mardi 22 décembre 2020

Le Congrès ou... : Premier Repas (La Confrérie d'Artémis)

 

Sans aucun repère, nous ne nous rendons pas compte du temps qui passe, Barbara commence à surmonter les orgasmes qui se suivent, elle est épuisée.

— Comment va ta chatte ? me demande-t-elle.

— Ca va, je vais survivre, lui dis-je en riant, pour lui faire comprendre que je ne lui en veux pas.

Aucun bruit ne nous parvient de l'extérieur, le temps passe et je suis aussi de plus en plus excitée de la voir jouir ainsi puis d'un seul coup la porte s'ouvre. Je vois entrer le Maître suivi d'un chariot poussé par un noir qui m'a baisée dans la nuit. Je regarde mon amie se tordre de plaisir, humiliée, elle ne peut pas réprimer un orgasme devant nous.

— Tu vois ! dit-il au cuistot, on a une autre grosse vache !

Il rigole grassement tandis que Barbara est toujours en train de se tordre de plaisir sur le lit.

— Tiens ! Libère ton amie ! Et il me tend les clés de la ceinture.

Le plus rapidement possible je l'ouvre et lui demande de pousser pour faire sortir l'œuf de sa chatte. Une fois libérée, je la prends dans mes bras pour l'aider à récupérer. Sa chatte est toute rouge et irritée

— Maintenant on inverse les rôles ! "huit" enfonce l'œuf dans ta chatte et toi "neuf", enfile la ceinture de chasteté sur ton amie.

Je ne peux que lui dire d'obéir. L'œuf encore couvert de sa mouille entre tout seul en moi. Elle hésite en sachant ce que je vais subir à mon tour mais elle m'enfile la ceinture et au passage elle constate que je suis trempée. Elle arrive à me sourire en disant : " je ne t'imaginait pas si cochonne". Puis la ceinture fermée elle se tourne et tend la clé au Maître.

— Maintenant ! Voilà ce que vous a préparé le chef ! Et vous allez devoir tout finir.

Puis il regarde le noir en disant qu'il faut bien engraisser les grosses vaches. Il ricane en disant que cela nous fera du bien à nous les grosses cochonnes de manger. Il soulève les couvercles et découvre deux énormes gamelles d'un plat indéfinissable. Sur le chariot, la nourriture est abondante, le plat plus que copieux, deux grosses bouteilles de soda.

— Tout pour faire grossir ! Dit le noir en ricanant. Il explique que ce sont des restes qu'ils allaient jeter

—Il ne doit rien rester sinon vous serez punie toutes les deux ! Et pas de triche !

Il nous montre les caméras pour nous faire bien comprendre que nous sommes surveillées. Le cuistot ajoute.

— Je reviens dans une heure pour ramasser les gamelles, tout à intérêt à être fini et plus aucune trace au fond des gamelles Vous lècherez la sauce avec vos langues.

Vous devrez manger tout cela avec vos doigts et votre langue pour faire la vaisselle.

— Régalez-vous ! dit-il en éclatant de rire.

Nous comprenons que nous ne sommes rien que des objets entre leurs mains. Mais, nous avons vraiment faim alors nous commençons à manger. Nous nous regardons penaudes de devoir manger avec les doigts, la sauce de ce qui ressemble à un bourguignon nous coule le long des bras, nous devons les lécher pour qu'il n'y en ai pas partout. Nous avons à peine mangé la moitié de nos gamelles que nous nous sentons rassasiées. De plus l'œuf vibrant en moi n'arrange rien. Soudain je m'immobilise.

Que t'arrive-t-il ?

— Je viens de jouir, dis-je en haletant.

Barbara me regarde jouir en sachant qu'elle ne peut rien faire. Nous nous encourageons mutuellement à finir de manger sachant très bien que la punition risque d'être terrible s'il en reste. Le moment le plus pénible arrive quand nous devons nettoyer les gamelles en les léchant.

Le travail de sape sur notre moral et notre rabaissement passe aussi par ce moyen, nous comprenons que ce ne sera pas que sexuel. Nous nous sentons rabaisser comme jamais nous ne l'avons été et pourtant nous ignorons que ce n'est que le début de notre déchéance.

