Bien après le départ de son mari, Sophie quitte le lit pour prendre son thé du matin. Elle se lève en petite nuisette.
Quand elle découvre le message d’Hervé, elle blêmit, Bernard va l’accompagner chez les gendarmes… mais elle ne peut pas faire cela. Elle se retrouve piégée par le mensonge qu’elle avait raconté au sujet de son agression. Peut-être que Bernard trouvera une solution, espère-t-elle.
Elle lit ensuite le message que Bernard vient de lui envoyer après son échange avec moi
“ma petite pute, aujourd’hui, tu dois voir le maire mais aussi Hervé m’a demandé de t’accompagner à la gendarmerie parce que tu aurais eu des problèmes ? donc aujourd’hui tu mets un string ficelle, un soutien gorge arachnéen assorti avec des pj et bas noirs par dessus un chemisier transparent et une jupe mi cuisse plissée avec escarpins 8 ou mieux 10 cm je passerai te prendre tout à l’heure”
“Oui monsieur Bernard, bien sûr”
Elle est décomposée. Cette tenue est une tenue de pute, lui dit-elle.
“n’est-ce pas ce que tu veux dire au maire ?”
Elle réfléchit à sa réponse, se souvenant de ce qu'elle avait dit quelques jours plus tôt. “Si Monsieur Bernard, c'est ce que je veux lui dire”
Elle cherche dans sa garde robe ce qui se rapproche le plus de ce que Monsieur Bernard désire. Elle trouve un string et un soutien gorge noir, elle sait qu’il va se voir sous le chemisier blanc très fin. Elle enfile cette jupe type kilt par qui lui arrive à mi-cuisse. Elle est en train de se maquiller quand elle entend le klaxon de la voiture de Bernard qui a volontairement klaxonné pour ne pas être discret. Il attend qu’elle vienne à lui pour qu’elle ait bien honte du risque d’être vue par les voisines.
Elle s'approche de la voiture de Bernard, vêtue d’un cardigan par-dessus son chemisier. Il lui ouvre la porte. Honteuse, regardant partout, elle soulève sa jupe pour s'asseoir les fesses nues sur le cuir du siège passager. Elle ne dit rien, elle ne sait pas comment révéler à Bernard qu’elle a menti à Hervé, que ce ne sont pas ses agresseurs qui ont écrit ces mots sur son corps. Elle n’a pas besoin d’aller à la gendarmerie.
Il lui dit en rigolant qu’il sait très bien que tout cela n’est que mensonge, tromperie et coucherie.
— Sophie, ma salope, on va juste déposer une main courante pour la perte de ton sac à main… honnêtement. Sac qu’on retrouvera plus tard, ayant été oublié ! Ça te va petite pute ?
— Oui Monsieur Bernard, bien sûr ! lui répond-elle soulagée.
— Tu peux fermer ton cardigan devant les gendarmes.
La déclaration se passe bien, la routine, de la paperasse. Elle passe inaperçue dans l’agitation générale. Sophie est soulagée en remerciant presque Monsieur Bernard.
— L’opération gendarmerie étant mission accomplie ma grosse cochonne tu as rendez-vous avec ton copain le maire maintenant tu sais ce que tu dois dire ?
— Oui Monsieur Bernard : je suis une pute, une salope et une chienne
— Et tu vas pouvoir le dire ?
— Heu !!!! Oui !
— Et cela te plait ?
— Oh non !
— Alors pourquoi le dire ?
— Parce que vous me le demandez !
— Et tu n’as pas envie de le dire sans obligation ?
— Non, bien sûr !
Bernard prend son téléphone :
— En es-tu sûre ?
— Non… non… oui… Oui, j’en ai envie !
— Envie de quoi ?
— J’ai envie de dire que je suis une pute, une salope et une chienne
— Pourquoi ?
— Parce que c’est ce que je suis !
— Bien salope ! Je vais d’abord entrer chez le maire et tu frapperas cinq minutes après, cardigan ouvert et tu feras l’étonnée de me voir là.
— Oui Monsieur Bernard, je frapperai cinq minutes après vous et je serai surprise de vous voir. J’ai bien compris
— Bien on arrive bientôt ! En attendant, branle toi le clito !
Elle glisse sa main entre ses cuisses bien écartées et commence à se caresser sous le string, elle a honte, mais elle est trempée. A un feu rouge, ils sont arrêtés juste à côté d’une fourgonnette.
