lundi 5 juin 2023

L'institutrice - Un rendez-vous inattendu

 Ce matin, Laurence de Bonnard, jeune institutrice d’une trentaine d'années, est seule dans sa classe de cette petite école de campagne, où elles ne sont que trois. Elle, la dernière arrivée, nommée dans ce village après son congé maternité, la directrice, Annick Buisson, femme dans la quarantaine plutôt libertaire, qui guide ses collègues vers la liberté de pensée, une ancienne hippie, et la maîtresse des maternelle, Florence Guérin, une femme de la cinquantaine aux milles amants et anciens maris.

Laurence était arrivée un peu plus tôt que d’habitude pour honorer un rendez-vous avec le père d’un de ses élèves. Pour ne pas être en retard, elle avait laissé son mari s’occuper de ses trois enfants et avait à peine pris le temps de se maquiller, juste un peu de mascara sur les yeux.

Elle finissait à peine de ranger des livres dans la bibliothèque de sa classe que la sonnette du portail de l’école retentit.

 

Ce même matin, avant un rendez-vous professionnel important, Arthur devait se rendre à l'école pour le suivi annuel de son fils. Cette année, il a rendez- vous avec la nouvelle institutrice dont tout le monde parle, une très jolie blonde aux yeux bleus. Il sonne au portail.

— Bonjour, j'ai rendez-vous avec l'institutrice de mon fils, dit une voix pleine d’assurance dans l’interphone.

Un signal sonore l’informe que la porte est ouverte.

 

Laurence suit du regard l’homme qui vient de pénétrer dans la cour et se dirige vers sa classe. C’est sa première rencontre avec le papa de Nicolas, elle avait déjà croisé sa mère, une superbe rousse, sûrement Irlandaise. La seule information qu’elle possède sur cet homme, est qu’il est producteur de films et de documentaires.

Quand il arrive devant la porte entrouverte, elle l'invite à entrer. Leur regard se croisent. Laurence réprime un frisson et se sent obligée de baisser le regard.

Il ne peut pas s’empêcher de penser que cette jeune femme est une bombe. Il la dévore des yeux et il se délecte de la gêne qu’il perçoit chez l’institutrice ainsi déshabillée par son regard perçant.

— Merci d'être venu si tôt... c'est rare les parents qui acceptent cet horaire !

— Cet horaire me convient parfaitement, je dois superviser des tournages cet après-midi. Et puis le matin, on découvre souvent de belles personnes… Je vous écoute mademoiselle, lui dit-il. Son regard captivé par les courbes du corps de cette femme.

— Je voulais vous parler de votre fils. Il semble un peu ailleurs en ce moment…

— C'est un enfant très observateur et curieux…

En disant cela, l’homme ne peut s’empêcher lui aussi d’observer les cuisses dévoilées par la robe qui est remontée et lui permet de deviner le triangle blanc de la petite culotte de Laurence. Maintenant, il comprend mieux la réflexion de son fils quand il lui disait que “sa prof est bonne !”

— J’ai discuté avec lui de ce sujet… ajoute-t-il tout en pensant que son fils a raison : “c’est une pépite cette femme !”

— Et que vous a t il dit ? demande-t-elle en tentant de contenir ses émotions, en apercevant la bosse qui est en train de se former dans le pantalon de son interlocuteur.

— Il m'a dit être très heureux dans votre classe et que vous le captiviez avec votre savoir et votre présence…

En réalité, malgré son jeune âge, son fils matait son institutrice et prenait des photos pour son grand frère qui les partageait sur WhatsApp.

Je dois avouer que je commence à le comprendre… Cette femme blonde l’excite avec son air de sainte-nitouche.

— Tant mieux, j'avais peur d'être là raison de son mal être, dit Laurence dans un souffle.

— Vous ne seriez pas son institutrice, je serai peut-être en train de vous parler de votre potentiel qui attire l'attention…

Le côté professionnel de Arthur ressort et il met en place son projet 

— Expliquez-moi ?

— Dans mon métier, une jeune femme de votre style, c'est recherché et apprécié...

— Vraiment ?

— Oui assurément… Il se lève et s'approche de la jeune femme. Vous permettez que je m'approche de vous ?

