Pour être sûr que Marie-Catherine mange comme je lui ai demandé, c'est-à-dire nue, à quatre pattes sur le sol et sans couvert, j’ai exigé qu’elle soit en visio pendant son repas. Je sais qu’elle n’apprécie pas du tout cela. Elle se sent humiliée et voudrait refuser mais je la tiens. Elle me dit que je suis un beau salaud qui se la joue gentil mari !
“Pauvre Sophie ! Lui cède-t-elle aussi ?” pense-t-elle.
— Tu mouilles ma salope ?
— Non maître, refuse-t-elle de m’avouer.
— Vérifie…
— Non !
— Tant pis… Le père Anatole sera sûrement content de voir tes photos…
— Pas cap ! me répond-elle bravache.
— Je rajoute ta fille en copie ? Monsieur Raffalli ?
— Vous n’oseriez pas quand même ?
— Monsieur Ménard, même ? Il doit se demander à qui sont les culottes qu'il a retrouvées dans sa boîte aux lettres.
Marie-Catherine hésite, tremblante et peureuse mais elle tente le jackpot en disant “chiche !” Je lui envoie une photo de la veille dans la carrière, avec l'inconnu qui la baise.
— Même pas peur ! me répond-elle
La tension est extrême, elle ne veut plus céder.
— A trois ! Je l 'envoie à ces messieurs…
— Un….
— Je m’en moque
— Deux…
Je prends mon tel et me prépare à appuyer sur envoi. Je vois bien à son regard qu’elle se dit que je bluffe et que je ne peux pas me permettre de le faire car ces gens connaissent mon numéro de téléphone. L’annonce que je lui fais devrait la faire céder.
— Au fait ! Avant d'arriver à trois, je dois te dire que ce téléphone est une autre ligne que ma ligne habituelle. Personne ne saura qui en est l'expéditeur… Comment pourrais je te le montrer étant en visio avec toi.
Elle serre les dents en me disant qu’elle ne me croit pas mais je perçois le doute dans son regard.
— Tu vois, j'ai deux téléphones, insisté-je.
— NOOON
— Alors ?
— Non ! Noon !
— Prends un kleenex et passe le sur ta fente de pute
— NON
— Tans pis pour toi, j'envoie !
— J’y crois pas !
***
Quelques minutes plus tard, elle entend la sonnette de son portail. A genoux dans la cuisine, elle ne peut pas voir son voisin Monsieur Ménard qui vient de recevoir une étrange photo.
— Maître ! Puis-je me couvrir ! On sonne au portail.
— Le mérites-tu ?
— S’il vous plaît, maître !
— Fais ce que je demande !
J’entends la sonnette retentir et Marie-Catherine se redresse. Elle voit son voisin qui franchit le portillon et s’avance vers la maison.
— Pitié maître !
— Essuie toi la chatte et montre moi le mouchoir…
— Oui maître !
Elle finit par céder et elle s’exécute rapidement en montrant le mouchoir taché de sa mouille.
— Pourquoi le mouchoir est sale ?
— Oh, oh, oh ! je… je mouille !
— Tu mouilles comme une ?
J’entends Ménard tambouriner à la porte et l’appeler.
— Oh… Une pute, maître !
— Parce que tu es une pute ?
— Oui, maître ! Oui, je suis une pute ! Il frappe puis-je me couvrir svp ?
— Juste ton chemisier, il couvre tes fesses et ta chatte de chienne je crois.
— Oh seulement ? Heu… oui… d’accord maître !
— Bien couvre toi et va ouvrir…
— Bien maître ! Je laisse la vidéo ?
— Tu peux couper, je dois retourner travailler ! Et, ce soir, 17h30 à la gare, en tenue, compris !
— Je vais ouvrir. Bien, je coupe !
***
Marie-Catherine arrive à convaincre son voisin que la photo qu’il a reçue est un montage même si sa tenue l’interpelle. Elle lui rappelle qu’il fait chaud et qu’elle vient juste de profiter de la piscine. Ménard sort en marmonnant que cela est bien étrange tout de même. Quand elle se retrouve seule, elle pousse un gros soupir avant d’éclater en sanglots.
Bernard rentre de son déjeuner le sourire jusqu'au oreilles quand il voit les yeux encore gonflés de larmes de Marie-Catherine. Il m’appelle pour venir aux nouvelles.
— Allo Hervé, je viens de rentrer et Marie-Catherine est en larmes que s’est il passé ? Me demande-t-il.
