Dans un demi-sommeil, j'entends du bruit au niveau de la porte, quelqu'un entre discrètement. Je devine une ombre franchir le seuil de la chambre, elle s'arrête et regarde. Je suis bien visible, nue et attachée. L'homme allume la lumière du plafonnier et je reconnais le chef. Le premier qui est venu se faire sucer dans les cuisines en vertu de sa qualité. Jusqu'à cet instant, je ne pensais que cela allait être la réalité mais c'est bien vrai. Le directeur, Monsieur Moreau, m'a vraiment offerte.
Le cuisinier avance vers moi, me mangeant des yeux.
— Cette fois je ne vais pas me limiter à ta bouche.
Très excité, il prend mes mamelles dans ses mains et commencent à les peloter sans ménagement. Il les pétrit, il les écrase, je gémis, je grimace. Il se recule et je le vois commencer à se dévêtir. Je vois son sexe à moitié dressé. Il attrape un oreiller et me le glisse sous les reins pour soulever mon bassin. Il regarde avec dégoût ma toison brune mais cela ne l'arrête pas Sans hésiter, il introduit deux doigts dans ma chatte.
— Tu es déjà trempée ma salope...
Je pousse un couinement. S'il continue il va me faire jouir...
Il alors prend mes chevilles dans ses mains, les écarte en les tenant en l'air et il m'enfile directement.
— Tu es une vraie chienne en chaleur.
Il me laboure profondément et je ne peux me retenir de jouir tellement j'étais chaude, cela l'excite encore plus et il continue de me limer. Malgré la violence de la pénétration, je ne peux m'empêcher de jouir sous les coups de boutoirs de cet inconnu comme avant le cocktail quand j'ai été prise à l'aveugle.
— Putain ! Tu es une vraie pute pour jouir ainsi !
Ça l'excite encore plus et il me tringle encore plus fort. Jamais je ne me suis sentie autant traitée comme un jouet sexuel. Il ne me considère pas comme une femme mais juste comme une femelle utilisée pour prendre son plaisir. Rien que d'y penser cela m'excite aussi. Il me ramone profondément la chatte comme rarement elle ne l'a été. Cette fois-ci il dure plus longtemps que dans la cuisine. Je jouis en secouant la tête dans tous les sens. Il est endurant et il me défonce sans ménagement longuement.
— J'ai joui dans ta bouche, je viens de baiser ta chatte, il me reste encore un trou à te défoncer.
Il sort de mon sexe et il plie mes genoux vers mes épaules. Je me sens humiliée, ainsi exposée, le bassin relevé, je sais que mon petit trou lui apparait. Il bande toujours. Il a dû prendre du viagra, me dis-je.
Je sens son regard posé sur mon entrecuisse, il matte ma chatte trempée et très ouverte et il voit mon anus sans défense. Il pointe son gland contre mon trou du cul et sans plus de précaution, il appuie de tout son poids pour s'y enfoncer. Il sait que je ne peux que subir, il en profite pour me faire ce qu'il n'a jamais pu faire à aucune autre femme. Malgré ce que j'ai subit depuis la veille au soir, je suis encore serrée et je pousse un petit cri.
Mon cul qui était encore vierge avant d'arriver au congrès n'arrête plus d'être utilisé. Il me le viole en disant que je suis une bonne pute, que je suis son enculée. Ses couilles tapent contre mes fesses et je comprends qu'il est donc entièrement enfoncé entre mes fesses. Il va et vient de plus belle puis reste planté tout au fond pour se vider puis il se relève triomphant en me maintenant les cuisses bien écartées. Il regarde mon trou offert, ouvert duquel sort son sperme.
— La bouche, la chatte et le cul, tu es une bonne pute, salope ! Dit-il tout sourire.
Je le vois attraper son téléphone en me maintenant les genoux repliés vers mes épaules pour bien voir mon intimité pour la prendre en photo.
— Je vais envoyer ça à mes potes sinon ils ne me croiront pas.
Il en appelle un devant moi.
— Oui ! Oui ! Le boss a dit vrai !... La chienne suceuse est bien offerte dans sa chambre, la porte est ouverte !!! Venez ! Pas de soucis, elle est attachée donc elle ne peut que subir ! La pute ! Dit-il en me fixant.
Il se recule prêt à partir. Sur le seuil de la porte, il s'arrête et me regarde.
— Je laisse la porte ouverte en grand et la lumière allumée ?
