samedi 28 juin 2025

Soirée entre Amies : Premier jour d’une nouvelle vie

 

Laurence

Le réveil sonne, je me tourne en grognant dans le lit. Mon mari pose sa main sur mon épaule et m’embrasse dans le cou. Je frissonne, mais je n’ai pas envie de ses marques d’affection. J’ai honte de ce que j’ai fait au cours de la soirée et mon corps est encore tout endolori. Mon anus est irrité, mes seins sensibles au moindre frottement et cette chose ignoble dans mon ventre.

— Alors, ma chérie, tu as passé une bonne soirée avec Carole, me dit-il en se levant.

Je me tourne vers lui en souriant du mieux possible.

— Oui, mais on a un peu abusé de la boisson et Carole n’était pas en état de me ramener de suite, du coup, je ne suis rentrée qu’à cinq heures…

— Je vais te préparer le café, va te doucher en attendant.

Je me lève et je découvre un message de Maître Luc. “Aujourd’hui, mets ta jupe la plus courte que tu aies et rase-toi la chatte.” À la lecture de ce message, j’ai envie de jeter mon téléphone par la fenêtre. Mais, Je dois me lever, j’ai une réunion importante ce matin, je ne peux pas être en retard.

Malgré ma haine pour Maître Luc et Maîtresse Françoise, je ne peux pas m’empêcher de penser à eux, je caresse mon ventre et sous la douche, je glisse un doigt dans ma fente et je commence à me caresser. Je trouve une bombe de déodorant et je me la glisse dans la chatte, je la fais aller et venir en moi et je tombe à genou pour jouir. Que m’arrive-t-il ?

Je reprends mes esprits et je regarde ma toison brune dans le miroir. Avec des larmes dans les yeux, je commence à mettre de la crème dépilatoire. Mon mari frappe à la porte.

— Tout va bien chérie ?

— Oui ! Oui ! J’arrive.

Je finis cette opération délicate et je sors en peignoir pour prendre mon café avec lui. Il me raconte ces projets de la journée que j’écoute d’une oreille distraite. Il m’embrasse avant de partir et je vais réveiller les enfants pour qu’ils soient prêts pour l’école.

Comme s’il savait ce que je fais, Je reçois une nouvelle demande de Maître Luc. “Envoie-moi tout de suite une photo de ta chatte lisse avec ton visage visible.

Comme je traîne un peu, mon téléphone vibre de nouveau et je reçois une photo de moi hier soir en tablier de soubrette avec un message : “Tu me fais attendre, Laurence…

Vaincue, je m’enferme dans la chambre et allongée sur le lit, cuisses écartées je prends un selfie de ma chatte et de mon visage.

J’enfile la jupe la plus courte que je trouve, j’hésite à mettre une culotte du fait de l’état de mon cul. Je suis bien obligée de mettre un soutien-gorge à cause du travail et cela atténuera aussi peut être les frottements de mon chemisier sur mes tétons encore trop sensibles.

Je dépose les enfants à l’école et j’arrive à la gare juste à temps pour avoir mon train. Maître Luc est là tout sourire à m’attendre.

— Bonjour Laurence ! Je n’ai pas droit à une bise ce matin ?

La tête basse, j’approche mon visage du sien pour l’embrasser et je sens sa main sur mes fesses.

Il se recule un peu et le visage grave, Il m’ordonne.

— Si tu veux monter dans ce train, retire ta culotte…

Je sursaute, Je regarde partout et malgré le monde, Je fais glisser ma culotte sur mes cuisses sous la jupe. J’ai de la chance, elle glisse presque seule à mes chevilles.

— Très bien, retire-la complètement, que dirais les gens s’ils te voyaient la culotte aux pieds…

Je l’enjambe et d’un geste discret avec son pied, Maître Luc la pousse contre un poteau. Il me tient par la taille pour monter avec moi dans le train et nous nous asseyons face à face. Lorsque nous descendons, il se penche vers moi et pose ses lèvres sur les miennes pour me souhaiter une bonne journée.

Avec ma réunion et le travail, j’arrive à oublier cette soirée maudite, mais en milieu d’après-midi, je suis prise d’un malaise comme je n’en n’avais jamais connu. Heureusement que je suis seule dans mon bureau, sans rendez-vous de prévus.

J’ai des sueurs froides, mon cœur semble sortir de ma poitrine, j’ai des vertiges et je tremble comme une toxicomane en manque. En plus de ça j’ai le ventre en feu, mon sexe est pris de spasmes, je dégouline entre les jambes et je salive. Je comprends très vite que j’ai un besoin imminent de sexe. Le goût du cocktail me revient à la bouche. Je me souviens des paroles de maître Luc qui disait que ce soir je réclamerai de revenir chez lui pour boire un cocktail.

Pour le moment la seule chose que j’ai en tête c’est d’essayer de me soulager. Je vais fermer la porte de mon bureau à clef et je regarde autour de moi ce qui pourrait faire office de sexe. Je jette mon dévolu sur un vaporisateur d’eau. La bombe d’un petit format me permet de me fourrer la chatte pendant que mes doigts pressent et font rouler mon clitoris gonflé de désir. C’est la première fois que je me masturbe et que je jouis sur mon lieu de travail. Mais je sens que cela est insuffisant, j’ai vraiment besoin de sexe avec un ou plusieurs hommes. Heureusement que Maître Luc m’a retiré ma culotte ce matin, sinon elle serait trempée…

L’après-midi me semble longue. Je serre les jambes et dès que j’en ai l’occasion je vais aux toilettes pour me caresser et me faire jouir. J’ai des images plein la tête. Je me vois avec Maître Luc et maître Françoise et d’autres hommes me faire prendre par tous les trous. Ces images m’obsèdent. Je n’ai qu’une seule hâte c’est de retrouver maître Luc sur le quai de la gare. Peut-être, pourra-t-il me soulager ?


