Au petit matin lorsque
la sonnerie du réveil retentit, j'émerge doucement du sommeil. Mon corps me
rappelle la soirée passée. Je me lève et me rends dans la salle de bain pour
prendre une douche rapide avant de me préparer pour le petit-déjeuner. Je sors
nue dans la chambre et je choisis un jean et une tunique que j'enfile sur un
string et un soutien-gorge de dentelle rouge.
Je ne sais pas comment
je vais réagir devant Monsieur Moreau mais ce dont je suis sûre c’est que
j’espère lui plaire encore.
Je finis de me
préparer en me maquillant légèrement, un léger rose à lèvres et un peu de
mascara.
Lorsque j'arrive dans
la salle du restaurant, je cherche Monsieur Moreau du regard. Il ne se
manifeste pas. Je suis un peu déçue mais je me dis qu'avec sa fonction, il doit
être occupé à d'autres taches.
En attendant le début
des conférences, j'erre dans le hall saluant rapidement quelques collègues mais
l'amie avec qui je participe à ce genre d'évènement n'a pas pu venir cette
année. Elle est en plein divorce et voulait se consacrer à préparer son
dossier.
J'écoute d'une oreille
distraite les orateurs, mon esprit tourné vers le directeur, je serre mes
cuisses en y repensant. Le souvenir de cette nuit m’obsède et m’excite malgré
moi. Tout mon corps est sensible et frissonnant. C'est avec l'espoir de le
croiser que je sors de l'amphithéâtre au moment de la pause-café.
Alors que je suis en
train d'attendre pour avoir mon café, je le vois s'approcher de nous. Je lui
souris dans l’espoir de capter son attention et aussi pour lui indiquer que je
suis heureuse de le retrouver malgré la brutalité dont il a fait preuve à mon
égard. Il me regarde furtivement mais s'arrête pour saluer beaucoup de monde et
cette fois-ci, il ne néglige pas les femmes. J’en suis jalouse. Je cherche son
regard mais il m'ignore. Je bouillonne de rage et de déception. "Il s'est
juste servi de moi pour soulager une envie bestiale." Me dis-je. Je
m'isole un peu pour calmer ma frustration.
Alors que la pause est
sur le point de se terminer, je le vois enfin s'approcher et venir me saluer.
Ses yeux me transpercent, il n'a pas besoin de deviner comment je suis, il me
connaît déjà parfaitement. Il sait du moins l’essentiel pour le moment, c’est à
dire que je suis prête à m’offrir de nouveau à lui, que je suis dans l’attente
de jouir comme j’ai joui cette nuit, prête à tout accepter pour cette
jouissance-là. D'un regard, il m'intime l'ordre de le suivre dans une pièce
voisine. Je n'hésite pas et dès que la porte est fermée, il me demande :
— Te souviens-tu de ce
que tu m'as demandé hier soir ?
Le cerveau embrumé et
essayant de me souvenir de ce que j'ai pu demander, je mets du temps à
répondre.
— Tu m'as demandé de
t'apprendre à sucer, alors je vais commencer !
— Oui ! C'est vrai !
Je n'ose pas lui dire
que j'avais oublié car ce n’est pas le moment que j’avais préféré. Il m'appuie alors sur la tête pour que je m'agenouille devant lui.
— Suce-moi ! Salope !
dit-il en ouvrant son pantalon
Je suis honteuse de
m’entendre traitée de salope, mais en même temps il a raison, je suis avide de
sexe, j’en veux, j’en réclame. C’est moi qui le cherchais ce matin, qui
l’espérais. J’aurais pu partir, trouver un prétexte pour quitter le congrès et
fuir cet homme qui m’a humiliée et brutalisée. Mais au lieu de cela je suis
restée, impatiente de le retrouver.
J’accepte donc d’être
traitée de cette façon si humiliante.
Je prends alors le
sexe qui apparaît devant mon visage entre mes lèvres. Tandis que je commence à
sucer, j'entends les autres congressistes parler bruyamment de l'autre côté de
la porte. Le décalage entre ce qui se passe à côté et ce que je suis en train
de vivre me paraît irréel. Tout est allé si vite. Hier matin j’étais une femme,
ce matin je suis une salope en train de sucer un homme que je connais à peine.
Les autres ne savent pas ce qui se passe. Moi-même je peine à le réaliser.
A ce moment-là Je n’ai
déjà plus la force ni l’envie de m’opposer à sa volonté. Il pose alors ses
mains sur ma tête et pousse pour que ma bouche prenne son sexe entièrement. Je
hoquette lorsque mon nez est plaqué contre son ventre. Il me maintient
fermement et je ne peux pas reculer. Je m'étouffe, j'ai envie de vomir. Il
relâche la pression et sort de ma bouche ce qui me permet de respirer un peu.
Un filet de bave relie mes lèvres à son gland.
— Voilà comment tu
dois sucer ! Compris salope ?
Et il me plaque de
nouveau le visage, son sexe au fond de ma gorge. Je hoche la tête comme je
peux, avec des hoquets.
Puis, il se retire et
cette fois il me baise la bouche par de grands coups de reins. Il tient ma tête
dans ses deux mains et me bourre la bouche comme si c'était une chatte. Je ne
peux que subir.
