mercredi 10 décembre 2025

Journal d'un Impuissant - 10 -

 

Nous étions de retour à la maison, seuls. Les enfants étaient en vacances chez leurs autres parents. Ce séjour chez Gérard et Marie-Christine avait été riche en émotions et en révélations.

J’avais découvert mon potentiel, j’avais été adoubé par Gérard et Marie-Christine. Ils avaient estimé que j’étais digne d’avoir le statut de maître.

Je m’étais montré intransigeant, mais je leur avais surtout montré que je prenais soin de Laurence, ma soumise.

Gérard m’avait longuement expliqué ce que cela signifiait. Un maître domine, mais il doit connaître parfaitement les limites de sa soumise. J’avais vu ce que Laurence était prête à accepter. Elle avait totalement confiance en moi, je devais me montrer digne de sa confiance.

Les enfants étant absents, dès qu’elle rentrait de son travail, elle devait enfiler une de ses fines tuniques qui ne masquait pas sa nudité. Je savais que Laurence aimait jouer de cette manière, suggérer sans montrer. À mon arrivée, elle venait me tailler une pipe pendant que je prenais un rafraîchissement dans un fauteuil.

Je lui avais aussi interdit de porter des culottes. J’hésitais encore à lui interdire le soutien-gorge pour aller travailler, mais je ne voulais pas la mettre en difficulté avec ses collègues que je ne connaissais pas.

Cependant lorsque nous sortions pour les courses ou pour nous promener, elle était nue sous ses robes. Elle attirait les regards, cela nous plaisait à tous les deux et cela l’excitait.

Un jour, alors que nous avions flâné dans les ruelles d’une cité médiévale, nous nous sommes arrêtés pour nous désaltérer à la terrasse d’un café sur la place centrale de cette petite ville. La robe de Laurence était particulièrement courte. Nous étions assis face à la place. J’avais posé ma main sur son genou, ce qui l’empêchait de serrer les cuisses.

— Arrête ! Tout le monde va voir que je n’ai pas de culotte… me dit-elle faussement gênée.

— Hypocrite ! Tu n’attends que ça ! Lui répondis-je. D’ailleurs, on va voir combien vont le remarquer.

Nous n’avons pas eu à attendre très longtemps. Un couple d’une quarantaine d’années vint s’asseoir sur une table voisine. Je faisais semblant d’être plongé dans le guide de tourisme, ce qui me permit de voir les regards de moins en moins discrets de l’homme en direction de Laurence.

— Écarte ! lui murmurai-je.

Obéissante ma compagne écarta un peu plus ses cuisses, dévoilant son sexe nu et lisse. L’homme n’en perdait pas une miette. Soudain son épouse se rendit compte de ce qui intéressait autant son mari. Elle se leva et le tira par le bras. Quand ils s’éloignèrent, nous pûmes entendre les éclats de voix de la femme qui manifestement rappelait son mari a l’ordre dans une langue incompréhensible. 

Avec Laurence, nous avons rigolé. Nous n’avions jamais imaginé que cette petite exhibition pouvait avoir ce genre de conséquences.

— J’espère que nous ne venons pas briser un couple, me dit-elle.

— La curiosité est un vilain défaut, répondis-je. Mais peut-être devrions-nous aller voir si ce pauvre homme n’a pas été abandonné par sa femme ? Tu pourrais le consoler.

— Il ne comprendrait pas…

Je voyais à son regard qu’elle était un peu déçue que nos contemporains ne partagent pas notre vision des relations amoureuses.

— Il est temps de rentrer, dis-je. Mais avant, j’ai une inspection à faire.

Laurence me regarda effrayée, nous étions à la terrasse d’un café, au centre d’un lieu fréquenté par des centaines de touristes. Ses tétons pointés sous sa robe trahissaient aussi son excitation.

— Tu te souviens de la petite ruelle et du renfoncement, va m’y attendre ! Je te rejoins !