Maître Luc

Laurence tient toutes ses promesses. Ce matin, Je n’ai pas eu à insister pour qu’elle retire sa culotte. J’ai hâte de voir dans quel état elle est ce soir. L’effet de manque du cocktail devrait avoir commencé à faire son effet depuis une à deux heures environ.

Pour Carole, nous lui avons donné ce qu’il fallait avant son départ pour qu’elle ne souffre pas de manque. Mais pour Laurence, elle doit commencer à ressentir des picotements dans sa poitrine et entre ses cuisses.

Je l’attends assis à la terrasse d’une brasserie en bout de quai. Je suis intrigué de savoir comment elle réagit aux effets du cocktail. Je la vois arriver de loin, elle semble impatiente et me cherche du regard. Je souris en voyant son air désespéré de ne pas me trouver.

Je fais semblant de ne pas la voir et continue la discussion avec une femme en partance pour ses vacances avec des enfants en bas âge que j’amuse avec des tours que je connais en raison de ma profession. Même si je ne suis pas un artiste, je connais quelques tours qui subjuguent les petits et les grands.

J’ai même réussi à convaincre cette jeune femme de retirer son string et de le poser en évidence sur la table, si je joue bien le coup, dans quelques minutes, elle va le donner comme doudou à sa petite fille dans sa poussette. Je regarde Laurence me chercher et son regard affolé, je crois même qu’elle pleure, mais je veux voir jusqu’où je peux aller avec Mélanie.

D’un revers de main, je fais tomber le sous-vêtement au sol.

— Oh je crois que la petite a perdu son doudou…

Elle regarde le bout de tissu au sol et se penche pour le ramasser. Après l’avoir secoué un peu, elle le donne à sa fille qui l’attrape et le porte à sa bouche pour le téter. La petite grimace un peu mais reconnaissant l’odeur de sa mère, elle se frotte le visage avec.

— Excusez-moi ! Mais mon train est annoncé.

Je lui laisse ma carte en lui disant de me contacter si elle souhaite me revoir et elle me donne alors son numéro de portable.

Je me lève en laissant un jeu de cartes truqué à son petit garçon qui est ravi. Il pourra tenter les tours que je lui ai montrés.

Je me dirige vers Laurence qui me tourne le dos.

— Alors petite chienne, en manque ?

— Que m’avez-vous fait ? me dit-elle, le visage écarlate, les yeux rougis par les larmes et la coiffure défaite.

— Moi ? Absolument rien. C’est votre nature de salope qui ressort… suivez-moi.

Je n’ai pas besoin de me retourner pour savoir qu’elle me suit et je sais ce qu’elle veut, mais je ne le lui donnerai pas tout de suite.

Nous nous installons dans le train et je me plonge dans mon roman, la surveillant du coin de l’œil. Elle serre et écarte ses cuisses régulièrement. Comme je m’en doutais, elle est en manque.

— Vous êtes venue en voiture ? Donc vous allez pouvoir me ramener chez moi ?

— Oui Maître Luc, me dit-elle quand nous sortons de la gare.

Je prends place à ses côtés et en arrivant à la villa, Françoise nous attend devant la porte.

dimanche 15 juin 2025

La Belle Fille - 03

 

Ce texte a été écrit il y a quelques années par une personne sous le pseudo : BERNARD240


Je baise ma belle-fille au réveil


Cette fois je ne vais pas attendre une semaine !!

Deux jours plus tard le matin, je prends mon café avec ma femme et Hervé, mon fils.

On échange quelques banalités de boulot, puis ils partent tous les deux au travail…

Je décide de prendre une marge de sécurité de trente minutes pour éviter un retour et me faire surprendre par l’un d’entre eux.

Je préviens aussi Marc mon associé de ne passer me chercher que vers onze heures.

Et là, je monte doucement dans la chambre de Sophie qui dort tranquillement.

Je lève le drap, elle est en nuisette, nue en dessous, belle croupe bien large, elle dort en chien de fusil dos à moi, hummm un joli paysage se présente devant moi…

Je me glisse dans le lit très doucement et je commence des petites caresses sur la base de sa nuque puis tout le long de son dos et ses fesses que j’effleure…

Son corps se réveille lentement, elle commence doucement à réagir sans savoir ce qu’il se passe

Je continue très délicatement, elle se rend compte d’une présence et dit :

Sophie : « laisse-moi Hervé, j’ai pas envie, je sais bien ce que tu veux !! tu sais que je ne suis pas du matin… »

Elle me confond avec mon fils, son mari..

J’insiste, souffle dans son cou et son dos, puis je commence à déposer des petits bisous sur sa nuque.

Elle se tord encore comme un mouvement pour me repousser

« Putain lâche-moi, Hervé, qu’est-ce qui te prend t’es malade ou quoi j’ai dit NON !! »

Et là d’un coup, je l’enlace avec mon bras fermement et lui attrape un sein en pinçant le bout

Sophie : « Aie ! Mais… mais c’est qui ? arrêtez… »

Je suis plus fort que mon fils, elle sait qu’elle ne peut pas se débattre, elle se rend compte que c’est moi.

Sophie : « Ah c’est vous, mais Roger que faites-vous là dans mon lit ? on va se faire surprendre »

Moi : « Chuttt » en lui mettant un doigt sur la bouche

Je ne dis rien et lui pétrit les seins en lui faisant un suçon dans le cou, elle essaie de résister.

Sophie : « Vous êtes dingue ou quoi, je ne veux pas, il faut qu’on arrête ce qu’on a fait, on est chacun marié ! c’est pas bien »

Je la retourne sèchement vers moi, l’enjambe, me je me plaque sur elle les deux seins en mains et je lui roule une pelle et enfonçant bien ma langue.

Moi : « Crois-moi petite salope ! Aujourd’hui, tu vas y passer, je vais user ton vagin et t’élargir un max… »

Elle se débat en secouant la tête, je lui bloque les mains au-dessus de la tête, ses jambes sont coincées par les miennes ouvertes comme un compas et je me remets à lui mordre les seins très fort, elle crie !

