dimanche 15 juin 2025

La Belle Fille - 03

 

Ce texte a été écrit il y a quelques années par une personne sous le pseudo : BERNARD240


Je baise ma belle-fille au réveil


Cette fois je ne vais pas attendre une semaine !!

Deux jours plus tard le matin, je prends mon café avec ma femme et Hervé, mon fils.

On échange quelques banalités de boulot, puis ils partent tous les deux au travail…

Je décide de prendre une marge de sécurité de trente minutes pour éviter un retour et me faire surprendre par l’un d’entre eux.

Je préviens aussi Marc mon associé de ne passer me chercher que vers onze heures.

Et là, je monte doucement dans la chambre de Sophie qui dort tranquillement.

Je lève le drap, elle est en nuisette, nue en dessous, belle croupe bien large, elle dort en chien de fusil dos à moi, hummm un joli paysage se présente devant moi…

Je me glisse dans le lit très doucement et je commence des petites caresses sur la base de sa nuque puis tout le long de son dos et ses fesses que j’effleure…

Son corps se réveille lentement, elle commence doucement à réagir sans savoir ce qu’il se passe

Je continue très délicatement, elle se rend compte d’une présence et dit :

Sophie : « laisse-moi Hervé, j’ai pas envie, je sais bien ce que tu veux !! tu sais que je ne suis pas du matin… »

Elle me confond avec mon fils, son mari..

J’insiste, souffle dans son cou et son dos, puis je commence à déposer des petits bisous sur sa nuque.

Elle se tord encore comme un mouvement pour me repousser

« Putain lâche-moi, Hervé, qu’est-ce qui te prend t’es malade ou quoi j’ai dit NON !! »

Et là d’un coup, je l’enlace avec mon bras fermement et lui attrape un sein en pinçant le bout

Sophie : « Aie ! Mais… mais c’est qui ? arrêtez… »

Je suis plus fort que mon fils, elle sait qu’elle ne peut pas se débattre, elle se rend compte que c’est moi.

Sophie : « Ah c’est vous, mais Roger que faites-vous là dans mon lit ? on va se faire surprendre »

Moi : « Chuttt » en lui mettant un doigt sur la bouche

Je ne dis rien et lui pétrit les seins en lui faisant un suçon dans le cou, elle essaie de résister.

Sophie : « Vous êtes dingue ou quoi, je ne veux pas, il faut qu’on arrête ce qu’on a fait, on est chacun marié ! c’est pas bien »

Je la retourne sèchement vers moi, l’enjambe, me je me plaque sur elle les deux seins en mains et je lui roule une pelle et enfonçant bien ma langue.

Moi : « Crois-moi petite salope ! Aujourd’hui, tu vas y passer, je vais user ton vagin et t’élargir un max… »

Elle se débat en secouant la tête, je lui bloque les mains au-dessus de la tête, ses jambes sont coincées par les miennes ouvertes comme un compas et je me remets à lui mordre les seins très fort, elle crie !

« NON ! NON ! vous me faites mal vous mordez trop fort mes tétons ça pique arrêtez AIE ! AIE ! »

Je ralentis, je me mets à saliver beaucoup en pompant, je lui aspire les bouts, ils deviennent énormes, les tétines sont larges et toutes rouge, elles sortent au maximum je lui malaxe bien la base des nichons pour les faire sortir plus puis je commence à tapoter doucement dessus…

Moi : « Écoute petite garce, quoique tu dises quoique tu fasses, je vais te Baiser, te défoncer le con, tu vas jouir comme jamais. »

J’ai bien mouillé ses gros nichons, dommage qu’il n’y ait pas de lait, j’aurais fait une bonne traite de vache tellement ils sont lourds.

Elle commence à se calmer caresse la joue puis je rentre à nouveau ma langue dans la bouche pour un baiser… et je prends un sein à deux mains et je me mets à le téter comme un vorace

Moi : « oh putain qu’ils sont bons, tu aimes que je te les bouffe espèce de cochonne »

Je descends doucement ma main sur sa vulve, c’est trempé !!!

Moi : « eh ben grosse salope pour quelqu’un qui n’est pas du matin, ça te plaît de te faire malmener on dirait ? »

Et je lui enfonce directement trois doigts dans la chatte.