— Elle a refusé d'obéir à un ordre simple et que j'ai dû sévir.
— Comment ?
Je lui envoie la photo que j’ai envoyée à Ménard et que j’ai menacé de l'envoyer à Monsieur Raffalli, le père Anatole et leur fille.
— Bon ! Mais s’il te plaît, contente-toi de cet interlocuteur, c'est parfait ! Et cela doit être suffisamment efficace, me semble-t-il d’autant que tu l’as menacée avec les autres. Il faudra que je répare ça ! Mais pas ma fille ni le curé. Par contre pour Raffalli, si tu veux…
— Ne t’inquiète pas, c'est comme avec la bombe atomique, le fait de l'avoir dissuadé…
— Je ne connais pas ce Suadé ni ce qu’il a dit Suadé mais tu peux lui envoyer la photo hihihi
— Je ferais oui…
— Au fait Bernard, elle vient me chercher à 17h30. As-tu besoin de temps avec Sophie ce soir ?
— Non pas vraiment, je ne vois pas. Je crois qu’elle aura eu sa dose à midi et demain c’est le maire !
— Elle ne va pas aimer, lui dis-je. Bon, ce soir, on va voir si Marie-Catherine fait un effet boeuf au Mc Do, comme tu me l'as dit l'autre jour
— super
— En plus, je crois qu’il y a pas mal de routiers qui s'y arrêtent… J'ai du travail, je dois te laisser !
***
Quand suis dans le train, je demande à Marie-Catherine de me montrer comment elle est vêtue pour venir me chercher. Elle envoie une photo dans cet accoutrement qu’elle trouve vulgaire. J’avoue qu’elle n’a pas tort.
— Bien ! Tu te gareras sur la place de la mairie et tu viendras à la gare a pied où tu m'attendras.
— Mais il a près d’un kilomètre, maître !
— Tu fais de la randonnée, non ?
— Oui maître ! Mais c’est ma tenue sur cette distance en pleine ville. je ne pourrai pas surtout, bien que je n’ai pas de nouvelles, ma fille à reçu la photo, ma vie est finie, je ne viendrai pas comme ça
— Ne t'inquiète pas pour ça, je gère la situation. A toi d'être obéissante !
— Que voulez-vous dire Bernard m'a dit pareil, ne pas m’inquiéter !
— Vous n’auriez pas envoyé la photo à ma fille ?
— Peut-être, peut-être pas !
— Dites moi ! Je vous en remercierai, comprenant que je dois obéir !
— Je te dis de ne pas t'inquiéter pour ta dignité, si tu obéis ! Et, je t'autorise une culotte pour le trajet à pied.
— Merci Maître ! Je dois y aller pour être à l’heure.
— Demande à Bernard de choisir cette culotte, je lui fais confiance !
— Nien maître !
— Je te retrouve à la gare.
***
Bernard lui tend un string, elle a beau dire à son mari que j’ai demandé une culotte, celui-ci insiste en lui donnant le string. Elle le met sachant qu’il ne couvrira pas grand chose de ses fesses sous la jupe ultra-courte.
Bernard l’embrasse et elle part pour se garer à la mairie. Sur place, elle sort peu rassurée d’être aussi voyante. Elle ferme la voiture et part à pied rejoindre la gare, dans ces rues piétonnières en rasant les murs.
Je lui envoie un message disant que le train va avoir quinze minutes de retard. J’en envoie aussi un à ma femme pour lui dire que je rentrerai après avoir diné, qu’elle ne s’inquiète pas.
Je me doute que Marie-Catherine doit pester de ce retard car elle sera exposée plus longtemps. Elle reste près du mur, la tête basse, inquiète se sentant sans protection. En sortant de la gare, je l'aperçois assise sur un banc à l’écart. Je la regarde et attends qu’elle me rejoigne. Je l’embrasse en passant une main sous sa jupe. Elle m’enlace ses bras à mon cou. Elle sait que c’est ce que je veux malgré le monde qui nous entoure.
— Alors ma salope, tu as passé une bonne journée ?
— No… Heu oui maître !
— Bien, retire ton string. J’avais dit une culotte !
— Ici maître ? mais il y a du monde !
— Tu veux que je t’ordonne d'aller le donner à ce groupe de jeunes ? Que je les appelle ?
— Non, non ! Je le retire tout de suite.
Je la regarde s’exécuter plus rapide que l’éclair en se troussant légèrement, morte de honte, le visage en feu.
— Il est mouillé ma pute ?
— Oui maître, j’ai eu chaud en marchant vite.
