mercredi 25 septembre 2024

Chantage à la Campagne -05-

 

Bonsoir ma belle salope pour demain c’est porte-jarretelle obligatoire et surtout pubis rasé je n’aime pas les poils. Ensuite jupe courte avec un chemisier 3 boutons défaits. Soutien-gorge pigeonnant et string assorti. Tu prendras rendez-vous avec monsieur le maire pour questionner sur une subvention qui n’aurait pas été versée par la mairie. Je ne sais pas comment est ton bureau mais tu dois t’asseoir jupe relevée et jambes non serrées. Tu m’enverras une photo à ce numéro.

C’est tout pour le moment ma grosse pute.”

En lisant ce message, Sophie est un peu rassurée. Certes elle devra se raser le pubis et mettre une jupe pour prendre le train et aller travailler mais elle devrait y arriver. Pour le rendez-vous avec le maire, elle est un peu moins enthousiaste mais Bernard a raison, il manque une subvention. Elle se demande si la consigne pour s’asseoir s'applique aussi ailleurs que dans son bureau

“Oui Monsieur Bernard. Je ferai cela.”

“ah j’ai oublié je ne sais comment tu vas au boulot mais que ce soit à vélo, en voiture ou bus tu ne t’assoies pas sur ta jupe cela sera définitif et partout sans discussion ma chienne”

“Je prends le train de 7h30 tous les matins Monsieur Bernard”

“parfait donc pense à bien t’asseoir”

“Mais Hervé voyage avec moi”

“et c’est un problème ?”

“il va se poser des questions, déjà la jupe mais si je m’assieds comme cela, il ne va pas comprendre”

“débrouille toi pour ne pas partir avec lui ou trouve une bonne explication ! c’est ton problème pas le mien obéis c’est tout pour éviter les problèmes”

“Oui Monsieur Bernard, je me débrouillerai”

“c’est bien écris moi ce que tu es !”

“Je suis une pute, je suis une salope, je suis une chienne”

***

Pendant que Sophie finit de ranger ses affaires, j'entends à plusieurs reprise les bips signalant l'arrivée d'un message sur le téléphone de ma femme et le silence, surement le temps qu'elle tape sa réponse.

Mon téléphone en main, une idée me passe par la tête.

Ma salope, demain matin, je veux que tu suces Bernard à fond avant qu'il ne se lève

Après tout, je peux bien lui donner ce plaisir. Je n'imaginais qu'il puisse aller aussi loin, aussi vite, avec ma femme.

Je somnole quand Sophie se couche à mes côtés et je pars vite rejoindre Morphée au pays des songes.

***

Quand l'alarme du réveil se met en route, Sophie me surprend. Elle se lève et se rend dans la salle de bain.

Tant pis, j'irai me raser après avoir bu mon café.

Je prends mon café tranquillement en regardant les dernières nouvelles. Je me doute que je ne recevrais pas de messages de Marie-Catherine si tôt, retraités, ils n'ont pas besoin de se lever à six heures du matin. Je regarde l'heure. Décidément, elle prend son temps ce matin. Je soupçonne Bernard d'y être pour quelque chose.

— Chérie, dis-je en toquant à la porte de la salle de bain. L'heure tourne, on va rater le train !

— Pas grave, on prendra le suivant, me dit-elle.

— Je ne peux pas, j'ai une réunion importante ce matin.

— Prends le tout seul alors...

— OK, mais laisse-moi entrer pour que je me rase.

— OK je t'ouvre !

Elle ouvre la porte enveloppée dans une serviette de bain et me dit qu'elle va aux toilettes pendant que je me rase. Je hausse les épaules, elle ne pouvait pas passer dans la douche comme tout le monde. Mais, ça m'arrange. Je me rase rapidement et me brosse les dents.

Elle est toujours enfermée dans les toilettes quand je sors.

— Chérie ! J'y vais… Bisous.

— Bisous ! me dit elle la porte fermée.

J'attends quelques secondes mais elle ne sort pas. J'attrape mon sac et ma veste et je me dépêche d'aller à la gare. Il m’a semblé entendre son téléphone sonner au moment où je fermais la porte.