Sophie : « Aïe ! ça fait mal je ne suis pas prête c’est encore trop serré ! Salaud vous en profitez avec votre force… »

Moi : « Ah oui et t’aime ça la force d’un mâle en rut ? C’est un vrai volcan entre tes jambes, t’es bien une sacrée garce qui cache son jeu… »

« tu vas apprendre à aimer la bite du matin je te le dis »

Et je tourne ma main en attrapant son clito que je pince.. puis je lui refourre mes doigts bien profonds. Elle se crispe et elle jouit en resserrant les cuisses.

Je la laisse pendant que je me dessape, ma bite est en super forme, tendue comme un arc.

Je la laisse récupérer de sa jouissance quelques secondes et je lui chope les jambes, les écarte au maximum je pointe mon en cible et lui plante mon dard sans retenu, brutal au fond du vagin.

Sophie : « AHHHHHHHHHHHH ! espèce de salaud, vous êtes dingue, vous allez me déchirer en deux arrêtez, STOP c’est énorme, trop profond, trop gros ça ne peut pas rentrer j’ai jamais senti un truc pareil… »

Pourtant je suis au fond, je la bloque, elle est si étroite que c’est du délire, elle pleure, supplie, essaye de se débattre mais je reste plaque au fond.

J’attrape sa tête avec mes mains, je la fixe..

Moi : « Écoute-moi bien : on reste soudé comme ça quelques minutes que tu t’élargisses bien et après je te baise comme une pute jusqu’à me vider les couilles »

Pleine de larmes, elle ne bouge plus, résignée, je sens qu’elle est bien serrée sur mon mandrin.

Au bout d’un moment elle se détend doucement et je commence à bouger un peu, elle est surprise et dit :

Sophie : « Non, s’il vous plaît ça frotte trop dedans… »

Je glisse quand même, elle est vraiment étroite j’ai l’impression de lui râper l’intérieur du ventre, elle supplie toujours, mais je m’en fous j’ai le feu dans la bite.

Moi : « écoute ma belle, je sais que tu as mal mais c’est parce que tu es crispée, détends-toi sinon ça n’ira pas, dans tous les cas j’ai décidé de te baiser ! »

Et là, je pousse et percute son utérus, elle sursaute, je continue mes percussions de plus en plus puissantes, de plus en plus vite.

Sophie : « Arrêtez ! Vous me forcez alors que j’ai pas envie… je vous suce si vous voulez ou vous me faites jouir avec votre main mais arrêtez avec votre bite, vous allez tellement m’élargir que je ne vais plus me refermer après. »

Moi : « Ta gueule, me sucer ce sera une autre fois, la je vais te bourrer comme un taureau tu es ma femelle… »

Et j’entame de très longs coups de bite sur toute la longueur j’en ai même mal au gland tellement il est gros, j’accélère la cadence je me mets en mode marteau piqueur, elle se débat encore légèrement, mais je l’attrape au cou avec ma main et lui mets une légère gifle sur les seins, je l’embrasse à pleine bouche les langues pleines de salive, j’ai l’impression qu’elle se lâche un peu, elle se détend à force, elle referme même ses jambes autour de ma taille..

C’est bon j’ai gagné je prends une bonne cadence on transpire tous les deux, elle m’enlace avec ses bras et me griffe le dos avec ses ongles, elle commence à venir, elle est à moi !!!

Sophie : « Humm ! Roger vous avez gagné c’est trop bon, vous me baisez bien, allez-y je suis ouverte maintenant, faites ce que vous voulez, mon vagin est à vous, oui votre sexe est si dur et le gland si gros hummm encore ! Oui ! Encore… »

Moi : « C’est ça que je veux entendre salope, tu vas comprendre qui commande, je vais te marquer le fond du ventre avec mon pilon. »

Je me mets à tamponner fort au fond à chaque fois ça claque, il lui faut un orgasme, je vais la pousser à bout, j’ai vraiment mal à la bite tellement je tape, elle commence à tourner de l’œil, j’accélère encore,

elle tremble de partout, me déchire le dos avec ses ongles et elle explose dans un orgasme terrible.

Et à mon tour : « Ahhhhhh ! je te jouis dans le vagin, je gicle mon jus dans ton utérus, putain tu me vides les couilles c’est incroyable comment tu es bonne… »

Je finis en lui pelotant les seins je les suce comme, je les pompe elle me tient la tête plaquée dessus,

je mords les tétons, aspire. Elle me dit de continuer : « Allez-y ! Prenez les bouts, bouffez-moi les nichons j’en veux encore… »

Elle semble insatiable son corps est complètement trempé de sécrétions je tente de sortir mon sexe, mais elle veut le garder !

Sophie : « Restez dedans ! Il est encore gonflé je le sens si bien partout sur les parois, c’est trop bon ! »

Je regarde l’heure : ça fait plus d’une heure qu’on baise..

Je me sors enfin de sa chatte, un liquide s’en échappe, je lui caresse la vulve, elle ne se referme même pas, elle est ultra sensible, je l’embrasse encore avec la langue.

Voilà une journée qui commence bien……

Moi : « Je vais prendre une douche et me préparer ! Tu descendras prendre un café avec moi avant que je parte bosser »

« Ne mets que ta nuisette ça ira !!! »

Je fais exprès d’être directif, je sens qu’elle aime ça…

Vingt minutes plus tard, elle arrive dans la cuisine, sa nuisette est mouillée, ses seins pointes à travers, je lui sers un café, je m’assoie et l’attrape sur mes genoux. Je passe ma main entre ses jambes pour vérifier l’état de son sexe et c’est encore béant !! je plonge quatre doigts pour prendre un peu de mélange de mouille et de sperme et lui mets à la bouche « Vas-y suce ton orgasme, montres que tu aimes ça… »

Elle prend ma main et enfonce mes doigts dans sa gorge.

Moi : « Putain ! mais quelle salope tu deviens ! »

Elle dit : « Alors c’est ça être une salope !! Vous ne voulez pas que je vous suce avant de partir ? J’ai encore faim… »

Là, je vois Marc apparaître par la fenêtre de la cuisine, il vient me chercher…

De dos, elle ne l’a pas vu, je fais signe à Marc de rester dehors, il me répond OK et reste regarder à la fenêtre..

Je chope Sophie par les hanches, j’ouvre ma combinaison de travail, elle m’enjambe, et je la mets à cheval sur ma bite dos à la fenêtre en lui disant : « Non, tu ne vas pas me sucer, mais je vais te remettre un coup bite pour te punir d’être si catin… » Et je l’empale brutalement sur mon chibre.

Marc ne perd pas une miette de ce qu’il voit, c’est très intense j’y vais franchement..

Elle met ses deux pieds sur la chaise accroupie et commence à monter et descendre sur ma bite d’elle-même… cela lui fait tendre le cul en arrière, je lui écarte les fesses en tirant dessus, Marc doit avoir une vue imprenable sur son petit trou..

Sophie : « Roger, je vais vous pomper le dard avec mon vagin… »

Et elle accélère ses mouvements de va-et-vient, elle devient de plus en plus perverse.

Sophie : « Je vais vous purger les couilles à sec pour la journée, bouffez-moi mes nichons en même temps j’ai envie d’être une chienne !! »

Je n’ai besoin de rien faire, c’est elle qui s’excite, son orgasme arrive en même temps que mon éjac qui me brûle le conduit.

Moi :« Putain Sophie ! Je te jouis dedans salle garce, tu m’as vraiment vidé, t’es une belle salope ! »

Sophie « Merci, je suis contente de ce titre et vous m’avez encore mis une belle dose de foutre… »

Elle se démanche dans un bruit de floc !!, Marc se cache, retourne à la voiture et met un coup de klaxon…

Sophie sursaute : « C’est quoi ? »

Moi : « Mon pote Marc, il vient me récupérer pour bosser »

Sophie : « Ohlala ! il a failli nous surprendre… »

Sophie : « Aller Roger, avec des couilles à secs, j’espère qu’il vous reste de l’énergie pour aller travailler au moins… »

La salope, elle sait dans quel état elle m’a mis, j’ai les burnes complètement séchées, je renfile ma combinaison prends ma veste et en passant je lui fou une claque sur le cul en lui disant : « petite salope sois sage, à ce soir ! »

Arrivé à la voiture : interrogatoire de Marc !!!

« Tu t’emmerdes pas c’est qui cette bonasse ? »

« C’est ma belle-fille Sophie, la femme de mon fils. »

« Eh ben mon salaud ! Ça m’a l’air d’une belle salope… »

Et on en parle toute la journée…


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire