vendredi 9 octobre 2020

Le Congrès ou ... : Déchéance ( La Confrérie d'Artémis)

 

Au petit matin lorsque la sonnerie du réveil retentit, j'émerge doucement du sommeil. Mon corps me rappelle la soirée passée. Je me lève et me rends dans la salle de bain pour prendre une douche rapide avant de me préparer pour le petit-déjeuner. Je sors nue dans la chambre et je choisis un jean et une tunique que j'enfile sur un string et un soutien-gorge de dentelle rouge.

Je ne sais pas comment je vais réagir devant Monsieur Moreau mais ce dont je suis sûre c’est que j’espère lui plaire encore.

Je finis de me préparer en me maquillant légèrement, un léger rose à lèvres et un peu de mascara.

Lorsque j'arrive dans la salle du restaurant, je cherche Monsieur Moreau du regard. Il ne se manifeste pas. Je suis un peu déçue mais je me dis qu'avec sa fonction, il doit être occupé à d'autres taches.

En attendant le début des conférences, j'erre dans le hall saluant rapidement quelques collègues mais l'amie avec qui je participe à ce genre d'évènement n'a pas pu venir cette année. Elle est en plein divorce et voulait se consacrer à préparer son dossier.

J'écoute d'une oreille distraite les orateurs, mon esprit tourné vers le directeur, je serre mes cuisses en y repensant. Le souvenir de cette nuit m’obsède et m’excite malgré moi. Tout mon corps est sensible et frissonnant. C'est avec l'espoir de le croiser que je sors de l'amphithéâtre au moment de la pause-café.

Alors que je suis en train d'attendre pour avoir mon café, je le vois s'approcher de nous. Je lui souris dans l’espoir de capter son attention et aussi pour lui indiquer que je suis heureuse de le retrouver malgré la brutalité dont il a fait preuve à mon égard. Il me regarde furtivement mais s'arrête pour saluer beaucoup de monde et cette fois-ci, il ne néglige pas les femmes. J’en suis jalouse. Je cherche son regard mais il m'ignore. Je bouillonne de rage et de déception. "Il s'est juste servi de moi pour soulager une envie bestiale." Me dis-je. Je m'isole un peu pour calmer ma frustration.

Alors que la pause est sur le point de se terminer, je le vois enfin s'approcher et venir me saluer. Ses yeux me transpercent, il n'a pas besoin de deviner comment je suis, il me connaît déjà parfaitement. Il sait du moins l’essentiel pour le moment, c’est à dire que je suis prête à m’offrir de nouveau à lui, que je suis dans l’attente de jouir comme j’ai joui cette nuit, prête à tout accepter pour cette jouissance-là. D'un regard, il m'intime l'ordre de le suivre dans une pièce voisine. Je n'hésite pas et dès que la porte est fermée, il me demande :

— Te souviens-tu de ce que tu m'as demandé hier soir ?

Le cerveau embrumé et essayant de me souvenir de ce que j'ai pu demander, je mets du temps à répondre.

— Tu m'as demandé de t'apprendre à sucer, alors je vais commencer !

— Oui ! C'est vrai !

Je n'ose pas lui dire que j'avais oublié car ce n’est pas le moment que j’avais préféré. Il m'appuie alors sur la tête pour que je m'agenouille devant lui.

— Suce-moi ! Salope ! dit-il en ouvrant son pantalon

Je suis honteuse de m’entendre traitée de salope, mais en même temps il a raison, je suis avide de sexe, j’en veux, j’en réclame. C’est moi qui le cherchais ce matin, qui l’espérais. J’aurais pu partir, trouver un prétexte pour quitter le congrès et fuir cet homme qui m’a humiliée et brutalisée. Mais au lieu de cela je suis restée, impatiente de le retrouver.

J’accepte donc d’être traitée de cette façon si humiliante.

Je prends alors le sexe qui apparaît devant mon visage entre mes lèvres. Tandis que je commence à sucer, j'entends les autres congressistes parler bruyamment de l'autre côté de la porte. Le décalage entre ce qui se passe à côté et ce que je suis en train de vivre me paraît irréel. Tout est allé si vite. Hier matin j’étais une femme, ce matin je suis une salope en train de sucer un homme que je connais à peine. Les autres ne savent pas ce qui se passe. Moi-même je peine à le réaliser.

A ce moment-là Je n’ai déjà plus la force ni l’envie de m’opposer à sa volonté. Il pose alors ses mains sur ma tête et pousse pour que ma bouche prenne son sexe entièrement. Je hoquette lorsque mon nez est plaqué contre son ventre. Il me maintient fermement et je ne peux pas reculer. Je m'étouffe, j'ai envie de vomir. Il relâche la pression et sort de ma bouche ce qui me permet de respirer un peu. Un filet de bave relie mes lèvres à son gland.

— Voilà comment tu dois sucer ! Compris salope ?

Et il me plaque de nouveau le visage, son sexe au fond de ma gorge. Je hoche la tête comme je peux, avec des hoquets.

Puis, il se retire et cette fois il me baise la bouche par de grands coups de reins. Il tient ma tête dans ses deux mains et me bourre la bouche comme si c'était une chatte. Je ne peux que subir.