— Ouvre la fenêtre, lui dit Bernard.
Sophie s’exécute tandis qu’il klaxonne pour attirer le regard du chauffeur.
— Montre-lui ce que tu fais ! Qu’il voit les deux bites sur tes cuisses. En le regardant et souriante !
— Mais… s'il vous plaît…
— Oui ?
— Je… je ne peux pas… c’est trop dur…
— Dépêche-toi ! Tu es quoi ?
— Je suis une pute, une salope, une chienne
Ces mots venaient maintenant instinctivement quand Bernard lui demandait ce qu’elle était.
— Plus fort que le chauffeur l’entende bien
Elle le répéta à voix forte
— JE SUIS UNE PUTE, UNE SALOPE, UNE CHIENNE !
A peine la phrase énoncée que le chauffeur le pouce levé klaxonne alors que le feu passe au vert et que Bernard démarre rapidement laissant à bonne distance la camionnette qui a calée générant de nombreux coup de klaxonne furieux. Sophie souffle, soulagée.
— Ne t’arrête pas de te branler on arrive au parking souterrain de la mairie et non sous tes reins petite grosse cochonne je ne veux pas que tu jouisses mais je veux que ta moule coule.
— Oui Monsieur Bernard elle coule.
Sophie se branle frénétiquement
— Lèche tes doigts et habitue-toi à ingurgiter de la cyprine pour me faire plaisir à gouiner !
Elle grimace un peu mais le fait.
— Oui maître… mais non… ça ne se fait pas… beurk…
— Oh que si tu vas bouffer de la moule baveuse pleine de foutre
— Je vous en prie…
— je sais mais ne me remercie pas.
Bernard garant la voiture dans le champ d’une caméra de surveillance
— Merci maître pour me faire bientôt lécher des moules pleines de foutre
— tu en rêvais n’est-ce pas ?
— Oui maître j’en rêvais… dit-elle abattue.
— je le savais vous les pouffiasses soumises vous aimez vous avilir pour jouir parce que tu es ?
—Je suis une pute, une salope, un chienne, une pouffiasse soumise.
— Et une truie !
— Oui une truie maître... une grosse truie.
— Bon, on y va ! Souris à la caméra et tu attendras à l’accueil assise jambes écartées face au visionneur des écrans toujours avec un sourire béat.
Se forçant à sourire, Sophie va s'asseoir dans les fauteuils indiqués par Bernard en gardant les cuisses bien écartées sans avoir oublié de trousser sa jupe. Elle regarde la pendule pour attendre cinq minutes, sous les regards de quelques visiteurs et ceux incrédules de la secrétaire de mairie qui ne reconnaît pas la Madame Berlon si réservée habituel et du vigile noir qui lui sourit le pouce levé.
Le maire ayant été prévenu par Bernard qu’une surprise allait lui être faite, le reçoit tout content. Après un court exposé le maire, plutôt chaud lapin, se lèche les babines. Ils conviennent de jouer l’étonnement et l’incompréhension.
— Votre rendez-vous est là !
— Faites entrer madame Berlon.
Sophie entre le cardigan ouvert, dévoilant son chemisier transparent qui par transparence laisse voir son soutien gorge noir
— Bonjour madame vous vouliez me parler d’une subvention ?
— Oui Monsieur le maire
— Cela ne vous gêne pas que monsieur Mazière reste là ?
— Non pas du tout, monsieur le maire, n’est-il pas votre adjoint ?
— Non ! Dit-il amusé. Juste un excellent ami seulement. Nous ne sommes pas vraiment du même bord. Hahaha ! N’est-ce pas, Bernard ?
— Oui c’est ça ! Je ne suis qu’un facho pour toi, le marxiste dévoyé. Hahahaha !
Sophie les écoute rigoler entre eux, se demandant quand elle va passer à la casserole, car cela ne fait aucun doute, elle connait la réputation du maire.
— C'est pour notre association culturelle, monsieur le maire, demande-t-elle timidement
— Oui, je vois ! Mais, nous avons versé une aide. Ne l'avez-vous pas reçue ?
— C’est pour les enfants, nous avons un projet pour eux, et il nous manque quelques fonds. Et… On ne veut pas en demander plus aux parents…
— Oui bien sûr ! Je comprends mais cela n’était-il pas prévisionné ? Combien vous faut-il ?
