Sans aucun repère,
nous ne nous rendons pas compte du temps qui passe, Barbara commence à
surmonter les orgasmes qui se suivent, elle est épuisée.
— Comment va ta chatte
? me demande-t-elle.
— Ca va, je vais
survivre, lui dis-je en riant, pour lui faire comprendre que je ne lui en veux
pas.
Aucun bruit ne nous
parvient de l'extérieur, le temps passe et je suis aussi de plus en plus
excitée de la voir jouir ainsi puis d'un seul coup la porte s'ouvre. Je vois
entrer le Maître suivi d'un chariot poussé par un noir qui m'a baisée dans la
nuit. Je regarde mon amie se tordre de plaisir, humiliée, elle ne peut pas
réprimer un orgasme devant nous.
— Tu vois ! dit-il au
cuistot, on a une autre grosse vache !
Il rigole grassement
tandis que Barbara est toujours en train de se tordre de plaisir sur le lit.
— Tiens ! Libère ton
amie ! Et il me tend les clés de la ceinture.
Le plus rapidement
possible je l'ouvre et lui demande de pousser pour faire sortir l'œuf de sa
chatte. Une fois libérée, je la prends dans mes bras pour l'aider à récupérer.
Sa chatte est toute rouge et irritée
— Maintenant on
inverse les rôles ! "huit" enfonce l'œuf dans ta chatte et toi
"neuf", enfile la ceinture de chasteté sur ton amie.
Je ne peux que lui
dire d'obéir. L'œuf encore couvert de sa mouille entre tout seul en moi. Elle
hésite en sachant ce que je vais subir à mon tour mais elle m'enfile la
ceinture et au passage elle constate que je suis trempée. Elle arrive à me
sourire en disant : " je ne t'imaginait pas si cochonne". Puis la
ceinture fermée elle se tourne et tend la clé au Maître.
— Maintenant ! Voilà
ce que vous a préparé le chef ! Et vous allez devoir tout finir.
Puis il regarde le
noir en disant qu'il faut bien engraisser les grosses vaches. Il ricane en
disant que cela nous fera du bien à nous les grosses cochonnes de manger. Il
soulève les couvercles et découvre deux énormes gamelles d'un plat
indéfinissable. Sur le chariot, la nourriture est abondante, le plat plus que
copieux, deux grosses bouteilles de soda.
— Tout pour faire
grossir ! Dit le noir en ricanant. Il explique que ce sont des restes qu'ils
allaient jeter
—Il ne doit rien
rester sinon vous serez punie toutes les deux ! Et pas de triche !
Il nous montre les
caméras pour nous faire bien comprendre que nous sommes surveillées. Le cuistot
ajoute.
— Je reviens dans une
heure pour ramasser les gamelles, tout à intérêt à être fini et plus aucune
trace au fond des gamelles Vous lècherez la sauce avec vos langues.
— Vous devrez manger tout cela avec vos doigts et votre langue pour
faire la vaisselle.
— Régalez-vous ! dit-il
en éclatant de rire.
Nous comprenons que
nous ne sommes rien que des objets entre leurs mains. Mais, nous avons vraiment
faim alors nous commençons à manger. Nous nous regardons penaudes de devoir
manger avec les doigts, la sauce de ce qui ressemble à un bourguignon nous
coule le long des bras, nous devons les lécher pour qu'il n'y en ai pas
partout. Nous avons à peine mangé la moitié de nos gamelles que nous nous
sentons rassasiées. De plus l'œuf vibrant en moi n'arrange rien. Soudain je
m'immobilise.
— Que t'arrive-t-il ?
— Je viens de jouir, dis-je
en haletant.
Barbara me regarde
jouir en sachant qu'elle ne peut rien faire. Nous nous encourageons mutuellement
à finir de manger sachant très bien que la punition risque d'être terrible s'il
en reste. Le moment le plus pénible arrive quand nous devons nettoyer les
gamelles en les léchant.
Le travail de sape sur
notre moral et notre rabaissement passe aussi par ce moyen, nous comprenons que
ce ne sera pas que sexuel. Nous nous sentons rabaisser comme jamais nous ne
l'avons été et pourtant nous ignorons que ce n'est que le début de notre
déchéance.
