lundi 22 décembre 2025

Chantage à la Campagne - 25

 

Pendant que Frédéric s’occupe de Marie-Catherine et Bernard de ma femme, je suis à l’autre bout de la France, dans le Sud au bord de la Méditerranée.

Je dois évaluer le travail de collègues, il est prévu que j’y reste deux semaines. Le vendredi soir, je décide de profiter de la soirée en m’installant dans un pub du centre-ville, dans une petite ruelle.

Ce vendredi soir, l’ambiance est animée et festive, en plus de nombreux étudiants, il y a aussi des groupes d’amis plus âgés. Je regarde autour de moi pour tenter de découvrir une âme solitaire comme moi, mais absolument rien.

Alors que je finis ma troisième pinte en grignotant une assiette de frites, un message arrive sur mon téléphone, Bernard.

Je regarde autour de moi, mais mes voisins les plus proches sont bien plus occupés à gueuler, plus que chanter “Les Yeux d’Emilie.” C’est donc l’esprit tranquille que j’ouvre les dernières images de ma femme.

Je peux y voir Sophie nue, à quatre pattes, sa poitrine pendante. Elle suce un grand black que je reconnais : Bona, le gardien de la mairie tandis qu’un homme que je ne connais pas l’encule, sûrement l’un des généreux donateurs pour la campagne électorale de notre maire qui se présente à la députation. Son front est toujours décoré du mot “PUTE” en lettre capitale et au creux de ces reins, une invitation : “enculez-moi !”

Soudain, une voix me fait sursauter.

— Jolies photos !

Je me retourne et découvre ce septuagénaire qui me sourit.

— Merci ! Oui, c’est ma femme…

— Oh… désolé…

— Ne le soyez pas, je vous explique… Mais venez à ma table, ce sera plus discret !

L’homme vient s’asseoir, je lui offre une pinte et nous avons commencé à discuter.

J’apprends qu’il s’appelle Christian et qu’il a soixante-dix-sept ans. Il en parait facilement quinze de moins. Tout en parlant, je lui montre la collection de photos que Bernard m’avait envoyée depuis que Sophie était tombée sous son contrôle, de celles de cet après-midi dans le jardin, jusqu’à celles de ce soir.

Je rassure mon nouvel ami en lui disant que c’est moi qui avais invité mon voisin à prendre soin de ma femme. Si au début, elle avait été un peu réticente, elle commence à y prendre goût. Je lui ai aussi raconté comment je contrôle Marie-Catherine, là aussi, en parfait accord avec Bernard.

Au moment où je me prépare à rentrer à mon hôtel, Christian me propose de venir visiter un lieu dont il était le propriétaire, le Paradisio, un complexe libertin situé dans un petit village de l’arrière-pays.

Comme nous sommes vendredi soir, j’ai deux jours de libre devant moi, je le suis avec plaisir.

***

Quelle n’est pas ma surprise en découvrant ce lieu ! Christian commence par me présenter à ses associés : Karine, une jolie brune assez jeune, très soumise à mon ami, Mariama, une Togolaise, Tikirani, la Tahitienne et son complice du Pacifique lui aussi, Yoram. Les deux beautés exotiques arborent chacune une poitrine impressionnante, je trouve que ma femme a de gros seins avec son 95E, mais ces deux femmes explosent les compteurs.

— Que du naturel ! me précisa Christian, en voyant mon regard ébahi.

Après avoir fait le tour du propriétaire, des choses assez courantes dans ce type de lieu : bar, sauna, piste de danse, salles de massage et alcôves, Christian me propose de découvrir le sous-sol et ses toilettes.

Quel choc ! Je n’aurais jamais imaginé cela. Des femmes remplacent le papier toilette.

Les pintes que j’avais bues au pub font leur effet, et je soulage ma vessie. La dernière goutte vient à peine de toucher le fond de l’urinoir qu’une petite blonde se jette sur ma queue pour la nettoyer. Comme cela fait une semaine que je suis au régime sec, il va sans dire qu’après quelques aspirations et coups de langue, je remplis la bouche de cette petite affamée de grosses giclées de foutre épais.

— Merde ! dis-je à Christian. Je comptais en profiter avec la Togolaise, si c’est possible. Je n’ai encore jamais baisé une noire…

— C’est ton envie, j’espère que tu tiendras le choc, Karine va chercher Juliane !

— Oui maître ! j’y vais tout de suite !

— Excuse-moi Christian, mais la Togolaise n’est pas libre.

— Elle est responsable du bar, mais là, tu vas pas être déçu mon ami, c’est une Ivoirienne. Elle a trente ans, un corps ébène et une paire d’obus du 95E. tiens, la voilà !

— Comme ceux de ma femme !

En disant ces mots, je vois une lueur de concupiscence briller dans les yeux de Christian. Il aime les grosses poitrines, c’est certain.

— En tout cas, ajoutai-je. J’admire la manière dont tu te fais respecter par tes soumises ! Chapeau !

Il me répond par un sourire énigmatique au moment où Juliane entre dans la pièce. Je vois arriver une black plantureuse, avec un cul aussi généreux que sa poitrine, juste vêtue d’une robe rose fluo ultra-courte et ultra-moulante, montée sur des escarpins d’au moins quinze centimètres. Elle me fait un grand sourire quand Christian me présente.

— Salope ! Je te confie mon ami pour la nuit, tu acceptes tout !

Je demande discrètement à Christian :

— Quand tu dis tout, c’est vraiment tout ? Elle a un mot de sécurité que je dois connaître ?

— Non, tu la traites comme ta chienne, des ordres directs ! Elle t’obéira !

— J’ai compris merci… mais avant, puis-je avoir un massage. Pour me détendre de ma journée et être en forme avec cette salope !

— Pas de soucis ! Elle est masseuse. Sa spécialité est le massage avec ses seins. Elle aime aussi coincer les bites entre ses fesses.

— Je sens que je vais passer une bonne nuit ! Tu as une chambre où je peux aller ?

— Oui ! Salope ! Fais-le monter à l’étage et va dans la chambre bleue !

— Oui maître !

— Pour te remercier, dis-je à Christian. Je te donne un lien sur lequel j’ai sauvegardé toutes les photos et les vidéos que mon ami et complice Bernard a prises de Sophie. Tu me diras ce que tu penses de ma salope chérie.

— Merci ! On visionnera ça avec mes associés, mais vu les photos que tu m’as montré, j’aimerais bien l’avoir ici. Elle aurait du succès !

— J’en parlerai à Bernard, mais je suis certain qu’il ne serait pas contre. Et, tout comme pour lui, je te donnerai carte blanche !

— Merci, allez suis la pute et passe une bonne nuit ! Karine pense à faire monter un petit-déjeuner à mon invité. Je veux que ce soit Marie-José.

— Bien sûr maître ! Elle sera avec le cache-sexe.

— COMME D’HABITUDE ABRUTIE !

— Qui est Marie-José ? Tu as combien d’employés ici ?

— C’est une serveuse du bar, mais t’attends pas à un canon avec son mètre cinquante ses quatre-vingt-dix et ses bonnets F, elle fait souvent des duos avec la noire.

— Elle est aussi large que haute ! dis-je en riant.

— Oui ! Mais tu vas découvrir un duo de salopes. On en reparle demain ! Allez vieux ! Passe une bonne nuit.

— Merci ! À demain, tu me raconteras le visionnage, à moins que tu préfères que je sois avec vous ?

Oui, on revisionnera avec toi.

***

Je suis Juliane dans les couloirs du Paradisio où la tension est encore montée d’un cran. Derrière certaines portes, les gémissements que j’entends, ne laissent aucun doute sur ce qui se passe dans la pièce.

Le balancement du cul de la noire est vraiment hypnotique, je bande à nouveau en pensant à la nuit que je vais passer.

En entrant dans la chambre bleue, je la fixe.

— Viens me déshabiller salope et tu vas venir me laver sous la douche !

— Bien sûr monsieur laissez-moi vous déshabiller.

— Vas-y salope et tu veux que je te foute à poil ?

— Oh non ! Je prends la douche dans cette tenue vous allez apprécier monsieur. Là, vu ce que m’avait dit Christian.

— Arrête, salope avec tes monsieurs ! Appelle-moi Hervé, putain ! Et ne parle pas autant !

Sous les jets d’eau, la noire, toujours dans sa tenue qui semble coller à son corps, asperge son corps de gel douche. Puis, elle vient se coller à moi. Quelle sensation ! Être savonné par une aussi belle paire de seins ! Sentir ses tétons passer sur mon torse, descendre vers mon ventre ! J’ai l’impression qu’un étau enserre ma bite. Cette pute me branle avec sa paire de nichons fermes et naturels.

Il faudra que je parle à Sophie de cette technique pour la douche, vu qu’elles ont une paire de mamelles similaires.

Satisfaite de voir ma bite au garde à vous, la black prend mon membre par la main pour m’attirer vers le lit. Je m’y affale pour l’attendre. En levant les yeux, je remarque que le plafond est couvert de miroirs. J’imagine que des caméras doivent filmer nos ébats. Cela ne me gêne pas, je n’ai rien à cacher. À cet instant, le corps brûlant de la salope se colle à moi. Quelle sensation toujours aussi exquise ! Surtout quand elle m’enjambe et pose sa chatte sur ma bouche. La vision est superbe, des lèvres roses, une mini touffe noire entretenue qui dissimule un clito rose proéminent ; une mini bite que ma bouche suce avec délectation. Cette femelle bouge, grognant son plaisir. Ma langue fouille avec plaisir cet antre, humide à souhait. Déguster ce fluide mielleux m’excite de plus en plus. Mais à ce rythme, je risque l’explosion. Je saisis alors les hanches de cette pute.

— Baise-toi, salope ! Je veux te cracher dans ta moule de pute !

En bonne pute, elle saisit mon membre pour l’introduire dans sa chatte trempée et, telle une écuyère, me chevauche, alternant les mouvements, passant du lent au rapide pour revenir au lent. Entre mes halètements, montrant mon plaisir de fourrer une beauté noire et ses feulements de lionne, la pièce est remplie de nos cris de plaisirs.

— Oh ! Oh oui ! Oui !

— Baise-moi ! Oh ta bite ! Hum ! hum !

— Ah ! ah salope ! Plus vite !

— Oh ! oh oui ! Rempli moi ! Suis ta chienne !

Notre premier orgasme est superbe et simultané. Juliane s’affale sur moi, encore une magnifique sensation. Nos sueurs ne font qu’une, nos corps sont soudés.

Je la serre contre moi, puis à la sortie de sa chatte, je la retourne sur le dos. C’est à mon tour de la chevaucher. Mais, après une journée de boulot et un tel début de nuit, je suis fatigué.

— Je vais dormir un peu sur toi ! Mais méfie-toi ! Je ne veux pas que ma bite sorte de ta chatte ! Compris !

— Oui Monsieur Hervé, j’ai compris. Je ferais attention !

Je posais ma tête dans le creux de son épaule, humant son parfum et je m’endormis.

Bien évidemment, quand je me réveille, la belle ivoirienne dort aussi et ma queue n’est plus dans son fourreau de chair. J’ignore l’heure qu’il est, mais le jour s’est levé, car le soleil éclaire la pièce d’une lumière tamisée. Je me redresse et admire ce corps d’ébène magnifique, cette généreuse poitrine bien ferme, ces hanches bien marquées et cette fente qui est une invitation au plaisir. Il n’y a aucun doute, Christian sait sélectionner ses employées, elles sont toutes plus belles les unes que les autres. Mais je ne dois pas me laisser attendrir par ces considérations. Cette fille n’a pas su remplir sa tâche, je dois la punir.

Je me penche sur sa poitrine et d’un coup de dents, je mords sa mamelle gauche, prenant tour son mamelon entre mes dents.

Elle hurle en se réveillant et est affolée en me voyant. Je pense qu’elle a oublié avec qui elle vient de passer la nuit.

— Ma salope ! Tu as failli à ta tâche ! Tu mérites une punition !

— Euh… oui monsieur Hervé ! Bien sûr !

— Bien ! Tu vois ce banc ? Va t’installer dessus et présente-moi ton gros cul de pute !

En bonne soumise bien dressée par Christian et ses acolytes, elle prend la pose que j’exige. Il ne me faut pas longtemps pour trouver un martinet rangé dans une commode de la chambre. Je le fais claquer deux ou trois fois dans l’air.

