jeudi 7 août 2025

Chantage à la Campagne - 23


Au petit matin, je me lève. Sans surprise, Sophie me rejoint nue dans la cuisine. Sa lourde poitrine généreuse, même si elle est tombante, me fait toujours le même effet.

— Tu sais ce que j’ai envie avant de partir ?

— Une petite sodomie, mon chéri ?

— Gourmande… Je la vois rougir. Celle d’hier soir ne t’a pas rassasiée… Prends la pose alors, et peut-être devrais-tu te filmer avec ton téléphone en disant ce que tu es et ce que tu vas faire ?

— Je… Heu… Oui… Tout ce que tu veux mon amour…

— Je suis sûr que cela fera plaisir à Bernard, Paul et monsieur le Maire ?

— Oh non pas Paul ni monsieur le Maire…

— Pourquoi ? Tu avais l’air d’aimer sa saucisse, à Paul !

— C’était sur ordre ! Enfin… Je… comme tu veux…

— Rappelle-moi ce que Bernard a dit, ce que tu es ?

— Oh ! Je suis une salope, une chienne, une truie, chéri.

— Et pas autre chose ?

— Des trous à remplir… me dit-elle en se pinçant les lèvres, mais ses tétons bien durs.

— Tes trous ont-ils des envies ?

— J’ai honte… Oui, mon amour !

— Quelles envies ?

— D’être baisée, prends-moi ! Je suis une chienne, une pute, une salope ! Fourre-moi le cul ! Je suis un réceptacle à foutre !

— Ce matin, je suis pressée donc tu vas juste me faire une somptueuse cravate de notaire. Je laisse à Bernard le plaisir de trouver comment remplir tes trois trous.

Je lis la frustration sur son visage, mais elle s’accroupit et après avoir bavé entre ses gros seins, elle serre ma que raide entre ses deux globes de chair. Je lui caresse les cheveux en regardant le mot truie qui s’efface sur son front.

Je jouis rapidement sur elle et je l’embrasse avant de partir.

Dans la voiture, j’envoie un message à Bernard pour lui raconter ce début de journée. Je suis très curieux de découvrir comment il aura transformé mon épouse si sage et réservée il y a encore quelques jours lorsque je reviendrais de ce déplacement.

***

Un peu plus tard, Marie-Catherine se prépare pour aller à la banque. Mal à l’aise, elle enfile simplement son chemisier et sa jupe par-dessus son porte-jarretelles et ses bas. Heureusement qu’elle portera un blazer par-dessus, mais elle n’est pas rassurée, compte tenu des ordres que je lui donne.

Je profite d’une pause sur mon trajet pour envoyer un message à Monsieur Raffali.

Vous pouvez toucher Madame Mazière mais juste avec les doigts !”

Obéira-t-elle en se mettant nue ?”

Oui elle se mettra nue”

Voulez-vous que je la filme ?”

Elle se filmera elle-même”

Pourra-t-elle me toucher ?”

Avec les doigts, oui”

Elle me branlera donc ?”

Oui”

Je pourrai la couvrir de mon jus ?”

Sur ses mamelles, oui”

Génial et pourrais-je garder sa culotte ?”

Elle ne portera pas de culotte”

Alors que pourrais-je avoir en trophée ?”

son porte-jarretelle”

Ah OK j’aurai préféré le chemisier mais OK”

Affaire conclue”

merci”

Je ne veux pas que cet homme pense que tout lui est dû. Je connais les rumeurs qui courent sur son compte. J’ai aussi effectué quelques recherches et j’ai découvert que Monsieur Raffalli a une épouse qui participe activement à une association caritative. Je suis certain que Bernard trouvera un moyen d’intégrer cette jolie rousse, jeune quinquagénaire à notre troupeau de salopes.

Avant de reprendre la route, j’envoie ces dernières instructions à Marie-Catherine qui les lit, horrifiée mais excitée.

***

En ouvrant le portail pour sortir, elle voit Frédéric qui vient vers elle.

