jeudi 28 janvier 2021

Le Congrès ou ... : Le Transfert (La Confrérie d'Artémis)

 

Au bout d'un certain temps la porte s'ouvre et le Maître et Léa entre avec un cuistot qui pousse un chariot. Nous sommes à genoux sur le sol l'une face à l'autre nos lèvres très proches mais nous ne nous embrassons pas. Le cuisinier est surpris de nous voir ainsi mais il ne dit rien. Le directeur, s'approche et tire mes cheveux. Je ne peux que subir et j'entraîne Barbara avec moi.

— Alors vous avez compris que vous n'êtes que des merdes ?

Je me retrouve allongée sous mon amie, elle pèse de tout son poids sur moi, je sens les pointes entrer dans mes mamelles écrasées par son corps.

— Oui Maitre, nous avons compris !

— Je pense que nos amis aimeront ce soir, dit Léa

— Mais avant cela nous devrons les préparer. Il faut qu'elles mangent pour prendre des forces encore

Léa nous détache les mains et le cou et le cuistot dépose les plateaux repas devant nous. Une nouvelle fois, nous devons manger avec les doigts mais cette fois-ci, nous avons un public qui en ajoute à notre humiliation. Quand nous avons finis, ils insistent pour que nous achevions tout en léchant.

Léa attrape Barbara et lui demande de se mettre en levrette sur le lit et lui retire sa ceinture. Elle appelle le cuistot qui ne se le fait pas répéter deux fois et elle subit à nouveau les assauts de l'homme qui ce coup-ci la prend par le cul. Pendant le viol de mon amie, Léa me demande de la sucer, elle m'a fait mettre à genou sur la litière et alors que je la lèche, je l'entends dire "J'ai envie de pisser !" Elle me maintient la tête fermement et je sens son urine couler sur ma langue, mon visage ma poitrine mon corps.

Pendant ce temps, l'homme a fini de se soulager dans le cul de Barbara, et il lui ordonne de le nettoyer avec sa bouche. Elle est dégoutée mais effrayée à l'idée de recevoir à nouveau la cravache, elle le fait. Après avoir joui sous ma bouche, Léa remet la ceinture à Barbara, et nous rattache dans la même position mais elle nous retire sur l'ordre de Monsieur Moreau le soutien-gorge.

— Il ne faudrait pas qu'elles soient trop abîmées pour nos amis.

Nous nous retrouvons de nouveau seules. Je sens ma compagne trembler, hoqueter, complètement choquée, je suis moi-même incapable de dire un mot et même de penser clairement Après de longues heures, minutes, Léa et le directeur réapparaissent.

— C'est l'heure de la punition pour les grosses vaches ! Nous dit Léa un sourire sadique aux lèvres.

Je la vois s'approcher de moi et me passer un collier autour du cou. Je baisse la tête pour lui permettre de me le fermer, puis elle fait de même avec Barbara trop choquée pour protester même quand elle la voit accrocher une laisse.

— Voilà nos grosses vaches sont prêtes pour aller se faire punir…

Ils prennent l'extrémité de ma laisse et ils tirent dans le couloir pour nous conduire vers l'ascenseur. Je vois son œil pétiller en lisant sur nos visages la peur et la honte d'être promenées nues et tenues en laisse dans un lieu public sur nos visages, effrayées à l'idée d'être vues ainsi par des personnes qui pourraient nous connaître. Comme Barbara rechigne un peu, Léa lui cingle les cuisses avec la laisse. Je l'entends gémir. Honteusement, nous baissons la tête et pleurons en silence.

Nous arrivons enfin dans l'ascenseur et il me force à me regarder dans le miroir, nue, tenue en laisse, cette ceinture autour de la taille. Je nous vois en larmes, nos poitrines pendantes piteusement sous nous, ballotant à chaque mouvement.

— Alors les grosses vaches, on n'aime pas se voir ainsi ! dit Léa en éclatant de rire. Pourtant estimez-vous heureuse d'être encore debout... les chiennes marchent à quatre pattes, non ?

— Oui maitresse ! répondit Barbara effrayée d'être à nouveau fouettée

— Obéissez à Léa ! dit Monsieur Moreau sèchement. Mettez-vous à quatre pattes et regardez-vous !

