Ce matin encore, Sophie me précède dans la salle de bain avec son téléphone. Plusieurs fois dans la nuit, j'ai entendu son téléphone vibrer, je suppose que ce sont des instructions de mon voisin et ami, Bernard.
Pour ma part, j'ai trouvé ce que je proposerai à Marie-Catherine en fin de journée. Mais je lui réserve la surprise.
***
Dans la salle de bain, après sa douche, selon les instructions nocturnes de son voisin, ma femme recouvre ses tétons de rouge à lèvres et dessine une bite sur chaque cuisses au-dessus de ses bas. Elle doit aussi écrire au marqueur indélébile PUTE sur son pubis lisse et SALOPE sur ses nichons.
Elle se demande ce que préférera Monsieur Bernard, le petit restaurant chinois ou le restaurant turc.
Quand je la vois sortir de la salle de bain, habillée prête à partir, je la félicite.
— Tu devrais mettre des jupes plus souvent ma chérie, ça te va très bien !
Elle me remercie et nous prenons la voiture pour nous rendre à la gare. Quand elle s'installe sur le siège, je la sens mal à l'aise. Je la vois hésiter avant de s'asseoir. Elle se décide enfin à remonter sa jupe pour poser ses fesses sur le cuir du siège.
Je prends l'air étonné de la voir faire, mais je ne dis rien. Cette position me permet de deviner le haut de ses bas mais pas les dessins.
Quand nous sommes dans le train, j'envoie un message à Marie-Catherine pour lui rappeler de me donner son emploi du temps de la journée. Je remarque que mon épouse tapote, elle aussi, sur son téléphone. Puis elle me dit que Bernard qui sera en ville ce midi lui a proposé de déjeuner avec elle. Je lui conseille un petit restaurant savoyard, près du parc.
Arrivés à destination, nous prenons chacun le chemin de nos bureaux respectifs. Je la regarde s'éloigner, un peu excité de savoir qu'elle va être à la disposition de Bernard pour le déjeuner. Sa petite jupe qui moule son popotin est une vraie incitation au plaisir.
***
A sept heures, comme tous les jours, Bernard se lève pour préparer le petit déjeuner. Il va attendre de rencontrer sa voisine au restaurant qu’elle lui indiquera.
Marie-Catherine ne se lève qu’à neuf heures. Pendant que son mari fait son sport, quotidien, elle me répond que le matin, elle s’occupe de la maison. Qu’elle mange seule car son mari à un rendez-vous en ville. Pour l’après-midi, elle va regarder ses mails et faire un peu de jardinage.
A la lecture de ce message, je lui donne un ordre pour son repas : “puisque tu seras seule, tu devras manger nue comme une chienne à quatre pattes sans utiliser de couvert avec le plug dans son cul.”
En soupirant, elle répond : “oui maître”.
Comme j'aimerais la voir manger ainsi, peut être que j'en profiterais pour la baiser ou l'enculer en même temps, mais cela sera pour un autre jour.
“Ma salope, pour la gare, je veux que tu viennes avec ta jupette rose, ton petit haut vert. Tu porteras un string noir dessous.”
***
Après sa douche, Bernard envoie un SMS à sa soumise :
“ma pute au bureau assise normalement et tu m’envoie un selfie de ta chatte et tes inscriptions de salope”
Sophie s'exécute. De son bureau, elle envoie une photo de sa position assise puis de son pubis et de ses seins, après avoir fermé la porte. Monsieur Bernard peut voir les mots "pute", "salope" aux endroits demandés ainsi que les deux bites sur les cuisses. Malgré, ou à cause de sa honte, ma femme mouille.
Elle donne aussi à Monsieur Bernard l'heure et lieu de déjeuner, à 12h30 “Au Petit Savoyard” comme je le lui ai suggéré.
Après la réception des photos, Bernard l’appelle avec en visio.
— Allô, ma pute !
— Allô Monsieur Bernard !
— Fais moi un panoramique de ton bureau seul ou open space ?
Sophie tourne son téléphone, dévoilant un bureau où elle est seule, au troisième étage d'un petit immeuble sans vis à vis.
