J'ouvre la porte de la
chambre pensant être enfin tranquille. Mais je sais que n'importe qui peut y
entrer puisqu'elle ne se verrouille plus. Je découvre Léa qui m'attend tout
sourire, une cravache à la main. Elle s'approche de moi et me regarde nue, avec
mes mamelles qui pendent et mon visage couvert de sperme et de bave, les yeux complètement
embués de larmes.
— Alors salope ! Je
vois que tu es dans un drôle d'état ! dit-elle avec un sourire ironique au bord
des lèvres. Mets-toi en position de soumise et raconte-moi ce qui t'es arrivée
!
Prenant la pose, je
lui décris la séance dans les cuisines et elle insiste pour que je donne des
détails sur la manière dont j'ai sucé, combien de temps, le goût de leur jus.
Je le lui dis, n'ayant qu'une seule envie, dormir et oublier cette journée de
dingue.
Elle écoute sans plus
de mots que ses questions puis elle avance sa main sur mon sexe. Elle y enfonce
un doigt et me fouille en me fixant. Elle est ravie de me voir trempée après ce
traitement.
— Tu es une grosse
truie en chaleur pour mouiller en étant traitée ainsi, n'est-ce pas ?
— Oui Léa je suis une
grosse truie en chaleur.
Je ne comprends
toujours pas ce qui m’arrive. Pourquoi cette excitation alors que je suis
torturée !
Elle me fait gémir de
plaisir en s'amusant à faire des va-et-vient avec ses doigts puis elle les ôte
avant de me faire jouir.
— Apres avoir gouté au
sperme des cuistots, goûtes à ta mouille de salope !
Elle me présente ses
doigts devant la bouche. Je les lèche gouttant ma mouille, humiliée et surtout
frustrée de ne pas avoir joui.
— Je vois que ma
grosse salope a envie de jouir, mais ton plaisir ne t'appartient plus sale pute
!
Ton corps de grosse
chienne nous appartient maintenant. Elle me montre elle aussi les caméras
installées dans la chambre.
— Tu vois on te
surveille tout le temps, tu ne peux rien faire sans qu'on te voit. Maintenant
va te laver grosse vache ! Tu dois être propre pour la suite !
Je me rends dans la
salle de bain pour prendre une douche. J'espère y trouver un peu d'intimité
mais Léa m'y suit et je sais qu'il n'y a pas de paroi pour me cacher. Elle me
montre alors les objectifs braqués vers la douche et la cuvette des toilettes.
— Lave-toi salope !
Elle reste appuyée
contre le montant de la porte.
Trop choquée et
hébétée pour protester, je commence à faire couler sur mes cheveux et ma peau
pour bien retirer toutes les traces sur moi.
Je la vois me regarder
pendant que je passe mes mains sur ma chatte et entre mes fesses pour bien
nettoyer mon intimité. Je ne peux m'empêcher de regarder cette caméra.
"Qui me voit derrière un écran ?" Mais je suis trop épuisée pour
chercher la réponse. Je m'essuie sous ses yeux. Elle m'ordonne d'aller pisser
en ajoutant que je dois avoir la chatte propre et vide.
— -Oui Léa ! Dis-je en
m'asseyant sur la cuvette, me doutant bien que la caméra filme ma chatte
poilue, tandis que Léa me demande d'écarter les cuisses davantage pour que l'on
me voit bien pisser et m'essuyer.
— Tu ne vois AUCUNE
intimité pour la grosse vache !
Je baisse la tête
silencieuse, incapable de répondre à ses humiliations successives.
— Va te coucher sur le
lit ! Finit-elle par dire.
Je ne m'oppose plus et
je ne cherche même plus à imaginer ce qui va suivre. Elle s'approche. Me
dominant de toute sa hauteur, elle attrape un de mes poignets et l'attache au
montant du lit derrière moi puis elle fait la même chose à l'autre. Je suis
attachée, nue, sans défense.
Elle attrape mes
chevilles et monte sur le lit en me maintenant les cuisses écartées, comme le
ferait un homme pour me baiser.
— C'est bon ! Ils
pourront te baiser par le trou qu'ils veulent ainsi ! Et tu ne pourras que les
regarder te sauter.
Je ne fais que hocher
la tête, docile, soumise.
— Et ils te sauteront
sans capote ! Ajoute-t-elle vicieusement.
Je la regarde
retrousser sa jupe, retirer son string et monter sur le lit.
— Tu m'excites salope
! Elle s'accroupit au-dessus de moi, un genou de part et d'autre de mon visage,
puis elle baisse ses hanches pour y coller sa chatte.
— Lèche-moi salope !
Elle me tient avec les
mains fermement en faisant des mouvements de va et vient pour bien étaler sa
mouille.
— Tu vas devenir une
bonne lécheuse de chatte comme ta copine Barbara avec qui j'ai passé la
soirée...
Disant cela, elle se
relève et change de position s'accroupissant à nouveau sur mon visage, mais
cette fois-ci, je découvre son petit trou au-dessus de moi.
— Ta copine Barbara
lèche mieux que toi ! Tu vas devoir t'entraîner, mais pour le moment enfonces
ta langue dans mon cul, sale pute !!!
C'est la deuxième fois
qu'elle la mentionne ce qui me surprend car elle m'avait dit qu'elle ne
pourrait pas se libérer pour ce congrès. Malgré mes efforts pour la satisfaire,
je ne peux pas me résoudre à enfoncer ma langue. Je sens alors une douleur
atroce dans ma poitrine. Elle vient d'y enfoncer ses ongles. Je la rentre alors
dégoutée. Je lèche alors en fonction de la manière dont ses doigts jouent avec
mes seins. Elle les utilise comme une télécommande.
— Allez ! Enfonce ta
langue dans mon cul, sale pute ! Tu es là pour ça !
Elle est excitée, je
la sens mouiller sur mon menton. Puis elle se penche, m'écarte les lèvres, et
elle frappe mon clitoris en jouissant.
Elle prend quelques
secondes pour récupérer puis elle se lève et me regarde, mon visage souillé par
sa mouille.
— Tu lèches bien !
Mais tu devras encore lécher des chattes pour être aussi bonne que ta copine.
— Oui Léa ! Dis-je. Je
ferai tout ce que vous voudrez...
— Tu n'as pas le choix
de toute façon ! Elle éclate de rire en rajustant sa robe. Maintenant ! Je vais
te laisser la nuit ainsi attachée… Et tu vas pouvoir jouir en te faisant baiser
comme une chienne. Tu en as envie n'est-ce pas ?
— Oui ! J'ai envie de
jouir.
— Je vais quand même
laisser une boite de capote à côté du lit au cas où un des mecs aurait des
scrupules. Mais ne te fais pas trop d'illusions.
Elle allume la lampe
de chevet et me laisse ainsi nue et immobilisée. Au moment de franchir la
porte, elle se ravise et elle revient vers moi. Elle sort un marqueur de sa
petite sacoche et écris quelque chose sur mon ventre. Elle place un miroir ce
qui me permet de découvrir l'inscription "PUTE A BAISER".
Je me retrouve seule,
dans cette chambre silencieuse, sombre mais dont la porte est entrouverte. Je
me rappelle ce qui s'est passé dans les cuisines, il n'y a pas si longtemps que
cela. Je me demande ce que Barbara va penser de moi, mais après les caresses de
Léa, je suis si excitée que je ferai n'importe quoi pour me soulager. Je perds
la notion du temps, solitaire, le sommeil commence à me gagner malgré le fait
de savoir que je suis offerte à celui ou ceux qui entreront et voudront me
sauter.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire