mercredi 4 juin 2025

Chantage à la Campagne - 18

Rappel : Hervé a exigé de Marie-Catherine qu’elle accompagne sa femme pour aller faire du shopping et ensuite, elle doit le rejoindre à la gare vers 18 h. Bernard l’informe qu’il aura beaucoup de retard et donc Hervé va pouvoir prendre le temps de s’occuper de sa soumise.

 

— Tu es en retard ma salope…

— Pardon Maître, je suis désolée, les courses ont pris plus de temps que prévu…

— J’espère que cela n’aura pas de fâcheuses conséquences.

— Oui j’espère aussi. Je suis vraiment désolée, mais je crois que vous aimerez les achats…

— J’en suis convaincu. Si je ne suis pas satisfait, tu sais ce qui se passera ?

— Non Maître !

— Tu en es sûre ? Notre ami masqué ?

— Oh non ! Pas Zorro ! Non, pas Zorro ! Tout ce que vous voulez, mais pas Zorro !

— Puisque tu es en retard, je vais changer mes plans… Déjà ouvre ton chemisier !

— Bien, Maître, d’accord ! Tous les boutons ?

— Tu es une pute stupide, j’ai dit ouvre.

— Pardon, oui, entièrement Maître !

— Donne-moi les clés, je vais conduire.

— Oui Maître !

— Montre bien tes mamelles, on va rentrer par le centre-ville.

Tout en roulant, je mets mon téléphone sur haut-parleur et j’appelle Frédéric Ménard, le voisin.

— Allô, Frédéric ! Tu es chez toi ?

— Allô, oui bonsoir, pourquoi ?

— Tu connais la carrière aux sorcières ? J’ai une surprise pour toi.

— Oui j’allais y jouer enfants mais un lieu mal fréquenté, maintenant.

— Peux-tu y être dans dix minutes ?

— J’enfile un jogging et prend ma voiture, c’est possible ! Oui !

— À tout de suite !

***

Je prends mon temps pour traverser le centre-ville. Ayant entendu la conversation, Marie-Catherine est inquiète. Je lui demande alors comment s’est passé son shopping avec ma femme.

— Très bien, je pense qu’elle a bien acheté ce qui vous plaira…

— Je l’espère,

— J’ai fait de mon mieux. Elle a été exhibée devant une vendeuse et puis un vendeur pour les chaussures sans culotte et aussi pour la lingerie, Maître

— Tu seras celle qui sera responsable de sa garde-robe !

— D’accord, Maître !

— A-t-elle aimé être exhibée ?

— Il me semble que oui

— Bien, tu raconteras tout en détail à ton mari !

— D’accord, Maître !

Nous interrompons notre discussion, car j’arrive au parking. J’avais calculé mon trajet pour arriver au parking à peu près en même temps que Frédéric. Je ne me suis pas trompé, J’aperçois sa voiture et je vais me garer à côté. Il me sourit en découvrant que Marie-Catherine m’accompagne, il se doute qu’il y a des chances pour qu’il passe un agréable moment.

— Ne bouge pas ! dis-je à ma soumise.

Je sors de la voiture et fais un signe à Frédéric de me rejoindre.

— Tu aimes les surprises ? lui demandé-je.

— Les bonnes ! Oui, bien sûr ! Celle-là semble bonne, fit-il en regardant Marie-Catherine.

— Ma salope, tu sors !

Marie-Catherine descend de la voiture en ne fermant pas son chemisier, tout en scrutant les environs, craintive

— Alors, tu en penses quoi ?

— Charmant, me répond-il.

— Laisse ton chemisier dans la voiture, on va se promener !

— Bien Maître, me dit-elle en se mettant topless.

Nous avons environ cinq minutes de marche jusqu’à la carrière aux sorcières. Marie-Catherine les feraient en laisse. Je sors le collier et la laisse de mon sac pour les lui donner. Elle attache le collier autour de son cou tandis que Frédéric la regarde médusée.

— Ce n’est pas qu’une salope, c’est une chienne aussi. Tu veux tenir la laisse ?

— Heu… Oui, bien sûr !

Rouge de honte, mais très excitée Marie-Catherine tend sa laisse à notre voisin.

— On va à la carrière aux sorcières !

— OK, je te suis, dit Frédéric en tirant la laisse.

À cette heure, il est trop tard pour les familles et peut être encore trop tôt pour les voyeurs. Mais ce n’est pas grave. Arrivés à la pierre que les gens du coin appellent la pierre des sorcières, Marie-Catherine obéit quand je lui demande de s’allonger à plat ventre dessus, ainsi ses pieds touchent le sol d’un côté et de l’autre côté sa tête est au niveau de la ceinture. C’est une vieille pierre celtique que certains pensent être un menhir tombé tandis que d’autres pensent c’est un autel satanique, le rituel que je vais célébrer avec ma voisine serait sûrement approuvé par le diable en personne.

— Pile ou face, Frédéric ?

— Installée comme cela la jupe dévoile les fesses de ma soumise

— Alors tu choisis ?

— Pile et face ?

— Non pas ce soir ! On n’a pas le temps.

— Je comprends je me contenterai donc de pile.

— Je vais prendre face alors !

Je me place devant ma soumise, ouvre mon pantalon et lui présente mon sexe. Pendant que Frédéric fait de même derrière Marie-Catherine

— Dans quel trou veux-tu notre voisin ma chienne ?

— Celui que vous voulez, Maître ! Peureuse, voulant bien faire, elle ajoute : ou celui que monsieur Ménard veut.

— Non, tu choisis, tu étais en retard, tu assumes ! Sinon Z…

— Mon cul… snif… Snif… choisit-elle, ne voulant pas me décevoir.

— Tu as entendu Frédéric ? Elle veut que tu l’encules.

— Oh oui ! Avec plaisir !

— Ma salope, demande à ton voisin !

— Monsieur… snif… en… enculez-moi… snif…

— Tu as entendu Frédéric, fais-toi plaisir !

De mon côté, je présente ma bite à la bouche de Marie-Catherine qui sans l’aide de ses mains honore mon membre.

Malgré ses quinze ans de moins, sûrement à cause de son veuvage, Frédéric fonctionne comme un vieux diesel, il a du retard à l’allumage. Il frotte son sexe contre la fente de MC qui doit dégouline ayant été obligée de montrer ses nichons a toute la ville.

Je sais le moment où il encule ma soumise car elle a un léger mouvement qui la fait avancer sur mon pieu. Je la prends par les cheveux et force sa gorge.

Avec Frédéric nous synchronisons nos mouvements pour entrer et sortir de concert. MC nous propose une symphonie de gémissements.

Frédéric est le premier à jouir dans le vieux cul fripé. Il se retire et commence à remonter son pantalon.

— Que fais-tu ? lui dis-je.

— Je me rhabille…

— Attends elle va te nettoyer, tu vas pas ranger ton archet couvert de merde !

— Ben…

— Attends ! Je termine et elle va te nettoyer !

J’attrape la tête de Marie-Catherine et accélère mes mouvements. Je sens que je vais gicler, je sors de sa bouche et envoie mes jets sur son visage. Je me retire et invite Frédéric à me remplacer.

— Nettoie bien notre cher voisin.

Je passe derrière ma voisine qui je le sais n’a pas joui et vient jouer avec mes doigts entre ses cuisses. Comme je m’en doutais, elle est trempée.

Je glisse deux doigts dans sa chatte et je les fais coulisser. Rapidement, elle réagit et pousse un long gémissement. J’aperçois un voyeur en train de se branler derrière un buisson. Je regarde ma montre, une idée me vient.

Je lui fais signe de venir. L’homme d’une soixantaine d’années s’approche sous le regard surpris de Frédéric. Je donne un préservatif à l’inconnu et je lui dis qu’il a cinq minutes pour faire son affaire.

Il enfile la capote sur son membre déjà raide. Il se plante dans le con de Marie-Catherine qui gémit plus fort, elle a bien compris ce qu’il se passe. L’homme fait de profonds aller et retours en la tenant par les hanches. Je claque les fesses de ma soumise qui sursaute.

— Tu as entendu ? Si tu veux jouir, tu as cinq minutes.

Elle hoche la tête, Marie-Catherine jouit juste après nous. Le voyeur s’applique et jouit dans le temps imparti. Il sort de la chatte et me remercie.

— Ma salope vient récupérer ce qui te revient.

Marie-Catherine vient retirer le préservatif du voyeur et nettoie son sexe avant de le ranger dans le pantalon. L’homme disparaît dans les buissons.

— Tu sais ou le mettre, dis-je à Marie-Catherine en parlant du préservatif.

— Oui Maître…

Sans protester, elle le noue et le met dans sa bouche.

— Je pense que nous pouvons rentrer maintenant ! Frédéric reprend la laisse de la chienne !

***

Sur le parking, j’interpelle vers ma voisine.

— Frédéric ! Puis-je te demander un service ?

— Bien sûr, tout ce que tu voudras…

— Peux-tu me ramener chez moi ?

— Oui, bien sûr, mais Marie-Catherine, tu n’es pas venue avec elle ?

— Si, mais je ne vais pas monter dans la même voiture que cette chienne qui sent stupre et déborde de foutre…

— Je comprends, me dit-il en rigolant.

Je regarde ma soumise en m’écartant de Frédéric pour qu’il ne m’entende pas.

— Tu rentres chez toi comme tu es et tu montreras ton chewing-gum à Bernard.

Elle hoche la tête et prend les clés que je lui tends.

— Au fait, passe par le centre-ville, comme cela tu pourras montrer à tout le monde comment tu es salope…

Je lui donne une claque sur les fesses pour la propulser vers sa voiture avant de monter à côté de Frédéric. Il choisit la route la plus directe pour rentrer. Pendant qu’il conduit, j’envoie un message à Bernard pour lui expliquer ce que je viens de faire avec sa femme. Je l’informe que je rentre avec Frédéric et que je vais proposer à notre voisin de venir prendre l’apéritif.

OK”me répond Bernard.

J’envoie aussi un message à Marie-Catherine. “ma salope, occupe-toi bien de ton mari ce soir et n’oublie pas de tout lui raconter tu laisseras ta voiture dans la rue devant chez Frédéric”

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