Je sens sa bite qui
vibre et je comprends qu'il est très excité. Je bave sur mon haut. Il accélère
et jouis dans ma bouche. Mais il ne s'enfonce pas entièrement, de sorte que son
sperme gicle dans ma bouche et non directement dans mon gosier. Je ne peux pas
reculer, il m'en empêche. Il me fixe tout en jouissant.
— Avale tout !
Je déglutis du mieux
possible mais il y a un mélange de bave et de sperme qui coule sur mon menton
et sur mon haut. Monsieur Moreau me laisse là à genoux, hébétée. Je le vois
sortir de la pièce sans me regarder.
Je suis choquée par
que je viens de subir alors que j'entends le rappel pour que nous retournions
dans la salle.
Cette fois je n’ai eu
aucun plaisir et aucune considération, aucune compensation à l’abus qu’il m’a
infligé.
Je me sens violée,
dépitée et frustrée en même temps.
Je m'essuie le visage
comme je peux avec mes doigts et c'est dans un état second que je sors de la
pièce voulant me rendre aux toilettes. Je croise alors le regard de trois
femmes qui me regardent hautainement, méprisantes comme si elles savaient ce
que je viens de faire. Je les ignore et me réinstalle à ma place dans la salle
de conférence.
Maintenant que je me
suis remise de ce qui vient de se passer je suis de nouveau dans l’envie de
sexe. Cette envie m'obsède.
Assise au fond de la
salle, je réalise que ma culotte est trempée.
Après coup j’ai même
le sentiment d’avoir aimé cette fellation forcée. Je n’étais jamais allée aussi
loin avec mon mari, qui se contente de peu finalement. Et l’autorité de Monsieur
Moreau me transporte. Lorsqu'il me regarde, me parle, me touche, Je suis
exaltée. Je commence à apprécier ce qui m'arrive et la manière dont cet homme
me traite. J’espère l’avoir satisfait ce matin malgré mon inexpérience pour
qu’il ne lui vienne pas l’envie de se débarrasser de moi.
Lorsque la
pause-déjeuner arrive, je me remarque qu'il est en pleine discussions à sa
table avec ses invités. Je réussis à trouver une place non loin de la sienne,
je tente d'attirer son attention en lui souriant mais il m'ignore superbement.
Je me sens oubliée, délaissée mais soudain mon téléphone vibre "Ecarte tes
cuisses de soumise". Je relève la tête et je sens son regard sur moi.
Enfin il m’accorde un peu d’attention. Je me redresse en écartant les cuisses
en espérant qu'il me récompense de son approbation, cependant il continue de
faire comme si je n'étais pas là. Tout le temps du repas, je guette les
vibrations de mon téléphone. Je les espère. Et de nouveau, un message. "Va aux WC pour ôter ta culotte et laisse-la
en évidence dans les toilettes hommes". Je m'excuse auprès de ma
voisine de table pour aller faire ce qui m'est demandé. Je ne dois surtout pas
le décevoir sinon je risque de le perdre.
Ce n'est pas si simple
étant vêtue d'un jean, je suis obligée de le retirer pour ôter cette culotte de
dentelle rouge. En revenant m'assoir, je sens la fermeture éclair frotter sur
mon sexe, ce qui me trouble. Je remarque alors qu'il revient des toilettes avec
un bout de tissu rouge dépassant de la poche de son pantalon. Ce ne peut être
que ma culotte. Je baisse la tête rouge de honte quand il me regarde
brièvement.
Je reçois un ordre
bien plus explicite "Passes ta
langue sur tes lèvres en me fixant, comme une chienne en chaleur". En
m'exécutant, je ne peux pas manquer les regards de certaines personnes assise
sa table. Je sais que ce que je suis en train de faire dépasse les convenances
et j’ai conscience que je pourrais être jugée de perverse par la majorité des
personnes ici présentes. Cette pensée est effroyable. En même temps je ne peux
pas prendre le risque de désobéir à celui dont j’espère encore plus de plaisir.
Maintenant que j’avais goûté au paroxysme de la jouissance je n’étais pas prête
à y renoncer.
Puis un ultime
message. "Rejoins-moi dans ta
chambre dans 5 mn !"
Je regagne ma chambre,
il est déjà là. Il doit avoir un double de la clé. Je referme la porte derrière
moi. Sans un mot, il glisse sa main dans mon jean et je sens ses doigts
fouiller ma chatte. J'écarte mes cuisses pour lui faciliter la tâche.
— Mains sur la tête ! me
dit-il sèchement. Je prends la pose demandée sans réfléchir à l’humiliation
qu’elle représente, et il s'essuie ses doigts sur ma joue. Je frissonne de
trouble.
— A poil ! Salope !
Alors que je me
déshabille sans un mot, la porte s'ouvre et une jeune de femme d'environs
trente ans, brune, fine, habillée en jupe droite, chemisier, talons aiguilles
entre. Elle vient à côté de moi.
Que fait-elle là ? Je
n’ai imaginé aucun scénario en dehors du directeur et de moi-même ! Je n’aurai
jamais pu penser une chose pareille.
— Léa ! Voilà la
grosse truie !
Elle me fixe, je la sens
hautaine, méprisante à mon égard.
— Mains sur la tête !
dit-il sèchement car je viens de masquer ma nudité avec mes mains. Je suis très
gênée devant cette femme. Le sourire sadique de Léa m'effraie un peu.
— Pour être grosse !
C'est une grosse vache en effet ! dit-elle en me regardant de bas en haut
Je suis maintenant
glacée de honte et de peur. Je me dis que je fais un cauchemar. Cette femme va
provoquer une accélération dans ma déchéance.
Elle regarde mes
mamelles, elle les malaxe puis elle les soulève haut pour les laisser retomber
toutes seules ce qui me fait grimacer. Je ne dis rien humiliée.
Elle regarde mon
tourmenteur, comment avez-vous pu trouver ses trous ? dit-elle avec ironie.
— Je parie qu'elle
mouille cette pute ! Ecarte les lèvres de ta chatte de grosse salope et
montre-moi ! ajoute-t-elle sèchement.
Elle regarde ma fente
ouverte et dégoulinante. C’est vrai, l’humiliation et la douleur provoquent
chez moi une excitation que je ne contrôle pas. Je me liquéfie sous la menace
et la peur. Ma tête et mon corps se dissocient. Ma tête refuse mais mon corps
trahit mon plaisir.
— On a trouvé une
sacrée pute !
Elle passe derrière
moi pour venir voir mon cul qu'elle pelote et écarte mes fesses.
— Hier encore, elle
était encore vierge de là !
Elle m'ordonne de me
pencher en avant, ce que je fais sans protester. Cette femme est plus sadique
et dangereuse encore que le directeur.
— J'aimerais bien lui
déchirer son cul à cette grognasse, dit-elle, tout en touchant ma rondelle
encore serrée.
— Tu auras tout le
temps de lui casser le cul à cette pute ! Pour le moment tu vas regrouper
toutes ces affaires dans sa valise.
Elle laisse mon cul et
Monsieur Moreau m'ordonne de reprendre la position de soumise, mains sur la
tête, cuisses écartées. Je m’exécute car je ne sais pas ce que je pourrais
faire pour me soustraire à son autorité. L’absurdité de mon dérapage m’apparait
comme une évidence maintenant. Je comprends que je suis tombée dans un piège.
Je n’ai rien soupçonné de ce guet-apens. Je me sens si honteuse et si coupable
de ma naïveté.
Immobile et
impuissante, je regarde Léa remplir ma valise. Inquiète, je n'ose pas demander
ce qu'elle va en faire. Elle regroupe mes habits, à chaque fois qu'elle en
prend, elle a un air de dégout, strings, culottes et soutiens gorges beaucoup
trop grand pour elle. Il ne reste plus rien dans mon armoire, je ne comprends
pas ce qui se passe. Je vis un cauchemar.
— Laisse-lui juste sa
brosse à dents à cette truie !
Elle enlève tout. Ma
chambre est vide.
— Elle n'a plus besoin
de ses pilules ni du reste ! dit-il en me fixant.
— Et dans son sac à
mains qu'y a-t-il ?
Léa le retourne sur le
lit, mon agenda, téléphone, papier, carte bancaire, serviette hygiénique, tout
se répand.
— Prends tout ! Laisse-lui
juste sa carte pour ouvrir la porte de sa chambre !
— Envoie un message à
son mari ! Dis-lui que son portable à des soucis et qu'elle ne pourra plus s'en
servir.
Je suis alors saisie
de panique. Je ne suis désormais plus rien entre leurs mains. Personne ne
pourra venir m’arracher de leurs griffes. Ma vie est sur le point d’être
anéantie. Je pense à mon mari, mes enfants.
Je suis toujours mains
sur la tête. Léa vient, elle me retire mon alliance, mes boucles d'oreilles et
la chaîne que je porte autour du cou.
Je rentre encore un
peu plus dans la stupéfaction et le dépouillement de tout ce qui fait ma vie et
mon identité de femme.
Monsieur Moreau
s'approche alors de moi et prend mon visage dans sa main.
— Tu vois maintenant !
Tu m'appartiens ! Tu ne peux plus rien faire de toi même !!! Je vais faire de
toi mon esclave, ma chienne docile !
A ces mots je sens mes
jambes se dérober sous moi. La terreur déforme mon visage. Je suis perdue,
déchue. Je ne suis plus rien... je suis anéantie.
Léa sort alors une
jupe et un haut du sac qu'elle avait avec elle en arrivant.
— Voilà ta tenue sale
pute !
— Allez ! Habille-toi
! Salope ! Le séminaire va reprendre.
J'enfile la jupe en
jean courte et serrée qui couvre à peine mes fesses et le haut trop petit hyper
moulant dévoile mon gros ventre.
Je suis ridicule,
grotesque, écœurante. Je suis dépossédée de toute dignité.
— Léa, vous aviez
envie de quelque chose tout à l'heure, non ?Je la vois sourire
d'une manière sadique
— C'est notre grosse
pute qui va nous le rappeler ! dit-elle en s'approchant
Dans un état second, je
réussis à lui demander de me déchirer le cul comme elle en a envie, en
tremblant, effrayée.
Je vois Léa tout
sourire qui sort un gode ceinture du sac. Elle se met nue et je la vois toute
belle, sublime.
— Tu vois le corps
d'une jolie femme ! dit-elle, renforçant ainsi sa supériorité sur moi.