Je lui envoie un message : “Je suis dans le train. Tiens-moi au courant !

***

Je suis tranquillement assis dans le train. Je regarde les autres passagers et je me demande comment ils réagiraient s’ils savaient. Comme le dit Bernard, ce monde est rempli de fausse pudibonderie ! Donc, Carpe Diem et peu importe les mal-baisés. Je regarde ma montre, il n’est pas loin de huit heures et Sophie ne m’a toujours pas signalé qu’elle avait pris le train. Peut-être a-t-elle oublié de m’envoyer un message ? Ne commence pas à être jaloux Hervé, c’est toi qui es à l’origine de cette situation !

Au moment où j’arrive à ma gare de destination, mon téléphone vibre. Marie-Catherine qui m’informe qu’elle s’est acquitté de sa tâche avec succès et Bernard me remercie de mes attentions.

***

“félicitations ma salope, n’oublie pas, pas de soutif aujourd’hui et donne moi ton programme de la journée”

“bonjour maître pour le matin je suis à la maison à faire de la comptabilité pour des associations et cet après-midi je ne sais pas encore mais je dois passer à la banque”

“Donc tu pourras être à la gare à 18h quand j'arriverais”

“oui maître je pourrai”

“Je l'espère. Comme Sophie est partie plus tard, donc elle rentrera plus tard, j'aurais un peu de temps à te consacrer. J'espère que tu me feras honneur.”

“oui maître”

“Bien je dois te laisser pour travailler.”

“Es-tu vêtu comme tu le dois ?”

“Comme je suis sans soutien gorge j'ai enfilé un chemisier blanc”

***

Pendant ma réunion de travail, je ne peux pas m'empêcher de me demander si certaines dd mes collaboratrices présentes dans cette salle ne sont pas comme Marie-Catherine et Sophie des salopes qui cachent leur jeu. Tiens Laurence par exemple, toujours à sourire bêtement et ses jupes courtes. Par les temps qui courent, il ne faut pas mélanger plaisir et travail. Je me ressaisis, mais je me dis que j’en parlerai à Bernard à l’occasion, je fais confiance à son expérience.

Après le déjeuner, je me replonge dans mes dossiers. Quand je regarde l'heure, je remarque qu'il est presque seize heures. Déjà ! Marie-Catherine doit être avec ce libidineux de Monsieur Raffalli. Je sais que ma femme ne l'aime pas. Il a toujours ce regard pervers sur sa poitrine pendant nos rendez-vous. Je suis sûr qu'il crève d'envie de coucher avec elle.

J'envoie alors un message à Marie-Catherine.

“Que fais tu ma salope”

***

A la banque où elle est accueillie dans un bureau, en partie en verre, avec plein de plantes vertes, Marie-Catherine est très mal à l’aise sans sous-vêtement. Monsieur Raffalli, son chargé de clientèle quadragénaire, ni beau ni moche, l’ordinaire type lambda, ni gros ni svelte, avec juste le début de brioche des quadragénaires. Il porte fièrement une moustache à la Valentino. Le seul problème c’est son regard de perceuse. Il a une manière de regarder, derrière ses lunettes, qui vous déshabille. C’est qu’une impression mais c’est troublant ou plutôt déstabilisant. Quand il vous regarde vous avez l’impression d’être nue devant lui, m'avait dit un jour ma femme rougissante et honteuse de cet aveu. Alors là, avec Marie-Catherine, sans soutien-gorge, cela ressemble, face à ses yeux, c’est un appel au viol.

— Alors madame Mazière, on peut sans problème transformer votre revolving par un prêt classique à un taux plus avantageux, le dossier que vous m’avez remis est parfait pour la direction.

— Merci Monsieur Raffalli.

— Toutefois pour l’agence, il faudrait peut-être un complément, dit-il en fixant la poitrine de sa cliente qu’il suppute nue, sous le chemisier, visible dans l’ouverture du blazer.

Marie-Catherine est troublée et inquiète quand elle reçoit mon message.

— Je vous prie de m’excuser Monsieur Raffalli, dit-elle, en prenant son smartphone pour me répondre avec un sms : “je suis à la banque maître

— Excusez-moi, vous disiez complément ? C'est-à-dire ?