« NON ! NON ! vous me faites mal vous mordez trop fort mes tétons ça pique arrêtez AIE ! AIE ! »

Je ralentis, je me mets à saliver beaucoup en pompant, je lui aspire les bouts, ils deviennent énormes, les tétines sont larges et toutes rouge, elles sortent au maximum je lui malaxe bien la base des nichons pour les faire sortir plus puis je commence à tapoter doucement dessus…

Moi : « Écoute petite garce, quoique tu dises quoique tu fasses, je vais te Baiser, te défoncer le con, tu vas jouir comme jamais. »

J’ai bien mouillé ses gros nichons, dommage qu’il n’y ait pas de lait, j’aurais fait une bonne traite de vache tellement ils sont lourds.

Elle commence à se calmer caresse la joue puis je rentre à nouveau ma langue dans la bouche pour un baiser… et je prends un sein à deux mains et je me mets à le téter comme un vorace

Moi : « oh putain qu’ils sont bons, tu aimes que je te les bouffe espèce de cochonne »

Je descends doucement ma main sur sa vulve, c’est trempé !!!

Moi : « eh ben grosse salope pour quelqu’un qui n’est pas du matin, ça te plaît de te faire malmener on dirait ? »

Et je lui enfonce directement trois doigts dans la chatte.

Sophie : « Aïe ! ça fait mal je ne suis pas prête c’est encore trop serré ! Salaud vous en profitez avec votre force… »

Moi : « Ah oui et t’aime ça la force d’un mâle en rut ? C’est un vrai volcan entre tes jambes, t’es bien une sacrée garce qui cache son jeu… »

« tu vas apprendre à aimer la bite du matin je te le dis »

Et je tourne ma main en attrapant son clito que je pince.. puis je lui refourre mes doigts bien profonds. Elle se crispe et elle jouit en resserrant les cuisses.

Je la laisse pendant que je me dessape, ma bite est en super forme, tendue comme un arc.

Je la laisse récupérer de sa jouissance quelques secondes et je lui chope les jambes, les écarte au maximum je pointe mon en cible et lui plante mon dard sans retenu, brutal au fond du vagin.

Sophie : « AHHHHHHHHHHHH ! espèce de salaud, vous êtes dingue, vous allez me déchirer en deux arrêtez, STOP c’est énorme, trop profond, trop gros ça ne peut pas rentrer j’ai jamais senti un truc pareil… »

Pourtant je suis au fond, je la bloque, elle est si étroite que c’est du délire, elle pleure, supplie, essaye de se débattre mais je reste plaque au fond.

J’attrape sa tête avec mes mains, je la fixe..

Moi : « Écoute-moi bien : on reste soudé comme ça quelques minutes que tu t’élargisses bien et après je te baise comme une pute jusqu’à me vider les couilles »

Pleine de larmes, elle ne bouge plus, résignée, je sens qu’elle est bien serrée sur mon mandrin.

Au bout d’un moment elle se détend doucement et je commence à bouger un peu, elle est surprise et dit :

Sophie : « Non, s’il vous plaît ça frotte trop dedans… »

Je glisse quand même, elle est vraiment étroite j’ai l’impression de lui râper l’intérieur du ventre, elle supplie toujours, mais je m’en fous j’ai le feu dans la bite.

Moi : « écoute ma belle, je sais que tu as mal mais c’est parce que tu es crispée, détends-toi sinon ça n’ira pas, dans tous les cas j’ai décidé de te baiser ! »

Et là, je pousse et percute son utérus, elle sursaute, je continue mes percussions de plus en plus puissantes, de plus en plus vite.

Sophie : « Arrêtez ! Vous me forcez alors que j’ai pas envie… je vous suce si vous voulez ou vous me faites jouir avec votre main mais arrêtez avec votre bite, vous allez tellement m’élargir que je ne vais plus me refermer après. »

Moi : « Ta gueule, me sucer ce sera une autre fois, la je vais te bourrer comme un taureau tu es ma femelle… »

Et j’entame de très longs coups de bite sur toute la longueur j’en ai même mal au gland tellement il est gros, j’accélère la cadence je me mets en mode marteau piqueur, elle se débat encore légèrement, mais je l’attrape au cou avec ma main et lui mets une légère gifle sur les seins, je l’embrasse à pleine bouche les langues pleines de salive, j’ai l’impression qu’elle se lâche un peu, elle se détend à force, elle referme même ses jambes autour de ma taille..

C’est bon j’ai gagné je prends une bonne cadence on transpire tous les deux, elle m’enlace avec ses bras et me griffe le dos avec ses ongles, elle commence à venir, elle est à moi !!!

Sophie : « Humm ! Roger vous avez gagné c’est trop bon, vous me baisez bien, allez-y je suis ouverte maintenant, faites ce que vous voulez, mon vagin est à vous, oui votre sexe est si dur et le gland si gros hummm encore ! Oui ! Encore… »

Moi : « C’est ça que je veux entendre salope, tu vas comprendre qui commande, je vais te marquer le fond du ventre avec mon pilon. »

Je me mets à tamponner fort au fond à chaque fois ça claque, il lui faut un orgasme, je vais la pousser à bout, j’ai vraiment mal à la bite tellement je tape, elle commence à tourner de l’œil, j’accélère encore,

elle tremble de partout, me déchire le dos avec ses ongles et elle explose dans un orgasme terrible.

Et à mon tour : « Ahhhhhh ! je te jouis dans le vagin, je gicle mon jus dans ton utérus, putain tu me vides les couilles c’est incroyable comment tu es bonne… »

Je finis en lui pelotant les seins je les suce comme, je les pompe elle me tient la tête plaquée dessus,

je mords les tétons, aspire. Elle me dit de continuer : « Allez-y ! Prenez les bouts, bouffez-moi les nichons j’en veux encore… »

Elle semble insatiable son corps est complètement trempé de sécrétions je tente de sortir mon sexe, mais elle veut le garder !

