jeudi 20 juin 2024

Erika : Dresseuse de Couples -13- Une Partie de Thé

 

Depuis son goûter chez Pierre et Florence, Erika s'arrange pour prendre la même navette que Florence, le matin. C'est devenu une habitude. Florence doit lui envoyer un message pour lui dire qu'elle quitte la maison et elles se retrouvent devant chez Erika. Alors, comme un rituel, Erika lui pose toujours la même question :

— Tu portes ta tenue de petite salope ?

Florence répond invariablement :

— Oui, Madame, je suis une petite salope.

Les deux femmes partent d'un éclat de rire et bras dessus, bras dessous, elles vont prendre leur navette. Pendant le trajet, elles discutent comme deux amies “ordinaires”, même si Erika donne insidieusement des consignes à Florence. Elle lui dit comment elle aime qu'elle se maquille, qu'elle est bien plus jolie avec ses escarpins à talons, qu'elle devrait envisager de raccourcir ses robes et ses jupes. Avec de si belles cuisses, il ne faut pas avoir peur de les montrer.

Au fil des jours, Erika voit ainsi les jupes de Florence raccourcir. Elle a commencé à montrer ses genoux et maintenant, elle dévoile ses cuisses avec des jupes qui, si elles étaient plus courtes, montreraient la lisière des bas. L'étape suivante sera plus complexe, dévoiler la poitrine. Mais Erika sait très bien que face aux lycéens, c'est une mission délicate.

Quand elles se séparent de l'autre côté de la Loire, ce ne sont plus deux amies mais deux amantes. La première fois qu'Erika avait posé ses lèvres sur celle de Florence, celle-ci s'était offusquée, mais le froncement de sourcils d'Erika était venu à bout de la réticence de la jeune professeure. Aujourd'hui, elles s'embrassent à pleine bouche et lorsque personne ne peut les voir, Erika glisse sa main sous la jupe de Florence et joue avec la ficelle de son string. Ce geste a le don d'exciter Florence dont les tétons pointent aussitôt. En riant, elle se plaint à Erika que ses nouvelles tenues attirent les regards de ses élèves qui sont alors plus intéressés par sa poitrine et ses cuisses que par ses cours. Elle lui dit même que certains cherchent à regarder sous sa jupe. Erika sourit puis rétorque :

— A toi de garder une posture qui te protège de leur regard ! Tu n’es pas obligée de te trémousser ni de leur montrer ta chatte !

Pierre s'est évidemment aussi rendu compte de ces changements chez sa femme. Il en avait parlé à Erika qui lui avait répondu qu'il était le premier à en profiter. Il n'avait pas su quoi lui répondre, car effectivement, il apprécie l'évolution de sa femme. Erika lui avait définitivement cloué le bec en l'embrassant sur les lèvres. Erika est dans une situation délicate mais qu’elle assume et domine sans problème ! Elle doit trouver l'équilibre entre ce qu'elle désire faire de ce couple et conserver la complicité bienveillante de Pierre. Mais, pour le moment, c'est de Florence dont elle a envie de s'occuper.

Ce matin, Florence annonce qu'elle finira sa journée plus tôt que prévu. Evidemment, Erika y voit une belle opportunité

— Je viendrais t'attendre devant le lycée et nous irons prendre le thé à la maison, d'accord ?

— Ce serait avec plaisir, mais…

— Depuis quand, tu n'es pas d'accord avec moi, ma petite salope ?

— Excusez-moi Madame… dit Laurence en baissant les yeux.

— Florence ! Écoute-moi bien ! Ma petite salope, à partir de maintenant, tu vas m’appeler Maîtresse, compris ?

— Oui Maîtresse, j'ai compris.

— Et toi, qui es-tu ?

— Florence !

— Non, tu n'es pas Florence ! Tu es petite salope !

— Oui Maîtresse… répond Florence tête basse.

— Répète, qui es- tu ?

— Je suis petite salope.

— Très bien, je suis fière de toi. Viens que je t'embrasse !