“Avec M Raffalli”

“oui maître pourquoi ? vous le connaissez ?”

“Oui très bien, à chaque fois que nous y allons, il lorgne sur la poitrine de Sophie, elle en a peur… Je suis sûr qu’il aimerait la sauter, ce cochon !”

— C’est quoi monsieur ce complément ?

— Il faudrait peut-être réfléchir car votre époux n’a que huit cent euros de retraite, non ?

— Oui mais cela n’a rien à voir, excusez-moi, mais… c’est pour une association !

— En effet, mais heu… dit-il fixant la poitrine de sa cliente… Heu comment vous dire ?

Marie-Catherine est très mal à l’aise et je la mets encore plus mal à l'aise en lui envoyant le message suivant.

“il regarde tes gros pis, aussi ?”

“oui maître”

— Ça doit être important que vous envoyiez tous ces messages ! lui dit-il un peu agacé.

“Demande lui s’il veut les voir ?”

“nooon”

“J’ai son numéro, je peux lui envoyer une photo…”

“non non pas ça”

“Dépêche toi, j’ai préparé l’envoi !”

“non non je demande”

— Heu… rhum… Monsieur Raffalli, votre regard persistant est gênant, voulez… heu… je… enfin… voulez-vous la voir ?

— Quoi ? Madame voir quoi ?

“maître j’ai demandé”

— Ma… ma poi… poitrine ! Monsieur Raffalli.

Il fixe sa cliente, surpris, ne s'attendant pas ce changement d'attitude.

— Ça peut peut-être aider pour le prêt… dit il

— Mais… mais….

“maître il veut bien les voir je ne peux pas”

— C'est entre vos mains… enfin vos seins plutôt ! Ajoute-t-il grivois.

“montre les lui “

“oooh bien maître”

Elle déboutonne tremblante son chemisier, exposant sa poitrine terriblement humiliée. Le banquier tend ses mains vers cette poitrine offerte à sa vue.

“maître il veut les toucher”

“ juste toucher, il peut oui”

“je le laisse faire c’est ignoble maître…il veut que je retire veste et chemisier”

“Retire”

“ooh maître bien”

Monsieur Raffalli s’agace de l'activité de Marie-Catherine sur l'écran de son smartphone et veut qu'elle le lui donne. Après l'avoir prévenue, j’appelle alors ma soumise en numéro caché et lui demande de me passer son banquier pour que je lui parle

“bien maître”

Elle est torse nu quand son téléphone sonne.

— Bien… oui je lui donne.

Marie-Catherine tend alors son téléphone au quadragénaire surpris.

— Allo ? allo ?

— Monsieur Raffalli ?

— Oui, à qui ai-je l’honneur ?

— Peu importe qui je suis ! Sachez que je vous connais bien et que Mme Mazière n'est pas là première à qui vous demander ce genre de chose… Vous avez le droit de finir ce rendez-vous alors qu'elle vous montre ses gros seins et de les toucher avec vos doigts. Mais rien de plus…. Et si j'apprends que vous lui refuser ce prêt car elle ne veut pas plus, j'en aviserai Madame Blanchet votre directrice, qui je sais ne vous apprécie pas vraiment. Compris !

— Bien je vois mais pour finir le rendez-vous, pourrait-elle retirer sa jupe ?

— Mettez le haut parleur !

— Ok ! Voilà, c’est fait

— Tu m'entends ma pute ?

— Gloup… heu ou… oui, maître, je vous entends.

— Bien ! Monsieur Raffalli veut que tu retires ta jupe. Tu vas la retirer, mais Monsieur Raffalli ! On ne touche pas !

Deux “oui” se font entendre, un joyeux et l’autre atterré.

— Ma pute, filme ! Pour être sûr que Monsieur Raffalli respecte l’accord !

— Bien maître j’ai retiré ma jupe…

— J’écoute ce qu’il se passe ma pute… Ne t'inquiète pas ! Continuez le rendez-vous Monsieur Raffalli !

— Puis-je lui demander d’écarter les cuisses ?

— Tu as entendu ma pute ?

— Oui maître

— Fais lui plaisir écarte tes cuisses !

— Et pourrait-elle écarter ses petites lèvres ?

— N’abusez pas de ma gentillesse, monsieur Raffalli.

— Oh ! c’était juste pour finaliser le contrat.

— Finalisez-le comme cela…

— Allez ! Soyez compréhensible, sa moule suinte.

— Je vais me fâcher !

— Allez un bon geste, je ne pense pas qu’elle soit contre…

— Monsieur Raffalli, je connais parfaitement la situation de Madame Mazière donc vous lui accordez ce prêt ou cette vidéo sera dans la boîte mail de Madame Blanchet avant la fin de la journée…

— Bon, je signe mais pourrais-je au moins garder son chemisier ?

— Oui, vous pouvez le garder ! Pour vous remercier, Madame Mazière vous le doit bien !

— Maître, je ne peux pas laisser mon chemisier. Ma veste ne ferme pas beaucoup

— Ma pute, laisse-lui ton chemisier…

— Ooooh ! bien maître !

— Puis-je raccourcir sa jupe ? Le contrat est dans le circuit, l’argent est sur le compte.

— Pensez à Mme Blanchet… Bien ! Ma pute rhabille-toi et sort !

— Bien Maître mais, mais…

— Quoi donc ?

— Je… je ne sais pas, mais….

— Mais quoi ?

— Je… non, je suis… non, non, rien !

— Dépêche toi ma pute, j'ai à faire et monsieur Raffalli aussi…

— Je me rhabille Maître.

— Bien… Monsieur Raffalli, dès que Madame est sorti je vous appelle sur votre ligne…

— D’accord je rend le téléphone.

— Voilà Maître, j’ai mon téléphone et je pars.

— Bien ! Et n'oublie pas notre rendez-vous de tout à l'heure !

— Bien sûr, maître !

Marie-Catherine quitte la banque, serrant fortement son blazer.

***

Je suis satisfait et je regarde ma montre, il.me reste une heure avant de partir.

Au téléphone avec le banquier, je lui dis que s'il veut continuer à profiter des charmes de Marie-Catherine, il doit respecter les limites que j'impose. Sinon, il n'aura droit à rien et Madame Blanchet, sa directrice, sera informée de ses turpitudes. Il accepte, comprenant où est son intérêt.

Malgré tout, je suis étonné de ne pas avoir de message de Sophie. Même s'il y a du Bernard derrière tout cela, je suis un peu inquiet. Elle pourrait avoir un souci plus grave que d'obéir à Bernard. Je lui envoie un message

“tout va bien ma chérie ?”

Puis un autre à Marie-Catherine qui rentre chez elle en voiture.

“soulagée d’avoir eu ce prêt ?”

“vous êtes ignoble maître quelle honte que se passera-t-il la prochaine fois ?”

“Je suis sûr que Bernard sera satisfait, je m’occuperai de cela tout à l’heure.”

 “j’ai trop honte mais c’est horrible, je mouille et j’aurai pu tout accepter”

“c’est pour cela que je pose des limites”

Ma journée se termine. Je fais un arrêt dans une boutique spécialisée proche de mon travail, avant de le diriger vers la gare. En montant dans le train, je me demande dans quel état je vais trouver Marie-Catherine. J'envoie un message à Bernard en lui expliquant mon inquiétude par rapport au silence de Sophie et je l'informe aussi que Marie-Catherine sera avec moi jusque vers dix-neuf heures et qu'il ne s'inquiète pas.

Elle s’est garée en avance sur le parking de la gare attendant nerveuse l’heure fatidique. Elle voit le train entrer en gare et s’arrêter, les premiers voyageurs sortent de la gare. Elle sort vite de la voiture pour rencontrer son maître, serrant sa veste gênée par des regards inquisiteurs sur son décolleté mystérieux.

Je sors parmi les derniers, je repère Marie-Catherine près de la sortie. Je lui souris.  Je fixe son blazer.  Il n’y a plus personne autour de nous.

En voyant mon regard, elle comprend qu’elle doit garder les bras le long du corps accentuant l’échancrure de la veste.