— Je vois que ta porte est fermée !
— Oui Monsieur Bernard, en raison du caractère confidentiel de mes conversations professionnelles.
— C’est pas mon problème, tu n’es pas obligée de parler fort ouvre ta porte !
— Oui Monsieur Bernard, dit-elle en allant l'ouvrir.
Elle filme pour son maître, le devant de sa table de travail.
— Je vois, quel dommage qu’il y ait un tablier devant.
— Pourquoi cela, Monsieur Bernard ?
— Pour montrer ta chatte à tes collègues, bon tant pis ! Remets-toi à travailler en te caressant le clito en selfie !
— Oui Monsieur Bernard !
Tout en se filmant, elle commence à se caresser.
— Bien continue ! Mais, je coupe ! Il va falloir que je regarde comment aller "Au Petit Savoyard" et où me garer. Mais, tu ne te fais pas jouir !
— Oui Monsieur Bernard, lui répond-elle en continuant de se caresser, ne s'arrêtant qu'au bord de sa jouissance.
***
Vers midi quinze, elle signale à ses collègues qu'elle sort déjeuner. Elle arrive à l'heure prévue devant le Petit Savoyard. Elle appréhende ce déjeuner car elle se souvient de ses promesses de la veille
Son ami lui envoie un SMS pour lui dire qu’il serait un peu en retard. Elle doit s’installer et lui prendra une autre table. Elle est un peu surprise mais entre dans le restaurant.
— Bonjour, je suis Madame Berlon, je vous ai réservé une table ! dit-elle au serveur qui s'approche.
— Bonjour Madame ! Oui ! Suivez-moi ! Je vous conduis à votre table.
Le serveur la conduit à une table où il l'invite à s'asseoir. Elle y est bien visible conformément à la demande de Bernard qui avait appelé le restaurant pour qu'elle soit installée ainsi, visible face à la rue.
Notre voisin entre après l’avoir observée depuis son arrivée. Il prend place à une table d'où il voit parfaitement sa soumise car il y a peu de monde. Tout en lisant la carte, il lui envoie un SMS.
“commande et défait un bouton de ton chemisier de plus, tu es correctement assise mais écarte plus tes cuisses”
Bernard la voit écarter ses cuisses et ouvrir le bouton. Telle qu'est assise, tous ceux qui entreront dans le restaurant verront le triangle blanc de son string sous sa jupe noire. Il hèle le serveur, un quinquagénaire svelte mais à l'air dur, probablement éreinté par son job depuis longtemps. Quand il est près de lui, Bernard lui demande s'il a pu lire ce qui est écrit sur la poitrine de la Madame Berlon. Gêné, il hésite à répondre quand Bernard le rassure, lui demandant s’il veut passer un bon moment, pour une fois. Il ne risque strictement rien et peut se lâcher un peu. Un léger sourire s’esquisse au milieu de ce visage sévère.
— Bien, vous pouvez donc lui demander… Regardez mon téléphone, je lui envoie un ordre : “le serveur n’a pas vu tes inscriptions sur ses nichons. tu vas lui dire et lui montrer.”
Le garçon commence à voir sa journée s’améliorer.
***
Sophie regarde vers le garçon qui lui amène son entrée après avoir servi deux tables. Elle écarte un peu les pans de son chemisier pour qu'il puisse bien voir l'inscription sur ses nichons. Elle frissonne, partagée entre la peur que Bernard envoie la photo à son mari et l'envie de fuir.
Elle n'a pas le choix, comme l’a bien compris le serveur qui lui demande ce qui est inscrit sur ses seins.
— Salope, dit-elle en tremblant.
— Pardon ? jouant les malentendants.
— Salope ! dit-elle plus fort.
Sophie commence à accepter sa soumission. Elle est au bord des larmes en réalisant cela. Bernard jubile tout en sachant que c’est vache, mais n’est-ce pas ce que veut Hervé ? Quand le garçon lui amène son entrée, il lui demande ce qu’elle lui a dit.