Erika ouvre ses bras et attend immobile que Florence vienne l'embrasser. Elle hésite un peu mais elle finit par venir se coller contre Erika et souder ses lèvres aux siennes. Elle réalise qu'en fait c'est la première que c'est elle qui fait le geste d'embrasser Erika. Les autres fois, c'était toujours Erika qui prenait l’initiative. Pourquoi a-t-elle attendu si longtemps avant de faire ce geste ? Elle ne sait pas mais en frissonne de plaisir.

— Bon alors a tout à l'heure devant le lycée !

— Oui Maîtresse.

— Maintenant, pour ton hésitation à répondre directement à mon invitation, tu dois être punie, tu le sais…

Florence regarde Erika, elle se demande de quoi elle veut parler.

— Euh, oui, punie, mais comment cela ?

— Oh, simplement ! Tu te souviens de l'église… eh bien tu vas faire pareil aujourd'hui !

Florence veut protester mais elle a peur qu'Erika ne devienne encore plus exigeante. Discrètement, elle retire un string rouge, comme pour lui montrer sa passion. OK pas mal pour la passion. Elle le tend à Erika qui le porte à son nez.

— Tu es excitée petite salope ! Pourquoi es-tu excitée ? dis-moi !

Tête basse et avec une voix toute feutrée, Florence lui répond :

— Parce que vous obéir Maîtresse, faire quelque chose qui n’est pas dans la norme, mettre mon sexe à l’air en dehors de mon intimité domestique, cela me donne des frissons et me donne envie de me toucher… et même plus…

— Mais c’est que tu deviendrais addicte ! Allez file au travail ! Et pense à ta maîtresse qui t’attendra à la sortie.

***

Erika voit Florence sortir du lycée en compagnie d'une femme, certainement une de ses collègues. Mais, autant Florence est blonde et élancée, que cette femme est petite et bien en chair. Elle ne sait pas que les élèves la surnomment Madame Tonneau. Son seul atout, pense Erika, c'est cette paire de seins qui semble vouloir s'échapper du chemisier en tendant ses boutons à la limite de la rupture. Elle se demande à quoi ressemblent les cuisses cachées par la jupe longue, sûrement de beaux jambons !

Florence s'arrête en voyant Erika s'approcher.

— Je t'attendais ! dit Erika en fixant la petite grosse.

— Je te présente Marguerite ! Erika !

— Enchantée Madame, dit Marguerite.

— Moi de même, lui répond Erika qui réprime un sourire en se disant qu'en plus elle porte bien son nom.

— Et alors Florence ? Tu ne m'embrasses pas ?

— Euh, si bien sûr !

Surprise, Marguerite voit Florence partager un long baiser avec Erika.

— Mais Florence ! Et Pierre ? la questionne-t-elle.

— Pierre ! Il ne dira rien ! Pourquoi le saurait-il ? Hein ? Tu irais lui dire, Marguerite ?

— Euh non, bien sûr, dit-elle un peu gênée.

— Et puis, tu sais, Marguerite, reprend Erika. Florence fait tout ce que je lui demande. Si je le lui demande, elle te lécherait, là maintenant !

Marguerite est incrédule, elle n'imagine pas que sa collègue mariée, mère de famille, si réservée puisse faire cela. Elle tourne les yeux vers Florence qui garde les yeux baissés, en proie à un tourbillon de pensées et terrorisée.

— D'ailleurs ! ajoute Erika. Sais-tu qu'à ma demande, elle ne porte rien sous sa jupe ! Montre-nous Florence.

Sans un mot, toute rouge et ne sachant comment se comporter pour ne pas être vue de tous mais seulement de Marguerite, Florence commence à soulever sa jupe sous les yeux sidérés de son amie. Elle lui montre ses fesses et sa chatte nues.

— Tu viens prendre le thé avec nous ? Evidemment !