Sophie : « Restez dedans ! Il est encore gonflé je le sens si bien partout sur les parois, c’est trop bon ! »

Je regarde l’heure : ça fait plus d’une heure qu’on baise..

Je me sors enfin de sa chatte, un liquide s’en échappe, je lui caresse la vulve, elle ne se referme même pas, elle est ultra sensible, je l’embrasse encore avec la langue.

Voilà une journée qui commence bien……

Moi : « Je vais prendre une douche et me préparer ! Tu descendras prendre un café avec moi avant que je parte bosser »

« Ne mets que ta nuisette ça ira !!! »

Je fais exprès d’être directif, je sens qu’elle aime ça…

Vingt minutes plus tard, elle arrive dans la cuisine, sa nuisette est mouillée, ses seins pointes à travers, je lui sers un café, je m’assoie et l’attrape sur mes genoux. Je passe ma main entre ses jambes pour vérifier l’état de son sexe et c’est encore béant !! je plonge quatre doigts pour prendre un peu de mélange de mouille et de sperme et lui mets à la bouche « Vas-y suce ton orgasme, montres que tu aimes ça… »

Elle prend ma main et enfonce mes doigts dans sa gorge.

Moi : « Putain ! mais quelle salope tu deviens ! »

Elle dit : « Alors c’est ça être une salope !! Vous ne voulez pas que je vous suce avant de partir ? J’ai encore faim… »

Là, je vois Marc apparaître par la fenêtre de la cuisine, il vient me chercher…

De dos, elle ne l’a pas vu, je fais signe à Marc de rester dehors, il me répond OK et reste regarder à la fenêtre..

Je chope Sophie par les hanches, j’ouvre ma combinaison de travail, elle m’enjambe, et je la mets à cheval sur ma bite dos à la fenêtre en lui disant : « Non, tu ne vas pas me sucer, mais je vais te remettre un coup bite pour te punir d’être si catin… » Et je l’empale brutalement sur mon chibre.

Marc ne perd pas une miette de ce qu’il voit, c’est très intense j’y vais franchement..

Elle met ses deux pieds sur la chaise accroupie et commence à monter et descendre sur ma bite d’elle-même… cela lui fait tendre le cul en arrière, je lui écarte les fesses en tirant dessus, Marc doit avoir une vue imprenable sur son petit trou..

Sophie : « Roger, je vais vous pomper le dard avec mon vagin… »

Et elle accélère ses mouvements de va-et-vient, elle devient de plus en plus perverse.

Sophie : « Je vais vous purger les couilles à sec pour la journée, bouffez-moi mes nichons en même temps j’ai envie d’être une chienne !! »

Je n’ai besoin de rien faire, c’est elle qui s’excite, son orgasme arrive en même temps que mon éjac qui me brûle le conduit.

Moi :« Putain Sophie ! Je te jouis dedans salle garce, tu m’as vraiment vidé, t’es une belle salope ! »

Sophie « Merci, je suis contente de ce titre et vous m’avez encore mis une belle dose de foutre… »

Elle se démanche dans un bruit de floc !!, Marc se cache, retourne à la voiture et met un coup de klaxon…

Sophie sursaute : « C’est quoi ? »

Moi : « Mon pote Marc, il vient me récupérer pour bosser »

Sophie : « Ohlala ! il a failli nous surprendre… »

Sophie : « Aller Roger, avec des couilles à secs, j’espère qu’il vous reste de l’énergie pour aller travailler au moins… »

La salope, elle sait dans quel état elle m’a mis, j’ai les burnes complètement séchées, je renfile ma combinaison prends ma veste et en passant je lui fou une claque sur le cul en lui disant : « petite salope sois sage, à ce soir ! »

Arrivé à la voiture : interrogatoire de Marc !!!

« Tu t’emmerdes pas c’est qui cette bonasse ? »

« C’est ma belle-fille Sophie, la femme de mon fils. »

« Eh ben mon salaud ! Ça m’a l’air d’une belle salope… »

Et on en parle toute la journée…


Erika : Dresseuse de Couples -23- Mémoires d'Erika

 

Erika somnole, pensive. Elle se laisse conduire sur l’autoroute en direction de Romorantin en Sologne, pour rejoindre le manoir du couple Mervault.

C’était la première fois qu’elle s’y rendait sans Pierre et Florence. Georges de Mervault lui a promis dans son courrier un week-end mémorable. Elle est assise à l’arrière de la luxueuse berline en compagnie d’Anne de Mervault pendant que Philippe, le chauffeur du couple, conduit cette Bentley.

Quelques heures plus tôt, elle avait quitté Olivier en gare du Mans, lui était resté dans le TGV. Il se rendait à Paris pour assister à un salon professionnel. Pendant le voyage, Olivier avait évoqué la possibilité de se mettre totalement à son service, de lui être totalement dévoué.

Elle sait que le couple formé par Olivier et Marie-Gabrielle souhaite évoluer ainsi depuis qu’elle avait invité Georges et Anne de Mervault à venir passer un week-end dans son modeste manoir vendéen.

Après sa soirée mémorable dans son donjon nantais, elle avait appris à mieux connaître ce couple de châtelains. Son week-end Solognot avec Florence et Pierre l’avait introduite dans une autre dimension. Même si elle se considère comme une maîtresse accomplie, elle s’était rendu compte que la domination proposée par les de Mervault est d’une autre dimension.

Quelques semaines plus tard, elle les avait reçus chez elle, Olivier et Marie-Gabrielle avaient assuré le service de manière remarquable. Georges avait félicité son hôtesse pour la qualité de son accueil.

Ce soir, dans le manoir des Mervault, Erika sera introduite dans une confrérie très fermée de maîtres et maîtresses.