— L'idéal serait mille-cinq-cent euros, mais… avec mille, nous serions contents.
— C’est beaucoup ! Il faudrait peut-être faire un effort non ?
— Comment cela monsieur le maire ?
— Je ne sais pas, moi. Ce n’est pas moi qui demande, dit-il en fixant la poitrine de Sophie où il lui semble lire quelque chose pas très clair
— Que se passe-t-il monsieur le maire ? demande-t-elle. Vous semblez surpris.
— Absolument ! Votre demande de subvention hors budget me surprend. Je pensais que vous gériez mieux votre association.
— Vous pourrez regarder nos comptes, monsieur le maire, mais il s'agit d'une opportunité unique pour les enfants. Si nous l'avions su plus tôt nous aurions budgétiser la chose
— Bien sûr, que je peux regarder vos comptes ou autre chose…
— Oui monsieur le maire, dites-moi !
— Bon ! je vais voir si je peux ponctionner dans la réserve d’urgence. Mais enfin, c’est pas simple comme ça. Il faut que je réfléchisse en voyant mieux ce dossier ne pensez-vous pas ? A moins que vous n’ayez d'autres arguments ?
— Tous mes arguments sont devant vous, monsieur le maire…
— Je ne les vois pas bien ! N’avez-vous rien d’autre à me dire qui soit plus convaincant ?
— Que voulez-vous que je vous dise ?
— Quelque chose qui pourrait me convaincre !
— Qui je suis, par exemple ?
— Pourquoi pas, si c’est pertinent et que j’ignore de vous ?
Prenant son inspiration, Sophie ouvre complètement son chemisier puis, annonce en tournant un peu ses yeux vers Bernard :
— Je suis une pute, une salope, une chienne
— OOOOOH ! OOOOOH !
Les deux onomatopées sont sorties du fond des cœurs par les deux hommes jouant la surprise.
— Mais comment madame ? Que dites vous là ? Ce n’est pas possible dit le maire.
Bernard en rajoute :
— Que dites-vous là, Sophie ? Ce n’est pas possible !
— Oui messieurs ! Une pute, une salope, une chienne et même une pouffiasse soumise… Regardez c'est écrit sur mes nichons !
Elle est rouge, elle tremble, le chemisier grand ouvert, espérant satisfaire Bernard.
— Oh ben ça alors ! Je suis estomaqué, dit le maire. Qu'en penses tu mon ami ?
— C’est une blague ? Un stupide pari perdu ? Sophie pas vous, la bonne paroissienne !
— La bonne paroissienne qui aime sucer des bites et lécher des moules, Monsieur Bernard ! En entendant ce qu'elle dit, elle se demande si elle ne va pas trop loin.
— Tout ça pour une subvention de mille euros, dit le maire. Et pour mille-cinq-cent, quelle est la prime ?
Sophie regarde tour à tour le maire et Bernard, ajoutant, désespérée.
— Ce que vous voudrez Monsieur le maire… ma chatte de pute, de chienne, de salope.
— On peut toucher ?
— Oui bien sûr venez tâter la marchandise !
— Et vous aimez ça ?
— Oui monsieur le maire, j'aime ça ! Je suis faite pour ça…
Sophie est complètement entrée dans le jeu et dans le personnage que Bernard exige qu'elle soit. Ne réalisant pas vraiment les implications de ses propos.
Le maire appuie sur l’interphone :
— Jacqueline pouvez-vous venir m’aider ?
Sophie regarde Jacqueline entrer, une grande brune, fine aux cheveux longs en tailleur qui la toise derrière ses lunettes. Elle reste immobile le chemisier ouvert et lui sourit.
— Jacqueline voulez-vous bien débarrasser madame Berlon de ces superflus vestimentaires. Qu’elle nous montre ses appâts si cela ne vous gêne pas madame Berlon ?
— Non bien sûr… dit Sophie, ça ne me gêne pas.
— Et ça vous excite ?
— Oui ça m'excite, monsieur le maire.
— Pouvez-vous vérifier Jacqueline ?
Jacqueline récupère les vêtements de Sophie et les pose sur un fauteuil puis revient devant elle qui est juste vêtue de ses sous-vêtements. Elle effleure la somptueuse poitrine, en lui demandant ce qui est écrit dessus
— SALOPE ! il est écrit salope !
Elle écarte les bonnets pour dévoiler les seins, exposant les mots “Salope” sur chaque globe.
