L’homme se gare à quelques centaines de mètres de la maison. Il va finir à pied. Il est important d’être discret lui a répété son informateur. Il sait exactement où se rendre et, si son information est bonne, la grille du jardin n’est pas fermée. C’est bon, il est entré, il ne lui reste plus qu'à vérifier la deuxième information, la porte fenêtre la plus à gauche doit être ouverte elle aussi. Il s’approche de la maison en silence, rien ne bouge. La nuit sans lune lui permet d’être totalement invisible, surtout que cette commune éteint les lampadaires dès le début de la nuit.
Il se penche pour observer ce qu’il se passe dans la pièce. Ses renseignements sont parfaitement justes. Une femme à la peau pâle est allongée nue sur le lit. Dans l’obscurité, il ne distingue pas parfaitement mais il semble bien que sa tête est recouverte d’une cagoule de cuir noir. Comme ce qui lui a été dit, ses bras et ses jambes sont écartés, elle est attachée aux quatre coins du lit, lui a-t-on affirmé. L’horloge de l’église affiche bientôt deux heures du matin. Il attend, il regarde. A deux heures pile, un homme nu, le mari entre dans la chambre. Il se met à quatre pattes entre les cuisses grandes ouverte de sa femme et il commence à lui lécher l’entrejambe.
L’homme ne perd pas une miette du spectacle. Il commence à bander, par sécurité, il a pris une de ses pilules magiques prévues pour compenser les défaillances dues à l’âge.
Après cinq minutes, le mari se lève et quitte la chambre. L’homme compte jusqu’à soixante comme il le lui a été conseillé.
Il peut enfin passer à la dernière étape de son projet. Il appuie sur la poignée de la porte fenêtre. Il retient un cri de victoire. La porte est ouverte, il n’en revient pas. Son informateur avait raison sur toute la ligne.
***
Il allume la lampe frontale et il entre dans la chambre sans bruit. Il sait qu’il dispose maintenant de presque deux heures pour profiter de cette femme offerte comme il le désire. Il la regarde. Sa tête est bien enfermée dans une cagoule de cuir, elle ne peut ni voir, ni entendre ou presque pas et encore moins parler ou crier. Ses poignets et ses chevilles sont attachés fermement aux quatre pieds du lit. Elle ne peut pas bouger non plus. Il regarde ses petits seins, il voit le piercing au nombril, le tatouage sur le pubis. Il reconnaît cette femme. C’est celle qu’il avait puni et baisé chez Erika. Cette femme enfermée dans la boite était donc se belle-fille. Jean-Bernard, car c’est bien de lui qu’il s’agit, n’a plus de doute. Erika avait donc raison quand elle lui avait affirmé que Marie-Gabrielle et Olivier étaient ses jouets et qu’ils obéissaient à tous ses désirs.
Il se met nu et s’assied à côté de la femme. Son mari, a bien travaillé, cette pute est trempée. Elle sursaute sous sa caresse et se trémousse dans ses liens. Elle est bien attachée et le bâillon qu’elle porte sous la cagoule étouffe efficacement ses cris de surprise, de peur, de plaisir. Il n’en sait rien et peu lui importe. Il est là pour son plaisir personnel. Il entre un doigt puis deux dans cette chatte qui va dans quelques minutes accueillir son sexe de septuagénaire. Il entend les gémissements étouffés de Marie-Gabrielle changer. Elle ne gémit plus de peur mais de plaisir. Il joue longuement avec ses doigts. Il observe le corps pâle remuer dans ses liens, un spasme, long gémissements puis plus rien. Elle vient de jouir.
Il ne lui laisse pas le temps de récupérer et s’allonge de tout son poids sur le corps frêle de la femme ligotée. Il la pénètre. Il reste immobile quelques secondes pour lui faire comprendre qu’elle est prise, possédée avant de commencer de longs va-et-vient vigoureux.
