mercredi 30 octobre 2024

Chantage à la campagne -07-

 

Ce matin encore, Sophie me précède dans la salle de bain avec son téléphone. Plusieurs fois dans la nuit, j'ai entendu son téléphone vibrer, je suppose que ce sont des instructions de mon voisin et ami, Bernard.

Pour ma part, j'ai trouvé ce que je proposerai à Marie-Catherine en fin de journée. Mais je lui réserve la surprise.

***

Dans la salle de bain, après sa douche, selon les instructions nocturnes de son voisin, ma femme recouvre ses tétons de rouge à lèvres et dessine une bite sur chaque cuisses au-dessus de ses bas. Elle doit aussi écrire au marqueur indélébile PUTE sur son pubis lisse et SALOPE sur ses nichons.

Elle se demande ce que préférera Monsieur Bernard, le petit restaurant chinois ou le restaurant turc.

Quand je la vois sortir de la salle de bain, habillée prête à partir, je la félicite.

— Tu devrais mettre des jupes plus souvent ma chérie, ça te va très bien !

Elle me remercie et nous prenons la voiture pour nous rendre à la gare. Quand elle s'installe sur le siège, je la sens mal à l'aise. Je la vois hésiter avant de s'asseoir. Elle se décide enfin à remonter sa jupe pour poser ses fesses sur le cuir du siège.

Je prends l'air étonné de la voir faire, mais je ne dis rien. Cette position me permet de deviner le haut de ses bas mais pas les dessins.

Quand nous sommes dans le train, j'envoie un message à Marie-Catherine pour lui rappeler de me donner son emploi du temps de la journée. Je remarque que mon épouse tapote, elle aussi, sur son téléphone. Puis elle me dit que Bernard qui sera en ville ce midi lui a proposé de déjeuner avec elle. Je lui conseille un petit restaurant savoyard, près du parc.

Arrivés à destination, nous prenons chacun le chemin de nos bureaux respectifs. Je la regarde s'éloigner, un peu excité de savoir qu'elle va être à la disposition de Bernard pour le déjeuner. Sa petite jupe qui moule son popotin est une vraie incitation au plaisir.

***

A sept heures, comme tous les jours, Bernard se lève pour préparer le petit déjeuner. Il va attendre de rencontrer sa voisine au restaurant qu’elle lui indiquera.

Marie-Catherine ne se lève qu’à neuf heures. Pendant que son mari fait son sport, quotidien, elle me répond que le matin, elle s’occupe de la maison. Qu’elle mange seule car son mari à un rendez-vous en ville. Pour l’après-midi, elle va regarder ses mails et faire un peu de jardinage.

A la lecture de ce message, je lui donne un ordre pour son repas : “puisque tu seras seule, tu devras manger nue comme une chienne à quatre pattes sans utiliser de couvert avec le plug dans son cul.”

En soupirant, elle répond : “oui maître”.

Comme j'aimerais la voir manger ainsi, peut être que j'en profiterais pour la baiser ou l'enculer en même temps, mais cela sera pour un autre jour.

Ma salope, pour la gare, je veux que tu viennes avec ta jupette rose, ton petit haut vert. Tu porteras un string noir dessous.

***

Après sa douche, Bernard envoie un SMS à sa soumise :

ma pute au bureau assise normalement et tu m’envoie un selfie de ta chatte et tes inscriptions de salope

Sophie s'exécute. De son bureau, elle envoie une photo de sa position assise puis de son pubis et de ses seins, après avoir fermé la porte. Monsieur Bernard peut voir les mots "pute", "salope" aux endroits demandés ainsi que les deux bites sur les cuisses. Malgré, ou à cause de sa honte, ma femme mouille.

Elle donne aussi à Monsieur Bernard l'heure et lieu de déjeuner, à 12h30 “Au Petit Savoyard” comme je le lui ai suggéré.

Après la réception des photos, Bernard l’appelle avec en visio.

— Allô, ma pute !

— Allô Monsieur Bernard !

— Fais moi un panoramique de ton bureau seul ou open space ?

Sophie tourne son téléphone, dévoilant un bureau où elle est seule, au troisième étage d'un petit immeuble sans vis à vis.

— Je vois que ta porte est fermée !

— Oui Monsieur Bernard, en raison du caractère confidentiel de mes conversations professionnelles.

— C’est pas mon problème, tu n’es pas obligée de parler fort ouvre ta porte !

— Oui Monsieur Bernard, dit-elle en allant l'ouvrir.

Elle filme pour son maître, le devant de sa table de travail.

— Je vois, quel dommage qu’il y ait un tablier devant.

— Pourquoi cela, Monsieur Bernard ?

— Pour montrer ta chatte à tes collègues, bon tant pis ! Remets-toi à travailler en te caressant le clito en selfie !

— Oui Monsieur Bernard !

Tout en se filmant, elle commence à se caresser.

— Bien continue ! Mais, je coupe ! Il va falloir que je regarde comment aller "Au Petit Savoyard" et où me garer. Mais, tu ne te fais pas jouir !

— Oui Monsieur Bernard, lui répond-elle en continuant de se caresser, ne s'arrêtant qu'au bord de sa jouissance.

***

Vers midi quinze, elle signale à ses collègues qu'elle sort déjeuner. Elle arrive à l'heure prévue devant le Petit Savoyard. Elle appréhende ce déjeuner car elle se souvient de ses promesses de la veille

Son ami lui envoie un SMS pour lui dire qu’il serait un peu en retard. Elle doit s’installer et lui prendra une autre table. Elle est un peu surprise mais entre dans le restaurant.