— Oui Madame ! dit je
de façon automatique.
Elle me montre un gode
qui sera fiché dans sa chatte et des poils qui viendront lui caresser le
clitoris.
— Mais tu vois ! Pour
que je me fasse du bien, il va falloir que tu aies tout cela dans ton gros cul
de putain.
Elle me montre un gode
noir, large et long. Sa taille est effrayante.
— Donc oui ! dit-elle.
Je vais te déchirer le cul pour me faire jouir !
Puis elle s'accroche
le gode autour de la taille et me demande de me mettre à quatre pattes sur le
lit. Dans cette position, la jupe remonte sur mes fesses.
— Relève ton haut ! Je
veux voir tes mamelles pendre.
Je le fais dans un
profond sentiment d’anéantissement de mon amour propre et pour achever de me
confronter à ma dégradation Monsieur Moreau prend quelques clichés.
— Léa ! Le séminaire
reprend dans vingt minutes.
Elle tire mes cheveux
en se positionnant derrière moi.
— Regarde ton maitre,
montre-lui ton visage pendant que je vais te déchirer le cul !... Ça me laisse
le temps de jouir et de lui déchirer le cul mais je n'ai pas le temps de le
préparer, dit-elle excitée.
Elle me tient par les
hanches à deux mains et positionne le gland sur ma rondelle. Elle va devoir
forcer pour me pénétrer. Je suis en panique mais je ne le montre pas par peur
de leur réaction.
— Vas-y ! Dépêche-toi
Léa ! Déchire-lui son cul ! De toute façon, il faut qu'elle s'y habitue
Aussitôt elle force
mon cul, je hurle de douleur. Cela l'excite encore plus.
Elle tire sur mes
hanches, elle pousse le gode qui viole mon cul serré. Elle ne cherche pas à
m'épargner. Elle veut enfoncer le gode entièrement dans mon cul pour que le
petit gode la pénètre et que les poils lui caressent le clitoris.
L'appareil photo
crépite pendant que je hurle de douleur, le cul entièrement rempli. J'entends
Léa commencer à gémir. Son ventre touche mes fesses, elle y est entièrement
enfoncée et commence des mouvements rotatifs pour se branler le clitoris puis
enchaine par de grands coups pour se défoncer la chatte. Elle pense à son
plaisir, ma déchéance, ma douleur l'excite. Elle me défonce violemment pour se
faire jouir tout en me claquant la croupe qui rougit. Elle râle et gémit de
plaisir puis accélère en me donnant de grands coups de rein. Elle reste plaquée
pour être remplie et pour jouir du clitoris aussi puis elle ressort.
— Tu l'as bien trouée
cette salope ! Elle a bien morflé ! Jubile Monsieur Moreau.
Hébétée, je les
entends dire que le séminaire reprend. Je me relève avec difficulté et réajuste
ma jupe trop courte. Ils sourient amusés de ma honte.
Je sors de la chambre
en ayant le cul complètement déchiré. Je ne pense qu'à lui lorsque je sens le
regard dédaigneux d'un couple de vieux que je croise dans le couloir. Moi, la
gentille et effacée mère de famille du début de séminaire je dois apparaitre
comme une grosse femme vulgaire. De plus je marche mal à cause de ce que je
viens de subir.
Je me sens encore plus
humiliée et honteuse en imaginant ce que les autres peuvent penser de moi en me
voyant ainsi vêtue. Les larmes aux yeux, l'anus endolori, je regagne ma place
au fond de la salle J'ai l'impression d'être le point de mire de toute le
monde. Je m'assieds à côté de ma collègue rousse.
— Pourquoi t'es-tu
changée ?
— J'ai eu un problème
avec mes vêtements ce midi.
Elle me sourit et
tente de me consoler quand je lui dis que ma chambre a été visitée et que je
n'ai plus rien sauf cette tenue
— Vas voir le
directeur, me conseille-t-elle gentiment sans pouvoir se douter de sa
monstrueuse perversité.
Oui je le ferai à la
pause. J‘ai envie de tout lui dire mais ma honte m’en empêche. Comment
pourrais-je me justifier de cette situation ? Je pense que c'est de ma faute.
C’est moi qui ai accepté, qui ai cherché même l’attention du directeur.
Ma jupe courte remonte
haut sur mes cuisses et je ne peux rien faire pour le cacher. Je n'arrive pas à
me concentrer sur la réunion et lorsque la pause arrive, je sors sous le regard
moqueur des autres. Je m'éloigne alors un peu du groupe pour rester seule quand
Léa en tailleur strict passe à côté de moi et me murmure.
— Alors pas trop mal
au cul, salope ?
— Un peu, Madame ! Lui
dis-je en baissant la tête.
—Monsieur le directeur
veut te voir. Il est de l'autre côté de la salle, ajoute-t-elle plus fort.
Ma voisine de place
qui a entendu me sourit comme pour me dire, ça va s'arranger ! Si elle savait !
— Merci ! Je vais le
voir.
Pour le rejoindre, je
suis obligée de traverser la foule des congressistes et je peux entendre des
murmures : vulgaire… salope… pute… grosse… la honte de notre métier…
Je reste de marbre et
je découvre Monsieur Moreau debout près d'un pilier. Il me demande de me mettre
derrière le pilier face à la salle, mains sur la tête, cuisses écartées.
