lundi 15 septembre 2025

Chantage à la Campagne - 24

 

Après mon départ, Sophie s’était recouchée. Elle n’avait pas besoin de mettre son réveil. Le docteur Fabreau lui avait fait un arrêt de travail pour un mois. Un mois pendant lequel, elle serait totalement à la disposition de Monsieur Bernard et de ses désirs lubriques et pervers. Un mois pour qu’il la transforme en salope, chienne, pute, truie qui n’est plus comme seul désir que celui de satisfaire les mâles.

Elle somnole encore quand son téléphone sonne, un message de Monsieur Bernard :

la truie, ce midi, tu vas déjeuner au Petit Savoyard, je t’y retrouverai.”

Bien maître Bernard, j’y serai à 12h30”

As-tu toujours tes inscriptions ?”

Non maître… je suis désolée que dois je écrire”

ce que tu es”

oui maître, et où ?”

N’oublie pas les bites sur tes cuisses”

Je n’oublierai pas Maitre”

et pas au velleda hein”

Non Maître au marqueur : SALOPE sur mon pubis et les bites sur mes cuisses au dessus des bas.”

c’est bien et évidemment cela te plait n’est-ce pas ?”

Oui maître cela me plaît, je suis une salope avec 3 trous à remplir”

comme Hervé est absent il faut que je trouve des bites pour te remplir. Tu ne te rends pas compte du boulot que cela me donne. Mais je suis un grand humaniste.”

merci maître j’ai besoin d’être remplie. Je suis faite pour ça. être remplie pour donner du plaisir aux males”

Tu as raison de parler de mâle parce que je ne connais pas tant d’hommes que ça. Il faudra donc que je te trouve des chiens. Cela te convient-il ?”

oui maître, je suis une chienne dans un corps de truie”

tu n’as donc pas de problème de genre alors hihihih”

non maître je n’ai pas ce problème, je suis une femelle”

bien à tout à l’heure au petit savoyard”

oui maître, à ce midi.”

Elle regarde le réveil. Il est déjà dix heures trente. Elle se lève rapidement, elle va avoir juste le temps de se préparer pour être à l’heure. Selon les directives de son maître, ma femme prend son café nue dans la cuisine en laissant les rideaux ouverts. Elle se connecte ensuite sur des divers sites de shopping en ligne pour commander les sous-vêtements que Monsieur Bernard à exiger qu’elle porte en se demandant comment sa poitrine pourra être maintenue dans ces soutien-gorges quart de sein. Elle n’oublie pas de commander le collier qui grâce à la magie d’internet lui sera livré, comme ses sous-vêtements, le lendemain.

Après avoir écrit sur sa peau, Sophie enfile une tenue qui elle l’espère plaira à son maître, mais elle ne peut s’empêcher de repenser aux mots de Bernard. va-t-il réellement m’offrir à des chiens ou était-ce une métaphore ?

À cette heure avancée de la matinée, le train est presque vide, elle est soulagée en s’asseyant selon les directives de Monsieur Bernard, mais ces exhibitions contraintes l’excitent malgré elle. Qu’est-elle en train de devenir pour ressentir de telles envies.

***

Quand Marie-Catherine entre dans le routier, Sophie, à des kilomètres de là, s’approche du Petit Savoyard. Lors de sa dernière visite, Bernard lui avait demandé d’exposer ses inscriptions et de sucer le serveur. Avec une pointe d’excitation, elle se demande ce qui l’attend aujourd’hui.

Elle regarde autour d’elle pour tenter de l’apercevoir. Il ne semble pas encore là. Le serveur la reconnaît, mais comment aurait-il pu oublier une cliente comme elle. Il la conduit dans l’espace aménagé par sa patronne selon les spécifications de Bernard, comme une petite salle à part séparée du reste du restaurant par une claustra végétalisée où trois tables sont disposées de manière à ce que deux tables soient face à la troisième.

La relative discrétion de cette zone peut être perturbée par le passage devant l’entrée de clients désirant se rendre aux toilettes. L’augmentation du risque induit par cette disposition pimentera les situations.

Sophie est intriguée par cet aménagement, mais elle s’assoit sur la chaise que le serveur lui a tirée. Avant de s’asseoir, pour être assise cul nu, elle remonte sa jupe, permettant au garçon souriant de bien voir ses inscriptions et sa chatte nue…

— Madame est toujours aussi séduisante et excitante.

Elle lui répond juste par un sourire, sachant qu’il ne s’est pas privé de se rincer l’œil.

Elle voit enfin Bernard arriver avec deux hommes très élégants en costume et cravates. “Sûrement des banquiers ou des hommes d’affaires,” pense-t-elle. Monsieur Bernard semble bien les connaître, en particulier le plus âgé aux cheveux courts, blanchis par l’âge, probablement sexagénaire voire plus. Même s’il porte des lunettes en écaille aux verres légèrement teintés, elle se doute que ses yeux regardent dans sa direction. Elle lui sourit, il est bien enveloppé mais sans être obèse.

L’autre homme est nettement plus jeune entre trente et quarante ans, mais sûrement plus de trente, estime Sophie.

Les deux hommes lui rendent son sourire avant de s’installer à une des tables. Ils lui font face tous les trois. Elle sait qu’ils voient parfaitement la manière dont elle est assise sur sa chaise. Comme elle a écarté ses genoux, selon les désirs de Monsieur Bernard, il est évident que le plus âgé à une vue complètement sur le haut de ses cuisses et sa chatte nue.

Elle le voit se pencher et murmurer quelque chose à Bernard qui la fixe. Elle se doute qu’il parle d’elle et de ce qu’il voit. Elle respire profondément ce qui gonfle sa poitrine et fait ressortir ses tétons qui pointent sous le chemisier très fin.

— Mon ami, tu peux parler fort… cette truie ne sera pas choquée par tes mots, dit Bernard d’une voix suffisamment forte pour être entendue de Sophie. Je suis même certain que cela l’excite encore plus, Cela fait plusieurs fois que je viens ici et que je la vois se comporter comme une trainée. Pourtant ce ne doit pas être une pute, car je ne l’ai jamais vu prendre de l’argent. Elle doit être nymphomane ou simplement une belle salope vous en pensez quoi mes amis ?

Ses deux compagnons répondent qu’effectivement c’est surprenant mais fort agréable.

— As-tu beaucoup d’autres belles surprises comme celle-là ?

Bernard fait mine de réfléchir et avec malice, sournoisement, il leur dit :

— Peut-être que oui ! J’ai un ami qui pourrait vous présenter une belle femme du même acabit me semble-t-il, mais je n’en sais pas plus. En attendant profitons du moment présent.

— Évidemment, en plus ce que nous voyons est plaisant, ce serait bien, si on pouvait en voir plus, non ? Qu’en pensez-vous ?

— Oui, on voit bien ses grosses cuisses mais le reste est dans l’ombre ou alors caché…

— Peut-être n’assume-t-elle pas ses rondeurs ? dit le plus âgé.

— il est vrai qu’elle a des formes, mais cela n’en est-il pas que plus plaisant ? dit Bernard.

— Il faut essayer, répondit le plus jeune.

— Essayer quoi ? dit le vieux.

— Sa bouche, sa chatte, son cul, ses seins… Enfin tout…

— Que dis-tu là jeune homme, intervient Bernard. Nous sommes des gens de bon aloi et des gentilshommes

— L’un n’empêche pas l’autre… on peut avoir envie de tout essayer tout en restant des hommes de qualité

Absorbée par la discussion qui se déroulait entre Bernard et ces hommes, ses invités, se demandait-elle, elle sursauta quand le serveur lui demanda, si elle avait choisi.

— Mais en plus, ajouta-t-il On remettrait bien cela !

Sophie se souvenant de sa dernière visite dans ce restaurant, rougit. Elle reçoit alors un message de Bernard.

Tu prends du melon “comme les tiens”, puis des cuisses de canard “bien écartées” et une banane “bandée” au jus de couille”.”

Obéissante, sans chercher à comprendre, elle répète ces mots au serveur qui lui explique que le dessert sera une surprise.

— En plus ! Aujourd’hui, vous avez de la chance ! Vous avez des spectateurs ! Il ne faut pas les décevoir… Ça vous excite n’est-ce pas ?

— Ou… oui monsieur… murmure-t-elle.

— Oui quoi ?

— Oui, ça m’excite d’avoir des spectateurs ! répète-t-elle.

— Plus fort ! Insiste-t-il

— Oui, ça m’excite d’avoir des spectateurs ! dit-elle en élevant la voix.

— Et en quoi consiste votre spectacle ?

— Je… je… enfin…

— Ah oui ! C’est très clair, mais j’ai pas bien compris.

— Je… je dois me mon… montrer !

— Montrer quoi ?

— Heu ! Je… je… mon… mon co… corps

— C’est-à-dire ? vous voulez montrer vos melons ?

Elle comprend où il veut en venir et ce que signifiait le menu.

— Oui, je veux montrer mes melons

— Plus fort !

— Oui ! Je veux montrer mes melons !

— Et ensuite ?

— Écarter mes cuisses… dit-elle fort sans se faire prier pour écarter largement ses cuisses sous la table, offrant ainsi la vision de sa grosse moule luisante à ses spectateurs qui n’en demandaient pas tant.

— Et pour finir que dégusterez-vous ?

Elle rougit, car elle savait ce qu’elle devrait pour le dessert, en se doutant que cela satisferait les deux invités de Monsieur Bernard.

— Au dessert, je dégusterai des bananes bandées au jus de couille !

Les deux hommes se léchaient les babines, anticipant le déroulement de leur repas. Ils lui demandèrent ce qu’il avait prévu pour l’apéritif.

Commande prise, avec clin d’œil et sourire, le garçon passe prendre la commande auprès des trois autres clients. Il leur demande s’ils sont bien installés et que le nouveau cadre leur convient. Devant leur satisfaction, il prend leurs commandes en répondant à Bernard qui le questionne qu’un jeune nouveau collègue assure le service de l’autre côté de la salle lui laissant une totale liberté pour s’occuper de ce quoi. Puis il s’en retourne en cuisine.

Bernard demande à ses amis, en attendant leur apéritif, s’ils veulent voir plus de décolleté de la femme d’enfance. Ils acquiescent mais se demandent comment cela peut se faire ? Bernard les rassure en leur disant vous allez voir.

Quand le serveur leur apporte leur apéritif Bernard dit au serveur que ses amis trouvent la vue vallonnée agréable mais incomplète. Le garçon hoche la tête et se dirige vers Sophie en lui murmurant dans l’oreille que ses melons sont trop cachés et qu’elle doit défaire deux boutons.

En tremblant la pauvre femme s’exécute dévoilant nettement plus son sillon mammaire en rougissant.

En face les amis disent à Bernard qu’il est trop fort en sirotant qui un whisky, qui un mojito ou un kir royal. Leur vision des plus agréables leur laisse espérer plus, mais Bernard leur demande d’avoir de la patience.

Quand Gaspard le serveur sert son entrée à Sophie, il annonce à haute voix :

— Voici les beaux melons de madame ! Qui seraient encore plus beaux si Madame ouvrait un bouton supplémentaire… en lui demandant de défaire un bouton de plus.

— Oui, Monsieur… répond-elle en baissant les yeux

— Oui quoi ? murmure-t-il.

— Merci, oui j’ai de beaux melons… se reprend-elle en devenant pivoine.

— Vous voulez qu’on les voie ?

— Oh oui ! ne peut-elle s’empêcher de dire.

— Alors ouvre ton chemisier ! lui murmure-t-il.

Tandis que le serveur retourne en cuisine, elle obéit en tremblant, exposant entièrement sa poitrine sous les yeux écarquillés des trois hommes, muets devant ce spectacle incongru. Comme si tout était normal, le serveur revient servir Bernard et ses compagnons. Alors qu’il dépose le dernier plat, un client, assis dans la salle principale, se dirige vers les toilettes. Il passe devant Sophie qui referme prestement son chemisier. L’homme, surpris, ne sait s’il a bien vu ou s’il a rêvé de voir des seins nus.

Bernard qui n’apprécie guère cette reculade de la part de son apprentie, lui envoie illico un texto.

tu n’es pas obéissante tu vas être punie, ce pauvre client aurait probablement aimé voir tes mamelles et tu as refermé ton chemisier. Alors comme punition tu le retires et tu viens l’offrir à mes amis et quand le client repassera de retour tu t’excuseras”

Ma pauvre femme est tétanisée. Mais elle sait qu’elle ne peut qu’obéir. Elle se lève donc en venant vers les trois hommes, défaisant les derniers boutons. Devant la table, elle retire entièrement son chemisier tout en disant :

— Je vous offre mon chemisier ! dit-elle en le tendant au plus vieux d’une main tremblante avec ses tétons qui durcissent.

Dans un silence de cathédrale, les hommes restent silencieux à la demande de Bernard qui lui répond avec un simple merci, laconique. En rejoignant sa table, elle croise le client de retour des toilettes qui reste scotché devant cette femme topless qui s’excuse de lui avoir caché ses mamelles. Le client incrédule ne sait pas comment réagir à cette situation inattendue, l’arrivée du serveur l’affole et il retourne rapidement à sa table.

