Après ces aveux, notre relation prit une autre tournure. À côté de Laurence, je faisais figure d’un novice, mais je ne craignais plus de l’effrayer avec mes demandes. J’étais encore loin des exigences qu’elle avait connues avec Gérard et Marie-Christine.
Le matin, elle s’appliqua à me sucer avant mon lever et bien évidemment, elle ne mit pas de culotte sous sa jupe quand nous allâmes faire les courses. En montant dans la voiture, sa jupe s’était retroussée dévoilant le haut de ses bas. Je lui retins la main pour l’empêcher de recouvrir ses cuisses. Elle me sourit et retira ses mains. Arrivée dans le parking, je passais mes mains entre ses cuisses. Je pus constater qu’elle était humide.
— Tu aimes vraiment ça, lui dis-je.
— Oui ! Et encore plus de le faire à ta demande…
***
De retour du marché, je préparais le repas. J’aimais prendre le temps le week-end de concocter des plats un peu plus élaborés que ceux que je faisais en quelques minutes le soir dans la semaine. Alors que je surveillais la cuisson, Laurence vint dans mon dos. Elle m’enlaçait. Je me retournais et je vis qu’elle s’était changée. Elle avait anticipé mes envies. Elle ne portait qu’une tunique à fine bretelle et très légère et très courte très suggestive, cela la rendait presque plus nue que si elle n’avait rien porté. Cela faisait partie de ses achats de la veille.
— Tu as encore beaucoup de surprise de ce genre, lui demandai-je.
— Peut-être…
— Comment veux-tu que je me concentre sur la cuisine ?
— Est-ce important ?
— Si tu ne veux pas manger brûlé, un peu, oui… Mais tu ne perds rien pour attendre…
Elle attrapa la vaisselle et je la regardai mettre la table. A chacun de ses pas, sa tunique se soulevait, dévoilant ses fesses et qui avait du mal à masquer sa poitrine rebondissante. Comment résister à une telle vision ?
Après le café, ma résistance s’effondra. J’attrapais ma compagne par le bras et je l’entraînais sur le lit. J’appliquais ce dont nous avions parlé au cours de la nuit. J’installais Laurence à quatre pattes sur le lit et je la pris en levrette. Elle couinait de plaisir. Il était évident qu’elle attendait cette situation depuis longtemps. Sa chatte était accueillante, brûlante, trempée. Mes allers et retours se faisaient de plus en plus puissants, mon ventre claquait contre mes fesses.
— Tu es prête !
Ce n’était pas une question, mais une affirmation. Je n’attendais pas de réponse. Mais elle me répondit quand même.
— Oui ! Vas-y !
À la pénétration suivante, je ne visais pas sa fente mais son cul. Elle poussa un petit cri qui ne me retint pas, au contraire.
— Caresse-toi, lui dis-je ou plutôt lui ordonnai-je.
Sa tête enfouie dans l’oreiller, sa main glissa entre ses cuisses et elle jouait avec sa chatte. Je me rappelais du jouet d’Anne-Lise. Je me demandais quel effet cela faisait d’enculer une femme tandis que sa chatte était occupée par un gode. Mes sensations en seraient-elles accrues ? Les gémissements de Laurence me sortirent de ma rêverie et je m’appliquai à la prendre consciencieusement. Son bassin anticipait mes mouvements et je me libérais dans son cul avant de m’affaler sur son dos. Laurence qui n’avait pas encore joui, finit de trouver son plaisir avec ses doigts. Pendant que mes mains étaient venues lui pétrir ses seins.
Le temps maussade et pluvieux ne nous incitait à sortir du lit, nous profitâmes d’une longue après-midi câline.
***
Nos week-ends sans enfants furent le témoin de nouvelles expériences pendant lesquelles je découvrais la nature profonde de ma compagne. Je fis quelques visites à la boutique érotique se trouvant à proximité de mon laboratoire qui me permirent de me procurer quelques objets pour agrémenter nos ébats.
Laurence remplit un tiroir de sous-vêtements affriolants et dans l’armoire, on pouvait y trouver des tenues qui auraient fait rougir sa mère.
Il était entendu que devant les enfants rien de ce qui se passait en leur absence ne devait apparaître.
