Au bout d'un certain
temps la porte s'ouvre et le Maître et Léa entre avec un cuistot qui pousse un
chariot. Nous sommes à genoux sur le sol l'une face à l'autre nos lèvres très
proches mais nous ne nous embrassons pas. Le cuisinier est surpris de nous voir
ainsi mais il ne dit rien. Le directeur, s'approche et tire mes cheveux. Je ne
peux que subir et j'entraîne Barbara avec moi.
— Alors vous avez
compris que vous n'êtes que des merdes ?
Je me retrouve
allongée sous mon amie, elle pèse de tout son poids sur moi, je sens les
pointes entrer dans mes mamelles écrasées par son corps.
— Oui Maitre, nous
avons compris !
— Je pense que nos
amis aimeront ce soir, dit Léa
— Mais avant cela nous
devrons les préparer. Il faut qu'elles mangent pour prendre des forces encore
Léa nous détache les
mains et le cou et le cuistot dépose les plateaux repas devant nous. Une
nouvelle fois, nous devons manger avec les doigts mais cette fois-ci, nous
avons un public qui en ajoute à notre humiliation. Quand nous avons finis, ils
insistent pour que nous achevions tout en léchant.
Léa attrape Barbara et
lui demande de se mettre en levrette sur le lit et lui retire sa ceinture. Elle
appelle le cuistot qui ne se le fait pas répéter deux fois et elle subit à
nouveau les assauts de l'homme qui ce coup-ci la prend par le cul. Pendant le
viol de mon amie, Léa me demande de la sucer, elle m'a fait mettre à genou sur
la litière et alors que je la lèche, je l'entends dire "J'ai envie de
pisser !" Elle me maintient la tête fermement et je sens son urine couler
sur ma langue, mon visage ma poitrine mon corps.
Pendant ce temps,
l'homme a fini de se soulager dans le cul de Barbara, et il lui ordonne de le
nettoyer avec sa bouche. Elle est dégoutée mais effrayée à l'idée de recevoir à
nouveau la cravache, elle le fait. Après avoir joui sous ma bouche, Léa remet
la ceinture à Barbara, et nous rattache dans la même position mais elle nous
retire sur l'ordre de Monsieur Moreau le soutien-gorge.
— Il ne faudrait pas
qu'elles soient trop abîmées pour nos amis.
Nous nous retrouvons
de nouveau seules. Je sens ma compagne trembler, hoqueter, complètement
choquée, je suis moi-même incapable de dire un mot et même de penser clairement
Après de longues heures, minutes, Léa et le directeur réapparaissent.
— C'est l'heure de la
punition pour les grosses vaches ! Nous dit Léa un sourire sadique aux lèvres.
Je la vois s'approcher
de moi et me passer un collier autour du cou. Je baisse la tête pour lui permettre
de me le fermer, puis elle fait de même avec Barbara trop choquée pour
protester même quand elle la voit accrocher une laisse.
— Voilà nos grosses
vaches sont prêtes pour aller se faire punir…
Ils prennent
l'extrémité de ma laisse et ils tirent dans le couloir pour nous conduire vers
l'ascenseur. Je vois son œil pétiller en lisant sur nos visages la peur et la
honte d'être promenées nues et tenues en laisse dans un lieu public sur nos
visages, effrayées à l'idée d'être vues ainsi par des personnes qui pourraient
nous connaître. Comme Barbara rechigne un peu, Léa lui cingle les cuisses avec
la laisse. Je l'entends gémir. Honteusement, nous baissons la tête et pleurons
en silence.
Nous arrivons enfin
dans l'ascenseur et il me force à me regarder dans le miroir, nue, tenue en
laisse, cette ceinture autour de la taille. Je nous vois en larmes, nos
poitrines pendantes piteusement sous nous, ballotant à chaque mouvement.
— Alors les grosses
vaches, on n'aime pas se voir ainsi ! dit Léa en éclatant de rire. Pourtant
estimez-vous heureuse d'être encore debout... les chiennes marchent à quatre
pattes, non ?
— Oui maitresse !
répondit Barbara effrayée d'être à nouveau fouettée
— Obéissez à Léa ! dit
Monsieur Moreau sèchement. Mettez-vous à quatre pattes et regardez-vous !
Léa prend plaisir à
nous humilier en nous forçant à nous regarder nues, au sol, tenues en laisse.