— Juste chaud, et ne mens pas !
— Heu… excitée aussi, maître.
— Tu aimerais que je vérifie ?
— Ooooooh… Je… je… Oui maître ! Gloup… Vérifiez !
— Donne-moi ton string !
— Voilà maître !
— Appuie-toi contre le mur et écarte les cuisses !
— Bien maître !
Il n'y a plus personne et hormis les caméras de surveillance, personne ne peut nous voir. Marie-Catherine se met face au mur et écarte un peu ses cuisses. Je remonte le string entre ses cuisses et commence à le frotter sur sa fente déjà bien luisante.
— huuum ! pas ici maître ! s’il vous plaît.
Je fais celui qui n’a rien entendu et continue de la caresser, ce qui la fait réagir.
— Pas ça ! Maître, pas ça !
Je frotte plus activement, je l’entends respirer de plus en plus fort.
— Tu ne veux plus jouir…
— Pas ici maître, mais oui, je veux !
— Dans les toilettes publiques à côté, alors ?
— Si vous voulez, maître, me répond-elle tiraillée entre le désir raisonnable de s'enfuir et obéir par envie.
— Ça tombe bien j’ai envie de pisser aussi !
— Heu, oui, bien sûr, maître ???
— Tu sais tenir une bite ,tu la guideras !
— Oooh, heu, oui, bien, maître !
— Et tu la nettoyeras ?
— Oh oh non non pas ça maître
— Et pourquoi ? Je sais que tu l’as déjà fait.
— Oh, je… oui mais… c’était avant maître !
— Et ?
— C’est pas propre
— Cela t’a rendu malade ?
— Non maître !
— Bien je verrai.
— Oui maître, merci.
Nous entrons dans ces toilettes pas très propres, aux murs recouverts de graffitis obscènes. J’entre dans les toilettes avec une porte branlante. Le sol est dégoûtant. Je prends un mouchoir pour nettoyer un peu le mur et en donne des propre à Marie-Catherine.
— Appuie-toi avec les mouchoirs !
Elle obéit, affolée, retenant une envie de vomir que je peux comprendre vue l’odeur nauséabonde qui remonte du trou.
— Tu préfères que je te baise avant de pisser ou l’inverse ?
— Comme vous voulez maître, dit-elle anéantie
— Je peux aussi faire les deux en même temps… hahaha..
— Heuuu ????
Je baisse mon pantalon et mon membre bien raide pénètre sans problème dans sa chatte trempée et affamée. Les gémissements de Marie-Catherine se mélangent aux claquement de mon ventre contre ses fesses.
Elle est scandalisée d’être ainsi prise de manière aussi dégradante mais satisfaite, son corps la trahit. Elle est furieuse d'être piégée par sa libido.
J'attrape ses mamelles et les pétris sous le petit haut. Je les écrase dans mes mains. Je sens que le plaisir monte en moi, d’avoir imaginé la situation de Sophie telle que me l’avait décrite Bernard, m’avait déjà bien excité. J’ai du mal à me retenir.
— Oui ! oui ! encore ! prends-moi !
Je sort de sa chatte et me présente devant son cul, mais elle n’est pas d’accord.
— Non pas par là, me supplie-t-elle. Continuez, maître, à me baiser la moule !
— Tu feras ce que je veux ?
— Oui ! Maître oui ! oui sautez moi !
— Comment veux-tu être sautée ?
— Dans ma chatte de pute ! Maître ! Bien ramonée comme une chienne !
Je rentre d’un coup selon son vœu.
— Haaa ! oui ! oui !
Je ne bouge plus la laissant faire. Elle remue son bassin jouant avec le père Inné pour serrer relâcher et resserrer ma hampe qui la pourfend. J’apprécie ce massage que Sophie ne sait pas faire. Et vaincu, je finis par éjaculer dans sa chatte.
— Oh ! Oh ! Encore ! Encore ! Pas tout de suite ! fait-elle frustrée.
— Finis toi avec tes doigts. Je termine quand je décide… mais dépêche toi car il faut que tu me nettoies et j’ai toujours envie de pisser !
— Ooh oui maître !
Je la regarde s'activer sur son clitoris pour vite jouir ce qui ne tarde pas malgré sa déception de pas jouir en étant pénétrée.
— Tu me nettoies maintenant… sinon tu devras le faire après que j’ai pissé !
Pendant qu’elle me nettoie la bite avec sa bouche, je lui caresse les cheveux comme je caresse une chienne. Elle me la rend toute nette et molle.
