dimanche 27 octobre 2024

Chantage à la campagne -06-

 

La journée de Sophie et Bernard


Quand son réveil sonne, Sophie se lève rapidement et précède son mari dans la salle de bain. Elle se dit qu’elle a du boulot pour satisfaire les exigences de Bernard. Cela fait un moment qu’elle ne s’est pas occupée de sa toison. Si elle a l’habitude de l’entretenir, elle ne se l’est jamais complètement épilée. Elle se demande d'ailleurs comment elle expliquera son pubis glabre à Hervé. Elle aura la journée pour trouver une explication plausible sans dire que c’est un ordre de Bernard. SI Hervé apprenait ce qu’elle accepte pour ce voisin, il serait sûrement malheureux. Il l’aime si tendrement, si fort. Elle ne veut pas le perdre. Mais ce n’est pas de sa faute. C’est de la faute de Bernard qui la menace avec ces photos. Quelle idée, elle avait eu de s’endormir avec la robe remontée si haut que son string était à la vue de tous. Mais comment aurait-elle pu penser que Bernard allait arriver et surtout que ce pervers la prendrait en photo. Elle n’en voulait pas à son mari, lui non plus ne pouvait imaginer la perversité de leur voisin. Ce couple si honorable qui les avait accueillis aussi chaleureusement quand il avait emménagé dans cette petite ville. Non, si elle se retrouve dans cette situation, c’est entièrement de sa faute et elle doit en assumer les conséquences.

Elle se regarde nue dans le miroir, elle se demande ce que Bernard peut lui trouver, elle n’a plus le corps de ses vingt ans. Sa poitrine tombe un peu, elle a une petite bouée autour de la taille et un peu de cellulite sur les cuisses et les fesses. Enfin, il faut qu’elle s’occupe de cette forêt comme le lui a dit Bernard.

Elle attrape un tube de crème et étale consciencieusement le produit sur son pubis. Elle attend qu’il agisse avant de bien tout enlever. Elle caresse son mont de Vénus mais elle n’est pas satisfaite, il reste encore quelques poils. Elle recommence l’opération. L’heure tourne. En fait, cela l’arrange car cela justifiera le fait qu’elle ne parte pas avec Hervé.

D’ailleurs celui-ci frappe à la porte. Il l’informe qu’ils vont rater le train. Elle lui répond qu’elle prendra le suivant, mais il veut entrer pour se raser. Elle ne veut pas se montrer ainsi. Elle attrape une serviette de bain et s’y enroule avant d’ouvrir la porte et d’aller dans les toilettes.

Elle souffle. Hervé n’a rien vu.

— Chérie ! J'y vais… lui dit-il. Bisous.

— Bisous !

Au moment où elle entend la porte se refermer, elle entend son téléphone sonner. Elle sort rapidement des toilettes, laissant tomber sa serviette de bain, elle arrive nue dans la cuisine alors que son téléphone continue de sonner.

— Allo ! Oui, Monsieur Bernard ! Répond-elle un peu inquiète.

— Bonjour ma grosse salope comment vas-tu ? En pleine forme ? Bien obéissante et prête à subir toutes les avanies que tu mérites et dont tu as envie ?

— Oui… Monsieur Bernard, oui… Tout ce que vous voudrez… Mais, je dois finir de m'habiller pour aller travailler.

— Tout ce que je voudrai et pourquoi donc ?

— Car je suis une pute, une salope, une chienne…

— Ça, je le sais, mais pourquoi acceptes-tu cela ?

— Car j'en ai envie… dit elle tremblante

— Donc tu ne cherches qu’à te faire plaisir ?

— Pour vous plaire aussi Monsieur Bernard, car je suis obéissante.

— Mouais… Bon ! Disons comme ça ! Habille-toi comme convenu !

— Oui Monsieur Bernard, je m'habille comme convenu.

— J’espère que tu as fait ce qu’il fallait sur ton pubis ?

— Oui, Monsieur Bernard, il est tout lisse.

— C’est bien ! Donc, tu peux écrire dessus au marqueur avant tatouage en majuscule de cinq centimètres P U T E !

— S'il vous plaît... Je vous en prie…

— Tu m’as dit être obéissante ! Alors obéis ! Il n’y a pas de mais…

— Oui… j’obéis… j’écris…

— Bien, une fois fait, tu photographies et me l’envoies, peut-être que ça amusera Hervé ?

— Non s'il vous plait, je prends la photo mais pas Hervé s'il vous plaît !

— Je fais ce que je veux ! Obéis ! C’est tout… et dépêche toi !

— Oui Monsieur Bernard !

Sophie trouve un marqueur et écrit PUTE en grosses lettres, avant d'envoyer la photo de son pubis à son tourmenteur.

bien reçu photo tu n’es pas David Hamilton mais cela suffit pour amuser la galerie. Le maire va aimer foutre sa queue dans ta cramouille dégoulinante aussi bien nommée A plus tard on se recontacte quand t’es au boulot

***

En lisant ce message, elle ne peut que grimacer. Elle finit de se vêtir comme convenu des bas tenus par un porte-jarretelles, un string et un soutien gorge pigeonnant assortie. Elle n’oublie pas de laisser trois boutons de son chemisier ouvert et se rend à la gare. Sa jupe est bien trop courte à son avis.

Dans le train, elle choisit une place où elle est seule et pense à relever sa jupe pour poser ses fesses nues sur le siège. Elle trouve le trajet interminable.

A son travail, elle fait la bise à ses collègues qui la trouvent élégante et commence à travailler, toujours assise, fesses nues sur la chaise. Elle a bien vu le regard de certains hommes vers sa poitrine.

Elle essaie de chasser de ses pensées l’inscription sur son pubis, heureusement invisible.

Dans la matinée, elle appelle la mairie pour avoir un rendez-vous avec Monsieur le Maire, la secrétaire lui répond qu'il y a un créneau ce mercredi entre onze heures et midi. Sophie accepte cet horaire et en informe Monsieur Bernard en regardant anxieusement son téléphone, va-t-il lui envoyer un message ?

***

Bernard, faisant de la politique, connaît bien le maire. Sans être amis, ils sont en très bons termes et ont bu quelques canons en meeting. Quelques minutes avant Sophie, il appelle le maire sur sa ligne personnelle pour l'informer que Sophie Berlon va lui demander un rendez-vous et qu’il devrait la recevoir rapidement, si le chaud lapin qu’il est veut s’amuser sans risque

— Sophie, la petite grosse de la paroisse ? demande le maire.

— Oui, je l’ai dans la main. Si ça te dis avec un peu de patience, elle te mangera aussi dans la main. Mais faut donner sa subvention.

— OK ! Tu me le promets ?

— Fais moi confiance ! Mais surtout laisse venir ne brusque rien !

— OK, pour mercredi à onze heures, ce sera parfait, j'en informe ma secrétaire.

***

Alors qu'elle est en plein travail, le téléphone de Sophie sonne. Elle décroche surprise, elle s'attendait à un message écrit.

– Allo Monsieur Bernard !

— Tu manges comment à midi ?

— Je vais sortir me chercher une salade, Monsieur Bernard et je mangerai dans le parc au bord de l’étang.

— Dommage que je ne puisse venir, mais bon tu déferras un bouton de plus pour acheter ta salade et la manger bien assise avant de le remettre pour bosser !

— On verra mon soutien gorge…

— J’espère bien !

— Oui Monsieur Bernard, répond-elle en déglutissant.

— Et comme tu récrimines, tu trouveras bien quelqu’un pour te prendre en photo assise “correctement” avec ton tel et tu m’enverras la photo.

— Oui… j'obéirai !

— Heureusement ! Il ne manquerait plus que tu désobéisses !

— Merci Monsieur Bernard, dit-elle avant de raccrocher.

***

Quand sa pause déjeuner arrive, elle ouvre un bouton de son chemisier quand elle sort dans la rue. Elle peut voir le regard surpris de la serveuse de la saladerie où elle a l'habitude de venir s'acheter ses repas. Dans le parc, elle trouve un banc face à l’étang et commence à manger et surveillant les alentours, épiant d'éventuels passants. Enfin, un jeune homme s'approche, elle l'interpelle.

— S'il vous plaît ! Puis-je vous demander un service ?

— Euh… oui madame !

— Je voudrais envoyer une photo à mon mari pour lui montrer que je déjeune dehors, vous pourriez me prendre en photo ?

Le jeune homme bien que surpris par l'impressionnant décolleté et la jupe dévoilant très haut les cuisses de cette femme accepte sans hésiter beaucoup. Quand Sophie lui tend son téléphone, le garçon reste mi figue mi raisin, se demandant comment prendre une photo. Timidement, il ose demander :

— Si c’est pour votre mari, est-ce une bonne pause ?

— Merci, oui c’est bien ! répond-elle en reprenant rapidement le téléphone.

Le jeune homme s’éloigne, intriguée par cette femme et sa pose indécente. Sophie envoie immédiatement, la photo à Bernard qui peut voir la dentelle du soutien gorge, le fond du string et les jarretelles.

Bernard lui envoie aussitôt un sms.

tu retires ton string tout de suite en échange du bouton à reboutonner”

oui Monsieur Bernard, je le retire”

Discrètement, elle retire le fin sous-vêtement et sent le vent sur son pubis lisse. A cet instant, son téléphone sonne. Monsieur Bernard l'appelle.

