vendredi 31 octobre 2025

Journal d'un Impuissant - 09 -

 

Nous avons pris le temps de réfléchir pour savoir si nous pouvions accepter leur proposition. Il était évident que les enfants seraient contents de passer deux ou trois semaines de vacances au soleil, à côté de la mer et, en plus, dans une maison avec une piscine. Gérard et Marie-Christine n’avaient jamais eu d’enfants, comment allaient-ils supporter l’agitation créée par cinq enfants ? Réussirions-nous aussi à ne pas dévoiler les liens particuliers qui nous unissait ?

Finalement, nous avons accepté. Ils nous avaient rassurés. Laurence m’avait convaincu. Elle se souvenait que lorsqu’elle les avait rencontrés à la fin de ses études, ils lui avaient souvent répété qu’ils auraient aimé avoir des enfants mais que la vie en avait décidé autrement. Elle se souvenait de la manière dont ils s’occupaient des enfants de leurs voisins et que ceux-ci n’hésitaient pas à leur demander s’ils pouvaient les garder lorsqu’ils avaient envie de passer une soirée ou un week-end tranquille.

Nous prîmes donc la direction du Sud dans notre premier achat commun, un monospace pouvant accueillir toute notre tribu recomposée. A notre arrivée, les enfants lassés par plusieurs heures de routes se sont précipités dans la piscine. Gérard et Marie-Christine étaient aux anges. Leur villa résonnait de cris d’enfants comme ils en avaient toujours rêvé et elle en résonnerait encore pendant deux semaines. Assis sur la terrasse, nous les regardions s’ébattre.

Nos amis avaient offert en cadeau de bienvenue à ma compagne un bikini très minimaliste. Quand elle l’avait découvert sur le lit de la chambre, elle en rougit.

— Je ne pourrai jamais mettre cela devant les enfants…

— Pourquoi ?

— Tu as vu le haut ! Autant ne rien porter !

— Je pense que c’est ce qu’ils attendent…

— Mais ! Comment peux-tu dire cela ? me dit-elle mi-amusée mi-irritée. 

— Je crois que Marie-Christine est une adepte du topless, tu ne ferais que l’imiter…

— Grrr…

— Et si tu essayais ?

— Là ! Maintenant ?

— Ben oui ! Pas aux calendes grecques !

Acceptant sa défaite, elle se changea devant moi. Elle avait raison, si le bas du maillot était relativement décent à condition d’être comme elle totalement épilée, pour le haut, il en allait tout autrement. Les petits triangles de tissu recouvraient à peine ses aréoles. 

— Je crois que tu as raison ! Tu seras mieux sans !

Elle enfila juste une petite robe de plage qui lui couvrait tout juste les fesses.

Je me changeais aussi, enfilant un bermuda de bain et un tee-shirt avant de rejoindre nos hôtes. 

De leur côté, Gérard et Marie-Christine, s’étaient aussi changés. Il était torse nu, en maillot de bain et sa femme portait une robe en crochet sous laquelle je pouvais deviner l’absence de haut.

— La chambre vous plaît ?

— Oui la vue sur la baie est superbe, répondis-je.

— Nous devrons partager la même salle de bains. Cela ne vous gêne pas ?

— Non, pas du tout… Merci, mais on pourra utiliser celle de l’étage avec les enfants.

— Non, dit Marie-Christine en me posant une main sur la cuisse. J’insiste…

— D’accord ! Comme tu veux…

Laurence rougit et baissa les yeux. Je supposais avec raison que cette volonté n’était pas exempte de désirs que nous ne pouvions évoquer à portée d’oreilles enfantines.

— Les enfants ! cria Gérard. Vous nous laissez un peu de place !

— Oui ! Vous pouvez venir, répondit une des filles.

Il me regarde puis regarda Laurence. Même s’il n’avait fait aucune remarque, il savait parfaitement que sous sa robe, elle avait enfilé le cadeau. Assise en face de notre hôte, elle avait délibérément gardé ses genoux écartés ce qui avait permis à Gérard d’avoir une vue parfaite sur tissus rose-fluo du string et l’absence de bretelle retenant le haut indiquait que si elle retirait sa robe, elle serait topless.

— On y va ? Me demanda Gérard.

— Avec plaisir ! Ça va me faire du bien… répondis-je en retirant mon tee-shirt. Tu viens Laurence !

Elle hésita un peu. Si elle refusait, elle savait que nous ne serions pas contents mais si elle acceptait, elle devrait se montrer seins nus devant les enfants. Je fronçais les sourcils. Elle céda. Marie-Christine venait d’ôter sa robe et dévoila un corps qui ferait pâlir d’envie beaucoup de femmes bien plus jeunes, peut-être était-ce dû au fait qu’elle n’ait jamais eu d’enfant.

Laurence nous suivit sous les regards un peu surpris des enfants devant ces deux femmes qui montraient leur poitrine. Mais, emportés par les jeux et le plaisir de la baignade, aucun d’eux ne fit de remarque.

Nos ébats aquatiques furent soudainement interrompus par la sonnette du portail. 

— Ce doit être les pizzas que nous avons commandées pour le dîner, dit Marie-Christine. Laurence, peux-tu aller voir ? Elles sont payées…

— Ouaiiis ! Des pizzas ! Crièrent les enfants en sautant de plus belle dans l’eau.

— Moi ? Demanda Laurence.

— Oui bien sûr, confirma Gérard. Et… pense… au pourboire…

— Oui, vas-y ! Marie-Christine est en plein jeu…

— D’accord ! répondit Laurence en sortant de l’eau.

Je la suivais du regard, ses fesses nues rebondissaient un peu. Je la trouvais de plus en plus désirable. Elle remit sa robe et se dirigea vers le portail la tête basse, comme gênée. Gérard me fit un clin d’œil que j’interprétais mal sur le moment.

Le livreur allait pouvoir se rincer les yeux. Laurence revint les bras chargés quelques minutes plus tard. Le livreur avait été bavard. Je la soupçonnais aussi de ne pas avoir raccourci la discussion afin que le jeune homme puisse profiter de la vue sur sa poitrine.

— Le livreur vous remercie pour le pourboire, dit-elle à nos hôtes. 

***

— Mon chéri… je mérite une punition…

Je relevais la tête de mon roman, surpris. Laurence était debout, devant moi, nue, ses mains sur la nuque.

— Pourquoi ? Dis-je d’une voix neutre.

— Je ne t’avais pas prévenu de la nature des pourboires.

— Explique !

Ma voix était toujours aussi neutre, impassible.  Gérard m’avait expliqué que c’était le ton et l’attitude à adopter dans ces situations : ne pas révéler ses sentiments, son état émotionnel. La soumise devait avouer ses fautes face à un mur.

Elle m’expliqua donc que lorsqu’un livreur apportait quelque chose, une femme présente dans la villa devait se présenter à lui et lui proposer un pourboire pour le remercier d’être arrivée jusqu’à la grille. La villa de Gérard et Marie-Christine se trouvait au bout d’un chemin de campagne à plus d’un kilomètre de la route principale. Le facteur et les livreurs laissaient le courrier et les colis dans les boîtes aux lettres à l’entrée du chemin mais, pour les pizzas ou les autres livraisons alimentaires, les livreurs venaient jusqu’au portail.

— Et donc ?

— C’est-à-dire que…

— Que quoi…

Je voyais bien que Laurence avait du mal à me dire en quoi consistait ce pourboire, même si je commençais à comprendre. Mais, il était important que ce fut elle qui me le dise.

— J’ai… J’ai… J’ai sucé le livreur…

Je dus retenir un éclat de rire, non pas en raison de ce qu’elle venait de me dire, mais plutôt de l’air contrite qu’elle avait en le disant. Laurence aimait sucer, surtout parce qu’elle savait que cela était le prélude à encore plus de plaisir. Je n’avais pas vu le livreur mais je n’eus aucune difficulté à l’imaginer accroupie près du portail, la bite d’un homme dans la bouche. La connaissant, faire cela en risquant d’être surprise avait dû l’exciter.