— Mais, c’est vrai ! Regardez messieurs ! Dit Jacqueline, tout en pinçant les tétons qu’elle fait rouler entre son pouce et son index.
Sophie pousse un gémissement et se cambre son téton pointe.
— Au fait, Jacqueline ! Annulez mes prochains rendez-vous !
Complice comme jamais, la secrétaire emmène Sophie dans son bureau mitoyen pour exécuter cette demande. Elle sait que son bureau est vitré sur le couloir et que cela va humilier la pauvrette. Elle pense plaire au maire ainsi.
Sophie suit la secrétaire, juste vêtue de son string et de ses bas avec le porte-jarretelles. Elle reste tête basse, humiliée mais excitée. Elle espère que Bernard est satisfait de sa prestation.
Il ne faut que quelques minutes à Jacqueline pour annuler les derniers rendez-vous. Mais ce temps semble être une éternité pour Sophie qui a découvert la cloison vitrée. Elle reste immobile, pour ne pas attirer l'attention et demeurer invisible.
Pendant ce temps, le maire remercie Bernard de cette super surprise lui demandant jusqu’où il peut aller. La réponse de Bernard reste sibylline en lui disant simplement de se faire plaisir.
***
— Venez vous faire plaisir, la grosse ! Dit Jacqueline en retournant vers le bureau du maire.
— Voilà monsieur le maire ! vous êtes libre pour un bon moment, dit la secrétaire. Si vous avez besoin de moi, je suis disponible monsieur le maire.
— Oui ! Restez encore un peu pour nous dire ce que l’on peut voir sans détour et vérifier son entre jambe… autrement appelé madame Berlon ?
— Chatte, moule, con, cramouille…
— Pas mal ! Et… Jacqueline qu’avez-vous découvert de plus intéressant sur cette gentille personne ? Au-dessus des bas par exemple, ou sous ce string ?
— Je vois deux bites sur les cuisses et PUTE sous le string, répond Jacqueline.
— Des bites ? Mais pourquoi madame Berlon ?
— Pour montrer que je suis une femme a bites, monsieur le maire.
— Vous m’en direz tant comme vous cachez bien votre jeu, grosse … ?
— Vous voulez dire grosse vache ?
— C’est vous qui lui dites. En quoi les bi…. enfin, vous voyez, vous intéressent-elle
— Pour les sucer, pour être baisée, pour être enculée, monsieur le maire.
Pendant ce temps, Jacqueline glisse son doigt dans la fente après avoir retiré le string et vient griffer le clitoris de Sophie de son ongle manucure.
— Mais c’est parfait cela n’est-ce pas Bernard
— Oui je te comprends mais je ne mange pas de ce pain là, moi ! je suis fidèle si Hervé savait ça !
— Le sait-il ?
— Non il ne sait rien, monsieur le maire.
— Il en serait désespéré, dit Jacqueline. Je devrais aller le consoler…
— Et pourquoi le pauvre, dit le maire goguenard ?
— Il n'a pas de chance d'avoir une femme comme elle… dit Jacqueline. Il est si gentil. Il ne mérite pas ça.
— Je vous en supplie ne lui dites rien, je ferai tout ce que vous voudrez, supplie Sophie.
— TOUT ! C’est sûr ? dit le maire
— Oui monsieur le maire, tout…
— Alors tu peux sucer le doigt de Jacqueline qui sort de ta…
— Oui, monsieur le maire, dit Sophie au bord des larmes. Je peux lécher le doigt de Jacqueline qui sort de ma chatte.
— On dit Madame Jacqueline, pouffiasse ! lui dit le maire avec une claque sur les fesses.
— Oui je peux lécher le doigt de Madame Jacqueline.
Jacqueline demande du regard l'approbation de l’édile avant de continuer
— Et tu en veux encore, grosse salope ?
— Oui Madame Jacqueline ?
Cette dernière lui fourrage la foufoune baveuse pour lui faire lécher ses doigts mouillés.
— Tu aimes ça putasse
— Oui, Madame Jacqueline, j'aime ça !
— Tu aimes la cyprine n’est-ce pas ?
— Oui, j’aime la cyprine Madame Jacqueline
— Et tu aime les queues
— Oui, j’aime les queues Madame Jacqueline
— Alors, tu vas me lécher si monsieur le maire et son ami sont d’accord pendant qu’il te tringlera, ça te plait ?