Léa prend plaisir à nous humilier en nous forçant à nous regarder nues, au sol, tenues en laisse. De son côté, il ne résiste à faire balloter mes mamelles avec ses chaussures. Arrivés au sous-sol, ils nous entrainent par les laisses et Léa prend plaisir à nous cravacher la croupe pour nous faire avancer. Nous sommes filmées par les caméras de surveillances du parking souterrain, enfin nous arrivons devant une sorte de bétaillère.

— Allez y montez les grosses vaches ! lance Léa

Le sol est jonché de paille souillée. Léa détache les laisse et attache directement notre collier à un anneau fixé très bas dans la camionnette ce qui nous force à tenir la tête presqu'au ras du sol.

— C'est votre place, n'est-ce pas les salopes ?

— Oui maitre c'est notre place.

La porte s'arrête et nous sentons le van démarrer.

Après un voyage qui nous semble interminable, la porte s'ouvre enfin.

— Allez ôte leur les ceintures de chasteté à ces grosses vaches. On va avoir besoin d'accéder à leurs trous !

Léa nous les retire sans douceur et nous détache sans omettre de glisser un doigt dans notre chatte avant de nous tirer derrière elle.

— Elles ne mouillent pas monsieur !

— Pas grave, de toute façon cela ne nous empêchera pas de les utiliser.

Nous découvrons ce que nous croyons être une ferme isolée, ils nous emmènent vers une sorte de grange. Léa installe alors du matériel étrange

— Allez ! On installe d'abord la plus grosse vache ! dit-il en me tirant vers l'appareil, un gros meuble en bois qui ressemble à ceux que l'on retrouve sur les images du Moyen-Age pour exhiber les voleurs.

Je comprends alors que malheureusement c'est moi qui vais y être installée quand Léa me fait me pencher en avant et me fait mettre la tête dans une encoche et mes deux poignets de part et d'autre. Elle referme la deuxième partie sur mon cou. Je suis prisonnière de ce pilori. Barbara me regarde affolée et panique encore plus lorsque Léa me fait écarter les cuisses et attache chaque cheville très écartée l'une de l'autre à un barre d'écartement. Je ne peux plus serrer mes cuisses. Je suis entièrement attachée et offerte. Je suis choquée en larmes.

Léa pose ensuite sur chacune de mes mamelles une pince et elle y accroche une clochette.

— Les vaches ont des cloches, non ! dit Léa en éclatant de rire.

Léa secoue les clochettes pour qu'elle fasse du bruit et leur mouvement qui tire sur la pince m'arrache un cri de douleur.

— Tu vois ! Dès que tu vas bouger les cloches vont remuer !

Elle prend ensuite mes longs cheveux et les resserre et les accroche au bois qui m'emprisonne ce qui me force à tenir ma tête bien haute devant mon amie qui est de plus en plus effrayée.

Elle me voit entièrement prisonnière, offerte et sans défense. Léa la fait tourner autour de moi pour qu'elle constate que mes trous sont accessibles et mes seins pendants.

— A toi maintenant ! dit-il pendant que Léa installe son appareil face au mien.

Je l'entends hurler "Non" mais son cri est aussitôt réprimé par un coup de cravache. Léa continue de la faire avancer vers cet engin de torture en la frappant. Je la vois s'approcher tremblante.

Un ensemble qui ressemble à une potence est maintenant en place, associée à une croix verticale plutôt courte. Des poulies et des anneaux sont installés sur une barre en bois perpendiculaire à l’axe de la potence.

Léa attache Barbara sur la croix en tirant au maximum sur ses bras. Elle grimace déjà de douleur. Je remarque qu’elle est attachée par les poignets mais que ses mains à hauteur de l’entrecuisse de Léa sont libres de leurs mouvements. Barbara est en pleurs. Elle attache ensuite chaque pied de mon amie par des cordes aux anneaux situées aux extrémités de la barre. Barbara se retrouve ainsi le cul suspendu, les jambes écartées, grandes ouvertes. Elle lâche un cri d’effroi au moment où elle se retrouve suspendue dans le vide. Léa profite de la situation pour torturer la chatte béante de mon amie de quelques coups de cravache bien appuyés. Barbara hurle de douleur.