— Salut ma chère voisine, tu vas à la banque ???

— Euh… oui…

— Tu devrais défaire deux boutons à ton chemisier et amuse-toi bien !

Elle obéit, vaincue sachant que sa vie vient de changer définitivement. Elle ne se demande même pas comment son voisin peut-être au courant de son rendez-vous.

Tremblante, elle démarre et prend la direction de la banque. Les ordres qu’elle a reçus lui font honte, mais l’excitation monte.

Elle entre dans l’agence bancaire où Monsieur Raffalli l’attend avec grand sourire.

— Madame Mazière, c’est un plaisir de vous recevoir à nouveau… Allons dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles.

Le banquier profite de l’étroitesse du couloir et de l’autorisation qu’il a reçue pour palper sans vergogne le cul de sa cliente qui se laisse caresser.

Il ferme son bureau à clé et face à Marie-Catherine, il la toise.

— Bien madame Mazière, je pense qu’il sera plus facile pour discuter que vous vous mettiez à l’aise.

— Heu je ne comprends pas bien.

— Fous-toi à poil, la vieille !

— Oooh… je… je… heu… oui d’accord.

Écarlate, la tête basse, elle obéit pour respecter les consignes de son maître. Elle retire son blazer puis sa jupe et son chemisier. Elle apparaît aux yeux salaces du banquier juste en porte-jarretelles noir retenant des bas de couleur chamois. Vaincue, elle ne cherche même pas à cacher ses atours intimes restant les bras ballants face à cet homme.

— Regarde-moi, donne-moi ton smartphone pour te filmer et mets tes mains derrière la tête pour redresser tes magnifiques mamelles en écartant les jambes.

Elle obtempère lui donnant son appareil qu’il cale sur un petit trépied, le mettant en marche, mode vidéo, alors qu’elle prend la position demandée. Elle est mal à l’aise et honteuse, rougissant autant de subir cette humiliation que de sentir sa chatte qui s’humidifie.

Il tourne autour d’elle, l’inspecte comme un maquignon. ll se remplit les yeux avant que ces derniers, sans abandonner leur action, passent le relais à des mains baladeuses. Elles s’attardent sur le cou pour descendre l’une sur le dos, l’autre saisissant un sein dont les tétons pointent. La première main vient ensuite effleurer le fessier un peu flasque. La bourgeoise avilie subit, fermant les yeux, sans pouvoir retenir les frissons qui la parcourent.

— Tu es une belle cliente bien conservée. Penche-toi sur le bureau pour signer le document complémentaire pour finaliser le crédit.

Elle obéit, prend le stylo et se penche pour opérer cet ordre scriptural en acceptant l’écartement de ses jambes par son tyran qui en profite pour lui pincer les tétons, tout en titillant son clitoris.

— Ne bouge pas ! Mais dis-moi que tu aimes ça, car ta chatte est toute mouillée !

— Oooh… je… ou… oui j’aime ça ! balbutie-t-elle.

— Tu aimes parce que tu es ???

— Oooh gloup… je suis une salope…

— Oh oui ! Une belle salope qui va me branler !

— Oui monsieur…

— Mets-toi à genoux et sort mon matériel !

Elle sait qu’elle ne peut que obtempérer. Elle s’agenouille face à Raffalli appuyé contre son bureau, elle ouvre la braguette, extrait le pénis qui est déjà pas mal dressé. Elle le dégage complètement et commence des va-et vient sur cette hampe qui grandit entre ses doigts. Elle ne maîtrise plus son excitation et lorsque le vit est bien dur, elle le prend en bouche et commence à le sucer. Mais, l’employé craintif et peu courageux la repousse.

— Même si tu en as envie, tu n’en as pas encore le droit ! Cela se mérite !

Rafalli tente, en disant cela, de se faire passer pour un mâle dominant malgré sa veulerie. Marie-Catherine est désappointée mais, revenant sur terre, elle sait effectivement qu’il ne faut faire que ce qu’on lui dit de faire.