Je regardai Laurence s’éloigner, sa petite robe flottait à chacun de ses pas et menaçait à chaque fois de dévoiler ses fesses bien bronzées après notre séjour chez Gérard et Marie-Christine. 

J’allais régler nos consommations et je passais aux toilettes avant de rejoindre ma brune.

Laurence m’attendait, debout dans ce recoin qui devait occasionnellement servir d’urinoir.

— inspection !

Elle prit la pose. Tout en restant attentif aux bruits alentour, je pus constater son état d’excitation. Je pris mon temps pour jouer avec mes doigts dans sa chatte. Elle tremblait, soufflait. Sa mouille coulait, mes doigts étaient recouverts par ses sécrétions et je pus en glisser deux sans difficulté dans son cul. Je brûlais d’envie de l’enculer, là, dans cette ruelle. Mais je devais me rendre à l’évidence, la tranquillité que nous avions depuis quelques minutes, pourrait ne pas durer. Je finis l’inspection.

J’étais tellement tendu que je lui dis.

— Suce-moi !

Elle ne protesta pas. Elle n’émet aucune objection sur le fait que nous puissions être surpris. Elle s’accroupit, sorti mon sexe et le prit en bouche. Je la guidais par les cheveux. Je ne me retins pas. Je jouis rapidement dans sa bouche. Elle avala tout avec un grand sourire et se rajusta, juste à temps car un petit groupe de jeunes entraient de la ruelle.

Nous les avons salués en les croisant. S’ils étaient arrivés deux minutes plus tôt, ils auraient découvert Laurence en pleine action.

Je savais que ma compagne était toujours excitée et frustrée. Je m’occupais de la soulager lorsque nous fûmes à la maison. Ce fut la table de la cuisine qui fut le témoin de nos ébats. Nous profitions de l’absence des enfants pour faire l’amour dans les différentes pièces de la maison. Si la chambre et la salle de bain étaient des lieux privilégiés, la cuisine et le salon n’étaient pas en reste. Il m’arrivait même de prendre Laurence dans le garage, sur le capot de la voiture après notre retour de courses.

***

Avec la fin de l’été et la rentrée scolaire, nous avons dû apprendre à vivre différemment. Laurence et ses enfants avaient complètement emménagé chez moi. Nous ne faisions plus que partager des week-ends ou des moments de détente, mais aussi tout ce qui fait le charme de la vie de couple, nous partagions les tracas du quotidien.

Pour les enfants aussi cela entraîna quelques changements. Le soir en rentrant du collège ou du lycée, les aînés ne devaient pas oublier de passer récupérer le petit dernier encore à la maternelle. La maison était à quelques centaines de mètres de l’école et mes enfants qui y avaient été scolarisés y étaient connus. La maîtresse accepta sans difficulté qu’il soit pris en charge par les plus grands. Nous eûmes parfois des moments de frayeur car celle qui devait le prendre à la garderie, arrivait et il était déjà parti avec une autre qui avait fini plus tôt et avait oublié de prévenir qu’elle l’avait récupéré juste à la sortie de l’école. Mais dans l’ensemble tout se passait bien

Le matin, je le déposais souvent dans sa classe, car étant plus libre de mes horaires que Laurence, je pouvais facilement me décaler, ce qui nous évitait de payer la garderie du matin. Je devins rapidement le “papa” de ce petit bonhomme, surtout pour les autres parents, enfin il faut être honnête, surtout des mamans. Je revoyais dans les yeux de certaines de ces femmes les regards que j’avais vu quelques années plus tôt quand mon ex-femme m’avait quitté et que je m’occupais seul de mes enfants.

J’en ai parlé un soir avec Laurence qui me répondit que c’était normal. Malgré l’évolution des mœurs, beaucoup de couples vivaient encore dans le schéma traditionnel ou c’est la femme qui s’occupe des enfants, surtout quand ils sont petits.

— En plus, ajouta-t-elle, elles savent que tu t’es occupé des tiens pendant que leur mère était malade et que tu en as la garde… Tu es un peu vu comme un super-héros !