Péniblement nous
réussissons enfin à tout finir et la porte s'ouvre. Le directeur et un cuistot
entrent.
— Alors les grosses
vaches ! On a bien tout mangé ?
Il me fixe en
observant ma lourde poitrine qui pend sur mon ventre et la ceinture de métal
qui empêche tout accès à mon sexe.
— Oui Maitre !
Répondons-nous à l'unisson.
— Montrez-moi que je
vérifie.
Barbara lui présente
les gamelles vides et léchées, presque parfaitement propres. Il prend la mienne
et il crache dedans.
— Il reste des traces
! Nettoie ESCLAVE ! Crie-t-il en insistant sur le dernier mot.
Il me la rend et
révulsée par ce que je vais devoir faire je la prends. Docilement, sans un mot,
je lèche avec ma langue. Je vois le regard surpris de mon amie quand je repose
le plat. Je baisse la tête, en larmes, honteuse de montrer comment j'accepte de
me rabaisser.
— Il va falloir vous y
habituer, c'est votre vie d'esclaves dorénavant, puis regardant le cuisinier.
— Mamadou, laquelle
veux-tu baiser ?
— Je n'ai jamais baisé
de rousse, patron !
Barbara comprend qu'il
parle d'elle. Elle blêmit, elle qui rejette les hommes depuis sa séparation
avec son mari.
— "huit"
prépare la bite qui va défoncer ta copine !
Je m'agenouille devant
Mamadou et commence une fellation en règle. Je le sens se détendre et gémir...
Il semble apprécier ma caresse et me caresse les cheveux comme il le ferait
avec un chien.
— Tu veux la baiser
dans quelle position, la grosse vache ! Mamadou ?
— À quatre pattes
comme une chienne, bien sûr ! Dit-il, très excitée par la caresse que je lui
prodigue.
— Qu'attends tu pour
te mettre en position grosse vache ?
Barbara complètement
gênée et toute blanche se met sur le lit, dans la position exigée. Elle sait
qu'elle va se faire baiser ce qui la répugne depuis sa séparation avec son
mari. Elle n'a pas le choix et tout cela devant mes yeux. Je sais maintenant
qu'elle est amoureuse de moi. Pendant ce temps, Mamadou maintient sa bite au
fond de ma gorge en la regardant se mette en place. Il me repousse alors, il
vient s'installer derrière elle et il la prend d'un coup sans ménagement. Je
l'entends pousser un cri de rage lorsqu'il commence à la pilonner.
— Heureusement que
l'autre pute m'a bien sucé parce qu'elle est serrée cette salope !
Monsieur Moreau tire
les cheveux de Barbara pour bien voir son visage grimaçant de douleur sous la
pénétration. Il est excité de nous voir ainsi humiliées et rabaissées.
— Regarde ce que subit
ton amie pour toi !
Il me jette alors les
clés de la ceinture en m'ordonnant de la retirer. Je suis troublée par la scène
qui se déroule sous mes yeux, je me sens coupable d'avoir entraîné ma meilleure
amie dans cette situation.
— Otes là ! Ne me fais
pas attendre !
Fébrilement, je la
retire avec plaisir appréciant de libérer mon sexe de cette prison.
Il me demande
d'écarter mes cuisses en grand devant Barbara qui se fait défoncer et il lui
tire sur les cheveux pour que je puisse bien voir ses réactions. De son côté,
elle et Mamadou ont une vue dégagée sur ma chatte ouverte et luisante de
mouille.
— Regarde dans quel
état est ton amie en te voyant te faire défoncer ! Tu vois ! Ça l'excite de te
voir humiliée et violée ! Pas vrai "huit" ?
— Oui maitre cela
m'excite
Elle ne réagit pas
tandis qu'il la défonce de plus en plus fort et que son ventre claque contre
son cul.
— Putain ! Elle
mouille maintenant ! Ça rentre tout seul !... Elle aime se faire défoncer par
un noir, cette salope de lesbienne ! ajoute-t-il de plus en plus excité.
