mardi 9 décembre 2025

L'assistante - 01-

Dans cette histoire, vous allez découvrir la transformation d'une mère de famille que rien ne destinait à devenir l'assistante soumise de son nouveau patron.

 Bonne lecture !

 

Un voyage initiatique


Le calme était enfin revenu dans la maison. Les enfants étaient couchés et endormis. Pascal, son mari, installé avec un whisky regardait le match de rugby diffusé tous les jeudi soir. Sophie venait de finir de ranger la cuisine et d’allumer son ordinateur pour consulter ses mails. Elle ne se faisait pas d’illusion. Depuis six mois qu’elle envoyait son curriculum vitae accompagné d’une lettre de motivation, elle ne recevait que des réponses négatives quand elle en recevait. Il est vrai qu’à quarante ans, après une interruption de dix ans pour s’occuper de ses enfants, elle s’était éloignée du marché du travail.

Soudain, Pascal entendit sa femme s’exclame.

— Chéri ! Je crois que c’est bon ! Viens voir !

Il se leva du canapé et vint lire ce que l’écran affichait.

“Chère Madame,

Votre CV et votre lettre de motivation nous ont intéressés.

Nous aimerions vous rencontrer pour discuter de ce que nous pourrions vous proposer parmi les trois pôles à pourvoir.

Nous vous proposons un rendez-vous à notre siège social à 10 h, lundi 26.

Eric Martin, PDG fondateur, ARPTEC”

Sophie regarda son mari, les yeux brillants.

— C’est génial ! Il a vraiment l’air intéressé… il va falloir que tu assures !

— Commence pas à me mettre la pression ! Mais tu as raison, je vais devoir assumer…

Ce dialogue se finit par une longue embrassade. Sophie fit une brève réponse à ce message pour confirmer sa venue à ce premier entretien d’embauche depuis six mois.

Pendant les quatre jours suivants, elle ne cessait de penser à la manière dont elle allait s’habiller. Le samedi après-midi, elle offrit une nouvelle coupe à sa longue chevelure rousse chez sa coiffeuse. Elle visita ensuite quelques boutiques pour trouver le tailleur adéquat et le mardi à l’heure précise, elle franchit les portes de cette société de production.


— Bonjour Madame, vous désirez ? Lui demanda une jeune hôtesse d’accueil en la dévisageant.

— J’ai rendez-vous avec Monsieur Eric Martin. Je suis Madame Lamothe.

— Il vous attend en effet, lui répondit-elle après avoir consulté son écran. Au quatrième étage à droite en sortant de l’ascenseur.

Tandis que Sophie se dirigeait vers l’ascenseur, la jeune femme prévenait son patron de l’arrivée de la visiteuse.

Sophie était à peine sortie de l’ascenseur qu’un homme d’une quinzaine d’années de plus qu’elle et surtout bien plus grand qu’elle lui tendait la main en souriant. Son sourire était rassurant.

— Madame Lamothe, je suis ravi de vous rencontrer. Monsieur Martin. Suivez-moi dans mon bureau !

Sophie découvrit ce bureau directorial au dernier étage de l’immeuble, une vaste pièce avec de grandes baies offrant un superbe panorama sur Paris. Éric Martin alla s’asseoir dans un fauteuil en cuir après l’avoir invitée à prendre place dans un autre fauteuil en face de lui, séparés par une table basse, un cadre moins formel que si l’entretien avait eu lieu chacun autour d’une table. Il faisait tout pour mettre en confiance ses futures assistantes.

Quelques instants auparavant, en découvrant Sophie sortir de l’ascenseur, Éric avait été surpris. Ni le curriculum vitae et la lettre de motivation ni même la photo jointe ne l’avait préparé à découvrir la petite taille de cette femme. Il s’attendait à son visage constellé de tache de rousseur encadré par une superbe chevelure rousse, mais pas à une femme qui culminait à un mètre cinquante. Cependant, il appréciait l’ensemble qu’elle portait la jupe et la veste cintrée mettait en valeur sa féminité. Quand il fut près d’elle, il entrevit sa petite poitrine pâle dans ce discret décolleté. Tout en elle respirait le naturel et la simplicité. Elle était loin de la sophistication parfois outrancière qu’il côtoyait au quotidien. Il se dit que Sophie apporterait une fraîcheur nouvelle au sein de ses équipes.

— Si vous êtes bien installée, nous allons pouvoir commencer.