Péniblement nous réussissons enfin à tout finir et la porte s'ouvre. Le directeur et un cuistot entrent.

— Alors les grosses vaches ! On a bien tout mangé ?

Il me fixe en observant ma lourde poitrine qui pend sur mon ventre et la ceinture de métal qui empêche tout accès à mon sexe.

— Oui Maitre ! Répondons-nous à l'unisson.

— Montrez-moi que je vérifie.

Barbara lui présente les gamelles vides et léchées, presque parfaitement propres. Il prend la mienne et il crache dedans.

— Il reste des traces ! Nettoie ESCLAVE ! Crie-t-il en insistant sur le dernier mot.

Il me la rend et révulsée par ce que je vais devoir faire je la prends. Docilement, sans un mot, je lèche avec ma langue. Je vois le regard surpris de mon amie quand je repose le plat. Je baisse la tête, en larmes, honteuse de montrer comment j'accepte de me rabaisser.

— Il va falloir vous y habituer, c'est votre vie d'esclaves dorénavant, puis regardant le cuisinier.

— Mamadou, laquelle veux-tu baiser ?

— Je n'ai jamais baisé de rousse, patron !

Barbara comprend qu'il parle d'elle. Elle blêmit, elle qui rejette les hommes depuis sa séparation avec son mari.

— "huit" prépare la bite qui va défoncer ta copine !

Je m'agenouille devant Mamadou et commence une fellation en règle. Je le sens se détendre et gémir... Il semble apprécier ma caresse et me caresse les cheveux comme il le ferait avec un chien.

— Tu veux la baiser dans quelle position, la grosse vache ! Mamadou ?

— À quatre pattes comme une chienne, bien sûr ! Dit-il, très excitée par la caresse que je lui prodigue.

— Qu'attends tu pour te mettre en position grosse vache ?

Barbara complètement gênée et toute blanche se met sur le lit, dans la position exigée. Elle sait qu'elle va se faire baiser ce qui la répugne depuis sa séparation avec son mari. Elle n'a pas le choix et tout cela devant mes yeux. Je sais maintenant qu'elle est amoureuse de moi. Pendant ce temps, Mamadou maintient sa bite au fond de ma gorge en la regardant se mette en place. Il me repousse alors, il vient s'installer derrière elle et il la prend d'un coup sans ménagement. Je l'entends pousser un cri de rage lorsqu'il commence à la pilonner.

— Heureusement que l'autre pute m'a bien sucé parce qu'elle est serrée cette salope !

Monsieur Moreau tire les cheveux de Barbara pour bien voir son visage grimaçant de douleur sous la pénétration. Il est excité de nous voir ainsi humiliées et rabaissées.

— Regarde ce que subit ton amie pour toi !

Il me jette alors les clés de la ceinture en m'ordonnant de la retirer. Je suis troublée par la scène qui se déroule sous mes yeux, je me sens coupable d'avoir entraîné ma meilleure amie dans cette situation.

— Otes là ! Ne me fais pas attendre !

Fébrilement, je la retire avec plaisir appréciant de libérer mon sexe de cette prison.

Il me demande d'écarter mes cuisses en grand devant Barbara qui se fait défoncer et il lui tire sur les cheveux pour que je puisse bien voir ses réactions. De son côté, elle et Mamadou ont une vue dégagée sur ma chatte ouverte et luisante de mouille.

— Regarde dans quel état est ton amie en te voyant te faire défoncer ! Tu vois ! Ça l'excite de te voir humiliée et violée ! Pas vrai "huit" ?

— Oui maitre cela m'excite

Elle ne réagit pas tandis qu'il la défonce de plus en plus fort et que son ventre claque contre son cul.

— Putain ! Elle mouille maintenant ! Ça rentre tout seul !... Elle aime se faire défoncer par un noir, cette salope de lesbienne ! ajoute-t-il de plus en plus excité.