Elle s’active donc sur cette queue, malaxant les bourses et astiquant ce mât dressé.

Elle mouille beaucoup, fière de voir un homme bander pour elle. Enfin, elle sent la jouissance de l’employé arriver. De puissants jets de semence viennent frapper sa poitrine. Elle est maculée de ce foutre blanc collé à son épiderme vallonné. Il souffle comme une bête, voulant plus mais sachant se contenter de ce qu’on lui accorde, ne voulant pas être viré.

Marie-Catherine se relève devant accomplir la dernière partie du marché entre Rafalli et son maître. Elle retire ses bas et défait son porte-jarretelle pour les donner à l’infâme employé puis elle se rhabille et récupère son smartphone avant de quitter l’agence bancaire en sentant que son chemisier se colle à sa peau, là où le sperme la recouvre.

Sur le trottoir, en regagnant sa voiture, tandis que le sperme de monsieur Rafalli continue de couler lentement entre ses seins et de laisser des traces sur son chemisier, elle reçoit mon dernier message.

Pour ton déjeuner, rends-toi au restaurant routier sur la nationale. Pour ton dessert, tu soulageras un ou deux routiers.”

Elle n’apprécie pas vraiment cet ordre d’autant qu’elle ne sait pas comment soulager ? Elle réfléchit en roulant. Peut-être y aura-t-il ceux qu’elle a déjà rencontrés ? Elle l’espère.

***

Marie-Catherine et Sophie redoutent ces restaurants où elles vont chacune de leur côté, elles le savent, donner de leur personne. Mais, en dépit de cela, elles sont excitées, leurs trous suintent d’envie. Sophie ne comprend pas comment elle peut accepter cette déchéance. Est-elle, comme le lui répète Bernard, une chienne dans un corps de truie ?

Sur le chemin du restaurant, elle se décide à téléphoner à sa voisine pour en discuter.

— Allô ? allô ? Sophie ? je suis en Bluetooth en voiture…

— Tu peux parler quand même ?

— Oui, pas de problème que veux-tu ?

— C’est à propos de ce qui m’arrive… de ce que je deviens…

— C’est-à-dire ?

— Une salope, une chienne, une pute, une truie… comment en suis-je arrivée là…

— Je ne sais pas ??? tu n’aimes pas ça ?

— Au contraire… Je voudrais être baiser tout le temps…

— Alors où est le problème ?

— Ce n’est pas moi, cela ne me ressemble pas ! Je ne suis pas normale… je dois être malade…

— Qu’est-ce que la normalité ? Et crois-tu que je sois normale moi ? à mon âge ?

— Je suppose oui… aide-moi, s’il te plaît… que dois-je faire ? Je fais confiance en ton expérience.

— On croit en avoir mais à chaque jour suffit sa peine. Quand on croit que tout est fini, tout recommence, tu sais !

— Bernard dit que je suis une chienne dans un corps de truie… que je suis juste trois trous à remplir… je commence à le croire… et Paul, qui veut que je travaille pour lui… après mon arrêt maladie !

— S’il y a des avantages pourquoi pas !

— Tu le connais mieux que moi… son office est plus près de la maison, au milieu des champs…

— Oh tu sais, on croit connaître quelqu’un et on a des surprises. Regarde Hervé !

— Oui, je sais, dommage qu’il ne se soit révélé que si tard… j’aurais découvert ma nature de chienne plus tôt…

— Tu es encore jeune, profite !

— Oui tu as raison et tant pis pour la morale. J’aime être baisée, je devrai vivre ma vie de pute et tant pis pour la morale. Tu pourras le dire à Bernard.

— Si tu veux !

— J’arrive au restaurant, je dois te quitter.

— Je ne suis pas loin non plus, à plus tard.

Les deux femmes pénètrent dans leurs restaurants respectifs, se demandant ce qu’elles vont y trouver.

