A sept heures trente, j'ouvre le portail des
Mazière et j’attends près de la voiture de Marie-Catherine qui sort, pas très
rassurée, dans un imperméable couvrant un chemisier rose léger avec trois
boutons défaits et une jupe courte noire. Dessous, elle porte comme elle me l’a
dit par message un ensemble La Perla azur avec string, porte jarretelles et bas
chamois.
Je souris en la découvrant vêtue ainsi, je suis
déçu de ne pas pouvoir profiter de ses charmes, par manque de temps. Je me
rattraperai ce soir. Mais, je dois bien pouvoir me faire sucer.
— Tu
es ravissante ma salope… tu me fais bander !
— Heu..
Merci maître !
— Bien !
Peut-être que tu pourrais me tailler une pipe pendant que je te parle… Tu es
capable de faire deux choses à la fois ? Tu n'es pas idiote à ce point.
— Ici ?
Maître, on pourrait me voir
— Tu
veux le faire devant Bernard ? D'ailleurs ce que j'ai à te dire le
concerne aussi...
— Non,
bien sûr maître mais Ménard en face peut voir. Ou alors, de l’autre côté de la
voiture ?
— Tu
n'as pas tort ! Je n'ai pas forcément envie qu'il me voit être sucé par
une salope comme toi…
— Mais…
Heu, oui merci…
— Tu
vas être sur les graviers…
— Je
vais m’accroupir pour ne pas filer mes bas, si vous permettez, maître !
— Comme
une bonne chienne, oui !
— Oui
maître, comme une bonne chienne !
— Au
fait, comment va ton cul après le routier ?
— Ça
va, maître, avec un peu de crème apaisante.
— Bien !
On pourra recommencer alors ?
— C’est
vous le maître !
Je souris et ouvre mon pantalon. De suite, elle
saisit la bite, la masturbe un peu et l’embouche pour aller le plus vite
possible.
— Tu
es prête à m'écouter ?
Lâchant le phallus, elle répond “oui” et le
renfourne.
— Bien,
tu sais que j'ai des photos de toi que je peux diffuser si tu ne m'obéis
pas ?
— Oui ?
— Cela
te concerne toi et Bernard…
Je vois l’air interrogatif, curieux, intrigué
qu’elle a tout en continuant de me sucer.
— Je
lui ai demandé un petit service s'il ne voulait pas que je diffuse certaines
photos à votre fille et au curé… mais il paraît que tu es très jalouse de ton
Bernard, donc il ne voulait pas… J'ai dû insister.
Elle abandonne un court instant le sexe dur et me
regarde.
— Queue
voulez vous dire, maître ?
— Je
lui ai demandé de s'occuper de Sophie… mais de ne pas lui dire que je suis
derrière cette manigance… tu comprends ?
— Oui
je comprends mais je ne veux pas qu’il… qu’il… enfin vous voyez maître… c’est
trop dur !
— Rassures-toi,
il m’a bien expliqué la situation. Il ne la baisera pas, enfin pas directement…
— Je
ne comprend pas, maître !
— Il
va s'occuper de son éducation pour en faire une chienne comme toi… et même peut
être plus encore…
— Sans
en profiter lui-même, j’espère. Je comprends.
— C’est
ce qu'il m'a promis, par respect pour toi.
Elle reprend la queue relativement rassurée malgré
la situation de chantage dans lequel ils se trouvent.
— Tu
t’occuperas de lui quand il en aura besoin… et s'il requiert ton aide pour
Sophie, tu la lui apporteras !
Elle hoche sa tête tout en pompant ce priape
majestueux.
— Je
lui ai donné carte blanche, il peut faire ce qu’il veut avec Sophie, tu
comprends ? Mais je sais qu’il ne la baisera pas…
Elle o… pine de la tête sans lâcher la bite qui lui
remplit la bouche.
— Donc
pas un mot de notre marché à Sophie, sinon…
— Oui…
Oui Maître !...
