lundi 6 mars 2023

Erika : Dresseuse de Couples - 04 - Un Nouveau Départ

  

Quand Olivier arrive chez lui, Marie-Gabrielle est couchée. Il est soulagé, pour ce soir, il n’a pas à expliquer pourquoi il ne vient pas dormir dans le lit conjugal. Il est épuisé mais content. Sa première séance avec Erika a dépassé ses attentes. Il ne s’attendait pas à se sentir aussi souvent humilié ; son cul lui fait toujours un peu mal, cela passera, se dit-il. Mais quelle jouissance quand, après avoir été traité comme un chien, il a joui empalé sur le tabouret, tout comme le plaisir qu’il a ressenti quand sa maîtresse se délectait de la chantilly sur son sexe a été phénoménal. Il espère pouvoir revivre rapidement de tels moments de plaisir. Il se l’avoue, il n’a jamais connu un tel plaisir avec Marie-Gabrielle. Erika avait raison en lui disant que des relations de ce type pouvaient devenir addictives.

Il repense aux règles que lui a imposées Erika. Elles ne lui semblent pas si compliquées à respecter. Pour ses tenues, ce sont des sous-vêtements, donc cela restera discret et, à la maison, il n’aura qu’à les laver lui-même, pour que Marie-Gabrielle ne se rende compte de rien. Pour le rasage du pubis, ce n’est pas difficile, cela fait plusieurs jours qu’il porte un plug anal en permanence et elle ne s’est aperçu de rien.

Il se met nu dans la salle de bain et il se contorsionne pour voir l’état de son fondement. Il ne voit rien de particulier. Il en est presque déçu. Il prend une douche rapide et assis sur le rebord de la baignoire, il commence à se raser le pubis. Il comprend vite pourquoi sa femme et sa fille font des grimaces quand elles s’épilent les jambes. La sensation n’a rien à voir avec celle qu’il a lorsqu’il se rase. La peau est beaucoup plus sensible. Le feu du rasoir le brûle. Il trouve une crème apaisante et la passe partout où il s’est rasé avec application.

Il se couche dans le lit de la chambre d’amis quand son téléphone vibre. Un message d’Erika :

“Montre-moi si tu as obéi ?”

Il comprend ce qu’elle lui demande et aussitôt, il lui envoie une photo de son pubis lisse avec son sexe au repos.

“Très bien Petit Chien ! Dernière chose. Tu dors à poil !”

“Merci Maîtresse ! Oui Maîtresse, je vais dormir nu.” lui répond-il.

Quand il rejoint sa femme dans la cuisine pour le petit déjeuner, elle lui demande pourquoi il n’est pas venu se coucher avec elle.

— Tu dormais quand je suis arrivé. Je ne voulais pas te déranger, ma chérie.

— Oui c’est vrai, mais tu sais que quand je dors, je dors ! Mais il est vrai que j’ai bien dormi cette nuit. Je ne me suis pas du tout réveillée.

— Oui je le sais, à ce sujet, je voulais te proposer quelque chose…

— Quoi donc ?

— Ben voilà ! Puisque, apparemment, tu dors mieux quand nous ne dormons pas ensemble… Peut-être que je devrais dormir dans la chambre d’amis ?

— Tu crois ?

— Oui ! Et, regarde, en ce moment, la boutique te fatigue, tu es presque au bout du rouleau. Ne me dis pas le contraire, c’est encore ce que tu m’as affirmé, il y a trois jours.

— Oui c’est vrai ! Et c’est vrai que je récupère mieux quand je dors seule, mais quand même !

— On va faire comme ça pour un temps ! Ainsi, tu seras moins fatiguée et dans quelques temps, une fois qu’on aura retrouvé notre forme, on recouchera ensemble.

Marie-Gabrielle rougit, elle interprète les mots de son mari différemment de ce qu’il pensait dire. Mais, elle se garde de lui donner sa version.

— Bon je me dépêche ! lui dit-il. Sinon je vais être en retard.

***

C’est le cœur joyeux qu’Olivier se rend à son bureau. Il est tellement enthousiaste qu’arrivé à son travail, il ose saluer son assistante d’une main aux fesses.

— Mais ! Monsieur Tallens…

— Qu’y a-t-il Patricia ? lui dit-il droit dans les yeux.

— Euh ! Rien Monsieur, rien.

Dans le centre-ville, Marie-Gabrielle ouvre sa boutique troublée par le comportement de son mari. S’il est vrai que depuis quelques mois, ils ne sont plus aussi proches qu’ils ne l’étaient, c’est la première fois depuis qu’ils sont ensemble qu’ils ne dorment pas dans le même lit, en dehors des déplacements professionnels de l’un ou l’autre. Olivier aurait-il une maîtresse ? Avec tous ces voyages pour son travail, il a souvent l’opportunité de découcher. Mais non, ce n’est pas possible, pas son Olivier !

Dans son cabinet, Erika réfléchit à la situation. C’est la première fois qu’elle tombe sur un soumis aussi bien disposé. Elle se demande jusqu’où elle pourra aller avec lui. Elle se demande si Marie-Gabrielle possède les mêmes dispositions.