— C'est-à-dire que je pensais aller faire quelques courses…

Erika la regarde fixement avec de tels yeux qu’il est impossible de refuser, personne ne peut émettre une objection avec un tel regard ! Marguerite accepte donc et quelques minutes plus tard, elles s'installent toutes les trois dans le salon d'Erika.

***

— Florence ! Sers-nous !

Obéissante, Florence se rend dans la cuisine pour prendre le plateau avec les tasses.

— Elle porte la tenue adéquate pour servir, n'est-ce pas, Marguerite ?

— Euh oui, peut-être.

— Mais si regarde cette petite jupe noire, ce chemisier blanc, et ces talons noirs… une tenue de soubrette, non ?

— Oui si vous le dites.

— Enfin presque ! Il lui manque le petit tablier… Florence n'oublie pas de mettre le tablier suspendu près du frigo.

Florence le voit et, à nouveau, rouge de honte, elle le noue à sa taille avant de revenir dans le salon. Elle voit Laure boire les paroles d'Erika. Elle leur sert le thé et obéit à Erika qui lui demande de rester debout et de remonter sa jupe sur ses hanches. Elle se sent terriblement impudique et vulnérable, mais elle aime cela. Comment est-ce possible ?

Erika commence à prendre lentement l'ascendant sur Marguerite. Elle a posé sa main sur le genou de la petite brune qui instinctivement écarte ses cuisses. Quand la main remonte sur la grosse cuisse, Marguerite se mord les lèvres en respirant profondément. Puis un ordre claque.

— Florence, caresse-toi, montre-nous comment tu jouis toute seule !

Sans attendre, de peur d’être punie, Florence descend sa main entre ses cuisses et commence à se caresser. Dans le silence de la pièce, on n'entend plus que les gémissements de la blonde et les clapotis de sa chatte trempée. Excitée depuis le matin par le fait d'être nue sous sa jupe, Florence jouit rapidement sous les yeux ébahis de sa collègue et satisfaits de sa maîtresse.

Pendant qu'elle récupère, Erika raccompagne Marguerite à la porte en lui disant qu'elle avait beaucoup apprécié sa présence et qu’elle peut revenir quand elle veut. Pour la première fois depuis longtemps, Marguerite se sent bien avec une personne qui, comme son mari, ne l'a pas jugée sur son physique, même si elle se dit que cette Erika est étrange. Mais c'est avec plaisir qu'elle a noté le numéro de téléphone de cette femme qui semble être la Maîtresse de Florence.

— Tu as été merveilleuse ma chérie dit Erika, en retrouvant Florence. Je n'en attendais pas autant de ta part ! Allez viens on va prendre une douche. Tu m'as excitée, ma petite salope et je suis sûre que Marguerite, aussi, en a mouillé sa culotte.

Florence suit Erika dans la salle de bain et se laisse déshabiller. Elles entrent nues sous la douche et elles se savonnent mutuellement. Erika insiste sur la poitrine de Florence dont les tétons sont dressés et la fente brûlante.

Elle l'entraîne ensuite dans sa chambre et pour la première fois de sa vie Florence pose ses lèvres sur la chatte d'une femme. Erika la guide en lui tenant les cheveux et lui indiquant précisément comment la lécher.

Erika jouit sur le visage de Florence au moment où son téléphone sonne. C'est Pierre qui demande si Florence est toujours avec elle car personne ne répond au téléphone.

— Il est déjà si tard ! Dit Erika innocemment. Nous buvons le thé. Nous n'avons pas vu passer l'heure. Je te la rends. Elle part de la maison.

Erika donne une claque sur les fesses de Florence en lui disant de se dépêcher. Pierre s'impatiente.

Florence se rhabille sans prendre le temps de s'essuyer le visage, couvert du jus d'Erika.

Le soir, Erika profite de son donjon. En pleine séance avec Olivier, Petit Chien, son téléphone vibre. Un message de Marguerite.

"Maitresse Erika, pourrais-je vous revoir bientôt."

Sans vouloir précipiter les choses, Erika sent que le poisson est ferré ! Il faut petit à petit l’approcher de la rive et pour cela elle a de l’expérience !