Il me demande de me caresser sous les yeux du couple qui baise devant moi, j'obéis et mes doigts trouvent facilement mon clitoris qui n'a pas dégonflé depuis presque deux jours maintenant. Je vois son visage en larmes mais en même temps, elle commence à gémir de plaisir, son corps ne reste pas insensible aux assauts de son violeur et ses yeux ne se détachent pas de ma chatte luisante. Il la force à me regarder me caresser et ajoute pour m'humilier.

Regarde comment ta salope de copine se branle pendant que tu te fais défoncer par ce mec !... Tu vois, elle aime te voir humiliée et te voir maltraitée ! Tu sauras comment faire pour l'exciter maintenant. A moins que tu ne veuilles te venger sur elle !

Excitée comme je le suis par ce que je me fais, par ce que je vois, par l'atmosphère bestiale qui remplit la pièce, je finis par jouir devant eux. En même temps, le noir se vide dans sa chatte en poussant de grands râles de plaisir. Il reste planté au fond de son sexe pour en profiter jusqu'au bout.

Putain ! Quand je dirais aux copains qu'il y a une lesbienne à baiser ici, ils vont tous courir pour venir voir !

Je vois le regard paniqué de mon amie en entendant ces mots. Je ne sais que dire ou que faire pour la rassurer.

— Il a raison, dit Monsieur Moreau tout sourire. Baiser une lesbienne va beaucoup exciter mes gars !

Puis remarquant le sperme qui coule de sa fente, il me demande d'aller le nettoyer avec ma langue. Sans un mot, je vais derrière elle et commence à la lécher pour la première fois. Je me doute bien que ce ne sera pas la dernière tant que nous serons enfermées. Je plonge mon visage entre ses fesses, je vois ses lèvres gonflées par le plaisir, son clitoris qui pointe, sa toison rousse souillée par le liquide qui coule. Pendant que je m'applique, je l'entends dire :

Ramène une gamelle dans deux heures !

— Oui patron !

Puis il se rhabille et nous laisse seuls tous les trois.

Toujours active, je le vois prendre un grand plateau du charriot et le poser au sol, j'ai l'impression de reconnaitre une litière pour animaux mais je me dis que je dois faire erreur. Il disparaît derrière moi et j'entends une serrure se fermer.

— Lèche mieux !

Je sursaute en criant en sentant mes fesses frapper violemment par ce que je pense être un coup de pied. Mais en même temps, Barbara qui s'est mise sur le dos pour me faciliter la tâche jouit. Elle me caresse les cheveux pour me forcer à enfoncer ma langue encore plus loin en elle

Je suis prête à endurer plein de chose pour toi, tant que tu me lèches ainsi ma chérie !

—Je ferais tout pour toi aussi.

Cet amour que nous avons l’une pour l'autre nous permettra de supporter notre condition.

Nous entendons un claquement de doigts et nous comprenons que nous devons nous mettre en position de soumise.

— Vous voyez cette clé ? C'est celle de la salle de bain. Les grosses vaches comme vous ne sont pas digne d'aller dans une salle de bain. Vous n'irez que sur ordre ! Pour vos besoins, vous les ferez dans cette litière !

Les mots prononcés ne laissent aucune place au doute mais même si nous le regardons affolées et horrifiées, je ne peux m'empêcher de protester.

Mais…

— Mais quoi ?

— On ne peut pas faire cela...

— Pourquoi ?

Sous son regard dur et autoritaire, nous ne savons plus que dire. Nous voyons son sourire narquois face à notre désarroi.

— De toute façon, vous n'aurez pas le choix.

Il nous montre les clés de la salle de bain qu'il met dans sa poche. Il se dirige vers la porte et au moment de franchir le seuil, il se retourne.

— Au fait ! Ton mari est passé pour te chercher, on lui a dit que tu n'étais jamais venue au congrès...

Nues, prisonnières, nous nous jetons dans les bras l'une de l'autre en larmes.

— Pourquoi as-tu accepté de rester avec moi, tu aurais été libre ? Dis-je à mon amie.

— Je ne voulais pas te perdre… et puis ... j'ai aimé jouir avec toi !

— Tu aurais pu m'en parler avant, tu savais que moi et Jean-Pierre ce n'était pas le top. Je ne t'aurais pas rejetée, même si je ne suis pas lesbienne comme tu l'es devenue.