— Répète ! lui ordonnais-je, toujours de ma voix monocorde.

— J’ai sucé le livreur.

— Mieux que cela ! Que lui as-tu fait ?

Je voulais qu’elle me le dise avec d’autres mots.

— J’ai fait une pipe au serveur…

—  Et bien voilà… En effet, tu mérites une punition… Mais avant, tu vas me faire ce que tu as fait à ce livreur. Cela va me laisser le temps de réfléchir à la punition que tu vas recevoir.

J’étais un peu embêté. Nous étions en vacances avec les enfants, il m’était donc impossible de la punir avec la cravache. Cela aurait laissé des marques et les enfants se seraient posé des questions.

J’étais allongé sur le dos, Laurence monta sur le lit et prit mon sexe dans sa bouche en me regardant.

— Doucement ! On a tout notre temps… Effectivement je dois te punir. Tu as raison ! Mais… je ne te ne punis pas parce que tu as sucé le serveur. Pour cela tu devrais même être récompensée pour avoir agi en bonne soumise. Non… je dois te punir car tu ne m’as pas révélé toutes les règles de vie dans cette maison que tu connais pourtant si bien.

— Oui je comprends, me dit-elle.

Alors que je profitais de sa fellation quasi-divine, je réfléchissais à la punition de ma compagne.  J’eus soudain une idée que je gardais pour moi. La pensée que je venais d’avoir se cumula avec le plaisir que j’eus à jouir dans la bouche de Laurence.

— Allez viens ! Il est temps de dormir, lui dis-je en tapotant l’oreiller à côté de moi.

Je vis Laurence me regarder avec de la déception dans les yeux. Elle était frustrée, je le savais. Elle s’attendait toujours à ce que je me retienne pour venir finir dans son ventre ou dans ses fesses. Mais cela faisait partie de la punition que j’allais lui infliger.

***

Le lendemain matin, je me suis levé le premier pour rejoindre Gérard qui m’avait proposé de venir courir avec lui dans les collines autour de sa villa. “Un petit footing de quelques kilomètres, ça fait du bien pour commencer la journée” m’avait-il dit.

Nous avions rapidement avalé un café avant de partir et après une bonne demi-heure de course tranquille, nous avons fait une pause. Je reprenais mon souffle, mon rythme cardiaque reprenait une vitesse normale et je profitais du panorama sur la garrigue et la mer.

— Dis-moi Gérard ! As-tu encore beaucoup de surprises comme le pourboire à me faire ?

— Pourquoi ? Je ne comprends pas.

Je lui racontai ma discussion avec Laurence dans la chambre. Il s’excusa d’avoir poussé Marie-Christine à demander à Laurence d’aller récupérer les pizzas. Il ignorait que ma compagne ne m’avait pas prévenu de ces petits extras offerts à certains livreurs habitués aux frasques de la maison.

— Je suis vraiment désolé, me dit-il à nouveau. J’aurais dû t’en parler…

— Ce n’est rien, lui dis. Tu n’as pas à être désolé, c’est entièrement de la faute de Laurence qui aurait dû me prévenir avant son arrivée. D’ailleurs, elle sera punie pour cette omission. Elle vous l’annoncera elle-même.

— On rentre ! me dit-il.

— OK !

— Le premier à la maison ! Le premier à la douche ! lança-t-il en accélérant le rythme.

Je le suivis sans difficulté, même s’il avait été sportif dans sa jeunesse et qu’il avait continué à entretenir sa forme, nos vingt-cinq ans d’écart me donnaient un avantage non-négligeable.

Nous franchîmes le portail ensemble et dans la cuisine, Laurence et Marie-Christine discutaient du programme de la journée.

— Allez prendre une douche avant de venir nous embrasser ! dit Marie-Christine en riant.

***

Douchés et changés, nous les rejoignîmes dans la cuisine pour un brunch bien mérité. Les quelques kilomètres proposés par Gérard s’étaient transformés en une course de près de dix kilomètres. Laurence me regardait avec un peu d’inquiétude dans les yeux. Elle se demandait ce que j’allais lui imposer comme punition.