Juliane frissonne quand je commence à lui caresser le dos avec les lanières.

— Combien penses-tu mériter de coup de fouet ? Attention ! Ne te trompe pas, sinon je double la dose !

Elle réfléchit rapidement et me dit :

— Trente, Monsieur Hervé !

— Très bien ! Ce sera donc trente coups de fouet sur tes grosses mamelles et trente sur ton gros cul ! Mets-toi face à moi et mets tes mains sur la nuque.

— Ah oui ! N’oublie pas de sourire et de me remercier de m’occuper correctement toi !

Je lève mon bras et donne le premier coup sur son sein droit qui rebondit. Elle grimace avant de me remercier et de reprendre le sourire. J’alterne les coups, à droite, à gauche, par-dessus, par-dessous. Des larmes perlent de ses yeux, mais elle continuait de sourire.

Après le trentième coup, je lui dis de se remettre sur le banc pour recevoir la suite de sa punition. De voir cette croupe noire exposée, je bande comme un âne. Je pose le martinet et attrapant ses hanches je l’encule d’un coup. Si sa chatte était absolument délicieuse, son cul est certainement l’un des trous le plus agréable que j’ai jamais pénétré, souple et fermé à la fois. J’y entre et sorts sans difficulté, mais je n’ai pas l’impression de me perdre à l’intérieur. Je ne retiens pas et explose dans ce cul en grognant.

— Merci Monsieur Hervé, pour m’avoir enculée.

— De rien ma salope mais ne crois pas que tu vas échapper à la suite de la punition.

— Non Monsieur Hervé, bien sûr !

— Commence par me nettoyer la bite !

Je viens devant elle et elle s’empare de ma queue avec sa bouche. Je la laisse faire. Elle sait y faire. Comme tous les matins au réveil, j’ai envie de pisser. Christian m’a dit qu’elle accepte tout. Je lâche donc un premier jet de pisse dans sa bouche. Elle sursaute et recule ce qui en fait couler sur le sol. Devant mon regard, elle me reprend en bouche pour que je finisse ma miction.

Ensuite, sans un mot, j’attrape le martinet et au moment où je vais donner le premier coup, quelqu’un toque à la porte.

— Le petit déjeuner, Monsieur Hervé !

— Entre !

Je me souviens alors que Christian avait demandé à sa soumise de me faire apporter le petit déjeuner dans la chambre par une certaine Marie-José.

Quand je vois ce petit bout de femme, je suis un peu surpris. Si son visage parsemé de taches de rousseurs, un peu rond est superbe avec ses yeux verts entouré d’une chevelure rousse flamboyante son corps est son contraire absolu ; une grosse poitrine qui tombe sur un ventre qui pend un peu sur son pubis, des hanches très larges avec des cuisses impressionnantes. On aurait cru un culbuto.

— Merci Marie-José. Peux-tu rester, le temps que je punisse cette salope ?

— Oui Monsieur Hervé, à votre service.

Je prends mon temps pour punir Juliane qui me remercie à chaque coup. Quand j’ai fini, je lui propose de prendre le petit déjeuner avec moi.

Assis à table, Marie-José nous sert, quand elle est à côté de moi, je lui palpe le cul

— Un bon gros cul ! On doit être bien dedans, non ?

— Oui oui Monsieur Hervé, je pense. Mais vous savez, je ne suis pas le premier choix pour les amis de Monsieur Christian. Je ne sers surtout qu’aux tâches domestiques.

— Je comprends, mais ne désespère pas. Cela pourrait changer.

Je lui souris en me disant que je me ferais bien cette petite grosse aussi. Je suis curieux de savoir comment mon ami a pu recruter cette femme d’une quarantaine d’années. A-t-il été abusé par son visage angélique ? Ou y avait-il quelque chose de plus pervers ?

Après une nouvelle douche avec Juliane qui y met tout son corps et habiller, Karine vient me dire que Christian et ses associés sont près pour le visionnage des exploits de ma femme.

Je la suis dans une salle de home-cinéma avec un écran géant. Je me connecte sur le site où j’ai déposé ces photos et vidéos. Quand Christian entre accompagné d’une dizaine de personnes, ses associés et des inconnus.

— Bonjour, mon ami ! Tu as passé une bonne nuit ?

— Oui excellente même si je n’ai pas profité autant que j’aurais aimé. J’étais crevé. Mais ta Juliane, une belle salope ! Enfin tu verras sur les vidéos je suppose, dis-je en souriant.

Christian me sourit en retour, sans rien dire.

— Au fait, continuais-je. Pourquoi Marie-José ? Elle détonne au milieu des autres ! Enfin je t’avoue que je testerai bien aussi un aussi gros tas de graisse…

— Je t’expliquerai, mais d’abord passons aux vidéos que tu nous proposes. Je me suis permis d’inviter quelques amis, pour évaluer ta salope. Cela ne gêne pas ?

— Au contraire, plus on est de fous… comme on dit.

— Voici mon Neveu Christian, avec sa filleule et son mari, Marie-Christine et Gérard, producteurs de films pornos, un vieil ami, Jean Mary ancien colonel dans la Légion et sa femme Marine et Martine, la maire du village aussi surnommé l’urne. Elle te dira pourquoi.

Je regarde cette docte assemblée en lançant les premières images de Sophie. Sur ces photos, elle est encore une femme mariée pudique, ignorant tout des perversités auxquelles Bernard va la livrer. J’ai fait un dossier en commençant par des photos ou on la voit en tenue de tous les jours dans la maison, pour aller au travail ou aller à la messe, puis arrivent les photos de Bernard, montrant Sophie somnolente sur la terrasse, sa jupe remontée haut sur ses cuisses dévoilant sa culotte.

— Qu’en pensez-vous dis-je ? Elle a quarante-cinq ans, 1m60, 95E pour 70 k…

— Elle ferait bien en lingette qu’en dis-tu ma pute ?

Je constatais avec étonnement qu’il s’adressait à l’élue.

— Moi ? Je lui pisserais dans la bouche et sur ses nichons avec plaisir, mon pervers chéri.

— Ce n’est pas sa tasse de thé, dis-je en rigolant.

— Hervé, mon ami ! Je te propose un deal comme on dit maintenant.