Je sens sa bite qui vibre et je comprends qu'il est très excité. Je bave sur mon haut. Il accélère et jouis dans ma bouche. Mais il ne s'enfonce pas entièrement, de sorte que son sperme gicle dans ma bouche et non directement dans mon gosier. Je ne peux pas reculer, il m'en empêche. Il me fixe tout en jouissant.

— Avale tout !

Je déglutis du mieux possible mais il y a un mélange de bave et de sperme qui coule sur mon menton et sur mon haut. Monsieur Moreau me laisse là à genoux, hébétée. Je le vois sortir de la pièce sans me regarder.

Je suis choquée par que je viens de subir alors que j'entends le rappel pour que nous retournions dans la salle.

Cette fois je n’ai eu aucun plaisir et aucune considération, aucune compensation à l’abus qu’il m’a infligé.

Je me sens violée, dépitée et frustrée en même temps.

Je m'essuie le visage comme je peux avec mes doigts et c'est dans un état second que je sors de la pièce voulant me rendre aux toilettes. Je croise alors le regard de trois femmes qui me regardent hautainement, méprisantes comme si elles savaient ce que je viens de faire. Je les ignore et me réinstalle à ma place dans la salle de conférence.

Maintenant que je me suis remise de ce qui vient de se passer je suis de nouveau dans l’envie de sexe. Cette envie m'obsède.

Assise au fond de la salle, je réalise que ma culotte est trempée.

Après coup j’ai même le sentiment d’avoir aimé cette fellation forcée. Je n’étais jamais allée aussi loin avec mon mari, qui se contente de peu finalement. Et l’autorité de Monsieur Moreau me transporte. Lorsqu'il me regarde, me parle, me touche, Je suis exaltée. Je commence à apprécier ce qui m'arrive et la manière dont cet homme me traite. J’espère l’avoir satisfait ce matin malgré mon inexpérience pour qu’il ne lui vienne pas l’envie de se débarrasser de moi.

Lorsque la pause-déjeuner arrive, je me remarque qu'il est en pleine discussions à sa table avec ses invités. Je réussis à trouver une place non loin de la sienne, je tente d'attirer son attention en lui souriant mais il m'ignore superbement. Je me sens oubliée, délaissée mais soudain mon téléphone vibre "Ecarte tes cuisses de soumise". Je relève la tête et je sens son regard sur moi. Enfin il m’accorde un peu d’attention. Je me redresse en écartant les cuisses en espérant qu'il me récompense de son approbation, cependant il continue de faire comme si je n'étais pas là. Tout le temps du repas, je guette les vibrations de mon téléphone. Je les espère. Et de nouveau, un message. "Va aux WC pour ôter ta culotte et laisse-la en évidence dans les toilettes hommes". Je m'excuse auprès de ma voisine de table pour aller faire ce qui m'est demandé. Je ne dois surtout pas le décevoir sinon je risque de le perdre.

Ce n'est pas si simple étant vêtue d'un jean, je suis obligée de le retirer pour ôter cette culotte de dentelle rouge. En revenant m'assoir, je sens la fermeture éclair frotter sur mon sexe, ce qui me trouble. Je remarque alors qu'il revient des toilettes avec un bout de tissu rouge dépassant de la poche de son pantalon. Ce ne peut être que ma culotte. Je baisse la tête rouge de honte quand il me regarde brièvement.

Je reçois un ordre bien plus explicite "Passes ta langue sur tes lèvres en me fixant, comme une chienne en chaleur". En m'exécutant, je ne peux pas manquer les regards de certaines personnes assise sa table. Je sais que ce que je suis en train de faire dépasse les convenances et j’ai conscience que je pourrais être jugée de perverse par la majorité des personnes ici présentes. Cette pensée est effroyable. En même temps je ne peux pas prendre le risque de désobéir à celui dont j’espère encore plus de plaisir. Maintenant que j’avais goûté au paroxysme de la jouissance je n’étais pas prête à y renoncer.

Puis un ultime message. "Rejoins-moi dans ta chambre dans 5 mn !"

Je regagne ma chambre, il est déjà là. Il doit avoir un double de la clé. Je referme la porte derrière moi. Sans un mot, il glisse sa main dans mon jean et je sens ses doigts fouiller ma chatte. J'écarte mes cuisses pour lui faciliter la tâche.

— Mains sur la tête ! me dit-il sèchement. Je prends la pose demandée sans réfléchir à l’humiliation qu’elle représente, et il s'essuie ses doigts sur ma joue. Je frissonne de trouble.

— A poil ! Salope !

Alors que je me déshabille sans un mot, la porte s'ouvre et une jeune de femme d'environs trente ans, brune, fine, habillée en jupe droite, chemisier, talons aiguilles entre. Elle vient à côté de moi.

Que fait-elle là ? Je n’ai imaginé aucun scénario en dehors du directeur et de moi-même ! Je n’aurai jamais pu penser une chose pareille.

— Léa ! Voilà la grosse truie !

Elle me fixe, je la sens hautaine, méprisante à mon égard.