— Oh oui Madame Jacqueline, ça me plaît de vous lécher pendant que Monsieur le maire va me tringler, comme une pute, une salope, une chienne !
Tout en relevant sa jupe, dévoilant un pubis glabre, Jacqueline s'appuie sur le bureau du maire en lui demandant si elle avait vu le vigile.
— Oui Madame Jacqueline je l’ai vu, bien sûr !
— Et tu en as envie, car il a une grosse bite !
— Non… pas le vigile… s’il vous plaît !
— Tu n’es pas une pute alors ?
— Si Madame Jacqueline… je le suis.
— Tu es quoi ?
— Une pute Madame Jacqueline !
— Alors tu as envie de la bite du vigile Bonaventure !
— Oui Madame Jacqueline, j’ai envie de la bite de Monsieur Bonaventure.
— C’est entendu on va y pourvoir. En attendant, sort la queue de mon patron ! Prends-la en bouche ! Puis vient me lécher la cramouille !
Sophie ouvre le pantalon du maire à genoux et commence à le lécher. Avec application, elle lui masse les couilles aussi. Le sexe grossit dans sa bouche baveuse. Puis, elle est positionnée la tête entre les cuisses de la secrétaire alors que le maire pénètre sa moule ouverte. Sophie espérant bien faire, sort sa langue et commence à lécher, passant sa langue entre les lèvres, elle goûte à cette cyprine salée. Elle sent deux mains s’emparer de ses mamelles alors qu’elle est fourragée. Elle voit horrifiée Bernard avec son téléphone. Elle est piégée, elle tombe de plus en plus bas… il ne faut pas que cela arrive aux oreilles d'Hervé, surtout avec cette Jacqueline. Le maire pour s’exciter encore plus lui dit que Bonaventure à une grosse queue qui lui pétera le cul.
Sophie entend Jacqueline gémir et répond à son patron qu’elle boira tout le foutre du vigile, pendant que son visage se couvre de la mouille de la secrétaire. Elle ne sait plus où elle en est, elle agit mécaniquement. Les mouvements du maire se font plus profond dans sa chatte, le plaisir monte mais semble rester bloqué, Sophie gémit. Elle ressent une sorte de frustration.
Puis le maire grogne et jouit dans sa chatte quand Jacqueline se demande si deux aussi grosses mamelles ça doit donner du lait, non ? Les protagonistes rient aux éclats alors que le maire demande à être nettoyé.
Sophie humiliée se retourne et nettoie le sexe du maire avec sa bouche.
Jacqueline en profitant pour introduire un stylo feutre dans l’anus de Sophie qui se cambre. La secrétaire perverse met une feuille A3 parterre et ordonne à la malheureuse d’écrire pute avec le feutre dans le cul.
Humiliée, Sophie s'accroupit. Elle sent le foutre du maire couler entre ses cuisses et tente d'écrire en remuant son cul. Elle est anéantie quand elle voit sur l’écran du mur s’afficher son exercice filmé avec la webcam du maire reliée au système vidéo
Elle réalise qu'elle a perdu toute dignité, qu'elle accepte tout. La secrétaire vicieuse lui dit :
— Tu veux que j'envoie la liaison sur tous les postes de la mairie et aussi dans la ville ma grosse truie ????
— Non madame Jacqueline, je vous en prie…
— Alors tu vas appeler le vigile et tu lui demanderas de boire son foutre. Tiens ! Voila le téléphone !
— Oui Madame Jacqueline !
Elle prend le combiné toujours accroupie essayant d’écrire
— A… a… allo ? monsieur Bonaventure, s’il vous plait pouvez-vous venir dans le bureau du maire pour m’offrir à boire votre jus de mâle ?
Elle n’a écrit qu’un P et un U informe mais elle continue, complètement déconnectée de la réalité mais le corps en feu, les tétons durs et la chatte en feu. Bernard filme toujours quand le black arrive.
— Salut “Bona” dit le maire. S’il te plait rend service à cette bourgeoise qui meurt de soif, n’est-ce pas madame Berlon ?
— Oui monsieur le maire, j’ai soif !
— Soif de quoi ?
— J’ai soif de foutre, monsieur le maire.
Bernard filme la déchéance de sa voisine. Il se demande jusqu'où elle peut descendre alors que le vigile sort son sexe devant Sophie toujours accroupie avec le feutre dans le cul. Il lui caresse le visage avec sa queue à moitié dressée.