Je m’approche et tends les lèvres pour un baiser.

— Tu ne m'embrasses pas, ma pute ?

— Heu… Si, si, Maître, dit-elle en tendant ses lèvres.

— Tu peux faire mieux non ?

Elle lève ses bras et m'enlace en faisant bailler son blazer, offrant sa poitrine à mon poitrail. Je pose mes mains sur ses fesses pour la serrer contre moi.

— Montre-moi comment tu embrasses !

Elle s’applique à me faire une bonne galoche, sa langue agile cherchant la mienne. Je sais qu'elle espère que je n'ai pas l’idée de la trousser en sentant mes mains sur ses fesses.

— Monsieur Raffalli voulait couper ta jupe… peut-être que j’aurais dû le laisser faire.

Alors que je remonte doucement sa jupe au-dessus des bas, Marie-Catherine essaye de m'en empêcher mais elle n'ose pas me l'interdire. Elle ne peut que remuer son popotin.

— Bien emmène nous au parking du Belvédère, à cette heure ci en semaine il n’y aura personne.

— Bien Maître ! Ma voiture est là-bas !

— Allons-y ! Dis-je en claquant ses fesses et remontant encore sa jupe à mi fesses.

— Maître, voyons on peut me voir il y a du monde !

— Où cela ? Les jeunes près de l'arrêt de bus… ils sont trop occupés à dealer… mais tu veux que je les appelle ? dis-je en commençant à lever le bras.

— Non ! Non Maître ! Excusez-moi… C’est vous le Maître.

Je baisse mon bras et lui dit que j'ai prévenu Bernard que je la ramènerai à dix-neuf heures. Nous avons donc une heure devant nous.

— Oui et vous voulez m’exhiber devant des jeunes ??

— Non, on va aller en forêt… j'ai d'autres projets.

— Ah bien ! Fait-elle un peu déçue, ne se reconnaissant plus, craignant que ses vieux démons ressortent de son corps.

— Tu dois connaître cette ancienne carrière, Il paraît que c'est un lieu de rendez-vous de voyeurs…

— Non, nous n’étions pas dans la région à cette époque.

Nous montons dans la voiture. Je note qu'elle ne s'est pas assise selon les consignes reçues hier midi. J'en prends note avant de lui donner les indications pour se rendre au parking qui est à quelques minutes. Pendant qu'elle conduit, je pose ma main sur le haut de sa cuisse.

Je sens la chaleur et l'humidité de sa chatte cela ne la surprend pas. Par contre elle est surprise de ne pas avoir été réprimandée pour n’avoir pas mis ses fesses nues directement sur le siège.

— Gare-toi dans ce coin là bas…

— Bien maître !

Comme je m'y attendais, il n'y a que deux ou trois voitures. Je me demande si ce sont des voyeurs, enfin on verra bien.

— Avant de sortir, tu vas enfiler cela !

Je sors le collier de cuir et la laisse que nous avions achetés l'autre jour.

— Bien d’accord maître !

Elle est un peu angoissée. See vieux souvenirs remontent. Elle prie pour qu’elle ne soit pas prise pour une chienne comme cela a déjà été le cas, il y a longtemps quand elle se faisait appeler "lachiennebcbg" !

— Mets ton blazer et ta jupe dans le sac…

— Ooh vous êtes sûr Maître ? Il y a des voitures !

— Ils sont dans la forêt, mais pas où nous allons… et je prends mon sac pour que tu puisses te couvrir au cas où.

— Bien si vous le dites, Maître. Merci !

— Le collier est bien serré ? Je peux mettre la laisse ?

— Oui maître, ça va !

Je la regarde, elle ne porte plus que ses porte-jarretelles, ses bas et ses escarpins. J'attache la laisse et sors en la tirant. Elle est obligée de sortir par le côté passager à quatre pattes.

— Tu fais une belle chienne comme cela… dis-je en riant. Ça fait comment, une chienne ?

— Whaouf ! Whaouf !

Je la félicite, à l'endroit où nous sommes, personne ne peut nous voir. Je tire sur la laisse pour entrer dans le sous-bois. Elle me suit à quatre pattes. On avance de quelques mètres et je m'arrête près d'un arbre.