Ayant attaché son “Petit chien” à la croix de Saint André, elle va entamer une conversation avec Marguerite. Elle la rappelle.

— Bien sûr, qu’est-ce qui t’amène à me contacter si rapidement ?

— C'est-à-dire que je suis très troublée par la relation que vous entretenez avec Florence.  J’ai l’impression qu’elle est très heureuse de vous obéir et je dois vous avouer, en la voyant ainsi, que cela m’a excitée ! Encore maintenant quand j’y pense. Cela me rend un peu envieuse. Mais avec mon corps, je n’ai guère d’illusion, je ne pourrai sans doute jamais vivre une telle dépendance. Surtout que mon mari est tellement attentif à moi qu’il se rendrait tout de suite compte que quelque chose a changé. Est-ce que nous pourrions parler de tout cela ensemble ?

— Il n’y a pas de problème, Marguerite, tu seras toujours bien accueillie chez moi. Et même, si tu veux, nous pourrons nous retrouver dans un café ou un salon de thé. Sens-toi libre ! On peut parler autant que tu veux et même, on peut imaginer un jeu entre nous… Pensez-y !  Tu pourras même me faire des propositions ! Allez, je te laisse profiter de ta soirée avec ton mari. A bientôt.

— Merci, Erika, je suis très heureuse que nous puissions envisager de nous retrouver.

Erika avait laissé à Marguerite l’initiative de revenir vers elle et, qui plus est, de proposer elle-même, sous forme de jeu, le début d’une dépendance ! La porte vers la soumission était ouverte à une nouvelle femme ! Le réseau s’intensifie.

Avec un grand sourire, Erika revient vers Olivier qui était attentif à ce qui se disait sans bien comprendre les enjeux de cette conversation. Elle allait le réchauffer car nu ainsi attaché, il s’était refroidi. Quelques coups de martinet ont fait l’affaire !  

mercredi 19 juin 2024

Errance au côté du Diable - 03




Le visage de Bérangère est encadré par une chevelure blonde, qui contraste avec ses yeux d'un bleu limpide. Cette combinaison de couleurs lui confère une beauté douce et angélique. Ses traits fins et délicats lui donnent un côté femme-enfant qui accentue sa fragilité et son innocence. Ses grands yeux bleus reflètent une certaine naïveté. Sa bouche aux lèvres pleines semble hésiter entre l'expression de la peur et celle du désir naissant. Frère Thomas décèle une certaine vulnérabilité dont il se délecte, mais aussi une sensualité encore contenue. Son front lisse et son nez fin achèvent de dessiner les lignes harmonieuses de son visage, lui conférant une beauté pure et presque éthérée. Cette apparence juvénile et délicate tranche avec la situation dans laquelle elle est plongée face à Frère Thomas, renforçant son sentiment de fragilité. Son visage reflète ainsi un mélange de candeur et de sensualité naissante, accentuant son aura de vulnérabilité et de soumission.

Frère Thomas croise les yeux bleus limpides de Bérangère, ils reflètent une profonde appréhension tandis qu’elle se trouve nue devant lui.

Sa silhouette élancée, d’environ un mètre soixante-dix, se dévoile dans toute sa fragilité. Ses seins ronds et fermes se soulèvent au rythme de sa respiration saccadée, ses tétons rosés pointant légèrement. Sa peau laiteuse frissonne sous le regard insistant de Frère Thomas, révélant la délicatesse de ses courbes. Sa taille fine se courbe gracieusement avant de s'élargir sur des hanches généreuses. Ses longues jambes fuselées se terminent par des pieds délicats, achevant de dessiner les lignes harmonieuses de son corps de jeune femme. Une légère toison blonde dissimule à peine son intimité, ajoutant à sa vulnérabilité face à lui.

Malgré sa pudeur évidente Bérangère se tient là, offerte incapable de dissimuler davantage sa nudité.

***

Il prend son temps, m'observe avec attention. Puis, il revient à la charge, d'un ton autoritaire.