— Super-Papa ! Rigolais-je. Il me manque la cape et le slip sur le legging… Sinon, Camille, la maman de la petite Justine m’a dit que sa fille voulait inviter Lucas…

— Justine, c’est la petite blondinette bouclée ?

— Oui et sa mère, c’est celle qui est toute timide, toujours un peu à l’écart devant l’entrée…

— Je vous oui, celle dont tu m’as dit un jour qu’elle avait une bouche de pipeuse…

— C’est ça ! Tout à fait ! dis-je en riant.

— Et tu comptes le vérifier un jour ? me demanda-t-elle.

Attention, mon vieux ! Terrain miné !” Comment lui répondre ? Pour être honnête, il n’y a pas que sa bouche que je testerai bien. Mais d’une part, Camille était mariée, je ne me voyais pas semer la zizanie dans un couple et d’autre part si Laurence avait accepté de me voir coucher avec d’autres femmes dans le cadre de nos relations BDSM, je n’étais pas sûr qu’elle l’accepte dans un autre cadre.

— Je dois avouer que je ne serais pas contre… mais… Un : je ne te le ferai pas dans le dos… Éric deux : elle est mariée. 

Ce fut à son tour d’être pris au piège de sa question.

— On verra ! Répondit-elle.

— En tout cas, elle attend notre réponse demain et Lucas est déjà en train de se projeter chez Justine : “Elle a une piscine dans son jardin, on pourra se baigner !”

— Je confirmerai à Camille demain matin, me dit-elle.

— Lucas sera content.

***

Quelques semaines plus tard, Laurence et Camille étaient devenues amies. Ma compagne commençait à s’intégrer dans cette ville où elle venait d’arriver. J’y avais des amis, des connaissances, mais avec Camille, elle allait se tisser son propre réseau. 

Camille et Fabien étaient un jeune couple d’une trentaine d’années et Justine leur fille aînée.  Elle était conseillère-clientèle dans une agence bancaire et son mari travaillait comme artisan et il s’occupait de la maintenance des réseaux informatiques des commerçants, artisans et petites entreprises locales. Il avait profité des connaissances que son grand-père puis son père avaient tissées comme maires de la commune depuis plus d’un demi-siècle. Il avait laissé la politique à son frère cadet, préférant s’investir dans le sport. Il était le capitaine de l’équipe de football et entraînait une des équipes de jeunes. Avec toutes ses activités, il était souvent absent le samedi après-midi et Justine venait souvent jouer à la maison avec Lucas.

Rapidement, Camille et Fabien furent souvent à la maison pour venir prendre un café ou un thé. Je demandai alors à ma compagne de la recevoir sans soutien-gorge et de s’arranger pour que les jeunes gens puissent découvrir le plus de choses. J’agissais sur les conseils de Gérard, tester l’ouverture d’esprit avant d’aller plus loin. Il m’avait surtout conseillé de ne pas précipiter les choses et si je constatais qu’ils n’étaient pas ouverts : “n’insiste pas !”

Camille semblait troublée par l’attitude désinvolte de cette femme de dix ans de plus qu’elle qui dévoilait subtilement juste ce qu’il fallait de son corps pour provoquer le désir chez les hommes et particulièrement son mari. Quand Camille en parla à Laurence, celle-ci lui répondit faussement naïve : “Ah bon ! je n’ai pas remarqué… Je suis comme cela !”

Laurence ne modifia pas son attitude Fabien ne manquait pas une occasion pour tenter d’en apercevoir plus, pour le plus grand plaisir de ma compagne. Mais il nous sembla vite évident qu’ils n’étaient pas décidés à aller plus loin.

***

Au cours de cette première année, nous avons profité de l’absence des enfants pendant les vacances pour inviter Gérard et Marie-Christine à la maison. Pendant que nous étions au travail, ils en profitaient pour visiter la région et le soir, nous profitions de Laurence. Mais l’un des moments les plus marquants se produisit lors du réveillon du Nouvel-An.