***
Nous franchîmes une nouvelle étape au printemps suivant. Quelques semaines auparavant, Laurence avait reçu un message de Gérard et Marie-Christine qui lui annonçait qu’ils allaient venir quelques jours dans notre région et qu’ils seraient ravis de la revoir et de faire ma connaissance.
— Bien sûr, j’en serais enchanté aussi…
Quelques jours plus tard, je rencontrais les mentors de Laurence dans un restaurant renommé. Nous étions arrivés quelques minutes avant l’heure du rendez-vous. Je voulais donner la meilleure impression possible même si je savais que, depuis ce message, Laurence avait beaucoup échangé avec Marie-Christine et lui avait vanté mes qualités. “Je suis certaine que vous l’apprécierez” leur avait-elle écrit. Mon Partner dénotait par rapport aux véhicules des habitués qui arrivaient avec des berlines de luxe ou des SUV haut de gamme. Je m’étais garé à une extrémité du parking et nous nous dirigions vers l’entrée du restaurant quand nos hôtes arrivèrent au volant d’une Jaguar XJ6. Laurence leur fit un signe auquel Gérard répondit par un appel de phares avant de se garer. Je découvrais enfin ce couple. Gérard était vêtu d’un pull Lacoste avec un pantalon de toile. Comme me l’avait dit Laurence, il avait un physique de rugbyman. Marie-Christine portait un tailleur bleu-marine qui lui donnait un air de dame-patronnesse, hormis ses longs cheveux blonds libres qui lui couvraient les épaules. Si je n’avais pas su leur âge véritable, je leur aurais donné à peine dix ans de plus que nous.
La fermeté de la poignée de main de Gérard en disait long sur son caractère, un homme décidé et qui sait ce qu’il veut. Marie-Christine m’embrassa en me serrant la main, je sentis l’effluve d’un parfum délicat. Marie-Christine salua Laurence d’un regard pénétrant qui lui fit baisser les yeux.
— Je vois que tu n’as pas oublié tes bonnes manières, lui dit Gérard.
— Merci, Monsieur Gérard.
— Puis-je ? Me demanda-t-il.
— Je vous en prie, lui répondis-je.
— Inspection ! dit-il d’une voix sèche et ferme.
Je vis Laurence se raidir, écarter légèrement les chevilles et mettre ses mains sur sa nuque. Je restais silencieux immobile. Nous étions sur le parking, relativement loin de l’entrée mais pas totalement cachés. Gérard savait ce qu’il faisait.
— Marie-Christine, contrôle !
La blonde ouvrit la veste de Laurence puis déboutonna son chemisier écartant les pans, dévoilant sa poitrine dont les tétons étaient tout dur aux regards de Gérard qui ne disait mot. Puis la main de Marie-Christine se glissa sous la jupe de ma brune. Laurence eut un petit sursaut, je devinai la main de la sexagénaire remuer. Elle avait glissé deux doigts dans la fente excitée à l’idée de ses retrouvailles.
— Pile, ordonna-t-elle.
Laurence se tourna et nous montra son dos. Marie-Christine la fit se pencher en avant en dévoilant ses fesses nues puis pénétra son anus d’un doigt. Elle fit deux ou trois allers et retours avant de le retirer.
— Face !
Les ordres tombaient secs. Marie-Christine présenta ses doigts devant la bouche de Laurence qui nous faisait à nouveau face. Elle suça et aspira ces doigts en retenant un hoquet.
— La Petite est prête est accueillante, conclut la vieille blonde.
— Parfait ! Dit Gérard souriant.
Je le vis tendre la main et soupeser la poitrine de ma compagne.
— Tes mamelles sont encore plus désirables qu’il y a vingt ans…
— Merci Monsieur Gérard.
— Je me ferais un plaisir de t’apprendre à bien t’en occuper, me dit-il.
Je pris quelques secondes avant de répondre. Il y a une énorme différence entre entendre Laurence me raconter les choses et les voir. Je me demandais ce que j’allais encore pouvoir découvrir avec ce couple.
— … Oui… Merci…
— Tu peux refermer ton chemisier ma Petite.
— Merci Monsieur Gérard.
— Allons dîner, je suppose que vous êtes comme nous, pressés de découvrir la cuisine de ce nouveau chef étoilé.
— Oui, dis-je. Et encore merci pour cette invitation.
— Je t’en prie Marc, c’est la moindre des choses que nous pouvions faire pour remercier celui qui rend notre petite Laurence.