— Bonjour, je suis Madame Berlon, je vous ai réservé une table ! dit-elle au serveur qui s'approche.

— Bonjour Madame ! Oui ! Suivez-moi ! Je vous conduis à votre table.

Le serveur la conduit à une table où il l'invite à s'asseoir. Elle y est bien visible conformément à la demande de Bernard qui avait appelé le restaurant pour qu'elle soit installée ainsi, visible face à la rue.

Notre voisin entre après l’avoir observée depuis son arrivée. Il prend place à une table d'où il voit parfaitement sa soumise car il y a peu de monde. Tout en lisant la carte, il lui envoie un SMS.

commande et défait un bouton de ton chemisier de plus, tu es correctement assise mais écarte plus tes cuisses

Bernard la voit écarter ses cuisses et ouvrir le bouton. Telle qu'est assise, tous ceux qui entreront dans le restaurant verront le triangle blanc de son string sous sa jupe noire. Il hèle le serveur, un quinquagénaire svelte mais à l'air dur, probablement éreinté par son job depuis longtemps. Quand il est près de lui, Bernard lui demande s'il a pu lire ce qui est écrit sur la poitrine de la Madame Berlon. Gêné, il hésite à répondre quand Bernard le rassure, lui demandant s’il veut passer un bon moment, pour une fois. Il ne risque strictement rien et peut se lâcher un peu. Un léger sourire s’esquisse au milieu de ce visage sévère.

— Bien, vous pouvez donc lui demander… Regardez mon téléphone, je lui envoie un ordre : “le serveur n’a pas vu tes inscriptions sur ses nichons. tu vas lui dire et lui montrer.

Le garçon commence à voir sa journée s’améliorer.

***

Sophie regarde vers le garçon qui lui amène son entrée après avoir servi deux tables. Elle écarte un peu les pans de son chemisier pour qu'il puisse bien voir l'inscription sur ses nichons. Elle frissonne, partagée entre la peur que Bernard envoie la photo à son mari et l'envie de fuir.

Elle n'a pas le choix, comme l’a bien compris le serveur qui lui demande ce qui est inscrit sur ses seins.

— Salope, dit-elle en tremblant.

— Pardon ? jouant les malentendants.

— Salope ! dit-elle plus fort.

Sophie commence à accepter sa soumission. Elle est au bord des larmes en réalisant cela. Bernard jubile tout en sachant que c’est vache, mais n’est-ce pas ce que veut Hervé ? Quand le garçon lui amène son entrée, il lui demande ce qu’elle lui a dit.

— Elle m’a dit, comme j’ai pu le deviner “salope” !

— Comment ? Vous n’avez pas vu en entier ?

— Non, c'était caché par son soutien gorge.

— Bien !

Sophie remarque que Bernard et le serveur parlent plus que de raison puis, elle voit Bernard prendre son téléphone.

ma pute sors tes mamelles des bonnets laissant un rien couvert par les pans du chemisier ouvert.

Quand elle reçoit le message, elle regarde partout et discrètement réussit à sortir ses gros seins des bonnets recouverts par les pans du chemisier.

***

— Dites-moi jeune homme, une gâterie vous plairait ? demande alors Bernard au serveur qui n'en croit pas ses oreilles. Allez lui demander ce qu'elle veut être ?

Surpris, le serveur se dit qu’il devrait acheter un billet de loto. Il continue de servir les autres tables qui ont l’air d’ignorer ce qui se trame, malgré la bonne exposition de cette soumise.

tu répondras au serveur ce que tu es

Quand il arrive pour desservir l’entrée, en prenant l'assiette, il a les yeux rivés sur ses seins en lui demandant :

— Que voulez-vous être ?

Ce qu'elle ne pensait être qu'un mauvais rêve se réalise.

— Je veux être une pute, une salope, une chienne…

Le pauvre garçon est tellement surpris qu'il renverse les couverts, attirant les regards des autres convives. Il se baisse pour les ramasser et découvre, quand elle écarte encore plus ses cuisses et remonte sa jupe, après avoir reçu un nouvel ordre par SMS, les bites sur les cuisses de Sophie qui réalise avec horreur qu'elle mouille.

Quand le serveur dessert l’entrée de Bernard, ce dernier lui dit :

— Demandez-lui son string sur place !

Le garçon sert d’autres tables et revient vers Bernard en lui signalant que certains mangeurs ont vu la femme sexy.

— J’ai essayé de les détourner jouant l’indifférence.

— Vous avez bien fait mais ils peuvent se rincer l'œil, ce n’est pas interdit tant qu’ils ne portent pas plainte ! Hahahaha !

Il amène le plat principal à Sophie qui lit sur son téléphone : “obéis

— Madame, vous devez me donner votre string ! Il se racle la gorge. Vous devez me le donner, là !

Déglutissant, ma femme fait glisser son string sur ses cuisses dévoilant l'inscription sur son pubis. Elle achève de le retirer pour le donner au serveur. Elle se demande si elle va réellement devoir sucer devant tout le monde comme elle l'a dit à Monsieur Bernard.

Le serveur reste devant la table pour la dissimuler quelque peu des autres tables. Il met le string dans sa poche et va servir d’autres clients avant de revenir vers Bernard qui lui demande d’aller poser le string sur le bar. Sophie regarde son string, bien visible, elle a honte.

Bernard veut quand même mon accord avant d'aller plus loin. Il veut m'expliquer ce que mon épouse vient de faire pendant son déjeuner. Pendant ce temps, le serveur rigole avec des clients.