— Ma chérie, n’as-tu rien à dire à nos amis ?

— Euh… comment cela ? Non, je ne crois pas !

— Tu en es sûre ?

— Euh… oui… Ah non… C’est vrai !

Elle baissa les yeux et prit une longue respiration.

— Monsieur Gérard, Madame Marie-Christine, j’ai fait une erreur par omission et je dois être punie.

— Quelle est cette erreur ? demanda Marie-Christine qui n’était pas dans la confidence.

— Dis le nous ! ajouta Gérard.

— Voilà ! Avant d’arriver, j’ai oublié de parler à Marc des pourboires !

— En effet ! dit Marie-Christine. Tu mérites une punition ! Et qu’elle va-t-elle être ?

— Je pense, dit Gérard, que tu devrais nous rappeler la règle des pourboires !

Je vis ma brune déglutir.

— Oui, Monsieur Gérard ! Bien sûr…

J’étais tout ouïe. Laurence bafouilla un peu.

— P… Pour un pourboire normal, je dois faire une pipe au livreur… pour un pourboire spécial, le livreur a le droit de me baiser et pour un pourboire extra-spécial, je dois lui offrir mon cul.

Je réalisai que ma relation avec Laurence avait complètement changé de nature depuis que j’avais accepté le cadeau de Gérard et Marie-Christine lors de leur visite. Le monde de ce couple était vraiment très particulier et même si je n’avais pour le moment fait qu’en entrouvrir la porte, il était très différent du monde dans lequel la majorité des couples vivaient. Pour faire partie de cet univers, il ne fallait absolument pas être jaloux et avoir confiance dans son partenaire.

— Laurence aimait bien offrir des extra-spéciaux, n’est-ce pas Petite ?

— Oui Monsieur Gérard, c’est vrai ! Mais c’était il y a longtemps !

— Et cela te plairait toujours ? lui demandai-je.

Là, ce fut elle qui fut surprise, je voyais bien qu’elle ne savait pas quoi répondre.

— Ton homme t’a posé une question, dit Marie-Christine.

— Oui ça me plairait…

— Qu’est-ce qui te plairait ? demandai-je à nouveau

— Ça me plairait de donner des pourboires extra-spéciaux ! 

— Pourquoi cela te plairait-il ?

A nouveau Laurence prit une longue inspiration avant de répondre.

— Parce que j’aime être sodomisée…

Cette révélation me surprit un peu. Certes, depuis notre première fois comme cela, nous avions souvent recommencé, je me doutais qu’elle aimait cela mais de l’entendre nous le dire, me satisfaisait encore plus.

— Bien, après toutes ces révélations, il est temps que je te dise ce que je t’ai réservée comme punition…

— Oui ! dis-le-nous, Marc ! demanda Gérard.

Il avait l’air d’un prédateur qui se pourléchait les babines en imaginant le plaisir qu’il tirerait de déguster sa proie.

— Bien… Comme nous sommes en été, au bord de la mer et avec la piscine… En présence des enfants… Je ne peux pas utiliser la cravache, cela laisserait des marques que nous aurions du mal à expliquer aux enfants. J’ai donc pensé à quelque chose de plus discret mais qui n’en sera pas moins éprouvant pour toi, ma chérie…

Laurence me regardait, je devinais son appréhension augmenter.

— J’ai donc décidé que jusqu’à la fin de notre séjour ici, personne ne pénétrera ni ta chatte ni ton cul… Mais… Nous pourrons utiliser ta bouche quand nous en aurons envie… Et tu devras tous me raconter à chaque fois que tu auras été utilisée. Qu’en pensez-vous ?

Ma compagne me regarda affolée. Elle réalisa qu’elle allait devoir passer deux semaines sans être baisée. Son regard me suppliait.

— Intéressant, dit Gérard. Je ne sais pas si j’y aurai pensé. Mais cela me convient parfaitement. Et pour toi Marie-Christine ?

— Très bien aussi. Tu as bien dit : dès que nous avons envie ? me demanda-t-elle.