***
Marie-Gabrielle est maintenant complètement réveillée. Si la langue d’Olivier ne la fait presque plus réagir, son cerveau s’est habitué à cette routine nocturne, la présence des doigts qui sont venus fouiller sa chatte l’a mise en alerte. Elle a paniqué, elle a crié, hurlé dans son bâillon même si elle savait que personne ne pouvait entendre ses appels. Elle s’était calmée en se disant que Maîtresse Erika savait ce qu’elle faisait et que cet inconnu qui joue avec son corps est un envoyé d’Erika et de toute manière s’il a pu entrer dans le jardin, c’est que Erika lui a donné ses clés. Elle a profité de cette caresse dans son sexe trempé accueillant, désirant même être rempli. Elle a joui sans se retenir, son bâillon étouffant ses cris. Mais là, en reconnaissant le parfum de l’homme qui est en train de la baiser, qui vient de faire entrer son membre en elle, elle est en panique. Erika recommence. Son beau-père est en train de la baiser. Il l’utilise comme l’autre jour dans la boîte.
L’autre jour, elle avait compris, elle devait être punie, mais ce soir ? Qu’avait-elle fait qui mérite une punition ? Elle essaye de se souvenir de ses actions de la journée ce qui en même temps lui fait penser à autre chose qu’à ce sexe qui la laboure, mais elle ne voit pas l’erreur qu’elle aurait pu commettre. Cela est-il plus ancien ? Il est vrai que depuis que Laure la soumet dans le magasin, Erika ne l’a plus punie. Elle finit par accepter cette punition. Elle revient rapidement à la situation présente car la pénétration continue avec vigueur ! Jean-Bernard est endurant ! Comme l’autre jour, il a dû prendre une de ces pilules magiques. Elle jouit encore et encore. Depuis combien de temps la besogne-t-elle ? Elle n’a aucune notion du temps qui passe avec cette cagoule. Ses seuls repères pendant la nuit sont les venues d’Olivier. Il vient la lécher toutes les deux heures, à minuit, deux heures, quatre heures et six heures du matin avant de la libérer de ses entraves. Donc si elle n’est pas restée endormie quand il l’a léché cette nuit, comme cela commence à lui arriver. Il doit être entre deux heures et quatre heures du matin.
Elle sent enfin son beau-père jouir dans sa chatte. Puis le silence ! Est-il reparti ? Elle pense soudain à Olivier ! Comment va-t-il réagir ?
Ce qu’elle ignore, c’est qu’Erika a prévenu Olivier de la venue d’un visiteur nocturne. C’est lui qui est allé déverrouiller la porte du jardin. Erika lui avait envoyé un message avant son réveil de minuit. Par contre, il ne connaît pas l’identité de ce mystérieux visiteur. En remontant dans sa chambre, il est resté attentif, à observer le départ de l’homme. En voyant sa silhouette dans le jardin, il a un doute. Ne serait-ce pas Jean-Bernard ? Son beau-père ! Comment Jean-Bernard pourrait-il être au courant de leur relation avec Erika ? Il se souvient alors de ce repas, il y a quelques semaines. Ce repas pendant lequel Erika avait charmé Jean-Bernard et Monique. Il se rallonge, pensif. Doit-il en parler avec Marie-Gabrielle ? Il est dérangé dans ses pensées par son téléphone qui lui annonce qu’il est temps d’aller lécher sa femme. Il descend pour obéir à Erika qui a complètement pris la main sur lui.
***
Marie-Gabrielle est immobile. Il monte sur le lit et commence à la lécher. Il vérifie que l’homme a bien joui dans la chatte de sa femme. Cela l’excite. Il lèche même avec plus de conviction que les autres fois. Il veut nettoyer tout ce sperme qui coule entre les cuisses de Marie -Gabrielle, il descend même la langue jusqu'à son anus. Marie-Gabrielle réagit, elle gémit dans son bâillon. il est convaincu qu’elle jouit.
Quand il la libère de ses liens, il lui sourit. Il a réfléchi, il ne va pas lui parler de son visiteur nocturne, de toute manière, si lui pense l’avoir reconnu, comment pourrait-elle avoir une idée de l’identité de l’homme, aveuglée comme elle est.