— Bien je peux donc pisser !
— Si vous voulez, maître…
– Tiens la pour que je n’en mette pas partout.
Elle s’exécute, tenant le sexe ramolli entre ses doigts tremblants.
— De quoi a tu peur ma chienne ?
— Heu de de heu mal viser…
— Si tu vises mal, tu lèchera… Non, il y a autre chose, dis-moi !
— Oh non non…
Finalement tout se passe bien je lui demande bien l’essuyer avec sa bouche, malgré la goutte qui perle encore, ce qu’elle fait sachant qu’il ne sert à rien de refuser avant de la ranger.
— Bien, allons manger ! Ma salope.
— Bien, maître !
— On retourne à la voiture et tu nous emmènes au Mc Do sur la nationale.
— Ha ? Heu ? Oui ! Bien maître !
— Tu peux remettre ton string pour traverser la ville.
Je lui montre son string sur le sol souillé des toilettes. Je veux voir jusqu'où elle est prête à aller dans la déchéance.
— Oh non non…. heu heu… puis se méfiant, elle me dit. …. mais… mais si voulez maître…
— Je la regarde… Tu es vraiment une cochonne…
— Heu oui si vous voulez maître
— Dépêche-toi de te décider, on n'a pas toute la soirée !
Elle prend le string hésitante, suppliant son maître chanteur du regard de lui donner un ordre
— Dépêche-toi, dis-je alors que j'ouvre la porte.
Croyant me faire plaisir elle enfile le string sale avec dégoût.
— Retire moi cela, c'est dégoûtant…
— Oh mais je… je… oui, bien maître, voulais vous faire plaisir, dit-elle en le retirant.
— Tu comptes le garder dans ta main ?
— Heu, non maître ???
— Que vas-tu en faire alors ?
— Ce que vous voulez, maître !
— Dans ta bouche pour arriver à la voiture…
— Oooooh Non Non mon dieu !
— Trouve une autre solution alors…
— Dans la poubelle maître ?
— Tu le laisses dessus, il pourra peut-être être utile à quelqu’un…
— Bien maître !
***
Dans les rues, je la prends par la taille et arrivés à la voiture, elle m’ouvre la porte et se dirige de l’autre côté en regardant partout. Elle ouvre sa porte et rapidement soulève sa jupe pour s’asseoir. Je souris, elle a bien compris la leçon du martinet. Je pose ma main sur sa cuisse
— Allons -y
— Que veux-tu au McDo ? Je commande depuis mon téléphone.
— Un big fish avec frites et une eau gazeuse.
— Rien de plus ? Tu es sûre ? Je valide la commande
— Heu oui ? je ne vois pas maître ???
— Bien, lui dis je. Je commande pour moi un 280 et un jus d'orange…
— Vous voulez que je prenne autre chose, maître ?
— Un sucre d'orge ?
— oui si vous voulez, maître ! un sucre d’orge mais en ont-ils ?
— On trouvera bien quelqu'un qui en a, non ?
— Ah ??? Heu ?? Oui, d’accord…
J’indique à Marie-Catherine de se garer un peu à l'écart sur le parking du restaurant. Je remarque qu’il y a aussi trois semi-remorques stationnés un peu plus loin. Une idée germe dans ma tête. Marie-Catherine va vraiment faire un effet bœuf !
— Je te donne le code, vas récupérer la commande ! Je t'attends en terrasse.
— Heu… oui… bien, maître, me dit-elle inquiète par rapport à sa tenue en ce lieu, avec tous ces jeunes devant qui elle va devoir passer pour aller récupérer les plateaux.
Je m'installe à une table type bar sur des tabourets assez hauts à côté d'un groupe de trois routiers qui discutent entre eux et ont bien vu Marie-Catherine entrer dans le restaurant.
Après avoir dû subir quelques regards déplacés et un très léger sifflet, quand elle me rejoint je constate qu’elle est mal à l’aise en posant les plateaux.
— Vas te mettre en face de moi entre ces messieurs, lui dis-je pour le plus grand bonheur des deux routiers entre lesquels elle va se retrouver.
— Oh ! Fait elle en regardant les trois hommes .
Elle prend son souffle, relève sa jupe et se hisse pour poser ses fesses nues sur le tabouret. Elle n’ose pas regarder ses voisins qui ont dû tout voir.
— Que pensez-vous de mon amie, messieurs ?
— C’est pas la prime jeunesse malgré sa tenue.
— Pourtant elle aurait aimé un sucre d’orge.