— Mains sur la tête ! dit-il sèchement car je viens de masquer ma nudité avec mes mains. Je suis très gênée devant cette femme. Le sourire sadique de Léa m'effraie un peu.

— Pour être grosse ! C'est une grosse vache en effet ! dit-elle en me regardant de bas en haut

Je suis maintenant glacée de honte et de peur. Je me dis que je fais un cauchemar. Cette femme va provoquer une accélération dans ma déchéance.

Elle regarde mes mamelles, elle les malaxe puis elle les soulève haut pour les laisser retomber toutes seules ce qui me fait grimacer. Je ne dis rien humiliée.

Elle regarde mon tourmenteur, comment avez-vous pu trouver ses trous ? dit-elle avec ironie.

— Je parie qu'elle mouille cette pute ! Ecarte les lèvres de ta chatte de grosse salope et montre-moi ! ajoute-t-elle sèchement.

Elle regarde ma fente ouverte et dégoulinante. C’est vrai, l’humiliation et la douleur provoquent chez moi une excitation que je ne contrôle pas. Je me liquéfie sous la menace et la peur. Ma tête et mon corps se dissocient. Ma tête refuse mais mon corps trahit mon plaisir.

— On a trouvé une sacrée pute !

Elle passe derrière moi pour venir voir mon cul qu'elle pelote et écarte mes fesses.

— Hier encore, elle était encore vierge de là !

Elle m'ordonne de me pencher en avant, ce que je fais sans protester. Cette femme est plus sadique et dangereuse encore que le directeur.

— J'aimerais bien lui déchirer son cul à cette grognasse, dit-elle, tout en touchant ma rondelle encore serrée.

— Tu auras tout le temps de lui casser le cul à cette pute ! Pour le moment tu vas regrouper toutes ces affaires dans sa valise.

Elle laisse mon cul et Monsieur Moreau m'ordonne de reprendre la position de soumise, mains sur la tête, cuisses écartées. Je m’exécute car je ne sais pas ce que je pourrais faire pour me soustraire à son autorité. L’absurdité de mon dérapage m’apparait comme une évidence maintenant. Je comprends que je suis tombée dans un piège. Je n’ai rien soupçonné de ce guet-apens. Je me sens si honteuse et si coupable de ma naïveté.

Immobile et impuissante, je regarde Léa remplir ma valise. Inquiète, je n'ose pas demander ce qu'elle va en faire. Elle regroupe mes habits, à chaque fois qu'elle en prend, elle a un air de dégout, strings, culottes et soutiens gorges beaucoup trop grand pour elle. Il ne reste plus rien dans mon armoire, je ne comprends pas ce qui se passe. Je vis un cauchemar.

— Laisse-lui juste sa brosse à dents à cette truie !

Elle enlève tout. Ma chambre est vide.

— Elle n'a plus besoin de ses pilules ni du reste ! dit-il en me fixant.

— Et dans son sac à mains qu'y a-t-il ?

Léa le retourne sur le lit, mon agenda, téléphone, papier, carte bancaire, serviette hygiénique, tout se répand.

— Prends tout ! Laisse-lui juste sa carte pour ouvrir la porte de sa chambre !

— Envoie un message à son mari ! Dis-lui que son portable à des soucis et qu'elle ne pourra plus s'en servir.

Je suis alors saisie de panique. Je ne suis désormais plus rien entre leurs mains. Personne ne pourra venir m’arracher de leurs griffes. Ma vie est sur le point d’être anéantie. Je pense à mon mari, mes enfants.

Je suis toujours mains sur la tête. Léa vient, elle me retire mon alliance, mes boucles d'oreilles et la chaîne que je porte autour du cou.

Je rentre encore un peu plus dans la stupéfaction et le dépouillement de tout ce qui fait ma vie et mon identité de femme.

Monsieur Moreau s'approche alors de moi et prend mon visage dans sa main.

— Tu vois maintenant ! Tu m'appartiens ! Tu ne peux plus rien faire de toi même !!! Je vais faire de toi mon esclave, ma chienne docile !

A ces mots je sens mes jambes se dérober sous moi. La terreur déforme mon visage. Je suis perdue, déchue. Je ne suis plus rien... je suis anéantie.

Léa sort alors une jupe et un haut du sac qu'elle avait avec elle en arrivant.

— Voilà ta tenue sale pute !

— Allez ! Habille-toi ! Salope ! Le séminaire va reprendre.

J'enfile la jupe en jean courte et serrée qui couvre à peine mes fesses et le haut trop petit hyper moulant dévoile mon gros ventre.

Je suis ridicule, grotesque, écœurante. Je suis dépossédée de toute dignité.

— Léa, vous aviez envie de quelque chose tout à l'heure, non ?Je la vois sourire d'une manière sadique

— C'est notre grosse pute qui va nous le rappeler ! dit-elle en s'approchant

Dans un état second, je réussis à lui demander de me déchirer le cul comme elle en a envie, en tremblant, effrayée.

Je vois Léa tout sourire qui sort un gode ceinture du sac. Elle se met nue et je la vois toute belle, sublime.

— Tu vois le corps d'une jolie femme ! dit-elle, renforçant ainsi sa supériorité sur moi.

