire quelque chose qui n’est pas dans la norme, mettre mon sexe à l’air en dehors de mon intimité domestique, cela me donne des frissons et me donne envie de me toucher… et même plus…
— Mais c’est que tu deviendrais addicte ! Allez file au travail ! Et pense à ta maîtresse qui t’attendra à la sortie.
***
Erika voit Florence sortir du lycée en compagnie d'une femme, certainement une de ses collègues. Mais, autant Florence est blonde et élancée, que cette femme est petite et bien en chair. Elle ne sait pas que les élèves la surnomment Madame Tonneau. Son seul atout, pense Erika, c'est cette paire de seins qui semble vouloir s'échapper du chemisier en tendant ses boutons à la limite de la rupture. Elle se demande à quoi ressemblent les cuisses cachées par la jupe longue, sûrement de beaux jambons !
Florence s'arrête en voyant Erika s'approcher.
— Je t'attendais ! dit Erika en fixant la petite grosse.
— Je te présente Marguerite ! Erika !
— Enchantée Madame, dit Marguerite.
— Moi de même, lui répond Erika qui réprime un sourire en se disant qu'en plus elle porte bien son nom.
— Et alors Florence ? Tu ne m'embrasses pas ?
— Euh, si bien sûr !
Surprise, Marguerite voit Florence partager un long baiser avec Erika.
— Mais Florence ! Et Pierre ? la questionne-t-elle.
— Pierre ! Il ne dira rien ! Pourquoi le saurait-il ? Hein ? Tu irais lui dire, Marguerite ?
— Euh non, bien sûr, dit-elle un peu gênée.
— Et puis, tu sais, Marguerite, reprend Erika. Florence fait tout ce que je lui demande. Si je le lui demande, elle te lécherait, là maintenant !
Marguerite est incrédule, elle n'imagine pas que sa collègue mariée, mère de famille, si réservée puisse faire cela. Elle tourne les yeux vers Florence qui garde les yeux baissés, en proie à un tourbillon de pensées et terrorisée.
— D'ailleurs ! ajoute Erika. Sais-tu qu'à ma demande, elle ne porte rien sous sa jupe ! Montre-nous Florence.
Sans un mot, toute rouge et ne sachant comment se comporter pour ne pas être vue de tous mais seulement de Marguerite, Florence commence à soulever sa jupe sous les yeux sidérés de son amie. Elle lui montre ses fesses et sa chatte nues.
— Tu viens prendre le thé avec nous ? Evidemment !
— C'est-à-dire que je pensais aller faire quelques courses…
Erika la regarde fixement avec de tels yeux qu’il est impossible de refuser, personne ne peut émettre une objection avec un tel regard ! Marguerite accepte donc et quelques minutes plus tard, elles s'installent toutes les trois dans le salon d'Erika.
***
— Florence ! Sers-nous !
Obéissante, Florence se rend dans la cuisine pour prendre le plateau avec les tasses.
— Elle porte la tenue adéquate pour servir, n'est-ce pas, Marguerite ?
— Euh oui, peut-être.
— Mais si regarde cette petite jupe noire, ce chemisier blanc, et ces talons noirs… une tenue de soubrette, non ?
— Oui si vous le dites.
— Enfin presque ! Il lui manque le petit tablier… Florence n'oublie pas de mettre le tablier suspendu près du frigo.
Florence le voit et, à nouveau, rouge de honte, elle le noue à sa taille avant de revenir dans le salon. Elle voit Laure boire les paroles d'Erika. Elle leur sert le thé et obéit à Erika qui lui demande de rester debout et de remonter sa jupe sur ses hanches. Elle se sent terriblement impudique et vulnérable, mais elle aime cela. Comment est-ce possible ?
Erika commence à prendre lentement l'ascendant sur Marguerite. Elle a posé sa main sur le genou de la petite brune qui instinctivement écarte ses cuisses. Quand la main remonte sur la grosse cuisse, Marguerite se mord les lèvres en respirant profondément. Puis un ordre claque.
— Florence, caresse-toi, montre-nous comment tu jouis toute seule !