— HAHAHAHA ! On a ce qu’il faut !
— Tu vois ma chère je t’avais dit qu’on trouverait.
En baissant la tête, elle murmure.
— Oui maître !
— Vous lui proposerez ça comme dessert ?
— Quoi ? vous êtes sérieux ! On n’a pas de sous pour ça ?
— Qui vous a parlé de sous…
— Ben ça se fait !
— Tu te souviens des tarifs, ma pute ?
— Heu, je… cinquante euros la pipe, cent euros une vaginale, deux-cent euros une sodomie, maître !
— Es-tu sûre que tu vaux ces tarifs ?
— Je ne sais pas maître
— Qu’en pensez-vous messieurs ?
— Bof ! Faut voir ! L’expérience peut valoir un certain prix, hihihihi !
Je commence à sortir mon téléphone en regardant Marie-Catherine.
— Vous voulez voir son expérience ?
— Avec plaisir.
Je pose mon téléphone sur la table et commence à faire défiler quelques photos explicites.
— Ce n'est pas elle ! Elle est beaucoup trop jeune…
— Justement messieurs, c'est de l'expérience tout cela…
— Ah oui dit l'un en effet… mais..
— Mais quoi ?
— Elle doit être amortie, non ?
— Vous voudriez une ristourne ?
— Ben oui !
— Qu'en penses tu ma pute ?
— Euh… ou… oui… enfin je ne sais pas.
— Je suis sûr qu'on peut en trouver des plus jeunes pour ce prix… Allez les gars, on s'en va !
— Attendez messieurs, on enlève un zéro, ça vous va… J'ai des frais fixes, moi…
— Ça me va, dit l'un en sortant un billet de vingt.
— Pour moi, ce sera dix !
— dix aussi pour moi.
— OK ! Donnez, je vous fais cadeau de la pipe… tu veux commencer par lequel, ma pute ?
— Celui que vous voulez maître, dit-elle en chevrotante
— Allons un peu plus loin… il y a un peu trop de monde ici, dont des enfants…
— Nos bahuts sont garés là-bas sur le parking, entre deux camions, personne ne nous verra !
— Très bonne idée !
Deux des routiers entourent Marie-Catherine alors que nous allons vers les camions. L'un d'eux caresse ostensiblement ses fesses. Je lui fais comprendre de se laisser faire. Après tout, ils ont payé pour. Elle est très honteuse, humiliée, avilie mais sa moule suinte, elle parle pour elle.
Arrive entre les camion, celui qui était resté à l'écart me demande :
— On peut voir la marchandise ?
— Fous toi à poil ma pute !
Anéantie, vaincue les tétons durs, elle se déshabille.
— J'avais bien vu qu'elle était à poil sous ses vêtements dit le plus âgé… une vraie salope… je ne regrette pas mes vingt euros.
— Je pense que tu pourrais te mettre a genou pour le remercier de ce compliment, non ?
— Ou… oui maître !
— Alors qu'attends-tu ? Suce le !
Elle s’agenouille et prend la bite molle en bouche. Pendant qu'elle suce je sors trois capotes que je donne aux hommes.
— A ce tarif vous ne pensiez pas la baiser à découvert !
— Non, non, bien sûr. On ne voudrait pas attraper des maladies avec cette vieille pute ! hahahaha !
— Vous avez raison, on n’est jamais trop prudent.
Je vois la bite de l'homme disparaître dans la bouche de Marie-Catherine, elle s'applique. J'en suis excité. Je filme pour Bernard.
Les deux autres routiers ont sorti leur queues et attendent d'être sucés à leur tour.
— Tu as des mains, ma pute, il me semble.
Lâchant la bite qui est dans sa bouche, elle prend les deux autres en mains, pompant un phallus et branlant les deux autres.
— Ça va être bon dit celui qui est sucé.. mets toi en position…
— Comment ?
— Appuie-toi sur la roue et tends-moi ton cul.
— Bien monsieur, dit-elle en s’exécutant.
L'homme l'attrape par la taille et sans plus de préparation après avoir enfilé la capote, il s'enfonce dans son cul
— Ha ! aïe ! aïe !
— Tu n'aimes pas ? Ma pute ?
Craignant une punition, elle me répond qu’elle aime cela même si elle serre les dents.
— Y en a t il un qui veut la prendre par devant en même temps ?
— Bien sûr, dit l’un des deux autres.
— Faites alors !
— Tu suceras le troisième, dis-je.
— Ou… oui, maître !
