Pendant que Frédéric s’occupe de Marie-Catherine et Bernard de ma femme, je suis à l’autre bout de la France, dans le Sud au bord de la Méditerranée.
Je dois évaluer le travail de collègues, il est prévu que j’y reste deux semaines. Le vendredi soir, je décide de profiter de la soirée en m’installant dans un pub du centre-ville, dans une petite ruelle.
Ce vendredi soir, l’ambiance est animée et festive, en plus de nombreux étudiants, il y a aussi des groupes d’amis plus âgés. Je regarde autour de moi pour tenter de découvrir une âme solitaire comme moi, mais absolument rien.
Alors que je finis ma troisième pinte en grignotant une assiette de frites, un message arrive sur mon téléphone, Bernard.
Je regarde autour de moi, mais mes voisins les plus proches sont bien plus occupés à gueuler, plus que chanter “Les Yeux d’Emilie.” C’est donc l’esprit tranquille que j’ouvre les dernières images de ma femme.
Je peux y voir Sophie nue, à quatre pattes, sa poitrine pendante. Elle suce un grand black que je reconnais : Bona, le gardien de la mairie tandis qu’un homme que je ne connais pas l’encule, sûrement l’un des généreux donateurs pour la campagne électorale de notre maire qui se présente à la députation. Son front est toujours décoré du mot “PUTE” en lettre capitale et au creux de ces reins, une invitation : “enculez-moi !”
Soudain, une voix me fait sursauter.
— Jolies photos !
Je me retourne et découvre ce septuagénaire qui me sourit.
— Merci ! Oui, c’est ma femme…
— Oh… désolé…
— Ne le soyez pas, je vous explique… Mais venez à ma table, ce sera plus discret !
L’homme vient s’asseoir, je lui offre une pinte et nous avons commencé à discuter.
J’apprends qu’il s’appelle Christian et qu’il a soixante-dix-sept ans. Il en parait facilement quinze de moins. Tout en parlant, je lui montre la collection de photos que Bernard m’avait envoyée depuis que Sophie était tombée sous son contrôle, de celles de cet après-midi dans le jardin, jusqu’à celles de ce soir.
Je rassure mon nouvel ami en lui disant que c’est moi qui avais invité mon voisin à prendre soin de ma femme. Si au début, elle avait été un peu réticente, elle commence à y prendre goût. Je lui ai aussi raconté comment je contrôle Marie-Catherine, là aussi, en parfait accord avec Bernard.
Au moment où je me prépare à rentrer à mon hôtel, Christian me propose de venir visiter un lieu dont il était le propriétaire, le Paradisio, un complexe libertin situé dans un petit village de l’arrière-pays.
Comme nous sommes vendredi soir, j’ai deux jours de libre devant moi, je le suis avec plaisir.
***
Quelle n’est pas ma surprise en découvrant ce lieu ! Christian commence par me présenter à ses associés : Karine, une jolie brune assez jeune, très soumise à mon ami, Mariama, une Togolaise, Tikirani, la Tahitienne et son complice du Pacifique lui aussi, Yoram. Les deux beautés exotiques arborent chacune une poitrine impressionnante, je trouve que ma femme a de gros seins avec son 95E, mais ces deux femmes explosent les compteurs.
— Que du naturel ! me précisa Christian, en voyant mon regard ébahi.
Après avoir fait le tour du propriétaire, des choses assez courantes dans ce type de lieu : bar, sauna, piste de danse, salles de massage et alcôves, Christian me propose de découvrir le sous-sol et ses toilettes.
Quel choc ! Je n’aurais jamais imaginé cela. Des femmes remplacent le papier toilette.
Les pintes que j’avais bues au pub font leur effet, et je soulage ma vessie. La dernière goutte vient à peine de toucher le fond de l’urinoir qu’une petite blonde se jette sur ma queue pour la nettoyer. Comme cela fait une semaine que je suis au régime sec, il va sans dire qu’après quelques aspirations et coups de langue, je remplis la bouche de cette petite affamée de grosses giclées de foutre épais.
— Merde ! dis-je à Christian. Je comptais en profiter avec la Togolaise, si c’est possible. Je n’ai encore jamais baisé une noire…
— C’est ton envie, j’espère que tu tiendras le choc, Karine va chercher Juliane !
— Oui maître ! j’y vais tout de suite !
— Excuse-moi Christian, mais la Togolaise n’est pas libre.
— Elle est responsable du bar, mais là, tu vas pas être déçu mon ami, c’est une Ivoirienne. Elle a trente ans, un corps ébène et une paire d’obus du 95E. tiens, la voilà !
