Ce
matin, Erika est pensive. Quand elle est arrivée au cabinet, elle a pu voir le
virage triste de Maeva, la jeune secrétaire. Ce visage presque sans expression
que la jeune femme traîne depuis qu’elle travaille ici. Elle va proposer à la
jeune femme de venir déjeuner avec elle, car elle pense connaître la raison de
cette tristesse Pour une fois, elle n’a aucune envie de faire de cette femme
une de ses soumises. Maeva n’a pas besoin de cela.
Avec
Elise et Gilles, ils l’avaient recrutée quelques années plus tôt alors qu’elle
sortait d’une mauvaise histoire d’amour. A l’époque, Erika ignorait que Gilles
avait profité de la faiblesse de Maeva pour abuser d’elle et la maintenir dans
un état de sujétion. Mais les récentes révélations de Jean-Bernard lui avaient
ouvert les yeux. Elle allait venger Maeva et toutes celles abusées par Gilles.
Mais pour cela, elle aura besoin de l’aide de Melody.
En
effet, depuis quelques jours elle surveille les agissements de son confrère et
comme le lui avait dit Jean-Bernard, Gilles continue toujours d’abuser de ses
patientes. Elle en a eu confirmation quand discrètement elle avait pu cacher
dans le cabinet de Gilles un petit enregistreur, toujours se méfier des grands
bacs contenant des plantes vertes. Ce qu’elle avait pu entendre depuis son
cabinet ne laissait aucun doute sur le comportement de Gilles. Il avait demandé
ou plutôt contraint Maeva à le sucer, puis dans la journée, il avait d’ailleurs
sodomisé sans douceur une jeune patiente que sa mère avait accompagnée chez le
gynécologue. Erika l’avait vue sortir du
cabinet les yeux mouillés. Elle avait réussi à récupérer ses coordonnées et
elle espérait que Melody recueillerait ses confidences.
— Maeva
!
— Oui
Madame !
— Voulez-vous
venir déjeuner avec moi ?
— Euh
! C'est-à-dire que Monsieur Mertault souhaite ma présence pour un dossier…
— Maeva,
je sais pertinemment de quel dossier il s’agit. Ce dossier peut attendre.
D’ailleurs je vais lui dire moi-même que tu viens déjeuner avec moi.
— Oui !
Madame… dit Maeva d’une petite voix timide mais surtout effrayée.
—
Bien, prends ta veste et suis-moi !
Sans
attendre la réponse de Maeva, Erika ouvre la porte du cabinet et sort sur le
palier. Les deux femmes trouvent une table à la terrasse d'une brasserie, Maeva
regarde la carte un peu effrayée par les tarifs.
— Je
t’invite, ne t’inquiète pas !
—
Merci Madame !
— Bon !
Parle-moi franchement ! Quelles sont tes relations avec Gilles ?
—
Madame, je vous en prie… S’il vous plaît !
Erika
prend les mains de Maeva dans ses mains, pour la rassurer. Elle lui dit qu’elle
n’est pas là pour la juger mais qu'elle veut absolument savoir ce que Gilles
lui fait subir.
— Je
suis au courant de ce qu’il se passe dans son cabinet quand il te convoque…
—
C’est terrible Madame !
— Oui
je sais. Mais je suis de ton côté. Il abuse de toi ? N’est-ce pas ?
Il te viole ?
—
Oui… et pire encore !
—
Alors écoute ! Je te promets que cela ne se reproduira plus, mais il faut que
tu me fasses confiance.
—
Mais Monsieur Mertault menace de me renvoyer si je ne lui obéis pas !
—
Cela non plus ne se produira pas ! Fais-moi confiance !
— Oui
Madame…
—
Alors écoute-moi bien ! Voilà ce que l’on va faire !
Erika
dévoile son idée à Maeva qui retrouve le sourire même si elle va devoir encore
pour quelques jours subir les assauts de son patron. Mais le jeu en vaut la
chandelle, se rassure-t-elle.
***
Dans
la soirée, Erika prend contact avec Melody. Son amie de toujours est une
experte de la sécurité informatique et très peu d'ordinateurs lui résistent et
surtout pas un ordinateur personnel comme ceux qu'ils utilisent au cabinet.
Quand Erika lui explique les raisons de sa demande, Melody n'hésite pas. "Je
prends le premier train" dit-elle à Erika. Et plus, cela lui donnera
l'occasion de revoir Petit Chien. Il la lèche divinement bien !
Le
lendemain soir, Erika et Maeva observent Melody concentrée devant l'écran de
l'ordinateur de Gilles. Comme elle s'y attendait, il ne lui faut pas plus de
cinq minutes pour accéder à tous les fichiers de Gilles. Malgré tout, celui-ci
est prudent et les fichiers les plus compromettant ne sont pas sur son disque
dur, mais quelque part dans le Cloud. Ce détail ne rebute pas Melody, qui
charge l'ensemble des données sur un disque.