Je regarde le quatuor se mettre en place sur une grosse couverture prise dans un camion. Un des gars se couche sur le dos le mat bien dressé. Marie-Catherine vient l’engloutir dans sa moule baveuse tandis que l’enculeur revient se mettre au chaud dans son fondement. Le troisième, retirant sa capote, occupe sa bouche. Ils s’activent tous, ramonant la pute qui sens monter son orgasme.
Celui qui est dans sa bouche, ne peut plus se retenir. Il sort de la bouche mais jouit sur le visage de Marie-Catherine qui ne peut que fermer les yeux. Puis c'est au tour de celui qui est dans son cul.
Elle nettoie la bite qui l’a maquillée, l’homme est un peu déçu, il n'est pas sûr de rebander rapidement et il doit reprendre la route.
Elle atteint un énorme orgasme qui la bouleverse serrant ainsi sa chatte et son sphincter anal. Le dernier jouit à son tour.
— Nettoie les pour les remercier et n'oublie pas de ramasser les capotes, ce n'est pas très écologique…
Comme une serpillière avilie mais comblée, elle nettoie avec sa bouche les deux sexes tout en gardant dans ses mains les préservatifs pleins. Je rends ses dix euros au pauvre routier,éjaculateur précoce et je leur souhaite bonne route.
— Rhabille toi ma pute, on tertre Bernard doit t'attendre, encore une fois, j’ai dépassé l'heure prévue.
En voyant l’état de Marie-Catherine, je lui propose de prendre le volant. Elle est soulagée et elle accepte sans difficulté de mettre les deux capotes dans sa bouche. je rigole en lui disant que ses joues gonflées ressemblent aux bajoues de hamsters. Même si elle est écœurée, elle mâche ces préservatifs qui s’écoulent dans sa gorge.
Elle pense encore à relever sa jupe en s’asseyant. Puis, sachant malgré tout que ce n’est pas très prudent, mais je roulerai doucement, je lui demande de me sucer pendant que je conduis.
— Avec la bouche pleine ?
— Oui et alors ?
— Tu as jusqu'à chez toi pour me faire jouir à nouveau.
— Bien maître comme vous voulez !
Je démarre. Elle se penche au dessus de mon sexe et s’active pour le faire dresser, pour me faire jouir et boire ma semence. Alors que je ralentis pour franchir le portail que Bernard avait ouvert. Je vois Ménard sortir sa poubelle. Je le salue de la main, sachant que Marie-Catherine est invisible.
— Bonsoir cher voisin, vous allez bien ?
— Très bien merci et vous ? Vous avez la voiture de Madame Mazière ?
— Oui, la mienne était en panne, elle a eu la gentillesse de me la prêter. Mais, avez-vous vu Sophie ce soir ?
— Non mais j’ai vu Madame Mazière toute à l’heure comme jamais !
— Ah bon ?
— Oui en tenue très légère ! me dit-il la voix tremblante.
— Ça ne lui ressemble pas pourtant !
— C’est bien ce que je me suis dit mais avec la photo que j’ai reçue…
— Une photo ?
— Oui et cochonne mais il parait que c’est chotopop, j’ai pas compris mais on aurait dit Madame Mazière.
— Hélas, maintenant, on peut faire croire n'importe quoi aux gens avec des montages… Croyez-moi, je m'y connais en traitement d'images. Je vous montrerai un jour…
— Oh moi, j’y connais rien mais c’est arrivé après avoir eu deux culottes féminines dans ma boîte à lettres.
— Vous avez une admiratrice ?
— Vous croyez ? Mais qui ? me demande-t-il l’œil brillant.
— On va trouver je vous le promet ! Vous verriez une femme du voisinage qui pourrait vous aimez en secret ?
— Non franchement, je ne vois pas, mais si c’était ma voisine…
— Laquelle ? Dites moi ! N'ayez pas peur
— Je ne peux pas mais à défaut Madame Mazière m’irait bien. Surtout avec ce que j’ai vu.
— Je vous assure que vous pouvez tout me dire…
— Non franchement je ne peux pas et ne veux pas avoir de problème avec les voisins.
— Monsieur Ménard, je vois bien que vous me cachez quelque chose… nous sommes amis, je peux tout entendre.
— Mais pas du tout… Bon ! mais vous ne fâchez pas !
— Promis.
— J’ai un faible pour votre épouse… il me regarde, s'attendant sûrement à me voir me mettre en colère.
— Ah bon ? Vraiment… et pourquoi ? Que lui trouvez-vous ?