***

Dans le routier, Marie-Catherine découvre une atmosphère chargée de testostérone malgré les deux ou trois femmes qui déjeunent à une table. Elle s’installe dans un coin de la salle qui lui permet de voir ce qu’il s’y passe tout en restant assez discrète.

Elle commande le menu du jour et en attendant d’être servie, elle regarde les clients et se demande comment elle va pouvoir satisfaire l’ordre de soulager un routier. Ceux-ci sont absorbés dans leur discussion avec leurs compagnons de tables et aucun ne s’intéresse à elle. Elle a beau lancer des sourires dans la direction de ce qui lève parfois la tête de leur assiette, aucun déclic ne se profile.

Elle attend qu’il y ait moins de monde. Elle voit alors entrer un bel hidalgo trentenaire au regard d’aigle cherchant sa proie. Quand ses yeux tombent sur elle, elle sait qu’elle doit le regarder, sourire et écarter les jambes pour signaler sa disponibilité. Le contact est établi. Il vient s’asseoir à une table, face à elle. Leurs regards se croisent. Elle rougit. Il sourit. Avec deux doigts qui s’écartent, il montre ce qu’il veut. Elle comprend immédiatement et écarte davantage ses genoux, ce qui fait remonter plus sa jupe. Elle n’ignore pas qu’il n’est pas le seul à voir sa chatte, mais elle n’en a cure. Il prend sa commande puis se dirige vers les toilettes. Pour s’y rendre, il frôle la vieille bourgeoise. Elle le voit passer à ses côtés, les yeux braqués sur son chemisier tâché. Elle est troublée. Elle tourne sa cuillère dans sa crème renversée sans rectifier sa tenue. À son retour, il laisse tomber discrètement un papier sur la table de Marie-Catherine et retourne s’asseoir en continuant de lui sourire. Elle lit en tremblant le petit mot :

belles tâches qui voudraient voir 3 boutons défaits”

Il ne sait pas si cela va marcher mais cette belle femme en face à l’air ouverte, alors pourquoi ne pas tenter. Elle le regarde mal à l’aise.

Elle dégrafe un bouton alors que deux sont déjà défaits, tête basse. Elle ne voit pas que deux plats sont servis sur la table de son admirateur. Elle défait ensuite le quatrième bouton, tremblotante. Le sillon mammaire commence à bien se dévoiler. Pour “m’obéir” par procuration, quand elle dégrafe enfin le “troisième” bouton demandé, elle voit un autre homme, gros, moins avenant qui se retourne, suivant le doigt de l’hidalgo la désignant. Surprise, elle serre les jambes. Le plus jeune ne cesse de la regarder tout en discutant avec son compère, le sourire aux lèvres. Elle voit le geste de la main du premier lui faire le signe explicite de la fessée, puis ses doigts s’écarter. Elle comprend qu’elle doit à nouveau montrer sa moule. Elle sait que ce sont eux qui vont bénéficier de son corps comme exigé par son maître. Sont-ils au courant ou de parfaits inconnus ? Qui sait ?

***

Quelques minutes avant l’arrivée de Marie-Catherine, Frédéric que j’avais informé de la situation, était venu se garer non loin des énormes semi-remorques. Je veux aussi qu’une personne de confiance puisse intervenir au cas où ma voisine se retrouve dans une situation délicate. Il était sorti de sa voiture, il faisait les cent pas en fumant une cigarette quand un poids lourd immatriculé à l’étranger est venu se garer près de lui. Deux hommes en sont descendus, un trentenaire au regard perçant et un homme nettement plus âgé, presque obèse. Le plus âgé vient lui demander une cigarette.

Alors que Frédéric sort son paquet, il voit Marie-Catherine sortir de sa voiture. Il la suit du regard tandis qu’elle entre dans le restaurant.

— Tu la connais, lui demande le gros dans un français approximatif.

— Oh oui, c’est une vieille nympho qui vient voir si elle peut trouver une ou deux bites pour se faire baiser…

Il vit dans le regard du plus vieux un désir lubrique. Ces hommes sur la route depuis plusieurs jours et loin de leur famille avaient envie de se soulager.