Le confort de la Bentley a raison de la détermination des deux femmes. Dès le péage franchi, Anne somnole bercée par le mouvement et surtout épuisée par son voyage depuis Londres où pour rendre visite à un célèbre maître anglais.

Erika regarde le paysage automnal défiler sous yeux. La conduite de Philippe, tout en souplesse, lui permet de laisser son esprit vagabonder.

***

Sa mémoire la renvoie vingt plus tôt, l’été de son bac, chez ses grands-parents. Elle savait que ce seraient les dernières longues vacances qu’elle aurait avant longtemps. A la rentrée universitaire, elle commencerait ses études de médecine.

Cela faisait une petite semaine qu’elle était arrivée dans cette petite ville et comme chaque année, elle passait presque tous ses après-midi au centre équestre qui se trouvait de l’autre côté du petit bois.

Ce jour-là, elle rentrait fatiguée mais surtout frustrée par ce qu’elle avait fait avec sa monture. Alors qu’elle traversait le bois, elle entendit des éclats de voix. Discrètement, elle s’approcha du couple qui se disputait. Elle reconnut Paul Maleval, le fils du propriétaire de la dernière scierie de la commune, imbu de son statut de fils du plus gros employeur de la ville. Il avait un ou deux ans de plus qu’elle. Il était en train de se disputer avec une fille qu’elle ne connaissait pas.

— Arrête Paul ! J’ai pas envie !

— Quand je te demande quelque chose, tu le fais, lui répondit le jeune homme.

— Non, non et non !

Erika vit alors Paul gifler violemment la jeune fille qui tomba à quatre pattes sur le sol. Il lui attrapa les cheveux pour la tirer vers lui.

— Tu vas me sucer !

— S’il te plaît…

La jeune femme le suppliant alors qu’il était en train de retirer sa ceinture.

Sans réfléchir à ses actes, Erika se précipita et cingla le visage du garçon qui faisait une tête de plus qu’elle avec sa cravache. Celui-ci surprit lâche sa ceinture et recula contre un arbre. Vive comme le vent, Erika profita du fait que Paul soit déstabilisé pour ramasser la ceinture au sol et dans un mouvement rapide, lui attrapa un bras pour le plaquer face contre l’arbre. Comme si elles s’étaient concertés, la jeune fille attrapa l’autre bras de son agresseur pour qu’Erika puisse l’attacher grâce à la ceinture. Paul, immobilisé ses bras entourant le tronc, ses poignets bien ligotés par la ceinture, était incapable de se libérer seul.

— Quand une fille dit non, c’est non ! Lui cria Erika au visage. Je vais t’apprendre à respecter les filles moi !

— Quand mon père va apprendre ça, vous allez voir ?

— Ah oui voir quoi ? C’est toi qui vas voir… Et pour être sûre que tu sois puni, je vais m’en charger…

En disant cela, humiliant encore plus Paul, Erika lui baissa son pantalon et son caleçon. De tout son cœur et sans retenir ses coups, elle cravacha le postérieur de l’apprenti-violeur.

Il fallut que la victime lui attrape le bras pour qu’elle cesse de frapper.

— Arrête, c’est bon il a son compte…

— Oui tu as raison… je me suis laissé emporter.

— Erika et toi ?

— Melody…

— Que fais-tu avec lui ?

— Ben… dis Melody en baissant les yeux. C’est mon copain, il m’a invité à venir passer l’été avec lui…

— Ah d’accord…

— Mais je ne savais pas qu’il était comme ça…

— Écoute, c’est pas grave… viens avec moi, mon grand-père est médecin, il va soigner ton visage…

— Merci !

En effet les coups portés par Paul avaient tuméfié le visage de Melody qui avait la lèvres gonflée et un bleu autour de l’œil.

— Et lui ? demanda Melody.

— Lui, on le laisse quelqu’un le trouvera bien…

***

Quelques minutes plus tard, Erika racontait leurs aventures à son grand-père qui prodigua les soins nécessaires à Melody. Il se rendit à la gendarmerie avec les filles pour expliquer la situation, une gendarme prit la déposition de Melody et une patrouille alla libérer Paul de son arbre.

Les grands-parents d’Erika proposèrent à Melody de rester chez eux. Après ce que Paul lui avait fait, elle ne pouvait pas retourner chez lui.

Le lendemain, Monsieur Maleval sonna chez les grands-parents.

— Melody, je suis désolé pour ce que Paul a fait. La justice fera son travail. Voici tes affaires…

— Merci monsieur, lui dit Melody en récupérant sa valise.

— Et toi Erika… je te félicite ! Tu y as peut-être été un peu fort mais mon fils n’a eu que ce qu’il méritait.

Erika rougit. Elle s’attendait à prendre un savon, un peu comme quand les gendarmes lui avaient dit qu’on ne se faisait pas justice soi-même. Elle leur avait simplement répondu que les juges rendaient rarement justice aux femmes violentées. La gendarme n’avait rien répondu à cette remarque.

Erika et Melody passèrent l’été ensemble et emménagèrent en colocation à la rentrée universitaire.

***

À l’université, Melody racontait à qui voulait l’entendre comment Erika avait remis à sa place Paul. Cette histoire qui faisait passer Erika pour femme dominante pris encore de l’ampleur quant au cours d’une soirée étudiante, un garçon se mit à genou devant elle et lui embrassa les pieds.

Elle prit alors conscience de son pouvoir les hommes mais ne sut réellement ses talents de dominatrice que quelque temps plus tard.

Cela commença dans le bus pour rentrer de la fac à son appartement. Un homme profitant du monde lui caressa les fesses. Erika lui attrapa la main et la tenant au-dessus de sa tête, elle lui dit pour que tous les voyageurs puissent l’entendre :

— Si je te prends encore une fois à toucher le cul d’une femme, ce n’est pas le poignet que je t’écrase mais les couilles. Compris !

— Oui… murmura piteusement l’homme.