***

L’après-midi, Olivier reçoit un message : "Branle-toi sur ton bureau !”

Après avoir fermé la porte à clé, ce qui surprend Laure qui se trouve dans la pièce voisine, il se met debout et commence à se masturber sur le bureau. Il fait cela en silence, les murs entre les bureaux sont minces. Il souille son bureau sous le regard d’Erika qui suit la situation depuis l’écran de son téléphone. Elle a d’ailleurs noté le temps entre l’envoi de son message et le début de la connexion, elle lui demandera des explications.

“Lèche !”

Comme un bon chien obéissant, il nettoie la surface du bureau avec sa langue.

Erika le félicite pour son comportement et lui fixe un rendez-vous chez elle le lendemain en début d’après-midi.

Olivier arrive excité comme la fois précédente. Il n’y a plus l’angoisse de l’inconnu même si Erika ne répond pas immédiatement à l’interphone de son portail. Après être entré dans le jardin, devant la porte de la maison, il applique la consigne qu’elle lui a envoyée quelques minutes plus tôt. Il doit être nu, avoir mis son collier et la laisse, avant d’entrer à quatre pattes chez sa Maîtresse.

Erika, comme elle l’a déjà fait, ouvre la porte et le conduit en laisse dans le jardin au pied du sureau. Comme il est passé aux toilettes avant de quitter son bureau, il ne fait rien. Erika est mécontente. D’ailleurs c’est le moment de faire le point !

— Dis-moi ! Petit Chien ! Pourquoi as-tu mis autant de temps à te connecter hier ?

— J'ai fermé la porte de mon bureau à clé, avant, maîtresse !

— Fermer la porte ! Était-ce dans tes consignes ?

— Non Maîtresse !

— Donc qu’est-ce que tu mérites ?

— Une punition Maîtresse ! dit-il avec appréhension en baissant les yeux.

— Bien, ce sera donc vingt coups de cravache !

— Merci Maîtresse !

Si les coups de martinet, dans la chambre d’hôtel, ne lui avaient pas laissé un souvenir désagréable, Olivier craint la cravache. Il baisse la tête et suis sa maîtresse dans l’escalier.

Erika l’installe sur la croix de Saint-André. Il la sent tripoter ses boules. Elle y fixe des poids avec des lacets noués autour du scrotum. Puis, elle se recule.

— Compte Petit Chien !

Le premier coup s’abat sur ses fesses. Olivier sursaute, ce qui a pour effet de faire remuer les poids qui pendent entre ses cuisses. Ils s’entrechoquent comme les boules du jeu de tac-tac. Il gémit mais il n’oublie pas de compter.

A la fin de la punition, Erika le détache et lui dit qu’il a du ménage à faire. Elle lui montre les toilettes et la salle de bain et lui donne une heure pour tout nettoyer, sinon il sera de nouveau puni. Elle lui fixe une pince sur chaque téton et le laisse.

— Maîtresse ! j’ai fini !

Erika vient contrôler le travail de son soumis et pour la première fois depuis le début de l’après-midi, elle lui sourit.

— Finalement ! Tu as mérité le droit de retrouver Lola !

Humilié, Olivier remercie Erika de sa bonté et il se masturbe dans la poupée.

***

Olivier accepte avec plaisir sa nouvelle vie, faite de contrainte et de plaisir. Ils ont des rendez convenus avec Erika, deux fois par semaine à dix-huit heures trente. Il sait qu’il ne doit pas aller aux toilettes avant de venir la retrouver et qu’elle le conduit au pied du sureau. Ensuite, selon son humeur, elle l’installe sur le tabouret ou la croix de Saint André, toujours avec les pinces sur les tétons et les lacets à boules au scrotum. Ensuite après avoir joui, il fait jouir Erika puis c’est le nettoyage des sous-vêtements. Il est même étonné du nombre de sous-vêtements qu'elle lui donne à laver, jusqu'à ce qu'il réalise qu'ils n'ont pas tous la même taille et qu'ils ne sont donc pas tous de sa maîtresse. 

***

Un soir, alors qu'il dîne avec Marie-Gabrielle, il reçoit un message.

— Excuse-moi ! Le travail !

— Oh Olivier, s'il te plaît, attends que nous ayons fini le dessert. Ça peut attendre, non ? Déjà que tu ne dors plus avec moi...

— Euh oui… mais…

— Mais quoi ? Tu ne vas pas y aller de toute manière. Et si c'est un problème technique, cela attendra demain.

Olivier est coincé, il ne sait pas comment s'en sortir. Il ne veut pas froisser sa femme mais sa maîtresse va attendre. Cependant, il cède à la demande de Marie-Gabrielle et il attend d'avoir fini avant de monter dans sa chambre.

Sur son téléphone, plusieurs messages s'affichent, des messages d'impatience et de colère. 

"Punition : 50 coups de martinet sur les fesses ! Exécution !"

Olivier allume aussitôt sa caméra et il commence sa punition sans oublier de remercier sa maîtresse. Il a dans sa main le martinet. Il envoie avec force les lanières de droite et de gauche, alternativement. Bien sûr elles n’atteignent pas les fesses comme lorsqu’Erika a donné elle-même la punition, mais le haut des cuisses et les côtés du bassin ont bien reçu les coups ! Il espère qu'Erika validera cette punition !

***

Le lendemain matin, il reçoit une convocation d'Erika. Il s'excuse auprès de ses collègues, prétextant une indisposition. Le portail passé, il arrive devant chez Erika. Il se met nu et attend à quatre pattes qu'elle vienne lui ouvrir.

Maîtresse Erika n'est pas seule. Une autre femme, tout aussi impressionnante qu'elle, est là. 

— Mélody, voici Petit Chien ! Aujourd'hui, je vais le punir car il m'a beaucoup déçu hier ! Tu vois le haut de ses cuisses et le bord de ses fesses… il a dû s’auto-punir car j’étais trop en colère pour laisser passer cette incartade !

Olivier tente de prendre la parole pour se justifier mais Erika lui interdit de parler et le bâillonne. Il monte les escaliers derrière sa maîtresse tandis que l'autre femme le suit. De temps en temps, il sent des coups de cravache sur ses fesses.

Quand ils arrivent dans le donjon, ses fesses le brûlent déjà. Il se demande ce que sa maîtresse a imaginé pour le punir.

Il est presque soulagé quand elle l'attache sur la croix. Cette fois, elle l'installe dos à la croix. Il voit les deux femmes devant lui. Erika s'approche avec un objet qu'il n'avait encore jamais vu dans la panoplie de sa maîtresse, une cage de chasteté.

— Tu vois Petit Chien. Tu n'as pas été obéissant, tu vas être puni… Et pour te punir encore plus, ce n'est pas moi qui vais te la fixer, mais mon amie Mélody.

Erika donne l'objet à l'autre femme qui commence par s'amuser avec le sexe d'Olivier. Celui-ci ne peut s'empêcher de bander. Mélody avec un sourire pervers enferme le sexe d'Olivier dans cette cage métallique. Il grimace, il n'avait pas remarqué que l'intérieur était garni de petites pointes acérées qui pénètrent son membre. Il gémit. Il est obligé de se concentrer pour ne pas bander.

Mélody et Erika commencent à lui caresser la poitrine avec leurs ongles, sans le griffer, juste le frôler. Olivier est au paroxysme de la torture. Il est excité mais il lui est impossible de bander. Il tremble. Il n'ose pas supplier ses tourmenteuses d'arrêter. Il accepte sa punition. Après de longues minutes qui le laissent épuisé, les deux femmes finissent par le détacher.

— Enfile ta tenue et viens nous servir !

Une tenue c'est vite dit, il s'agit juste du petit tablier blanc que lui a offert Erika, lors de sa première visite.

Pendant qu'il prépare le repas dans la cuisine, il entend les deux femmes se faire du bien dans le salon.

Quand il apporte le plat, il peut les voir unies par un double gode. Elles s'embrassent et se caressent. Il reste immobile. Erika jouit la première. Elle se retire, attrape un vibromasseur et joue avec et sa langue sur la chatte de Mélody qui jouit en plaquant le visage d'Erika contre sa chatte.

— C'est bon ! Tu as bien maté ? lui dit Erika.

— Non ! Euh oui Maîtresse !

— Bon alors, qu'est-ce que tu attends ? Sers-nous !

Olivier obéit aussi vite que possible. Il voit Mélody murmurer quelque chose à sa maîtresse. Erika rigole.

— Oui pourquoi pas ! dit-elle. Petit Chien approche !

Erika attrape le gode qu'elles viennent d'utiliser. Il est encore brillant de leurs sécrétions.

— Au lieu de rester à ne rien faire, à nous regarder manger ! Rends toi utile ! Nettoie ce gode !

— Oui maîtresse ! Merci Maîtresse !

Il le lèche avec sa langue. Il reconnaît le goût de sa maîtresse et celui, différent, de Mélody. Il est toujours occupé à lécher le jouet quand il entend :

— Je te proposerai bien un dessert à la chantilly, mais…

— Écoute ! Pourquoi nous priverions-nous ? Mais moi j'aime avec du Nutella !

— Petit Chien ! Va chercher la chantilly et le Nutella à la cuisine !

Les deux femmes demandent à Olivier de s'allonger sur la table. Erika le libère de sa cage de chasteté. Elles enduisent ses tétons et son sexe de Nutella et de chantilly. Chacune d'un côté du soumis, elles se penchent et commencent à lécher. Il sent leurs deux langues sur son sexe. Il se concentre pour ne pas bander. 

L'une lui tient le sexe tandis que l'autre élimine toute les traces de crème et de chocolat. Malgré sa résolution, il sent son sexe durcir. Elles finissent par se relever. Erika lui dit alors :

— Ne crois pas que tu vas t'en sortir ainsi !

Elle remet la cage en place et le congédie.

Olivier rentre chez lui avec cet objet qui lui enferme le sexe. Combien de temps Erika va-t-elle le laisser ainsi ? Il l'ignore.

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