***

— Allô Hervé ?

Oui Bernard, que se passe-t-il ?? Un problème ?

Non au contraire ! Voila ! Sophie vient de montrer ses seins au serveur et de lui donner son string qui est sur le bar à la vue de tous elle a les jambes écartées, montrant sa chatte cela te convient-il ? Je te fais une photo ?

Oui, parfait !

Puis-je aller plus loin ?

Oui ! bien sûr ! évidemment!

Puis-je la faire sucer le serveur aux toilettes ou ???

Ou tu veux… qu'elle ait toujours au moins un trou rempli…

Pas dans la salle tout de même ?

Non, il ne faut pas créer de scandale

OK, je lui demande de sucer le serveur aux WC ?

Oui. elle passera bientôt plus de temps à l'horizontal que vertical, dis je en riant

Patience ! Je te laisse. Elle commande son dessert, salut !

Vas à ton rythme !

Bernard, un sourire vicieux aux lèvres envoie un message à Sophie.

ma salope demande si le serveur veut bien être sucer si oui tu l’invite aux toilettes et le suces à fond tu n'avales pas mais garde en bouche pour une fois revenue tu régurgites sur ton dessert.

Ça y est ça commence, se dit-elle. Quand le serveur lui apporte son ramequin de fraises, elle lui demande :

Voulez vous que je vous suce aux toilettes ?

le serveur surpris regarde Bernard qui lui montre son pouce levé et répond avec plaisir

Sophie se lève et se dirige vers les toilettes qui se trouvent aux sous sol, elle hésite un court instant puis entre dans les toilettes hommes. Elle découvre une petite pièce avec un urinoir et un lavabo et une porte derrière laquelle se trouve un espace encore plus réduit avec des toilettes à la turque. Elle y entre. Le serveur la suit.

Elle ne sait pas trop comment faire. Elle s’accroupit au-dessus du trous des toilettes et ouvre le pantalon du serveur. Elle découvre un sexe encore flasque. Elle le prend entre ses doigts et approche sa bouche. Plus vite ce sera fini et plus vite elle pourra sortir de ce cauchemar pense-t-elle.

Elle embouche le gland et commence à faire aller et venir ses lèvres sur le membre qui grossit doucement jusqu'à remplir sa bouche. Elle joue avec sa langue. Le serveur lui attrape les cheveux. Il ne veut pas perdre trop de temps, il a son service à assurer. Il ne se retient pas et jouit dans la bouche de Sophie. Elle fait attention de ne pas avaler et surtout serre les lèvres pour ne pas que cela coule. Elle retient ses grimaces, elle déteste sentir le goût et la texture du sperme.

Le serveur rentre son équipement dans son pantalon et sort des toilettes sans s’occuper de cette pute.

Après s’être assurée que personne n’a remarqué qu’elle était avec le serveur. Sophie retourne à sa table. Discrètement, elle laisse couler le sperme qu’elle a dans la bouche qui se mélange avec la chantilly qui recouvrait les fruits. Elle tourne son regard vers Bernard qui déguste son propre dessert. Puis grimaçant, elle porte la première cuillère de fraises à la bouche.

***

Le serveur vient remercier Bernard qui lui demande s’il aimerait que ce petit extra se reproduise. Le serveur n’est pas contre mais il faudra bien sûr que la patronne ne s’y oppose pas.

Alors, disons une fois par mois ! Avec quelques aménagements, mettre quelques pots de fleurs pour occulter un peu et mettre une table à côté de la mienne pour des complices, voyeurs avertis, et bien sûr l’accord de la patronne. Ce serait jouable ?

Je vais en parler à la patronne. Elle tient la caisse, voulez-vous que je lui demande de venir vous voir ?

Oui avec plaisir

Dans le même temps Bernard envoie un SMS à Sophie pour lui demander d’aller payer leur deux repas à lui dès qu’elle a fini ses fraisofoutres et qu’elle retourne travailler.

Sophie se retrouve à côté du serveur qui cause avec sa patronne pendant qu’elle encaisse le règlement.

A bientôt Madame, lui dit la patronne

A bientôt, répond Sophie sentant la main du serveur sur ses fesses nues sous sa jupe.

En quittant le restaurant, elle sent le regard du serveur, elle est effrayée des ignominies que Bernard peut encore lui réserver, elle se dit qu'elle doit en parler à quelqu'un. Peut-être Marie-Catherine ? Peut-être qu'elle arrivera à faire entendre raison à son mari ?

***

La patronne vient demander des explications à Bernard sur cette proposition farfelue, qu’il a si bien organisée et vendue, qui pourrait améliorer son chiffre d'affaires. Elle ne veut pas de scandale.

C’est compréhensible mais si bien géré, il n’y a aucun risque !

Vous êtes sûr ?

C’est garanti, réglé comme sur du papier à musique !

D’accord, je vous autorisé à tenter le coup.

Vous pouvez vous amuser aussi si cela vous tente ?

Peut-être, je verrais.

Sur cet accord de principe Bernard rentre chez lui avec la satisfaction du devoir accompli.



lundi 28 octobre 2024

Soirée entre Amies : Le piège se referme (La Confrérie d'Artémis)

 

Laurence

Je reprends ma voiture troublée par cet intermède qui aura duré plus longtemps que prévu, je préviens mon mari pour lui dire que j'arrive, que j'ai été retardée par une crevaison et que j'ai pu changer la roue avec l'aide d'un collègue qui voyage avec moi dans le train mais que cela m'a mise en retard.