De son côté, il ne résiste à faire balloter mes mamelles avec ses chaussures.
Arrivés au sous-sol, ils nous entrainent par les laisses et Léa prend plaisir à
nous cravacher la croupe pour nous faire avancer. Nous sommes filmées par les
caméras de surveillances du parking souterrain, enfin nous arrivons devant une
sorte de bétaillère.
— Allez y montez les
grosses vaches ! lance Léa
Le sol est jonché de
paille souillée. Léa détache les laisse et attache directement notre collier à
un anneau fixé très bas dans la camionnette ce qui nous force à tenir la tête
presqu'au ras du sol.
— C'est votre place,
n'est-ce pas les salopes ?
— Oui maitre c'est notre
place.
La porte s'arrête et
nous sentons le van démarrer.
Après un voyage qui
nous semble interminable, la porte s'ouvre enfin.
— Allez ôte leur les
ceintures de chasteté à ces grosses vaches. On va avoir besoin d'accéder à
leurs trous !
Léa nous les retire
sans douceur et nous détache sans omettre de glisser un doigt dans notre chatte
avant de nous tirer derrière elle.
— Elles ne mouillent
pas monsieur !
— Pas grave, de toute
façon cela ne nous empêchera pas de les utiliser.
Nous découvrons ce que
nous croyons être une ferme isolée, ils nous emmènent vers une sorte de grange.
Léa installe alors du matériel étrange
— Allez ! On installe
d'abord la plus grosse vache ! dit-il en me tirant vers l'appareil, un gros
meuble en bois qui ressemble à ceux que l'on retrouve sur les images du
Moyen-Age pour exhiber les voleurs.
Je comprends alors que
malheureusement c'est moi qui vais y être installée quand Léa me fait me
pencher en avant et me fait mettre la tête dans une encoche et mes deux
poignets de part et d'autre. Elle referme la deuxième partie sur mon cou. Je
suis prisonnière de ce pilori. Barbara me regarde affolée et panique encore
plus lorsque Léa me fait écarter les cuisses et attache chaque cheville très
écartée l'une de l'autre à un barre d'écartement. Je ne peux plus serrer mes
cuisses. Je suis entièrement attachée et offerte. Je suis choquée en larmes.
Léa pose ensuite sur
chacune de mes mamelles une pince et elle y accroche une clochette.
— Les vaches ont des
cloches, non ! dit Léa en éclatant de rire.
Léa secoue les
clochettes pour qu'elle fasse du bruit et leur mouvement qui tire sur la pince
m'arrache un cri de douleur.
— Tu vois ! Dès que tu
vas bouger les cloches vont remuer !
Elle prend ensuite mes
longs cheveux et les resserre et les accroche au bois qui m'emprisonne ce qui
me force à tenir ma tête bien haute devant mon amie qui est de plus en plus
effrayée.
Elle me voit
entièrement prisonnière, offerte et sans défense. Léa la fait tourner autour de
moi pour qu'elle constate que mes trous sont accessibles et mes seins pendants.
— A toi maintenant ! dit-il
pendant que Léa installe son appareil face au mien.
Je l'entends hurler
"Non" mais son cri est aussitôt réprimé par un coup de cravache. Léa
continue de la faire avancer vers cet engin de torture en la frappant. Je la
vois s'approcher tremblante.
Un ensemble qui
ressemble à une potence est maintenant en place, associée à une croix verticale
plutôt courte. Des poulies et des anneaux sont installés sur une barre en bois
perpendiculaire à l’axe de la potence.
Léa attache Barbara
sur la croix en tirant au maximum sur ses bras. Elle grimace déjà de douleur.
Je remarque qu’elle est attachée par les poignets mais que ses mains à hauteur
de l’entrecuisse de Léa sont libres de leurs mouvements. Barbara est en pleurs.
Elle attache ensuite chaque pied de mon amie par des cordes aux anneaux situées
aux extrémités de la barre. Barbara se retrouve ainsi le cul suspendu, les
jambes écartées, grandes ouvertes. Elle lâche un cri d’effroi au moment où elle
se retrouve suspendue dans le vide. Léa profite de la situation pour torturer
la chatte béante de mon amie de quelques coups de cravache bien appuyés.
Barbara hurle de douleur.
