Le récit que je vais vous conter me vient des souvenirs de Christian, un vieil ami qui ne savait pas comment mettre en forme l’histoire de ce couple, dont le mari est le fils d’un de ses amis. Le mari, Joseph, ingénieur dans une grande entreprise de la région marseillaise est un joueur de poker invétéré. La femme, Brigitte est une jolie blonde de la cinquantaine au tempérament chaud.
Sans dévoiler les aventures de Joseph et Brigitte, sachez que la dépendance au jeu peut entraîner de graves conséquences et que les histoires dans le monde réel finissent rarement comme au cinéma. Cette histoire commence dans la cuisine de Joseph et Brigitte.
***
Joseph, les yeux brillants, interpella Brigitte qui était en train de préparer le dîner. Il lui agitait sous les yeux un ticket de la Française des Jeux.
— Je me sens en verve ce soir ma chérie… je le sens bien ! Je vais récupérer ce que j’ai perdu…
— Jo ! Fais pas le con, tu leur dois déjà vingt-mille balles…
— Je t’assure que les étoiles sont de mon côté… j’ai acheté un ticket au PMU à gratter et j’ai gagné cinquante euros… Regarde ! Je t’assure ! Je vais gagner… et même plus…
Sachant qu’elle ne pourra pas s’y opposer, Brigitte céda à son mari et accepta de l’accompagner dans le bar, ou plutôt ce bouge où elle travaillait le soir, pour assurer le service dans l’arrière salle transformée en salle de jeux clandestine.
Malgré ses cinquante ans, elle plaisait encore aux hommes et elle pouvait le constater lors de ces parties de poker clandestines. Elle ne faisait rien pour empêcher les joueurs de venir caresser ses fesses tout juste cachées par une jupe ou un mini short en jean bien moulant. Certaines mains se glissaient même parfois sous la jupe et s’aventuraient jusqu’aux fesses non couvertes par son string. Il faut dire que Marcus, le patron, l’incitait à aguicher les autres joueurs afin de leur donner envie de revenir.
Ces gestes avaient le don d’irriter Joseph, mais il ne pouvait pas dire grand-chose vu les sommes qu’il devait à Marcus et que celui-ci acceptait toujours de lui garantir tant que Brigitte l’accompagnait et Brigitte auraient refusé de revenir si elle ne pouvait pas être sautée au moins une fois dans la soirée.
Marcus avait acheté ce bar dans une ruelle en plein milieu du quartier du Panier au bord d’un ruisseau, à la veille de son quarantième anniversaire. Dans la journée, il était parfaitement recommandable même si quelques individus louches venaient parfois s’accouder sur le zinc pour discuter avec le patron ou faire du gringue à la serveuse. Rapidement Marcus s’était rendu compte qu’en l’ouvrant à une clientèle restreinte amatrice de poker et triée sur le volet le mercredi soir, en les faisant entrer par l’entrée de derrière, ses revenus en seraient grandement améliorés et tout cela dans le dos du fisc. Cela faisait cinq ans que la salle de jeux clandestine existait et sa discrétion et le sérieux du patron en avait fait un lieu incontournable pour ceux qui voulaient blanchir de l’argent gagné de manière peu recommandable. Trafiquants en tous genres, proxénètes et autres, se retrouvaient dans ce lieu pour de longues parties de poker.
Les règles de ce “club” très fermé étaient simples, discrétion absolue et chaque joueur devait déposer l’argent qu’il voulait miser dans le coffre de Marcus avant chaque partie. En échange, il recevait autant de jetons que d’argent déposé, un jeton pour cent euros. Officiellement les joueurs jouaient des jetons… au cas où une descente surprise des forces de police tomberait, sur une dénonciation d’un perdant s’estimant arnaqué.
Marcus ne jouait pas, mais il conservait vingt pour cent des sommes gagnées et chaque joueur devait payer un droit d’entrée. En plus d’arrondir ses fins de mois, ces sommes lui permettaient de mettre à la disposition de joueurs boisson et nourriture pendant leurs parties, mais aussi, de garantir à tous les gagnants qu’ils toucheraient leur gain en fin de soirée, même un joueur ayant perdu plus que son dépôt. Mais gare au joueur qui ne pouvait pas le rembourser, la sanction était sévère. Les derniers à connaître cette punition furent un prof d’université et son épouse qui fait le bonheur d’un producteur de films pornographiques et est connue des visionneurs sous le nom de Luna Boobs. Quelques parents d’élèves de l’école où elle enseigne commencent à la reconnaître et certains ne détesteraient pas profiter de son savoir-faire. Il faut dire que cette blonde aux yeux bleus de trente-cinq ans, donnant toujours l’impression de sortir de la messe avec son serre-tête de velours bleu marine retenant ses cheveux, ses jupes droites et ses chemisiers blanc sous un gilet attire les convoitises. Sur la plage, le tatouage qu’elle porte sur l’épaule gauche : un croissant de lune entre deux seins stylisés, est remarqué par les amateurs de ces vidéos qui sont surpris de la voir accompagnée de ses deux jeunes enfants. Hormis son mari, sa famille ignore encore les activités de Ludivine Mercier, alias Luna Boobs, quand elle s’absente le week-end ou pendant les vacances. Elle va s’occuper de tatie Béa, une vieille grand-tante revêche que personne n’a jamais vu, chaque côté de la famille supposant que c’est une paria de l’autre famille. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai peut-être plus tard, si cela vous intéresse et si je trouve assez d’informations.