— Allo ma chienne !

— Oui Monsieur Bernard !

— Tu vois toujours ton photographe ?

— Non, je suis seule, Monsieur Bernard !

— Tu dois être bien triste car tu avais envie de le remercier en lui donnant ton string, non ?

— Non Monsieur Bernard, pas du tout !

— C’est pas bien de mentir ma pute !

— Je ne mens pas !

— Bon, pas grave ! J’envoie une photo à ton mari !

— Non, s'il vous plait… oui, je mentais. Oui, j’aurais voulu le remercier en lui donnant mon string.

— C’est si difficile d’être honnête en acceptant sa condition viscérale de salope ?

— Oui, Monsieur Bernard, c'est dur !

— Mais tu vas faire des efforts ?

— Oui, je vais faire des efforts !

— Enfin pour que tu comprennes mieux les leçons, je suis obligé de te demander d’écrire ton numéro de téléphone sur ton string.

— Oui Monsieur Bernard, dit-elle terrorisée.

— Et tu as envie pour confirmer ta bonne compréhension de laisser ton string sur le banc avec photo pour me le prouver

— Oui Monsieur Bernard, j'ai envie de le laisser sur le banc !

— Et bien fais-le et retourne bosser après !

Elle le pose et envoie la photo avant de regagner son bureau. Elle est angoissée de savoir son numéro dans la nature sur son string.

"Pourquoi après avoir envoyé la photo, n'a-t-elle pas récupéré son string ? Deviendrait-elle une salope comme le dit Monsieur Bernard ?" se dit-elle en se tentant de rester concentrée sur son travail.

***

Vers dix-huit heures, Sophie se prépare à partir pour rentrer. Bernard occupé à des travaux d'agrandissement chez lui, ne lui a pas envoyer de message. Il avait juste répondu à mon message l'informant que Marie-Catherine sera avec moi jusque vers dix-neuf heures.

Sophie ressent des sensations bizarres dans le ventre avec ses tétons qui durcissent et sa vulve s'humidifie en pensant qu'elle va devoir prendre le train et s'asseoir comme l'exige Monsieur Bernard sans avoir la protection du string sur sa chatte nue. Elle espère que personne ne remarquera son état.

Devrait-elle tout arrêter en avouant ce qui se passe à son mari avec le risque de le voir l’abandonner ou de se fâcher avec ses amis, d’autant plus que Marie-Catherine a aussi une attitude bizarre ? Pendant son trajet ces réflexions et ces questionnements traversent et alimentent son esprit. Aime-t-elle ça ? Est-ce normal, c’est très ambivalent, un paradoxe perturbant le discernement raisonnable. Je suis obligée mais pourquoi ai-je laissé mon string ? Bernard ne l’aurait su ! Encore que… je ne sais plus où j’en suis ?

Elle se sent bizarre, elle a envie de faire l’amour. Elle frissonne. En arrivant chez elle, la maison est vide, je ne suis pas rentré mais elle a envie de faire l’amour.

Elle appelle Bernard désespérée qui pour l’asservir encore plus, ne répond pas la laissant bouillir dans son jus. Il n’est pas corvéable en répondant quand le sonne la soumise.

Elle lui dit qu’elle est sa pute, sa salope sa chienne qu’elle a envie d’un homme… message qu’il lit pendant une publicité à la télévision, sans répondre

Pour se calmer, elle finit par sortir de chez elle… Elle va se promener au bord de la rivière… Elle espère que l'air frais va lui faire du bien. Elle ne veut pas que je la vois dans cet état.

***

En attendant Marie-Catherine, Bernard s’est endormi devant la télévision, il se lève de bonne heure.

Quand Marie-Catherine arrive, elle lui montre sa capote bien propre sortie de sa bouche ainsi que le rosebud dans un deuxième temps car elle sait que c’est moins excitant pour lui car il a déjà vu ça.

Mais la capote ! Ça, c'est vraiment génial ! Il ne sait pas encore comment me remercier d’y être arrivé.

Il connaît les désirs de son voisin, il va mettre encore plus d’ardeur à s’occuper de Sophie. C’est un juste un renvoi d’ascenseur mais il est fatigué et la nuit lui donnera des idées pour humilier Sophie demain mardi et surtout mercredi avec le maire.

Marie-Catherine lui raconte aussi son rendez-vous à la banque, ce qui le ravit espérant que ce petit pervers en profitera. Il ne doute pas que je m’en assurerai.