– Bien maintenant dégage !

L’homme regardait Erika sans bouger. Ce fut alors qu’un autre homme, témoin de la scène, intervint et d’une voix ferme imposa à l’homme de sortir du bus.

Erika le remerciant et il lui offrit un verre pour lui permettre de se remettre de ses émotions. Erika et cet homme devinrent amants. Il reconnut très vite chez la jeune femme ses dons de dominatrice et il lui apprit à les exploiter.

***

L’arrêt de la Bentley devant le manoir des Mervault sort Erika de sa rêverie. Georges les attendait sur le perron.

Après avoir déposé ses affaires dans sa chambre et s’être rafraîchie, Erika rejoint ses hôtes dans le salon.

Elle les découvre, sidérés devant la télévision. Dans un coin de l’écran, un journaliste devant la gare Montparnasse, tandis que sur l’écran, on peut voir une noria d’ambulance de véhicules de secours devant l’entrée d’un tunnel ferroviaire.

— Que se passe-t-il ?

— Il semblerait que dans le train dans lequel tu étais, une bombe a explose quand il était dans les tunnels en approchant de Paris.

— Olivier ! Des nouvelles ? s’exclame-t-elle alors.

Erika remonte rapidement dans sa chambre pour prendre son téléphone. Elle appelle aussitôt le numéro d’Olivier qui ne répond pas. Elle appelle Marie-Gabrielle et Jean-Bernard, sans plus de succès.

— J’ai encore des contacts au ministère, je vais les appeler pour avoir des informations, dit Georges.

— Merci

***

Ce n’est que bien plus tard dans la soirée, qu’ils apprennent qu’Olivier est vivant mais blessé. Il est hospitalisé dans le coma.

Quelques jours plus tard, Olivier dans un état stable est transféré au CHU de Nantes où sa famille pourra lui rendre visite plus facilement.

***

La cérémonie d’introduction d’Erika dans la confrérie de maître et maîtresse a été ajournée de plusieurs semaines, mais elle a pu se dérouler normalement et Erika est maintenant reconnue comme une Maîtresse par de nombreux dominateurs et dominatrices du pays.

samedi 7 juin 2025

Soirée entre Amies : Le Dénouement ? (La Confrérie d'Artémis)

Laurence

J’ai dû m’évanouir à l’annonce du sort qui m’est réservé. Lorsque je reprends conscience, Je suis attachée à une table qui ressemble à celle que l’on trouve chez les gynécologues. Mes pieds sont liés aux étriers et mes mains sont ficelées à des barres latérales.

— Ah ! Te revoilà parmi nous Laurence, dit maîtresse Françoise qui m’explique qu’elle a déjà retiré mon stérilet pendant mon inconscience.

Prise de panique je repense au déroulé de la soirée.

Tout avait pourtant bien commencé et j’étais si joyeuse à l’idée de passer un moment avec mon amie en dehors de la maison et de ma famille. Je suis maintenant prisonnière de ce couple sadique et je crains de ne jamais plus revoir mon mari et mes enfants.

À cette pensée je ne peux contenir l’espèce de folie qui me prend et je me mets à hurler.

— Noooooon ! Vous ne pouvez pas faire ça. Je vous en supplie ne faites pas ça. Laissez-moi partir.

— Trop tard il fallait réfléchir avant salope, plutôt que de faire ton allumeuse. Tu ne pensais pas à ton mari et à tes enfants quand tu aguichais mon mari en écartant les cuisses devant lui dans le train. Tu aimais bien aussi montrer ton décolleté pour que les hommes reluquent tes mamelles, n’est-ce pas ? Ça te plaisait de les exciter hein sale petite pute ? Et, avoue que tu voulais te faire mon mari ! Continue Françoise en resserrant les liens de mes pieds à m’en faire hurler de douleur.

— Tu bouges trop, poursuit-elle. Je vais devoir prendre des mesures de précaution car l’opération va être délicate. Luc tu veux bien remédier à ce problème s’il te plaît ?

— Bien sûr ma chérie.

Maître Luc a commencé par me passer un collier autour du cou, prolongé d’une chaîne qu’il a ensuite fixer à une barre à la tête de la table d’auscultation. Ainsi je ne pouvais plus bouger le haut de mon corps sans m’étrangler. Mes cuisses déjà ouvertes ont été ficelées et chacune d’elles a été attachée aux barres latérales de la table, empêchant ainsi mon bassin de bouger.

— Je propose de la bâillonner aussi pour éviter de l’entendre geindre.

Maître Luc a placé une boule bâillon dans ma bouche. Ainsi entravée je ne pouvais que subir, impuissante, la pose de la terrible invention de maîtresse Françoise.

— À la place de ton stérilet c’est une membrane comme un ballon de baudruche qui va être placée. Cette installation discrète ne sera pas remarquée par ton mari ajoute maître Luc.

C’est avec un soulagement indicible que j’ai compris à ce moment-là que j’allais retrouver ma famille.

Si je m’étais un peu détendue à cette idée, mon répit ne durera pas longtemps.

— Voilà tout est en place Laurence. Tu peux être fière. Tu vas être la première femme à faire cette expérience.

Devant l’affolement qui me reprend, Françoise dit à Luc de m’administrer un gaz anesthésiant ce qui va me plonger dans un état léthargique. Je vois Maîtresse Françoise opérer entre mes jambes mais je ne peux plus avoir aucune réaction. Je sens une pression dans mon ventre sans ressentir de douleur à cet instant.

L’opération terminée, je sens que mon ventre est devenu dur et je remarque qu’il a déjà augmenté de volume comme après un repas trop lourd. Ils me laissent récupérer un moment, seule, attachée. Au bout d’un temps que je ne peux évaluer, Maîtresse Françoise revient près de moi.

— Tu as eu le temps de te reposer et de te remettre de tes émotions ? C’est bien je vais pouvoir te montrer ce qui t’attend maintenant.