— En position de
soumise ! ajoute-t-il.
Effrayée à l'idée que
quelqu'un s'éloigne d'un buffet pour une quelconque raison, je prends malgré
tout la pose exigée. Ma jupe serrée et trop courte remonte aussitôt dévoilant
ma toison et mes fesses. Derrière moi, Léa soulève mon haut pour offrir mes
seins à la vue de Monsieur Moreau qui avance sa main vers mon sexe ainsi offert
dans lequel il plonge deux doigts me faisant grimacer.
— Elle ne mouille pas
la salope !
— Pas grave !
L'important c'est qu'elle nous obéisse ! Regarde çà trainée ! me lance la jeune
femme sarcastiquement.
Le directeur me montre
alors son téléphone où je découvre des vidéos prises la veille dans sa suite.
On me voit demander d'être baisée, sur le dos en train de jouir. A quatre
pattes suppliant d'être enculée. Je reste sans voix n'ayant même pas réalisée
qu'il ne me caressait plus.
— Si tu t'avises de ne
pas nous obéir, ton mari, ta famille, tes clients recevront ces petits films.
Compris Salope ?
— Oui Monsieur ! J'ai
compris ! Répondis-je alors que derrière moi, j'entends les voix des femmes,
mes consœurs qui rigolent, boivent ignorant ce qui se passe à quelques mètres
d'elles.
Si elles savaient.
Choquée, hébétée par ce que je viens de voir, je n'ai pas bougé gardant mes
cuisses écartées.
Léa filme ma réponse
avec son portable et me demande.
— Vous savez à qui
vous appartenez ?
Humiliée, les larmes
aux yeux, je lui réponds : oui je sais à qui j'appartiens.
— Votre nom, votre
prénom et dites que vous appartenez à votre maitre.
— Je m'appelle
Bénédicte Duval, et j'appartiens à mon maitre.
— Qu'a-t-il le droit
de faire de vous et sur vous ?
— Il a le droit de
faire tout ce qu'il veut, finis-je de dire complétement abattue.
— Voilà une bonne
réponse !
Je le vois rigoler
vicieusement tandis que Léa inscrit sur mon ventre au marqueur noir
"SOUMISE".
Je me sens maintenant
définitivement perdue, anéantie. Je ne peux plus revenir en arrière. Je ne peux
pas leur échapper sous peine d’être dénoncée à mon mari et de subir son
opprobre.
J'espère être libérée
à la fin de ce séminaire si je suis obéissante.
Je ne me sens plus une
personne digne de ce nom. Je ne suis plus qu’un jouet offert à leur jouissance.
Je suis obligée d’obéir sans réfléchir pour ne pas devenir totalement folle.
Mon esprit est en flottement. Je leur laisse mon corps désormais conditionné
pour être en perpétuelle excitation sous la menace et la douleur.
Il sort alors de sa
poche un œuf vibrant qu'il enfonce dans ma chatte mouillée maintenant. Aussitôt
l'œuf est gobé par ma fente et je le vois presser le bouton d'une télécommande
ce qui déclenche les vibrations de l'objet qui est en moi.
— Tu vas aller en
réunion ainsi équipée... et je guiderai, ou bien Léa, l'œuf à distance bien sûr
!
Et pour me prouver ses
dires, il enclenche la vitesse supérieure. Je pousse un gémissement tandis que
Léa ne cesse de me prendre en photos se délectant avec son complice de ma
déchéance.
— Tu as déjà joui en
silence ? Tu sais que tu vas devoir te contrôler pendant ces deux heures qui
vont te paraitre interminables.
Non, je n'ai jamais
joui en silence. Je suis affolée en sentant de nouveau les vibrations en moi.
Je respire profondément avec l'envie irrépressible de serrer mes cuisses.
— La grosse vache va
avoir du mal à se retenir, dit Léa de manière humiliante.
— ...et pourtant il le
faudra bien, dit mon tourmenteur tout en baissant la vitesse au minimum.
— Elle sera prête à
tout pour jouir après ce petit entraînement, ajoute-t-il en prenant mes seins
dans ses mains et en les vrillant.
Alors que je lui
réponds "Oui Maitre", il arrête l'œuf ce qui me permet de reprendre
un peu contenance, il m'annonce la reprise du séminaire et me laisse en plan en
se fondant au milieu des gens. Je me réajuste comme je peux et me dirige vers
la salle. Alors que je suis au milieu des collègues, j'entends Léa me murmurer,
la prochaine réunion va être longue avec ça dans la chatte. Je ne peux ignorer
l'œuf en moi surtout quand je ressens à nouveau les vibrations.
Tentant de masquer mon
trouble le plus possible, je reprends ma place.
Quelques minutes plus
tard, je l'aperçois venir s'installer au bout de la rangée où je suis assise.
Elle me fixe en jouant avec la télécommande. Régulièrement, les vibrations
montent et descendent. Elle me regarde, ajustant la vitesse à mes réactions. Je
me pince les lèvres pour me retenir de gémir en serrant mes cuisses. Je dois
devenir rouge car ma voisine me demande si tout bien.
— Oui ! Oui ! J'ai
juste quelques bouffées de chaleur.