— Ce n’est rien ça petite cloche, ce n’est qu’une caresse. Et puis Je n’ai pas envie de t’entendre crier, d’ailleurs nos invités non plus n’auront pas envie de t’entendre crier… par contre tu pourras toujours râler si tu veux. Elle avait un sourire annonciateur d’une nouvelle torture.

Léa ouvre brutalement la bouche de Barbara, lui tord les lèvres au passage et en guise de bâillon, elle lui enfonce un chapelet de boules jusqu’au fond de la gorge. Elle attache la boule près des lèvres par des liens serrés derrière la tête de Barbara.

Pour terminer d’installer mon amie dans ce qui sera sa première punition, elle met en place des pinces sur les pointes de ses seins qu’elle relie aux anneaux auxquelles les poignets sont attachés Barbara se retrouve avec les seins douloureusement pincés et tirés vers le haut.

Je la vois ravaler des renvois qui lui remontent dans la bouche. Les boules que Léa lui a enfilées dans la gorge doivent lui donner envie de vomir. De la bave coule de ses lèvres malgré le bâillon, je ne sais pas laquelle de nous est dans la position la plus inconfortable et la plus douloureuse.

A notre grande surprise, ils nous abandonnent dans l'obscurité totale de cette pièce silencieuse, je n'entends que les râles de mon amie. Je tente de la rassurer par des paroles apaisantes mais je sais que cela sonne faux. Je ne suis pas plus rassurée qu'elle. J'ignore où nous sommes mais je sens sur ma peau et j'entends autours de moi le bourdonnement de mouches. Je frissonne quand elles se posent sur ma peau mais cela n'est pas toujours suffisant pour les faire se décider à partir, le pire est quand l'une d'elle se pose sur ma fente trempée et s'y promène. J'ai l'impression qu'elles se sont donné le mot pour venir s'y balader et goûter à ma mouille.

Le temps passe, toujours dans le silence, mes articulations me tirent et j'imagine que cela doit être pire pour Barbara.

Après de longues et interminables heures pendant lesquelles nous avons perdu toute notion du temps, la lumière aveuglante de cette grange se rallume. Avec Barbara, nous voyons approcher une trentaine de silhouettes vêtues avec des tenues comme celle que portent les membres du Ku-Klux-Klan. Il nous est impossible de savoir si ce sont des hommes ou des femmes.

J'entends alors la voix de Monsieur Moreau qui s'élève.

— Mes amis, je vous ai rassemblés ce soir pour assister à la punition de mes nouvelles femelles, dans le pilori, je vous présente "huit" et suspendue, voici "neuf"… Elles sont punies ce soir pour ne pas avoir su répondre avec satisfaction à mes demandes… Pour ce soir, la règle est simple. Vous pouvez les punir avec les instruments que vous désirez, vous pourrez jouir là où voulez mais il vous faudra le faire au moins une fois chacun dans une des deux chattes mises à votre disposition… Pour pimenter le jeu, je vous informe que vous les baiserez sans préservatifs.

J'entends quelques rires discrets s'élever sous les cagoules et aux paroles de Monsieur Moreau, je comprends qu'il n'y a que des hommes. Je me dis alors que cela va durer très longtemps et je me prépare au pire. Vu mon âge et celui de Barbara, je ne crains pas tellement de tomber enceinte mais je suis plus inquiète des risques de maladie, tous ces hommes que je ne connais pas et qui me baisent depuis deux jours.

Les silhouettes se séparent en deux groupes et un homme vient se présenter devant mon visage. Il écarte les pans de sa toge et je découvre un énorme sexe noir qui vient me caresser les lèvres. Au moment où j'ouvre ma bouche pour l'accepter en moi, je ne peux retenir un cri sous la douleur que vient de m'infliger un coup de cravache sur mes fesses déjà bien endolories. L'homme devant moi me prend alors la tête entre ses mains et il me pénètre la bouche d'un coup avec son membre qui m'étouffe. Il va et vient entre mes lèvres, je le sens durcir et grossir ce qui lui permet de rentrer encore plus profondément. Il force maintenant ma gorge sans plus de précaution ce qui me fait vomir, mais il ne se retire pas, cela semble l'amuser. Je n'en peux plus car l'homme qui est dans mon dos continu de me cravacher, je ne compte pas le nombre de coups que je reçois.

Je tente de penser à autre chose, mais les renvois se succèdent aux renvois ma gorge est irritée, je me demande comment je peux encore vomir. Soudain il s'arrête et ma bouche se remplit de son jus épais, il me tient la tête pour que j'avale tout puis il se retire ce qui me permet de reprendre mon souffle. Celui qui est dans mon dos a aussi cessé de me frapper et je le sens me prendre la chatte. J'apprécie plus cette pénétration qui fait monter le plaisir en moi. Il se rend compte de mon état et pour m'empêcher de jouir, il me claque les fesses. Ses coups deviennent de plus en plus violents au fur et à mesure de la montée de son plaisir et l'ultime coup au moment où il jouit m'arrache un cri de douleur. J’ai pu voir après le départ du noir que Barbara était aussi prise par un homme, je voyais des larmes sur ses yeux et je me demandais par quel trou il la possédait. Je n’eus pas longtemps à attendre car il vient se présenter devant mon visage.

— Nettoie moi que je sois propre ! me dit-il. Tu es la seule bouche disponible pour nous laver, profites-en ! C’est ton amie qui va être jalouse.

Quand il me met son sexe dans la bouche, je sais alors comment il avait baisé Barbara, et surtout je comprends pourquoi elle avait eu si mal. Il porte à la base du sexe un petit anneau couvert de petites pointes lui avait piqué les fesses à chaque pénétration. Je sens le goût mélangé du sperme et du cul de mon amie sur cette verge que je nettoie. Il redevient dur dans ma bouche et partant d’un grand éclat de rire, il me dit : à ton tour !

Je blêmis et je vois le visage de Barbare réagir quand elle voit l’homme passer derrière moi. Elle sait ce qu’il va me faire subir. Elle avait eu la surprise, moi je ne l’aurais pas. Je me préparais donc au pire quand je l’ai senti me prendre par la taille et entrer dans ma chatte. Il poussa d’un coup violent et je pousse un nouveau hurlement quand les pics entrent dans la chair tendre de mes lèvres. Mes cris l’excitent et il me pilonne violemment et brutalement. Rapidement la douleur entre mes cuisses est si forte que je ne la supporte plus et je perds connaissance.

Un seau d'eau glacé me sort de mon inconscience, je suis couchée au sol près de Barbara que j'entends gémir. Je reçois un coup de pied dans le ventre et un ordre.

— "Huit" et "neuf" à genoux tout de suite… plus vite ! dit un des hommes cagoulés. Allez salopes dépêchez-vous !

À genoux, nous nous retrouvons chacune entourées de quatre hommes. Ils nous giflent, nous claquent les seins, tirent sauvagement nos tétons, se branlent sur nos cheveux, notre cou. Tout à tour, ils viennent forcer notre bouche alors que d'autres nous fouettent toujours, mais pour le moment, ils épargnent nos chattes et nos culs.

J'entends des rires autour de moi et des commentaires.

— Elles sont bonnes ces salopes... aller suce-moi !... On va les défoncer ces putes…

Deux sexes se présentent encore à ma bouche qu'on me force à sucer tour à tour ainsi que leurs couilles. On me tire les cheveux, m’étrangle. Je sens maintenant un sexe me défoncer le cul. Je suis tenue par les hanches un sexe me lime la bouche, un autre le cul, j’ai un sexe dans chaque main que je branle. Il en est de même pour mon amie qui comme moi est couverte de sperme. Cela ne s’arrêtera donc jamais. Quand un sexe quitte ma bouche remplie de foutre, un autre prend sa place avec son lot de gifle et claque sur les seins, le ventre, la chatte. On me défonce toujours soit la chatte soit le cul avec des sexes que je dois sucer après.

Je ne sais combien d’hommes se sont succédés de cette façon, ceux qui étaient épuisés étaient remplacés par d’autres. Une accalmie nous permet enfin de nous reprendre notre souffle.

Notre repos ne dure pas longtemps.

Monsieur Moreau revient vers nous.

Il nous attrape toutes les deux par les cheveux et nous déplace vers des sortes de blocs de pierre avec des anneaux au sol au quatre angles.