— Salut
Hervé ! lance Ménard de l’autre côté de la rue, tout en sortant une poubelle.
— Salut
Frédéric ! Tu vas bien ?
Je plaque la tête de Marie-Catherine contre mon
ventre, il n'est pas question que Ménard voit ce qu'il est en train de se
passer. Il est encore trop tôt.
— Oui
et toi ? me demande-t-il.
— Très
bien, ma voiture est toujours en panne, je venais voir si je pouvais emprunter
celle de Marie-Catherine, ou si elle pouvait m'emmener à la gare ?
— Ah
bien ! Comment va-t-elle ?
— Elle
a l'air d'aller…
— Tu
l'attends ?
— J'attends
qu'elle ait fini de me pomper le poireau !
— Hahahaha !
Tu es un comique toi ! Comment tu parles de la voisine ! A mourir de
rire si elle t’entendait…
— Oh,
mais elle m'entend, je vais lui garnir la bouche de jus de mâle…
— Ah !
Hahah… oui, comme le ptopoche hihihih !
— Viens
voir si tu ne me crois pas !
— Noon…
Nonon… Maître pas ça ! S’il vous plaît ! me supplie Marie-Catherine.
— Approche
! Je t'assure… tu ne vas pas être déçu.
Circonspect, autant intrigué que curieux avec tout
ce qui se passe en ce moment, il traverse la rue et entre s’approchant de la
voiture.
—
Ne réveille pas le voisinage en criant… lui dis-je en mettant mon doigt
sur ma bouche.
Frédéric s'approche, contourne la voiture et reste
médusé, complètement scotché.
— Elle
te sucera si tu veux, quand elle m'aura conduit à la gare. N'est ce pas ma
salope ?
— Oh…
oho… snif… oui maître !
— Mais
ce ne sera pas gratuit…
— Pardon ?
dit le voisin parfaitement décontenancé...
— Elle
te sucera aussi souvent que tu le veux après m'avoir demandé l'autorisation,
mais tu devras me trouver une compensation.
En disant cela, je préviens Marie-Catherine que je
veux jouir sur son visage. Elle se recule et mon sperme jaillit en plusieurs
jets. Ménard reste coi devant un tel spectacle.
— Bien,
il est temps de me conduire à la gare, dis-je. Et toi Frédéric, décide-toi si
tu veux une pipe à son retour… sinon tu as mon numéro… D'ailleurs tu ne m'as
pas répondu pour la photo d'hier soir.
— Oui !
Bien sûr que je veux une pipe. Quant à la photo je ne sais plus ! Avec ce
que tu m’as dit sur flopotoch.
— Je
t'expliquerai plus tard, lui dis-je en souriant. Puis en regardant ma voisine.
Marie-Catherine ! On y va ! dis-je en montant à mon tour dans la
voiture et lui montrant ma montre.
— Puis-je
m’essuyer, maître ?
— Pourquoi
tu es belle comme cela, n’est-ce pas Frédéric ? Et retire ton imper avant
de monter en voiture… Donne-le à Frédéric, il te le rendra quand tu seras de
retour.
— Effectivement
cela fait un beau maquillage, dit-il en prenant l’imperméable.
— Oh
oui ! Bien maître ! répond-elle après avoir donné son imperméable et
se trousser pour s’asseoir au volant sous les sifflements approbateurs du
voisin.
— Dépêche-toi,
je ne veux pas rater mon train… Frédéric, tu auras ta pipe à son retour…
***
Elle recule et sort la voiture du jardin pour filer
à la gare. Elle me déteste. Je le sens quand je pose ma main sur sa cuisse à la
limite des bas.
— Tu
ne me remercie pas de t'offrir le bon jus de ton voisin ?
— Snif !
Si… Si merci maître !
— Et
tu as compris pour Sophie ? Répète-moi !