Je tourne la tête vers
Léa et je réussis à lire sur ses lèvres : "Je te fais jouir quand je veux.
Salope !"
Pendant les deux
heures que dure le séminaire, elle joue avec la télécommande m'amenant
régulièrement à la limite de la jouissance me forçant à me maitriser. Lorsque
la réunion se termine, quand je sors de la salle, elle me glisse un papier dans
la main.
"Monte dans ta chambre et suis les instructions.".
Je me retourne mais
elle a disparue. Je me dirige vers ma chambre comme un zombie appréciant le
fait de ne plus sentir l'œuf vibrer. Je suis complètement liquéfiée comme une
chienne en chaleur.
Je découvre un carton
sur mon lit.
"Laisse ta porte de chambre entrouverte,
déshabille-toi, mets-toi à quatre pattes sur ton lit et couvre tes yeux avec le
cache."
Sachant que je ne peux
pas me permettre de désobéir, je m'installe sur le lit, les yeux recouverts par
ce masque. Le temps me semble long mais j'entends la porte s'ouvrir et des pas.
Puis des mains qui me frôlent, me caressent, flattent ma croupe, soupèsent mes
seins qui pendent lourdement sous moi. Mon cul est peloté puis les mains
écartent mes lèvres intimes et je les sens retirer l'œuf. Je pousse un soupir
de soulagement et de frustration mêlée. Je suis un peu affolée car même si je
pense qu'il s'agit de Monsieur Moreau, rien n'est moins sûr.
Un doigt, puis un
autre violent mon intimité suivi par la caresse d'un sexe sur ma peau. Les
doigts se retirent et prise en étau aux hanches par des mains puissantes je
sens la queue entrer en moi. L'inconnu me pilonne la chatte violement me
faisant gémir. Je suis tellement excitée après ce que l'œuf m'a fait endurer
que je ne me retiens plus. Je jouis intensément.
Je m’entends dire.
— Oh oui !!!
Baisez-moi ! Prenez-moi comme une grosse chienne ! Baisez-moi à fond ! Encore !
Le conditionnement opère. La brutalité m’excite. J’ai besoin d’être soulagée.
Je sens l'homme se
vider en moi sans préservatifs. Je n'ai pas le choix de toute façon. Il finit
de gicler au fond de moi en se collant à mes fesses et tout aussi
silencieusement qu'il est arrivé, il repart. La voix du Maître se fait
entendre.
— Ote le bandeau et va
te laver !
Je prends quelques
secondes pour me remettre et me dirige vers la salle de bain en sentant ce
sperme anonyme couler entre mes cuisses. Je vois plusieurs caméras dans la
chambre ainsi que la salle d'eau où je prends ma douche et dans les toilettes.
Je n'ai plus aucune intimité. Je n’ai plus aucune dignité.
— Nettoie bien ta
chatte ! Elle va encore servir ! me dit la voix.
Humiliée, je me lave
consciencieusement avec une poire pour bien éliminer toute trace de semence.
Lorsque je ressors nue
de la douche, la voix se fait à nouveau entendre.
— Reprends la pose sur
le lit avec le bandeau.
Docilement, je me
réinstalle sur le lit. Les minutes passent, pas un bruit pas un mouvement.
— Comment est ta
chatte ?
— Elle est trempée,
prête à recevoir une bite, répondis-je.
Je réalise alors que
c'est moi qui viens de répondre. Dans un sursaut de conscience je me demande :
"Que m'arrive-t-il ? Comment en suis-je arrivée là ? Pourquoi ne suis-je
pas en train de fuir cette chambre et d'aller tout raconter à la police ?"
— C'est bien ! Retire
le bandeau, lève-toi et va prendre dans l'armoire ta tenue pour la soirée.
Comme un automate,
j'ouvre l'armoire et découvre la robe qui m'attend. Avec horreur, je réalise
que si je la porte sans sous-vêtements ma poitrine ne sera pas cachée du fait
d'une fine dentelle noire et que le bas de la robe est fendue tellement haut
devant, derrière et sur les côtés que je vais exhiber mes cuisses, mes fesses
et mon sexe à la vue de tous. J'enfile la robe et les mules à talons
vertigineux qui sont posées dans le bas de l'armoire. La robe me boudine et
comme je le pressentais, elle ne cache pas grand-chose.
— Marche de long en
large devant le miroir !
Je m'exécute et
l'effet est encore plus terrible que je ne l'imaginais. Si je ne reste pas
immobile et droite, mes fesses ou mon sexe apparaît entre les pans de tissu. De
plus dans le dos, le dos-nu descend jusqu'à ma raie des fesses comme dans ce
film des années 1970 avec Mireille Darc et Pierre Richard.
— Ecarte bien tes
cuisses et montre ta chatte luisante face à la caméra !
Je m'exhibe encore
devant l'objectif, honteuse et excitée. "Comment arrive-t-il à me rendre
dans cet état ?”
— Très bien !
Maintenant direction la salle de réception, tu as trois minutes pour y arriver.
Dans le couloir qui me
mène à l'ascenseur, je croise un couple de personnes âgées, ils ne peuvent pas
rater la pilosité de mon pubis et ils me jettent un regard méprisant. En voyant
leur réaction, je me doute que je ne vais pas passer inaperçue dans la salle
Toutes mes collègues me verront ainsi, tous les participants, comment vais-je
pouvoir justifier cette tenue ? Malgré ma honte et ma peur je ne peux pas
reculer.