— Tes bagues et bracelets, tu les retires, tu les poses sur le bureau !!!!

Je suis surprise par cette exigence, mais j'obéis docilement, retirant mes bijoux pour les déposer sur le meuble comme il me l'a ordonné.

— Ta chaîne aussi !!!! ajoute-t-il en la désignant d'un doigt autoritaire.

Un moment de stupeur me saisit alors. Cette chaîne avec la médaille de la Vierge m'a été offerte le jour de ma première communion par mes parents, je ne la quitte jamais. Elle a une grande valeur sentimentale à mes yeux. Malgré mon hésitation, je porte les mains derrière ma nuque pour la détacher. Poitrine offerte, je la retire avec lenteur, avant de la poser sur le bureau, rejoignant mes autres bijoux. Un sentiment profond d'abandon m'envahit alors. Retirer cette chaîne, c'est comme perdre une part de mes valeurs, de mon identité, de ma foi. Je me sens dépossédée, vulnérable face à son exigence.

Je ressens de sa part aucune compassion. Il maintient son attitude autoritaire et inflexible. Il semble tirer une forme de satisfaction de me voir me soumettre à ses ordres, malgré mon trouble évident.

Son regard posé sur moi, face à lui, je suis perdue. Si un malheur m'arrivait, personne ne saurait où je me trouve.

Il revient à la charge

— Tes mains sur la tête !!!!!!

— Comme un pantin, je lui obéis docilement. C'est lui désormais qui tire les ficelles.

Il s'approche de moi, ma poitrine lui est offerte, palpitante d'appréhension. Je n'ose croiser son regard, car jamais un homme auparavant ne m'a touchée de façon aussi intime. Je sens ses mains se rapprocher, jusqu'à saisir fermement mes seins. À ce contact à la fois ferme et doux, tout semble exploser dans ma tête en un instant. Mes valeurs, mes tabous, tout vole en éclats. C'est mon corps qui décide à ma place, je perds le contrôle. Je n'ai plus de volonté propre, c'est mon corps à présent qui mène la danse.

Cette découverte de ma sensualité et de l'éveil de mon désir me déstabilise. Je me sens envahie par des émotions contradictoires, à la fois gênée et curieuse, effrayée et fascinée par ces nouvelles sensations.

Lorsqu'il caresse délicatement mes tétons, je les sens s'éveiller, se durcir sous ses doigts.

Je ressens une montée progressive du désir, comme si mon corps tout entier était en train de fondre sous ses caresses expertes. A chaque effleurement de ses doigts cela éveille en moi une excitation de plus en plus grandissante.

Doucement, avec volupté, je m'abandonne à ses caresses.

Mais dès que je me laisse aller, il me le fait payer cher. D'un geste brusque, il saisit le bout de mes tétons entre ses doigts, les pince violemment, les tire vers le haut. Une vive douleur me traverse, par réflexe, je cherche à protéger mes seins de mes mains.

— Tes mains sur la tête !!!! Me rappelle-t-il avec violence, tout en serrant mes tétons plus fort et en accentuant la traction vers le haut. Soumise, j'obéis, remettant mes mains sur la tête. Je grimace de douleur, essayant en vain de soulager cette traction en me hissant sur la pointe des pieds. Il joue avec mes seins, alternant les tractions douloureuses et les caresses de plaisir.

Je suis complètement perdue, ballottée entre ma souffrance et ma sensualité, ne sachant plus où donner de la tête.

Je me retrouve prise dans un jeu de domination ou la douleur et le plaisir se mélangent me laissant dans un état de confusion et de soumission.