— Je t’écoute Christian.

— Tu nous as dit qu’elle est sous la tutelle de ton voisin Bernard, alors je les invite tous les deux. Je suis certain qu’en peu de temps, ton voisin lui fera boire ça comme une pinte.

— Oui pourquoi pas ! Mais je mets une condition. Avant de rentrer, je veux goûter aux charmes de Mariama.

— OK ! mais le deal change. Tu acceptes que ta salope reste ici au moins six mois voire un an et tu me laisses carte blanche pour en faire ce que je veux. Qu’en dis-tu ma salope ?

— Il a qu’à me suivre, me lança Mariama. Attention, beau gosse ! Je suis féroce !

— Ça me va ! dis-je. Un an au Paradisio pour ma salope !

Après avoir validé cet accord avec Christian, je suis la Togolaise. Cette black est vraiment une déesse, je ne peux pas détacher mes yeux de sa croupe, en rapport avec sa poitrine. Cette fois-ci, elle ne me conduit pas dans la chambre bleue mais dans une autre, toujours équipée de miroirs et donc de caméra.

Mariama se retourne et me lance.

— À poil ! Montre-moi le matériel !

— Oh là ! Ma belle ! Tout doux ! Je ne suis pas une lopette soumise !

— Ah oui ! On va voir ça !

Elle vient vers moi, croyant m’impressionner avec ses gros melons. Je l’attrape et la plaque au sol. Je me retrouve à califourchon sur son dos et je commence à claquer sa croupe. Mes claques résonnent dans la chambre.

— D’accord ! D’accord ! Je me rends… Arrête !

— Bien alors fous-toi à poil ! On va le faire ensemble !

L’un en face de l’autre, nous nous dévoilons. Sans sa robe, sa poitrine est encore plus impressionnante. Je vois son regard sur mon service trois pièces. Il n’a rien d’extraordinaire, mais il n’est pas ridicule.

— Alors ?

— Pas mal ! Mais j’ai vu mieux !

— Je m’en doute, mais je sais m’en servir !

— Montre-moi ça alors ?

— Mets-toi à quatre pattes sur le lit !

Elle ne se fait pas prier. J’admire ce cul impressionnant. Provocante, elle ouvre ses fesses avec ses mains.

Vas-y ! Je t’attends !

Je me place derrière elle et plonge mon visage entre ces deux globes. Je joue avec son petit trou, bien propre. J’apprécie. Ma langue doit lui faire de l’effet car je l’entends gémir. Après quelques minutes de ce traitement, je suis bien raide. Je me relève et d’un puissant coup de rein, je l’encule.

Putain ce cul ! Il est tout aussi agréable que celui de Juliane. Je m’active, mais je me retiens. Je ne veux pas jouir tout de suite. La chambre se remplit des couinements de la Togolaise. Je finis par me retirer.

— À toi ! Montre-moi ce que tu sais faire !

Elle me bascule sur le lit, je me retrouve sur le dos, la bite à l’air. Elle la prend entre ses grosses loches et me fait une cravate de notaire du tonnerre de Zeus.

C’est à mon tour de prendre l’initiative, je la mets sur le dos et la baise avec application. Je la regarde, elle soutient mon regard en souriant. Sans que nous ayons besoin de dire quoi que ce soit, nous jouissons ensemble.

Il nous faut quelques minutes pour récupérer. Elle me prend en bouche pour me nettoyer la bite et je bande à nouveau. Nous passons la fin de la journée dans cette chambre. Nous ne sommes interrompus que lorsque Marie-José nous apporte notre repas.

Pour la remercier, au début de la soirée, je lui propose de l’aider au bar, ce qu’elle accepte avec plaisir. Cela me permet de découvrir la clientèle du Paradisio. Je suis convaincu que mon deal avec Christian est bon. Il fera de ma femme une salope accomplie.

Le dimanche, je quitte mes nouveaux amis à regret, mais le boulot m’appelle.

dimanche 21 décembre 2025

L'Assistante - 03 -

 

Journée de travail



Le lendemain matin, au petit déjeuner, Éric informa Sophie qu’il ne l’accompagnerait pas sur le tournage. Il avait divers dossiers à gérer et il s’en occuperait de l’hôtel.

Au réveil, elle avait découvert que son maître lui avait choisi un string rose, elle compléta sa tenue par jupe droite à mi-cuisses et un chemisier un peu large qui ne dévoilerait pas la présence des bijoux sur ces seins mais qui frustrerait sûrement ce pervers de Daniel. Elle enfila tous ses vêtements sous le regard approbateur d’Éric qui la félicita une nouvelle pour son charme.

Elle était remontée dans la chambre pour se brosser les dents et avant qu’elle ne le quitte, Éric l’embrassa avec passion. Sophie était aux anges. Elle était parfaitement consciente qu’elle trompait son mari, mais depuis deux jours, cet homme lui apportait tellement de bonheur qu’elle était presque prête à tout quitter pour être à lui totalement.

Ce fut le cœur léger et le pas alerte qu’elle arriva sur le plateau pour le tournage de la dernière scène. Cette fois-ci, elle n’hésita pas et osa demander un selfie avec tous les acteurs qui ne se firent pas prier.



Pendant ce temps, dans un espace privatif mis à sa disposition par l’hôtel, Éric étudiait les divers projets en cours. Il appela le service achat et tomba sur Brigitte qui l’informa qu’elle venait de négocier l’achat des droits pour six San-Antonio et cinq Hitchcock.

Il la félicita avec toute son équipe pour ces acquisitions qui promettaient d’être rentables à condition de bien choisir les réalisateurs et les acteurs.

Il venait à peine de raccrocher que son téléphone afficha un appel entrant de Madame Kohler.

— Monsieur Martin. j’ai le plaisir de vous annoncer que j’ai trouvé vos deux nounous.

— Déjà ! Quelle célérité…

— Ce sont des jumelles, des bavaroises, blondes, grandes, bien en chair et parlant français

— Elles ne feront pas que le bonheur des enfants…

— Elles ne sont pas farouches et cela ne leur posera pas de problème. Vous les payez bien…

— Je tiens au bien être de mes collaboratrices…

— À leur disponibilité aussi, non ?

— Évidemment… Quand ces deux sœurs seront-elles disponibles ?