***

Bernard envoie un SMS à Sophie qui marche le long de la rivière.

salope je sais que tu mouilles ce qui te permettra de bien refaire ramoner par ton mari. pour demain les consignes sont un peu les mêmes désolé d’être déjà le conventionnel . Par contre tu te débrouilleras pour retenir des couverts dans un resto près de ton boulot pour m’inviter à déjeuner”

Oui Monsieur Bernard bien sur

bien tu pourras aussi passer tes tétons au rouge à lèvres et tu dessineras une bite sur chaque cuisse au dessus des bas"

Elle n’ose pas dire non et répond : “oui Monsieur Bernard”

j’affinerai demain pour te faire plaisir comme tu aimes n’est-ce pas ?”

Oui Monsieur Bernard je vous remercie”

Je suis votre pute, votre salope, votre chienne”.

dis-moi donc ce que tu aimerais que je te demande au resto ! ne me déçois pas”

J’aimerai que vous me demandiez de sucer un serveur”

Oooh franchement quelle salope tu fais c’est vraiment ce que tu veux ?”

Oui monsieur Bernard, c’est vraiment ce que je veux.”

et tu veux boire son foutre ?”

Oui je veux boire son foutre”

quelle gourmande dans la salle devant tout le monde ?”

Non Monsieur Bernard svp pas devant tout le monde”

oh tu me déçois ! tu n’es donc pas ce que tu prétends tu ne mérites pas que je m’occupe de toi ton mari devra se débrouiller avec toi”

Non svp je sucerais devant tout le monde”

j’ai un doute tu n’as pas l’air sincère”

Comment vous le prouver ?”

a ton avis ?”

En le faisant”

en faisant quoi je ne comprendS pas”

En suçant le serveur devant tout le monde comme une pute, une salope, une chienne”

et tu pourrais te caresser en même temps ?”

Oui monsieur Bernard je me caressait en.meme temps”

en montrant bien ton cul et ta chatte ?”

Oui en montrant bien mon cul et ma chatte”

bien dis-moi ce que penserait ton mari s'il savait tes envies ?”

Il serait désespéré… triste, déçu…”

Et si d’autres clients veulent en profiter ??”

Tout ce que vous voudrez Monsieur Bernard… Je suis une pute… une salope… une chienne…

Bernard questionné par son épouse répond qu’il est sur Instagram à échanger des idées et il cesse les échanges. Il espère que je serai content, en envoyant les photos reçues de Sophie. Mais il a un peu perdu le fil de son téléfilm et passe sur une chaîne d’info en zappant, maugréant de l’incompétence des dirigeants.

***

Plongée dans ses échanges avec Bernard, Sophie ne se rend pas compte que depuis quelques minutes, elle est suivie par trois jeunes à la mine peu engageante. Ils s’approchent d’elle en la sifflant. Ils commencent par l'entourer. L'un d'eux lui caresse les fesses et va même jusqu'à soulever sa jupe.

— Regardez cette salope de française ! Elle porte des bas comme une pute !

Tétanisée, elle ne peut pas réagir. Un autre écarte son chemisier arrachant un bouton.

— Regarde ses nichons…

Elle recule mais se retrouve vite contre un arbre. C'est à ce moment que quatre autres jeunes arrivent. Sophie est complètement paniquée, que vont-ils lui faire ? A sept !

— Eh les bougnouls ! C'est facile de vous en prendre à une femme seule, vous aller moins faire les malins à face à nous !

— Mais, c'est Mme Berlon, dit un des nouveaux arrivants.

— Partez ! Lui dit un des jeunes blancs. On va s'occuper d'eux !

Sophie sort de sa stupeur et se met à courir vers sa maison.

Quand elle franchit la porte, elle est encore sous le choc de l'agression qu'elle vient de subir. Son mari est là. Elle respire et lui dit qu'elle à passée une journée compliquée.

Elle file sous la douche où elle nettoie bien son pubis. Elle s'allonge sur son lit pour profiter du massage que lui prodigue Hervé avant de laisser pénétrer son anus. Après tout, il en a bien droit, il est tellement attentionné.

Elle aurait préféré faire l'amour de manière plus conventionnelle mais elle avait envie d'être pénétrée.

Bernard reçoit alors un message d’Hervé qui lui dit qu'il vient de s'occuper du cul de Sophie et qu’il apprécie le pubis lisse car il évident qu’il est derrière cette épilation.

***

Bernard envoie immédiatement un sms à Sophie lui demandant une photo immédiate de son mont de vénus.

Je l'entends réagir à la vibration de son téléphone et lire le message. A moitié endormie, elle se lève et va aux toilettes pour prendre cette photo et l'envoyer à Bernard, ne réalisant pas que l'inscription n'est plus là.

tu as effacé ton inscription salope demain c’est au marqueur indélébile que tu te marqueras et pour ta punition d’avoir essayé de me rouler tu marqueras sur chaque seins “salope”

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