Françoise est charmante, je suis très surprise qu'elle nous ait proposé de venir passer la soirée avec Carole mais elle m'a assurée que je passerais une soirée mémorable. Je réalise aussi qu'elle a réussi à me faire raconter ma vie, à me dévoiler bien plus intimement que je ne l'ai jamais fait, je lui ai même avoué mes frustrations sexuelles avec mon mari que j'adore mais que je trouve beaucoup trop sage et trop doux.

J'arrive chez moi et j'embrasse tendrement mon mari et mes enfants viennent autour de moi impatients de me raconter leur journée. Je mets vite le holà, en leur disant que ce soir je sors avec Carole et que je dois me préparer.

Je monte dans la chambre pour pouvoir prendre une douche et me changer avant l'arrivée de Carole. Je n'ai plus beaucoup de temps car le détour m'a pas mal retardée.

Je choisis une robe noire sans bretelle près du corps avec des volants mi-cuisses, un string noir et un soutien-gorge bandeau. Puis je me glisse sous la douche.

Sans savoir pourquoi, je refais mon épilation du maillot et je suis encore dans la salle de bain lorsque j'entends mon mari appeler pour me dire que Carole est arrivée.

Rapidement je finis de me préparer et redescends au salon ou Carole est en train de rigoler avec les enfants. Mon mari finissant de leur préparer le repas.

Tu es ravissante ! me lance Carole.

Merci, lui dis-je. J'ai une surprise pour toi ce soir.

Ah bon laquelle ?

Je te dirai en route.

Nous disons au revoir et je monte à côté de Carole dans sa voiture.

Alors cette surprise ?

Nous sommes invitées chez des amis. Je te guide.

Je la guide et quelques minutes plus tard, nous franchissons la grille du parc qui s'ouvre et se referme derrière nous.

C'est magnifique ! me dit-elle. Tu ne m'en avais jamais parlé.

Je les ai rencontrés il y a peu de temps. Tu verras ils sont très charmants.

Carole se gare dans la cours en gravier devant la demeure et nous sortons de la voiture.



Maître Luc

Il est vingt heures, cela fait presque deux heures que Laurence est partie de la maison. Mon épouse a préparé un dîner à base d’épices, avec un bon bordeaux rosé bien frais cela va très bien et a surtout pour effet de faire boire les femmes en général.

De mon côté, j’ai passé une bonne partie de mon temps au sous-sol, afin de préparer notre salle spéciale pour des invitées telles que Laurence. J’espère qu’elle va apprécier. Tout le matériel est en état de fonctionner. Françoise mon épouse pense que Laurence est le genre de femme à apprécier les surprises et les ustensiles de cette pièce. Elle m’a demandé mon avis, j’ai répondu : "Je le pense aussi", alors que je connais moins Laurence qu’elle.

Françoise s’est habillée assez sexy et ne porte pas de culotte. Je ne sais pas du tout comment la soirée va se dérouler, j’ai quelques angoisses. Mon épouse est une personne dominante, dans notre couple, au travail et dans des soirées un peu spéciales que nous faisons avec d’autres couples rencontrés sur le Net.

Cette fois-ci, c’est un peu différent, même très différent. Laurence ne sait pas ce qui l’attend et j’espère qu’elle va jouer le jeu.

Une voiture vient d’entrer dans la cours, ce n’est pas celle de Laurence, qui cela peut-il bien être ? Je sors sur le perron et reconnais Laurence, non pas à la place de la conductrice mais comme passagère. La personne qui conduit est aussi une femme. La voiture se gare au pied du perron, je descends ouvrir la porte de la conductrice. Une ravissante jeune femme en sort, elle doit avoir dans les 35 ans à peine. Je lui tends la main pour l’aider à descendre. Ses doigts sont fins et très longs, cela devrait plaire à mon épouse. Elle se présente.

Carole, amie de Laurence, merci pour cette invitation.

Enchanté Carole, Luc pour vous servir, puis je fais rapidement le tour de la voiture pour ouvrir la portière de Laurence, qui a assisté à la scène en restant assise à sa place.

Laurence est vraiment une belle femme, une très belle femme même comme je les aime. Elle porte une robe noire, ma couleur préférée et cela la rend encore plus aguichante à mes yeux. Pour la seconde fois de la journée, j’arrive à apercevoir son entre jambes, la couleur de la culotte a changé, passant du blanc au noir. Je n’ai pas eu de mal à remarquer ce détail, Laurence ayant bien remonté sa robe et bien écarté les jambes pour descendre de voiture. Bien sûr tout ça n’est pas dû au hasard. Son attitude vis à vis de moi confirme qu’elle est venue avec l’intention de me séduire. Le fait que je sois marié ne semble pas lui poser de problème de conscience. La réciproque est vraie, elle va le découvrir à ses dépens très bientôt.

Je me suis permise d’emmener avec moi mon amie Carole avec qui je devais passer initialement la soirée, j’espère que cela ne vous dérange pas ?

Vous avez bien fait, j’espère qu’elle aime les surprises et les sensations fortes.

Pourquoi dites-vous cela ? Vous avez des surprises pour nous ? En fait, non, ne dites rien de plus. Avec Carole nous avons déjà fait les quatre cent coups depuis que nous nous connaissons et nous adorons tout ce qui sort de l’ordinaire. Tant mieux si cette soirée nous réserve des surprises !

Les deux femmes montent en riant, bras dessus bras dessous maintenant, les quelques marches du perron, je me tiens deux marches derrières elles. La hauteur de ces deux marches fait que mon visage est presque à la hauteur d’une partie attractive de leur anatomie. Deux fessiers qu’il me tarde de dénuder.

