Aujourd'hui, un an
après mon retour à la maison, ma vie a retrouvé son calme… mais aussi sa
monotonie.
Mon mari est
extrêmement gentil et doux avec moi. Nous ne refaisons l’amour que depuis peu
de temps et seulement très rarement. On dirait que je l'intimide en raison de
mon expérience ou bien qu’il a peur de ne pas être à la hauteur de Monsieur
Moreau pour me faire jouir. C’est donc moi qui suis toujours l’instigatrice de
ces moments câlins qui ont lieu le soir dans notre chambre.
Nous avons toujours le
même rituel. Tout est donc prévisible. En général, je commence par le caresser
doucement avec ma main sur son torse et ma main descend dans son caleçon.
Pendant ce temps ma bouche couvre son ventre de baiser et une fois que j’ai fait
glisser le vêtement, je prends son sexe entre mes lèvres. Les fellations que je
lui offre sont toujours sages. Il ne force jamais ma bouche, ni en rythme, ni
en profondeur. Il gémit doucement en me caressant les cheveux. Il arrive qu’il
jouisse déjà à ce moment-là, comme ce soir par exemple.
— Merci ma chérie tu
es formidable. J’espère que tu n’es pas trop dégoutée.
— Non mon amour, ne
t’inquiète pas, tu sais bien que ce n’est pas comparable. Avec toi tout est
tranquille et serein.
D’autres fois il me
prend par la taille pour me faire venir sur lui. Je m’installe alors sur son
ventre, je vais et viens sur son sexe et il jouit en moi de cette façon.
Il ose parfois me
retourner pour me prendre en levrette mais c’est rare car il imagine ce que
j’ai vécu avec les chiens et il en est malade, me dit-il
Je ne jouis pas
toujours lors de nos ébats, qui n’en sont pas vraiment d’ailleurs. Je ressens
peu d’excitation et de plaisir même si j’apprécie la délicatesse de ses
caresses.
Malgré mes
incitations, il ne veut pas me sodomiser. Il me dit qu’il ne veut pas me
rappeler de mauvais souvenir. Pourtant je pense qu’il aimerait découvrir ce que
cela fait d’enculer une femme même s’il n’ose pas se l’avouer.
Depuis que j’ai
retrouvé mon mari et la sécurité qu’il m’apporte, je ressens comme une
frustration, un manque. Je ne connais plus l’exaltation qui allait avec une
extrême excitation. Même si la peur et la douleur avaient été parfois
excessives dans ma soumission, elles décuplaient mon plaisir et ma jouissance.
Je n’ai jamais autant joui de ma vie qu’avec Monsieur Moreau, et je dois
reconnaître que cette jouissance me manque terriblement.
Oui, ma vie a retrouvé
son calme et... trop de monotonie.
Aujourd'hui j’ai rendez-vous
avec un homme, un certain Julien. Il habite dans ma ville.
Lorsque j’arrive chez lui, il
m’ouvre la porte, il est nu.
— C’est toi Bénédicte ! La salope
qui a chaud au cul ! Allez à poil ! Et en position de
soumise…
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