— Elles seront à votre domicile samedi !

— Parfait, je vous remercie Madame Kohler…

— Je vous en prie. Je vous envoie leurs photos et leurs références.

Quelques minutes plus tard, Éric découvrait les jumelles avec leur dossier détaillé.

Cela devrait consoler le cocu… ça va le changer de sa petite femme, pensa-t-il. Il sourit en imaginant le mari de Sophie dans les bras de ces plantureuses teutonnes, lui habitué à la platitude de Sophie.

Il ouvrit un message de son équipe qui réalisait le documentaire sur l’alimentation des coureurs du Tour de France. Il fut agréablement surpris quand il apprit que le visionnage aurait lieu le lundi suivant et qu’un site internet était intéressé par sa diffusion, ainsi qu’une télévision espagnole mais aux moyens limités.

Il répondit à Federico qu’il enverrait Florence et Sophie négocier avec le site internet et qu’il fallait qu’il prévoie un aller-retour à Barcelone pour le prochain vendredi. Il accompagnerait son collaborateur avec Sophie et si celui-ci rentrerait à Paris dans la soirée, il en profiterait pour rester le week-end en Espagne avec son assistante.

Aussitôt, il envoya un texto à Sophie pour la prévenir.

vendredi en 8 nous partons en Espagne. Barcelone. Retour lundi. Réserve-moi une chambre au Majestic de Barcelone pour 2 personnes. Réserve aussi les billets d’avion pour le retour de lundi pour nous deux.



Une fois ces dossiers finalisés, Éric se rendit au siège du CAP, le club de rugby local, évoluant en National. Il avait rendez-vous avec le président pour évaluer la faisabilité d’un futur projet. Il en profita pour lui demander une faveur : deux maillots de l’équipe encadrés, l’un côté face et l’autre le côté pile floqué du prénom du mari de Sophie.

Le président lui assura que ces cadres seraient prêts pour le soir-même et qu’il les fera déposer à l’hôtel.



Cela faisait une demi-heure qu’il était au restaurant, il attendait Sophie qui l’avait prévenue qu’elle aurait un peu de retard. Il la vit arriver en pressant le pas. Elle était toujours souriante.

— Excusez-moi Monsieur Martin, mais après avoir reçu votre message pour Barcelone, j’ai dû résoudre une panne d’électricité.

— Je suppose que tu as fait cela d’une main de maître…

— J’ai dû quémander auprès d’un agriculteur le prêt d’un groupe électrogène… Un sourire, la promesse d’une invitation à l’avant-première et qu’il puisse assister à la fin du tournage…

— Tu prends un peu trop de liberté Sophie…

— Comment cela Monsieur…

— Ce film ne sortira jamais au cinéma… C’est un pilote, pour voir… Mais il sera peut-être distribué sur des plateformes mais rien de plus…

— Expliquez-moi ! Et je pensais bien faire…

— C’est de la merde ! Nous avons acheté les droits du roman et des suites éventuelles mais on va arrêter les frais à ce stade…

— Je suis désolée… Mais, d’ici là, il aura oublié…

— On verra… Bon j’ai commandé un Coca et un Orangina…

— Merci Monsieur…

— Et pour la suite, une salade César !

— Très bien Monsieur…

— Dis-moi ! As-tu une robe pour la réception de ce soir ?

— Euh non… Monsieur, je n’avais pas envisagé cette éventualité…

— Après le repas, nous irons t’en trouver une… J’ai repéré une boutique pas loin. On te trouvera ce qu’il te faut.

— Merci Monsieur…



Dans la boutique de mode, Éric choisit plusieurs robes qu’il fit essayer à Sophie. Cela lui permettait de pouvoir admirer le corps de sa soumise. Ses tétons restaient pointés en raison de leur réaction aux bijoux qui les ornaient. Cette femme était comme une pierre précieuse à extraire de sa gangue. Son choix se porta sur une robe blanche longue dos nu avec un décolleté juste assez profond pour laisser entrevoir sa poitrine libre sans être vulgaire. Il voulait que Sophie soit séduisante, sensuelle sans paraître être une pute. Sophie essaya aussi une paire d’escarpins à talons aiguille un peu plus hauts que ceux qu’elle avait dans sa valise. Ils renforçaient sa cambrure et il lui fallut quelques pas pour s’adapter à leur hauteur.

— Tu vas être magnifique ce soir ! Les gens ne verront que toi !

— Vous croyez ? Est-ce moi qu’ils vont regarder ou mon décolleté ?

— C’est la même chose, non ?

— Si vous le dites…

— Bien… Il va être temps que tu y ailles. Veux-tu que je te dépose à la mairie ?

— Non merci, nous n’en sommes pas loin… je vais marcher un peu.

— Donne-moi le sac avec la robe, il va t’encombrer. Je vais le déposer à l’hôtel…

En la regardant s’éloigner, il se dit qu’il allait devoir lui apprendre à s’habiller avec des robes et des jupes plus courtes. Il lui voyait à peine les cuisses.



Sophie commençait à se poser des questions. La veille, son patron lui avait offert des bijoux, aujourd’hui, une robe et des chaussures. Elle couchait avec lui. N’était-elle pas en train de se prostituer ? Il était évident que Monsieur Martin lui offrait ses cadeaux en échange de ses faveurs. Non, pensait-elle. “Je ne suis pas comme cela !” Mais plus elle y réfléchissait et plus elle réalisait qu’elle agissait bien comme une pute, elle aurait pu refuser, mais elle ne l’avait pas fait.

Arrivée à la mairie, elle n’eut pas le temps de s’approfondir sur cette question. Il y avait une réception à organiser, aménager l’espace, penser à ce que les logos de l’ARPTEC et TV Suisse soient bien visibles, accueillir les différents prestataires. Elle ne vit pas le temps passer et elle n’arriva à l’hôtel qu’une heure avant le début de la soirée.

Éric de son côté avait passé une après-midi bien plus calme même s’il avait pris le temps de réserver leur soirée du lendemain, à l’Élixir, un club libertin de la région. Il s’était surtout reposé en vue d’une nuit qu’il envisageait particulièrement animée.



— Dépêche-toi Laïka, il faut te préparer…

— Oui Maître, je me dépêche.