— Si ça vous dit, je vous explique comment faire.

— Si señor, dit le plus jeune.

— Alors voici comment vous allez procéder…

Frédéric leur proposa une stratégie d’approche en deux temps. Tout d’abord, le plus jeune entre et attiré le regard de Marie-Catherine, puis quand elle sera appâtée, l’autre le rejoindra.

***

Dans le restaurant, les deux hommes profitent du spectacle que leur offre gracieusement Marie-Catherine. Ils savent que ce n’est que l’apéritif d’un repas plus copieux qui leur sera servi dans la chambre à l’étage que le bel hidalgo vient de réserver sur les conseils de Frédéric.

Cette dernière est très mal à l’aise de s’exhiber ainsi dans un restaurant. Elle à honte et se sent humiliée ce qui malgré elle l’excite. L’adrénaline monte et son cerveau raisonnable n’arrive plus à contrôler son corps déraisonnable. Elle rougit encore plus quand un nouveau serveur lui apporte une Marie-Brizard offerte par ces deux messieurs en face.

— Pour heu… Excusez-moi ce sont leurs mots, pour la vision de… Heu… vos mamelles, c’est leur mot ! Qu’ils voudraient mieux voir. Je suis désolé, avec le chemisier ouvert, ! Je n’y suis pour rien, sans obligation. Je ne fais que transmettre, dit-il en bafouillant, tout en attendant qu’elle défasse les derniers boutons pour lui aussi profiter de la vue.

Tremblante, pivoine, regardant autour d’elle, elle boit d’un trait la liqueur et fermant les yeux libère entièrement les pans de son chemisier qui, naturellement, s’écartent, offrant aux voyeurs la vision de la moitié de ses globes mammaires. Les routiers se délectent plus de la vision de cette salope en rut que de leur steak-frites quelconque. Elle voit le serveur passer à leur table et semble distinguer un échange discret de billets. Il revient vers elle, moins timide et il lui dit d’aller aux toilettes : de retirer son chemisier et de ne garder que sa veste ouverte en revenant et le donner aux deux messieurs. Horrifiée de réaliser qu’elle va le faire, obéissant plus à sa chatte qu’à sa tête. Elle se lève et fait ce qu’on lui demande.

Elle revient blazer ouvert dissimulant mal ses seins et s’approche de la table des routiers à côté de laquelle se tient le serveur qui débarrasse. Elle tend son chemisier à l’hidalgo qui est au téléphone. Il lui fait comprendre que c’est à l’autre qu’elle doit le donner. Elle le fait à contre-cœur tendant le bras ce qui ouvre sa veste, offrant la vue de sa généreuse poitrine aux regards du serveur et du gros.

L’hidalgo lui ordonne de s’asseoir à leur table, comme il faut, répétant, “comme il faut” deux fois, reportant en cela les ordres de Frédéric qu’il a au bout du fil. Elle comprend le message et affolée trousse quelque peu sa jupe pour être cul nu sur la chaise ce qui ne passe pas inaperçu autour d’elle et un léger sifflement s’élève dans le restaurant déjà bien déserté.

La jupe découvre un maximum de cuisses, la veste baille. Elle est exposée comme au foirail ce qui lui donne des papillons dans le ventre, dresse ses tétons et inonde sa chatte.

— Tou es une bellisima female, lui dit le bel hidalgo.

Elle remercie souriant jaune. Tandis que le gros la mate avec une concupiscence perverse.

— Tou va être gentil da pailler no bouffe

Marie-Catherine est tétanisée d’aller à la caisse ainsi, avec sa seule carte bleue, car le routier a gardé son sac en otage. Comme un phare, elle attire les regards des derniers clients. Tremblante, les jambes flageolantes, elle traverse l’établissement dépeuplé à quatorze heures passé. Le serveur désinhibé et sans vergogne prend sa carte pour encaisser.