Mon épouse les accueille et les invite à passer prendre l’apéritif sur la terrasse de l’autre côté de la maison. Nous sommes assis dans des fauteuils en teck. Les fauteuils sont bas et les trois femmes que j’ai avec moi se retrouvent assises avec les genoux bien plus hauts que leur bassin. Je ne sais plus laquelle regarder. Ces chattes que je devine sous la fine dentelle de leur string commencent à m’échauffer l’esprit. Il va être bientôt temps de passer à l’action. Mon épouse qui me connaît bien le sait. Je l’entends discuter avec nos deux belles invitées en orientant subtilement et progressivement la conversation.



Laurence

Je découvre cette terrasse qui se termine par une piscine. Quel dommage que nous ne le sachions pas plus tôt, nous aurions pu prendre nos maillots de bain. Comme si elle avait entendu mes pensées, l'épouse de Luc, nous regarde en souriant.

Je pense que je pourrais prêter un de mes maillots à Carole mais pour toi Laurence, cela me semble difficile. Il te faudra te baigner nue ou en sous-vêtements.

Je baisse le regard gêné, ne sachant que répondre car en plus, j'ai mis un string mais je ne me vois pas me baigner nue devant des inconnus même si j’imagine que cela doit être vraiment agréable de sentir la caresse de l’eau directement sur mon intimité. Par contre, J'ai déjà bronzé seins nus sur la plage donc je pourrai facilement dans un cadre aussi restreint me baigner sans le haut.

Je verrai, Françoise, dis-je.

Je remarque l'air étrange de Luc dont le regard passe de l'une à l'autre, nous dévorant toutes les trois du regard. J'ai vu son regard lorsque je suis descendue de la voiture et je me doute qu'il a dû avoir une vue plongeante sur mon string, ma robe n'est pas assez longue pour le cacher. Et assise telle que je le suis dans ce fauteuil, je dois faire attention à serrer les cuisses pour ne pas paraître indécente. Si j'avais su j'aurai mis une robe un peu plus longue.

Françoise me sauve de cet embarras.

Luc peux-tu nous servir de quoi nous rafraîchir ?

Avec plaisir chérie ! Dit-il en se levant pour nous servir un apéritif. C'est un cocktail dont mon épouse a le secret. Goûtez-le, vous nous en direz des nouvelles.

Pendant qu'il prépare les verres, Carole est en pleine discussion avec ma nouvelle amie. Je suis troublée par ce qu'elle vient de dire : pourquoi n'a-t-elle proposé qu'à moi de se baigner nue ?

Luc revient avec les verres et nous trinquons à la soirée. Je trempe mes verres dans ce liquide sirupeux et délicieux. Je cherche les différents composants sans parvenir à les identifier.

Luc et son épouse nous regardent boire lentement en nous proposant différents amuse-gueules.

Il est bon mais il doit vite monter à la tête, dis-je en les regardant.

Ce n'est pas vous qui conduisez, me répond Luc.

C'est vrai, c'est Carole.

Elle me regarde et me dit, ne t'inquiète pas, je vais rester sobre. Je te ramènerai sans encombre à ton petit mari chéri.

Alors que nous finissons l'apéritif, je demande à l'épouse si je peux l'aider à faire quelque chose. Elle accepte avec plaisir ma proposition et m'invite à la suivre dans la cuisine. Nous laissons Carole et Luc seuls sur la terrasse.



dimanche 27 octobre 2024

Chantage à la campagne -06-

 

La journée de Sophie et Bernard


Quand son réveil sonne, Sophie se lève rapidement et précède son mari dans la salle de bain. Elle se dit qu’elle a du boulot pour satisfaire les exigences de Bernard. Cela fait un moment qu’elle ne s’est pas occupée de sa toison. Si elle a l’habitude de l’entretenir, elle ne se l’est jamais complètement épilée. Elle se demande d'ailleurs comment elle expliquera son pubis glabre à Hervé. Elle aura la journée pour trouver une explication plausible sans dire que c’est un ordre de Bernard. SI Hervé apprenait ce qu’elle accepte pour ce voisin, il serait sûrement malheureux. Il l’aime si tendrement, si fort. Elle ne veut pas le perdre. Mais ce n’est pas de sa faute. C’est de la faute de Bernard qui la menace avec ces photos. Quelle idée, elle avait eu de s’endormir avec la robe remontée si haut que son string était à la vue de tous. Mais comment aurait-elle pu penser que Bernard allait arriver et surtout que ce pervers la prendrait en photo. Elle n’en voulait pas à son mari, lui non plus ne pouvait imaginer la perversité de leur voisin. Ce couple si honorable qui les avait accueillis aussi chaleureusement quand il avait emménagé dans cette petite ville. Non, si elle se retrouve dans cette situation, c’est entièrement de sa faute et elle doit en assumer les conséquences.

Elle se regarde nue dans le miroir, elle se demande ce que Bernard peut lui trouver, elle n’a plus le corps de ses vingt ans. Sa poitrine tombe un peu, elle a une petite bouée autour de la taille et un peu de cellulite sur les cuisses et les fesses. Enfin, il faut qu’elle s’occupe de cette forêt comme le lui a dit Bernard.

Elle attrape un tube de crème et étale consciencieusement le produit sur son pubis. Elle attend qu’il agisse avant de bien tout enlever. Elle caresse son mont de Vénus mais elle n’est pas satisfaite, il reste encore quelques poils. Elle recommence l’opération. L’heure tourne. En fait, cela l’arrange car cela justifiera le fait qu’elle ne parte pas avec Hervé.