Joseph, ou Jo pour les intimes, accro au jeu n’avait pas pu résister quand Marcus lui avait proposé de participer à une soirée. “Et si Brigitte accepte de faire le service, ce serait le jackpot pour vous deux !” lui avait dit Marcus qui connaissait l’appétence de la blonde pour les hommes. Il savait que les joueurs apprécieraient de pouvoir profiter du cul de cette bourgeoise blonde.
Brigitte connaissant les vices de son mari avait accepté sans difficulté la proposition du patron de la Belle de Mai en se disant qu’elle pourrait peut-être aussi profiter d’extra. Toutes les semaines elle assurait le service entre le bar et les tables de poker. Quelques fois, elle avait assuré un peu plus que le service des boissons et était rentrée au petit matin avec le string trempé de sperme de joueurs qui avaient voulu se consoler de leurs pertes ou pour fêter de juteux gains.
Un jour, après une longue nuit de poker, Brigitte avait fait attendre Joseph car elle était occupée à vider les couilles de Farid, un proxénète, que Joseph avait délesté de quelques milliers d’euros un peu plus tôt. Quand, elle l’avait rejoint au bar, devant Marcus et le proxénète, Jo lui avait fait remarquer qu’elle se comportait comme une pute, la réponse avait été cinglante : “tu es accro au jeu, moi à la bite !”
Ces paroles n’étaient pas tombées dans l’oreille de sourds, Marcus et Farid s’étaient regardés en souriant.
Ce soir-là, en arrivant au club, Marcus les accueillit en souriant.
— Jo, tu as emmené du cash ?
— Oui ! Voici cinq-mille balles…
— Ça ira pour ce soir, mais n’oublie pas le reste !
— J’oublie pas, j’aurais une grosse prime bientôt. Je te rembourserai tout… et peut être même dès ce soir ! Ajouta Jo en riant grassement.
Brigitte grommelait tout en fusillant son mari des yeux. “Ce con, pensait-elle, allait encore dépenser l’argent de sa prime dans le jeu au lieu de le dépenser dans des vacances en Thaïlande comme il le lui promettait depuis dix ans…“ Elle espérait que Farid serait présent et qu’il trouverait le temps entre deux parties de venir s’occuper de son cul, au moins elle ne perdrait pas son temps et cela la changerait un peu d’apporter leur boisson aux joueurs.
Marcus embrassa Brigitte en lui flattant la croupe.
— Toujours aussi salope, ma belle !
— Faut bien ! Si je veux profiter de la soirée moi aussi…
— Allez ! File au bar ! lui dit Marcus en lui claquant les fesses sous le regard furibond de Jo.
Depuis le bar, Brigitte voyait la salle de jeux. Ce soir, Marcus avait fait salle comble, ses six tables étaient occupées, à raison d’au moins de cinq-mille euros par joueur cela allait lui faire un soirée à au moins six-mille euros, sans compter les intérêts des retardataires comme son mari.
A la table de Jo, elle reconnut un habitué, un jeune entrepreneur plus doué dans les nouvelles technologies qu’aux cartes, un vieux rentier plein aux as qui bandait mou mais qui lui offrait toujours un petit pourboire après qu’elle lui eut fait une bonne pipe. Pourboire qu’elle se gardait bien de signaler à Marcus et son mari. Le quatrième était un nouveau, la cinquantaine, grand blond avec un accent germanique prononcé. Elle se dit que la chance serait peut-être du côté de son mari, vu le niveau de deux des joueurs.
Jo regarda ses cartes, Dame Fortune était avec lui ce soir, cela fait deux mains successives qu’il tirait directement une quinte flush et là, il avait même le Graal de tout joueur, la quinte flush royale !
Les mises commençaient à monter. Jo bluffait bien, les autres joueurs connaissant un peu les probabilités de sortie des séries n’imaginaient pas qu’il puisse avoir obtenu deux fois de suite une main aussi haute. Si l’allemand se coucha bien vite, appelant Brigitte pour avoir bière et en profiter pour lui palper les fesses, les deux autres insistaient. Il était près de deux heures du matin quand ils décidèrent de voir.