Sans attendre, de peur d’être punie, Florence descend sa main entre ses cuisses et commence à se caresser. Dans le silence de la pièce, on n'entend plus que les gémissements de la blonde et les clapotis de sa chatte trempée. Excitée depuis le matin par le fait d'être nue sous sa jupe, Florence jouit rapidement sous les yeux ébahis de sa collègue et satisfaits de sa maîtresse.
Pendant qu'elle récupère, Erika raccompagne Marguerite à la porte en lui disant qu'elle avait beaucoup apprécié sa présence et qu’elle peut revenir quand elle veut. Pour la première fois depuis longtemps, Marguerite se sent bien avec une personne qui, comme son mari, ne l'a pas jugée sur son physique, même si elle se dit que cette Erika est étrange. Mais c'est avec plaisir qu'elle a noté le numéro de téléphone de cette femme qui semble être la Maîtresse de Florence.
— Tu as été merveilleuse ma chérie dit Erika, en retrouvant Florence. Je n'en attendais pas autant de ta part ! Allez viens on va prendre une douche. Tu m'as excitée, ma petite salope et je suis sûre que Marguerite, aussi, en a mouillé sa culotte.
Florence suit Erika dans la salle de bain et se laisse déshabiller. Elles entrent nues sous la douche et elles se savonnent mutuellement. Erika insiste sur la poitrine de Florence dont les tétons sont dressés et la fente brûlante.
Elle l'entraîne ensuite dans sa chambre et pour la première fois de sa vie Florence pose ses lèvres sur la chatte d'une femme. Erika la guide en lui tenant les cheveux et lui indiquant précisément comment la lécher.
Erika jouit sur le visage de Florence au moment où son téléphone sonne. C'est Pierre qui demande si Florence est toujours avec elle car personne ne répond au téléphone.
— Il est déjà si tard ! Dit Erika innocemment. Nous buvons le thé. Nous n'avons pas vu passer l'heure. Je te la rends. Elle part de la maison.
Erika donne une claque sur les fesses de Florence en lui disant de se dépêcher. Pierre s'impatiente.
Florence se rhabille sans prendre le temps de s'essuyer le visage, couvert du jus d'Erika.
Le soir, Erika profite de son donjon. En pleine séance avec Olivier, Petit Chien, son téléphone vibre. Un message de Marguerite.
"Maitresse Erika, pourrais-je vous revoir bientôt."
Sans vouloir précipiter les choses, Erika sent que le poisson est ferré ! Il faut petit à petit l’approcher de la rive et pour cela elle a de l’expérience !
Ayant attaché son “Petit chien” à la croix de Saint André, elle va entamer une conversation avec Marguerite. Elle la rappelle.
— Bien sûr, qu’est-ce qui t’amène à me contacter si rapidement ?
— C'est-à-dire que je suis très troublée par la relation que vous entretenez avec Florence. J’ai l’impression qu’elle est très heureuse de vous obéir et je dois vous avouer, en la voyant ainsi, que cela m’a excitée ! Encore maintenant quand j’y pense. Cela me rend un peu envieuse. Mais avec mon corps, je n’ai guère d’illusion, je ne pourrai sans doute jamais vivre une telle dépendance. Surtout que mon mari est tellement attentif à moi qu’il se rendrait tout de suite compte que quelque chose a changé. Est-ce que nous pourrions parler de tout cela ensemble ?
— Il n’y a pas de problème, Marguerite, tu seras toujours bien accueillie chez moi. Et même, si tu veux, nous pourrons nous retrouver dans un café ou un salon de thé. Sens-toi libre ! On peut parler autant que tu veux et même, on peut imaginer un jeu entre nous… Pensez-y ! Tu pourras même me faire des propositions ! Allez, je te laisse profiter de ta soirée avec ton mari. A bientôt.
— Merci, Erika, je suis très heureuse que nous puissions envisager de nous retrouver.
Erika avait laissé à Marguerite l’initiative de revenir vers elle et, qui plus est, de proposer elle-même, sous forme de jeu, le début d’une dépendance ! La porte vers la soumission était ouverte à une nouvelle femme ! Le réseau s’intensifie.
Avec un grand sourire, Erika revient vers Olivier qui était attentif à ce qui se disait sans bien comprendre les enjeux de cette conversation. Elle allait le réchauffer car nu ainsi attaché, il s’était refroidi. Quelques coups de martinet ont fait l’affaire !