Elle me fait alors la démonstration de la façon dont mon ventre va grossir en simulant la situation avec un ballon qu’elle remplit d’air sous mes yeux. Elle le gonfle comme elle pourra le faire avec le mien, à sa taille maximale me dit-elle, c’est-à-dire environ cinquante centimètres de diamètre.

— Regarde… regarde comment ce ballon devient lorsqu’il est plein ! me dit-elle en serrant ma mâchoire entre les doigts de sa main libre, me tournant la tête vers elle pour m’obliger à regarder.

Devant la vision du ballon, je me remets à hurler, prise d’une nouvelle crise de panique. Maître Luc qui nous avait rejointes s’approche à son tour de moi avec une seringue. Je suppose qu’il m’a injecté un calmant assez puissant pour m’endormir car j’ai perdu connaissance une nouvelle fois.

À mon réveil, je suis ligotée sur un lit dans une chambre. Maître Luc arrive avec un plateau contenant une collation et un verre avec un liquide qu’il m’impose de boire. Je reconnais le goût du cocktail sans le rhum. Il m’explique ensuite qu’ils ont procédé à l’opération de Carole durant mon inconscience. Ils voulaient lui faire comprendre que sa chatte l’excite trop vite et que sa jouissance ne lui appartient plus. Ils ont réalisé une cage grâce à des anneaux transperçant ses lèvres intimes. Cet appareillage placé tout au long de sa fente interdit l’accès à sa chatte. Un homme a trouvé sa prestation de ce soir avec moi intéressante et il lui a demandé de venir vivre avec lui, Carole a accepté et elle est en chemin pour se rendre chez lui. C’est lui qui possède la clé de cette cage de chasteté.

Je n’en reviens pas que Carole ait pu accepter cela mais Maîtresse Françoise me montre une vidéo dans laquelle elle monte en souriant dans une voiture et me salue de la main en m’envoyant un baiser.

— Il est tard, je vais te raccompagner chez toi. Mais demain soir, tu reviendras ici pour que l’on continue de te remplir le ballon utérin…

— Mais vous êtes fous…

— Oh non, c’est même toi demain soir qui me réclameras de venir boire un cocktail à la maison.

Je le regarde complètement abasourdie, je suis sûre que le lendemain, je ne lui demanderais pas cela. Il me rend mes vêtements et je me rhabille, je constate avec horreur que la petite robe que je portais en venant me serre le ventre. Le trajet du retour se passe sans un mot de sa part. Il me dépose devant chez moi à cinq heures du matin.

Je rentre sans bruit dans la maison. Je me change dans la salle de bain et je monte sur la balance. Je réalise avec horreur que j’ai pris trois kilos.

Je me glisse sans bruit dans le lit conjugal en sachant qu’il ne me reste que deux heures à dormir.


Maître Luc

Je regarde Laurence ouvrir sa porte et entrer chez elle sans se retourner. Je peux la comprendre, Elle tente de fuir cette réalité qui a dépassé ses fantasmes les plus fous. Elle voulait s’offrir une petite aventure extraconjugale, elle va vivre une autre vie.

Cela faisait plusieurs semaines que je l’avais repérée dans ce train matin et soir. J’avais vu son manège et comment, par ses attitudes et ses mimiques, elle aguichait les hommes. Ce fut donc sans aucun scrupule que je l’avais abordée. Seule la présence de Carole avait un peu perturbé nos plans mais le comportement de cette dernière fut une agréable surprise. Elle a accueilli avec plaisir notre proposition de vivre une autre vie sous des cieux différents, rien ne l’attachant ici.

C’est avec ces pensées que je retrouve Françoise qui m’attend presque nue dans le lit.

— Alors, me dit-elle en faisant posant sa tête sur mon torse.

— Alors ! Je suis certain qu’elle ne dira rien à son mari. En arrivant chez elle, elle est d’abord passée dans la salle de bain et ensuite aucune lumière dans la chambre à coucher. Si elle n’a rien dit en arrivant, elle ne dira rien au réveil.

— Tu es vraiment le meilleur pour repérer les futures soumises…

Je souris en lui flattant les fesses qu’elle a juste couvertes d’une petite culotte de dentelle. 

mercredi 4 juin 2025

La Belle Fille - 02

 Ce texte a été écrit il y a quelques années par une personne sous le pseudo : BERNARD240

 

Première pipe de ma belle-fille Sophie


Durant la semaine qui suivit je jouais du regard et d’effleurement avec Sophie. Elle semblait inquiète et gênée, le remords de son erreur sûrement…

Le matin, je lui frôlais les fesses en allant prendre le café.

Le soir, jeu de pieds sous la table et devant la télé, je lui pinçais les tétons lorsque nous étions seuls un petit moment. Elle me disait de la laisser, que ce qu’on avait fait ce n’était pas bien vis-à-vis de son mari et moi de ma femme.

Puis un soir, un peu plus chaud ! A table, elle était face à moi et comme tout le monde avait son portable collé à l’assiette (les temps modernes !!), je lui envoyais un SMS : “tu sais je suis toujours gonflé à bloc depuis l’autre jour dans le jardin…

Son téléphone vibre, elle regarde et sursaute un peu… Elle lit discrètement, car son mari, mon fils, Hervé est aussi à table mais en diagonale d’elle. Elle me répond : “faut arrêter on a fait une grosse bêtise !‘’

Mon fils l’interpelle : « C’est qui ? »

Sophie : « Une copine qui prend de mes nouvelles… »

Je lui renvoie : “laisses tomber ta serviette et regarde sous la table !!‘”

Et la j’ai sorti le sexe de mon jogging, elle est ultra bandé et je le masturbe doucement. Elle se penche pour ramasser sa serviette, se relève toute rouge !… Et elle lit le SMS suivant : “Alors elle te plaît ma bite ?‘’ Je fais exprès d’être un peu vulgaire

Hervé : « Bon, elle est chiante ta copine… »

Sophie : « Et toi tu me lâches j’ai le droit d’avoir des amies »

La tension monte entre eux, j’attends un peu et j’en rajoute…

Texto : “je me ferai bien sucer, mes couilles sont pleines

Elle répond : “arrêtez Roger c’est trop ça suffit !! pas maintenant…

L’ouverture se précise : “Ah trop gros tu veux dire ! t’en a jamais vu une pareil ?‘’

En fait mon sexe ne fait que 20 cm de long, mais le diamètre est énorme 6 cm et le gland plus gros que la base.