— Comme ceux de ma femme !
En disant ces mots, je vois une lueur de concupiscence briller dans les yeux de Christian. Il aime les grosses poitrines, c’est certain.
— En tout cas, ajoutai-je. J’admire la manière dont tu te fais respecter par tes soumises ! Chapeau !
Il me répond par un sourire énigmatique au moment où Juliane entre dans la pièce. Je vois arriver une black plantureuse, avec un cul aussi généreux que sa poitrine, juste vêtue d’une robe rose fluo ultra-courte et ultra-moulante, montée sur des escarpins d’au moins quinze centimètres. Elle me fait un grand sourire quand Christian me présente.
— Salope ! Je te confie mon ami pour la nuit, tu acceptes tout !
Je demande discrètement à Christian :
— Quand tu dis tout, c’est vraiment tout ? Elle a un mot de sécurité que je dois connaître ?
— Non, tu la traites comme ta chienne, des ordres directs ! Elle t’obéira !
— J’ai compris merci… mais avant, puis-je avoir un massage. Pour me détendre de ma journée et être en forme avec cette salope !
— Pas de soucis ! Elle est masseuse. Sa spécialité est le massage avec ses seins. Elle aime aussi coincer les bites entre ses fesses.
— Je sens que je vais passer une bonne nuit ! Tu as une chambre où je peux aller ?
— Oui ! Salope ! Fais-le monter à l’étage et va dans la chambre bleue !
— Oui maître !
— Pour te remercier, dis-je à Christian. Je te donne un lien sur lequel j’ai sauvegardé toutes les photos et les vidéos que mon ami et complice Bernard a prises de Sophie. Tu me diras ce que tu penses de ma salope chérie.
— Merci ! On visionnera ça avec mes associés, mais vu les photos que tu m’as montré, j’aimerais bien l’avoir ici. Elle aurait du succès !
— J’en parlerai à Bernard, mais je suis certain qu’il ne serait pas contre. Et, tout comme pour lui, je te donnerai carte blanche !
— Merci, allez suis la pute et passe une bonne nuit ! Karine pense à faire monter un petit-déjeuner à mon invité. Je veux que ce soit Marie-José.
— Bien sûr maître ! Elle sera avec le cache-sexe.
— COMME D’HABITUDE ABRUTIE !
— Qui est Marie-José ? Tu as combien d’employés ici ?
— C’est une serveuse du bar, mais t’attends pas à un canon avec son mètre cinquante ses quatre-vingt-dix et ses bonnets F, elle fait souvent des duos avec la noire.
— Elle est aussi large que haute ! dis-je en riant.
— Oui ! Mais tu vas découvrir un duo de salopes. On en reparle demain ! Allez vieux ! Passe une bonne nuit.
— Merci ! À demain, tu me raconteras le visionnage, à moins que tu préfères que je sois avec vous ?
Oui, on revisionnera avec toi.
***
Je suis Juliane dans les couloirs du Paradisio où la tension est encore montée d’un cran. Derrière certaines portes, les gémissements que j’entends, ne laissent aucun doute sur ce qui se passe dans la pièce.
Le balancement du cul de la noire est vraiment hypnotique, je bande à nouveau en pensant à la nuit que je vais passer.
En entrant dans la chambre bleue, je la fixe.
— Viens me déshabiller salope et tu vas venir me laver sous la douche !
— Bien sûr monsieur laissez-moi vous déshabiller.
— Vas-y salope et tu veux que je te foute à poil ?
— Oh non ! Je prends la douche dans cette tenue vous allez apprécier monsieur. Là, vu ce que m’avait dit Christian.
— Arrête, salope avec tes monsieurs ! Appelle-moi Hervé, putain ! Et ne parle pas autant !
Sous les jets d’eau, la noire, toujours dans sa tenue qui semble coller à son corps, asperge son corps de gel douche. Puis, elle vient se coller à moi. Quelle sensation ! Être savonné par une aussi belle paire de seins ! Sentir ses tétons passer sur mon torse, descendre vers mon ventre ! J’ai l’impression qu’un étau enserre ma bite. Cette pute me branle avec sa paire de nichons fermes et naturels.
Il faudra que je parle à Sophie de cette technique pour la douche, vu qu’elles ont une paire de mamelles similaires.