D’ailleurs celui-ci frappe à la porte. Il l’informe qu’ils vont rater le train. Elle lui répond qu’elle prendra le suivant, mais il veut entrer pour se raser. Elle ne veut pas se montrer ainsi. Elle attrape une serviette de bain et s’y enroule avant d’ouvrir la porte et d’aller dans les toilettes.

Elle souffle. Hervé n’a rien vu.

— Chérie ! J'y vais… lui dit-il. Bisous.

— Bisous !

Au moment où elle entend la porte se refermer, elle entend son téléphone sonner. Elle sort rapidement des toilettes, laissant tomber sa serviette de bain, elle arrive nue dans la cuisine alors que son téléphone continue de sonner.

— Allo ! Oui, Monsieur Bernard ! Répond-elle un peu inquiète.

— Bonjour ma grosse salope comment vas-tu ? En pleine forme ? Bien obéissante et prête à subir toutes les avanies que tu mérites et dont tu as envie ?

— Oui… Monsieur Bernard, oui… Tout ce que vous voudrez… Mais, je dois finir de m'habiller pour aller travailler.

— Tout ce que je voudrai et pourquoi donc ?

— Car je suis une pute, une salope, une chienne…

— Ça, je le sais, mais pourquoi acceptes-tu cela ?

— Car j'en ai envie… dit elle tremblante

— Donc tu ne cherches qu’à te faire plaisir ?

— Pour vous plaire aussi Monsieur Bernard, car je suis obéissante.

— Mouais… Bon ! Disons comme ça ! Habille-toi comme convenu !

— Oui Monsieur Bernard, je m'habille comme convenu.

— J’espère que tu as fait ce qu’il fallait sur ton pubis ?

— Oui, Monsieur Bernard, il est tout lisse.

— C’est bien ! Donc, tu peux écrire dessus au marqueur avant tatouage en majuscule de cinq centimètres P U T E !

— S'il vous plaît... Je vous en prie…

— Tu m’as dit être obéissante ! Alors obéis ! Il n’y a pas de mais…

— Oui… j’obéis… j’écris…

— Bien, une fois fait, tu photographies et me l’envoies, peut-être que ça amusera Hervé ?

— Non s'il vous plait, je prends la photo mais pas Hervé s'il vous plaît !

— Je fais ce que je veux ! Obéis ! C’est tout… et dépêche toi !

— Oui Monsieur Bernard !

Sophie trouve un marqueur et écrit PUTE en grosses lettres, avant d'envoyer la photo de son pubis à son tourmenteur.

bien reçu photo tu n’es pas David Hamilton mais cela suffit pour amuser la galerie. Le maire va aimer foutre sa queue dans ta cramouille dégoulinante aussi bien nommée A plus tard on se recontacte quand t’es au boulot

***

En lisant ce message, elle ne peut que grimacer. Elle finit de se vêtir comme convenu des bas tenus par un porte-jarretelles, un string et un soutien gorge pigeonnant assortie. Elle n’oublie pas de laisser trois boutons de son chemisier ouvert et se rend à la gare. Sa jupe est bien trop courte à son avis.

Dans le train, elle choisit une place où elle est seule et pense à relever sa jupe pour poser ses fesses nues sur le siège. Elle trouve le trajet interminable.

A son travail, elle fait la bise à ses collègues qui la trouvent élégante et commence à travailler, toujours assise, fesses nues sur la chaise. Elle a bien vu le regard de certains hommes vers sa poitrine.

Elle essaie de chasser de ses pensées l’inscription sur son pubis, heureusement invisible.

Dans la matinée, elle appelle la mairie pour avoir un rendez-vous avec Monsieur le Maire, la secrétaire lui répond qu'il y a un créneau ce mercredi entre onze heures et midi. Sophie accepte cet horaire et en informe Monsieur Bernard en regardant anxieusement son téléphone, va-t-il lui envoyer un message ?

***

Bernard, faisant de la politique, connaît bien le maire. Sans être amis, ils sont en très bons termes et ont bu quelques canons en meeting. Quelques minutes avant Sophie, il appelle le maire sur sa ligne personnelle pour l'informer que Sophie Berlon va lui demander un rendez-vous et qu’il devrait la recevoir rapidement, si le chaud lapin qu’il est veut s’amuser sans risque

— Sophie, la petite grosse de la paroisse ? demande le maire.

— Oui, je l’ai dans la main. Si ça te dis avec un peu de patience, elle te mangera aussi dans la main. Mais faut donner sa subvention.

— OK ! Tu me le promets ?

— Fais moi confiance ! Mais surtout laisse venir ne brusque rien !

— OK, pour mercredi à onze heures, ce sera parfait, j'en informe ma secrétaire.

***

Alors qu'elle est en plein travail, le téléphone de Sophie sonne. Elle décroche surprise, elle s'attendait à un message écrit.

– Allo Monsieur Bernard !

— Tu manges comment à midi ?

— Je vais sortir me chercher une salade, Monsieur Bernard et je mangerai dans le parc au bord de l’étang.

— Dommage que je ne puisse venir, mais bon tu déferras un bouton de plus pour acheter ta salade et la manger bien assise avant de le remettre pour bosser !

— On verra mon soutien gorge…

— J’espère bien !

— Oui Monsieur Bernard, répond-elle en déglutissant.

— Et comme tu récrimines, tu trouveras bien quelqu’un pour te prendre en photo assise “correctement” avec ton tel et tu m’enverras la photo.

— Oui… j'obéirai !