— On
s'attaque à celui d'Elise ?
—
Non, je pense que l'on a assez de matériel compromettant ! Qu'en
penses-tu, Maeva ?
— Oh
Madame, c'est sûr ! Ils vont bien déguster ces salauds !
—
Calme-toi, petite ! Allez viens, on va aller fêter cela chez moi.
Chez
Erika, avec une bouteille de champagne et un plateau de sushis, elles regardent
les données qu'elles ont récupérées. Maeva est blême, Erika et Melody, folles
de rage. Elles ont beau être des dominatrices comme Gilles, elles n'ont jamais
violé, ni contraint personne ! Enfin presque pense Erika, la séance de
Marie-Gabrielle avec Jean-Bernard est limite, mais Marie-Gabrielle savait ce
qui l'attendait en entrant dans la boîte.
***
—Tu
es prête ? Demande Melody à Erika.
— Oui,
je suis bien remontée. On n'a rien oublié, tu as pris tout le matériel ?
—
Alors ! Commençons !
Grâce
à la caméra cachée dans le cabinet de Gilles, les deux femmes savent qu'il est
en train d'abuser d'une de ses patientes.
Erika,
sans s'annoncer, entre dans le cabinet de Gilles. Elle le surprend le pantalon
et le caleçon aux chevilles. Il s’est enfilé entre les cuisses d'une femme
allongée sur la table d'examen.
—
C'est fini pour toi, ordure ! dit-elle d'une voix forte et ferme.
Gilles,
surpris, se retourne et tente de se justifier en bégayant. Melody, qui a suivi
Erika, prend la patiente dans ses bras et la fait sortir du cabinet pour la
rassurer. Elle l'emmène dans le cabinet d'Erika, elle la console et la fait
parler. Elle prend soin d'enregistrer les paroles de la femme.
— Tu
n'as rien à dire ! Tu es un violeur en série ! Et cela ne date pas
d'hier ! Je le sais !
Gilles
bafouille et s'emmêle dans ses tentatives d'explication. Comme tous les
harceleurs et violeurs, il raconte que ce sont ces femmes qui l'ont excité et
qu'elles n'attendent que cela. C'est lui la victime !
— Maeva
aussi, elle t'a cherché ? Et l'étudiante et la gamine venue pour sa
première visite, elles aussi, elles étaient demandeuses ! Cela suffit !
—
Mais Erika ! Je t'en prie ! Comprends-moi !
— Ce
que je comprends, c'est que tu vas passer quelques années en prison et de ce
que je sais, la prison n'est pas un lieu agréable pour les violeurs. Et crois-moi,
tes codétenus sauront ce que tu as fait !
—
S'il te plaît, non pas ça, pense à Elise !
— Elise,
justement, parlons-en d'Elise ! Elle t'a couvert combien de fois ?
Dix fois ? Vingt fois ? Trente fois ?
Gilles
baisse la tête encore plus piteusement, si cela était possible. Un homme est
déjà ridicule quand il a le caleçon aux chevilles mais avec le sexe mou, cela
en deviendrait pathétique si ce n'était pas si dramatique.
—
C'est simple Gilles ! Soit Elise et toi faites tout ce que je vous dis, soit
les flics auront tous sur leur bureau !
— Oui,
Erika nous ferons tout ce que tu veux ! répond aussitôt Gilles sentant que
c’est sa seule issue.
—
Très alors ! A poil !
—
Gilles s'empresse d'obéir et il se retrouve nu devant Erika qui lui ordonne de
s'installer à la place de la femme. Elle lui attache les chevilles dans les
étriers et écarte ses cuisses.
—
Maeva ! Peux-tu dire à Elise que son mari aurait besoin de la voir, elle
sait pourquoi !
— Oui
Madame Erika, lui répond Maeva un sourire au coin des lèvres.
Elle
informe donc Elise de la demande de Gilles. Elise sort en blouse de son cabinet
et entre sans se douter de rien dans celui de son mari. Quand elle ouvre la
porte, elle pousse un cri de surprise et recule.
Mais,
Maeva qui l'a suivi un sac de sport à la main, la force à entrer dans le
cabinet avant de fermer la porte. Elle voit, comme Elise, le docteur Gilles
Mertault éminent praticien, allongé nu, les cuisses écartées, attaché sur un
fauteuil gynécologique, son appareil génital et son cul exposés. Son visage se
décompose quand il voit Elise et Maeva.
—
Gilles ! Explique notre accord à Elise !
Quand
il finit de tout exposer, Elise commence à piquer une crise de nerf, elle se
met à dire qu'elle n'y est pour rien qu'il l'a obligée à le couvrir en la
menaçant, en lui disant qu'elle est complice et donc aussi coupable que lui.
Erika reste sourde à ses supplications. Elle lui montre les preuves qui
l'accable, elle aussi.
Elise
finit par craquer et tombe à genoux aux pieds de Maeva.
—
Puisque tu es à genoux comme une petite chienne, tu vas t'excuser auprès de
Maeva ! Embrasse-lui les pieds.
— Oui
Erika !
— Pas
Erika ! Pour toi et Gilles, c'est Maîtresse !
— Oui
Maîtresse !
Elise,
en larmes, pose ses lèvres sur les pieds de Maeva qui sourit. Elle savoure
aussi cet instant même si elle est un peu effrayée par l'attitude d'Erika qui
présente à Gilles divers objets qu'elle vient de sortir du sac apporté par
Maeva. Gilles panique en voyant le martinet, les pinces, les plugs et les godes
ceintures.
—
Maeva ! Tu te souviens de ce que tu dois faire ?
— Oui
Madame Erika, bien sûr !
Elle
prend une cravache et fait comprendre à Elise de se relever, avant de lui dire
:
— A
poil ! Petite chienne ! Les chiennes comme toi ne portent pas de
vêtements !
La
jeune fille est presque surprise d'avoir réussi à dire cela sans fléchir et
sans rire. Elle est encore plus surprise quand Elise commence à se déshabiller
devant elle après lui avoir dit "Oui Maîtresse".
Erika
découvre le corps de sa consœur habituée au séances d'UV en institut, sa
poitrine ferme et son ventre encore plat qui démontre l'activité physique de
cette femme.
—
Penche-toi sur le bureau ! Ordonne Maeva, observée en silence par Erika et
Melody qui viennent de les rejoindre.
Elise
prend la pose docilement et Maeva commence à frapper le cul de la doctoresse
avec la cravache. Des mois d'humiliation, de hontes, de contraintes sont
libérés dans ces coups. La hargne de la jeune secrétaire se traduit rapidement
par des stries rouges qui zèbrent la peau d'Elise. Elle avait bien tenté de
rester stoïque au début, mais là ce n'est plus possible. Elle hurle et
heureusement que le cabinet est insonorisé, sinon tout le quartier profiterait
de ses cris.
C'est
Erika qui calme les ardeurs de Maeva en expliquant à Elise ce qu'elle va devoir
faire.
Elise
écoute catastrophée. Erika vient de lui demander de préparer le cul de son mari
pour que Melody puisse l'enculer avec un gode ceinture. Pendant qu'Elise
s'active avec sa bouche entre les fesses de Gilles, Erika s'installe derrière
la blonde et l'encule d'un coup. Elise pousse un cri de douleur mais continue
lécher l'anus masculin avant que Melody vienne le perforer avec son gode.
Puis
elles inversent la situation, Erika encule Gilles et Melody, Elise.
Les
deux médecins sont ainsi humiliés pendant toute la matinée. Un gode ceinture ne
montre jamais de signe de défaillance ! Et dans les moments où les deux
maîtresses veulent varier les plaisirs, elles cinglent les fesses offertes avec
des cravaches ou des martinets.
A la
fin, Erika et Melody demandent à leurs proies de nettoyer les godes avec leur
bouche. Puis Erika encage le sexe de Gilles et ferme une ceinture de chasteté
autour de la taille d'Elodie.
—
Remettez vos blouses, vous avez des rendez-vous à assurer cet après-midi. Je
vous rendrais vos vêtements ce soir.
Ni
l’un ni l’autre ne font quelque remarque que ce soit, trop assommés par les
évènements et surtout humiliés comme jamais ils ne l’ont été !
Le
soir venu, Elodie et Gilles viennent alors humblement demander leurs vêtements
à Erika.
—
Petite Chienne vient me lécher avant !
Élise
ne dit rien, et vient entre les cuisses d'Erika. Elle s’agenouille et met tout
son cœur à satisfaire sa nouvelle Maîtresse qui a retenu son excitation toute
la journée.
Erika
finit par jouir en lâchant un jet de pisse sur le visage d'Elise qui recule,
surprise. Une tâche de liquide s'étale au sol.
—
Vient nettoyer ! dit-elle à Gilles paniqué. Dépêche-toi, j'ai un rendez-vous ce
soir !
Gilles,
humilié, tombe à genoux et lèche la pisse au sol. Il a de la chance, Erika
était passée aux toilettes avant de les recevoir, sa vessie était presque vide.
—
Alors qu'attendez-vous pour vous habiller ? Vous voulez traverser la ville
comme cela ?
—
Mais Maîtresse, dit Elise.
—
Quoi donc petite chienne ! Qu’est-ce que ce “mais” ?
— La
ceinture ?
— Quoi
la ceinture ? Tu la gardes ! Et Gilles garde sa cage !
D'ailleurs je n'ai pas la clé, c'est Maeva qui l'a ! Vous verrez avec elle
lundi !
Humiliés,
ils enfilent leurs vêtements de ville. Ça va être dur pour eux. De plus, Elise
va avoir du mal à expliquer cet accessoire à ses amies du club de natation.
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