Abandonnant mes seins, sa main glisse lentement sur mon ventre, poursuivant sa descente vers mon pubis. Bien que je sois apeurée, redoutant ce contact, mon corps semble le réclamer avec ardeur. Sa main s'enfouit dans ma toison pubienne, elle enveloppe délicatement ma vulve. Ses doigts s'insinuent entre mes grandes et petites lèvres, cherchant à débusquer mon clitoris. Bien que cette main autoritaire me terrorise, je ne peux le nier elle décuple mon plaisir au centuple. Lorsque je me caresse moi-même, j'éprouve du plaisir, mais cette caresse experte semble le démultiplier, me laissant dans l'incertitude de ma réaction. Je suis partagée entre la peur et l'excitation, mon corps réagit avec une sensualité que je ne me connaissais pas. Je me sens submergée par ces sensations nouvelles, ne sachant comment y faire face.

Ses doigts caressent délicatement mon clitoris, envoyant une décharge de pur plaisir à travers tout mon corps. Mains sur la tête comme il me l'a ordonné, j'ai du mal à garder l'équilibre, tant les sensations m'enveloppent.

— Tiens-toi droite !!!!" me rappelle-t-il d'un ton autoritaire.

Je reprends la position, complètement submergée par les méandres du plaisir qui m'emportent dans un flot tumultueux. Il joue avec mon clitoris, le faisant rouler entre ses doigts experts. Je plonge mon regard bleu dans ses yeux sombres, je suis égarée, ne pouvant que lui implorer d'accepter mon pardon, de ne pas m'abandonner ainsi. Mais il n'en a que faire, continuant de jongler avec mon plaisir. Dès que je m'affaisse sous l'effet du plaisir, il relâche son étreinte, me forçant à reprendre pied tant bien que mal. Je suis complètement submergée, incapable de résister à cette vague de jouissance qui me submerge. Son contrôle absolu sur mon corps et mes réactions me laisse dans un état de confusion et de vulnérabilité totale.

Hors du temps, je suis emportée dans un tourbillon de plaisir, comme un ressac qui ne cesse de me submerger. Doucement je me noie, je perds pied, happée par un flot continue de sensations agréables.

Il me rappel à l’ordre d’une voix dure

— Tiens-toi droite !!!!!

J’obéis, complètement sonnée, je suis dans un nuage de coton mais jambes chancellent

Ses doigts caressent mon clitoris, mon corps est traversé par une décharge de plaisir. Les mains sur la tête, j’ai du mal à maintenir sur mes jambes, elles fléchissent, il me rappelle à l’ordre de son ton autoritaire.

— Tiens-toi droite !!!!!

Je reprends la position, je suis perdu dans les méandres du plaisir, celui-ci m’emporte dans un flot tumultueux. Il joue avec mon clitoris, il le fait rouler entre ses doigts. De mes yeux bleus, je croise encore son regard noir, j’ai perdu mon âme, je lui implore à nouveau d’accepter son pardon de m’abandonner ainsi.

Mais il en n’a cure, il continue de jongler avec mon plaisir, dès que je m’affaisse, il relâche son étreinte. Et moi comme un pantin j’en redemande. Je n’ai plus de morale.

Il recommence à jouer avec mon plaisir, intensifiant ses caresses. Je me sens prise au piège, incapable de résister à l'orgasme qui approche.

Depuis le plus profond de mon être, une vague de sensations dévastatrices déferle à travers mon corps, tel un tsunami.

Je ne tiens plus sur mes jambes. Je m’effondre au sol, il ne me lâche pas. Il tient ma vulve à pleine main. Il fait rouler mon clitoris entre mes lèvres. L’orgasme ne s’arrête pas.

Il l’entretien, je serre les cuisses pour garder sa main en moi.

— Je suis ton maître !!!!

— Oui, vous êtes mon maître !!!!

— Tu es ma soumise, mon esclave !!!!

— Oui je suis votre soumise, votre esclave !!!

— Tu es ma chienne !!!!

— Oui je suis votre chienne !!!!!!

J’accepte tout, même le plus abjecte, ces paroles ne font qu’amplifier mon orgasme, il me lamine je ne suis plus rien, j’explose comme un big-bang intérieur, je me volatilise, je n’existe plus !!!!