En sortant de sa douche, Sophie découvrit sur le lit un objet insolite à côté de la robe et du string choisi par Éric, un œuf en silicone blanc.

— Est-ce que tu sais ce que c’est ?

— Oui répondit-elle en rougissant. Un œuf…

— Exactement, un œuf vibrant ! Je veux que tu le mettes. Tu le porteras pendant la réception… mais avant on va le tester.

Sophie prit l’objet entre ses doigts et le glissa entre ses cuisses. L’œuf entra facilement entre ses lèvres humides. Elle caressa un peu son intimité et son vagin avala l’œuf. Éric sourit et depuis son téléphone, il mit la vibration au plus faible.

— Il y a quatre niveaux de vibrations… Là, c’est le niveau un ! Marche un peu que je vois…

Sophie fit quelques pas dans la chambre. Elle sentait les vibrations dans son ventre, supportables, agréables mais pas vraiment excitantes. Éric monta le niveau d’un cran. Sophie se cambra et ouvrit la bouche pour parler.

— Deux…

— Oui Maître ! C’est agréable !

Cette fois-ci la vibration fit se tordre Sophie. Éric avait monté le curseur au maximum. Sophie serra les cuisses et se plia en deux, jetant un regard suppliant vers son maître qui ne semblait pas décidé à faire cesser cette exquise torture.

— S’il vous plaît, Maître !

Éric attendit que sa soumise tombe a genoux avant de couper les vibration. Pour Sophie, c’était à la fois un soulagement et une frustration.

— Retire-le de ta chatte ! Nettoie-le et mets-le dans ton sac !

— Oui maître, répondit-elle en faisant glisser le terrible jouet avant de le récupérer entre ses doigts.

Elle le léchait consciencieusement avant de le mettre au fond de son sac à main.

— Habille-toi ! Il faut encore que tu appelles ton cocu !

— Oui maître…

Pendant que Sophie enfilait sa robe par-dessus un string, Éric consultait ses mails, l’un d’eux attira son attention. Il se promit de le regarder plus en détail plus tard.

Cette robe était parfaite pour mettre en valeur le corps de son assistante. Le décolleté laissait entrevoir sa poitrine libre et le string qui se devinait par transparence allait attirer de nombreux regards sur cette petite rousse.



Comme elle prenait son téléphone pour appeler chez elle, Éric s’éloigna en se dirigeant vers le parking de l’hôtel. Il devina qu’elle parlait à son mari par vidéo quand elle éloigna son téléphone de son oreille pour se montrer dans sa robe.

— Tu es superbe ma chérie… Tu as un super patron…

— Oui, je le sais…

— Je pourrais lui parler ?

— Pourquoi ? s’interrogea Sophie.

— Pour le remercier de vive voix pour tout ce qu’il nous a proposé…

— Monsieur Martin… Pascal veut vous parler !

— Moi ! Fit Eric surpris.

Que me veut-il ? Qu’est-ce que je vais lui raconter ?”

Éric prit l’appareil que lui tendait Sophie. Quand il vit Pascal, il fut troublé. Ce visage, cette tête lui disait quelque chose.

— Monsieur Martin ! Quel plaisir de vous parler…

— Monsieur Lamothe, enchanté… Mais dites-moi… Ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés ?

— Je ne sais pas… dans un cadre professionnel ?

— Non, votre nom m’aurait dit quelque chose…

— Je ne vois pas…

— Ça y est j’y suis… Tournoi des Six Nations… France-Irlande… Stade de France…

— Oui j’y étais… on avait perdu sur le terrain… mais une troisième mi-temps mémorable avec les Irlandais…

— Exactement…

Éric se souvenait de cet homme dans cette soirée privée. Un sacré queutard, rien à voir avec le mari timoré que Sophie lui avait décrit. Il ne lui avait pas parlé mais il lui semblait l’avoir vu en pleine action avec Daniel. Sur ces mots, il rendit le téléphone à son assistante qui embrassa son mari avant de raccrocher.

— Vous auriez donc déjà vu Pascal ?

— Vu, c’est beaucoup dire… Nous sommes allés dans la même soirée après ce match.

— Le rugby, c’est sa passion… Il a dû arrêter de jouer jeune, par suite d’une blessure, alors qu’il avait été repéré par quelques grands clubs… mais tout ça c’est du passé… finit elle de dire en haussant les épaules. Dès qu’il y a un match, il va au stade et rentre tard dans la nuit…

— Ça m’arrive parfois de participer à ces troisièmes mi-temps entre supporters… sourit Éric. Mais assez discuté, nous allons être en retard.



A l’entrée de la salle, dès que Sophie eut retiré son manteau, la plupart des regards masculins se tournèrent vers elle. En particulier ceux du maire qui se dirigea vers eux.

— Sophie, n’as-tu pas envie de te rafraîchir un peu ? lui demanda Éric.

— Euh si… j’y vais…

— Très bien ! Et n’oublie pas ton œuf…

Sophie rougit et se dirigea vers les toilettes. Dans l’intimité de la cabine, elle écarta son string et glissa l’œuf dans sa fente déjà bien humide. Elle n’ignorait pas qu’Éric allait jouer avec la télécommande pendant la réception, mais surtout, elle anticipait la soirée qui allait suivre quand ils se retrouveraient seuls dans leur chambre. Il lui avait promis qu’il l’utiliserait toute la nuit. Même si l’expression était vulgaire, elle n’avait qu’une hâte, découvrir ce que cela faisait d’être utilisée par un homme tel que lui. Il avait dit utiliser, pas aimer. Il y a longtemps avec Pascal, ils avaient passé des nuits entières à s’aimer, elle n’avait pas été utilisée.

Elle rejoignit Éric qui était entouré par le maire, le bijoutier et un homme qu’il lui présenta comme étant le président du club de rugby de la ville.

— Je vois que les bijoux vous vont à merveille, dit le bijoutier en souriant.

Elle comprit qu’il avait repéré les pierres qui ornaient ses seins, de côté, sa poitrine libre était visible dans le décolleté de la robe. Le maire avait aussi remarqué ce détail, et tandis qu’il discutait avec Éric, son regard était dirigé vers la poitrine de la petite rousse.

— … Donc, Monsieur le maire, vous ferez le premier discours, puis Clovis dira quelques mots et je terminerai…

— Cela me convient. Mais, j’aimerais que votre assistante monte à mes côtés sur l’estrade.