— Ce n’est rien ça petite cloche, ce n’est qu’une caresse. Et puis
Je n’ai pas envie de t’entendre crier, d’ailleurs nos invités non plus n’auront
pas envie de t’entendre crier… par contre tu pourras toujours râler si tu veux.
Elle avait un sourire annonciateur d’une nouvelle torture.
Léa ouvre brutalement
la bouche de Barbara, lui tord les lèvres au passage et en guise de bâillon,
elle lui enfonce un chapelet de boules jusqu’au fond de la gorge. Elle attache
la boule près des lèvres par des liens serrés derrière la tête de Barbara.
Pour terminer
d’installer mon amie dans ce qui sera sa première punition, elle met en place
des pinces sur les pointes de ses seins qu’elle relie aux anneaux auxquelles
les poignets sont attachés Barbara se retrouve avec les seins douloureusement
pincés et tirés vers le haut.
Je la vois ravaler des
renvois qui lui remontent dans la bouche. Les boules que Léa lui a enfilées
dans la gorge doivent lui donner envie de vomir. De la bave coule de ses lèvres
malgré le bâillon, je ne sais pas laquelle de nous est dans la position la plus
inconfortable et la plus douloureuse.
A notre grande
surprise, ils nous abandonnent dans l'obscurité totale de cette pièce
silencieuse, je n'entends que les râles de mon amie. Je tente de la rassurer
par des paroles apaisantes mais je sais que cela sonne faux. Je ne suis pas
plus rassurée qu'elle. J'ignore où nous sommes mais je sens sur ma peau et
j'entends autours de moi le bourdonnement de mouches. Je frissonne quand elles
se posent sur ma peau mais cela n'est pas toujours suffisant pour les faire se
décider à partir, le pire est quand l'une d'elle se pose sur ma fente trempée
et s'y promène. J'ai l'impression qu'elles se sont donné le mot pour venir s'y
balader et goûter à ma mouille.
Le temps passe,
toujours dans le silence, mes articulations me tirent et j'imagine que cela
doit être pire pour Barbara.
Après de longues et
interminables heures pendant lesquelles nous avons perdu toute notion du temps,
la lumière aveuglante de cette grange se rallume. Avec Barbara, nous voyons
approcher une trentaine de silhouettes vêtues avec des tenues comme celle que
portent les membres du Ku-Klux-Klan. Il nous est impossible de savoir si ce
sont des hommes ou des femmes.
J'entends alors la
voix de Monsieur Moreau qui s'élève.
— Mes amis, je vous ai
rassemblés ce soir pour assister à la punition de mes nouvelles femelles, dans
le pilori, je vous présente "huit" et suspendue, voici
"neuf"… Elles sont punies ce soir pour ne pas avoir su répondre avec
satisfaction à mes demandes… Pour ce soir, la règle est simple. Vous pouvez les
punir avec les instruments que vous désirez, vous pourrez jouir là où voulez
mais il vous faudra le faire au moins une fois chacun dans une des deux chattes
mises à votre disposition… Pour pimenter le jeu, je vous informe que vous les
baiserez sans préservatifs.
J'entends quelques
rires discrets s'élever sous les cagoules et aux paroles de Monsieur Moreau, je
comprends qu'il n'y a que des hommes. Je me dis alors que cela va durer très
longtemps et je me prépare au pire. Vu mon âge et celui de Barbara, je ne
crains pas tellement de tomber enceinte mais je suis plus inquiète des risques
de maladie, tous ces hommes que je ne connais pas et qui me baisent depuis deux
jours.
Les silhouettes se
séparent en deux groupes et un homme vient se présenter devant mon visage. Il
écarte les pans de sa toge et je découvre un énorme sexe noir qui vient me
caresser les lèvres. Au moment où j'ouvre ma bouche pour l'accepter en moi, je
ne peux retenir un cri sous la douleur que vient de m'infliger un coup de cravache
sur mes fesses déjà bien endolories. L'homme devant moi me prend alors la tête
entre ses mains et il me pénètre la bouche d'un coup avec son membre qui
m'étouffe. Il va et vient entre mes lèvres, je le sens durcir et grossir ce qui
lui permet de rentrer encore plus profondément. Il force maintenant ma gorge
sans plus de précaution ce qui me fait vomir, mais il ne se retire pas, cela
semble l'amuser. Je n'en peux plus car l'homme qui est dans mon dos continu de
me cravacher, je ne compte pas le nombre de coups que je reçois.