Nous entrâmes dans le restaurant à l’ambiance feutrée. Un serveur nous accueillit à l’entrée et nous conduisit à notre table, un peu à l’écart.
— J’ai demandé une table un peu isolée pour que nos propos ne troublent pas de chastes oreilles voisines, car même si la discrétion est de mise dans ce type d’établissement, il arrive que certaines oreilles traînent plus qu’elles ne devraient.
Quand nous fûmes installés, un regard de Gérard fit comprendre à Laurence d’ouvrir un bouton de son chemisier. Celui-ci découvrait maintenant la vallée de ses seins tout en restant suffisamment sobre pour ne pas créer un esclandre.
Au cours du repas, le couple me parla de leur relation avec Laurence. J’appris des choses qu’elle ne m’avait pas encore racontées ou des détails sur certaines situations. Gérard me dit qu’à l’époque, il lui avait proposé de se faire tatouer une fleur de lys sur l’épaule mais qu’elle avait refusé.
— Le ferais-tu maintenant ? Pour moi, pour faire plaisir à Gérard ?
— Oui, je pense…
— Alors pourquoi ne voulais-tu pas à l’époque ?
— Je ne sais pas… j’avais peur… peur du qu’en dira-t-on…
— Qui connaît encore la signification de cette fleur de lys, lui dis-je amusé.
— Toi ! Apparemment…
Je vis le sourire de Marie-Christine qui semblait heureuse de voir Laurence aussi heureuse.
— Alors, nous irons en faire.
— Pourrais-je l’offrir ? Dit Gérard en me regardant
— Si tu le veux, mais…
— Ce sera un plaisir, surtout si je peux être présent.
— Oui Monsieur Gérard, dit Laurence. Merci.
***
La tension accumulée au cours de ce repas était énorme. Lorsque nous fûmes dans la chambre, nous avions du mal à nous retenir. Je regardais Laurence qui se déshabillait.
— Inspection !
Elle se figea, elle eut un instant d’hésitation avant de prendre la pose comme sur le parking. Je la regardai fixement. Elle ne portait plus que ses bas et son porte-jarretelle. Sa poitrine se dressait fièrement devant mes yeux. Gérard avait raison, elle était magnifique. Je tenais ma main et j’introduis deux doigts dans son sexe trempé, brûlant excité. Elle frémit et retint un gémissement.
— Pile !
Laurence obéit et je glissais mon index dans son anus. Puis, je lançais le dernier ordre.
— Face !
Après l’inspection de sa bouche, je lui demandai de se mettre à quatre pattes sur le lit. Comme à chaque fois, elle m’offrait sa croupe avec plaisir. Je la pénétrais profondément et puissamment. Je pouvais voir ses mamelles remuer à chacun de mes mouvements, je pouvais utiliser ce terme, c’était celui que Gérard avait utilisé. Le lit grinçait. Mon espoir de ne pas troubler le sommeil de mes enfants s’éteignit lorsque mon amante cria longuement sa jouissance. Nous étions un mercredi soir, Laurence avait demandé à ses parents de lui garder ses petits pour venir dîner avec moi.
Au petit déjeuner, ce fut ma fille cadette qui mit les pieds dans le plat.
— J’ai entendu Laurence crier hier…
— Euh… Oui… excuse-moi, si je t’ai réveillée… répondit Laurence en baissant les yeux et rougissant un peu.
— Oh ! Ce n’est pas grave ! On en a l’habitude avec maman.
Je vis les yeux de ma fille aînée lancer des éclairs en direction de sa sœur et je dus faire un effort pour ne pas éclater de rire. Toutefois, je me disais que Christelle avait bien changé, si elle réveillait les filles quand elle faisait l’amour. Tant mieux pour ses amants, pensais-je.
— Dépêchez-vous, dis-je en changeant de sujet. Vous allez être en retard. Puis en regardant Laurence. Tu es prête ?
— Dans deux minutes…
Laurence avait retrouvé du travail, indépendamment des connaissances de Gérard. Comme elle m’avait rejoint en voiture, elle s’était proposée de me déposer, ce qui m’évitait aussi de prendre les transports en commun et surtout, nous pourrions profiter d’un peu plus de temps ensemble.
— A samedi, lui dis-je en sortant de la voiture.