Jo eut un sourire radieux en ramassant la mise. Avec ses gains de cette soirée, il rembourserait Marcus et il pourrait s’offrir un petit week-end au Cap-d’Agde avec Brigitte. Elle serait contente et pourrait assouvir sa soif de bites.
Malheureusement pour Jo, ce fut sa dernière soirée de chance. Mais cela, il ne le savait pas encore.
Après le départ du couple, Marcus appela Farid qui n’était pas venu ce soir-là.
— Désolé mon vieux mais le cave s’est refait… Il n’a plus de dettes…
— Vu comment il est accro, je ne m’inquiète pas, ce n’est qu’une question de temps… Mais, sinon, tu as pu tester la petite dernière ?
— La Chloé ?
— Oui l’étudiante en Histoire de l’Art que Malik à lever lors d’une soirée étudiante…
— Oui bien sûr, elle ne suce pas trop mal, mais pour les gorges-profondes il va lui falloir de l’entraînement et elle encaisse bien par le cul… Je vais la confier quelques jours à Roberto…
— OK ! Tiens-moi au courant…
— Au fait, tu as pu avoir des informations sur les trois types qui sont intéressés par les mercredis…
— Mes gars ont fait du bon boulot, il y en a deux qui sont solvables sans problème, vu leur baraque, leurs voiture et leur train de vie, perdre 10 000 balles en une soirée ne leur posera pas de problème, ils paieront…
— OK et le troisième ?
— Lui c’est un peu délicat, c’est comme le Benjamin, il a l’air d’avoir les thunes mais c’est difficile de savoir si c’est vrai ou s’il fait de l’esbroufe… je le sens pas ce type…
— Tu me conseilles quoi ?
— Accepte-le ! Plume-le une fois ! Et fais-lui peur ! Ça devrait le calmer…
— Et s’il revient à la charge…
— Dans ce cas laisse mes gars s’occuper de lui…
— Oh… je te sens grognon… Tu m’en veux toujours d’avoir refilé la Mercier à André ?
— Oh non, car je sais que je vais la récupérer bientôt… Son mec ne pourra pas s’empêcher de revenir… En plus, je sais que cela l’excite de voir sa femme dans les pornos… Pour le moment, il fait bonne figure devant elle, mais il recommence à parler des soirées…
— Je lui réserve une place pour la semaine prochaine…
— OK ! Mais dis lui de venir avec sa pute…
— T’inquiète… je vais mettre ces deux loosers avec le prod et toi…
— Je croyais que tu tirais les tables au hasard…
— On peut toujours aider le hasard…
— OK, dit Farid en riant. À mercredi !
Dans leur pavillon de Gardanne, Brigitte et Jo se réveillent après une courte nuit. Alors qu’ils étaient en train de prendre leur café, Jo regardait son téléphone puis il releva les yeux en souriant
— Ce week-end, je t’emmène au Cap-d’Agde… tu as bien mérité de t’amuser un peu…
— Oh mon chéri ! C’est vrai ? demanda Brigitte qui n’en croyait pas ses oreilles. Elle aurait préféré un week-end à Venise mais le Cap, ce n’est déjà pas si mal.
— Bien sûr… Hier soir j’ai pu intégralement rembourser Marcus et il m’est même resté quelques centaines d’euros… Je viens de réserver un bungalow au club !
— OK ! Mais promets-moi de ne plus jouer autant !
— Oui promis !
Sur cette promesse fallacieuse, Jo pris sa femme dans ses bras pour l’embrasser, en lui murmurant à l’oreille :
— Et si tu me faisais une petite pipe pour me remercier avant que je parte au boulot.
— Cochon va ! Je te fais ça ne va pas t’imaginer que je te ferai cela tous les jours.
La blonde se pencha devant son mari et sorti un sexe fripé du caleçon. Elle joua avec pendant quelques minutes avant de l’emboucher. Elle connaissait parfaitement son mari et savait utiliser sa bouche. Elle le prenait totalement avant de reculer tout en aspirant puis reprenait la queue maintenant bien dure. Elle lui massait les couilles et au bout de quelques minutes de ce traitement, Jo ne put plus se retenir. Gourmande elle garda tout dans sa bouche et après avoir tout avaler, elle se lécha les lèvres avant de se relever.
— Va bosser mon coquin ! Tu vas être en retard. Je te promets une surprise ce soir…
Son mari parti, Brigitte agit comme tout les matins, femme au foyer depuis la naissance de ses enfants, elle n’avait jamais travaillé. Cela expliquait qu’elle n’eut jamais trouvé le courage de le quitter et malgré son addiction au jeu, Jo avait entre les jambes un membre qui ferait rougir pas mal d’hommes et il savait s’en servir.
Après avoir fait son étage et ranger la maison, Brigitte se rendit dans un magasin de lingerie pour s’offrir un ensemble de lingerie de dentelle violette pour accueillir Jo quand il rentrera.