Je tente de penser à
autre chose, mais les renvois se succèdent aux renvois ma gorge est irritée, je
me demande comment je peux encore vomir. Soudain il s'arrête et ma bouche se
remplit de son jus épais, il me tient la tête pour que j'avale tout puis il se
retire ce qui me permet de reprendre mon souffle. Celui qui est dans mon dos a
aussi cessé de me frapper et je le sens me prendre la chatte. J'apprécie plus
cette pénétration qui fait monter le plaisir en moi. Il se rend compte de mon
état et pour m'empêcher de jouir, il me claque les fesses. Ses coups deviennent
de plus en plus violents au fur et à mesure de la montée de son plaisir et
l'ultime coup au moment où il jouit m'arrache un cri de douleur. J’ai pu voir
après le départ du noir que Barbara était aussi prise par un homme, je voyais
des larmes sur ses yeux et je me demandais par quel trou il la possédait. Je
n’eus pas longtemps à attendre car il vient se présenter devant mon visage.
— Nettoie moi que je
sois propre ! me dit-il. Tu es la seule bouche disponible pour nous laver,
profites-en ! C’est ton amie qui va être jalouse.
Quand il me met son
sexe dans la bouche, je sais alors comment il avait baisé Barbara, et surtout
je comprends pourquoi elle avait eu si mal. Il porte à la base du sexe un petit
anneau couvert de petites pointes lui avait piqué les fesses à chaque
pénétration. Je sens le goût mélangé du sperme et du cul de mon amie sur cette
verge que je nettoie. Il redevient dur dans ma bouche et partant d’un grand
éclat de rire, il me dit : à ton tour !
Je blêmis et je vois
le visage de Barbare réagir quand elle voit l’homme passer derrière moi. Elle
sait ce qu’il va me faire subir. Elle avait eu la surprise, moi je ne l’aurais
pas. Je me préparais donc au pire quand je l’ai senti me prendre par la taille
et entrer dans ma chatte. Il poussa d’un coup violent et je pousse un nouveau
hurlement quand les pics entrent dans la chair tendre de mes lèvres. Mes cris
l’excitent et il me pilonne violemment et brutalement. Rapidement la douleur
entre mes cuisses est si forte que je ne la supporte plus et je perds
connaissance.
Un seau d'eau glacé me
sort de mon inconscience, je suis couchée au sol près de Barbara que j'entends
gémir. Je reçois un coup de pied dans le ventre et un ordre.
— "Huit" et "neuf"
à genoux tout de suite… plus vite ! dit un des hommes cagoulés. Allez salopes
dépêchez-vous !
À genoux, nous nous
retrouvons chacune entourées de quatre hommes. Ils nous giflent, nous claquent
les seins, tirent sauvagement nos tétons, se branlent sur nos cheveux, notre
cou. Tout à tour, ils viennent forcer notre bouche alors que d'autres nous
fouettent toujours, mais pour le moment, ils épargnent nos chattes et nos culs.
J'entends des rires
autour de moi et des commentaires.
— Elles sont bonnes
ces salopes... aller suce-moi !... On va les défoncer ces putes…
Deux sexes se
présentent encore à ma bouche qu'on me force à sucer tour à tour ainsi que
leurs couilles. On me tire les cheveux, m’étrangle. Je sens maintenant un sexe
me défoncer le cul. Je suis tenue par les hanches un sexe me lime la bouche, un
autre le cul, j’ai un sexe dans chaque main que je branle. Il en est de même
pour mon amie qui comme moi est couverte de sperme. Cela ne s’arrêtera donc
jamais. Quand un sexe quitte ma bouche remplie de foutre, un autre prend sa
place avec son lot de gifle et claque sur les seins, le ventre, la chatte. On
me défonce toujours soit la chatte soit le cul avec des sexes que je dois sucer
après.
Je ne sais combien
d’hommes se sont succédés de cette façon, ceux qui étaient épuisés étaient
remplacés par d’autres. Une accalmie nous permet enfin de nous reprendre notre
souffle.
Notre repos ne dure
pas longtemps.
Monsieur Moreau
revient vers nous.
Il nous attrape toutes
les deux par les cheveux et nous déplace vers des sortes de blocs de pierre
avec des anneaux au sol au quatre angles.