— As-tu bien dormi ma chérie ?
— Oh oui ! Cela fait bien longtemps que je n’ai pas passé une telle nuit !
— Oui, je sais. Tu as même joui lorsque je suis venu de lécher, n’est ce pas ?
— Oui et pas qu’une fois ! Et toi comment as tu trouvé mon jus ?
— Il était délicieux ma chérie.
Ils prennent leur petit-déjeuner en parlant de tout autre chose et chacun part travailler.
***
La nuit suivante, Marie-Gabrielle se demande si elle va de nouveau être visitée par un homme et quelle sera son identité.
Une fois dans le silence et l'obscurité de sa chambre, Marie-Gabrielle n'arrive pas à trouver le sommeil. Elle est à l'affût du moindre mouvement qui indiquerait une présence étrangère sur le lit. Mais à part les visites d'Olivier, rien d'inhabituel ne se produit. Elle réalise au matin que la langue d'Olivier l'avait laissé insensible, il avait beau y avoir mis toute la conviction dont il est capable, elle avait à peine frémi. Les trois nuits suivantes furent calmes. C'est à la quatrième qu'enfin, un homme est là. Elle ne s'y attendait plus, il est quatre heures passées.
Il est là, assis sur le lit. Il joue avec sa poitrine, il pince, tourne ses tétons. Elle gémit. Elle se cambre dans ses liens. Il passe ses doigts entre ses cuisses, il tire sur ses lèvres. Elle transpire. Il sait jouer avec son intimité. Elle voudrait jouir mais il sait quand s'arrêter pour la faire languir. Elle est au bord de l'orgasme quand elle sent qu'il se relève. Va-t-il enfin la prendre, la baiser ? Ou même l'enculer, s'il en a envie, mais elle veut sentir une bite dans un de ses trous !
Mais rien, le vide l'absence elle voudrait pleurer, crier, hurler sa frustration.
Elle en tremble encore quand Olivier vient la libérer. Il remarque la frustration de sa femme.
— Tout va bien ? Tu as eu une visite nocturne ?
— Non, ment-elle. J’ai mal dormi, tout simplement.
— Tu peux tout me dire ma chérie, tu le sais.
— Oui ne t’inquiète pas… Ça va, je t’assure.
Olivier n’insiste pas et va préparer ses bagages car il part en déplacement pour plusieurs jours. Pendant son absence, c’est Erika qui viendra préparer Marie-Gabrielle pour la nuit.
***
Ce premier soir sans Olivier inquiète un peu Marie-Gabrielle. Si Erika vient la préparer, elle les a aussi prévenus qu'elle ne resterait pas pendant la nuit. Marie-Gabrielle restera donc ligotée sur le lit de vingt-deux heures à six heures et, bien entendu, la porte-fenêtre sera entrouverte pour permettre au visiteur nocturne d'entrer.
Marie-Gabrielle se prépare à recevoir sa maîtresse. Elle a cuisiné un gratin de légumes et a dressé la table.
Quand Erika arrive, la petite rousse est nue, juchée sur ses talons. Elle lui propose l'apéritif dans le salon et quand Erika est installée, Marie-Gabrielle s'agenouille entre ses cuisses.
Erika n'a rien à demandé. La femme-soumise commence à lécher la chatte de sa maitresse. Elle passe sa langue dans les plis humides. Erika lui caresse les cheveux comme elle le ferait avec une chienne.
— Tu sais, petite pute, pour ne pas que tu restes seule toute la nuit, j'ai demandé à Laure de venir te tenir compagnie.
— Oh merci Maîtresse !
Erika sourit et continue.
— Comme, Petit Chien, elle viendra s'occuper de toi toutes les deux heures. Mais elle a carte blanche pour faire ce qu'elle a envie de faire !
—Oui Maîtresse ! répond Marie-Gabrielle, un peu inquiète malgré tout, connaissant les idées parfois perverses de son employée.