Il me demande de me
caresser sous les yeux du couple qui baise devant moi, j'obéis et mes doigts
trouvent facilement mon clitoris qui n'a pas dégonflé depuis presque deux jours
maintenant. Je vois son visage en larmes mais en même temps, elle commence à
gémir de plaisir, son corps ne reste pas insensible aux assauts de son violeur
et ses yeux ne se détachent pas de ma chatte luisante. Il la force à me regarder
me caresser et ajoute pour m'humilier.
— Regarde comment ta salope de copine se branle pendant que tu te
fais défoncer par ce mec !... Tu vois, elle aime te voir humiliée et te voir
maltraitée ! Tu sauras comment faire pour l'exciter maintenant. A moins que tu
ne veuilles te venger sur elle !
Excitée comme je le
suis par ce que je me fais, par ce que je vois, par l'atmosphère bestiale qui
remplit la pièce, je finis par jouir devant eux. En même temps, le noir se vide
dans sa chatte en poussant de grands râles de plaisir. Il reste planté au fond
de son sexe pour en profiter jusqu'au bout.
— Putain ! Quand je dirais aux copains qu'il y a une lesbienne à
baiser ici, ils vont tous courir pour venir voir !
Je vois le regard
paniqué de mon amie en entendant ces mots. Je ne sais que dire ou que faire
pour la rassurer.
— Il a raison, dit Monsieur
Moreau tout sourire. Baiser une lesbienne va beaucoup exciter mes gars !
Puis remarquant le
sperme qui coule de sa fente, il me demande d'aller le nettoyer avec ma langue.
Sans un mot, je vais derrière elle et commence à la lécher pour la première
fois. Je me doute bien que ce ne sera pas la dernière tant que nous serons
enfermées. Je plonge mon visage entre ses fesses, je vois ses lèvres gonflées
par le plaisir, son clitoris qui pointe, sa toison rousse souillée par le
liquide qui coule. Pendant que je m'applique, je l'entends dire :
— Ramène une gamelle dans deux heures !
— Oui patron !
Puis il se rhabille et
nous laisse seuls tous les trois.
Toujours active, je le
vois prendre un grand plateau du charriot et le poser au sol, j'ai l'impression
de reconnaitre une litière pour animaux mais je me dis que je dois faire
erreur. Il disparaît derrière moi et j'entends une serrure se fermer.
— Lèche mieux !
Je sursaute en criant
en sentant mes fesses frapper violemment par ce que je pense être un coup de
pied. Mais en même temps, Barbara qui s'est mise sur le dos pour me faciliter
la tâche jouit. Elle me caresse les cheveux pour me forcer à enfoncer ma langue
encore plus loin en elle
— Je suis prête à endurer plein de chose pour toi, tant que tu me
lèches ainsi ma chérie !
—Je ferais tout pour
toi aussi.
Cet amour que nous
avons l’une pour l'autre nous permettra de supporter notre condition.
Nous entendons un
claquement de doigts et nous comprenons que nous devons nous mettre en position
de soumise.
— Vous voyez cette clé
? C'est celle de la salle de bain. Les grosses vaches comme vous ne sont pas
digne d'aller dans une salle de bain. Vous n'irez que sur ordre ! Pour vos besoins,
vous les ferez dans cette litière !
Les mots prononcés ne
laissent aucune place au doute mais même si nous le regardons affolées et
horrifiées, je ne peux m'empêcher de protester.
— Mais…
— Mais quoi ?
— On ne peut pas faire
cela...
— Pourquoi ?
Sous son regard dur et
autoritaire, nous ne savons plus que dire. Nous voyons son sourire narquois
face à notre désarroi.
— De toute façon, vous
n'aurez pas le choix.
Il nous montre les
clés de la salle de bain qu'il met dans sa poche. Il se dirige vers la porte et
au moment de franchir le seuil, il se retourne.
— Au fait ! Ton mari
est passé pour te chercher, on lui a dit que tu n'étais jamais venue au
congrès...
Nues, prisonnières,
nous nous jetons dans les bras l'une de l'autre en larmes.
— Pourquoi as-tu
accepté de rester avec moi, tu aurais été libre ? Dis-je à mon amie.
— Je ne voulais pas te
perdre… et puis ... j'ai aimé jouir avec toi !
— Tu aurais pu m'en
parler avant, tu savais que moi et Jean-Pierre ce n'était pas le top. Je ne
t'aurais pas rejetée, même si je ne suis pas lesbienne comme tu l'es devenue.