— À quatre pattes, en position… le cul bien haut… allez vite ! dit-il en nous claquant les fesses.

A nouveau, je suis face à Barbara, je vois son visage décomposé, ses cheveux souillés de foutre, ses yeux en larmes, des marques de coups sur ses bras, ses seins. J’imagine que son ventre et ses cuisses sont comme les miens.

Il nous attache l’une après l’autre, il referme les anneaux au niveau de nos coudes et de nos genoux. Cette position, les avant-bras au sol, nous oblige à relever notre croupe et à avoir les chevilles et les cuisses bien écartées.

La proximité avec Barbara me fait du bien et me rassure.

Une jeune femme au crâne rasée, noire de peau, s’approche de nous en poussant une desserte devant elle. Je peux voir qu’elle à un anneau dans le nez ainsi qu’à chaque sein. Son visage ne montre aucune expression. Monsieur Moreau ne dit rien mais je la vois prendre un appareil qu’elle met en route et elle commence à raser la tête de Barbara. Mon amie pleure, prise de spasme, elle voit comme moi ses longs cheveux tomber sur le sol devant elle. Toujours silencieuse, la jeune femme enduit alors le crâne de mon amie et finit son travail par un rasage soigné. Elle se recule et regarde Monsieur Moreau qui lui fait un signe de la tête et elle s’approche de moi. Je sais ce qu’elle va me faire. Je me résigne à ne plus avoir de cheveux sur la tête.

Je sens la tondeuse vibrer sur mon crâne. Je vois moi aussi mes cheveux tomber. Mes larmes accompagnent ma résignation. Je sais à ce moment-là que c’est une des pires tortures et humiliation morales qui soient. Je serai dépouillée publiquement de mon honneur et de ma féminité. Si j'ai éprouvé du plaisir à me faire baiser de toutes les façons qu'il soit possible de l'imaginer et même au-delà, cette fois ci, ma honte est totale.

Parce qu'elle tourne autour de moi pour me raser, j'ai l’occasion de voir le chiffre “3” tatoué sur le pubis de la jeune fille et une marque qui a dû être faites au fer sur sa fesse droite.

Après les vibrations de la tondeuse, Je sens la lame de rasoir. Elle me paraît plus douce. Je ne me vois pas mais j’imagine mon crâne tondu comme celui de Barbara et de cette jeune fille. J’ai envie de crier mais je ne le fais pas. Je sais que je serais punie encore pour cela. Je garde ce cri en moi et je pleure.

Soudain, mes pleurs laissent la place à une pensée effroyable. Si nous sommes tondues comme cette jeune femme, il est possible que comme elle, nous subissions nous aussi un marquage au fer et un tatouage de notre numéro sur notre pubis.

Je n’ai pas le temps de penser très longtemps car aussitôt qu’elle s’est retirée aussi silencieusement qu’elle était arrivée, Monsieur Moreau nous caresse la croupe et nous rentre dans nos culs un gode qui me parait énorme. Il joue avec, je n'ai même plus la force de gémir et Barbara semble aussi résignée que moi.

— Voilà ! Mes sales putes, vous êtes vraiment bien ouvertes, vous allez pouvoir recevoir vos nouveaux partenaires qui vous prendront comme il leur plaira. Il nous fait nettoyer les godes avec lesquels il vient de nous enculer et nous les laisse dans la bouche.

— Vous êtes des chiennes justes bonnes pour des chiens, dit-il en riant.

A ce moment-là j’entends, Léa dire

— Venez mes chéris vous allez pouvoir profiter de nos deux nouvelles grosses chiennes.

J’entends des couinements et des halètements dans mon dos. Je vois Barbara écarquiller les yeux, avec le gode elle ne peut pas parler mais elle semble vouloir me dire quelque chose. Avec stupeur, je comprends que Léa est accompagnée de chien

Je sens une truffe humide me renifler la chatte puis une langue longue et râpeuse me lèche. Des ronflements accompagnent l’excitation du chien que je ne vois pas mais qui doit être énorme au vue de son poids quand il me grimpe. C’est horrible, le chien s’excite en va-et-vient dans ma chatte. Avec le gode qui m’étouffe je ne peux pas crier. Il prend ma nuque dans sa gueule et même s’il ne me mord pas vraiment je sens la pression de sa mâchoire sur mon cou. Je vois le regard décomposé de Barbara qui sait qu'elle subira le même sort après moi.