Satisfaite de voir ma bite au garde à vous, la black prend mon membre par la main pour m’attirer vers le lit. Je m’y affale pour l’attendre. En levant les yeux, je remarque que le plafond est couvert de miroirs. J’imagine que des caméras doivent filmer nos ébats. Cela ne me gêne pas, je n’ai rien à cacher. À cet instant, le corps brûlant de la salope se colle à moi. Quelle sensation toujours aussi exquise ! Surtout quand elle m’enjambe et pose sa chatte sur ma bouche. La vision est superbe, des lèvres roses, une mini touffe noire entretenue qui dissimule un clito rose proéminent ; une mini bite que ma bouche suce avec délectation. Cette femelle bouge, grognant son plaisir. Ma langue fouille avec plaisir cet antre, humide à souhait. Déguster ce fluide mielleux m’excite de plus en plus. Mais à ce rythme, je risque l’explosion. Je saisis alors les hanches de cette pute.
— Baise-toi, salope ! Je veux te cracher dans ta moule de pute !
En bonne pute, elle saisit mon membre pour l’introduire dans sa chatte trempée et, telle une écuyère, me chevauche, alternant les mouvements, passant du lent au rapide pour revenir au lent. Entre mes halètements, montrant mon plaisir de fourrer une beauté noire et ses feulements de lionne, la pièce est remplie de nos cris de plaisirs.
— Oh ! Oh oui ! Oui !
— Baise-moi ! Oh ta bite ! Hum ! hum !
— Ah ! ah salope ! Plus vite !
— Oh ! oh oui ! Rempli moi ! Suis ta chienne !
Notre premier orgasme est superbe et simultané. Juliane s’affale sur moi, encore une magnifique sensation. Nos sueurs ne font qu’une, nos corps sont soudés.
Je la serre contre moi, puis à la sortie de sa chatte, je la retourne sur le dos. C’est à mon tour de la chevaucher. Mais, après une journée de boulot et un tel début de nuit, je suis fatigué.
— Je vais dormir un peu sur toi ! Mais méfie-toi ! Je ne veux pas que ma bite sorte de ta chatte ! Compris !
— Oui Monsieur Hervé, j’ai compris. Je ferais attention !
Je posais ma tête dans le creux de son épaule, humant son parfum et je m’endormis.
Bien évidemment, quand je me réveille, la belle ivoirienne dort aussi et ma queue n’est plus dans son fourreau de chair. J’ignore l’heure qu’il est, mais le jour s’est levé, car le soleil éclaire la pièce d’une lumière tamisée. Je me redresse et admire ce corps d’ébène magnifique, cette généreuse poitrine bien ferme, ces hanches bien marquées et cette fente qui est une invitation au plaisir. Il n’y a aucun doute, Christian sait sélectionner ses employées, elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Mais je ne dois pas me laisser attendrir par ces considérations. Cette fille n’a pas su remplir sa tâche, je dois la punir.
Je me penche sur sa poitrine et d’un coup de dents, je mords sa mamelle gauche, prenant tour son mamelon entre mes dents.
Elle hurle en se réveillant et est affolée en me voyant. Je pense qu’elle a oublié avec qui elle vient de passer la nuit.
— Ma salope ! Tu as failli à ta tâche ! Tu mérites une punition !
— Euh… oui monsieur Hervé ! Bien sûr !
— Bien ! Tu vois ce banc ? Va t’installer dessus et présente-moi ton gros cul de pute !
En bonne soumise bien dressée par Christian et ses acolytes, elle prend la pose que j’exige. Il ne me faut pas longtemps pour trouver un martinet rangé dans une commode de la chambre. Je le fais claquer deux ou trois fois dans l’air.
Juliane frissonne quand je commence à lui caresser le dos avec les lanières.
— Combien penses-tu mériter de coup de fouet ? Attention ! Ne te trompe pas, sinon je double la dose !
Elle réfléchit rapidement et me dit :
— Trente, Monsieur Hervé !
— Très bien ! Ce sera donc trente coups de fouet sur tes grosses mamelles et trente sur ton gros cul ! Mets-toi face à moi et mets tes mains sur la nuque.
— Ah oui ! N’oublie pas de sourire et de me remercier de m’occuper correctement toi !
Je lève mon bras et donne le premier coup sur son sein droit qui rebondit. Elle grimace avant de me remercier et de reprendre le sourire. J’alterne les coups, à droite, à gauche, par-dessus, par-dessous. Des larmes perlent de ses yeux, mais elle continuait de sourire.