— Elle te plait ma mentule ?
— Moi j’ai bien aimé voir ta chatte à l’accueil
— Oui elle me plaît… j'ai envie de la sucer, de la sentir dans mon cul…
— Pour le cul ça se mérite, pour le moment c’est ta bouche.
— Tu lui offriras ton cul une autre fois d’accord ?
— Oui si vous voulez… une autre fois pour mon cul…
Elle ouvre la bouche et commence à lécher. Ce sexe est énorme. La rumeur sur les sexes des noirs est donc vraie, pense-t-elle. Elle l'embouche, il lui remplit vite la bouche. Le vigile lui tient la tête, il force sa bouche, elle bave. C’est lui qui impose les mouvements, le rythme, la profondeur, il baise sa bouche comme il baisera sa chatte. Le feutre continue de gribouiller la feuille.
Jacqueline vient lui pincer le clitoris, l'étirer, le rouler.
Le maire fouille dans son bureau en cherchant deux pinces presse-papier qu’il trouve
Sophie gémit, pleure. Elle n’est plus qu'une poupée entre leurs mains. Les pinces sont posées sur ses tétons la faisant sursauter, jamais elle n'a ressenti une telle douleur dans sa poitrine. Elle regarde vers Bernard affolée, mais la chaleur dans son ventre augmente. Sa chatte dégouline et quand Bonaventure jouit, un orgasme gigantesque la submerge. Elle s'effondre sur le sol, telle une grosse limace. Le maire, se masturbant, vient éjaculer sur son visage hagard souillant ses cheveux. Sophie tremble en état de choc recroquevillé sur le sol.
— Alors vide-couille tu n’as pas fini d’écrire ! Tu es une mauvaise fille ! Allez, rends le stylo !
— Oui Madame Jacqueline, dit-elle.
Sophie pousse un peu et le stylo sort de son cul et tombe sur le sol. Jacqueline le ramasse et demande à Sophie de le nettoyer. Anéantie, elle porte à sa bouche ce stylo pas très propre, tandis que du sperme lui coule sur les joues et que Jacqueline la prend en photo.
— Il t’a plu notre vigile ? il a bon goût ?
— Oui merci il a bon goût.
— Alors, que demandes-tu ?
Elle la regarde trop hébétée pour comprendre.
— Tu en voudras ?
— Oui Madame Jacqueline, oui monsieur le maire, j'en voudrais à nouveau.
— Qu’en penses-tu Bona ?
— Je préfère les femmes plus minces mais pour une bourgeoise, elle ne suce pas trop mal. Mais, si elle me lèche le cul cela pourrait se faire !
Sophie regarde ses tortionnaires, effrayée.
— Alors, tu as compris madame Berlon ? Dit le maire.
— Oui, j'ai compris… je vais vous lécher le cul Monsieur Bonaventure.
— Ah ! Quand même ! J’ai cru avoir affaire à une raciste.
— Non, Monsieur Bonaventure.
— Alors, tu as envie de me lécher le cul ?
— Oui Monsieur Bonaventure, j'ai envie de vous lécher le cul.
— Bien, allonge toi sur le dos !
Sophie obéit et s'allonge sur le dos, sur le parquet froid de cette salle. Le vigile vient s’accroupir sur son visage et lui-même, il lui suce le clitoris. Elle grimace. Elle voit l'anus du grand black au-dessus de son visage. Elle sort sa langue et commence à lécher, sentant la langue du noir sur son bouton. Alors que Jacqueline la pénètre avec une gode que lui a donné le maire.
Sophie se cambre, elle n'a plus la force de crier, de gémir, elle sent le gode lui dilater les chairs.
Bernard filme Jacqueline qui la masturbe alors que son clitoris est tout dur bien bandé, que ses tétons pincés sont érigés et qu’elle lèche l’orifice anal noir ne sachant plus ou elle en est. Son cerveau est hors service mais tout son corps est en tension. Ses seins lui font mal, son ventre a des picotements en sentant un nouvel orgasme arriver.
Elle jouit une nouvelle fois, tremblante. Le corps luisant de sueur, souillée de sperme et de mouille de Jacqueline.