— Tu n'as pas envie de pisser ma chienne ?

— Si Maître !

— Alors, vas-y !

Apeurée, elle s'accroupit comme toute chienne et pousse sur sa vessie pour me satisfaire. Je la regarde faire, en la filmant pour Bernard, me demandant jusqu'où je peux aller. Quand elle a fini, je lui dis qu'elle peut marcher debout, nous irons plus vite, avant de la tirer jusqu'à cette fameuse carrière abandonnée.

Lors d'une promenade avec Sophie, j'avais repéré un anneau fiché dans une pierre au sol. J'y attache la laisse. Marie-Catherine est obligée de se remettre à quatre pattes en se demandant sûrement ce que je mijote.

Je sors alors de mon sac ce que j'ai acheté… un martinet de cuir noir don le manche ressemble à un sexe de belle taille. Je le lui montre puis caresse son dos puis ses fesses avec les lanières.

Elle n’est vraiment pas rassurée, n’étant pas maso et n’a jamais vraiment subi cela, à l’époque.

— Je vais te punir, pour avoir oublié la consigne en t'asseyant. Tu comprends ?

— Oh non ou pas trop fort s’il vous plait, je comprends.

— On verra, nous avons fait sept kilomètres en voiture, n'est ce pas ?

— Oui, peut-être, je n’ai pas compté, maître !

— Donc ?

— Oh ! Heu… quatorze coups !

— Très bien ! Oui ! Tu comptes !

— Mon dieu ! Snif ! Snif ! Oui maître, je compte !

Je donne le premier coup, les lanières enveloppe ses fesses pâles.

— Aiie ! Ouille ! UN !

Rapidement, sa peau devient rouge. Au huitième coup, je fais une pause. J'ai repéré un mouvement dans un taillis.

— Deux, trois, ouille, ouille… quatre, aiiiillle ! cinq, noon… ouille… six, pitié… aîîîîe… sept, arrêtez ! aîe… Maitre ! huit !

Je regarde dans cette direction un homme d'une soixantaine d'années me fait signe de la main. Je réponds à son signe et reprends. Les lanières marquent bien sa peau, le vendeur m'avait prévenu.

— Snif ! Ouille, ou… ouille neuf, ai… aî… aîe… dix pitié… ou… ououille ! Onze, j’ai mal. Pitié, Hervé ! Douze… ouille, c’est ho… horrible, treize ! aîîîîe… quatorze !

Quand je donne le quatorzième coup, je remarque que l'homme s'est rapproché. Mais il reste caché pour Marie-Catherine.

Je sors de mon sac un onguent apaisant que je passe sur les fesses de ma chienne.

— Ça va te soulager.

— Snif, sni ! C’est plus drôle, plus drôle du tout ! Snif ! Salaud !

— Si tu respectes les règles, je ne te punirai plus de cette manière.

Je fais signe à l'homme de venir derrière Marie-Catherine alors que je passe devant elle.

— Oui, oui ! Tout ce que tu veux, mais pas le martinet !

— Très bien, nous l'utiliserons autrement. Mais tu vas me soulager, n'est ce pas ?

— Oui ! Oui ! Bien sûr !

— Tu vas me sucer ! A fond !

— Oui ! Oui ! Bien sûr !

Je baisse mon pantalon et sors mon sexe devant son visage. Je fais signe à notre voyeur d'approcher. Il me montre une capote, je hoche la tête. Elle gobe ce phallus pour ne pas être punie et s’active des lèvres et de la langue. Je lui attrape ses cheveux et sourit à l'homme qui vient de se couvrir.

Marie-Catherine monte et descend sur ma bite bien raide, malaxant les bourses avec ses mains

L'homme l'attrape par les hanches et la pénètre. Surprise, elle essaye de se relever mais je la maintiens bien par ses cheveux. Elle comprend qu’on la pénètre beaucoup trop facilement en raison de sa mouille abondante.

— Tu feras tout ce que je voudrais ?

Vaincue, elle lâche la queue et me dit :

— Oui Maître.

— Tout à l'heure, tu aurais aimé que ce banquier libidineux te saute ?