— De toutes façons, maintenant on ne peut plus revenir en arrière... Regarde ce qu'ils font de nous !!!

— Oui je sais... Qu'allons-nous devenir...

— Je ne sais pas ! me dit-elle dépitée. Et pourtant ! J'ai découvert des émotions très fortes. Avoue-t-elle gênée.

— Oui je le sais... Moi aussi.

Elle regarde la litière.

— ...Mais on devient des animaux ! On n'est plus des femmes !

Elle est aussi désemparée que moi.

— Oui j'en ai l'impression !

— Tu en penses quoi ?

— Il va falloir faire avec et s'arranger pour être le moins mal possible.

— Qu'est ce qui te gêne le plus ? me demande-t-elle en me caressant les cheveux ?

— Le manque d'intimité.

— Pas moi ! Dit-elle en passant ses mains sur mes seins. J'aime voir ton corps !... et ses mains descendent vers mon ventre.

L'amour que Barbara me porte occulte le reste, il est plus fort que tout pour elle. Malgré les conditions, elle a envie de moi et de jouer avec mon corps, ce dont elle rêve depuis si longtemps. Elle me caresse lentement, m'embrasse en descendant sa main vers ma fente. J'écarte mes cuisses pour que ses doigts trouvent l'objet de leur désir. Je réponds à son baiser et je la serre dans mes bras, mes mains descendent sur ses fesses. Elle s'agenouille et sa bouche s'approche de mon intimité brulante puis elle écarte mes lèvres de ses doigts pour mieux voir. Elle a envie de moi, seule, chose qu'elle n'a jamais eu. Je la laisse faire. Je caresse ses cheveux. Nous profitons de cet instant de tranquillité.

Elle me lèche avec envie. Je gémis de bien être même si je sais que nous sommes filmées. Cela ne m'importe plus. J'aime cette langue qui joue en moi, je mouille de nouveau abondamment. Je suis sur le point de jouir quand la porte s'ouvre violement. Je sursaute et Barbara se recule surpris.

Léa et Monsieur Moreau font irruption dans la pièce et il pousse Barbara avec son pied pour la faire rouler sur le sol. Il la cravache partout sur le corps en visant ses fesses et ce qu'il peut puisqu'elle se débat pour échapper aux coups. Léa se couche sur elle et la maintient allongée sur le ventre. Elle est immobilisée.

— A vous Maitre ! dit Léa

Aussitôt il assène plusieurs coups très violents sur le cul ainsi offert.

— Vous allez comprendre que vous ne pourrez prendre du plaisir que si on vous y autorise, compris salope ?

Les fesses de Barbara sont rouges par les coups portés et portent les marques de la cravache. Je reste immobile dans un coin. Je regarde la porte. Je pourrais saisir ma chance de m'enfuir mais qu'adviendrait-il de mon amie ? Je reste là, à l'entendre hurler et se tordre de douleur.

— Tu vois ce qu'il vous en coûte de jouir sans notre permission ?

— Tu as compris salope ? demande Léa.

— Oui j'ai compris, dis-je en regardant mon amie silencieuse, le visage en larmes.

Le Maître me fixe pendant que Léa se relève et s'approche de moi. Il m'attrape et me couche sur le dos en écartant mes cuisses et maintenant mes chevilles. Je le vois debout au-dessus de moi les pieds de part et d'autre de mon visage.

— Elle voulait jouir, la grosse vache ! Alors elle va jouir mais à coup de cravache !

Léa me la cingle immédiatement avec la cravache. Je hurle de douleur, Léa frappe de plus en plus comme si elle voulait faire éclater mon clitoris. C'est au tour de Barbara de rester prostrée au sol.

— Vise bien son clito de pute, on va voir si ça la fait jouir !

Léa lève le bras et frappe fort en visant soigneusement mon bouton, entre deux hurlement, j'aperçois Barbara recroqueville sur le sol, toute endolorie.

— La prochaine fois que tu veux jouir sans ma permission, je t'arrache le clito ! Hurle Léa en continuant de me fouetter. Je suis au bord de l'évanouissement quand j'entends le Maître dire à sa comparse d'arrêter.

Je crois que nos femelles ont compris, n'est-ce pas ?

— Oui ! dit-elle, mais elles doivent être punies sévèrement pour cette faute.

— Il faut leur donner une leçon en effet... et ces quelques marques sont juste des caresses… Mets leur ça pour commencer ! dit-il en montrant les ceintures de chasteté.

— Je vais préparer la salle pour les punir ce soir. On va aussi en profiter pour inviter quelques amis, ils devraient apprécier de voir nos grosses vaches punies.

Léa s'approche de Barbara qui se laisse faire et rapidement nous nous retrouvons avec les ceintures.

—Tu sais à qui appartiennent vos trous maintenant ?

— Oui Maitre ! Dis-je en sentant encore les coups de cravache sur mon sexe. Léa revient vers nous avec des soutiens gorges en métal. Quand elle s'apprête à me le poser, je remarque des pointes métalliques à l'intérieur.

— Il ne faudrait pas qu'elles se fassent jouir par les mamelles.

Elle me le plaque sur ma poitrine, je pousse un cri qui fait relever les yeux de Barbara étonnée. Elle montre alors le sien à Barbara qui blêmit, je la vois grimacer quand elle le lui fixe dans le dos.

— C'est toi qui voulait lécher ton amie… Et donc elle le serre davantage, je frisonne en imaginant les pointes lui piquer la peau.

— Voilà ! Comme ça au moins elles ne risqueront pas de jouir ! Remerciez-moi !

Merci maitresse ! Disons-nous en chœur.

Un sourire vicieux traverse son visage et elle nous demande de nous mettre face à face. Je dois poser mes mains sur les fesses de Barbara et réciproquement. Léa nous attache les poignets. Elle vous ordonne d'ouvrir la bouche et de sortir nos langues.

— Vous vouliez vous lécher ! Alors léchez-vous la langue ! Une fois nos langues l'une contre l'autre elle attache vos cous de sorte que nous ne puissions plus bouger la tête. L'une contre l'autre et chacune appuyant sur le soutien-gorge de l'autre ce qui fait enter les pointes dans nos seins. Cela l'amuse de nous voir ainsi plaquée l'une contre l'autre. Langue collée et tout le corps contre l'autre. Elle prend la cravache et me fouette le dos pour me faire bouger.

— Je parie qu'elle mouille en plus les grosses putes ! Rigole-t-elle.

Léa est très excitée de nous maltraiter et de nous humilier. D'une main elle nous cravache pour nous voir remuer et de l'autre, elle se branle en nous insultant. Nous traitant de grosses vaches, de grosses putes, de jouets sexuels. Elle finit par jouir en disant qu'elle va nous massacrer. Elle s'arrête enfin. Nous soufflons dans nos entraves.

— Alors elles sont bonnes nos nouvelles grosses vaches ? On va pouvoir aller très loin avec elles !

Nous restons collées l'une contre l'autre en les entendant parler Nous ne pouvons que subir sans rien faire.

— Allons préparer la soirée pour la punition de ces grosses vaches. dit le Maître. Une punition publique devrait être du meilleur gout.

Nous nous retrouvons seules sans possibilité de prendre conscience du temps qui passe. Je suis choquée, traumatisée. Je deviens folle et mon amie aussi. Je commence aussi à avoir envie de faire mes besoins naturels, et Barbara me fait comprendre qu'elle aussi est dans la même situation. Nous arrivons à nous placer au-dessus de la litière. Je ne peux plus me retenir et je me laisse aller dans la ceinture, cela coule sur nos cuisses ce qui a pour effet de la faire uriner. Nous nous arrosons mutuellement, l'humiliation est extrême. Nous nous sentons de plus en réduites au rang d'animal. Nous sommes abattues, en colère et de plus, l'urine me brule la fente violentée par la cravache. Nous sommes prêtes à tout accepter pour que ce calvaire cesse. Et l'annonce de la future punition nous travaille l'esprit que peut-il encore nous arriver de pire, nous avons été battues, violées, humiliées.

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