— Cela fera cent-quarante euros, Madame Mazière aux beaux nichons et petit cul qu’elle va montrer en soulevant sa jupe pour regagner la table si elle ne veut pas que je distribue son nom partout facilement trouvable avec Google comme ça. Il lui montre son téléphone avec son adresse sur Google Map.

Elle est sidérée. Elle regarde tout autour d’elle. Elle ne voit plus que les deux routiers et deux hommes scotchés au bar, bien imbibés.

Prise au piège, maudissant son maître-chanteur, elle récupère sa carte et la met en bouche pour pouvoir trousser sa jupe à deux mains. Elle découvre ses fesses aux routiers et son ventre au serveur qui ouvre bien sa veste. Il la pousse ensuite avec une tape au cul vers les routiers. Elle est écarlate et sa mouille coule sur ses cuisses.

— Tou viens avec nouveau bellisima chaloupe et tou rest comme ça…

Au bar, un des ivrognes n’est que Frédéric, grand comédien avec perruque et fausses moustaches qui sourit sous cape voyant sa voisine jupe troussée aux hanches, poitrine à l’air. Les deux chauffeurs enjoués l’encadrent et la tirent par la bandoulière de son sac à main. En sortant, l’hidalgo fait un clin d’œil au serveur. Pour rejoindre la chambre, ils ont vingt mètres à faire, face au parking où voitures et camions sont garés. Elle n’est pas rassurée et s’en veut que je la piège ainsi mais d’un autre côté, cet avilissement exhibitionniste entre ces deux mâles, augmente sa libido. Elle est forcée, mais elle aime ça.

Un klaxon la fait sursauter avant d’entrer dans la chambre. Là, elle se déshabille sur demande et, nue, tire le rideau de la baie pour dégager la vue. Les mains commencent à la parcourir. Elle est pelotée, caressée, pincée, sucée avant de prendre le vieux en bouche alors que le bel homme lui fourre sa bite dans la chatte. Ils ont dû se shooter, car ils tiennent un bon moment alors que certains curieux regardent de l’autre côté de la baie vitrée. Elle a une première jouissance foudroyante. Grâce aux petites pilules bleues, ils tiennent la distance et échangent les positions. Le gros homme enfile une capote et force sa moule grande ouverte avec un mandrin de bonne facture qui la ramone avec plaisir. Tandis que la bite de l’hidalgo dans sa bouche la lime plus qu’elle ne le pipe. Enfin sa gorge se remplit du foutre du mâle alpha alors que derrière elle, le bedonnant souffle comme une bête, l’insultant dans une langue étrangère avant de remplir le condom, ce qui lui procure une seconde jouissance. Ils reprennent leur esprit quand on frappe à la porte.

— Tou va ouvrir……

— Mais, je suis nue !

— TOOUU VA OUVRIIIR !!!

Marie-Catherine sait qu’elle doit obéir et se dirige vers la porte qu’elle ouvre, inquiète.

— Madame M A Z I E R E, clame à forte voix le serveur. Vos rafraîchissements sont avancés. Aidez-moi à faire rentrer le chariot !

Cela oblige la vieille blonde à sortir nue. Il passe en premier la laissant montrer son cul à n’importe quel voyeur potentiel. Et, plus rapide que l’éclair, il rentre avec le chariot et claque la porte. Elle reste interloquée, nue, dehors. Elle regarde autour d’elle, soulagée de ne voir personne. Elle toque à la porte demandant son ouverture. Elle entend une voix lui demander qui elle est.

— C’est moi… dit-elle avec angoisse.

— Moi, qui ? Répond la même voix.

— Madame Maziere !

— Comment ? je n’entends pas.

— MADAME MAZIERE.

— Vous êtes quoi ?

— Oooooh… un… une sa salope !

— Pas entendu !

— UNE SALOPE !

— Dites : Madame Mazière la salope !

— Oui… oui si vous voulez !

— Comment ?

— JE SUIS MADAME MAZIERE, LA SALOPE !

— Bien ! Viens devant la baie vitrée montrer ta chatte.

Affolée, mais en transe, elle se positionne face à la baie et avec ses mains écarte sa moule.

— Retourne-toi et montre là à tout le monde…

Elle ne peut qu’obtempérer, surexcitée… La moule baveuse, la poitrine tendue. Quand elle voit un camionneur descendre de sa cabine et venir vers elle, elle panique. Alors, la baie s’ouvre et la voilà happée à l’intérieur.

— Alors, madame Mazière, on aime s’exhiber et se faire tringler apparemment !

— Oui !

— Bien ! Tu vas donc nous contenter ces messieurs et moi !

— Mais, je l’ai déjà fait !

— Regarde leur bite ! On dirait que c’est pas vrai ! Il ne faut pas mentir.

— Mais… je… je… oui… oui…

— Sers-nous donc à boire ! Fais le service ! Mais… c’est quoi ça ? Ajoute-t-il en montrant le préservatif, jeté par terre. Quelle honte ! C’est une maison sérieuse ici ! Ramasse-moi ça et mets-le dans ton verre !

Marie-Catherine complètement sous la coupe de son excitation se penche et ramasse la capote remplie de foutre pour la vider dans son verre.

— Bon ! Maintenant, nous pouvons trinquer avant que les agapes commencent.

Elle est complètement anéantie et déboussolée, mais toujours excitée. Ils boivent tous leur breuvage avec plus ou moins de délectation selon le contenu de chaque verre.

Une nouvelle partie de jambes en l’air commence. Elle est utilisée, manipulée et pénétrée en alternance. Elle perd la notion du temps. Pourtant, il n’y a qu’une heure de défoulement durant laquelle seul son cul est épargné. C’est sur elle qu’ils libèrent leur sperme. Cette fois, ils sont tous repus et elle a enfin le feu éteint.

Le temps d’émerger en buvant, les chauffeurs finissent par s’en aller.

Le serveur lui dit :

— C’était pas mal pour une première fois madame Mazière. Comme dédommagement de tout le travail que j’ai dû faire pour vous satisfaire, je garde votre veste et votre jupe.

— Mais, ce n’est pas possible ! Je ne peux pas rentrer toute nue. Je vous en prie !

— Qui vous a dit toute nue ? Ouvrez la porte et allez dans la pièce d’à côté ! À droite, vous trouverez de quoi vous vêtir.

Sur ces mots, le serveur quitte la chambre avec son chariot. Habituée à obéir, Marie-Catherine frappe à la porte qui ne s’ouvre pas. Elle insiste craintive.

— Qui est-ce ? Lui demande une voix qu’elle semble reconnaître, mais comment cela serait-il possible ?

— Moi !

— Moi qui… ?

Elle comprend et prononce la réponse que l’homme attend.

— Madame Mazière, la salope !

La porte s’ouvre et surprise, Frédéric lui tend un imperméable très court.

— Marie-Catherine tu vas rentrer comme ça, mais avant tu vas me violer !

Malgré sa fatigue, elle déshabille son voisin et se jette sur lui pour le sucer avant d’enfourner sa bite dans sa chatte ouverte.

C’est de la folie, mais elle se sent rassurée et soulagée de la présence de son voisin. Elle lui montre sa reconnaissance en lui donnant le plus de plaisir possible.

Frédéric enfin comblé, elle peut rejoindre sa voiture cachée sous un imper ras du cul, sans bouton, fermant simplement avec une ceinture. Frédéric qui était venu en taxi profite de la voiture de sa voisine.

Cette journée bien remplie la laisse épuisée mais satisfaite. Elle profite de la douceur de l’eau chaude dans sa baignoire afin d’être de nouveau fraîche et disponible au retour de Bernard qui, elle le sait, s’occupe de sa voisine. Fugacement, connaissant la perversité de son mari, elle se demande jusqu’où sa pauvre voisine va être entraînée, mais rapidement cette pensée s’efface de son esprit. À chacune sa vie !

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