— Bien sûr, elle en sera ravie, n’est-ce pas Sophie ?

— Oui Monsieur Martin. Avec plaisir…

Sur l’estrade, celle qui attirait l’attention plus que les orateurs fut Sophie. Elle était un peu en retrait derrière le maire et la vedette du film, mais elle pouvait voir les regards qui se penchaient pour mieux la voir. Soudain, elle sentit la vibration dans son ventre. Éric venait d’activer l’œuf, cela commençait. A chaque applaudissement, il montait le niveau de vibration pour la redescendre ensuite. Elle tentait de garder une expression neutre, mais elle n’allait pas pouvoir tenir très longtemps.

Quand le maire eut fini son discours, les applaudissements durèrent un peu plus longtemps et elle commençait à se trémousser, ne pouvant presque plus se retenir. D’autant plus que lorsque Clovis Cornillac prit la parole, les applaudissements redoublèrent. Elle était certaine que l’intensité des vibrations était au maximum. Elle était trempée, elle n’avait qu’une crainte que l’œuf ne glisse. Elle se contractait pour le retenir, mais cela ne faisait qu’empirer les choses.

Quand Éric prit la parole, il arrêta tout. Elle put un peu reprendre le contrôle de son corps mais il ne lui en faudrait pas beaucoup pour qu’elle atteigne le plaisir.

— Tu as été parfaite ma pute… Lui murmura Éric alors qu’ils descendaient de l’estrade. Allons profiter un peu du buffet avant de partir… J’ai hâte de me retrouver seul avec toi.

Sophie lui sourit, elle aussi était impatiente d’être seule avec cet homme, son amant, son maître, son initiateur. Malgré son désir de retourner rapidement à l’hôtel, Éric fut sollicité de toute part. Parfois il s’amusait à monter les vibrations de l’œuf de Sophie quand il la voyait parler avec quelqu’un, la forçant à mettre fin à la conversation pour pouvoir souffler.

Quand ils furent enfin seuls Éric toisa Sophie.

— Laïka ! Déshabille-toi !

Elle n’eut pas besoin qu’il le lui répète. Sophie, Laïka, fit glisser sa robe à ses pieds, puis son string. Elle ne garda que ses bas et ses talons. Elle retira son œuf, qu’elle lécha sensuellement avant de le ranger. Sa petite poitrine était gonflée de désir et ses tétons décorés pointaient avec arrogance. Éric s’approcha et prit le sein droit dans sa bouche. Il savait comment faire, il commençait à bien connaître ses réactions. Tandis que sa bouche aspirait le sein, sa langue tournait autour du téton. Il posa sa main gauche entre les cuisses de sa soumise et entra deux doigts dans son sexe accueillant. Sophie gémit. Elle en pouvait plus. Éric le sentit, mais il ne voulait pas lui faire ce plaisir trop rapidement. Il s’assit sur le lit.

— À genoux ! Viens me sucer !

La petite rousse s’agenouilla entre les cuisses de son maître, elle sortit le sexe qui ne demandait qu’à être libéré et le prit dans sa bouche.

Éric appréciait la maladresse de Sophie. Son sexe remplissait sa petite bouche. Il la prit par les cheveux pour imposer son rythme et la profondeur de la pénétration. Il savait qu’elle n’était pas encore prête pour une gorge profonde même si elle faisait de son mieux, chaque chose en son temps.

Quand il estima qu’il était assez raide pour continuer, il la prit dans ses bras et la déposa à quatre pattes sur le lit.

— Cambre-toi ! Offre-moi ton petit cul, ma chienne ! Ouvre-le avec tes mains !

Sophie, la tête dans les oreillers, prit ses fesses entre ses mains et les écarta. Éric l’attrapa par les hanches et posa son gland contre cet anus offert. Il poussa doucement. Il aimait entendre les gémissements de ses soumises quand il pénétrait cet orifice. Sophie ne faisait pas exception. Il entrait doucement, mais profondément. Quand il fut totalement en elle, il s’immobilisa pour apprécier la sensation que lui apportait ce cul presque vierge Sophie soupira ce n’était que la deuxième fois qu’elle était sodomisée, mais elle ne détestait pas. Elle soupirait, elle tendit son cul. Ce geste fut le signal qu’Éric attendait. Aussitôt, il commença ses mouvements de va-et-vient dans cette croupe offerte. Il ponctuait ses pénétrations par des claques sur ces fesses pâles qui commençaient à rougir.

— Caresse-toi pendant que je t’encule…

Sophie glissa sa main droite entre ses cuisses et commença à caresser son clitoris, accompagnant Éric. Il ne lui fallut pas longtemps pour s’approcher du plaisir, Surtout après la stimulation par l’œuf au début de la soirée.

Éric sentait la tension monter et sans la prévenir, il la retourna et pénétra sa chatte d’un coup.

— J’espère que tu prends la pilule car je vais jouir en toi…

— Maître, allez-y… baiser moi jouissez en moi.

Éric accéléra, la baisant à fond.

— on va jouir ensemble…



Pour Sophie, sentir ce sexe dans son anus n’était pas une nouveauté, c’était la deuxième fois qu’Éric la possédait ainsi. Elle avait un peu mal, mais cette douleur était vite compensée par le plaisir qui allait arriver et le bien être qu’elle avait de se sentir possédée de cette manière. Quand Éric commença à remuer entre ses fesses, elle se cambra naturellement pour lui faciliter ces choses. Éric était aux anges. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas sodomisé une femme de cet âge, vierge du cul. Il prenait son temps, faisait durer le plaisir.

— C’est bon Maître… Continuez…

Éric ne répondait pas, il utilisait son assistante pour son plaisir à lui, pas pour le sien. Il voulait l’utiliser totalement, qu’elle sente qu’elle lui appartenait et qu’il pourrait en faire ce qu’il voulait. Il allait et venait dans ce fondement étroit. Il sentait le plaisir monter. Il ne voulait pas jouir dans son cul mais dans sa chatte.

— Hummm… fit Sophie quand il se retira. Il perçut la frustration de sa soumise quand il sortit de son cul.

Toujours en silence, il la retourna et avant qu’elle ne réagisse, il pénétra profondément sa chatte.