— Oui bien sûr !

Il a du mal à contenir et à cacher l’excitation qui monte dans son pantalon. Arthur s'efforce de rester concentrer malgré l'attirance que provoque cette institutrice.

— Dans mon métier de producteur, une actrice de votre physique ferait une belle carrière et une belle réussite financière… Plusieurs réalisateurs seraient ravis de vous avoir dans leur films…

— Vous êtes tentateur…

— Je suis déjà tenté, dit-il en souriant. Dans mon métier de producteur, une actrice de votre physique ferait une belle carrière et aurait une belle réussite financière…

Debout à côté de l’institutrice qui est restée assise à son bureau, il lui effleure le bras avec la bosse qui s’était développée dans son jean. Il lui tourne autour.

— Vous êtes captivante… Si vous avez un instant, nous pouvons profiter de ce rendez-vous pour en parler tous les deux ?

— Ne suis-je pas un peu âgée et je n'ai aucune expérience ? De plus, mes élèves vont arriver dans un quart d'heure !

— Écoutez ! dit-il en s’approchant pour que leurs peaux se frôlent. Nous pourrions étudier un rendez-vous pour explorer cette piste ?

 

Il sort alors son téléphone et commence à filmer.

— Je fais une petite vidéo pour mon associé réalisateur...ça ne vous gêne pas ?

— Non pas du tout !

Tout en filmant, il fait exprès de frotter son sexe sur son bras. Laurence ne dit rien, elle l’écoute commenter ce qu’il filme.

— Note pour le CV enseignante, blonde, yeux bleus, chignon, lunette, 1m65, 60 kg, 90d et un beau 40 qui lui fait de belles fesses fermes… à peu près… Je me trompe ?

— Non c'est cela… répond-elle surprise par ce que vient de dire Arthur. Comment peut-il être aussi précis ?" se demande-t-elle.

— De superbes rondeurs...

Laurence rougissait mais elle entre dans le jeu de l’homme qui la filme et lorsqu'il passe son téléphone entre ses genoux, elle ne les referme pas. Il continue de commenter.

— Des cuisses très captivantes...une petite culotte blanche classique très excitante… Je me trompe ?

En piquant un fard, elle confirme l’affirmation de l’homme.

— Et plutôt volontaire et pas farouche et curieuse du regard.

Quand il saisit sa main pour la poser sur la bosse causée par son sexe, Laurence hésite et la retire. Il n’insiste pas et reprend son discours

— C'est une femme mariée, elle a besoin de reprendre confiance dans le charme qu'elle dégage. Car elle est vraiment superbe… Sa poitrine semble lourde avec des tétons à découvrir

— Vous croyez que ces détails sont importants ?

— Dans mon secteur, les réalisateurs ont besoin de ces détails pour construire les scènes, pour vous !

— Je pense qu'on peut prévoir deux à trois films pour débuter avec un cachet à 15-20000 euros par film au début, ajoute-t-il imperturbable.

— Pardon ! dit-elle à l’annonce des sommes proposées. Vous rigolez ?

Il interrompt l’enregistrement et la fixe du regard.

— Non, pas du tout

— J'aime mon boulot, mais à ce prix, difficile de résister

— Si ça vous tente, on peut se revoir pour un essai ou un rush ? Ce soir à la sortie de la classe ?

— Oui bien sûr !

 

Laurence hésite un peu avant de lui proposer de marcher un peu dans la classe pendant qu’il la filme.

— Écoutez ! Je veux bien refaire une vidéo de vous en marchant...mais il va falloir y rajouter un peu de vous

— Expliquez-moi, guidez-moi !

Arthur constate qu’il ne reste plus qu’une dizaine de minutes avant la fin du rendez-vous, le moment où la jeune institutrice blonde devra aller accueillir les premiers élèves. Il lui demande de se lever pour aller au fond de sa classe et il lui donne ses premiers ordres. Il tente le tout pour le tout, soit elle accepte et il emporte le gros lot, soit elle refuse et ils en resteront là. Le cerveau d'Arthur tourne autour de 200%, l'excitation physique, le potentiel de cette femme, le tournage potentiel avec elle, tout cela s'entremêlent dans son esprit. Cependant, il reste professionnel et poursuit son recrutement.