—Noooonnnn ! Dis-je. S'il vous plaît ! Pas ça...
Il ricane et part.
Je regarde vers la porte avec anxiété. Je vais devenir folle. Porte ouverte et lumière allumée, je vais être visible par tous ceux qui vont passer !
Même si la chambre est en bout de couloir, n'importe quel client qui passe devant pourra me voir. Je n'entends pas de bruit, mais je reste aux aguets. Je sens le sperme de l'homme couler sur mes cuisses offertes. Puis, j'entends du bruit dans le couloir, des chuchotements, des pas. En serait-ce d'autres ? Combien sont-ils ?
Alors que je me pose ces questions, j'aperçois une tête penchée à la porte. Je reconnais le noir qui m'a fait vomir.
— C'est ici ! crie-t-il tout fort. J'entends alors des pas se rapprocher et des hommes entrent, outre les deux derniers de la cuisine, un troisième plus jeune, l'air un peu gêné et surpris de se trouver là entre.
— Elle est là la grosse truie !
— Regardez-moi ça ! Elle est attachée !
— Putain ! Ce qu'on va lui mettre à cette pute !
— Regardez ce qu'il lui a mis déjà !
Il montre mon cul ouvert et coulant encore du sperme du précédent.
— Ce coup-ci, c'est sa chatte qu'on va lui remplir....
Aussitôt ils m'entourent en se mettant à genoux sur le lit je sens leurs mains qui parcourent mon corps. Ils me pelotent les seins, ils les malaxent durement. Il y en a un qui tire sur mes tétons pour me faire mal, ils observent mes réactions.
— Tu vois ! On peut tout lui faire à cette salope ! Elle ne peut pas se défendre.
Je pleure, je gémis, je me tortille. Des doigts me fouillent aussi la chatte et le cul. Puis celui qui enfonçait ses doigts dans mon cul, les ressort. Ils sont couverts de foutre et il les approche de ma bouche.
— Allez suce le foutre qui sort de ton cul !
Il l'étale bien sur mes lèvres et les force avec ses doigts, je suis obligée de les lécher.
En même temps, l'un d'eux sort sa bite et il se place devant ma chatte.
— Je vais la défoncer le premier et ensuite ça sera votre tour les mecs ! Filmez bien pour qu'on voit comment je la fais couiner cette chienne !
Aussitôt dit aussitôt fait ! Je le sens au fond de mon ventre. Il me défonce puissamment et longtemps. Il a joui il y a peu de temps. Il me baise fort et bien, mon corps réagit. Il s'en rend compte.
— Tu aimes ça te faire baiser par un noir, salope ? Allez dis le
— J'aime me faire baiser par un noir ! Oh ouiii ! C'est bon...
En disant cela, à moitié effrayée par ce qu'il pourrait m'arriver si je ne leur obéis pas et à moitié avec conviction, j'ai l'impression qu'il ne finira jamais ses va-et-vient sont toujours aussi puissants et vigoureux.
Mes paroles filmées l'excitent davantage et il finit enfin par se vider au fond de ma chatte. Il y reste planté tant qu'il n'a pas libéré les dernières gouttes et en sortant, il lance : Allez au suivant ! Défoncez bien cette pute !
Le plus jeune prend alors sa place entre mes cuisses et il s'enfonce dans ma chatte déjà utilisée.
— On va tous lui gicler au fond de son trou à cette pute ! On va le lui remplir sperme !
Malgré les orgasmes que j'ai déjà eus, je ne reste pas insensible à ce traitement.
— Dommage qu'elle soit attachée, on ne peut pas la mettre à 4 pattes cette chienne, mais par contre on peut jouer avec ses pis de grosse vache ! dit celui qui ne m'a pas encore sautée et il les étire fortement ce qui me fait crier de douleur.
— Prends ça grosse vache ! dit celui qui me baise.
Je sens mon vagin être à nouveau rempli et je réalise que je n'ai pas pu prendre ma pilule ce soir, Léa me les ayant ramassées avec mes autres affaires. Même si je sais que je suis tranquille pour le moment, j'angoisse un peu.
Elle est attachée ! dit un des noirs. Mais on va quand même la mettre à quatre pattes pour la prendre en levrette.