— À quatre pattes, en
position… le cul bien haut… allez vite ! dit-il en nous claquant les fesses.
A nouveau, je suis
face à Barbara, je vois son visage décomposé, ses cheveux souillés de foutre,
ses yeux en larmes, des marques de coups sur ses bras, ses seins. J’imagine que
son ventre et ses cuisses sont comme les miens.
Il nous attache l’une
après l’autre, il referme les anneaux au niveau de nos coudes et de nos genoux.
Cette position, les avant-bras au sol, nous oblige à relever notre croupe et à
avoir les chevilles et les cuisses bien écartées.
La proximité avec
Barbara me fait du bien et me rassure.
Une jeune femme au
crâne rasée, noire de peau, s’approche de nous en poussant une desserte devant
elle. Je peux voir qu’elle à un anneau dans le nez ainsi qu’à chaque sein. Son
visage ne montre aucune expression. Monsieur Moreau ne dit rien mais je la vois
prendre un appareil qu’elle met en route et elle commence à raser la tête de
Barbara. Mon amie pleure, prise de spasme, elle voit comme moi ses longs
cheveux tomber sur le sol devant elle. Toujours silencieuse, la jeune femme
enduit alors le crâne de mon amie et finit son travail par un rasage soigné.
Elle se recule et regarde Monsieur Moreau qui lui fait un signe de la tête et
elle s’approche de moi. Je sais ce qu’elle va me faire. Je me résigne à ne plus
avoir de cheveux sur la tête.
Je sens la tondeuse
vibrer sur mon crâne. Je vois moi aussi mes cheveux tomber. Mes larmes
accompagnent ma résignation. Je sais à ce moment-là que c’est une des pires
tortures et humiliation morales qui soient. Je serai dépouillée publiquement de
mon honneur et de ma féminité. Si j'ai éprouvé du plaisir à me faire baiser de
toutes les façons qu'il soit possible de l'imaginer et même au-delà, cette fois
ci, ma honte est totale.
Parce qu'elle tourne
autour de moi pour me raser, j'ai l’occasion de voir le chiffre “3” tatoué sur
le pubis de la jeune fille et une marque qui a dû être faites au fer sur sa
fesse droite.
Après les vibrations
de la tondeuse, Je sens la lame de rasoir. Elle me paraît plus douce. Je ne me vois
pas mais j’imagine mon crâne tondu comme celui de Barbara et de cette jeune
fille. J’ai envie de crier mais je ne le fais pas. Je sais que je serais punie
encore pour cela. Je garde ce cri en moi et je pleure.
Soudain, mes pleurs laissent
la place à une pensée effroyable. Si nous sommes tondues comme cette jeune
femme, il est possible que comme elle, nous subissions nous aussi un marquage
au fer et un tatouage de notre numéro sur notre pubis.
Je n’ai pas le temps
de penser très longtemps car aussitôt qu’elle s’est retirée aussi
silencieusement qu’elle était arrivée, Monsieur Moreau nous caresse la croupe
et nous rentre dans nos culs un gode qui me parait énorme. Il joue avec, je
n'ai même plus la force de gémir et Barbara semble aussi résignée que moi.
— Voilà ! Mes sales
putes, vous êtes vraiment bien ouvertes, vous allez pouvoir recevoir vos
nouveaux partenaires qui vous prendront comme il leur plaira. Il nous fait
nettoyer les godes avec lesquels il vient de nous enculer et nous les laisse
dans la bouche.
— Vous êtes des
chiennes justes bonnes pour des chiens, dit-il en riant.
A ce moment-là
j’entends, Léa dire
— Venez mes chéris
vous allez pouvoir profiter de nos deux nouvelles grosses chiennes.
J’entends des
couinements et des halètements dans mon dos. Je vois Barbara écarquiller les
yeux, avec le gode elle ne peut pas parler mais elle semble vouloir me dire
quelque chose. Avec stupeur, je comprends que Léa est accompagnée de chien
Je sens une truffe
humide me renifler la chatte puis une langue longue et râpeuse me lèche. Des
ronflements accompagnent l’excitation du chien que je ne vois pas mais qui doit
être énorme au vue de son poids quand il me grimpe. C’est horrible, le chien
s’excite en va-et-vient dans ma chatte. Avec le gode qui m’étouffe je ne peux
pas crier. Il prend ma nuque dans sa gueule et même s’il ne me mord pas
vraiment je sens la pression de sa mâchoire sur mon cou. Je vois le regard
décomposé de Barbara qui sait qu'elle subira le même sort après moi.