***
Sur le parking, avant de nous séparer, j’avais proposé au couple de retraités de passer à la maison avant leur départ pour prendre un café. Leur visite eut lieu le samedi suivant, un samedi sans enfants.
Gérard et Marie-Christine étaient ponctuels, à seize heures, comme convenu, ils sonnèrent à la porte. J’avais préparé quelques petites mignardises pour agrémenter notre café. Laurence alla leur ouvrir. Comme à son habitude, lorsque nous étions seuls, elle ne portait qu’une de ses tuniques diaphanes. Le sourire sur les visages de Gérard et Marie-Christine trahissait leur satisfaction de la voir ainsi.
— Votre maison a du charme, me dit Marie-Christine.
— Merci ! Elle a le charme des années où l’on prenait le temps de construire pour durer…
Gérard rigola, puis me demanda après avoir regardé Laurence qui baissait les yeux.
— Tu me permets ?
— Fais !
— Inspection !
L’ordre tomba comme un couperet. Debout dans l’entrée, Laurence prit la pose. Marie-Christine lui ôta sa tunique, dévoilant sa totale nudité. Elle entreprit la visite de la chatte, du cul et de la bouche de ma compagne. Elle termina son Inspection en pinçant légèrement les tétons de Laurence. Je connaissais les effets que lui faisait cette caresse. Il était clair que Marie-Christine les connaissait aussi.
— La Petite est prête et accueillante, nous indiqua-t-elle.
— Bien ! dit Gérard.
Laurence restait immobile, les mains sur la nuque. Je lui souriais. Une étrange atmosphère régnait dans la pièce.
— À l’époque, la Petite accueillait nos invités en les honorant de sa bouche… dit Marie-Christine en me regardant.
Je regardais Gérard. Il ne disait rien, il voulait que je prenne ma décision seul.
— Je pense qu’il est important que Laurence retrouve ses bonnes habitudes… Qu’attends-tu Petite ?
Marie-Christine troussa sa jupe, dévoilant un pubis tout aussi lisse que celui qu’elle venait d’inspecter. Laurence se mit à genoux et approcha son visage du bas ventre de la blonde. Son visage indiquait que la langue de ma compagne lui procurait une intense satisfaction.
— Merci ! Lui dit-elle.
Laurence se tourna alors vers Gérard et entreprit de sortir son sexe du pantalon. Je pus voir que malgré son âge, il avait encore toute sa vigueur lorsqu’elle le prit dans sa bouche. Laurence s’appliquait, je pouvais voir ses joues se creuser. Elle avalait ce membre sur toute sa longueur.
Après quelques minutes, Gérard la remercia. Laurence se releva et reprit sa pose d’inspection.
— Je pense que nous pouvons aller dans le salon pour prendre le café, dis-je. Ma chérie, peux-tu faire le service ?
Nue, Laurence apporta la cafetière et nous servit. Elle s’assit à côté de moi, gardant ses genoux écartés, ce qui ne cachait pas sa féminité à nos invités.
— Je t’ai apporté un petit cadeau, me dit Gérard. Laurence t’en expliquera l’utilité.
Il me tenait un petit paquet, fin et long. Je compris rapidement ce qu’il contenait mais j’avais du mal à le croire.
— Oui ! C’est bien une cravache… C’est un objet indispensable au maître pour rappeler ses devoirs à sa soumise et remédier à ses manquements, n’est-ce pas Petite ?
— Oui Monsieur Gérard… répondit Laurence en gardant les yeux baissés.
Ça y était, les mots étaient lâchés : maître, soumise. Était-ce que nous étions l’un pour l’autre Laurence et moi ? Peut-être ! Je comprenais surtout de ce que Gérard et Marie-Christine disaient que cette relation ne peut être qu’une relation de confiance et de respect mutuels. En réalité, si le maître propose, c’est la soumise qui dispose.
— Je ne sais pas si je pourrais l’utiliser ? dis-je. Je n’ai jamais frappé une femme.
— On ne te parle pas de frapper, me dit Marie-Christine, mais de punir ! De punir une personne qui accepte sa punition en toute connaissance.
— Peut-être… si vous le dites…
— Pour la première, on peut t’aider, te conseiller, me proposa Gérard.
— Oui… sûrement…
— Je suis certaine que Laurence mérite une punition, n’est-ce pas Petite ? Marc a certainement une bonne raison de te punir, dis-nous !