— Avec plaisir !

Il lui sourit, la seule chose qu’il regrettait en la regardant assise fut qu’elle conservait ses cuisses bien serrées, comme le font toutes les femmes distinguées. Avant de répondre à Sophie, il s’était renseigné. Elle avait fait ses études dans un prestigieux lycée privé de la région puis avait suivi des études de commerce et avait commencé sa carrière dans une grande entreprise spécialisée dans la logistique. Elle avait démissionné après la naissance de son premier enfant et depuis s’était occupée de ses enfants. Son mari avait monté et développé une petite société spécialisée dans la logistique événementielle. Tous ces éléments avaient contribué à la sélection de son dossier. Cette entrevue confortait Eric dans son choix.

Mon dieu, petite, mais charmante, sexy. Ça change d’Arielle. J’adore ! Va-t-elle devenir ma soumise ? Bon ! T’emballe pas, propose-lui un CDD de quinze jours” pensait-il à cet instant.

— Comme je vous l’ai mentionné dans mon message, nous sommes une petite société de production et nous souhaitons enrichir trois de nos équipes. Je vais vous présenter les trois pôles et nous verrons celui qui vous conviendra le mieux, d’accord ?

— Avec plaisir. Je vous écoute.

— Pour le premier pôle, nous avons besoin d’une personne qui lise des romans pour ensuite proposer leur adaptation filmée…

— Je suis une grande lectrice… ça pourrait me convenir

— Qu’aimez-vous lire ?

— Oh ! De tout, des romans d’aventure, de SF… des polars…

— Excellent, tout ce que nous adaptons en effet…

— Oui très bien mais les deux autres ?

— Évidemment… le deuxième consiste à aider les réalisateurs, assurer la logistique lors des tournages, hébergement, voyage, repas…

Sophie hocha la tête, avant de s’arrêter pour s’occuper de ses enfants elle avait été logisticiens dans une entreprise d’événementiel. Elle comprenait pourquoi elle avait été retenue.

— Et le dernier, reprit Eric. C’est pour assurer la commercialisation et le lancement de nos produits.

— C’est intéressant aussi… mais je pense que le deuxième me convient mieux.

— Oui… je le pense aussi, mais je n’osais vous le proposer, car il implique de nombreux déplacements et avec vos enfants…

— Ce n’est pas un problème. Mon mari sait parfaitement les gérer…

— Parfait… mais vous voulez peut-être en savoir plus sur nos tournages actuels ?

— Oui bien sûr…

— Nous avons deux documentaires en route, un sur la cuisine et la diététique des coureurs du Tour de France… si vous aimez cuisiner, c’est parfait

— Et l’autre ?

— Un documentaire sur la production d’ocre dans le Luberon…

— Intéressant aussi…

— Mais ce soir, je me rends à Périgueux pour finaliser une fiction…

— Ah oui ? Elle parle de quoi…

— une sorte de polar dont l’héroïne n’est pas toute blanche…

— Ah d’accord !

— Au fait, si cela vous intéresse, venez avec moi. Je prends le train de nuit pour y aller…

— Oui bien sûr, mais…

— Ah vos enfants !

— Oh non… ce n’est pas un problème. Je vais prévenir mon mari… mais le contrat…

— Aucun souci ! dit-il en souriant et pensant : “elle accepte de venir. Son CDD va se transformer en CDI. Elle va me soulager.

Allez ! Je mets une prime de 500 euros, on verra bien !”

Eric appela une collaboratrice qui arriva presque aussitôt.

— Céline, conduisez Sophie aux RH pour lui faire un contrat à l’essai de quinze jours. Elle commence maintenant et prends le train avec moi ce soir…

— Bien monsieur Martin ! Tout de suite…

Sophie ne savait que penser, en quelques minutes, elle venait de passer du statut de chômeuse à celui d’assistante du réalisateur. Elle suivit Céline dans son bureau et remplit tous les documents administratifs nécessaires à son embauche.

— Voila… je vous attends donc ce soir à 22h30 à la gare d’Austerlitz…

— Oui Monsieur !


En sortant de l’immeuble, elle était euphorique. Elle appela aussitôt son mari pour lui annoncer la bonne nouvelle. Il tempéra son enthousiasme en lui indiquant qu’il devrait attendre son retour avant de fêter cela. Cette remarque ne froissa pas Sophie qui était toujours sur son petit nuage. De retour chez elle, elle préparait sa valise, glissant sous ses vêtements deux romans un peu sulfureux d’une maison d’édition spécialisée dans les romans érotiques. Elle les avait achetées il y a quelques semaines et ne les avait pas encore lus. Pascal s’était moqué d’elle en lui disant que sa pile à lire commençait à devenir une tour tremblante. Il avait feuilleté ces romans sans faire de commentaire. Il ne détestait pas cette littérature mais elle le laissait indifférent et encore plus quand il s’agissait de récits décrivant la soumission féminine. Il était un homme de son époque répétait-il à sa femme : “aujourd’hui les hommes et les sont égaux.”

Avant d’aller récupérer ses trois enfants à l’école, elle prépara un gâteau et avec une bouteille de champagne. Ils pourraient, malgré ce que lui avait dit son mari, fêter son embauche avant qu’elle prenne un taxi pour rejoindre la gare.


En la voyant arriver, Éric fut soulagé de voir qu’elle ne traînait derrière elle qu’une petite valise cabine. Elle ne semblait pas être une de ces femmes qui se déplaçait avec toute sa maison. Il lui fit un signe de la main auquel elle répondit par un sourire.

Ponctuelle ! J’adore ça ! C’est pas Arielle, bonne petite salope, mais nulle au boulot… En plus une petite valise !

Quand elle fut à sa hauteur, il posa ses mains sur ses épaules et lui fit une sur chaque joué.

— Sophie, j’espère que tu ne vas pas être gênée, mais Céline n’a pas réussi à t’avoir une cabine, tu vas être obligée de partager la mienne. Cela ne te gêne pas !

— Euh… non pas du tout… Je comprends…

Elle a accepté de partager ma cabine un bon point !

Tout en pensant cela, Éric prit leur deux valises et se dirigea vers leur voiture à l’avant du train. Derrière sa nouvelle assistante, il appréciait la vision de ces petites fesses rondes mises en valeur par la jupe. Il imaginait déjà tout le plaisir qu’il pourrait en tirer si elle se révélait conforme à ce qu’il avait pressenti lors de leur entretien de la matinée.

— Voiture 2 ! Nous y voilà ! Montez la première ! Cabine 6 !

Sophie ouvrit la porte de la cabine du wagon-lit que le personnel de la SNCF avait déjà préparé. Éric posa leurs bagages et sortit de son sac une bouteille de champagne et deux coupes.

— Du champagne pour célébrer ton recrutement ! Lui proposa-t-il en souriant.

— Oui ! Avec plaisir !

Éric tendit une coupe à sa compagne de voyage.

— À votre nouveau poste et à ma charmante assistante…

À cet instant, le téléphone d’Éric sonna.

“Oui…”

“Oui, elle est avec moi…”

“Très bonne… tu verras par toi-même…”

“Non pas encore, mais je ne désespère pas…”

“Qui sait… Oui… “

“À demain… “

Sophie n’entendait que la moitié de la conversation, mais il lui était facile de comprendre qu’Eric et son correspondant parlait d’elle. Elle avait l’impression de n’être qu’un simple objet mais après tout, être qualifiée de “très bonne” avait un aspect pour la suite.

— Excuse-moi, c’est Daniel. Le réalisateur ! Il voulait savoir si j’avais trouvé une assistante.

— Je comprends, pas de problème… Trinquons !

Après avoir trinqué, il lui demanda de lui parler d’elle, de sa vie, de ses loisirs. Sophie en confiance lui raconta quelques anecdotes de sa vie de famille, des choses banales qui rythment son quotidien de mère au foyer. Elle lui avoua que ce poste était une vraie chance pour elle. Elle pourrait de nouveau avoir une vie de femme comme elle avait eu avant ses grossesses.

— Et ton mari qu’en pense-t-il ? Au fait, tu permets que je tutoie ?

— Oui bien sûr, mais je vais avoir du mal à vous tutoyer…

— Pas grave, mais ton mari ?

— C’est lui qui m’a encouragé à chercher du travail : “pour ton équilibre !” me dit-il. “Ça te fera bien de sortir de la maison,”

— Il a bien raison… je dois aussi avouer que je suis content de t’avoir recruté… j’apprécie ta ponctualité et ton sérieux.

— Merci Monsieur… je m’efforce de faire de mon mieux.

— Je n’en doute pas… Au fait pour dormir : à droite ou à gauche !

— Comme vous voulez…

— Parfait on verra cela tout à l’heure… une autre coupe ?

— Oh non… merci, j’en ai déjà bu deux… mais je vais devoir aller aux toilettes, je vais en profiter pour me brosser les dents…

— Oui bien sûr, vas-y !

Sophie ouvrit sa valise et prit sa trousse de toilette. Elle jeta un rapide regard sur son téléphone avant de sortir de la cabine, laissant sa valise ouverte.

Dès qu’il fut seul, Éric ne put s’empêcher de prendre le téléphone que la jeune femme avait laissé ouvert. Il en profita pour explorer sa galerie photo qui le laissa sur sa faim. À part quelques photos de vacances en famille sur lesquelles elle apparaissait en maillot de bain, il ne trouva rien qui lui permettait de connaître les penchants secrets de cette femme. Cependant, il fut troublé par le visage de son mari. Cette tête lui disait quelque chose, il était certain de l’avoir déjà rencontré, mais il se souvenait ni du lieu ni de la date.

En reposant, son regard fut attiré par un livre à demi caché sous un chemisier. Il reconnut la couverture. Il sourit. “Madame n’est pas si sage que cela !” Il souleva le tissu pour découvrir un roman au titre et au sous-titre explicites : La Marionnette ou comment je suis devenue l’esclave d’un mauvais garçon.” En écartant un peu les vêtements, il trouva deux autres livres sur le même thème.

— Des lectures très intéressantes ! dit-il à Sophie quand elle revint.

Elle rougit et protesta.

— Vous avez fouillé dans mes affaires !

— Tu as laissé la valise ouverte et le bouquin dépassait…

— Mais ne croyez pas que je suis comme ces femmes ! Ce n’est pas parce que je lis ce genre de récit que je suis une soumise…

On verra !” pensa-t-il.

— Je ne crois rien… lui répondit Éric. Mais sache que dans ce monde, c’est toujours la femme qui choisit de se soumettre. Le maître ne fait que la guider dans son abandon.

— Peut-être, mais c’est lui qui impose son plaisir, ses envies, ses pulsions…

— Le crois-tu vraiment ? En es-tu certaine ? N’est-ce pas la soumise qui désire vivre cela mais qu’elle ne peut les vivre que si un homme qu’elle a choisi les lui impose ? C’est la première règle de la soumission.

— Et je suppose que les autres sont celles que l’on peut trouver sur les différents sites consacrés à cette pratique…

— Certes, elles existent mais en tant que dominant…

“Ça y est, les mots sont dits. Comment va-t-elle réagir ?” Eric fixa sa compagne droit dans les yeux.

Par défi, Sophie ne baissa pas les yeux, elle connaissait la première règle : “Les yeux baissés en ma présence, tu conserveras.” Elle venait de le lui dire, elle n’était pas une de ces femmes. Elle soutint son regard et lui sourit.

— Donc en tant que dominant je privilégie le dialogue et les règles que j’impose, je les mets en place avec ma soumise. Tu comprends ?

— Oui parfaitement…

— Cela te convient-il ?

— Bien sûr, cela me semble plus équitable et vous ne faites pas partie de ces gens qui après avoir lu ou vu Cinquante Nuances… se disent Maître alors que ce ne sont en fait que de simples machos…

Eric rigola à cette remarque si pertinente. Il reconnaissait que cette littérature et ces films, même s’ils avaient popularisé ces pratiques, avaient entraîné de nombreuses dérives. “Pour vivre heureux, vivons cachés !”

— J’espère que ce n’est pas ainsi que tu me vois !

— Oh non pas du tout ! Au contraire.

— Alors pense à ce que je viens de te dire… et quand je te vois, quand je te parle, je suis de plus en plus sûr que tu n’es pas insensible à cela… n’est-ce pas ?

Sophie ne répondit rien et se contenta de baisser les yeux. Afin de faire tomber la tension qu’il sentait monter chez elle, il changea de sujet.

— Je dors en caleçon, cela ne te gêne pas ?

— Non pas du tout… moi en legging et débardeur…

— Bien je vais te laisser te changer…

Il sortit de la cabine pour laisser le temps à la petite rousse de se changer.


Sur le lit, elle lui tournait le dos, elle était allongée sur le côté. Il regardait les fesses bien enveloppées dans le vêtement moulant. “Beau cul qui donne envie de s’en occuper !” Il se tourna vers elle, il sentait son parfum, une fragrance fleurie douce. Il posa sa main sur la cuisse et remonta doucement. La jeune femme ne bougea pas, ne protesta pas. Il caressait le dos cette cuisse du genou au pli des fesses, il entendit un petit soupir. Il osa alors remonter sur les fesses. Sophie ne bougeait pas. Elle savait bien que les caresses de Monsieur Martin n’étaient pas appropriées et qu’elle devrait s’y opposer. Elle est mariée, une femme mariée ne se laisse pas caresser par un inconnu. Elle devrait se lever et quitter cette cabine mais une étrange force la pousse à rester. Elle appréciait ces caresses douces. Elles lui rappelaient celles que Pascal lui faisait il y a encore quelques années. Quand elle sentit la main d’Éric passer sous son haut pour caresser la peau de son dos. Instinctivement, elle se cambre. Elle aimait quand son mari la caressait ainsi, c’était autrefois le prélude à des caresses beaucoup plus coquines.

— Et si tu retirais ton haut ? Ce serait plus agréable, non ?

Elle ferma les yeux à cette demande, mais elle ne bougeait pas. Quelques secondes plus tard, le ton changea. Ce n’était plus une question mais un ordre.

— Retire ton haut !

Sophie s’exécuta et releva son débardeur pour le faire passer au-dessus de sa tête.

— Mets-toi sur le dos !

Elle ne fit pas attendre Éric et se tourna sur le dos. Dans la pénombre des veilleuses, il pouvait voir ces deux petits seins aux tétons dressés. Il se pencha sur la poitrine offerte et prit le sein droit dans sa bouche. Il mordillait le téton et passait sa langue dessus. Sophie gémit plus fort. Elle ne pouvait plus faire semblant. Elle commença à caresser la tête de son amant. La main d’Éric glissait sur le ventre de la mère famille, il caressait cette peau douce et tiède puis atteignit l’élastique du legging. Elle ne dit rien, au contraire, elle souleva son bassin en espérant qu’il comprenne son désir. Éric avait l’habitude des femmes et de leurs demandes non dites, sans hésiter, il fit glisser le vêtement le long des cuisses de Sophie qui lui facilita les choses. Elle ne portait plus que son string. La bouche d’Éric quitta le sein droit pour descendre sur le ventre. Sa langue se glissa dans son nombril. Une explosion de sensation irradiait le cerveau de Sophie qui continuait de lui caresser les cheveux. Quand sa langue glissa plus bas, elle fut surprise de le sentir éviter son pubis. Éric lui embrassa l’intérieur des cuisses. Elle les écarta pour lui faciliter les choses. Il prenait son temps faisant monter le désir chez sa partenaire. Il embrassait chaque cuisse longuement, refusant de répondre au désir de Sophie qui aurait voulu sentir cette bouche plus haut entre ses cuisses. Enfin, il fit glisser le string, dénudant totalement la femme. Sophie soupira. Éric posa ses lèvres sur la fente trempée et les lèvres gonflées de la rousse. Il appréciait ce pubis lisse. Sa langue glissa dans cette intimité chaude. Sophie glissait plus fort. Cela faisait une éternité que son mari ne lui avait plus prodigué des caresses aussi sensuelles.

Éric estimait qu’il s’était assez amusé avec cette petite femme. Il recula.

— Oh non… encore…

— Mets-toi en travers du lit ! À plat ventre !

Sophie prit la pose rapidement. Elle sentit Éric lui attraper les chevilles pour que son bassin soit au bord du lit.

Nu, il présenta son sexe raide à l’entrée du vagin de Sophie. La sensualité était finie, il la pénétra d’un coup. Elle poussa un cri. Le gland butait contre son col. Éric la pilonnait sans douceur. Il prenait du plaisir avec cette femme.

“Quel beau cul !” pensa-t-il. Il fallait vraiment qu’il le prenne par là.

— Non ! Encore… gémit-elle quand Éric sortit de sa chatte.

— Non ! Pas par là… protesta-t-elle quand elle sentit le gland devant son anus.

Elle n’avait jamais été sodomisée et elle n’en avait pas envie.

— C’est un non définitif, Sophie ?

— Euh… Oui… non… je ne sais pas…

Quelque chose en elle lui disait que si elle acceptait, sa vie ne serait plus jamais la même. Elle avait envie de découvrir autre chose, cette vie qui s’offrait à elle.