— Heureusement ! Il ne manquerait plus que tu désobéisses !

— Merci Monsieur Bernard, dit-elle avant de raccrocher.

***

Quand sa pause déjeuner arrive, elle ouvre un bouton de son chemisier quand elle sort dans la rue. Elle peut voir le regard surpris de la serveuse de la saladerie où elle a l'habitude de venir s'acheter ses repas. Dans le parc, elle trouve un banc face à l’étang et commence à manger et surveillant les alentours, épiant d'éventuels passants. Enfin, un jeune homme s'approche, elle l'interpelle.

— S'il vous plaît ! Puis-je vous demander un service ?

— Euh… oui madame !

— Je voudrais envoyer une photo à mon mari pour lui montrer que je déjeune dehors, vous pourriez me prendre en photo ?

Le jeune homme bien que surpris par l'impressionnant décolleté et la jupe dévoilant très haut les cuisses de cette femme accepte sans hésiter beaucoup. Quand Sophie lui tend son téléphone, le garçon reste mi figue mi raisin, se demandant comment prendre une photo. Timidement, il ose demander :

— Si c’est pour votre mari, est-ce une bonne pause ?

— Merci, oui c’est bien ! répond-elle en reprenant rapidement le téléphone.

Le jeune homme s’éloigne, intriguée par cette femme et sa pose indécente. Sophie envoie immédiatement, la photo à Bernard qui peut voir la dentelle du soutien gorge, le fond du string et les jarretelles.

Bernard lui envoie aussitôt un sms.

tu retires ton string tout de suite en échange du bouton à reboutonner”

oui Monsieur Bernard, je le retire”

Discrètement, elle retire le fin sous-vêtement et sent le vent sur son pubis lisse. A cet instant, son téléphone sonne. Monsieur Bernard l'appelle.

— Allo ma chienne !

— Oui Monsieur Bernard !

— Tu vois toujours ton photographe ?

— Non, je suis seule, Monsieur Bernard !

— Tu dois être bien triste car tu avais envie de le remercier en lui donnant ton string, non ?

— Non Monsieur Bernard, pas du tout !

— C’est pas bien de mentir ma pute !

— Je ne mens pas !

— Bon, pas grave ! J’envoie une photo à ton mari !

— Non, s'il vous plait… oui, je mentais. Oui, j’aurais voulu le remercier en lui donnant mon string.

— C’est si difficile d’être honnête en acceptant sa condition viscérale de salope ?

— Oui, Monsieur Bernard, c'est dur !

— Mais tu vas faire des efforts ?

— Oui, je vais faire des efforts !

— Enfin pour que tu comprennes mieux les leçons, je suis obligé de te demander d’écrire ton numéro de téléphone sur ton string.

— Oui Monsieur Bernard, dit-elle terrorisée.

— Et tu as envie pour confirmer ta bonne compréhension de laisser ton string sur le banc avec photo pour me le prouver

— Oui Monsieur Bernard, j'ai envie de le laisser sur le banc !

— Et bien fais-le et retourne bosser après !

Elle le pose et envoie la photo avant de regagner son bureau. Elle est angoissée de savoir son numéro dans la nature sur son string.

"Pourquoi après avoir envoyé la photo, n'a-t-elle pas récupéré son string ? Deviendrait-elle une salope comme le dit Monsieur Bernard ?" se dit-elle en se tentant de rester concentrée sur son travail.

***

Vers dix-huit heures, Sophie se prépare à partir pour rentrer. Bernard occupé à des travaux d'agrandissement chez lui, ne lui a pas envoyer de message. Il avait juste répondu à mon message l'informant que Marie-Catherine sera avec moi jusque vers dix-neuf heures.

Sophie ressent des sensations bizarres dans le ventre avec ses tétons qui durcissent et sa vulve s'humidifie en pensant qu'elle va devoir prendre le train et s'asseoir comme l'exige Monsieur Bernard sans avoir la protection du string sur sa chatte nue. Elle espère que personne ne remarquera son état.

Devrait-elle tout arrêter en avouant ce qui se passe à son mari avec le risque de le voir l’abandonner ou de se fâcher avec ses amis, d’autant plus que Marie-Catherine a aussi une attitude bizarre ? Pendant son trajet ces réflexions et ces questionnements traversent et alimentent son esprit. Aime-t-elle ça ? Est-ce normal, c’est très ambivalent, un paradoxe perturbant le discernement raisonnable. Je suis obligée mais pourquoi ai-je laissé mon string ? Bernard ne l’aurait su ! Encore que… je ne sais plus où j’en suis ?

Elle se sent bizarre, elle a envie de faire l’amour. Elle frissonne. En arrivant chez elle, la maison est vide, je ne suis pas rentré mais elle a envie de faire l’amour.

Elle appelle Bernard désespérée qui pour l’asservir encore plus, ne répond pas la laissant bouillir dans son jus. Il n’est pas corvéable en répondant quand le sonne la soumise.

Elle lui dit qu’elle est sa pute, sa salope sa chienne qu’elle a envie d’un homme… message qu’il lit pendant une publicité à la télévision, sans répondre

Pour se calmer, elle finit par sortir de chez elle… Elle va se promener au bord de la rivière… Elle espère que l'air frais va lui faire du bien. Elle ne veut pas que je la vois dans cet état.

***

En attendant Marie-Catherine, Bernard s’est endormi devant la télévision, il se lève de bonne heure.

Quand Marie-Catherine arrive, elle lui montre sa capote bien propre sortie de sa bouche ainsi que le rosebud dans un deuxième temps car elle sait que c’est moins excitant pour lui car il a déjà vu ça.