Sophie finit son melon sans appétit. Quand le serveur vient desservir son plat, il la félicite tout en lui disant qu’elle pourrait encore en faire plus. Elle se sent alors envahie par une inquiétante excitation. Elle craint Maître Bernard mais à contre-cœur, elle doit admettre que cette situation tordue, iconoclaste, lui fait de l’effet.

Alors que les amis de son maître s’excitent, n’appréciant même pas les délicieux plats, préférant le spectacle gratuit et impudique qui leur est offert par cette femme, ses cuisses de canard lui sont apportées.

— Tu vois comme la purée de pomme terre est entre les cuisses de canard. Ainsi doivent être les tiennent exposant bien ta “purée vaginale” en retroussant ta jupe, lui murmure Gaspard.

Sans réfléchir, elle obéit. Elle remonte sa jupe jusqu’au ventre. Elle écarte ses jambes sachant que sa chatte est scandaleusement exposée à la vue des amis de Maître Bernard qui essaye d’animer une conversation sur l’absurdité des trente-cinq heures sans retenir l’attention de ses voisins qui fixent la chatoune de la femme en face d’eux.

Un second client va aux toilettes et sans hésitation, il mate les melons de Sophie qui baisse la tête. Il prend son temps, n’en croyant pas ses yeux et surtout ce que lui a dit son ami dans l’autre salle.

Elle reçoit un SMS :

tu n’es vraiment pas gentille, pourquoi as-tu baissé la tête quand ce voyeur t’a regardée. C’est insultant tu as dû le vexer. Tu dois être fière d’être une truie.

Pour ta punition tu vas le rejoindre aux toilettes et lui donner ta jupe et tu acceptes ce qu’il souhaite. Je veux le voir passer avec, avant ton retour. Obéis !”

Elle est vitrifiée. Comme un automate, elle se lève laissant retomber sa jupe et file aux WC. Bernard observe la scène grâce à la caméra que la patronne du “Petit Savoyard” a accepté d’installer temporairement dans cet espace. Il voit l’homme, de dos, uriner dans des urinoirs suspendus, puis l’entrée de Sophie. L’homme se retourne, surpris, laissant sa miction tomber à côté. Elle s’approche lentement, dégrafe sa jupe et la pose sur l’épaule du gars interloqué qui reprend son pénis en main. Il reste tétanisé quand cette petite brune rondelette s’agenouille et prend son sexe entre ses doigts pour diriger le jet dans l’urinoir en faïence.

— Qu’est-ce qui se passe ici ? hurle la patronne, paralysant les acteurs surpris et déstabilisés.

— Madame sortez d’ici ! Allez dans les toilettes dames ! Et vous monsieur ! Vous devriez vous contrôler ! Vous avez uriné à côté ! Je devrais vous faire nettoyer ! SORTEZ !!!

Honteux, sans demander son reste, l’homme sort prestement, la jupe sur l’épaule, suivie par Sophie, juste vêtue de ses sous-vêtements, ébranlée par ce qu’il vient de se passer est restée quelques instants sans réaction.

Dans les toilettes, la patronne regarde la caméra en faisant un clin d’œil, le pouce levé. Bernard est satisfait de cet épisode bien orchestré. Il sourit discrètement en voyant le client avec son air piteux rejoindre l’autre salle, sans avoir jeté la jupe de Sophie, trop ébranlé par ce qui vient de se passer.

Sophie, extrêmement excitée, ses tétons très durs, sentant sa cyprine inonder sa vulve qui baille honteusement, apprécie d’être reluquée par trois paires d’yeux en regagnant sa place.

***

Le serveur revient accompagné du jeune stagiaire. Il lui explique qu’il arrive que certaines clientes ont besoin de laisser libre cours à leur fantasme, d’où la mise en place de cette pièce spécialement aménagée à l’écart de la salle principale.

— Cette salope-là ! lui dit-il. Elle bat tous les records ! Mais, tu vois mon jeune ami, professionnellement, tu dois rester stoïque dans de telles situations. Tu ne dis rien. Tu ne fais rien si ce n’est satisfaire la clientèle qui a toujours raison et que nous devons toujours satisfaire. Par exemple, si cette truie te demande de la caresser tu le fais.

Tout en parlant, il fait comprendre à la salope qu’elle doit se lever et lui glisse dans l’oreille de demander au gamin de la caresser. Sophie est horrifiée. Elle regarde Maître Bernard, mais elle se lève, s’écarte de sa table et dit :

— Jeune homme ! Voulez-vous bien me palucher les mamelles et ma chatte, s’il vous plaît ?