— De toutes façons,
maintenant on ne peut plus revenir en arrière... Regarde ce qu'ils font de nous
!!!
— Oui je sais...
Qu'allons-nous devenir...
— Je ne sais pas ! me
dit-elle dépitée. Et pourtant ! J'ai découvert des émotions très fortes. Avoue-t-elle
gênée.
— Oui je le sais...
Moi aussi.
Elle regarde la
litière.
— ...Mais on devient
des animaux ! On n'est plus des femmes !
Elle est aussi
désemparée que moi.
— Oui j'en ai
l'impression !
— Tu en penses quoi ?
— Il va falloir faire
avec et s'arranger pour être le moins mal possible.
— Qu'est ce qui te
gêne le plus ? me demande-t-elle en me caressant les cheveux ?
— Le manque
d'intimité.
— Pas moi ! Dit-elle
en passant ses mains sur mes seins. J'aime voir ton corps !... et ses mains
descendent vers mon ventre.
L'amour que Barbara me
porte occulte le reste, il est plus fort que tout pour elle. Malgré les
conditions, elle a envie de moi et de jouer avec mon corps, ce dont elle rêve
depuis si longtemps. Elle me caresse lentement, m'embrasse en descendant sa
main vers ma fente. J'écarte mes cuisses pour que ses doigts trouvent l'objet
de leur désir. Je réponds à son baiser et je la serre dans mes bras, mes mains
descendent sur ses fesses. Elle s'agenouille et sa bouche s'approche de mon
intimité brulante puis elle écarte mes lèvres de ses doigts pour mieux voir.
Elle a envie de moi, seule, chose qu'elle n'a jamais eu. Je la laisse faire. Je
caresse ses cheveux. Nous profitons de cet instant de tranquillité.
Elle me lèche avec
envie. Je gémis de bien être même si je sais que nous sommes filmées. Cela ne
m'importe plus. J'aime cette langue qui joue en moi, je mouille de nouveau
abondamment. Je suis sur le point de jouir quand la porte s'ouvre violement. Je
sursaute et Barbara se recule surpris.
Léa et Monsieur Moreau
font irruption dans la pièce et il pousse Barbara avec son pied pour la faire
rouler sur le sol. Il la cravache partout sur le corps en visant ses fesses et
ce qu'il peut puisqu'elle se débat pour échapper aux coups. Léa se couche sur
elle et la maintient allongée sur le ventre. Elle est immobilisée.
— A vous Maitre ! dit
Léa
Aussitôt il assène
plusieurs coups très violents sur le cul ainsi offert.
— Vous allez
comprendre que vous ne pourrez prendre du plaisir que si on vous y autorise,
compris salope ?
Les fesses de Barbara
sont rouges par les coups portés et portent les marques de la cravache. Je
reste immobile dans un coin. Je regarde la porte. Je pourrais saisir ma chance
de m'enfuir mais qu'adviendrait-il de mon amie ? Je reste là, à l'entendre hurler
et se tordre de douleur.
— Tu vois ce qu'il
vous en coûte de jouir sans notre permission ?
— Tu as compris salope
? demande Léa.
— Oui j'ai compris, dis-je
en regardant mon amie silencieuse, le visage en larmes.
Le Maître me fixe
pendant que Léa se relève et s'approche de moi. Il m'attrape et me couche sur
le dos en écartant mes cuisses et maintenant mes chevilles. Je le vois debout
au-dessus de moi les pieds de part et d'autre de mon visage.
— Elle voulait jouir,
la grosse vache ! Alors elle va jouir mais à coup de cravache !
Léa me la cingle
immédiatement avec la cravache. Je hurle de douleur, Léa frappe de plus en plus
comme si elle voulait faire éclater mon clitoris. C'est au tour de Barbara de
rester prostrée au sol.
— Vise bien son clito
de pute, on va voir si ça la fait jouir !
Léa lève le bras et
frappe fort en visant soigneusement mon bouton, entre deux hurlement,
j'aperçois Barbara recroqueville sur le sol, toute endolorie.
— La prochaine fois
que tu veux jouir sans ma permission, je t'arrache le clito ! Hurle Léa en
continuant de me fouetter. Je suis au bord de l'évanouissement quand j'entends
le Maître dire à sa comparse d'arrêter.