Monsieur Moreau le
rappelle. Je le sens me remplir la chatte avec un gode et il le libère, lui ou
un autre. Le chien me grimpe à nouveau mais cette fois c’est mon cul qu’il
pénètre. Il bave, les griffes de ses pattes avant sur mes épaules me font mal.
Il remue de plus en plus vite et je sens qu’il explose dans mon cul. Quand il
se retire son sperme dégouline sur mes jambes.
Léa rit en flattant
les chiens. Puis je la vois se placer derrière mon amie en tenant un énorme
dogue allemand en laisse, elle lui murmure quelque chose et je vois le monstre
monter sur Barbara et je devine qu'il la pénètre à la réaction de son visage.
J'ai l'impression de ressentir de nouveau ce viol bestial.
Quand le deuxième
molosse en a fini avec Barbara, Léa le rappelle et nous sommes seules avec
Monsieur Moreau, qui retire les godes qui nous remplissaient la chatte et la
bouche.
—Pourquoi ? Pourquoi
les chiens ?
Il me regarde avec un sourire
calme sans aucune animosité comme si ce que venait de se produire était normal.
— Mais vous n'êtes
plus des femmes, vous êtes des femelles, il nous faut trouver les mâles qui
correspondent le mieux à votre nature. Et souvenez-vous que vous méritiez une
punition, celle-ci ne fait que commencer…
Je ne sais plus que
lui dire, trop choquée pour lui répondre. Mon amie semble être partie dans un
autre monde, elle murmure des paroles incompréhensibles.
— Pour que vous n'ayez
pas trop peur cette nuit, je vais laisser la lumière allumée… Et vous aurez
aussi de la compagnie.
Les hommes cagoulés se
retirent avec lui. Ils avaient assisté à la scène bestiale sans dire un mot.
Certain avant de partir, s'amusent à nous glisser un doigt ou plus dans la
chatte ou le cul et de venir nous le mettre sous le nez ou dans la bouche.
"Voyez comme c'est bon le sperme de mâles…"
Je pleure, je sens que
je vais perdre la raison. Je me demande si ce n'est pas déjà le cas de Barbara.
Les hommes nous
laissent seules, je tente d'interpeller mon amie mais elle ne semble plus avoir
aucune réaction.
— Barbara ! Barbara !
Réponds-moi !
Elle relève la tête
les yeux dans le vague. Je pleure, ai-je définitivement perdue mon amie ? C'est
de ma faute si elle est comme cela ? C'est moi qui ait cédé à mes pulsions et
qui l'ait entrainée dans cette déchéance.
Soudain j'entends le
ronronnement d'un moteur et le grincement d'une trappe qui se soulève. Je
tourne la tête vers le bruit et je vois apparaître un berger allemand. Je hurle
alors qui il vient tourner autour de nous. Il est libre de faire ce qu'il veut.
Je le vois aller renifler l'entrecuisse de Barbara puis tourner autour d'elle,
il lui lèche le visage. Puis il me remarque et se rapproche de moi. Je me tais,
je ne veux pas qu'il s'intéresse à moi. Il me donne un coup de langue baveuse
sur la bouche et la joue, je grimace et je le vois avec soulagement s'éloigner.
Va-t-il nous laisser tranquille ?
Il revient alors vers
Barbara et je le vois d'un coup la chevaucher et la prendre bestialement. Elle
gémit les yeux fermés.
Au bout d'un temps qui
me parait durer une éternité, le chien se retire et s'allonge devant elle. Un
sifflement le fait bouger et il quitte la pièce. Quelques secondes plus tard,
autre ronronnement de moteur, autre grincement, un nouveau molosse entre dans
la pièce. Qui va-t-il choisir ?
Après un nombre
indéterminé de chiens, la trappe ne s'ouvre plus. Les chiens se sont succédés,
il nous était impossible de savoir laquelle serait prise. Je crois que c'était
ce qui fut le pire, entendre la trappe s'ouvrir, voir le chien entrer et
tourner autour de moi et se demander s'il allait me monter ou s'il monterait
mon amie.
Comme Barbara, je
finis par sombrer dans un sommeil peuplé de cauchemars.
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