—Bien ! Dépêche-toi de me faire jouir que je puisse profiter de ce repas préparé avec amour.
Marie-Gabrielle ne se fait pas prier pour replonger son visage entre les cuisses de sa maîtresse. Elle sait parfaitement ce qu'elle attend et les gémissements émis par Erika confirment que sa caresse atteint son but.
Erika finit par jouir, inondant de mouille le visage de sa soumise qui s'empresse de tout nettoyer avec sa langue.
Une fois dans la chambre, Erika s'assure que Marie-Gabrielle est bien ligotée sur son lit et complètement aveuglée avant de quitter la maison.
—Je te confie aux bons soins de Laure, petite chienne !
Malgré ces mots qui se veulent rassurants, lorsque Marie-Gabrielle se retrouve seule, elle est un peu inquiète. Quand Laure va-t-elle arriver ? Même si elle sait que son employée risque de ne pas être tendre avec elle, au moins, il y aura une personne dans la maison.
***
Enfin, au bout d'un temps qu'elle est dans l'incapacité d'estimer, elle perçoit du mouvement autour d'elle.
Marie-Gabrielle remarque que les pas sont plus feutrés que ceux du visiteur habituel. Elle est persuadée que ce sont ceux de Laure. La manière dont les mains de la visiteuse explorent son corps confirme son intuition. Être ainsi touchée par son employée n’est pas très habituel ! Elle est envahie par un sentiment de honte, surtout lorsque Laure insiste sur ses seins, sa bouche en appuyant sur le bâillon qui la rend silencieuse.
Mais, c’est au moment où ces mains arrivent sur son sexe que Marie Gabrielle se sent comme une victime et une vulgaire source de plaisir sexuel. Elle est partagée entre honte et plaisir. Ce plaisir qui monte de plus en plus, surtout quand elle se retrouve dans ces situations humiliantes.
Laure sent bien que, malgré le ligotage de grande qualité, sa patronne ondule du bassin pour mieux sentir les doigts s’introduire dans son con. Elle commence à bien mouiller la salope, pense Laure ! Une vraie bête de sexe ! Incroyable. Elle en est à quatre doigts ! Bien sûr, elle a de petites mains, mais tout de même ! Elle va essayer toute la main ? Cela n’aura pris qu’environ une vingtaine de minutes au total pour que sa main entière soit entrée dans le vagin de sa patronne. Quelques mouvements de rotations font gémir Marie Gabrielle dans son bâillon comme jamais elle n’a gémi.
Laure se retire doucement du vagin dilaté tout en continuant à la caresser de l’autre main. Marie-Gabrielle est en sueur. Elle n’en peut plus de jouir… Une fois calmée, Laure caresse le visage de sa patronne et disparaît aussi silencieusement qu’elle est arrivée, sans avoir prononcé un seul mot. Mais, pour que Marie Gabrielle soit consciente qu’elle est à la merci de sa visiteuse, cette dernière lui a enfoncé un gode d’une bonne taille afin que son vagin reste bien ouvert et sensible !
Difficile de se rendormir dans ces conditions, mais elle trouvera malgré tout le sommeil avant une nouvelle visite de Laure.
***
Marie-Gabrielle est réveillée par l'extraction brutale du gode de son vagin puis par l'insertion d'une main de Laure. Celle-ci ne laisse aucun répit à sa patronne et tandis que sa main gauche fouille le con dilaté de la rousse, sa main droite joue avec la poitrine. Marie Gabrielle sent ses tétons étirés, pinces, tordus. Elle gémit et se tortille dans ses liens. Elle réalise que Laure prend du plaisir à la maltraiter de cette manière. Malgré cela, le corps de Marie-Gabrielle commence à vibrer et elle râle dans son bâillon. Elle est parcourue de vagues de bien-être qui peu à peu la submergent. Laure cesse alors tout mouvement et quitte la pièce toujours aussi silencieuse.