Le jeune garçon reste médusé, sans broncher.

— Regarde comment donner satisfaction à une cliente, lui dit Gaspard en caressant la pauvre soumise anéantie. Le client est roi ici, tu comprends ?

Balbutiant, l’apprenti hoche la tête.

— À toi maintenant, apprends le métier !

Les mains tremblantes du jeune homme viennent à leur tour s’égarer timidement sur les atours plantureux de Sophie qui, malgré elle, apprécie ces attouchements scandaleux.

À la table de Bernard, on ne sait plus ce que l’on mange, mais on boit un peu plus que le raisonnable. La scène dure quelques longues minutes jusqu’au moment où le serveur renvoie son jeune acolyte en disant à sa cliente :

— Madame est-elle satisfaite ? Désire-t-elle avoir son dessert, maintenant ?

— Oui monsieur, merci ! répond-elle déroutée.

— Qu’avez-vous commandé, déjà ?

— Heu… je… des… des ba… bananes bandées au… heu… jus… heu de cou… couilles !

— Pardon ! Je n’ai pas entendu, ce n’est pas clair ?

— Heu ! j’ai commandé des bananes bandées au jus de couille ! dit-elle, toute rouge, plus fort en s’asseyant, attendant l’inéluctable hallali.

À la table qui lui fait face, les pantalons sont tendus. Bernard sourit, satisfait du jeu complice du serveur.

Sophie attend avec une certaine inquiétude l’arrivée de son dessert. Le nom du plat ne laisse guère de doute et elle se dit que tout est possible. Elle est presque soulagée quand le serveur lui dépose deux bananes épluchées sur une assiette avec un coulis de chocolat

— Pour le jus de couille, il faut que madame l’ajoute elle-même, lui dit le serveur en ouvrant sa braguette. Il est préférable qu’il soit de première fraîcheur !

Sophie découvre le sexe à moitié bande de l’homme.

— Si madame veut bien se donner la peine de me sucer pour extraire le jus de couilles…

— Euh… oui… bien sûr…

Ma pauvre femme n’a pas d’autre choix que de se pencher sur ce vit et de le prendre en bouche sous les yeux de Bernard qui observe la scène avec ravissement pendant que ses complices commentent la scène avec des mots crus.

— Je vous l’avais dit, cette nymphomane est une gourmande insatiable.

— Son mari doit être épuisé… dit un des hommes qui avait remarqué l’alliance.

— À sa place, je la ferais enfermer, dit l’autre…

Sophie s’applique et, rapidement, Gaspard recule pour éjaculer toute sa crème dans l’assiette à dessert.

— Merci pour ce jus de couilles, dit-elle.

— Le plaisir est pour moi ! Je mets un point d’honneur à satisfaire mes clients.

Sophie se retrouve face aux trois hommes qui la regardent en train de manger avec de plus en plus de concupiscence.

— Ne pensez-vous cher madame qu’il faudrait mettre un peu plus de jus ?

— Heu… Oui, probablement… mais comment ?

— Allez solliciter les hommes qui vous regardent !

Sophie regarde en direction de Bernard et de ses acolytes. Elle ne sait pas trop comment réagir. Doit-elle se lever pour aller vers eux ? Doit-elle attendre ? Doit-elle les inviter à venir se vider les couilles ?

— mais ne lui a-t-on pas dit d’aller “solliciter” ?

Alors,

Elle se lève avec son assiette et se dirige vers les trois hommes qui regarde la truie s’avancer. Ils se lèchent les babines d’avance en voyant ces mamelles et ce ventre remuer sous l’effet de la pesanteur. Ils prennent le temps de lire les inscriptions sur la peau de Sophie.

— Alors mes amis ? demande Bernard. Que pensez-vous de cette truie ?

— Elle est à farcir disent-ils en éclatant de rire

— Messieurs, dit-elle humiliée par les mots qu’elle vient d’entendre. Heu, s’il vous… vous plaît, heu… pourrais-je améliorer mon… mon dessert de… de… de vos vos jus…

— OUI ??

— Jus de couille ?

— Demandez correctement que nous comprenions bien votre désir… dit Bernard

— Messieurs, Je désirerai votre jus de couilles pour améliorer mon dessert

— Et où le veux-tu la truie ?

— Euh… Sur… Sur ma banane bandée Messieurs…

— Juste sur la banane… Ne le veux-tu pas directement…

Elle ne sait comment réagir que veulent-ils dire par directement. Elle frissonne, elle regarde Bernard qui ne dit rien.