— Oui Madame ! dit je de façon automatique.

Elle me montre un gode qui sera fiché dans sa chatte et des poils qui viendront lui caresser le clitoris.

— Mais tu vois ! Pour que je me fasse du bien, il va falloir que tu aies tout cela dans ton gros cul de putain.

Elle me montre un gode noir, large et long. Sa taille est effrayante.

— Donc oui ! dit-elle. Je vais te déchirer le cul pour me faire jouir !

Puis elle s'accroche le gode autour de la taille et me demande de me mettre à quatre pattes sur le lit. Dans cette position, la jupe remonte sur mes fesses.

— Relève ton haut ! Je veux voir tes mamelles pendre.

Je le fais dans un profond sentiment d’anéantissement de mon amour propre et pour achever de me confronter à ma dégradation Monsieur Moreau prend quelques clichés.

— Léa ! Le séminaire reprend dans vingt minutes.

Elle tire mes cheveux en se positionnant derrière moi.

— Regarde ton maitre, montre-lui ton visage pendant que je vais te déchirer le cul !... Ça me laisse le temps de jouir et de lui déchirer le cul mais je n'ai pas le temps de le préparer, dit-elle excitée.

Elle me tient par les hanches à deux mains et positionne le gland sur ma rondelle. Elle va devoir forcer pour me pénétrer. Je suis en panique mais je ne le montre pas par peur de leur réaction.

— Vas-y ! Dépêche-toi Léa ! Déchire-lui son cul ! De toute façon, il faut qu'elle s'y habitue

Aussitôt elle force mon cul, je hurle de douleur. Cela l'excite encore plus.

Elle tire sur mes hanches, elle pousse le gode qui viole mon cul serré. Elle ne cherche pas à m'épargner. Elle veut enfoncer le gode entièrement dans mon cul pour que le petit gode la pénètre et que les poils lui caressent le clitoris.

L'appareil photo crépite pendant que je hurle de douleur, le cul entièrement rempli. J'entends Léa commencer à gémir. Son ventre touche mes fesses, elle y est entièrement enfoncée et commence des mouvements rotatifs pour se branler le clitoris puis enchaine par de grands coups pour se défoncer la chatte. Elle pense à son plaisir, ma déchéance, ma douleur l'excite. Elle me défonce violemment pour se faire jouir tout en me claquant la croupe qui rougit. Elle râle et gémit de plaisir puis accélère en me donnant de grands coups de rein. Elle reste plaquée pour être remplie et pour jouir du clitoris aussi puis elle ressort.

— Tu l'as bien trouée cette salope ! Elle a bien morflé ! Jubile Monsieur Moreau.

Hébétée, je les entends dire que le séminaire reprend. Je me relève avec difficulté et réajuste ma jupe trop courte. Ils sourient amusés de ma honte.

Je sors de la chambre en ayant le cul complètement déchiré. Je ne pense qu'à lui lorsque je sens le regard dédaigneux d'un couple de vieux que je croise dans le couloir. Moi, la gentille et effacée mère de famille du début de séminaire je dois apparaitre comme une grosse femme vulgaire. De plus je marche mal à cause de ce que je viens de subir.

Je me sens encore plus humiliée et honteuse en imaginant ce que les autres peuvent penser de moi en me voyant ainsi vêtue. Les larmes aux yeux, l'anus endolori, je regagne ma place au fond de la salle J'ai l'impression d'être le point de mire de toute le monde. Je m'assieds à côté de ma collègue rousse.

— Pourquoi t'es-tu changée ?

— J'ai eu un problème avec mes vêtements ce midi.

Elle me sourit et tente de me consoler quand je lui dis que ma chambre a été visitée et que je n'ai plus rien sauf cette tenue

— Vas voir le directeur, me conseille-t-elle gentiment sans pouvoir se douter de sa monstrueuse perversité.

Oui je le ferai à la pause. J‘ai envie de tout lui dire mais ma honte m’en empêche. Comment pourrais-je me justifier de cette situation ? Je pense que c'est de ma faute. C’est moi qui ai accepté, qui ai cherché même l’attention du directeur.

Ma jupe courte remonte haut sur mes cuisses et je ne peux rien faire pour le cacher. Je n'arrive pas à me concentrer sur la réunion et lorsque la pause arrive, je sors sous le regard moqueur des autres. Je m'éloigne alors un peu du groupe pour rester seule quand Léa en tailleur strict passe à côté de moi et me murmure.

— Alors pas trop mal au cul, salope ?

— Un peu, Madame ! Lui dis-je en baissant la tête.

—Monsieur le directeur veut te voir. Il est de l'autre côté de la salle, ajoute-t-elle plus fort.

Ma voisine de place qui a entendu me sourit comme pour me dire, ça va s'arranger ! Si elle savait !

— Merci ! Je vais le voir.

Pour le rejoindre, je suis obligée de traverser la foule des congressistes et je peux entendre des murmures : vulgaire… salope… pute… grosse… la honte de notre métier…

Je reste de marbre et je découvre Monsieur Moreau debout près d'un pilier. Il me demande de me mettre derrière le pilier face à la salle, mains sur la tête, cuisses écartées.