Je crois que nos
femelles ont compris, n'est-ce pas ?
— Oui ! dit-elle, mais
elles doivent être punies sévèrement pour cette faute.
— Il faut leur donner
une leçon en effet... et ces quelques marques sont juste des caresses… Mets
leur ça pour commencer ! dit-il en montrant les ceintures de chasteté.
— Je vais préparer la
salle pour les punir ce soir. On va aussi en profiter pour inviter quelques
amis, ils devraient apprécier de voir nos grosses vaches punies.
Léa s'approche de
Barbara qui se laisse faire et rapidement nous nous retrouvons avec les
ceintures.
—Tu sais à qui
appartiennent vos trous maintenant ?
— Oui Maitre ! Dis-je
en sentant encore les coups de cravache sur mon sexe. Léa revient vers nous
avec des soutiens gorges en métal. Quand elle s'apprête à me le poser, je
remarque des pointes métalliques à l'intérieur.
— Il ne faudrait pas
qu'elles se fassent jouir par les mamelles.
Elle me le plaque sur
ma poitrine, je pousse un cri qui fait relever les yeux de Barbara étonnée.
Elle montre alors le sien à Barbara qui blêmit, je la vois grimacer quand elle
le lui fixe dans le dos.
— C'est toi qui
voulait lécher ton amie… Et donc elle le serre davantage, je frisonne en
imaginant les pointes lui piquer la peau.
— Voilà ! Comme ça au
moins elles ne risqueront pas de jouir ! Remerciez-moi !
Merci maitresse !
Disons-nous en chœur.
Un sourire vicieux
traverse son visage et elle nous demande de nous mettre face à face. Je dois
poser mes mains sur les fesses de Barbara et réciproquement. Léa nous attache
les poignets. Elle vous ordonne d'ouvrir la bouche et de sortir nos langues.
— Vous vouliez vous
lécher ! Alors léchez-vous la langue ! Une fois nos langues l'une contre
l'autre elle attache vos cous de sorte que nous ne puissions plus bouger la
tête. L'une contre l'autre et chacune appuyant sur le soutien-gorge de l'autre
ce qui fait enter les pointes dans nos seins. Cela l'amuse de nous voir ainsi
plaquée l'une contre l'autre. Langue collée et tout le corps contre l'autre.
Elle prend la cravache et me fouette le dos pour me faire bouger.
— Je parie qu'elle
mouille en plus les grosses putes ! Rigole-t-elle.
Léa est très excitée
de nous maltraiter et de nous humilier. D'une main elle nous cravache pour nous
voir remuer et de l'autre, elle se branle en nous insultant. Nous traitant de
grosses vaches, de grosses putes, de jouets sexuels. Elle finit par jouir en
disant qu'elle va nous massacrer. Elle s'arrête enfin. Nous soufflons dans nos
entraves.
— Alors elles sont
bonnes nos nouvelles grosses vaches ? On va pouvoir aller très loin avec elles
!
Nous restons collées
l'une contre l'autre en les entendant parler Nous ne pouvons que subir sans
rien faire.
— Allons préparer la
soirée pour la punition de ces grosses vaches. dit le Maître. Une punition
publique devrait être du meilleur gout.
Nous nous retrouvons
seules sans possibilité de prendre conscience du temps qui passe. Je suis
choquée, traumatisée. Je deviens folle et mon amie aussi. Je commence aussi à
avoir envie de faire mes besoins naturels, et Barbara me fait comprendre
qu'elle aussi est dans la même situation. Nous arrivons à nous placer au-dessus
de la litière. Je ne peux plus me retenir et je me laisse aller dans la
ceinture, cela coule sur nos cuisses ce qui a pour effet de la faire uriner.
Nous nous arrosons mutuellement, l'humiliation est extrême. Nous nous sentons
de plus en réduites au rang d'animal. Nous sommes abattues, en colère et de
plus, l'urine me brule la fente violentée par la cravache. Nous sommes prêtes à
tout accepter pour que ce calvaire cesse. Et l'annonce de la future punition
nous travaille l'esprit que peut-il encore nous arriver de pire, nous avons été
battues, violées, humiliées.