— Elle est remplie de tout ce qu’il faut où il faut et son sourire…
A son regard, je devine qu’il est vraiment accro. Je peux le comprendre, ce pauvre n’a pas du toucher une femme depuis de nombreux mois et à quarante ans, il doit encore avoir une libido bien active.
— Je vous l'accorde, il y a tout ce qu'il faut ou il faut et même plus, n'est ce pas Bernard ?
— Bonsoir oui ! De quoi il retourne ? demande-t-il, débarquant dans la conversation.
— De Sophie ! Dis-je.
— Ah Oui Vénus callipyge !
— Oui… Elle fait chavirer bien des têtes… vous voyez monsieur Ménard, je la connais ma femme…
— J’espère que vous ne m’en voulez pas et je vous rassure je n’y touche pas forcément.
— Pas du tout au contraire, je suis fier de savoir que ma femme soit ainsi désirée.
— A la bonne heure, dit Ménard.
— Ces confidences étant faites, vous pouvez m’appeler Hervé, lui dis-je en souriant sentant toujours la bouche de Marie-Catherine faire ventouse sur ma bite pour ne pas être vue de Ménard.
— Frédéric…
— Merci Frédéric, bonne soirée.
— Bonne soirée à vous aussi, me dit-il en rentrant chez lui.
— Bernard, je rentre la voiture de Marie-Catherine ?
— S’il te plaît, merci !
Une fois que Bernard a fermé le portail, nous sortons de la voiture. Marie-Catherine a toujours la bouche pleine.
— Je crois qu'elle aura plein de choses à te raconter quand elle aura la bouche vide… mais sais-tu si Sophie est rentrée ?
— C’est à souhaiter, me répond-il avec un clin d'œil pour ne pas être découvert par Marie-Catherine. comment veux-tu que je le sache ?
— Tu aurais pu la voir passer mais bonne soirée cher ami… Au fait, Bernard ! J’allais oublier. Cela te revient, lui dis-je en lui remettant les trente euros. Ils ont été dignement gagnés par Marie-Catherine. Elle a su se montrer à la hauteur de la réputation de la “chiennebcbg”.
***
En me dirigeant vers la maison, je me demande dans quel état je vais trouver Sophie après son déjeuner mouvementé. De plus, la révélation de Ménard me questionne, j’avais repéré ses regards vers ma femme, mais ils ressemblaient à ceux de beaucoup d’hommes qui la croisent. Avec ses formes, elle attire les regards masculins comme un aimant attire le fer.
C’est alors que j'entends le bruit d'un scooter qui s'approche. C'est le jeune Thibault, un jeune de la paroisse que j’aide parfois pour ses cours, dommage qu'il traîne avec cette bande de jeunes, il a tout pour réussir.
— Monsieur Berlon.. Monsieur Berlon, il faut que je vous parle…
— Qu'est ce qu'il y a Thibault, tu as l'air tout affolée.
— C'est votre femme, Sophie…
— Oui et bien ?
— Avec des copains, on se baladait le long de la rivière et on l'a vue être agressé par une bande de rebeus…
— Elle va bien, dis-je un peu inquiet.
— Oui ! Oui ! Ne vous inquiétez pas, on leur a fait peur, ils ont détalés comme des lapins, mais..
— Mais quoi ?
— C'est-à-dire que c'est un peu délicat, mais…
— Dis moi !
— On est arrivé un peu tard et ils avaient déjà commencé à faire des choses…
— Quelles choses ? demandé-je de plus en plus inquiet.
— Ils avaient écrit “pute” au marqueur sur sa chatte !
— Oh les… d’un autre côté soulagé, car ce qu’il m’apprenait n’était pas le fait de ces jeunes mais de mon complice.
— Oui Monsieur Berlon, je suis désolé.
— Je vais en parler à Monsieur le maire pour qu'il fasse installer des caméras de surveillance le long de la promenade de la rivière.
— Oui Monsieur Berlon, vous avez raison… on n'est plus en sécurité en France on n'est plus chez nous… avec cette racaille !
— Oui… oui… mais je vais voir Sophie…
— Oui monsieur Berlon, bien sûr, bonne soirée.
***
Troublé, par cette information, j'appelle Bernerd pour lui demander s'il est courant de l'agression de Sophie par cette bande de jeune. Comme il ne répond pas, je lui laisse un message sur son répondeur.