En me voyant arriver,
ma voisine de salle pendant le séminaire me regarde avec les yeux écarquillés.
— C'est la robe que le
directeur m'a trouvée pour le cocktail... Avec ma taille il n'y avait pas
beaucoup de choix... Lui dis-je en tremblant. A moitié convaincue par mon
explication, elle s'éloigne de moi pour se diriger vers le buffet.
Je vois alors Monsieur
Moreau s'approcher de moi.
— Interdiction de
boire de l'alcool. Tu dois supporter cette humiliation publique sans t'enivrer.
Je hoche la tête sans
rien dire, entendant autour de moi les quolibets et autres moqueries des
personnes présentes. Je bois seule dans mon coin quand Léa arrive derrière moi
et me dit d'une voix assez forte : "Alors ça fait quel effet de se faire
sauter par un inconnu comme une SALOPE ?", en insistant bien sur le
dernier mot.
Je sais ce que je dois
répondre. Je baisse la tête et murmure :
— ca fait du bien
!"
— J'ai pas entendu !
Et elle répète. Qu'as-tu ressenti à te faire sauter comme une salope ?
Je vois quelques
regards se tourner vers nous.
— Ça fait du bien,
J'ai aimé me faire sauter comme une salope.
Elle me regarde
souriante, fière de ma soumission, puis elle fait tomber une serviette à ses
pieds.
— Ramasse ! M'ordonne-t-elle.
Et ne plie pas les genoux !
Je me penche pour la
ramasser ce qui a bien évidement pour effet de faire s'écarte les pans de la
robe et de dévoiler mes grosses fesses nues à tout le monde. Aussitôt, j'entends
derrière moi : "Quel gros cul ! C'est indécent !"
Je me relève au bord
des larmes en tendant la serviette à Léa qui la prend et en me fixant, elle la
jette à la poubelle puis s'en va l'air triomphant.
Je reste immobile
toujours sous les regards... Qui finissent par passer à autre chose mais j'ai
hâte de pouvoir retourner à ma chambre.
Monsieur Moreau me
regarde de loin en parlant avec des gens. Il doit voir ma gêne et le dédain des
autres envers moi. Il s'approche enfin, me fixe. Mon humiliation semble le
ravir.
La nuit n'est pas fini
Bénédicte ! Avance vers le pilier au fond de de la salle, je t'y rejoins !
Je sais qu'il me suit
du regard alors que je traverse la foule, dévoilant ma croupe à ceux qui sont
dans mon dos et ma chatte à ceux vers qui j'avance. "Salope ! Grosse Pute
! Chienne !" sont des mots qui me parviennent tandis que je marche.
J'arrive enfin derrière ce pilier cachée des regards.
Il me rejoint et me
conduit dans les cuisines vides.
— En position de
soumise !
Aussitôt je prends la
pose, debout cuisses écartées, main derrière la tête, ce qui dévoile mon
intimité à ses regards. Il prend son temps pour passer de mon visage, à ma
poitrine puis à ma chatte. Sans un mot, il frappe dans ses mains et aussitôt
une quinzaine d'hommes m'entourent. Il s'agit du personnel de cuisine et de son
chef. Ils font face à leur directeur mais ils ne se gênent pas non plus pour
reluquer mes formes.
— Je vous présente ma
nouvelle pute. Je vous avais dit que vous auriez une récompense ! La voilà !
Cette pute doit apprendre à se servir de sa bouche, donc elle vous fera TOUS
jouir dans sa bouche.
Je les entends exulter
de joie, certains commencent même à bander dans leur pantalon.
— Ote ta robe... Je
pense que nos amis ont envie de voir ton corps de grosse vache ! A genoux
salope ! Mains sur la tête et tu devras faire jouir ces messieurs juste avec ta
bouche !
— Prépare-toi Robert !
C'est toi qui va avoir l'honneur de commencer puisque tu es le chef !
Je me déshabille
mécaniquement et m'agenouille les mains sur la tête. "Putain quelles
mamelles elle a cette salope ! Dommage qu'on ait droit qu'à sa bouche, je
l'aurais bien enculée cette pute."
Penché sur moi, Monsieur
Moreau me murmure, j'exige que ces messieurs soient satisfaits, sinon j'envoie
tes petits films à ta famille...
Ne soutenant pas cette
menace, je commence à sucer le chef. Il n'a pas baisé depuis un moment et il
gicle rapidement dans ma bouche. Le deuxième, plus jeune bande déjà et prend sa
place aussitôt que son chef à libérer mes lèvres.
— Tu as déjà vu des
films pornos ? lui dit-il ? Alors vas-y baise lui la bouche comme tu le vois
dans les films. Elle est faite pour ça ! La salope ! Jouissez lui tous dans la
bouche à cette pute, c'est son repas de ce soir.
Les autres sortent
leur bite de leur pantalon et commencent à se branler devant le spectacle que
je leur offre. Je vois toutes ces queues tendues et sorties devant moi. Je sais
que je devrais tous les sucer pour les faire jouir. Le jeune me pilonne la
bouche sans ménagement puis il gicle plaqué contre mon visage. Il se déverse au
fonde de ma gorge, aussitôt remplacé par un troisième.