— Si vous voulez… je le dégusterai comme vous le voudrez…

Le plus âgé tend alors sa main et commence à lui presser un nichon.

— De belles mamelles de vache ! Elles donnent du lait ?

— Euh… non… monsieur…

L’homme la regarde déçu.

— À quoi t’attendais-tu mon ami… ? Elle n’est plus de première jeunesse, c’est une vache de réforme… Ahahahah !!! Mais ces mamelles peuvent servir… La truie ! Récolte ton jus de couilles en branlant mes amis avec tes pis…

Sophie mouille de plus en plus. Ces insultes et commentaires qui devraient la faire fuir ne font que renforcer son désir d’obéir à son Maître. elle veut le satisfaire et me faire plaisir, elle se doute que Bernard me racontera toute cette scène, ignorant qu’elle est filmée.

Ma femme s’agenouille devant l’homme âgé qui ouvre son pantalon. Elle découvre un sexe frappé, rabougri. Elle n’a pas le choix, si elle veut pouvoir lui faire une cravate de notaire, elle va devoir commencer par le faire grossir.

Elle avance son visage et commence à le prendre dans sa bouche sans les mains comme Maître Bernard le souhaite. Elle aspire, joue avec sa langue sur le gland qui suinte un peu. Elle commence à pomper. L’homme souffle un peu, mais son sexe ne grossit pas vraiment. Sophie s’avance encore un peu, elle a son nez dans les poils pubiens du client qui lui attrape les cheveux. Elle pompe, tête. Le membre commence à grossir.

Il a enfin atteint une taille raisonnable et se reculant, elle se cambre pour offrir sa poitrine. L’homme glisse sa queue brillante de salive entre les gros seins de ma femme qui les presse sur ce membre de chair. En montant et descendant, elle stimule l’homme qui a de plus en plus de mal à se retenir. Quand elle sent qu’il va jouir, elle présente son assiette aux jets épais de foutre qui viennent recouvrir la banane.

Elle repose son assiette au sol et se dirige vers l’autre homme qui a déjà anticipé son approche. Avant qu’elle ne puisse réagir, l’homme crache vers son sillon mammaire.

— Pour la lubrification ! Dit-il en riant.

— Merci monsieur ! Répond-elle honteuse.

Elle présente sa poitrine au sexe raide du mâle. Cette fois-ci, le mât de l’homme est bien dressé et suffisamment long pour qu’à chaque aller et retour elle puise y donner un coup de langue.

C’est l’homme qui attrape son assiette et gicle son foutre sur le dessert. Il se lève et se dirige vers la table de Sophie et dépose le récipient au sol, sous la table. Étonnée, elle le regarde faire.

— Qu’est-ce que tu attends, la truie ? Va déguster ton dessert comme une bonne femelle… à quatre pattes sous la table ! Lui ordonne Bernard.

Humiliée, la pauvre femme marche à quatre pattes, ses mamelles pendantes vers l’assiette. Quand elle est installée, l’homme rabat la nappe ce qui ne laisse que la croupe pâle et les grosses cuisses visibles.

Sous la table, Sophie est obligée de manger la banane au jus de couilles en n’utilisant que sa bouche ce qui fait remonter davantage sa croupe.

— Tu attends qu’on t’autorise à sortir lui dit Bernard, anticipant toute réaction de sa soumise.

Soudain, alors qu’elle achève de lécher son assiette, elle sent deux mains enserrer sa taille. Elle comprend vite ce qui va suivre. Elle se cambre, se prépare. Un sexe se glisse dans sa moule trempée. À sa taille elle se dit qu’il s’agit du plus jeune. Elle est surprise que celui-ci ait déjà retrouvé toute sa vigueur.

Installée comme elle l’était, elle n’a pas vu qu’un client qui se dirigeait vers les toilettes était passé devant la table. Surpris par la vision de ce cul offert, il saisit immédiatement l’occasion pour venir se soulager. Le hochement de tête de Bernard était parfaitement clair. Une telle opportunité ne se refuse pas et sa secrétaire le trouvera plus aimable dans l’après-midi. Sophie sent que cet homme n’est pas des plus raffinés, il la pilonne sans douceur pour jouir rapidement. Il ne veut pas être en retard au bureau. Sans même se poser de question, il libère sa purée dans le vagin de ma femme et se retire sans attendre.

Sophie est frustrée par la rapidité de cette saillie, elle n’a pas eu le temps de jouir.