— Peut-être… oui… Maître.

— Peut-être ou oui ?

Je l'entends gémir sous les va et viens de l'inconnu.

— Oui maître, vous m’aviez excitée en me livrant honteusement à lui, me répond-elle en soupirant.

— Je le sais ! Donc, que ce soit lui ou un autre, c'est pareil…

— Oh oui, Maître ! Qui vous voulez ! Haaan…. haaaan… oui… oui…

— Bien ! Reprend moi en bouche…

— Oui ! Bien Maître !

Son corps s’enflamme, elle est de plus en plus excitée. L'homme finit par jouir dans la capote avant de se retirer. Je demande à ma soumise de tendre sa main pour récupérer la capote usagée et rempli de son sperme.

— Tu devrais nettoyer ce pauvre homme avant qu'il ne range son matériel !

— Ooh oui ! Bien maître !

Elle prend le sexe ramollissant en bouche pour le rendre propre, tenant la capote pleine en main. Je me mets derrière elle et pénètre à mon tour sa chatte trempée. J'écarte ses fesses pour découvrir son anus, accueillant qui a connu nombre de plugs. Je fais quelques aller et retour dans son vagin dégoulinant puis ressort pour l'enculer brutalement.

— Ooh ! Oui encore… encore… ouiii…

L'homme repus et propre s'éloigne nous laissant seuls. J'attrape la laisse pour forcer Marie-Catherine à se cambrer. Je la pilonne de plus en plus fort. Ayant imaginer ce moment toute la journée, je jouis dans son cul plus vite que je ne le pensais.

Je me retire et me présente devant son visage. Elle comprend et suce mon pénis maculé, dans un état au bord de l’orgasme tout en nettoyant ma queue.

Je remarque son excitation et attrapant le martinet, je glisse le manche dans son cul débordant de mon sperme. Je me demande si elle va jouir par le cul.

— Ouii ! Plus vite ! Ouiii ! Plus fort ! Ça vient ! Huuuum… crie-t-elle.

Je lui défonce le cul avec le manche en accélérant mes mouvements. Elle aime ça.

— Haaaaaaa… Hummm… Ouiiiii… Haaaa…

Je l'entends, je la vois jouir, son corps est luisant de sueur. Elle reprend son souffle tenant toujours la capote comme un trophée.

— Haaaa… Merci maître.

— Il te faut nettoyer ce manche ! Je ne peux pas le remettre dans mon sac comme cela ! Et ne traîne pas, on a dépassé l'heure.

— Oui Maître, me dit-elle en s’appliquant à nettoyer le phallus factice.

Je range le martinet et tend son blazer à Marie-Catherine car il commence à faire frais. Je prends la laisse et nous regagnons la voiture sur le parking maintenant désert. Je la vois s'approcher de la poubelle dans laquelle se prépare à jeter la capote.

— Que fais-tu ? Cette capote, tu la mets dans ta bouche comme un chewing-gum.

— Oooh non maître…

— Et tu la donneras à Bernard en lui expliquant comme tu l'as eue.

— Ooh… c’est heu… ou… oui maître.

Elle met le préservatif dans sa bouche, le massant, finissant par avoir le foutre en bouche.

— Tu n'as pas besoin de ta jupe dans la voiture et tu rentres chez toi comme cela.

— Mais maître, les voisins ?

— Ils sauront ce que tu es et à cette heure-ci, ils seront devant la télé ! D'ailleurs dis moi ce que tu es ! Sans hésiter !

Je vois sa bouche trembler mais en prenant sur elle, elle arrive à me dire ces quatre mots sans bafouiller

— Je suis une pute.

— Bravo, ma pute. Tu as peut-être éviter une punition. Une dernière chose avant de monter dans la voiture…

Elle me regarde, sûrement à se demander quelle idée tordue je peux avoir en tête.

— Ma pute, ça va éviter que tu salisses ton siège ! Je ne voudrais pas que Bernard soit obligé de nettoyer ce qui sort de ton cul de salope.

Je lui montre un rosebud que j'ai acheté en même temps que le martinet.

— Enfile-le toute seule ! Je ne veux pas me salir les doigts !