— Oui ! C’est ce que j’ai dit !

Marie-Christine regarda Laurence les yeux brillants.

— Viens avec moi dans la salle de bain, avant que les enfants arrivent.

Je n’ignorai pas que Laurence avait eu des relations intimes avec des femmes et plus particulièrement avec Marie-Christine, mais leur disparition dans la salle de bain en était la confirmation.

***

Au cours des jours suivants, la bouche de Laurence fut souvent mise à contribution, dès que nous pouvions le faire sans craindre l’arrivée inopinée d’un enfant. Gérard insistait aussi pour qu’elle fut le plus longtemps possible seins nus ; dans la piscine, pour prendre un bain de soleil ou même pendant les repas que nous prenions tous en maillot de bain. Il ne fallut que quelques jours pour que sa poitrine et ses fesses eurent le même teint hâlé que le reste de son corps. Je la trouvais de plus en plus désirable et je n’étais pas le seul. Gérard me dit un matin pendant notre footing quotidien qu’il n’aurait pas détesté la prendre si elle n’avait pas été punie.

Le soir, Laurence manifestait sa frustration en venant se coller contre moi. Elle me branlait en espérant que je cède et que la bascule pour la baiser.

— S’il te plaît ! me suppliait-elle. Baise-moi ! Encule-moi ! Prends-moi !

Elle devenait de plus en plus vulgaire. Parfois je passais ma main entre ses cuisses, je frôlais ses lèvres, son clitoris puis je m’écartais. Elle gémissait, pleurait presque de frustration.

— Suce-moi ! C’est tout ce à quoi tu as droit.

Je n’ignorais pas que dans la journée elle avait sucé plusieurs fois Gérard ou léché la chatte de Marie-Christine qui par perversité lui demandait cela après être passée aux toilettes.

Je mis fin à son supplice le dernier soir de notre séjour chez Gérard et Marie-Christine. Lors de cette dernière soirée, nos hôtes avaient invité un couple de leurs amis que Laurence connaissait aussi de longue date. Paul et Françoise étaient cogérants d’une petite société de production audiovisuelle. Je n’avais pas osé demander à Gérard quels types de vidéos ils produisaient mais Paul répondit rapidement à ma question quand il demanda à Laurence si elle allait enfin accepter de tourner pour lui. Il ne produisait que des documentaires sur la vie secrète des termites dans la forêt amazonienne les nuits de pleine Lune.

Ils étaient arrivés avec leurs petits enfants dans l’après-midi, très vite les enfants avaient joué ensemble et nous avaient laissés tranquilles. Laurence m’apprit que Paul avait été l’un des premiers à lui prendre son cul. Elle en gardait un cuisant souvenir, car le sexe de Paul était de belle dimension. C’était aussi avec lui et Gérard qu’elle avait connu sa première double pénétration.

Tard dans la nuit, alors que les enfants étaient profondément endormis et que nous profitions tous les six de cette belle nuit d’été, sur la terrasse, je dis simplement :

— Inspection !

Laurence se leva immédiatement et prit la pose, imitée par Françoise.

— Paul, à toi l’honneur ! Lui dis-je.

— Je t’en prie, fais de même ! me proposa-t-il.

Il déshabilla Laurence et plongea ses doigts dans la fente sevrée de sexe depuis deux semaines. Laurence dût serrer ses lèvres pour ne pas gémir. Paul avait été informé de la punition de ma compagne, il prenait son temps. Je voyais Laurence trembler de tous ses membres.

Je fis de même avec Françoise qui avait à peine dix ans de plus que moi. Elle était grande, mince, élancée. Elle me souriait, je me sentais un peu nerveux. C’était une première pour moi. Jusqu’à présent, je n’avais inspecté que Laurence. Mes doigts glissèrent sans résistance entre ses lèvres intimes. Je les fis coulisser plusieurs avant de lui ordonner d’offrir ses fesses à mon Inspection. Je constatais immédiatement la différence entre son orifice et celui de Laurence. Quand je me suis occupé de sa bouche, elle aspira mes doigts sans aucun mouvement de recul.