— En position de soumise ! ajoute-t-il.

Effrayée à l'idée que quelqu'un s'éloigne d'un buffet pour une quelconque raison, je prends malgré tout la pose exigée. Ma jupe serrée et trop courte remonte aussitôt dévoilant ma toison et mes fesses. Derrière moi, Léa soulève mon haut pour offrir mes seins à la vue de Monsieur Moreau qui avance sa main vers mon sexe ainsi offert dans lequel il plonge deux doigts me faisant grimacer.

— Elle ne mouille pas la salope !

— Pas grave ! L'important c'est qu'elle nous obéisse ! Regarde çà trainée ! me lance la jeune femme sarcastiquement.

Le directeur me montre alors son téléphone où je découvre des vidéos prises la veille dans sa suite. On me voit demander d'être baisée, sur le dos en train de jouir. A quatre pattes suppliant d'être enculée. Je reste sans voix n'ayant même pas réalisée qu'il ne me caressait plus.

— Si tu t'avises de ne pas nous obéir, ton mari, ta famille, tes clients recevront ces petits films. Compris Salope ?

— Oui Monsieur ! J'ai compris ! Répondis-je alors que derrière moi, j'entends les voix des femmes, mes consœurs qui rigolent, boivent ignorant ce qui se passe à quelques mètres d'elles.

Si elles savaient. Choquée, hébétée par ce que je viens de voir, je n'ai pas bougé gardant mes cuisses écartées.

Léa filme ma réponse avec son portable et me demande.

— Vous savez à qui vous appartenez ?

Humiliée, les larmes aux yeux, je lui réponds : oui je sais à qui j'appartiens.

— Votre nom, votre prénom et dites que vous appartenez à votre maitre.

— Je m'appelle Bénédicte Duval, et j'appartiens à mon maitre.

— Qu'a-t-il le droit de faire de vous et sur vous ?

— Il a le droit de faire tout ce qu'il veut, finis-je de dire complétement abattue.

— Voilà une bonne réponse !

Je le vois rigoler vicieusement tandis que Léa inscrit sur mon ventre au marqueur noir "SOUMISE".

Je me sens maintenant définitivement perdue, anéantie. Je ne peux plus revenir en arrière. Je ne peux pas leur échapper sous peine d’être dénoncée à mon mari et de subir son opprobre.

J'espère être libérée à la fin de ce séminaire si je suis obéissante.

Je ne me sens plus une personne digne de ce nom. Je ne suis plus qu’un jouet offert à leur jouissance. Je suis obligée d’obéir sans réfléchir pour ne pas devenir totalement folle. Mon esprit est en flottement. Je leur laisse mon corps désormais conditionné pour être en perpétuelle excitation sous la menace et la douleur.

Il sort alors de sa poche un œuf vibrant qu'il enfonce dans ma chatte mouillée maintenant. Aussitôt l'œuf est gobé par ma fente et je le vois presser le bouton d'une télécommande ce qui déclenche les vibrations de l'objet qui est en moi.

— Tu vas aller en réunion ainsi équipée... et je guiderai, ou bien Léa, l'œuf à distance bien sûr !

Et pour me prouver ses dires, il enclenche la vitesse supérieure. Je pousse un gémissement tandis que Léa ne cesse de me prendre en photos se délectant avec son complice de ma déchéance.

— Tu as déjà joui en silence ? Tu sais que tu vas devoir te contrôler pendant ces deux heures qui vont te paraitre interminables.

Non, je n'ai jamais joui en silence. Je suis affolée en sentant de nouveau les vibrations en moi. Je respire profondément avec l'envie irrépressible de serrer mes cuisses.

— La grosse vache va avoir du mal à se retenir, dit Léa de manière humiliante.

— ...et pourtant il le faudra bien, dit mon tourmenteur tout en baissant la vitesse au minimum.

— Elle sera prête à tout pour jouir après ce petit entraînement, ajoute-t-il en prenant mes seins dans ses mains et en les vrillant.

Alors que je lui réponds "Oui Maitre", il arrête l'œuf ce qui me permet de reprendre un peu contenance, il m'annonce la reprise du séminaire et me laisse en plan en se fondant au milieu des gens. Je me réajuste comme je peux et me dirige vers la salle. Alors que je suis au milieu des collègues, j'entends Léa me murmurer, la prochaine réunion va être longue avec ça dans la chatte. Je ne peux ignorer l'œuf en moi surtout quand je ressens à nouveau les vibrations.

Tentant de masquer mon trouble le plus possible, je reprends ma place.

Quelques minutes plus tard, je l'aperçois venir s'installer au bout de la rangée où je suis assise. Elle me fixe en jouant avec la télécommande. Régulièrement, les vibrations montent et descendent. Elle me regarde, ajustant la vitesse à mes réactions. Je me pince les lèvres pour me retenir de gémir en serrant mes cuisses. Je dois devenir rouge car ma voisine me demande si tout bien.

— Oui ! Oui ! J'ai juste quelques bouffées de chaleur.

Je tourne la tête vers Léa et je réussis à lire sur ses lèvres : "Je te fais jouir quand je veux. Salope !"

Pendant les deux heures que dure le séminaire, elle joue avec la télécommande m'amenant régulièrement à la limite de la jouissance me forçant à me maitriser. Lorsque la réunion se termine, quand je sors de la salle, elle me glisse un papier dans la main.

"Monte dans ta chambre et suis les instructions.".

Je me retourne mais elle a disparue. Je me dirige vers ma chambre comme un zombie appréciant le fait de ne plus sentir l'œuf vibrer. Je suis complètement liquéfiée comme une chienne en chaleur.

Je découvre un carton sur mon lit.

"Laisse ta porte de chambre entrouverte, déshabille-toi, mets-toi à quatre pattes sur ton lit et couvre tes yeux avec le cache."

Sachant que je ne peux pas me permettre de désobéir, je m'installe sur le lit, les yeux recouverts par ce masque. Le temps me semble long mais j'entends la porte s'ouvrir et des pas. Puis des mains qui me frôlent, me caressent, flattent ma croupe, soupèsent mes seins qui pendent lourdement sous moi. Mon cul est peloté puis les mains écartent mes lèvres intimes et je les sens retirer l'œuf. Je pousse un soupir de soulagement et de frustration mêlée. Je suis un peu affolée car même si je pense qu'il s'agit de Monsieur Moreau, rien n'est moins sûr.

Un doigt, puis un autre violent mon intimité suivi par la caresse d'un sexe sur ma peau. Les doigts se retirent et prise en étau aux hanches par des mains puissantes je sens la queue entrer en moi. L'inconnu me pilonne la chatte violement me faisant gémir. Je suis tellement excitée après ce que l'œuf m'a fait endurer que je ne me retiens plus. Je jouis intensément.

Je m’entends dire.

— Oh oui !!! Baisez-moi ! Prenez-moi comme une grosse chienne ! Baisez-moi à fond ! Encore ! Le conditionnement opère. La brutalité m’excite. J’ai besoin d’être soulagée.

Je sens l'homme se vider en moi sans préservatifs. Je n'ai pas le choix de toute façon. Il finit de gicler au fond de moi en se collant à mes fesses et tout aussi silencieusement qu'il est arrivé, il repart. La voix du Maître se fait entendre.

— Ote le bandeau et va te laver !

Je prends quelques secondes pour me remettre et me dirige vers la salle de bain en sentant ce sperme anonyme couler entre mes cuisses. Je vois plusieurs caméras dans la chambre ainsi que la salle d'eau où je prends ma douche et dans les toilettes. Je n'ai plus aucune intimité. Je n’ai plus aucune dignité.

— Nettoie bien ta chatte ! Elle va encore servir ! me dit la voix.

Humiliée, je me lave consciencieusement avec une poire pour bien éliminer toute trace de semence.

Lorsque je ressors nue de la douche, la voix se fait à nouveau entendre.

— Reprends la pose sur le lit avec le bandeau.

Docilement, je me réinstalle sur le lit. Les minutes passent, pas un bruit pas un mouvement.

— Comment est ta chatte ?

— Elle est trempée, prête à recevoir une bite, répondis-je.

Je réalise alors que c'est moi qui viens de répondre. Dans un sursaut de conscience je me demande : "Que m'arrive-t-il ? Comment en suis-je arrivée là ? Pourquoi ne suis-je pas en train de fuir cette chambre et d'aller tout raconter à la police ?"

— C'est bien ! Retire le bandeau, lève-toi et va prendre dans l'armoire ta tenue pour la soirée.

Comme un automate, j'ouvre l'armoire et découvre la robe qui m'attend. Avec horreur, je réalise que si je la porte sans sous-vêtements ma poitrine ne sera pas cachée du fait d'une fine dentelle noire et que le bas de la robe est fendue tellement haut devant, derrière et sur les côtés que je vais exhiber mes cuisses, mes fesses et mon sexe à la vue de tous. J'enfile la robe et les mules à talons vertigineux qui sont posées dans le bas de l'armoire. La robe me boudine et comme je le pressentais, elle ne cache pas grand-chose.

— Marche de long en large devant le miroir !

Je m'exécute et l'effet est encore plus terrible que je ne l'imaginais. Si je ne reste pas immobile et droite, mes fesses ou mon sexe apparaît entre les pans de tissu. De plus dans le dos, le dos-nu descend jusqu'à ma raie des fesses comme dans ce film des années 1970 avec Mireille Darc et Pierre Richard.

— Ecarte bien tes cuisses et montre ta chatte luisante face à la caméra !

Je m'exhibe encore devant l'objectif, honteuse et excitée. "Comment arrive-t-il à me rendre dans cet état ?”

— Très bien ! Maintenant direction la salle de réception, tu as trois minutes pour y arriver.

 

Dans le couloir qui me mène à l'ascenseur, je croise un couple de personnes âgées, ils ne peuvent pas rater la pilosité de mon pubis et ils me jettent un regard méprisant. En voyant leur réaction, je me doute que je ne vais pas passer inaperçue dans la salle Toutes mes collègues me verront ainsi, tous les participants, comment vais-je pouvoir justifier cette tenue ? Malgré ma honte et ma peur je ne peux pas reculer.

