vendredi 3 mai 2024

Erika : Dresseuse de Couples -12- Chantage au Cabinet

 

Ce matin, Erika est pensive. Quand elle est arrivée au cabinet, elle a pu voir le virage triste de Maeva, la jeune secrétaire. Ce visage presque sans expression que la jeune femme traîne depuis qu’elle travaille ici. Elle va proposer à la jeune femme de venir déjeuner avec elle, car elle pense connaître la raison de cette tristesse Pour une fois, elle n’a aucune envie de faire de cette femme une de ses soumises. Maeva n’a pas besoin de cela.

Avec Elise et Gilles, ils l’avaient recrutée quelques années plus tôt alors qu’elle sortait d’une mauvaise histoire d’amour. A l’époque, Erika ignorait que Gilles avait profité de la faiblesse de Maeva pour abuser d’elle et la maintenir dans un état de sujétion. Mais les récentes révélations de Jean-Bernard lui avaient ouvert les yeux. Elle allait venger Maeva et toutes celles abusées par Gilles. Mais pour cela, elle aura besoin de l’aide de Melody.

En effet, depuis quelques jours elle surveille les agissements de son confrère et comme le lui avait dit Jean-Bernard, Gilles continue toujours d’abuser de ses patientes. Elle en a eu confirmation quand discrètement elle avait pu cacher dans le cabinet de Gilles un petit enregistreur, toujours se méfier des grands bacs contenant des plantes vertes. Ce qu’elle avait pu entendre depuis son cabinet ne laissait aucun doute sur le comportement de Gilles. Il avait demandé ou plutôt contraint Maeva à le sucer, puis dans la journée, il avait d’ailleurs sodomisé sans douceur une jeune patiente que sa mère avait accompagnée chez le gynécologue.  Erika l’avait vue sortir du cabinet les yeux mouillés. Elle avait réussi à récupérer ses coordonnées et elle espérait que Melody recueillerait ses confidences.

— Maeva !

— Oui Madame !

— Voulez-vous venir déjeuner avec moi ?

— Euh ! C'est-à-dire que Monsieur Mertault souhaite ma présence pour un dossier…

— Maeva, je sais pertinemment de quel dossier il s’agit. Ce dossier peut attendre. D’ailleurs je vais lui dire moi-même que tu viens déjeuner avec moi.

— Oui ! Madame… dit Maeva d’une petite voix timide mais surtout effrayée.

— Bien, prends ta veste et suis-moi !

Sans attendre la réponse de Maeva, Erika ouvre la porte du cabinet et sort sur le palier. Les deux femmes trouvent une table à la terrasse d'une brasserie, Maeva regarde la carte un peu effrayée par les tarifs.

— Je t’invite, ne t’inquiète pas !

— Merci Madame !

— Bon ! Parle-moi franchement ! Quelles sont tes relations avec Gilles ?

— Madame, je vous en prie… S’il vous plaît !

Erika prend les mains de Maeva dans ses mains, pour la rassurer. Elle lui dit qu’elle n’est pas là pour la juger mais qu'elle veut absolument savoir ce que Gilles lui fait subir.

— Je suis au courant de ce qu’il se passe dans son cabinet quand il te convoque…

— C’est terrible Madame !

— Oui je sais. Mais je suis de ton côté. Il abuse de toi ? N’est-ce pas ? Il te viole ?

— Oui… et pire encore !

— Alors écoute ! Je te promets que cela ne se reproduira plus, mais il faut que tu me fasses confiance.

— Mais Monsieur Mertault menace de me renvoyer si je ne lui obéis pas !

— Cela non plus ne se produira pas ! Fais-moi confiance !

— Oui Madame…

— Alors écoute-moi bien ! Voilà ce que l’on va faire !

Erika dévoile son idée à Maeva qui retrouve le sourire même si elle va devoir encore pour quelques jours subir les assauts de son patron. Mais le jeu en vaut la chandelle, se rassure-t-elle.

***

Dans la soirée, Erika prend contact avec Melody. Son amie de toujours est une experte de la sécurité informatique et très peu d'ordinateurs lui résistent et surtout pas un ordinateur personnel comme ceux qu'ils utilisent au cabinet. Quand Erika lui explique les raisons de sa demande, Melody n'hésite pas. "Je prends le premier train" dit-elle à Erika. Et plus, cela lui donnera l'occasion de revoir Petit Chien. Il la lèche divinement bien !

Le lendemain soir, Erika et Maeva observent Melody concentrée devant l'écran de l'ordinateur de Gilles. Comme elle s'y attendait, il ne lui faut pas plus de cinq minutes pour accéder à tous les fichiers de Gilles. Malgré tout, celui-ci est prudent et les fichiers les plus compromettant ne sont pas sur son disque dur, mais quelque part dans le Cloud. Ce détail ne rebute pas Melody, qui charge l'ensemble des données sur un disque.

— On s'attaque à celui d'Elise ?

— Non, je pense que l'on a assez de matériel compromettant ! Qu'en penses-tu, Maeva ?

— Oh Madame, c'est sûr ! Ils vont bien déguster ces salauds !

— Calme-toi, petite ! Allez viens, on va aller fêter cela chez moi.

Chez Erika, avec une bouteille de champagne et un plateau de sushis, elles regardent les données qu'elles ont récupérées. Maeva est blême, Erika et Melody, folles de rage. Elles ont beau être des dominatrices comme Gilles, elles n'ont jamais violé, ni contraint personne ! Enfin presque pense Erika, la séance de Marie-Gabrielle avec Jean-Bernard est limite, mais Marie-Gabrielle savait ce qui l'attendait en entrant dans la boîte.

***

—Tu es prête ? Demande Melody à Erika.

— Oui, je suis bien remontée. On n'a rien oublié, tu as pris tout le matériel ?

— Alors ! Commençons !

Grâce à la caméra cachée dans le cabinet de Gilles, les deux femmes savent qu'il est en train d'abuser d'une de ses patientes.

Erika, sans s'annoncer, entre dans le cabinet de Gilles. Elle le surprend le pantalon et le caleçon aux chevilles. Il s’est enfilé entre les cuisses d'une femme allongée sur la table d'examen.

— C'est fini pour toi, ordure ! dit-elle d'une voix forte et ferme.

Gilles, surpris, se retourne et tente de se justifier en bégayant. Melody, qui a suivi Erika, prend la patiente dans ses bras et la fait sortir du cabinet pour la rassurer. Elle l'emmène dans le cabinet d'Erika, elle la console et la fait parler. Elle prend soin d'enregistrer les paroles de la femme.

— Tu n'as rien à dire ! Tu es un violeur en série ! Et cela ne date pas d'hier ! Je le sais !

Gilles bafouille et s'emmêle dans ses tentatives d'explication. Comme tous les harceleurs et violeurs, il raconte que ce sont ces femmes qui l'ont excité et qu'elles n'attendent que cela. C'est lui la victime !

— Maeva aussi, elle t'a cherché ? Et l'étudiante et la gamine venue pour sa première visite, elles aussi, elles étaient demandeuses ! Cela suffit !

— Mais Erika ! Je t'en prie ! Comprends-moi !

— Ce que je comprends, c'est que tu vas passer quelques années en prison et de ce que je sais, la prison n'est pas un lieu agréable pour les violeurs. Et crois-moi, tes codétenus sauront ce que tu as fait !

— S'il te plaît, non pas ça, pense à Elise !

— Elise, justement, parlons-en d'Elise ! Elle t'a couvert combien de fois ? Dix fois ? Vingt fois ? Trente fois ?

Gilles baisse la tête encore plus piteusement, si cela était possible. Un homme est déjà ridicule quand il a le caleçon aux chevilles mais avec le sexe mou, cela en deviendrait pathétique si ce n'était pas si dramatique.

— C'est simple Gilles ! Soit Elise et toi faites tout ce que je vous dis, soit les flics auront tous sur leur bureau !

— Oui, Erika nous ferons tout ce que tu veux ! répond aussitôt Gilles sentant que c’est sa seule issue.

— Très alors ! A poil !

— Gilles s'empresse d'obéir et il se retrouve nu devant Erika qui lui ordonne de s'installer à la place de la femme. Elle lui attache les chevilles dans les étriers et écarte ses cuisses.

— Maeva ! Peux-tu dire à Elise que son mari aurait besoin de la voir, elle sait pourquoi !

— Oui Madame Erika, lui répond Maeva un sourire au coin des lèvres.

Elle informe donc Elise de la demande de Gilles. Elise sort en blouse de son cabinet et entre sans se douter de rien dans celui de son mari. Quand elle ouvre la porte, elle pousse un cri de surprise et recule.

Mais, Maeva qui l'a suivi un sac de sport à la main, la force à entrer dans le cabinet avant de fermer la porte. Elle voit, comme Elise, le docteur Gilles Mertault éminent praticien, allongé nu, les cuisses écartées, attaché sur un fauteuil gynécologique, son appareil génital et son cul exposés. Son visage se décompose quand il voit Elise et Maeva.

— Gilles ! Explique notre accord à Elise  !

Quand il finit de tout exposer, Elise commence à piquer une crise de nerf, elle se met à dire qu'elle n'y est pour rien qu'il l'a obligée à le couvrir en la menaçant, en lui disant qu'elle est complice et donc aussi coupable que lui. Erika reste sourde à ses supplications. Elle lui montre les preuves qui l'accable, elle aussi.

Elise finit par craquer et tombe à genoux aux pieds de Maeva.

— Puisque tu es à genoux comme une petite chienne, tu vas t'excuser auprès de Maeva ! Embrasse-lui les pieds.

— Oui Erika !

— Pas Erika ! Pour toi et Gilles, c'est Maîtresse !

— Oui Maîtresse !

Elise, en larmes, pose ses lèvres sur les pieds de Maeva qui sourit. Elle savoure aussi cet instant même si elle est un peu effrayée par l'attitude d'Erika qui présente à Gilles divers objets qu'elle vient de sortir du sac apporté par Maeva. Gilles panique en voyant le martinet, les pinces, les plugs et les godes ceintures.

— Maeva ! Tu te souviens de ce que tu dois faire ?

— Oui Madame Erika, bien sûr !

Elle prend une cravache et fait comprendre à Elise de se relever, avant de lui dire  :

— A poil ! Petite chienne ! Les chiennes comme toi ne portent pas de vêtements !

La jeune fille est presque surprise d'avoir réussi à dire cela sans fléchir et sans rire. Elle est encore plus surprise quand Elise commence à se déshabiller devant elle après lui avoir dit "Oui Maîtresse".

Erika découvre le corps de sa consœur habituée au séances d'UV en institut, sa poitrine ferme et son ventre encore plat qui démontre l'activité physique de cette femme.

— Penche-toi sur le bureau ! Ordonne Maeva, observée en silence par Erika et Melody qui viennent de les rejoindre.

Elise prend la pose docilement et Maeva commence à frapper le cul de la doctoresse avec la cravache. Des mois d'humiliation, de hontes, de contraintes sont libérés dans ces coups. La hargne de la jeune secrétaire se traduit rapidement par des stries rouges qui zèbrent la peau d'Elise. Elle avait bien tenté de rester stoïque au début, mais là ce n'est plus possible. Elle hurle et heureusement que le cabinet est insonorisé, sinon tout le quartier profiterait de ses cris.

C'est Erika qui calme les ardeurs de Maeva en expliquant à Elise ce qu'elle va devoir faire.

Elise écoute catastrophée. Erika vient de lui demander de préparer le cul de son mari pour que Melody puisse l'enculer avec un gode ceinture. Pendant qu'Elise s'active avec sa bouche entre les fesses de Gilles, Erika s'installe derrière la blonde et l'encule d'un coup. Elise pousse un cri de douleur mais continue lécher l'anus masculin avant que Melody vienne le perforer avec son gode.

Puis elles inversent la situation, Erika encule Gilles et Melody, Elise.

Les deux médecins sont ainsi humiliés pendant toute la matinée. Un gode ceinture ne montre jamais de signe de défaillance ! Et dans les moments où les deux maîtresses veulent varier les plaisirs, elles cinglent les fesses offertes avec des cravaches ou des martinets.

A la fin, Erika et Melody demandent à leurs proies de nettoyer les godes avec leur bouche. Puis Erika encage le sexe de Gilles et ferme une ceinture de chasteté autour de la taille d'Elodie.

— Remettez vos blouses, vous avez des rendez-vous à assurer cet après-midi. Je vous rendrais vos vêtements ce soir.

Ni l’un ni l’autre ne font quelque remarque que ce soit, trop assommés par les évènements et surtout humiliés comme jamais ils ne l’ont été !

Le soir venu, Elodie et Gilles viennent alors humblement demander leurs vêtements à Erika.

— Petite Chienne vient me lécher avant !

Élise ne dit rien, et vient entre les cuisses d'Erika. Elle s’agenouille et met tout son cœur à satisfaire sa nouvelle Maîtresse qui a retenu son excitation toute la journée.

Erika finit par jouir en lâchant un jet de pisse sur le visage d'Elise qui recule, surprise. Une tâche de liquide s'étale au sol.

— Vient nettoyer ! dit-elle à Gilles paniqué. Dépêche-toi, j'ai un rendez-vous ce soir !

Gilles, humilié, tombe à genoux et lèche la pisse au sol. Il a de la chance, Erika était passée aux toilettes avant de les recevoir, sa vessie était presque vide.

— Alors qu'attendez-vous pour vous habiller ? Vous voulez traverser la ville comme cela ?

— Mais Maîtresse, dit Elise.

— Quoi donc petite chienne ! Qu’est-ce que ce “mais” ?

— La ceinture ?

— Quoi la ceinture ? Tu la gardes ! Et Gilles garde sa cage ! D'ailleurs je n'ai pas la clé, c'est Maeva qui l'a ! Vous verrez avec elle lundi !

Humiliés, ils enfilent leurs vêtements de ville. Ça va être dur pour eux. De plus, Elise va avoir du mal à expliquer cet accessoire à ses amies du club de natation.

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