Il me lâche, doucement l’orgasme me quitte en douceur, couchée sur le sol en chien de fusil, je reprends doucement mes esprits. Il me tend la main, avec dévotion, je me mets à lécher ses doigts recouverts de mon essence intime. Un sentiment de plénitude m'envahit.

J'ai compris, au plus profond de mon être, que mon seul but désormais sera de retrouver la force et l'intensité de cet orgasme, quoi qu'il m'en coûte.

Un rempart vient de s’effondrer, je suis prête à trahir toutes mes valeurs, mes tabous pour ce plaisir.

Je suis allongée au sol, dans l'attente, n'osant sortir de mon univers de jouissance et de bonheur. Après quelques minutes, un ordre fuse soudain :

— Remets-toi debout, mains sur la tête !!!! domptée, je m'exécute docilement, me positionnant face au bureau.

Je le vois alors sortir du tiroir une poche en toile de jute. Il la pose sur le meuble, le bruit évoque celui de pièces métalliques à l'intérieur.

Il plonge sa main dans le sac en toile, il sort à ma grande surprise un collier de métal, tel un symbole d'esclavage.

— Relève ta chevelure et dégage ta nuque, m'ordonne-t-il.

J'obéis docilement, offrant ma nuque découverte. A ma grande surprise je ressens un délicieux sentiment de soumission m'envahir, je m'abandonne complètement à cet homme, à sa volonté.

Il ouvre le collier et le passe autour de mon cou. Je sens le contact froid du métal, le poids de cette servitude qui s'abat sur moi.

Il referme le collier sur mon cou avec une sorte de clef, j’entends le clic de la serrure qui confirme mon asservissement.

Pendant quelque seconde j’ai un sursaut de réalisme cela provoque en moi un profond malaise spirituel et psychologique le contraire de mes valeurs chrétienne, mais mon choix est fait le désire de me soumettre et le plus fort, j’accepte avec délice le port de ce collier.

Je fais le grand saut de l’ange, je plonge avec bonheur dans les ténèbres de l’enfer.

Il me pose également des bracelets aux poignets et aux chevilles.

A mon grand étonnement, j’ai comme un ressentiment de fierté, un sentiment de liberté, mon corps est libre de vivre ses propres désirs comme il le souhaite. Je me sens libérée du carcan religieux.

— Mets-toi genoux !!!!

Je m’exécute et je m’agenouille à ses pieds.

Il me tend son pied chaussé de sa sandale biblique.

Je me prosterne humblement, je prends délicatement son pied entre mes mains. Je me mets à le lécher avec dévotion, je réalise que plus rien ne m'appartient désormais. Je suis entièrement vouée à cet homme, je suis prête à me dissoudre dans le sol.

Soudain, je sens la pression d’une pique sur ma nuque. Il me force alors à rester prostrée à ses pieds, une sensation de soumission totale m'enveloppe.

Je reste là immobile dans toute ma nudité, une joue posée sur ses pieds, je suis heureuse et sereine de lui offrir ma soumission.

— Debout, mains sur la tête !!!! Ordonne-t-il soudain.

J'obéis aussitôt, prenant la position exigée. C'est alors que je découvre qu'il tient dans sa main une sorte de baguette fine et souple, dont je sentais la pointe sur ma nuque.

— Tête droite ! m'intime-t-il. Je sens la baguette glisser sous mon menton pour redresser ma posture.

Soudain, la baguette s'abat avec force sur ma poitrine, provoquant une vive douleur, comme une lame de rasoir. "

— AAAÏÏÏE !!!! je m'exclame,

Je reculant par réflexe pour éviter un nouveau coup.

— Reviens ici, à mes pieds !!!! me menace-t-il, brandissant sa baguette.

Apeurée, je m'exécute.

Je réalise alors avec effroi une compagne de ma soumission, que j’avais oublié, celle de la douleur !!!!

Je décèle dans son regard et sur ses lèvres une expression empreinte de sadisme, trahissant son plaisir à me voir souffrir.