— Non allez-y ! Faites !

Eric glissa sa queue entre les cuisses de Sophie pour enduire son gland de mouille avant de revenir devant ce petit trou qui s’offrait à lui. D’une lente poussée, il força l’entrée bien serrée. Sophie couina le visage dans un oreiller. Elle sentait ce pieu l’ouvrir, entrer en elle. Quand le gland eut franchi le sphincter elle soupira.

— Oui ! C’est bon…

Éric poussa d’un coup. Elle cria. Il lui claqua la fesse.

— Aïe ! Vous me faites mal !

— Tais-toi et encaisse…

Sophie se tut. Ce changement de ton la troublait et l’excitait. Il commença à aller et venir en elle. Il voulait jouir dans cul vierge, il en était sûr. Il s’activa et poussa un grognement de plaisir en éjaculant dans ces entrailles.

Il se retira et regarda l’anus qui mit quelques secondes à se refermer. Sophie soupirait.

— Allez ! Viens nettoyer !

Elle le regarda surprise.

— Viens nettoyer comme la petite chienne que tu es, Laïka ! Une soumise vient toujours nettoyer la bite de son Maître après avoir été baissée ou enculée…

En l’appelant ainsi, il voulait voir sa réaction. Elle le regarda en grimaçant et resta immobile. Il employait volontairement ces mots pour évaluer sa nouvelle assistante. L’esprit de Sophie était en équilibre, il allait être subtil pour la faire basculer du bon côté.

— Alors, es-tu prête à me reconnaître comme ton maître ?

“Oui Maître !” Pensa-t-elle en se penchant vers ce sexe encore à moitié raide. Elle commença à le lécher sur toute sa longueur. Elle s’efforçait de baver afin d’atténuer le goût âcre de ce mélange qui sortait de ses fesses.

— Très bien Laïka ! lui dit Eric. Applique-toi !

Pendant qu’elle le léchait, il lui caressait la tête, il jouait avec ses boucles rousses. Il anticipait déjà tous les plaisirs qu’il pourrait avoir avec cette femme.

— Tu es parfaite ! Veux-tu une dernière coupe pour finir la bouteille ?

— Oui Monsieur ! Merci. Mais puis-je me permettre de vous poser une question ?

— Bien sûr !

— Pourquoi Laïka ?

— N’as-tu pas été une bonne petite chienne soumise ?

Sophie baissa la tête. Il avait raison, elle avait accepté ses caresses, elle avait accepté de se mettre nue puis qu’il l’embrasse, la baise et même l’encule et pour finir elle avait même accepté de nettoyer sa queue qui venait de jouir dans son cul.

— Ne penses-tu pas que contrairement à ce que tu me disais avant que je te baise tu es comment les héroïnes de tes lectures, une femme soumise ? N’as-tu pas envie de devenir ma soumise ?

Sophie but une gorgée de champagne avant de répondre.

— Si Monsieur…

Au cours de cette dernière heure, elle venait de découvrir de nouvelles pratiques et surtout elle venait de découvrir qu’elle y avait pris de plaisir. Elle avait envie d’aller encore plus loin et de vivre pleinement cette découverte.

— Si quoi ? Sois précise, c’est important dans ce type de relation.

— Oui Monsieur, je désire être votre soumise.

— Bien alors voilà comment nous allons faire puisque tu es mariée et que tu as une vie de famille…

— Je vous écoute.

— Dans la journée, tu es Sophie Lamothe, mon assistante, mariée et mère de famille. Mais dès que nous serons seuls, le soir, tu deviendras Laïka, ma soumise. C’est clair !

— Parfaitement Monsieur !

— Très bien ! Il est l’heure de dormir Sophie !

Elle comprit immédiatement que la séquence Laïka était terminée. Elle redevint Sophie et par pudeur, elle remit son legging et son débardeur, ce qui fit sourire Eric. Elle remarqua alors que sur l’écran de son téléphone, il y avait plusieurs alertes de message. Elle alla pour le prendre.

— Tu répondras à ton mari demain matin, il est tard. Il doit dormir.

— Oui, vous avez raison.

— Allez ! Allonge-toi !

Sophie s’allongea sur son côté du lit et avant de s’endormir, elle sentit le corps d’Eric venir contre elle. Il l’enlaça protecteur.

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