— Bon ! ’est pas que je m’ennuie, dit Bernard. Mais je dois m’en aller. J’ai été très surpris Sophie de votre attitude, mais monsieur le maire, vous avez de la chance, enfin disons que tu as le bonheur d’avoir une bénévole dévouée, donnant fortement de sa personne pour une association municipale. Ce don de soi, démontrant une femme prête à tout pour le bien de la commune mérite un effort et une reconnaissance mon cher, avec une subvention de deux-mille euros, non ?
— Tu n’as pas tort mon ami, un tel dévouement mérite bien cela, j’avoue.
Sophie les écoute parler sans comprendre ce qu'il se passe, elle tremble toujours, incapable de se relever, voire même de parler
— Jacqueline, vu que le temps a passé et que la mairie est fermée, donnez ses habits à Bonaventure qui va la raccompagner pour la faire sortir. Par contre je garde en trophée le soutien gorge et le string.
— Oui bien sûr, Monsieur le maire.
Jacqueline ramasse le chemiser et la jupe de Sophie qu'elle donne au vigile. Comme un zombie, Sophie le suit à travers la mairie déserte. Ses nichons se balancent tandis que le vigile lui claque à l’occasion les fesses, amusé de voir sa graisse remuer.
Bernard quitte le maire en lui disant qu’il ignorait tous les talents de sa secrétaire qui peuvent être intéressants. L’édile en rigolant lui dit, qu’il ne peut pas tout savoir et que lui aussi pourrait le surprendre. Le cardigan récupéré, Bernard part pour retrouver Bonaventure roulant une belle à Sophie alors qu’elle remet son chemiser et sa jupe.
Bonaventure lui claque le cul en lui disant :
— A bientôt ma cochonne, je dois fermer la mairie avant de rentrer voir ma femme…
Bernard et Sophie rejoignent le parking. Dans la voiture, Bernard la félicite pour le gain des deux-mille euros de subvention
— Tu en es contente je suppose ?
— Oui, Monsieur Bernard, merci de m'avoir ainsi introduite auprès du maire…
— Ça t'as plus de t'investir autant pour défendre ton association ?
— Oui, Monsieur Bernard.
— Elle t’a plu la queue du vigile ! J’ai vu tes yeux pétiller.
— Oh oui, elle m'a plu, merci Monsieur Bernard.
— Tu as vu que le système de la mairie t’a filmée, comme Jacqueline. Tu en es fière ! tu deviens une star. Tu te rends compte, si cela avait été diffusé sur tous les panneaux lumineux de la ville ?
— Oui Monsieur Bernard je le sais… non il ne le faudrait pas…
— Donc ? qu'est ce qu’il te reste à faire ?
— Je ferais tout ce que vous voudrez Monsieur Bernard.
— Mais ma pauvre grosse pute moi je n’y peux plus rien, alors ?
— Comment ça ?
— Qui peut diffuser ça ?
— Madame Jacqueline !
— Et ?
— Monsieur le maire, Monsieur Bonaventure !
— Alors, ça implique quoi ?
— Que je ferais ce qu'ils veulent aussi !
— Je vois que tu comprends parce que tu es ?
— Je suis, une pute, une salope, une chienne, une truie, une pouffiasse, une grosse vache et un vide-couilles.
— Bon voilà on est arrivé devant chez toi. Je te libère. Rentre chez toi !
— Merci Monsieur Bernard.
En franchissant la porte, Sophie s'effondre en larmes, choquée. Jusqu'où Bernard va l'entraîner dans la déchéance ? Et Hervé, que dirait- il dire comment réagirait-il, s'il apprenait tout cela ? Elle lui dirait qu'elle n'y est pour rien que c'est Monsieur Bernard qui l'oblige. Elle n'a pas le choix. Mais pourquoi s'est-elle endormie sur son transat l'autre jour en laissant sa culotte visible ? En fait si, c'est de sa faute. Elle le réalise. Elle est vraiment une pute, une salope.
Elle plonge dans un bain pour se laver, pour nettoyer tout ce sperme et cette mouille qu'elle a reçu sur elle et en elle.
Elle se rhabille en prenant une nouvelle culotte et un nouveau soutien gorge, d'ailleurs a ce rythme, elle n'aura bientôt plus de culotte. Elle remet son chemisier et sa jupe, sans manger, elle n'a pas faim, allume son ordinateur pour travailler.
cette partie a une mauvaise mise en page, les lignes sortent du cadre. Et le lien vers la 8ème partie ne fonctionne pas
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