Mais la capote ! Ça, c'est vraiment génial ! Il ne sait pas encore comment me remercier d’y être arrivé.

Il connaît les désirs de son voisin, il va mettre encore plus d’ardeur à s’occuper de Sophie. C’est un juste un renvoi d’ascenseur mais il est fatigué et la nuit lui donnera des idées pour humilier Sophie demain mardi et surtout mercredi avec le maire.

Marie-Catherine lui raconte aussi son rendez-vous à la banque, ce qui le ravit espérant que ce petit pervers en profitera. Il ne doute pas que je m’en assurerai.

***

Bernard envoie un SMS à Sophie qui marche le long de la rivière.

salope je sais que tu mouilles ce qui te permettra de bien refaire ramoner par ton mari. pour demain les consignes sont un peu les mêmes désolé d’être déjà le conventionnel . Par contre tu te débrouilleras pour retenir des couverts dans un resto près de ton boulot pour m’inviter à déjeuner”

Oui Monsieur Bernard bien sur

bien tu pourras aussi passer tes tétons au rouge à lèvres et tu dessineras une bite sur chaque cuisse au dessus des bas"

Elle n’ose pas dire non et répond : “oui Monsieur Bernard”

j’affinerai demain pour te faire plaisir comme tu aimes n’est-ce pas ?”

Oui Monsieur Bernard je vous remercie”

Je suis votre pute, votre salope, votre chienne”.

dis-moi donc ce que tu aimerais que je te demande au resto ! ne me déçois pas”

J’aimerai que vous me demandiez de sucer un serveur”

Oooh franchement quelle salope tu fais c’est vraiment ce que tu veux ?”

Oui monsieur Bernard, c’est vraiment ce que je veux.”

et tu veux boire son foutre ?”

Oui je veux boire son foutre”

quelle gourmande dans la salle devant tout le monde ?”

Non Monsieur Bernard svp pas devant tout le monde”

oh tu me déçois ! tu n’es donc pas ce que tu prétends tu ne mérites pas que je m’occupe de toi ton mari devra se débrouiller avec toi”

Non svp je sucerais devant tout le monde”

j’ai un doute tu n’as pas l’air sincère”

Comment vous le prouver ?”

a ton avis ?”

En le faisant”

en faisant quoi je ne comprendS pas”

En suçant le serveur devant tout le monde comme une pute, une salope, une chienne”

et tu pourrais te caresser en même temps ?”

Oui monsieur Bernard je me caressait en.meme temps”

en montrant bien ton cul et ta chatte ?”

Oui en montrant bien mon cul et ma chatte”

bien dis-moi ce que penserait ton mari s'il savait tes envies ?”

Il serait désespéré… triste, déçu…”

Et si d’autres clients veulent en profiter ??”

Tout ce que vous voudrez Monsieur Bernard… Je suis une pute… une salope… une chienne…

Bernard questionné par son épouse répond qu’il est sur Instagram à échanger des idées et il cesse les échanges. Il espère que je serai content, en envoyant les photos reçues de Sophie. Mais il a un peu perdu le fil de son téléfilm et passe sur une chaîne d’info en zappant, maugréant de l’incompétence des dirigeants.

***

Plongée dans ses échanges avec Bernard, Sophie ne se rend pas compte que depuis quelques minutes, elle est suivie par trois jeunes à la mine peu engageante. Ils s’approchent d’elle en la sifflant. Ils commencent par l'entourer. L'un d'eux lui caresse les fesses et va même jusqu'à soulever sa jupe.

— Regardez cette salope de française ! Elle porte des bas comme une pute !

Tétanisée, elle ne peut pas réagir. Un autre écarte son chemisier arrachant un bouton.

— Regarde ses nichons…

Elle recule mais se retrouve vite contre un arbre. C'est à ce moment que quatre autres jeunes arrivent. Sophie est complètement paniquée, que vont-ils lui faire ? A sept !

— Eh les bougnouls ! C'est facile de vous en prendre à une femme seule, vous aller moins faire les malins à face à nous !

— Mais, c'est Mme Berlon, dit un des nouveaux arrivants.

— Partez ! Lui dit un des jeunes blancs. On va s'occuper d'eux !

Sophie sort de sa stupeur et se met à courir vers sa maison.

Quand elle franchit la porte, elle est encore sous le choc de l'agression qu'elle vient de subir. Son mari est là. Elle respire et lui dit qu'elle à passée une journée compliquée.

Elle file sous la douche où elle nettoie bien son pubis. Elle s'allonge sur son lit pour profiter du massage que lui prodigue Hervé avant de laisser pénétrer son anus. Après tout, il en a bien droit, il est tellement attentionné.

Elle aurait préféré faire l'amour de manière plus conventionnelle mais elle avait envie d'être pénétrée.

Bernard reçoit alors un message d’Hervé qui lui dit qu'il vient de s'occuper du cul de Sophie et qu’il apprécie le pubis lisse car il évident qu’il est derrière cette épilation.

***

Bernard envoie immédiatement un sms à Sophie lui demandant une photo immédiate de son mont de vénus.

Je l'entends réagir à la vibration de son téléphone et lire le message. A moitié endormie, elle se lève et va aux toilettes pour prendre cette photo et l'envoyer à Bernard, ne réalisant pas que l'inscription n'est plus là.

tu as effacé ton inscription salope demain c’est au marqueur indélébile que tu te marqueras et pour ta punition d’avoir essayé de me rouler tu marqueras sur chaque seins “salope”