Dans la maison, je la trouve assise dans le canapé, avec la veste de son kimono de soie jaune qu’elle enfile souvent apres sa douche. Elle me sourit et se lève pour venir m’embrasser. Je la serre fort contre moi en lui flattant le popotin.
— Dis-moi, chérie…
— Oui ?
— je viens de croiser Thibault. Il m’a dit que tu avais été agressée par une bande de jeunes et qu’ils avaient écrit des obscénités sur ton corps.
Je la vois baisser et soupirer, comme soulagée. Elle trouve un moyen d’expliquer la présence des inscriptions sur son corps.
— Oui mon amour… c’est vrai !
— Montre-moi !
— Tu veux vraiment ? Tu es sûr ! Ça va te faire mal…
— Non, je t’assure, montre moi…
Elle écarte lentement les pans de son peignoir et je découvre les inscriptions sur sa poitrine et son pubis.
— J’ai pris une douche pour les enlevées mais ces deux-là sont restées…
— Comment cela, il y a en avait d’autres ? dis-je innocemment.
— Euh… oui mon chéri…
— Quoi donc ?
— C'est-à-dire que…
— Allez dis moi, n’aies pas peur !
Rouge et confuse, elle ajoute.
— une bite sur chaque cuisse et mes mamelons avec du rouge à lèvres.
— Heureusement que l'habit ne fait pas le moine…
— Que veux-tu dire ?
— Simplement que ce n'est pas parce que c'est écrit que tu l'es…
— Oh non mon chéri, je t'assure que non !
— Je te crois… ne t'inquiète pas.
Je sors mon téléphone pour la prendre en photo.
— Que fais-tu ?
— Je prends des photos pour les gendarmes ! Quand on ira déposer plainte, ils voudront des preuves… tu préfères que ce soit eux qui le fassent ?
— Non tu as raison… vas-y !
— Assieds-toi sur le canapé et écarte bien les cuisses que tout soit bien visible !
Je la regarde prendre la pose, honteuse, gênée, devant surmonter sa pudeur et sa honte. Je prends quelques photos que je lui montre. Elle tremble.
— Ça va aller ma chérie, je vais en parler à Bernard, il connaît bien le maire. Il va régler ce problème.
— Oui mon amour !
Je la câline un peu avant qu’elle aille se coucher, en me disant que sa journée a été fatigante. Je traîne un peu devant le match de foot. Et j’envoie les photos à Bernard, puis une à Ménard.
“tu vois qu’il est facile de faire des faux, tu crois vraiment que Sophie se baladerait avec ça écrit sur la peau et qu’elle me laisserait la prendre en photo ?”
***
Je demande aussi à Bernard ce qu’il pense de la confidence de notre voisin au sujet de Sophie.
Il me répond en rigolant “je suis un peu vexé j’aurai préféré qu’il s’intéresse à Marie-Catherine qui est en face et probablement plus disponible HAHAHAHA”
“Rien n'est perdu…”
“j’espère bien ne te prive surtout pas”
“Je vais m'en occuper comme tu t ‘occupés de ma femme, d'ailleurs demain, tu pourrais aller voir les gendarmes avec elle. Elle t'expliquera surement”
“Ah bien ! mais il y aussi le maire. D’ailleurs à ce propos je te prie de m’excuser mais tu sais les engagements que j’ai vis à vis de mon épouse je ne peux donc avoir aucun rapport avec Sophie c’est pourquoi je délègue à d'autres ! cela ne te gêne pas au moins ?”
“Ce n’en est que mieux au contraire… tu vas en faire une vraie pute…”
“c’est vraiment ce que tu veux ?”
“Oui, elle en a le potentiel, non ?”
“Je ne peux le certifier mais je pense qu’elle a du potentiel au fond d’elle”
“Il faudra que tu en parles à MC pour ne pas qu'elle soit jalouse. Que tu lui expliques les choses”
“il me vient une idée et si c’était toi qui lui disait dans le cadre de ton chantage ????”
“A MC ?”
“oui un peu comme si j’étais obligé aussi non ? tu aurais ainsi le rôle du parfait méchant pervers LOL HIHIHI”
“D’accord. Je ferais cela”
“ok merci super”
“Je t’en prie.”
Je me demande quels mots trouver pour expliquer cela à Marie-Catherine je vais y réfléchir, la nuit porte conseil parait-il. Je me couche, satisfait, mon équipe a gagné et j’ai envoyé ses instructions à Marie-Catherine, en lui disant que je veux la voir avant mon départ demain matin, devant chez elle à sept heures trente, pour qu’elle m’emmène à la gare en voiture.
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