— Elle m’a dit, comme j’ai pu le deviner “salope” !
— Comment ? Vous n’avez pas vu en entier ?
— Non, c'était caché par son soutien gorge.
— Bien !
Sophie remarque que Bernard et le serveur parlent plus que de raison puis, elle voit Bernard prendre son téléphone.
“ma pute sors tes mamelles des bonnets laissant un rien couvert par les pans du chemisier ouvert.”
Quand elle reçoit le message, elle regarde partout et discrètement réussit à sortir ses gros seins des bonnets recouverts par les pans du chemisier.
***
— Dites-moi jeune homme, une gâterie vous plairait ? demande alors Bernard au serveur qui n'en croit pas ses oreilles. Allez lui demander ce qu'elle veut être ?
Surpris, le serveur se dit qu’il devrait acheter un billet de loto. Il continue de servir les autres tables qui ont l’air d’ignorer ce qui se trame, malgré la bonne exposition de cette soumise.
“tu répondras au serveur ce que tu es”
Quand il arrive pour desservir l’entrée, en prenant l'assiette, il a les yeux rivés sur ses seins en lui demandant :
— Que voulez-vous être ?
Ce qu'elle ne pensait être qu'un mauvais rêve se réalise.
— Je veux être une pute, une salope, une chienne…
Le pauvre garçon est tellement surpris qu'il renverse les couverts, attirant les regards des autres convives. Il se baisse pour les ramasser et découvre, quand elle écarte encore plus ses cuisses et remonte sa jupe, après avoir reçu un nouvel ordre par SMS, les bites sur les cuisses de Sophie qui réalise avec horreur qu'elle mouille.
Quand le serveur dessert l’entrée de Bernard, ce dernier lui dit :
— Demandez-lui son string sur place !
Le garçon sert d’autres tables et revient vers Bernard en lui signalant que certains mangeurs ont vu la femme sexy.
— J’ai essayé de les détourner jouant l’indifférence.
— Vous avez bien fait mais ils peuvent se rincer l'œil, ce n’est pas interdit tant qu’ils ne portent pas plainte ! Hahahaha !
Il amène le plat principal à Sophie qui lit sur son téléphone : “obéis”
— Madame, vous devez me donner votre string ! Il se racle la gorge. Vous devez me le donner, là !
Déglutissant, ma femme fait glisser son string sur ses cuisses dévoilant l'inscription sur son pubis. Elle achève de le retirer pour le donner au serveur. Elle se demande si elle va réellement devoir sucer devant tout le monde comme elle l'a dit à Monsieur Bernard.
Le serveur reste devant la table pour la dissimuler quelque peu des autres tables. Il met le string dans sa poche et va servir d’autres clients avant de revenir vers Bernard qui lui demande d’aller poser le string sur le bar. Sophie regarde son string, bien visible, elle a honte.
Bernard veut quand même mon accord avant d'aller plus loin. Il veut m'expliquer ce que mon épouse vient de faire pendant son déjeuner. Pendant ce temps, le serveur rigole avec des clients.
***
— Oui Bernard, que se passe-t-il ?? Un problème ?
— Non au contraire ! Voila ! Sophie vient de montrer ses seins au serveur et de lui donner son string qui est sur le bar à la vue de tous elle a les jambes écartées, montrant sa chatte cela te convient-il ? Je te fais une photo ?
— Oui, parfait !
— Puis-je aller plus loin ?
— Oui ! bien sûr ! évidemment!
— Puis-je la faire sucer le serveur aux toilettes ou ???
— Ou tu veux… qu'elle ait toujours au moins un trou rempli…
— Pas dans la salle tout de même ?
— Non, il ne faut pas créer de scandale
— OK, je lui demande de sucer le serveur aux WC ?
— Oui. elle passera bientôt plus de temps à l'horizontal que vertical, dis je en riant
— Patience ! Je te laisse. Elle commande son dessert, salut !
— Vas à ton rythme !
Bernard, un sourire vicieux aux lèvres envoie un message à Sophie.