Paul prit un malin plaisir à stimuler les trous de Laurence, au bord de la jouissance. Juste avant de lécher les doigts de Paul, elle ne put pas masquer un tremblement que je reconnus immédiatement. Elle jouissait en silence

— Je crois que les deux soumises sont prêtes et accueillantes, dit Marie-Christine.

Les deux femmes avaient repris leur pose d’attente.

— Marc, dit Gérard en maître de cérémonie Si tu es d’accord, je propose que tu ailles dans la chambre, avec Marie-Christine et Françoise, pendant Paul et moi, nous nous occupons de Laurence.

— Cela me convient parfaitement. Mais…

— Qu’y a-t-il ? Demanda Paul.

— Je pense que Laurence mérite une nouvelle punition…

— Comment cela ? Demanda Paul.

Gérard sourit, il avait noté la même chose que moi.

— Laurence, dis à Paul pourquoi tu mérites une punition.

Elle baissa la tête.

— Je mérite une punition car j’ai eu un orgasme pendant l’Inspection, Monsieur Paul.

— Très bien ! Dit Paul qui se tourna vers sa femme. Françoise ! Quel est le tarif pour avoir joui pendant l’inspection ?

— Vingt coups de martinet sur la chatte, répondit-elle.

Laurence blêmit en me regardant. Je ne savais que dire. Je ne pouvais pas changer les choses. J’avais proposé à Paul de l’inspecter, je devais le laisser aller jusqu’au bout. Je n’avais uniquement puni Laurence qu’en lui cravachant les fesses. Cette punition serait infligée au martinet sur son sexe affamé et excité. De plus, les lanières étaient beaucoup plus souples et épouseraient parfaitement les formes de son corps.

— Marie-Christine ! Dit Gérard. Je pense que tu devrais prendre le bâillon en plus du martinet. Il ne faudrait pas réveiller les enfants.

N’avais-je pas été trop loin ? Je tentais de deviner dans le regard de ma compagne ce qu’elle pouvait ressentir. Je sus plus tard qu’elle gardait un lointain et cuisant souvenir de cette punition qu’elle avait subi dans sa jeunesse. Elle me souriait. Elle était fière de moi et elle le fut encore plus quand que je lui ai attaché le bâillon sans avoir cédé, sans avoir renoncé à la punir.

Marie-Christine me donna le martinet. J’étais son maître, j’avais prononcé la sanction, je devais l’exécuter. Gérard m’indiqua comment procéder. Je levais le bras et j’infligeai le premier coup. Laurence sursauta. Le bâillon étouffa son cri. Françoise comptait. 

— Un !

Je recommençais. Une lanière s’insinua entre ses cuisses. Elle se tendit, une larme apparut au coin de son œil.

— Deux !

Je relevai le bras et recommençais.

— Trois !

Comme Gérard me l’avait expliqué, je donnais mes coups sans rythme, de temps à autre je caressais sa peau avec les lanières.

Au vingtième coup, le pubis et le devant des cuisses de Laurence étaient rouges. Elle tremblait de tout son corps.

Je la pris dans mes bras, lui retirai son bâillon. Elle respira profondément. Françoise et Marie-Christine vinrent essuyer sa salive et ses larmes.

— Je te félicite ma chérie… tu as été forte et courageuse.

— Merci, mon amour de m’avoir punie comme je le méritais. Je t’aime.

Nous nous embrassâmes longuement puis elle alla rejoindre Gérard et Paul pour la fin de la nuit.

***

J’ai passé une nuit qui reste encore dans ma mémoire. Marie-Christine et Françoise étaient âgées mais leur âge n’enlevait rien à leur ardeur, au contraire.

Je finis par céder à la volonté de Françoise pour que je prenne une petite pilule bleue, un vrai miracle qui me permit de faire des galipettes avec ces deux femmes jusqu’au lever du soleil. Quand Laurence me rejoignit, il ne fallait pas que les enfants voient que leurs parents ou grands-parents n’avaient pas dormi dans leurs chambres respectives, je fus encore en état de lui procurer un ultime orgasme.


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