Je vois arriver un second coup de baguette, cette fois sur mon ventre. Je contracte instinctivement mes abdominaux pour tenter d'encaisser le choc. Mais la douleur est vive, telle une lame de rasoir qui me cisaille l'estomac.

— AAAAARGH !!!!! Je hurle submergée par la souffrance.

— Rentre le ventre !!!!! m’ordonne-t-il.

Malgré la douleur lancinante, je m'efforce d'obéir, sentant les sanglots monter dans ma gorge.

Je suis perdu dans mes contradictions, m’infliger de la douleur, je l’acceptais, mais la subir me fait peur.

Celle-là, je ne l’ai pas vu venir, un coup de baguette plus fort et bien plaquée sur mes cuisses me rappelle à l’ordre. La douleur est cuisante.

— Tes cuisses écartée !!!!! Me demande-t-il d’un ton dur.

J’obéis, de mes yeux bleus je lui implore un peu de clémence.

— Parfait c’est la position que tu devras avoir chaque fois que l’on te demande d’avoir les mains sur la tête.

— Oui maître !!!! apeuré je lui réponds.

Dans ma tête dans un mélange d’émotion contradictoire tout s’entrechoque, le plaisir de ma soumission et cette douleur, dans quel enfer veut-il m’amener ?

Je le vois prendre un morceau de papier sur le bureau, il dégage mon front, il le plaque sur mon front, et appuis fermement je sens plusieurs fois la pression de ses doigts sur mon crâne et il retire le papier.

Je me demande ce qu’il peut bien y avoir sur ce papier.

— Voilà, maintenant tu n’es plus Bérangère, tu es le numéro 27 !!!!!! Retiens bien ce numéro !!!!

Quand il m’annonce ce nombre écrit sur mon front, j’ai comme un sentiment d’être dépouillée de mon individualité d’être réduite à un simple numéro qui me déshumanise.

Cela suscite chez moi un sentiment d’isolement, de séquestration, d’inquiétude et d’incertitude sur ce qui m’attend pour la semaine avenir.

— Tourne toi, tu poses tes mes mains sur tes chevilles !!!!!!

Je le regarde, les mains toujours sur la tête, ébahie et je ne comprends pas ce qu’il veut.

Je me prends un violent coup de baguette sur les cuisses

— AAAAARGH !!!!!

— Je t’ai dit de tourner et de poser tes mains sur les chevilles !!!!

Je réalise l'étendue de ma dégradation, je m'incline, le visage brûlant de honte, exposant à son regard les zones les plus intimes de mon intimité.

Comment ai-je pu me résoudre à une telle soumission, moi qui ai suivi avec assiduité l'enseignement du catéchisme ? Jamais je n'aurais cru me retrouver un jour dans une position si crue et offerte, face à un homme d'Église.

Je suis au plus profond de mon humiliation, je lutte mais mon corps aime ça, pour moi la partie est perdue d’avance. Mon corps attend cette main qui viendra fouiller mon intimité.

J’attends, il ne se passe rien, il doit se repaître du spectacle que je lui offre.

Une douleur violente et cuisante vient me cisailler mon entre jambe, je ne l’attendais vraiment pas celle-là. De douleur, les larmes aux yeux je me relève, protège mon sexe de mes mains.

Je le regarde surprise des larmes coule long de mes joues.

— Tes mains sur la tête, numéro 27, tu as pris du plaisir. Ici rien n’est gratuit ici en retour il va falloir en payer le prix fort.

Une peur m'envahit.

Je croise son regard, qui laisse transparaître de la méchanceté, de la cruauté, un plaisir malsain à me faire souffrir.

Je me demande où je me suis fourvoyé, que vais-je subir.

Il me passe une chaîne à mon collier et avec mes bracelets, me lie les mains dans le dos.

Il donne un coup de téléphone.

— Nous arrivons !

J’en conclus que des personnes m’attendent. Que va-t-il m’arriver ?

Il tire sur ma chaine, nous sortons de son bureau, il m’entraine dans un dédale de couloirs.