“ma salope demande si le serveur veut bien être sucer si oui tu l’invite aux toilettes et le suces à fond tu n'avales pas mais garde en bouche pour une fois revenue tu régurgites sur ton dessert.”
Ça y est ça commence, se dit-elle. Quand le serveur lui apporte son ramequin de fraises, elle lui demande :
— Voulez vous que je vous suce aux toilettes ?
le serveur surpris regarde Bernard qui lui montre son pouce levé et répond avec plaisir
Sophie se lève et se dirige vers les toilettes qui se trouvent aux sous sol, elle hésite un court instant puis entre dans les toilettes hommes. Elle découvre une petite pièce avec un urinoir et un lavabo et une porte derrière laquelle se trouve un espace encore plus réduit avec des toilettes à la turque. Elle y entre. Le serveur la suit.
Elle ne sait pas trop comment faire. Elle s’accroupit au-dessus du trous des toilettes et ouvre le pantalon du serveur. Elle découvre un sexe encore flasque. Elle le prend entre ses doigts et approche sa bouche. Plus vite ce sera fini et plus vite elle pourra sortir de ce cauchemar pense-t-elle.
Elle embouche le gland et commence à faire aller et venir ses lèvres sur le membre qui grossit doucement jusqu'à remplir sa bouche. Elle joue avec sa langue. Le serveur lui attrape les cheveux. Il ne veut pas perdre trop de temps, il a son service à assurer. Il ne se retient pas et jouit dans la bouche de Sophie. Elle fait attention de ne pas avaler et surtout serre les lèvres pour ne pas que cela coule. Elle retient ses grimaces, elle déteste sentir le goût et la texture du sperme.
Le serveur rentre son équipement dans son pantalon et sort des toilettes sans s’occuper de cette pute.
Après s’être assurée que personne n’a remarqué qu’elle était avec le serveur. Sophie retourne à sa table. Discrètement, elle laisse couler le sperme qu’elle a dans la bouche qui se mélange avec la chantilly qui recouvrait les fruits. Elle tourne son regard vers Bernard qui déguste son propre dessert. Puis grimaçant, elle porte la première cuillère de fraises à la bouche.
***
Le serveur vient remercier Bernard qui lui demande s’il aimerait que ce petit extra se reproduise. Le serveur n’est pas contre mais il faudra bien sûr que la patronne ne s’y oppose pas.
— Alors, disons une fois par mois ! Avec quelques aménagements, mettre quelques pots de fleurs pour occulter un peu et mettre une table à côté de la mienne pour des complices, voyeurs avertis, et bien sûr l’accord de la patronne. Ce serait jouable ?
— Je vais en parler à la patronne. Elle tient la caisse, voulez-vous que je lui demande de venir vous voir ?
— Oui avec plaisir
Dans le même temps Bernard envoie un SMS à Sophie pour lui demander d’aller payer leur deux repas à lui dès qu’elle a fini ses fraisofoutres et qu’elle retourne travailler.
Sophie se retrouve à côté du serveur qui cause avec sa patronne pendant qu’elle encaisse le règlement.
— A bientôt Madame, lui dit la patronne
— A bientôt, répond Sophie sentant la main du serveur sur ses fesses nues sous sa jupe.
En quittant le restaurant, elle sent le regard du serveur, elle est effrayée des ignominies que Bernard peut encore lui réserver, elle se dit qu'elle doit en parler à quelqu'un. Peut-être Marie-Catherine ? Peut-être qu'elle arrivera à faire entendre raison à son mari ?
***
La patronne vient demander des explications à Bernard sur cette proposition farfelue, qu’il a si bien organisée et vendue, qui pourrait améliorer son chiffre d'affaires. Elle ne veut pas de scandale.
— C’est compréhensible mais si bien géré, il n’y a aucun risque !
— Vous êtes sûr ?
— C’est garanti, réglé comme sur du papier à musique !
— D’accord, je vous autorisé à tenter le coup.
— Vous pouvez vous amuser aussi si cela vous tente ?
— Peut-être, je verrais.
Sur cet accord de principe Bernard rentre chez lui avec la satisfaction du devoir accompli.