Alors que les lueurs
de l'aube pointent au travers des rideaux, Monsieur Moreau entre et me regarde
souillée de partout, nue toujours attachée sur le lit.
– Je vois que mes gars
ont compris qu'ils pouvaient se servir de toi.
– Oui monsieur... Je
suis leur chose.
Il me sourit, il semble
satisfait de ma déchéance.
— Mais je pense que
quelqu'un va être surpris de te voir ainsi...
Je le vois composer un
numéro et dire : c'est bon, vous pouvez venir !
Je le regarde sans
comprendre. Je sais que je suis prise dans un engrenage infernal ignorant
jusqu'où il va me conduire. C'est Je vois apparaître Léa dans l'embrasure de la
porte, vêtue de son tailleur strict, suivi de Barbara, une vieille amie et
collègue en petite robe noire moulante très courte. Elle met quelques secondes
avant de me reconnaître et s'approche de moi affolée.
— Ma chérie, que
t'est-il arrivé ?
Je la vois se tourner
vers ceux qui sont à l'origine de mon état.
— Que lui avez-vous
fait ? demande-t-elle.
Je suis incapable de
lui répondre. Elle comprend en voyant mon état que je n'ai pas passer une nuit
très calme. Mon corps est couvert de sperme et de meurtrissures. Ma chatte et
mon cul sont béants dégoulinants de foutre. Ses yeux ne quittent pas mon sexe
et mes fesses
— Mais elle a été
violée ! lance-t-elle furieuse en se dirigeant vers Monsieur Moreau.
— Il faut appeler la
police ! hurle-t-elle de plus belle. Voyant qu'il ne réagit pas, elle se tourne
vers Léa.
— Mais il faut faire
quelque chose !
— Non elle n'a pas été
violée, dit Monsieur Moreau. Elle est attachée et offerte pour son plus grand
plaisir.
Il fait un signe à Léa
qui met une clé USB sur le côté de la télévision et on me voit en train de
jouir en étant prise et réclamer d'être enculée. Ce sont les images de ma
soirée avec le directeur, j'apparais nue à quatre pattes, bandeau sur les yeux,
baisée par un homme que l'on ne reconnait pas et moi avouant prendre du plaisir
ainsi.
De nombreuses scènes
défilent à l'écran, jamais aucunes traces de contraintes Sur toutes, je suis
baisée et je jouis de moi-même. Barbara est scotchée, interloquée devant ses
images, elle me regarde, elle me fixe, découvrant une nouvelle personne.
— Tu n'as pas fait cela de toi-même ? me dit-elle. Ce n'est pas toi
! Je la regarde sans expression, inerte.
— Ce n'est pas toi...
renchérit elle. Tu as été droguée...
Elle se penche sur
moi. Elle me caresse la joue. Je lui souris.
— Si, c'est moi ! Dis-je.
J'ai accepté cela avec plaisir.
Cet aveu de ma part me
consterne. J’avoue là ma perversion.
Elle regarde le
couple, troublée, elle comprend que Léa avec qui elle vient de passer la nuit
n'est pas aussi tendre qu'elle lui en a donnée l'impression mais je vois de
l'amour dans son regard, elle est prête à tout pardonner à son amante.
— Détachez-la, Elle a
besoin d'une douche !
Léa s'approche et me
détache. Barbara me soulève et me guide vers la douche. Elle n'a pas vu les
caméras et elle commence à se mettre nue pour me soutenir et m'aider à me
doucher.
Pendant qu'elle me lave
sous la douche, je m'aperçois que Léa en profite pour lui prendre sa robe et
ses dessous sexy. Barbara ne se gêne pas pour caresser mon corps qui la fait
rêver depuis qu'elle m'avait vu assise à côté d'elle.
Elle masse longuement
ma poitrine souillée et elle prend bien plus de temps que nécessaire pour
rendre plus propre ma chatte. Elle ne peut s'empêcher de mouiller lorsqu'elle
passe ses doigts entre mes fesses pour venir nettoyer mon cul qui a été si
souvent défoncé ces derniers temps. Elle ne résiste pas à l'envie de se toucher
la chatte en me serrant contre elle, ne se doutant pas nous somme observées.
Cette douceur me
réconforte. La tendresse de mon amie me soigne de tout ce que j’ai subi en deux
jours seulement.
Je me sens requinquée
en sortant de la douche et je finis de m'essuyer seule et une fois que nous
sommes sèche, je lui souris et lui ouvre mes bras. Ravie de cette invitation,
Barbara ne se fait pas prier et se jette dans mes bras pour me caresser, me
câliner, m'embrasser.
Léa arrive sur le pas
de la porte de la salle de bain et nous dit d'un ton autoritaire.
— Votre maitre vous
attend dans la chambre.
Barbara la regarde,
surprise.
— Comment cela notre
maitre ? Je n'ai pas de maitre...
— Si tu ne veux pas
être punie, ne fait pas attendre ton maitre ! me dit Léa en me fixant d'un
regard noir.
Acquiesçant, je me
dirige vers la chambre, suivie par mon amie toujours aussi abasourdie par ma
docilité. Il nous attend debout les mains dans dos, raide l'allure martial.
— Position de soumise.
Sans un mot, je me
mets en position. Pendant que Barbara réclame ses vêtements à Léa, sans
comprendre ce qui est en train de se passer.
— Vous voyez votre
amie Bénédicte ? Elle est devenue ce qu'on appelle notre esclave sexuelle, pour
son plus grand bonheur si j'en juge les images. Elle ne retournera plus chez
elle et d'ailleurs Léa s'est fait un malin plaisir à envoyer un email à son
mari et à ses enfants pour dire qu'elle ne rentrera plus... Qu'elle a trouvé sa
voie et qu'il est inutile qu'ils cherchent à la retrouver.
J'écoute ces mots
aussi troublée qu'elle, je ne m'attendais pas à cela malgré tout.
J’ai accepté mon sort
parce que je pensais être libérée à la fin du congrès. Là je comprends que tout
risque d’être fini pour moi. Cependant, je connais mon mari et je doute qu'il
reste immobile sans chercher à comprendre. Pendant que je pense à cela, il
continue :
— Donc si vous voulez
continuer à voir votre amie, l'aider et la protéger. Faites comme elle ou sinon
dites-lui adieu et reprenez votre robe !
Elle ne sait que
penser, c'est soudain et si étrange, si irréel. Que faire ? Elle hésite !
Léa s'approche alors
de Barbara et lui caresse la joue, avec un sourire ravageur. Elle lui murmure
doucement.
— C'est bien d'elle
dont tu me parlais, quand tu me disais avoir envie d'une amie, mais qui ne le
savait pas, non ? … Regarde-la !... Regarde ses seins !... Regarde sa chatte
!... Tu as envie de lui bouffer, non ?
Je vois sur son visage
que sa volonté vacille, elle est ébranlée.
— Reste avec nous et
tu pourras être avec elle tout le temps... Tu partageras tout avec elle... Et
tu resteras tout le temps avec elle... tu ne veux pas la perdre, si ?
Elle tremble balance
d'un pied sur l'autre.
— Prends la position
que demande notre maitre et restes avec nous !
Léa finit son discours
avec une tendre caresse sur les fesses de Barbara et lui murmure à l'oreille,
et tu m'auras moi aussi !...
Ces mots achèvent de
la décider, elle respire un peu plus fort, je la vois prendre la position.
Je vacille en même
temps qu’elle. Elle était mon dernier espoir de pouvoir alerter mon entourage
et les autorités.
Je comprends que tout
est définitivement perdu.
Quand elle est comme
moi, Monsieur Moreau qui vient d'ordonner à Léa de découper la robe s'approche
d'elle et lui demande : tu es prête à vivre comme ton amie ?
— Oui ! dit-elle
simplement.
— Bénédicte ! Dis à ma
nouvelle esclave tes conditions de soumission !
Je les lui explique
succinctement. Ce qui se résume à : Obéir en tous points au Maître !
— A partir de
maintenant vous êtes deux et vous ne méritez pas d'être appelées par des
prénoms. Toi ! dit-il en me fixant, tu étais la première, donc je t'appellerais
"huit" et toi ! dit-il en désignant Barbara, "neuf".
— Oui maitre ! Dis-je
aussitôt suivie par mon amie et désormais compagne de soumission.
Léa nous fixe et nous
explique que nous sommes "huit" et "neuf" car nous ne
sommes pas les première, ce qui achève de nous anéantir. Puis elle s'approche
de moi et commence à fouiller ma chatte qui est de nouveau trempée sous l'effet
de la situation. Le regard de Barbara ne se détache pas de la main de Léa.
— "huit" !
dit à ma nouvelle esclave dans quel état tu es... et regarde la fixement !
Je décris mon état
avec force de détails puis Léa me laisse et s'approche de mon amie.
— "neuf" !
Va vérifier les dire de "huit" !
L'utilisation de ces
termes au lieu de nos prénoms ou des mots "amie" ou
"copine" nous permet de bien comprendre que notre vie passée est
finie et que nous ne sommes plus les femmes que nous étions. Léa glisse alors
la main entre les cuisses de Barbara.
— Maitre ! Elle mouille aussi beaucoup cette pute !
— On va faire un
cadeau à notre nouvelle esclave. Tu as envie de bouffer la chatte de
"huit" n'est-ce pas ?
— Oui maitre !
— "huit " va
te coucher sur le lit, sur le dos et replis tes grosses cuisses vers tes
épaules.
Je m'allonge sur le
lit dont les draps ont été changés pendant notre douche, les trois regards sont
braqués sur mon corps. Ils attendent que je sois en position d'offrande. Je suis
excitée de me montrer ainsi de m'exhiber aussi impudiquement.
— "huit"
demande à "neuf" de venir te lécher la chatte et soit vulgaire sinon
...
Je vois Monsieur
moreau jouer avec la cravache qu'il tient dans la main. Barbara garde la
position et malgré l'excitation de me voir ainsi, elle est inquiète de cet
objet. Elle comprend ce à quoi elle vient de s'engager et que cela ne sera pas
toujours que du plaisir.
— "neuf" ! Viens
bouffer ma grosse chatte baveuse de grosse vache ! Dis-je en espérant être
aussi vulgaire que le maître le souhaite.
— Allez ! Montre-nous
dans quel état tu es sale pute en écartant tes lèvres de ton sexe de chienne !
J'obéis et les ouvre
avec mes mains. Je les expose brillantes de désir.
— Regarde comment elle
mouille ! Cette grosse salope ! dit Léa, tout en caressant les fesses et la
poitrine de mon amie.
— Et toi tu as envie
de la bouffer n'est-ce pas ? Ajoute-t-elle en continuant des frôlements.
— Oh oui j'en ai
envie.
— Alors va lui bouffer
sa grosse chatte de pute et mets-toi à quatre pattes entre ses cuisses pour
nous exhiber ton gros cul.
Souriante, elle
s'approche de moi, monte sur le lit et plonge sa tête entre mes cuisses en se
mettant comme on le lui a demandé. J'offre ma fente à sa bouche. J'apprécie sa
langue sur ma chatte ce qui me change des assauts répétés de la nuit.
Les yeux mi-clos
profitant de cette douce caresse, je vois le maître qui s'approche derrière
Barbara et commence à le peloter puis il lui écarte les fesses.
— Ce trou a déjà servi
?
Léa répond à la place
de ma lécheuse qu'à priori, elle est vierge du cul. Irrité par l'absence de
réponse, il lui soulève la tête pour reposer la question tandis que Léa se
rapproche.
— Il y a peu que
"huit" est dépucelée du cul, mais depuis elle en a pris plein le cul,
la salope !!! Et elle aime ça, en plus, pas vrai ?
— Oui, mon cul est
vierge. Faites ce que vous voulez avec.
— Oui j'aime ça ! Dis-je
en même temps qu'elle.
Je vois parler nos
deux maîtres pendant que je suis léchée, je suis partagée entre le fait
d'apprécier ces caresses et ce qui est en train d'être manigancé.
— Il te plait ce gros
cul, tu veux le défoncer ?
— Oh oui... J'aimerais
!