Monsieur Moreau le rappelle. Je le sens me remplir la chatte avec un gode et il le libère, lui ou un autre. Le chien me grimpe à nouveau mais cette fois c’est mon cul qu’il pénètre. Il bave, les griffes de ses pattes avant sur mes épaules me font mal. Il remue de plus en plus vite et je sens qu’il explose dans mon cul. Quand il se retire son sperme dégouline sur mes jambes.

Léa rit en flattant les chiens. Puis je la vois se placer derrière mon amie en tenant un énorme dogue allemand en laisse, elle lui murmure quelque chose et je vois le monstre monter sur Barbara et je devine qu'il la pénètre à la réaction de son visage. J'ai l'impression de ressentir de nouveau ce viol bestial.

Quand le deuxième molosse en a fini avec Barbara, Léa le rappelle et nous sommes seules avec Monsieur Moreau, qui retire les godes qui nous remplissaient la chatte et la bouche.

—Pourquoi ? Pourquoi les chiens ?

Il me regarde avec un sourire calme sans aucune animosité comme si ce que venait de se produire était normal.

— Mais vous n'êtes plus des femmes, vous êtes des femelles, il nous faut trouver les mâles qui correspondent le mieux à votre nature. Et souvenez-vous que vous méritiez une punition, celle-ci ne fait que commencer…

Je ne sais plus que lui dire, trop choquée pour lui répondre. Mon amie semble être partie dans un autre monde, elle murmure des paroles incompréhensibles.

— Pour que vous n'ayez pas trop peur cette nuit, je vais laisser la lumière allumée… Et vous aurez aussi de la compagnie.

Les hommes cagoulés se retirent avec lui. Ils avaient assisté à la scène bestiale sans dire un mot. Certain avant de partir, s'amusent à nous glisser un doigt ou plus dans la chatte ou le cul et de venir nous le mettre sous le nez ou dans la bouche. "Voyez comme c'est bon le sperme de mâles…"

Je pleure, je sens que je vais perdre la raison. Je me demande si ce n'est pas déjà le cas de Barbara.

Les hommes nous laissent seules, je tente d'interpeller mon amie mais elle ne semble plus avoir aucune réaction.

— Barbara ! Barbara ! Réponds-moi !

Elle relève la tête les yeux dans le vague. Je pleure, ai-je définitivement perdue mon amie ? C'est de ma faute si elle est comme cela ? C'est moi qui ait cédé à mes pulsions et qui l'ait entrainée dans cette déchéance.

Soudain j'entends le ronronnement d'un moteur et le grincement d'une trappe qui se soulève. Je tourne la tête vers le bruit et je vois apparaître un berger allemand. Je hurle alors qui il vient tourner autour de nous. Il est libre de faire ce qu'il veut. Je le vois aller renifler l'entrecuisse de Barbara puis tourner autour d'elle, il lui lèche le visage. Puis il me remarque et se rapproche de moi. Je me tais, je ne veux pas qu'il s'intéresse à moi. Il me donne un coup de langue baveuse sur la bouche et la joue, je grimace et je le vois avec soulagement s'éloigner. Va-t-il nous laisser tranquille ?

Il revient alors vers Barbara et je le vois d'un coup la chevaucher et la prendre bestialement. Elle gémit les yeux fermés.

Au bout d'un temps qui me parait durer une éternité, le chien se retire et s'allonge devant elle. Un sifflement le fait bouger et il quitte la pièce. Quelques secondes plus tard, autre ronronnement de moteur, autre grincement, un nouveau molosse entre dans la pièce. Qui va-t-il choisir ?

Après un nombre indéterminé de chiens, la trappe ne s'ouvre plus. Les chiens se sont succédés, il nous était impossible de savoir laquelle serait prise. Je crois que c'était ce qui fut le pire, entendre la trappe s'ouvrir, voir le chien entrer et tourner autour de moi et se demander s'il allait me monter ou s'il monterait mon amie.

Comme Barbara, je finis par sombrer dans un sommeil peuplé de cauchemars.