Marie-Gabrielle avait l'impression qu'elle venait de se rendormir quand Laure la réveilla brusquement. Son employée revenait jouer le rôle que lui avait donné Erika : visiteuse de nuit ! Une nouvelle visite qui allait prendre une autre tournure.
Sur son lit, Marie-Gabrielle avait beaucoup bougé et cela avait eu comme conséquence fâcheuse de resserrer ses liens ! Elle était devenue tel un saucisson de Lyon ! Laure venait d’introduire sans ménagement un gode vibreur d’une belle taille dans son vagin. Elle commençait à lui caresser doucement les seins pour la réveiller en douceur. Sa patronne allongée sur le dos commençait à avoir les muscles endoloris… il fallait les stimuler !
Pas un mot n’était échangé. Le silence régnait, aucune lumière ne perçait le bandeau des yeux du visage de Marie-Gabrielle qui continuait à baver à travers le bâillon. Ce silence fut interrompu très rapidement par le bruit de vibration du gode qui enflammait son corps. Cela dura ainsi dix bonnes minutes : arrêt et remise en route de manière aléatoire, pour déjouer les prévisions de notre héroïne du jour !
Mais, ce n’était que le hors-d'œuvre, le jour commençait à poindre et Laure voulait vraiment aller au bout de la mission que lui avait confiée Erika. Elle retourna sa patronne sur le ventre tout en laissant dans sa chatte le gode dont elle avait arrêté le système de vibration aléatoire. Une fois installée dans cette position, les seins bien placés pour ne pas les “abîmer”, la tête sur le côté pour qu'elle puisse respirer et elle lui glissa un coussin sous le bassin pour relever sa croupe. Laure laissa Marie-Gabrielle un moment pour qu'elle prenne conscience qu’elle était à sa merci !
Marie-Gabrielle sentit un liquide froid lui couler entre les fesses. Elle réalisa que Laure venait d'induire de vaseline sa raie. Elle comprit très vite quels étaient les désirs de Laure et pourquoi elle avait été installée ainsi. La jeune femme voulait profiter de son cul. Depuis qu'elle avait rencontré Erika qui avait été à l'initiative de son dépucelage anal par son beau-père, Marie-Gabrielle n'appréhendait plus d'être enculée par un homme ou un des nombreux godes de sa maîtresse. Mais elle se demandait ce que Laure pouvait avoir dans la tête.
Elle n'a pas longtemps à attendre. Les doigts de sa jeune employée sont en train de pénétrer son anus. Un, puis deux et maintenant trois. Elle les sent entrer et sortir, assouplir son orifice, puis un quatrième. Marie-Gabrielle n'a plus de doute, Laure veut fister son cul. Elle crie dans le bâillon mais elle n'émet que des sons incompréhensibles.
— Qu'est ce tu as Petite Pute ? dit Laure. Tu es excitée ? C'est ça ! Oui c'est ça ! Tu es trempée et ton cul s'ouvre tout seul !
Laure réunit ses doigts et son pouce et force l'anus de la pauvre Marie-Gabrielle qui se débat dans ses liens. Impuissante, elle sentait ces doigts remuer dans ses entrailles, le mouvement de va-et-vient imposé par sa jeune tortionnaire déclenchait des spasmes de douleur et de plaisir. Soudain, une vibration vint stimuler son clitoris. Marie-Gabrielle poussa un long cri étouffé par le bâillon tandis que Laure qui continuait de martyriser l'anus de sa patronne commença à se caresser. Quelques minutes plus tard, les deux femmes jouirent de concert.
Toujours aussi féline, Laure quitta la chambre en silence et Erika délivra sa Petite Pute au matin.
Au retour d'Olivier, Erika s'invita à dîner. Au café, elle demanda à Marie Gabrielle de raconter ses nuits solitaires sans omettre aucun détail et surtout de bien exprimer le plaisir qu'elle avait ressenti d'être ainsi offerte à des pervers.
Plus le récit avançait et plus Olivier bandait. Lorsque la petite rousse eut fini son histoire. Erika autorisa ses soumis à s'accoupler devant ses yeux.