— J’espère que tu prends la pilule… Je vais jouir dans ta chatte de pute…

Il utilisait volontairement des mots vulgaires pour provoquer une réaction.

— Oui… Vas-y ! Ne vous inquiétez pas… Oui je suis votre pute !

Éric synchronisa ses mouvements en fonction des réactions de Sophie et rapidement, ils jouirent ensemble.

Sophie sentit son amant et maître se vider dans son ventre. “Bien sûr que je prends la pilule, j’ai déjà quatre enfants !” Elle aimait cette sensation de bien-être qu’elle ressentait quand son mari finissait ainsi dans son ventre, surtout le moment où il restait immobile en elle, sur elle. Elle l’appréciait encore plus avec Éric.

Quand il se retourna sur le lit. Elle fit ce qu’elle ne faisait jamais avec son mari. Elle se souvenait des mots d’Éric dans le train : “tu dois toujours nettoyer après.” Elle vint prendre le sexe ramolli de son amant pour le prendre en bouche et le nettoyer. Éric lui caressait les cheveux tendrement. “Cette fille est une perle,” pensait-il.

— Tu ne m’as pas répondu… Prends-tu la pilule ?

— Oui bien sûr…

— Tu as intérêt, car je finirai souvent dans ta chatte…

— Oui Maître…

— Vas prendre une douche et reviens… La nuit n’est pas finie…



Quand Sophie ressortit nue de la salle de bain, il lui fit signe de s’allonger sur le lit. Il se pencha sur elle et prit son sein dans sa bouche. Il joua avec son téton percé et d’une main il lui caressait l’entrejambe. Sophie écartait les cuisses naturellement. Elle s’offrait aux caresses. Elle se mordit les lèvres quand les doigts de son amant se firent plus précis.

Éric remplaça ses doigts par sa bouche sachant exactement que faire pour rendre folle de désir cette femme qu’il entendait gémir.

— Encore… Continue… Vas-y !…

Ces soupirs, ces gémissements, ces paroles, ces cris remplissaient la chambre. Sophie plaquait le visage de son maître contre sa fente. Il ne fallut pas longtemps à Éric pour retrouver sa vigueur et remettre son membre viril au fond de ce fourreau de chair si accueillant. Fixant la femme dans les yeux, il lui dit :

— Laïka, je vais faire de toi ma poupée, ma chienne, ma pute…

— Oh oui maître… Faites-le…

— Demande-le-moi ! Dis-moi ce que tu veux être…

— Je veux être votre poupée, votre chienne, votre pute…

— Très bien, dis-moi : qui es-tu ?

— Je suis Laïka, votre chienne soumise.

Avec un sourire vainqueur Éric pilonnait la chatte de Laïka qui s’abandonnait à son maître.

Au milieu de ses soupirs, elle demanda.

— Encule-moi… prends mon cul.

— Tu y prends goût ma salope…

— Oh oui… si j’avais su…

— Bien ! va te mettre à quatre pattes sur la table basse… petite pute !

Éric la regarda s’installer. Il admirait ce corps nu, mince, ces cheveux roux, cette petite poitrine qui pend un peu, ces fesses encore fermes.

Il vint se planter dans ce cul offert de si bonne grâce. Cette fois ci, il n’a pas fait de manière. Dès qu’il fut derrière elle, il pénétra d’un coup cet orifice, faisant gémir et crier sa soumise.

— Oh oui ! Je suis une chienne… une salope… une enculée

Soudain Sophie entendit et sentit la main de son maître s’abattre sur sa fesse droite.

— Aïe !

L’autre main s’abattit sur la poitrine gauche.

— Ça, c’est pour : “encule-moi !” lui dit Éric.

Tout en restant dans son cul, il continuait de la fesser. Il voyait ses fesses rougir.

— Excusez-moi Maître… je ne recommencerai plus…

Sans un mot, il se retira. Sophie le vit sortir un objet de son sac et revenir derrière elle.

— Tu mérites une punition Laïka.

— Oui maître… répondit-elle inquiète, troublée.

Éric leva le bras et par dix fois, il abattit le martinet sur les fesses déjà bien marquées par la fessée. Les lanières s’enroulaient autour du corps de Sophie qui gémissait en promettant de ne plus recommencer.

Quand il eut fini de la corriger avec le martinet, pour son manque d’éducation. Éric la positionna debout, face à la fenêtre. Elle était bien droite, cambrée, car il avait mis contre son dos, une barre d’écartement et des menottes à ses poignets. Elle était totalement exposée aux regards éventuels de ce qui lèveraient la tête vers cette fenêtre.

— Tu devras supplier pour que je te libère… lui dit-il à l’oreille.

Éric allongé sur le lit la regardait de profil. En attendant qu’elle le supplie de faire cesser la punition, il prit le téléphone de son assistante et chercha des photos de son mari. Il en sélectionna deux qu’il transféra dans son propre téléphone et il envoya un message à Daniel : “tu connais ce mec ? En PJ les 2 photos.

Oui ! Bien sûr ! France-Irlande ! Un sacré numéro ! Il me semble que j’avais fait quelques vidéos de cette soirée… Je vais te retrouver tout ça !

La réponse du réalisateur laissa Éric songeur. Il réfléchissait à cette information. Comment faire pour ne pas briser ce qu’il était en train de bâtir avec cette femme. Elle semblait avoir énormément de potentiel, mais elle était aussi si fragile. Elle ne ressemblait à aucune des soumises qu’il avait possédées jusqu’à présent.

Il fallut une bonne demi-heure pour que Sophie commence à se plaindre et gémir de la douleur imposée par sa position confortable.

— Maître, s’il vous plaît… libérez-moi… je n’en peux plus…

Comme c’était la première fois qu’il lui infligeait ce supplice, Éric se leva et la libéra. Sophie se massa les poignets, remua ses bras, ses épaules pour soulager les tensions qui s’y étaient accumulées. Elle obéit au geste de son amant qui lui fait signe de s’allonger sur le lit. Éric la vit se tourner sur le côté pour s’endormir en chien de fusil. Il se glissa contre elle. Sophie apprécia la chaleur de son maître contre son dos et sa respiration lente montra à Éric que sa soumise venait de s’endormir. Il ne tarda pas à la rejoindre dans les bras de Morphée.