jeudi 29 octobre 2020

Le Congrès ou... : Préparation (La Confrérie d'Artémis)

  

J'ouvre la porte de la chambre pensant être enfin tranquille. Mais je sais que n'importe qui peut y entrer puisqu'elle ne se verrouille plus. Je découvre Léa qui m'attend tout sourire, une cravache à la main. Elle s'approche de moi et me regarde nue, avec mes mamelles qui pendent et mon visage couvert de sperme et de bave, les yeux complètement embués de larmes.

— Alors salope ! Je vois que tu es dans un drôle d'état ! dit-elle avec un sourire ironique au bord des lèvres. Mets-toi en position de soumise et raconte-moi ce qui t'es arrivée !

Prenant la pose, je lui décris la séance dans les cuisines et elle insiste pour que je donne des détails sur la manière dont j'ai sucé, combien de temps, le goût de leur jus. Je le lui dis, n'ayant qu'une seule envie, dormir et oublier cette journée de dingue.

Elle écoute sans plus de mots que ses questions puis elle avance sa main sur mon sexe. Elle y enfonce un doigt et me fouille en me fixant. Elle est ravie de me voir trempée après ce traitement.

— Tu es une grosse truie en chaleur pour mouiller en étant traitée ainsi, n'est-ce pas ?

— Oui Léa je suis une grosse truie en chaleur.

Je ne comprends toujours pas ce qui m’arrive. Pourquoi cette excitation alors que je suis torturée !

Elle me fait gémir de plaisir en s'amusant à faire des va-et-vient avec ses doigts puis elle les ôte avant de me faire jouir.

— Apres avoir gouté au sperme des cuistots, goûtes à ta mouille de salope !

Elle me présente ses doigts devant la bouche. Je les lèche gouttant ma mouille, humiliée et surtout frustrée de ne pas avoir joui.

— Je vois que ma grosse salope a envie de jouir, mais ton plaisir ne t'appartient plus sale pute !

Ton corps de grosse chienne nous appartient maintenant. Elle me montre elle aussi les caméras installées dans la chambre.

— Tu vois on te surveille tout le temps, tu ne peux rien faire sans qu'on te voit. Maintenant va te laver grosse vache ! Tu dois être propre pour la suite !

Je me rends dans la salle de bain pour prendre une douche. J'espère y trouver un peu d'intimité mais Léa m'y suit et je sais qu'il n'y a pas de paroi pour me cacher. Elle me montre alors les objectifs braqués vers la douche et la cuvette des toilettes.

— Lave-toi salope !

Elle reste appuyée contre le montant de la porte.

Trop choquée et hébétée pour protester, je commence à faire couler sur mes cheveux et ma peau pour bien retirer toutes les traces sur moi.

Je la vois me regarder pendant que je passe mes mains sur ma chatte et entre mes fesses pour bien nettoyer mon intimité. Je ne peux m'empêcher de regarder cette caméra. "Qui me voit derrière un écran ?" Mais je suis trop épuisée pour chercher la réponse. Je m'essuie sous ses yeux. Elle m'ordonne d'aller pisser en ajoutant que je dois avoir la chatte propre et vide.

— -Oui Léa ! Dis-je en m'asseyant sur la cuvette, me doutant bien que la caméra filme ma chatte poilue, tandis que Léa me demande d'écarter les cuisses davantage pour que l'on me voit bien pisser et m'essuyer.

— Tu ne vois AUCUNE intimité pour la grosse vache !

Je baisse la tête silencieuse, incapable de répondre à ses humiliations successives.

— Va te coucher sur le lit ! Finit-elle par dire.

Je ne m'oppose plus et je ne cherche même plus à imaginer ce qui va suivre. Elle s'approche. Me dominant de toute sa hauteur, elle attrape un de mes poignets et l'attache au montant du lit derrière moi puis elle fait la même chose à l'autre. Je suis attachée, nue, sans défense.

Elle attrape mes chevilles et monte sur le lit en me maintenant les cuisses écartées, comme le ferait un homme pour me baiser.

— C'est bon ! Ils pourront te baiser par le trou qu'ils veulent ainsi ! Et tu ne pourras que les regarder te sauter.

Je ne fais que hocher la tête, docile, soumise.

— Et ils te sauteront sans capote ! Ajoute-t-elle vicieusement.

Je la regarde retrousser sa jupe, retirer son string et monter sur le lit.

— Tu m'excites salope ! Elle s'accroupit au-dessus de moi, un genou de part et d'autre de mon visage, puis elle baisse ses hanches pour y coller sa chatte.

— Lèche-moi salope !

Elle me tient avec les mains fermement en faisant des mouvements de va et vient pour bien étaler sa mouille.

— Tu vas devenir une bonne lécheuse de chatte comme ta copine Barbara avec qui j'ai passé la soirée...

Disant cela, elle se relève et change de position s'accroupissant à nouveau sur mon visage, mais cette fois-ci, je découvre son petit trou au-dessus de moi.

— Ta copine Barbara lèche mieux que toi ! Tu vas devoir t'entraîner, mais pour le moment enfonces ta langue dans mon cul, sale pute !!!

C'est la deuxième fois qu'elle la mentionne ce qui me surprend car elle m'avait dit qu'elle ne pourrait pas se libérer pour ce congrès. Malgré mes efforts pour la satisfaire, je ne peux pas me résoudre à enfoncer ma langue. Je sens alors une douleur atroce dans ma poitrine. Elle vient d'y enfoncer ses ongles. Je la rentre alors dégoutée. Je lèche alors en fonction de la manière dont ses doigts jouent avec mes seins. Elle les utilise comme une télécommande.

— Allez ! Enfonce ta langue dans mon cul, sale pute ! Tu es là pour ça !

Elle est excitée, je la sens mouiller sur mon menton. Puis elle se penche, m'écarte les lèvres, et elle frappe mon clitoris en jouissant.

Elle prend quelques secondes pour récupérer puis elle se lève et me regarde, mon visage souillé par sa mouille.

— Tu lèches bien ! Mais tu devras encore lécher des chattes pour être aussi bonne que ta copine.

— Oui Léa ! Dis-je. Je ferai tout ce que vous voudrez...

— Tu n'as pas le choix de toute façon ! Elle éclate de rire en rajustant sa robe. Maintenant ! Je vais te laisser la nuit ainsi attachée… Et tu vas pouvoir jouir en te faisant baiser comme une chienne. Tu en as envie n'est-ce pas ?

— Oui ! J'ai envie de jouir.

— Je vais quand même laisser une boite de capote à côté du lit au cas où un des mecs aurait des scrupules. Mais ne te fais pas trop d'illusions.

Elle allume la lampe de chevet et me laisse ainsi nue et immobilisée. Au moment de franchir la porte, elle se ravise et elle revient vers moi. Elle sort un marqueur de sa petite sacoche et écris quelque chose sur mon ventre. Elle place un miroir ce qui me permet de découvrir l'inscription "PUTE A BAISER".

Je me retrouve seule, dans cette chambre silencieuse, sombre mais dont la porte est entrouverte. Je me rappelle ce qui s'est passé dans les cuisines, il n'y a pas si longtemps que cela. Je me demande ce que Barbara va penser de moi, mais après les caresses de Léa, je suis si excitée que je ferai n'importe quoi pour me soulager. Je perds la notion du temps, solitaire, le sommeil commence à me gagner malgré le fait de savoir que je suis offerte à celui ou ceux qui entreront et voudront me sauter.

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