Après le trentième coup, je lui dis de se remettre sur le banc pour recevoir la suite de sa punition. De voir cette croupe noire exposée, je bande comme un âne. Je pose le martinet et attrapant ses hanches je l’encule d’un coup. Si sa chatte était absolument délicieuse, son cul est certainement l’un des trous le plus agréable que j’ai jamais pénétré, souple et fermé à la fois. J’y entre et sorts sans difficulté, mais je n’ai pas l’impression de me perdre à l’intérieur. Je ne retiens pas et explose dans ce cul en grognant.
— Merci Monsieur Hervé, pour m’avoir enculée.
— De rien ma salope mais ne crois pas que tu vas échapper à la suite de la punition.
— Non Monsieur Hervé, bien sûr !
— Commence par me nettoyer la bite !
Je viens devant elle et elle s’empare de ma queue avec sa bouche. Je la laisse faire. Elle sait y faire. Comme tous les matins au réveil, j’ai envie de pisser. Christian m’a dit qu’elle accepte tout. Je lâche donc un premier jet de pisse dans sa bouche. Elle sursaute et recule ce qui en fait couler sur le sol. Devant mon regard, elle me reprend en bouche pour que je finisse ma miction.
Ensuite, sans un mot, j’attrape le martinet et au moment où je vais donner le premier coup, quelqu’un toque à la porte.
— Le petit déjeuner, Monsieur Hervé !
— Entre !
Je me souviens alors que Christian avait demandé à sa soumise de me faire apporter le petit déjeuner dans la chambre par une certaine Marie-José.
Quand je vois ce petit bout de femme, je suis un peu surpris. Si son visage parsemé de taches de rousseurs, un peu rond est superbe avec ses yeux verts entouré d’une chevelure rousse flamboyante son corps est son contraire absolu ; une grosse poitrine qui tombe sur un ventre qui pend un peu sur son pubis, des hanches très larges avec des cuisses impressionnantes. On aurait cru un culbuto.
— Merci Marie-José. Peux-tu rester, le temps que je punisse cette salope ?
— Oui Monsieur Hervé, à votre service.
Je prends mon temps pour punir Juliane qui me remercie à chaque coup. Quand j’ai fini, je lui propose de prendre le petit déjeuner avec moi.
Assis à table, Marie-José nous sert, quand elle est à côté de moi, je lui palpe le cul
— Un bon gros cul ! On doit être bien dedans, non ?
— Oui oui Monsieur Hervé, je pense. Mais vous savez, je ne suis pas le premier choix pour les amis de Monsieur Christian. Je ne sers surtout qu’aux tâches domestiques.
— Je comprends, mais ne désespère pas. Cela pourrait changer.
Je lui souris en me disant que je me ferais bien cette petite grosse aussi. Je suis curieux de savoir comment mon ami a pu recruter cette femme d’une quarantaine d’années. A-t-il été abusé par son visage angélique ? Ou y avait-il quelque chose de plus pervers ?
Après une nouvelle douche avec Juliane qui y met tout son corps et habiller, Karine vient me dire que Christian et ses associés sont près pour le visionnage des exploits de ma femme.
Je la suis dans une salle de home-cinéma avec un écran géant. Je me connecte sur le site où j’ai déposé ces photos et vidéos. Quand Christian entre accompagné d’une dizaine de personnes, ses associés et des inconnus.
— Bonjour, mon ami ! Tu as passé une bonne nuit ?
— Oui excellente même si je n’ai pas profité autant que j’aurais aimé. J’étais crevé. Mais ta Juliane, une belle salope ! Enfin tu verras sur les vidéos je suppose, dis-je en souriant.
Christian me sourit en retour, sans rien dire.
— Au fait, continuais-je. Pourquoi Marie-José ? Elle détonne au milieu des autres ! Enfin je t’avoue que je testerai bien aussi un aussi gros tas de graisse…
— Je t’expliquerai, mais d’abord passons aux vidéos que tu nous proposes. Je me suis permis d’inviter quelques amis, pour évaluer ta salope. Cela ne gêne pas ?
— Au contraire, plus on est de fous… comme on dit.
— Voici mon Neveu Christian, avec sa filleule et son mari, Marie-Christine et Gérard, producteurs de films pornos, un vieil ami, Jean Mary ancien colonel dans la Légion et sa femme Marine et Martine, la maire du village aussi surnommé l’urne. Elle te dira pourquoi.
Je regarde cette docte assemblée en lançant les premières images de Sophie. Sur ces photos, elle est encore une femme mariée pudique, ignorant tout des perversités auxquelles Bernard va la livrer. J’ai fait un dossier en commençant par des photos ou on la voit en tenue de tous les jours dans la maison, pour aller au travail ou aller à la messe, puis arrivent les photos de Bernard, montrant Sophie somnolente sur la terrasse, sa jupe remontée haut sur ses cuisses dévoilant sa culotte.
— Qu’en pensez-vous dis-je ? Elle a quarante-cinq ans, 1m60, 95E pour 70 k…
— Elle ferait bien en lingette qu’en dis-tu ma pute ?
Je constatais avec étonnement qu’il s’adressait à l’élue.
— Moi ? Je lui pisserais dans la bouche et sur ses nichons avec plaisir, mon pervers chéri.
— Ce n’est pas sa tasse de thé, dis-je en rigolant.
— Hervé, mon ami ! Je te propose un deal comme on dit maintenant.
— Je t’écoute Christian.
— Tu nous as dit qu’elle est sous la tutelle de ton voisin Bernard, alors je les invite tous les deux. Je suis certain qu’en peu de temps, ton voisin lui fera boire ça comme une pinte.
— Oui pourquoi pas ! Mais je mets une condition. Avant de rentrer, je veux goûter aux charmes de Mariama.
— OK ! mais le deal change. Tu acceptes que ta salope reste ici au moins six mois voire un an et tu me laisses carte blanche pour en faire ce que je veux. Qu’en dis-tu ma salope ?
— Il a qu’à me suivre, me lança Mariama. Attention, beau gosse ! Je suis féroce !
— Ça me va ! dis-je. Un an au Paradisio pour ma salope !
Après avoir validé cet accord avec Christian, je suis la Togolaise. Cette black est vraiment une déesse, je ne peux pas détacher mes yeux de sa croupe, en rapport avec sa poitrine. Cette fois-ci, elle ne me conduit pas dans la chambre bleue mais dans une autre, toujours équipée de miroirs et donc de caméra.
Mariama se retourne et me lance.
— À poil ! Montre-moi le matériel !
— Oh là ! Ma belle ! Tout doux ! Je ne suis pas une lopette soumise !
— Ah oui ! On va voir ça !
Elle vient vers moi, croyant m’impressionner avec ses gros melons. Je l’attrape et la plaque au sol. Je me retrouve à califourchon sur son dos et je commence à claquer sa croupe. Mes claques résonnent dans la chambre.
— D’accord ! D’accord ! Je me rends… Arrête !
— Bien alors fous-toi à poil ! On va le faire ensemble !
L’un en face de l’autre, nous nous dévoilons. Sans sa robe, sa poitrine est encore plus impressionnante. Je vois son regard sur mon service trois pièces. Il n’a rien d’extraordinaire, mais il n’est pas ridicule.
— Alors ?
— Pas mal ! Mais j’ai vu mieux !
— Je m’en doute, mais je sais m’en servir !
— Montre-moi ça alors ?
— Mets-toi à quatre pattes sur le lit !
Elle ne se fait pas prier. J’admire ce cul impressionnant. Provocante, elle ouvre ses fesses avec ses mains.
Vas-y ! Je t’attends !
Je me place derrière elle et plonge mon visage entre ces deux globes. Je joue avec son petit trou, bien propre. J’apprécie. Ma langue doit lui faire de l’effet car je l’entends gémir. Après quelques minutes de ce traitement, je suis bien raide. Je me relève et d’un puissant coup de rein, je l’encule.
Putain ce cul ! Il est tout aussi agréable que celui de Juliane. Je m’active, mais je me retiens. Je ne veux pas jouir tout de suite. La chambre se remplit des couinements de la Togolaise. Je finis par me retirer.
— À toi ! Montre-moi ce que tu sais faire !
Elle me bascule sur le lit, je me retrouve sur le dos, la bite à l’air. Elle la prend entre ses grosses loches et me fait une cravate de notaire du tonnerre de Zeus.
C’est à mon tour de prendre l’initiative, je la mets sur le dos et la baise avec application. Je la regarde, elle soutient mon regard en souriant. Sans que nous ayons besoin de dire quoi que ce soit, nous jouissons ensemble.
Il nous faut quelques minutes pour récupérer. Elle me prend en bouche pour me nettoyer la bite et je bande à nouveau. Nous passons la fin de la journée dans cette chambre. Nous ne sommes interrompus que lorsque Marie-José nous apporte notre repas.
Pour la remercier, au début de la soirée, je lui propose de l’aider au bar, ce qu’elle accepte avec plaisir. Cela me permet de découvrir la clientèle du Paradisio. Je suis convaincu que mon deal avec Christian est bon. Il fera de ma femme une salope accomplie.
Le dimanche, je quitte mes nouveaux amis à regret, mais le boulot m’appelle.