— Vous revenez vers moi et en même temps vous dévoilez votre poitrine.... C'est un élément essentiel pour convaincre mon réalisateur

— C'est-à-dire ? questionna Laurence un peu décontenancée. J'ouvre des boutons de ma robe ?

— Oui ! Comme si vous étiez avec votre mari pour l'inviter à vous suivre dans la chambre...vous êtes prête ?

— Euh oui...

Arthur filme la blonde qui, timidement, ouvre un bouton de sa robe en avançant lentement vers lui. Puis en s’approchant, elle en déboutonne un deuxième, ce qui dévoile la dentelle blanche de son soutien-gorge. Il s’assied face à la rangée, en écartant ses jambes

— Très bien...continuez ! Ayez confiance en vous ! Vous êtes superbe… C'est magnifique !

Arthur a le regard émerveillé par ses formes dévoilées, il est surexcité. Encouragée par ces mots, elle sourit, elle tourne sur elle-même.

— Magnifique, je suis charmé, dit-il.

— Merci, je fais de mon mieux.

— Libérez vos seins ! L'un après l'autre, tout doucement, comme pour appâter un amant !

En rougissant, car elle franchissait une nouvelle étape, Laurence dévoila des seins pâles et lourds.

— Waouh superbes mamelons... ça donne envie de les toucher et de les embrasser... Un délice ! commentait-il tout en continuant de filmer. Je peux toucher ?

Après une approbation murmurée, Arthur prend un sein en main, en douceur. Il le palpe, le caresse, passe son pouce autour du téton.

—Un joli 90d très doux en main, de larges mamelons, des tétons très gros...un vrai succès. Ils pendent un peu mais c'est vite oublié par leur forme… très, très excitant...

Arthur insiste sur les tétons qui devenaient durs. Puis après avoir obtenu, une nouvelle fois un regard approbateur de Laurence, il commence à sucer et mordiller le téton droit tout en massant le sein. Il fait la même chose à l’autre sein, et il entend Laurence pousser un petit gémissement alors qu’elle vient de finir d’ouvrir sa robe. Il a le champ libre pour continuer son exploration et il fait glisser sa main sur le ventre marqué par les grossesses. Il le caresse doucement en continuant de faire descendre ses doigts qui arrivent à la culotte. En filmant, il peut constater que la culotte blanche est marquée par une auréole de mouille. Ses doigts frottent sur le pubis et la chatte humide puis ils suivent la fente de ses grandes lèvres.

— Tu es toute mouillée ! Tu es vraiment une belle femme !

Il appuie ses doigts sur le tissu et devine le clitoris. Il le frotte à travers la culotte. Laurence se dandine, mordille ses lèvres, respire profondément.

— Ça fait longtemps que personne ne t’avait caressée comme ça ?

— Oui très longtemps !

— Et bien je te promets de chaudes sensations… Tu vas ronronner de plaisir.

— Je ronronne déjà, répondit-elle, acceptant complètement cette situation incongrue dans ce lieu et à cette heure.

Elle est debout dans sa classe, à demi-nue, il glisse un doigt sous le tissu, plonge dans la mouille et il la doigte légèrement juste pour t'entendre gémir. Arthur sait à ce moment précis que tout son plan peut enfin se mettre en place.

— Tu es très obéissante… lui murmure-t-il.

Elle sent ce doigt qui va et vient en elle. Doigtée par un parent d’élève ! Elle sait qu’elle ne devrait pas se laisser faire ainsi, mais elle accepte cette situation.

— J'ai très envie de toi...tu as un potentiel très excitant… Je passe ce soir après la classe...

— Oui bien sûr !

 

Comme si ces mots étaient un signal, Arthur fait pénétrer un deuxième doigt et les remue en elle pour la faire jouir avant que la sonnerie retentisse. Il voit l'institutrice trembler, ses yeux se révulser. Elle jouit en silence.

Il sort ses doigts de la culotte trempée de la blonde et les présente à ses lèvres. Instinctivement, elle lèche ces doigts recouverts de mouille. Il continue de filmer et lorsqu'il sort de la classe en lui disant "à ce soir !" Elle ne se fait pas prier pour lui donner son numéro de téléphone.


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