N’entendant pas d’ordre lui disant qu’elle peut sortir de sous la table, elle garde la position.

C’est avec soulagement qu’elle sent une nouvelle bite prendre possession de son intimité. Cette fois-ci, l’homme prend son temps. Il la pénètre profondément avec d’ample mouvement, elle réalise qu’il ne peut pas s’agir d’un des deux complices de Monsieur Bernard. Serait-ce Gaspard ? Elle feule quand le pieu entre totalement en elle, elle tend son cil. Elle en veut davantage. Elle passe une main entre ses cuisses et triture son clitoris. Elle veut jouir. Elle va jouir. Elle souffle. L’homme s’agite. Il abat sa main sur sa fesse, elle sursaute, coupée dans sa montée vers le plaisir. Une claque résonne dans la pièce. Elle crie. Cela excite son bienfaiteur, il recommence. Une claque, un coup de rein… Une dernière claque, un grognement, un coup de rein jubilatoire et… plus rien. Il s’est retiré.

Sophie trépigne, une nouvelle fois, on ne lui a pas permis de jouir. Elle remue son popotin pour faire comprendre aux hommes qui la regardent qu’elle en veut encore.

— Regardez cette nymphomane, entend-elle dire Bernard. Elle vient de se faire ramoner la chatte par deux mâles et elle en réclame d’autres… Gaspard, il reste des clients ?

— Oui, Monsieur ! Une tablée de quatre routiers…

— Invitez-les à venir profiter de cette chienne en chaleur…

— Tout de suite Monsieur !

Gaspard qui espère aussi profiter de ce gros cul se dépêche d’aller proposer aux derniers clients ce digestif particulier.

Quand ils entrent dans l’arrière salle, ils n’en croient pas leurs yeux. Un gros cul pâle est à leur disposition.

— Si j’avais su, dit l’un d’eux. Je ne me serais pas fait sucer par la pute qui traîne sur le parking. J’aurais économisé cinquante euros…

Pendant qu’il parle, l’un de ses collègues ne perd pas de temps, il débraguette son pantalon baisse son caleçon et plante son pieu dans la moule débordante de foutre de Sophie qui gémit. Elle a honte, elle est humiliée, mais elle est excitée. D’elle-même elle s’empale sur ce sexe qui la besogne. Quand l’homme jouit et se retire, elle soupire de frustration. Ce sentiment ne dure pas longtemps, sa chatte est de nouveau remplie et pilonnée. Cette fois-ci, son baiseur ne la ménage pas et on peut même entendre la table tressauter à chaque coup de rein.

Bernard et ses comparses peuvent entendre les couinements de ma femme en réaction à l’assaut de ces hommes.

Les routiers finissent leur affaire et saluent Bernard avec un sourire satisfait. Mon voisin a une vue parfaite sur les trous offerts de la femelle qui vient d’être saillie par plusieurs mâles.

— Je vous l’avais dit ! Cette femme est une nymphomane. Je suis certain qu’elle en veut encore ! Demandez-lui Gaspard !

— Oui, Monsieur je le lui demande.

Il fait sortir la pauvre Sophie de sous sa table. Ses genoux lui font mal, elle n’a plus vingt ans.


— Êtes-vous rassasiée ou en voulez-vous encore madame ?

Sophie voit Bernard qui lui fait comprendre qu’elle doit répondre par l’affirmative.

— J’en veux encore, Monsieur…

— Que voulez-vous encore ?

— Je… Euh… je… je voudrais… du jus de couilles !

— Bien je pense pouvoir vous satisfaire…

Il baisse son pantalon et présente son sexe à moitié érigé à Sophie. Il n’a pas envie de salir ses vêtements en baissant cette chatte dégoulinante. Il se contentera de sa bouche.

Sophie baisse la tête et docile s’agenouille pour satisfaire le désir de Gaspard. Elle prend le gland entre ses lèvres et titillé le méat. Le serveur l’attrape par les cheveux. Il en veut plus. Ma femme l’embauche. Elle sent le sexe forcer sa gorge. Elle suffoque mais Gaspard continue de pousser sa bite. Le gland passe. Sophie hoquette mais résiste.

L’homme commence à baiser cette bouche offerte. Excité par tout ce qu’il a vu depuis le début du repas, il éjacule rapidement au fond de la gorge de sa cliente.

Sophie tombe à quatre pattes pour reprendre son souffle, un filet de bave coulant de ses lèvres tombé au sol.

Bernard se tourne vers ses comparses.