Toute la journée, Jo se demandait quelle surprise sa femme lui préparait pour son retour. Il s’en doutait un peu, il connaissait sa femme. Il se préparait à une soirée très chaude et il était certain qu’elle leur aurait mitonné un dîner aux petits oignons.
Il réprima un geste qui aurait pu être mal interprété par Sonia, sa jeune assistante. Il faut dire qu’elle savait comment aguicher ses collègues et qu’elle en usait avec habileté.
Pourtant, il aurait aimé la voir en tenue de pute faire service chez Marcus, il aurait pu lui mettre la main au panier sans risquer un blâme de sa hiérarchie. Mais il devait se concentrer, en plus il avait promis à Brigitte d’arrêter de jouer au poker. Il se disait qu’il pourrait peut-être négocier une soirée par mois. Il lui en parlerait pendant le week-end entre deux mecs.
Comme il s’y attendait, le repas fut un vrai délice pour les papilles et pour les yeux. Brigitte avait mis les petits plats dans les grands et la tenue qu’elle portait, augurait d’une nuit particulièrement chaude et agitée.
Cela commença dans le salon, après le repas. Pour servir le digestif, Brigitte laissa tomber sa robe. Jo n’en croyait pas ses yeux. Sa femme portait un ensemble sexy qui le fit bander instantanément. Elle aperçut immédiatement la bosse dans le pantalon et elle vint s’agenouiller entre ses cuisses. Avec agilité, ses doigts libérèrent le membre viril de son mari de sa prison de tissu et avec gourmandise elle commença à le sucer. Elle avait pris de l’assurance depuis qu’elle assurait le service le mercredi soir chez Marcus. Il faut dire que Farid était un bon professeur et il lui avait appris comment réaliser des gorges profondes sans vomir à chaque fois. Jo était aux anges. Il sentait sa bite franchir le passage de la gorge de sa femme sans que celle-ci n’eut le moindre hoquet. Elle le pompait avec adresse. Elle le regardait, les yeux brillants d’amour.
Tu vas faire un tabac ce week-end, lui dit-il en fermant les yeux.
“J’y compte bien !” pensait-elle. Mais, elle se concentrait sur cette bite qui lui donnait toujours autant de plaisir même si ce n’était pas aussi fréquent qu’elle l’aurait souhaité. D’ailleurs, elle n’aurait pas besoin d’aller chercher son plaisir ailleurs si son mari était aussi présent au lit qu’il l’était à une table de poker.
Quand elle le sentit sur le point de jouir, elle recula. S’il jouissait maintenant, il ne serait plus bon à grand-chose quand ils seraient au lit et elle avait envie de le sentir dans sa chatte à défaut de le sentir aussi dans son cul. Elle savait que ce serait soit l’un, soit l’autre, mais pas les deux.
— Pourquoi tu t’arrêtes ma chérie ?
— Tu le sais bien… J’ai envie que tu me baises…
— Salope… lui dit-il gentiment.
Il se hâta de finir son verre avant de prendre sa femme par le bras pour l’entraîner vers le lit. Dans la chambre, elle dut recommencer à le sucer pour que le mât de son mari se redresse. Les quelques pas en direction de la chambre avaient eu raison de sa rigidité. Allongé sur le dos, il la regardait faire. Il la regardait avaler son sexe. Il pouvait sentir son nez venir contre son ventre. Il grognait. Il savait que lorsqu’elle se retirait, elle viendrait s’empaler sur lui.
En souriant, Brigitte se laissa descendre lentement sur le membre qui écartait sa chatte. Elle commença à monter et descendre pour faire coulisser le vit de Jo dans sa moule trempée.
— Oh oui ! C’est bon… J’adore ça…
— Continue ma salope ! Je vais jouir…
— Je le sais mon cochon…
Brigitte accéléra le rythme et elle sentit son mari décharger son jus dans son ventre. Elle n’avait pas encore joui, cela ne changeait guère. Elle s’allongea sur son mari pour se frotter sur le sexe qui commençait à débander. Jo refusait de prendre ces petites pilules bleues, elles lui donnaient des palpitations et il était effrayé à l’idée de “crever en baisant.” La blonde frottait son clito sur le sexe ramollit de son mari. Elle fermait les yeux. Imaginait-il qu’elle rêvait qu’une grosse bite lui perfore le cul pendant qu’elle se caressait ainsi. Elle avait l’image de Farid dans son cul en jouissant sur son mari.
Joseph la prit dans ses bras pour l’embrasser et ils s’endormirent ainsi. Au matin, son érection matinale lui permit d’honorer rapidement Brigitte avant de partir travailler pendant qu’elle préparerait leur bagages pour ce week-end de débauche au Cap-d’Agde.
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