Hervé se fâche et quitte brutalement la table.

« Bon ça suffit tes SMS ! Tu pourrais participer au repas au moins » et il monte se coucher.

On arrive en fin de repas et ma femme Lucie débarrasse et part à la cuisine.

Sophie me dit : « Vous êtes fou, Hervé aurait pu prendre mon téléphone !! »

« Eh alors, tu ne m’as pas répondu, t’en a déjà vu une pareille. »

Sophie : « Non, on dirait une malformation tellement elle est large. »

Moi : « Tu comprends pourquoi je t’ai bien ramoné le vagin avec ma main l’autre jour… »

Lucie revient et dit « Aller les deux, passez donc au salon je finis le rangement et je viens vous rejoindre »

Pendant que j’entends ma femme Lucie tout ranger en cuisine, j’enlace Sophie dans le canapé, je l’embrasse (c’est la première fois), elle résiste, mais je lui mets ma langue dans la bouche…

Sophie : « Arrêtez j’ai dis qu’il ne faut pas recommencer »

Je malaxe ses seins à travers son tee-shirt, putain qu’ils sont gros les bouts commencent à pointer. Je lui attrape la main et la pose sur mon chibre ultra dur.

Sophie : « Non s’il vous plaît, Roger vous abusez et si Lucie arrive… »

Moi : « Branle-moi doucement ! L’autre jour, tu voulais t’occuper de ma bite je crois !! »

Elle cède et passe sa main dans mon jogging et commence à faire de lents va-et-vient mon sexe grossit encore.

Sophie :« C’est pas croyable ! J’arrive à peine à le tenir en main » dit-elle. « C’est encore plus gros qu’un concombre et en plus avec une tête de gros champignon ! J’ai jamais vu ça ! »

Elle me caresse le sexe lentement comme pour jouer avec… « Ça vous plaît comme je fais ? »

Moi : « Oui c’est bien ! Continue, astique-moi bien, fais-moi bander »

Elle commence à se détendre et je lui malaxe encore plus les seins, je lui fous la main entre les jambes, elle est mouillée la cochonne qui cache son jeu.

Moi : « Dis petite salope, on dirait que tu mouilles !! Descends ta main et caresse moi aussi les couilles elles sont pleines de jus… »

Surprise, elle les malaxe doucement et je sors ma bite en entier qui est libre sous mon jogging.

Sophie : « On dirait de gros œufs elles sont dures en plus »

Moi : « C’est parce qu’elles sont pleines… »

Je l’embrasse à nouveau, mais cette fois elle se lâche et me bouffe la langue, je garde sa bouche ouverte pour bien reprendre sa langue dedans. D’un geste brusque, je prends sa tête par le cou et lui descend sur ma bite.

Moi : « Allez suce salope, vide-moi vite avant que la vieille revienne »

Elle s’étouffe mais ne peut pas crier, elle n’a pas l’habitude d’un tel engin et ses dents me griffe le gland. Je lui relève la tête et l’embrasse plein de salive, je sens mon goût de bite !!!

Moi : « Bon va falloir t’habituer à ouvrir en grand ! Tu me racles la bite avec tes dents !!! »

Elle s’écarte et dit : « Bon ça suffit maintenant vous avez failli me faire vomir… »

Moi : « Écoute-moi bien petite garce, tu vas me vider les couilles parce que j’en ai envie et rapidement ! On a pas trop de temps ! »

Elle résiste un peu moins et je lui prends le cou pour la plonger à nouveau sur mon dard, je sens déjà la purée monter !! Elle me suce un peu mieux le gland, et le lèche avec sa langue et je sens qu’elle essaie d’avaler sa salive avec sa gorge car ça me fait un effet d’aspiration. Elle repousse encore une fois pour me dire :

Sophie : « Vu le diamètre, je ne vais pas pouvoir faire grand-chose »

Moi : « Aller, tu n’as qu’à mouiller bien partout et en aspirant comme sur une glace ou une sucette ça va gicler ! »

Et là, d’elle-même, elle descend sur mon sexe et juste sur le gland, elle se met à me pomper comme une acharnée. La sauce monte rapidement je pousse juste un peu sur ça tête et je lui explose en bouche une grosse quantité de foutre.

Moi : « Oh putain le torrent de jus qui explose, serre bien tes lèvres et avale tout ahhh ouai ! »

Elle avale pour éviter les taches et continue à pomper jusqu’à la dernière goutte, Rien n’a coulé !

Moi : « Ben dit donc ! T’es une super avaleuse et tu m’as bien purgé. »

Sophie : « OULALA oui j’en ai pris plein la bouche ça m’a fait un bon dessert !! une sacrée dose »

Soudain on entend plus rien en cuisine ma femme Lucie va revenir. On remballe vite fait tout et je lui pétris une dernière fois les seins !

« Alors c’est quoi le programme ? » lance Lucie en arrivant..

Tout juste je lâche le sein de Sophie on a failli se faire avoir, elle se lève et dit : « moi je monte me coucher » Je reste avec mon gros légume dans mon jogging et ma Lucie qui ne se rend compte de rien, mais je vais peut-être la baiser ce soir, car tout ça m’a mis en forme…

Avec ma femme, on regarde le film et une fois couchés, je lui saute dessus pour la défoncer comme un salaud en espérant que Sophie entende…