Je réfléchissais. J’essayais de trouver une raison pour laquelle j’aurais dû punir ma compagne. J’avais beau chercher, passer en revue les événements de ces derniers jours lorsque nous étions dans notre configuration maître-soumise, je n’en trouvais pas.
— Oui Marie-Christine, en effet. Marc doit me punir.
— Expliquez-nous pourquoi ?
Je regardais avec surprise Laurence, je me demandai à quoi elle pouvait penser.
— À notre retour du restaurant, lorsque Marc m’a fait l’amour. J’étais tellement excitée que je n’ai pas su me retenir et que mes cris ont réveillé ses enfants. Je dois être punie pour cela.
J’allais lui dire que je ne pensais pas que cela soit une raison suffisante, mais Gérard me posa la main sur le bras et intervint.
— Très bien Petite ! Tu sais ce que tu peux et ne peux pas faire. Alors dis-nous maintenant quelle punition tu mérites.
— Pour cette erreur, je mérite dix coups de cravache, Monsieur Gérard.
J’appris plus tard que Gérard et Marie-Christine lui avaient appris le barème des punitions en fonction des fautes commises.
— Et, où dois-tu recevoir ces dix coups de cravaches ?
— Je dois être punie de dix coups de cravache sur mon cul, Monsieur Gérard.
— Très bien, Petite ! Marc, à toi d’agir !
Je me sentais spectateur. J’apprenais mon nouveau rôle de maître, comme un étudiant devant ses professeurs et maintenant j’allais devoir passer aux travaux pratiques.
Laurence se pencha sur la table de la salle à manger. Sa poitrine contre le plateau, ses chevilles écartées. Ainsi exposée, je devais avouer que j’avais plus envie de la prendre que de la punir, mais je devais agir comme nos amis et guides me l’avaient recommandé.
Je pris la cravache, une longue et fine cravache d’équitation noir avec une extrémité légèrement aplatie. Je levais le bras et le fis retomber. La cravache tomba en travers des fesses de ma compagne. Elle sursauta. En annonçant “Un !”
— N’aie pas peur, me dit Marie-Christine. Tu peux y aller plus fort. Je vais te montrer !
Je la laissais me prendre la cravache des mains et je la vis abattre l’objet sur la croupe de Laurence avec bien plus de vitesse que ce que je ne l’avais fait. Sous le coup, Laurence poussa un petit cri et s’accrocha au plateau. Une marque rose lui zébrait les fesses.
— Voilà, le “un” ! proclama Marie-Christine. Tu as compris ?
— Euh ! Oui je pense…
Marie-Christine me rendit la cravache et je relevais mon bras. Pour le deuxième coup, je mis plus de vitesse dans mon mouvement. Laurence se crispa une nouvelle fois, puis annonça “Deux !” J’allais recommencer quand Gérard m’expliqua que je devais prendre mon temps, espacer les coups, ne pas me précipiter. Il me prit le poignet pour que de la pointe de la cravache, je caresse la peau des cuisses de Laurence. À l’extérieur d’abord, puis à l’intérieur, il me fit remonter lentement l’extrémité entre les cuisses de ma compagne et tapoter doucement sa fente et son clitoris. Cette caresse fit gémir Laurence qui soupira longuement. Puis d’un coup sec, il me fit abattre une troisième fois la cravache sur les deux globes de chair pâle.
— Trois ! cria Laurence.
Après le dixième coup, les fesses de Laurence étaient rouge vif. Je me disais qu’elle allait avoir du mal à s’asseoir pendant quelque temps. Marie-Christine sortit un tube de pommade de son sac et en appliqua une épaisse couche sur la peau de Laurence, pour éviter que les marques ne restent trop longtemps.
— Il est toujours important de bien s’occuper de sa soumise, me dit Gérard. Ce n’est pas parce que tu la punis que tu ne dois pas penser à son bien-être.
Quand Marie-Christine eut fini de bien faire pénétrer la pommade, Laurence se releva. Je la pris dans mes bras pour la câliner avant de retourner nous asseoir sur le canapé. Elle le lova contre moi tandis que nous prenions notre café.
Avant de nous quitter, Gérard et Marie-Christine nous avaient invités à venir profiter de leur villa pendant l’été. “Venez avec les enfants, ils pourront profiter de la piscine !”
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