En me voyant arriver, ma voisine de salle pendant le séminaire me regarde avec les yeux écarquillés.

— C'est la robe que le directeur m'a trouvée pour le cocktail... Avec ma taille il n'y avait pas beaucoup de choix... Lui dis-je en tremblant. A moitié convaincue par mon explication, elle s'éloigne de moi pour se diriger vers le buffet.

Je vois alors Monsieur Moreau s'approcher de moi.

— Interdiction de boire de l'alcool. Tu dois supporter cette humiliation publique sans t'enivrer.

Je hoche la tête sans rien dire, entendant autour de moi les quolibets et autres moqueries des personnes présentes. Je bois seule dans mon coin quand Léa arrive derrière moi et me dit d'une voix assez forte : "Alors ça fait quel effet de se faire sauter par un inconnu comme une SALOPE ?", en insistant bien sur le dernier mot.

Je sais ce que je dois répondre. Je baisse la tête et murmure :

— ca fait du bien !"

— J'ai pas entendu ! Et elle répète. Qu'as-tu ressenti à te faire sauter comme une salope ?

Je vois quelques regards se tourner vers nous.

— Ça fait du bien, J'ai aimé me faire sauter comme une salope.

Elle me regarde souriante, fière de ma soumission, puis elle fait tomber une serviette à ses pieds.

— Ramasse ! M'ordonne-t-elle. Et ne plie pas les genoux !

Je me penche pour la ramasser ce qui a bien évidement pour effet de faire s'écarte les pans de la robe et de dévoiler mes grosses fesses nues à tout le monde. Aussitôt, j'entends derrière moi : "Quel gros cul ! C'est indécent !"

Je me relève au bord des larmes en tendant la serviette à Léa qui la prend et en me fixant, elle la jette à la poubelle puis s'en va l'air triomphant.

Je reste immobile toujours sous les regards... Qui finissent par passer à autre chose mais j'ai hâte de pouvoir retourner à ma chambre.

Monsieur Moreau me regarde de loin en parlant avec des gens. Il doit voir ma gêne et le dédain des autres envers moi. Il s'approche enfin, me fixe. Mon humiliation semble le ravir.

La nuit n'est pas fini Bénédicte ! Avance vers le pilier au fond de de la salle, je t'y rejoins !

Je sais qu'il me suit du regard alors que je traverse la foule, dévoilant ma croupe à ceux qui sont dans mon dos et ma chatte à ceux vers qui j'avance. "Salope ! Grosse Pute ! Chienne !" sont des mots qui me parviennent tandis que je marche. J'arrive enfin derrière ce pilier cachée des regards.

Il me rejoint et me conduit dans les cuisines vides.

— En position de soumise !

Aussitôt je prends la pose, debout cuisses écartées, main derrière la tête, ce qui dévoile mon intimité à ses regards. Il prend son temps pour passer de mon visage, à ma poitrine puis à ma chatte. Sans un mot, il frappe dans ses mains et aussitôt une quinzaine d'hommes m'entourent. Il s'agit du personnel de cuisine et de son chef. Ils font face à leur directeur mais ils ne se gênent pas non plus pour reluquer mes formes.

— Je vous présente ma nouvelle pute. Je vous avais dit que vous auriez une récompense ! La voilà ! Cette pute doit apprendre à se servir de sa bouche, donc elle vous fera TOUS jouir dans sa bouche.

Je les entends exulter de joie, certains commencent même à bander dans leur pantalon.

— Ote ta robe... Je pense que nos amis ont envie de voir ton corps de grosse vache ! A genoux salope ! Mains sur la tête et tu devras faire jouir ces messieurs juste avec ta bouche !

— Prépare-toi Robert ! C'est toi qui va avoir l'honneur de commencer puisque tu es le chef !

Je me déshabille mécaniquement et m'agenouille les mains sur la tête. "Putain quelles mamelles elle a cette salope ! Dommage qu'on ait droit qu'à sa bouche, je l'aurais bien enculée cette pute."

Penché sur moi, Monsieur Moreau me murmure, j'exige que ces messieurs soient satisfaits, sinon j'envoie tes petits films à ta famille...

Ne soutenant pas cette menace, je commence à sucer le chef. Il n'a pas baisé depuis un moment et il gicle rapidement dans ma bouche. Le deuxième, plus jeune bande déjà et prend sa place aussitôt que son chef à libérer mes lèvres.

— Tu as déjà vu des films pornos ? lui dit-il ? Alors vas-y baise lui la bouche comme tu le vois dans les films. Elle est faite pour ça ! La salope ! Jouissez lui tous dans la bouche à cette pute, c'est son repas de ce soir.

Les autres sortent leur bite de leur pantalon et commencent à se branler devant le spectacle que je leur offre. Je vois toutes ces queues tendues et sorties devant moi. Je sais que je devrais tous les sucer pour les faire jouir. Le jeune me pilonne la bouche sans ménagement puis il gicle plaqué contre mon visage. Il se déverse au fonde de ma gorge, aussitôt remplacé par un troisième.