Il m'attrape par les
cheveux et force ma gorge, je manque de vomir, je bave... Ça les excite. Je
gémis, je pleure, les sexes forcent ma gorge une par une.
— Putain ! On peut
presque lui faire des gorges profondes à cette truie ! s'exclame un jeune. Elle
va morfler, répond un autre.
Celui qui baise ma
bouche tire mes cheveux et me donne de grand coups de bite puis il s'enfonce
entièrement dans ma gorge, il m'empêche de respirer.
— Regarde-moi ! Salope
!
Il me voit suffoquer,
il éclate de rire et il se retire pour me laisser respirer. Puis il me baise à
nouveau la bouche. Il finir par jouir dans ma gorge et un autre lui succède. A
la moitié, je suis dégoûtée, le visage et les seins couverts de bave et de
sperme. Je les entends faire des paris pour savoir lequel va réussir à me faire
vomir.
Un plus vieux ne me
baise pas comme les jeunes. Il dit aux autres : "Moi je veux la faire
durer cette pipe ! La salope va me faire jouir avec sa langue !" Il place
son membre devant ma bouche pour me forcer à le lécher avec ma langue. Les
autres ricanent en me voyant lui sucer le bout.
Il me demande de jouer
avec son gland, cela dure. J'en ai même mal à la langue. Il gicle enfin sur mon
visage. Tous les jeunes ont sorti leur portable pour prendre des photos ou me
filmer pendant que les autres profitent de moi. Après que le vieux ait
recouvert mon visage de son foutre, Monsieur Moreau me tire les cheveux et les
invite tous à me prendre en photo en gros plan. Je suis complètement piégée, je
suis certaine que la photo va être diffusée. Entre mes collègues qui m'ont vue
presque nue et mon mari qui va découvrir ces photos, je ne sais ce que je vais
devenir.
Le pari entre
recommence. Il ne reste plus que les trois plus grosses bites.
— Allez-y les mecs !
Faites-la vomir en lui baisant la bouche. J'offre son cul à celui qui y
parvient !
Aussitôt, Le premier
me force la bouche sans retenue mais trop excité, il gicle trop tôt. Je tente
de reprendre mon souffle quand le suivant me prend sans attendre. Et à ce
moment, je ne peux plus me retenir et je vomis. Pendant que je suçais le
précédent, je sentais les doigts du directeur entre mes cuisses, il tâte ma
fente pour juger de son état d'excitation. Je relève la tête et je découvre
celui qui va m'enculer.
A quatre pattes sur le
plan de travail !
Complètement perdu, je
prends la pose demandée, nue, offerte les mamelles pendantes sous moi. L'homme
vient se mettre derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches tandis que le
dernier demande à être sucer aussi.
— Vous allez embrocher
cette grosse vache par les deux côtés. Vas-y ! Enfonce-toi dans sa bouche et
tiens la bien pendant que ton pote va l'enculer !
Les autres regardent
et les encouragent.
— Allez-y ! Défoncez-la
cette pute ! Baisez-la !
Aussitôt ils s'y
collent, la queue dans ma bouche m'empêche de crier quand celui qui est
derrière moi m'encule rudement. Ils s'excitent mutuellement pour savoir celui
qui va tenir le plus longtemps. Au final, celui qui est dans mon cul jouit le
premier en grognant.
Il gicle au fond de
mon cul en restant planté contre mes grosses fesses. Puis il sort et il invite
les autres à voir son sperme sortir de mon cul.
— Regardez tout ce que
je lui ai mis à cette truie !
Je ne les vois pas
mais je sais que les autres regardent mon trou dilaté et dégoulinant. J'entends
les crépitements des téléphones. Je suis complètement choquée. Je suis en train
de craquer psychologiquement. Je suis sur le point d'être brisée totalement.
Le dernier finit par
jouir dans ma bouche triomphalement. Je reste inerte sur la table.
"Comment vais-je pouvoir retrouver une vie normale après cela ?"
Monsieur Moreau me
regarde nue sur la table, couverte de sperme, de bave, de vomi. Il me tire par
les cheveux pour me forcer à relever la tête.
— Regarde ces
messieurs et dis-leur le numéro de ta chambre !
— C'est la chambre
432, dis-je, blême affolée car je sais que ma chambre ne ferme plus à clé.
Les mecs se regardent,
ne sachant que penser. Le directeur m'aide à me lever, mon gros ventre et mes
mamelles pendouillent lamentablement devant eux. Souillée par les hommes, je me
baisse pour ramasser la robe mais il me dit de la laisser en cadeau aux
cuistots. Le cocktail est fini. Il n'y a plus personne. Je sors nue pour rejoindre
ma chambre en passant par les escaliers de services quand j'entends : "La
chambre n'est pas fermée à clé." Ces mots achèvent de me déstabiliser,
c'est en larmes comme un automate que je monte.
Jamais, je ne me suis
sentie autant utilisée, je suis en train de devenir un objet sexuel. Je remonte
les quatre étages dans un état de semi conscience. Heureusement que ma chambre
se trouve à côté de l'escalier de service, je peux y entrer sans avoir à
traverser le couloir nue et souillée.
Je vais pouvoir me
reposer et reprendre mes esprits.