Ils tirent le lit et je les sens me soulever pour me retrouver de l'autre cote de la tête du lit, debout, penchée en avant toujours attachée aux montants du lit. Cette position fait pendre mes grosses mamelles ce qui accroît leur excitation et leurs sarcasmes. Ils jouent avec en les étirant, en leur tapant dedans pour les faire balloter
L'autre cuistot noir se place derrière moi, il me prend par les hanches puis me pénètre violemment. Je le sens buter au fond de mon ventre, je pousse un petit cri.
Les autres l'encouragent à me violenter.
—Allez ! Défonce-la cette pute ! Elle veut prendre une autre giclée dans sa chatte !
Pris par l'excitation ambiante, il jouit à son tour en moi en grognant non sans m'avoir fermement tenu les hanches quelques claques appuyées sur mes fesses. Ils me replacent sur le lit, allongée sur le dos, les cuisses écartées. Ils voient ma chatte toute dégoulinante de leurs trois giclées.
— Regardez comme elle a pris cette grosse pute !
Encore sous le choc de ces multiples pénétrations, je ne dis rien ni ne bouge quand ils me prennent en photo sous tous les angles. Hébétée, Je les regarde sortir en les entendant dire que je suis vraiment bonne et qu'ils ont hâte de recommencer.
Je réalise en voyant la diode rouge de caméras que tout ce qui vient de se passer a été filmé, je ne suis même plus en état de pleurer ou de crier. Je reste seule. La lumière à côté de toi est allumée ce qui permet de bien voir mon corps y compris ma chatte béante, dégoulinante prouvant qu'elle vient d'être utilisée plus que de raison.
Avec un délai aléatoire qui m'empêche de prévoir quoique ce soit, d'autres hommes seuls cette fois se succèdent dans la chambre usant et abusant de ma bouche, de mon sexe ou de mon cul. Je finis par perdre la notion du temps et du nombre de fois où je suis violée. Je ne peux pas appeler cela autrement, même si de temps à autre, je suis traversé par un orgasme soudain. Puis plus rien, je finis par somnoler, épuisée.
J'ignore combien de temps ce calme a duré car je sens quelque chose sur moi. Suis-je ne train de dormir ? De rêver ? Je suis dans les vapes mais une douleur dans mon vagin me réveille complètement.
Un homme est allongé sur moi et il me défonce. C'est un vigile qui a juste baissé son pantalon et son caleçon pour me prendre. Il va et vient en moi. Je pousse un cri de surprise au moment où il se répand dans ma chatte. Je le vois se relever sans un mot et partir après s'être rhabillé. Je réalise vraiment que je suis entièrement livrée aux hommes qui veulent baiser. Comme une poupée gonflable...
En dépit de cette révélation et du fait de la fatigue des assauts successifs, je somnole de nouveau quand j'entends des bruits dans le couloir et deux hommes apparaissent à la porte.
— Putain ! Ils ne nous avaient pas menti ! L'équipe du soir avait raison, il y a vraiment une vide-couilles dans l'hôtel.
Horrifiée, je comprends que ce sont les hommes de l'équipe du matin qui arrivent. Combien vont-ils être à me passer dessus ?
Ils s'approchent de moi et voient ma chatte complètement souillée de sperme, dilatée après avoir autant été ravagée.
Putain ! Elle a pris cher la salope !
Ils rigolent et l'un d'eux retire son pantalon en montant sur lit. Ils me pelotent de partout en maltraitant mes seins pour s'exciter puis ils sortent alors leur sexe et sans ménagement le premier m'encule directement.
— Elle est là pour ça, non ? Dit-il en rigolant. L'autre l'encourage. Vas-y ! Défonce-la ! Si elle est là, c'est qu'elle aime ça !
Il monte ensuite sur le lit et pose ses genoux de part et d'autres de mon visage et enfonce sa bite dans ma bouche, à nouveau, je suis prise par des inconnus et je ne peux que subir.
Mon sexe est irrité à force d'avoir été pris, mon anus est en feu et ma bouche sert de vide-couilles. Mes gémissements encouragent les mecs au lieu de les adoucir.
— Tu vois elle aime ça cette pute ! Attends on va changer viens lui gicler dans sa bouche après avoir baisé son cul !
Ils échangent de place et il me présente sa queue souillée. Ce n'est pas le premier à me le faire dans cet ordre, je le suce sans protester, ayant compris la leçon de mes premiers refus. Ils se vident en moi et partent en rigolant et en téléphonant eux aussi à leurs copains.
Le matin arrive.
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