— Oui
maître j’ai compris que mon mari doit l’éduquer pour devenir une soumise et
qu’il faudra peut-être que je l’aide, maître…
— Très
bien ! Je compte sur toi…
— Je
ferai de mon mieux maître.
— Je
te fais confiance… et es-tu contente de sucer Frédéric ?
— Heu,
no… non maître !
— Mais
tu le feras quand même, n’est ce pas ?
— Ai-je
le choix ? Oui, je le ferai. Comment faire autrement, maître ?
— Bien…
je saurais te récompenser. Mais, rassure-toi, je ne l’aime pas plus que toi ce
Frédéric, avec son air supérieur.
— Mais,
ça vous excite de m’humilier…
— Oui,
cela m'excite et tu es excitée aussi. Tu en mouilles, d'ailleurs
— Oh
oui ! C’est horrible !
— Sois
à l'heure ce soir… je te promet de m'occuper de toi… Une dernière question
avant que je parte ma salope !
— Oui ???
me questionne-t-elle mi surprise, mi inquiète.
— As
tu déjà fait l'amour avec une femme ?
— Ah
non maître ! ça ne se fait pas !
— Et
si je te l'ordonne ?
— Aurais-je
le choix, maître ?
— Peut-être…
— Comment ?
Alors si je peux ne pas faire ça, je ne le ferai pas !
— Tu
le feras avec une seule… et c'est tout.
— Ah
bien, maître !
— Tu
es contente ?
— Oui
maître merci.
— Tu
le feras avec Sophie…
— Si
vous voulez maître.
— J’en
parlerai à Bernard.
— Devrai-je
nettoyer sa ch… chatte pleine de de fou… ?
— Et
son cul aussi, bien sûr…
— Ooh !
No… Non !
— Tu
aimes ça le foutre pourtant, non ?
— Pas
vraiment maître ! mais s’il le faut…
— Sinon,
ce sera le martinet !
— Et
je me doute que ce sera les deux… Snif… je sais… je connais,
malheureusement !
— Bien
à ce soir ma salope… rentre bien…
— Oui,
à ce soir maître !
Alors que je sors de la voiture pour aller prendre
mon train, je fixe ma voisine dont le regard trahit son trouble et sa crainte.
— Viens
m’embrasser ma pute !
Marie-Catherine descend de la voiture pour
m’embrasser. Elle se colle contre moi et passe ses mains autour de mon cou. Je
caresse ses fesses sous sa jupe avant de partir, constatant sa fente très
humide. Même si elle n’aime pas ça, elle roule sa langue dans la bouche de son
maître chanteur
— Bonne
journée ma pute.
— Merci
maître !
Je l'aperçois se trousser pour s'asseoir dans la
voiture afin de rentrer pour sucer l’abominable monsieur Ménard.
Je lui envoie d'ailleurs un message qui je pense,
non j'en suis sur, plaira à Bernard.
“Frédéric,
pour ta pipe par notre voisine. Tu lui demanderas de te la faire à côté de sa
voiture, dans son jardin”
***
Quand je suis installé dans le train, j’envoie un
message ma femme.
“Bernard
t’accompagnera chez les gendarmes. Bonne journée. Bisous ma chérie.”
Puis j'écris à Bernard pour lui relater ma
discussion avec son épouse.
Alea jacta est, me dis-je.
Bernard acquiesce en me demandant plus de précision
sur les horaires de la gendarmerie et de la mairie et pourquoi voit-il
Marie-Catherine sucer Ménard derrière la voiture ?
Je lui donne ces horaires et je lui explique que sa
femme suce le voisin à ma demande.
“génial,
j’aime voir, en bon voyeur” me répond-il.
“Je le sais,
c'est pour cela que je lui ai dit de faire cela dans votre jardin, et au fait…
j'aimerai que tu apprennes à Sophie à faire l’amour aux femmes aussi.”
“pas de
problème”
“Je compte
sur toi”