— Je vous avais promis un déjeuner édifiant, n’ai-je point tenu ma promesse ?

— Tout à fait ! Penses-tu que nous aurons de nouveau l’occasion d’avoir un déjeuner aussi édifiant ?

— Cela ne dépend pas de moi… mais de cette chaudasse !… oui là… nous allons être en retard ! Paul nous attend au golf !

Sophie regarde les trois hommes remercier Gaspard et quitter le restaurant. Elle récupère son chemisier. Elle hésite un peu avant de franchir la porte de la salle principale où elle espère trouver sa jupe.

La patronne derrière le comptoir la regarde hautaine.

— Votre jupe est là, lui dit-elle en lui montrant le porte-manteau qui se trouve à l’autre bout de la pièce.

— Merci Madame…

Ma femme traverse la salle le cul à l’air, espérant que personne ne va regarder depuis la rue à travers les fenêtres.

— Pourriez-vous venir régler votre repas avant !

Sophie prise au dépourvu sursaute.

— Euh oui Madame ! Bien sûr !

Tête basse et toujours la chatte à l’air, Sophie revient vers le comptoir. Elle sort sa carte bancaire pour payer.

— Madame Berlon, je pense que vous pourriez aussi offrir un pourboire au personnel pour les remercier de ce repas, non ?

— Euh… répond Sophie, surprise par le fait que la patronne connaisse son nom. Elle se dit qu’elle a dû le lire sur sa carte quand elle l’a glissée dans le terminal.

— Quoi ? Un problème ?

C’est-à-dire… Oui… Bien sûr… mais je n’ai pas de liquide sur moi…

— Qui t’a parlé d’argent…

— Euh… oui Madame évidemment !

— Bien ! Donc descends au sous-sol… Tu connais les lieux…

— Oui Madame…

Toujours le cul et la chatte à l’air, Sophie descend l’escalier et arrive devant la petite porte qui donne sur ce qui sert de salle de repos au personnel. Là, elle y découvre Gaspard, le jeune apprenti-serveur, le cuisinier et l’aide-cuisinier.

— Je viens pour vous donner un pourboire.

— Très bien dit Gaspard. Commence par te mettre à genoux salope ! Tu vas nous sucer un par un ! Théo ! A toi l’honneur !

Un peu gauche le jeune apprenti ouvre sa braguette et sort un sexe ramolli mais épais. Sophie commence à le lécher, le caresse avec ses doigts. Le jeune membre s’éveille. Elle l’embauche sur toute sa longueur. Théo n’en revient pas, aucune de ses copines ne lui avait jamais fait cela. Il est tout excité. Ma femme s’en rend compte, Elle joue avec cette queue qui ne tarde pas à cracher son jus. Elle se recule souriante et ouvre sa bouche pour bien montrer cette semence aux quatre hommes, avant d’avaler.

— À qui le tour ?

L’aide-cuisinier se présente. Celui-ci est plus expérimenté et Sophie met plus de temps pour arriver à son but. Tout comme pour le jeune Théo, elle montre bien ce qu’elle a recueilli avant d’avaler.

— La pute, dit Gaspard. Changement de plan !

Sophie le regarde. Que pouvait-il avoir eu comme idée ? Se demande-t-elle. Elle réalise que depuis cette après-midi où Bernard avait aperçu sa petite culotte dans le jardin, tous les hommes qu’elle rencontrait étaient tous plus pervers les uns que les autres. Et moi, son mari, je ne suis pas le dernier. Je l’encourage même à plonger dans la perversité.

— C’est-à-dire ?

— Oh, c’est simple ! Je vais t’enculer pendant que Nasser va te baiser.

Elle voit Nasser s’allonger sur le sol de la cuisine, la queue raide. Docile, elle vient s’accroupir au-dessus de lui, s’empalant sur ce sexe. Le cuisinier commençant à lui pétrir les seins comme s’il s’agissait d’une pâte à pizza. Gaspard la penche en avant et d’un coup, il l’encule.

Elle pousse un petit gémissement et sent les hommes remuer en rythme.

Je fais cela pour plaire à mon mari”, se dit-elle. “Je suis sûre qu’il sera content que je lui raconte tout cela ce soir.”

Les deux hommes sont loin d’être des taureaux de concours et ils jouissent rapidement. Après les avoir nettoyés, ma femme chérie récupère ses vêtements, enfin sa jupe et son chemiser et rentre à la maison.

De retour dans son foyer protecteur, elle prend une douche et, respectant la consigne de Bernard, reste nue.