Il m'attrape par les cheveux et force ma gorge, je manque de vomir, je bave... Ça les excite. Je gémis, je pleure, les sexes forcent ma gorge une par une.

— Putain ! On peut presque lui faire des gorges profondes à cette truie ! s'exclame un jeune. Elle va morfler, répond un autre.

Celui qui baise ma bouche tire mes cheveux et me donne de grand coups de bite puis il s'enfonce entièrement dans ma gorge, il m'empêche de respirer.

— Regarde-moi ! Salope !

Il me voit suffoquer, il éclate de rire et il se retire pour me laisser respirer. Puis il me baise à nouveau la bouche. Il finir par jouir dans ma gorge et un autre lui succède. A la moitié, je suis dégoûtée, le visage et les seins couverts de bave et de sperme. Je les entends faire des paris pour savoir lequel va réussir à me faire vomir.

Un plus vieux ne me baise pas comme les jeunes. Il dit aux autres : "Moi je veux la faire durer cette pipe ! La salope va me faire jouir avec sa langue !" Il place son membre devant ma bouche pour me forcer à le lécher avec ma langue. Les autres ricanent en me voyant lui sucer le bout.

Il me demande de jouer avec son gland, cela dure. J'en ai même mal à la langue. Il gicle enfin sur mon visage. Tous les jeunes ont sorti leur portable pour prendre des photos ou me filmer pendant que les autres profitent de moi. Après que le vieux ait recouvert mon visage de son foutre, Monsieur Moreau me tire les cheveux et les invite tous à me prendre en photo en gros plan. Je suis complètement piégée, je suis certaine que la photo va être diffusée. Entre mes collègues qui m'ont vue presque nue et mon mari qui va découvrir ces photos, je ne sais ce que je vais devenir.

Le pari entre recommence. Il ne reste plus que les trois plus grosses bites.

— Allez-y les mecs ! Faites-la vomir en lui baisant la bouche. J'offre son cul à celui qui y parvient !

Aussitôt, Le premier me force la bouche sans retenue mais trop excité, il gicle trop tôt. Je tente de reprendre mon souffle quand le suivant me prend sans attendre. Et à ce moment, je ne peux plus me retenir et je vomis. Pendant que je suçais le précédent, je sentais les doigts du directeur entre mes cuisses, il tâte ma fente pour juger de son état d'excitation. Je relève la tête et je découvre celui qui va m'enculer.

A quatre pattes sur le plan de travail !

Complètement perdu, je prends la pose demandée, nue, offerte les mamelles pendantes sous moi. L'homme vient se mettre derrière moi, je sens ses mains sur mes hanches tandis que le dernier demande à être sucer aussi.

— Vous allez embrocher cette grosse vache par les deux côtés. Vas-y ! Enfonce-toi dans sa bouche et tiens la bien pendant que ton pote va l'enculer !

Les autres regardent et les encouragent.

— Allez-y ! Défoncez-la cette pute ! Baisez-la !

Aussitôt ils s'y collent, la queue dans ma bouche m'empêche de crier quand celui qui est derrière moi m'encule rudement. Ils s'excitent mutuellement pour savoir celui qui va tenir le plus longtemps. Au final, celui qui est dans mon cul jouit le premier en grognant.

Il gicle au fond de mon cul en restant planté contre mes grosses fesses. Puis il sort et il invite les autres à voir son sperme sortir de mon cul.

— Regardez tout ce que je lui ai mis à cette truie !

Je ne les vois pas mais je sais que les autres regardent mon trou dilaté et dégoulinant. J'entends les crépitements des téléphones. Je suis complètement choquée. Je suis en train de craquer psychologiquement. Je suis sur le point d'être brisée totalement.

Le dernier finit par jouir dans ma bouche triomphalement. Je reste inerte sur la table. "Comment vais-je pouvoir retrouver une vie normale après cela ?"

Monsieur Moreau me regarde nue sur la table, couverte de sperme, de bave, de vomi. Il me tire par les cheveux pour me forcer à relever la tête.

— Regarde ces messieurs et dis-leur le numéro de ta chambre !

— C'est la chambre 432, dis-je, blême affolée car je sais que ma chambre ne ferme plus à clé.

Les mecs se regardent, ne sachant que penser. Le directeur m'aide à me lever, mon gros ventre et mes mamelles pendouillent lamentablement devant eux. Souillée par les hommes, je me baisse pour ramasser la robe mais il me dit de la laisser en cadeau aux cuistots. Le cocktail est fini. Il n'y a plus personne. Je sors nue pour rejoindre ma chambre en passant par les escaliers de services quand j'entends : "La chambre n'est pas fermée à clé." Ces mots achèvent de me déstabiliser, c'est en larmes comme un automate que je monte.

Jamais, je ne me suis sentie autant utilisée, je suis en train de devenir un objet sexuel. Je remonte les quatre étages dans un état de semi conscience. Heureusement que ma chambre se trouve à côté de l'escalier de service, je peux y entrer sans avoir à traverser le couloir nue et souillée.

Je vais pouvoir me reposer et reprendre mes esprits.

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