Mais ce que j'entends
surtout les lapements et les gémissements de Barbara qui s'active entre mes
cuisses.
— Alors je te l'offre
Léa ! C'est toi qui as fait tout le travail si la deuxième grosse vache est là !
Tu as le droit à une récompense. Va prendre ton gode ceinture !
Je la vois sortir de
la chambre et revenir quelques minutes plus tard avec le sac qu'elle avait
quand elle m'attendait dans la chambre hier après le repas. Elle se met nue et
prend le gode ceinture, celui avec lequel elle m'a enculée, celui qui a une
extrémité démesurée et une partie qu'elle va s'enfoncer dans la chatte pour se
faire jouir. Nue, elle est magnifique.
Pendant que Léa
s'équipe, Monsieur Moreau appuie sur la tête de Barbara pour l'empêcher de se
relever et de voir ce qui se passe. Inconsciente de ce qui va lui arriver, elle
continue de me lécher et les bruits de léchouilles emplissent la chambre. Je
les regarde se préparer. J’anticipe la douleur qu’elle va avoir, la même que
celle que j’ai connu deux jours plus tôt.
Quand Léa referme la
ceinture, elle ne peut réprimer un gémissement de plaisir quand le petit gode
rentre dans sa chatte.
— Je veux que
"neuf" se rappelle de la première fois qu'elle aura bouffé la chatte
de sa copine et aussi quand tu lui auras déchiré le cul pour la première fois !
— Oui monsieur ! dit
Léa, ne vous inquiétez pas, Elle s'en souviendra.
— Rajoute ça ! dit-il
à Léa en lui donnant une sorte d'étui avec picots dur. "Enfile ça sur le
gode pour lui massacrer le cul à cette pute !" ajoute-t-il sadiquement en
appuyant fermement sur la tête de "neuf" pour maintenir sa bouche
contre ma chatte. Il me regarde en me disant :
— J'espère qu'elle va
se retenir, il ne faudrait pas qu'elle te morde la chatte pendant que Léa lui
massacre le cul !
Léa se place derrière
elle et la crochète par les hanches puis elle place le gode entre ses grosses
fesses puis me fixe.
— Tu sais qu'elle va
morfler ?
Je hoche la tête, je
me souviens de La douleur qui m'avait traversée quand elle m'avait enculée.
Mais là, en plus il y a le supplément qui recouvre le gode de picot. Léa le
pousse, d'abord doucement pour forcer le trou, mon amie réagit en gémissant
doucement tout en s'activant entre mes cuisses. Une fois que le trou est
ouvert, Léa me regarde et d'un coup brutal elle force le cul vierge. Le maître
regarde ce membre rempli de picots qui s'enfonce sûrement. Il lui plaque la
tête sur ma chatte pour qu'elle ne puisse pas la retirer malgré la douleur qui
lui déchire les entrailles. Nous l'entendons hurler. Elle veut se relever mais
elle est maintenue fermement sur mon sexe trempé.
Je sens alors ses
dents sur mes lèvres et mon clitoris tandis que Léa continue de forcer. Elle
est toute excitée par le fait de la voir gigoter de douleur et force encore
plus violement.
— Plus fort Léa !
Massacre-lui son trou du cul à cette grosse vache !
Elle ressort pour
regarder le trou du cul que j'imagine dévasté et presque en sang puis, sans
aucune pitié se renfonce dedans pour finir de le détruire.
— Alors elle bouffe
bien ta chatte cette salope ?
— Oui maitre ! Fais-je
les yeux embués de larmes, du fait des morsures.
À chaque aller et
retour de Léa, ses dents s'enfoncent davantage dans mes chairs.
— Léa maintient la
tête de notre grosse vache sur la chatte de" huit" ! Elle se penche
sur son dos et elle est entièrement enfoncée dans son cul.
— Maintenant je vais
baiser la seule femme ici ! dit-il en se plaçant derrière Léa qui tout sourire
réclame.
— Oh oui ! Venez me
baiser maitre !
Il commence à
l'enculer après avoir humidifié son trou. Ses coups de boutoirs se répercutent
dans le cul de Barbara qui gémit à chaque fois en me mordant ou me léchant
selon la position de sa bouche et de ses dents. Je ne peux que subir ce qui se
passe entre mes cuisses. Les cris de Barbara. Mon clitoris va- t-il survivre
aux dents de mon amie ?
Le directeur laboure
le cul de Léa qui est très excitée par cette double pénétration entre le gode
et la queue qui l'encule. Elle prend aussi plaisir à défoncer le cul de mon
amie. Elle se donne à fond en criant.
Je les entends jouir
ensemble puis il lui ordonne de serrer les fesses en se retirant. Elle pose sa
main sur son trou pour empêcher le foutre de sortir et elle s'approche de moi.
Elle m'ordonne d'ouvrir la bouche et elle plaque son anus sur ma bouche pour
que le sperme se déverse dans ma bouche, sortant directement de son cul. Je
sens ce mélange couler dans ma bouche. Je le reçois presqu'avec délectation.
Sauf le sperme des hommes qui se sont vidés dans ma bouche, je n'ai rien avalé
depuis hier midi. Malgré tout l'humiliation est totale, elle se vide totalement
dans ma bouche. A mes côtés, j'entends les râles de douleurs de Barbara qui
tente de se soulager une main entre les fesses. Elle est en larmes choquée,
essayant de reprendre ses esprits.
Léa se lève, je
respire de nouveau librement. Monsieur Moreau sourit en voyant mon visage
souillé par le foutre qui coule sur mon menton. Il regarde entre mes cuisses,
ma fente qui doit être rouge et pleine de marques de morsures. Il s'amuse à
écarter mes lèvres trempées malgré le traitement qu'elles viennent de subir.
— Alors tu aimes la
façon qu'à "neuf" de te bouffer la chatte ? Me dit-il en éclatant de
rire.
— Non maître ! C'est
atroce !
— Comme ça vous vous
rappellerez de votre première fois !
Je tourne la tête vers
Barbara complètement anéantie par ce viol anal. Elle est choquée, pantelante,
gémissante, tentant de reprendre ses esprits. Léa s'approche d'elle et lui
soulève ses grosses cuisses pour voir son trou du cul béant. Elle se laisse
faire. Je vois un trou énorme, presque en sang. Je suis choquée, je me sens
responsable de son état. Si je n'avais pas cédé aux sirènes du sexe deux jours
plus tôt, elle ne serait pas comme cela
— Il n'y a que
"neuf" qui n'a pas joui ce matin ! lance alors le Maître. Il va
falloir réparer cela.
— Léa ! Va prendre
l'œuf et la ceinture ! Puis il me regarde pendant qu'elle sort ces objets de
son sac.
— Tu vois à cause de
toi dans quel état est ton amie. Tu vas devoir la protéger si tu ne veux pas
qu'on la massacre ! J'espère que tu lui seras redevable et que tu te proposeras
parfois à sa place.
— Oui maitre ! Je me
proposerais à sa place !
Léa écarte sans
ménagement les grosses cuisses de Barbara qui est trop choquée pour réagir.
Elle se laisse faire. Elle enfonce l'œuf dans sa chatte puis elle commence à
lui enfiler la ceinture de chasteté. Elle la ferme et donne la clé au Maître.
Je m'approche pour la câliner alors que l'œuf vibrant commence à faire son
effet et malgré la douleur, elle commence à gémir de plaisir. Elle pose ses
mains sur son sexe et comprend qu'elle ne peut y accéder. Elle me regarde
perdue. Je la serre contre moi... Elle frémit... Elle gémit.
— Occupes toi bien de
"neuf" ! Elle va jouir et souffrir ! Je reviens vers midi pour le
repas !
Je constate qu'ils
ferment la porte à clé en sortant. Cela va nous permettre de nous reposer un
peu Même si Barbara se tord de plaisir dans mes bras, les orgasmes se suivant
sans interruption. Elle refuse que je la touche, je lui propose une douche
froide mais elle ne veut pas se lever. Elle jouit devant moi sans pouvoir se
contrôler.
Comme pour moi,
douleur et plaisir se mélangent dans son corps et son esprit
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