Je la regarde faire puis nous montons dans la voiture.

— Démarre !

Comme à l'aller, ma main est posée sur sa cuisse à la lisière des bas. Quand nous arrivons devant la maison, je remarque que Sophie n'est toujours pas rentrée.

— Tu viendras chercher ta jupe quand je te le dirai… Va rejoindre Bernard !

***

Je la quitte et rentre chez moi. La maison est bien vide, il est près de vingt heures. Mon téléphone vibre, un message de Sophie.

“Mon chéri, j'ai dû régler un souci au bureau. Ne m'attends pas pour manger. Je t'aime. Bisous”

Enfin, me dis-je. Peu importe la raison de son retard, je suis rassuré et je sais ce qui me reste à faire, préparer mon repas et continuer de mettre la pression sur Marie-Catherine.

Je lui envoie un message pour lui donner mes ordres pour demain : “tu suceras Bernard a son réveil, tu devras le lui faire tous les matins. Tu viendras me chercher à la gare pour 18h dans une tenue correcte et porter le rosebud. Et n'oublie pas de m'envoyer ton programme de la journée”

Il est presque vingt-deux heures quand Sophie arrive. Je suis à moitié étonné de sa tenue, une jupe à mi-cuisses et des bas. Je me doute que cela vient de Bernard car elle ne prend jamais le train en jupe. Elle ne veut pas tenter les flotteurs. Elle vient m'embrasser, elle a les traits tirés.

— J'ai mangé… je suis éreintée… je vais prendre une douche et me coucher.

— Si tu veux, je te ferai un massage après ta douche ?

— Oui, si tu veux, tu es gentil !

Je la laisse prendre sa douche. Dans la chambre, je trouve une bouteille d'huile de massage à l'huile d'argan et m'allonge sur le lit en l’attendant. Quand elle retire son peignoir, elle est nue, je découvre son pubis lisse.

— C'est pour cela que c'était si long ce matin, lui dis-je.

Elle rougit avant de me répondre une explication oiseuse.

— Hier, quand j'ai vu le pubis lisse de Marie-Catherine, je me suis dit que je devrais m'épiler aussi. Si elle s'épile à son âge, je peux le faire aussi.

— Ça te va bien, ma chérie. Allez ! Allonge-toi sur le ventre !

Je commence à lui masser les épaules, puis le dos. Je la sens se détendre quand mes mains descendent sur ses reins, elle ferme les yeux. Je prends mon temps pour bien dénouer ses muscles tendus. Puis, je passe à ses jambes et ses cuisses que j'écarte. Je peux voir les lèvres de sa fente entrouverte, humides. Cela commence à m'exciter.

Je finis par ses fesses. Mes mains les pressent, les écartent et quand un de mes doigts se glisse dans son anus, elle se cambre, c'est une invitation. Je n'hésite plus et retire mon caleçon pour m'allonger sur elle. Mon sexe glisse entre ses cuisses, ses fesses.

— Oui mon chéri… Vas-y…

Je pénètre son œillet qui m'accueille en résistant à peine. Mon ventre collé à ses fesses, je pistonne son cul. De mes mains, je masse sa poitrine. Je l'entends gémir. Elle soupire.

Je me vide dans son cul et reste comme cela immobile.

Quand ma femme semble endormie, j’envoie un message de remerciements à Bernard pour son travail avec Sophie.

Il me demande ce que j’ai pensé de l’inscription sur le pubis de Sophie. Je l'ai vu en photo, mais je n'ai pas pu l'apprécier de visu, il n'y avait plus rien.

“Rien ? ah ok je vois bien je sais ce qu'il faut faire”

“Quoi donc ?”

“elle a dû utiliser un Velléda la gourgandine pour pouvoir l’effacer pour que tu ne le vois pas. Demain ce sera pire mais avec un marqueur indélébile”

“Oui bien sûr… Je compte sur toi je te souhaite une bonne nuit et un bon réveil”

“elle n’aurait pas dû, maintenant je ne dois pas dévoiler ton témoignage”

Je finis par m'endormir en me disant que cette journée fut bien agréable.

 

 

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