Au début du mois de décembre, Paul et Françoise nous avaient invités pour la soirée du Réveillon. “Nous serons entre personnes averties.”

Cette simple phrase indiquait clairement la teneur de cette soirée. Le visage de Laurence s’illumina à cette pensée. Gérard et Marie-Christine étaient sur la liste des invités ainsi que quatre ou cinq autres couples âgés de trente à soixante ans.

Je me souvenais de la soirée estivale entre nos trois couples. Au cours de cette soirée, nous serions huit couples, je me demandais ce que cela pouvait donner quand la soirée serait bien avancée.

Laurence portait une robe longue noire très moulante, fendue derrière jusqu’à la taille.  En s’asseyant ou en se penchant en avant, les deux pans s’écartaient et offraient un accès facile à ses fesses. Dans le haut, l’élasticité du tissu lui permettait de mettre sa poitrine à nue d’un simple mouvement. Les fines bretelles découvraient ses épaules et la fleur de lys tatouée sur son épaule droite. Ses talons renforçaient sa cambrure, faisant pointer ses seins de manière arrogante.

Pour ma part, je portais un costume de coton beige clair, le contraste du bien et du mal, du noir et du blanc.

Françoise nous accueillit avec son sourire inaltérable. Je découvrais la résidence secondaire du couple qui nous avait invité. Une ancienne ferme dont la cour carrée était entièrement close par les divers bâtiments, autrefois grange et écurie, aujourd’hui, studio de tournage et chambre d’hôtes. La réception était organisée dans les anciennes écuries, un immense espace dans lequel ils avaient conservé deux box. Divers accessoires d’équitation étaient accrochés aux murs. Dans une vitrine, les trophées remportés par Françoise du temps de sa jeunesse étaient exposés. J’appris qu’elle avait participé à diverses compétitions internationales, trente ans plus tôt, avant de rencontrer Paul à l’occasion d’un championnat du monde.

Nous fûmes présentés aux autres invités et si je fus chaleureusement accueilli par les autres couples, Laurence reçut un accueil digne d’une princesse. Surtout lorsque, sur la suggestion de Gérard, je l’ai invité à dévoiler son magnifique 95 D. Aussitôt trois autres femmes exhibèrent leurs atouts mammaires et un des hommes suggéra un petit jeu. Toutes les femmes durent montrer leur poitrine et chacun d’entre nous, les yeux bandés, devions identifier avec nos mains à qui appartenait les différentes poitrines. Je ne fus pas le plus mauvais, sans être le meilleur, je réussi à identifier cinq des poitrines offertes à mes mains, dont bien sûr celle de Laurence.

Elle m’avoua plus tard que cette expérience de palpation l’avait considérablement excitée et qu’elle avait ensuite attendu la poursuite de ces jeux avec impatience. Mais il lui fallut attendre le dessert et une heure plus avancée de la nuit.

Pendant le repas, préparé par un traiteur de renom, nous étions assis autour d’une immense table ronde. Nous avions tiré nos places au sort et j’étais installé entre Marie-Christine et une journaliste en vue, épouse d’un homme politique non moins connu. Si le grand public apprenait leur participation à ce type de soirée, leur carrière aurait été irrémédiablement stoppée.

Maintenant, je souriais en regardant le journal télévisé où quand je voyais cet homme sur les bancs de l’Assemblée Nationale haranguer ses collègues.

A la fin du repas, notre hôte nous invita à nous éloigner de la table et annonça : “Inspection !”

Aussitôt, les huit femmes s’immobilisèrent, mains sur la nuque. Je devais inspecter Nathalie, la journaliste, pendant que Laurence était inspectée par un homme aux traits indiens.

Nathalie portait une jupe portefeuille que je ne rencontrai aucune difficulté à lui retirer. Je découvrais avec ravissement son intimité parfaitement lisse. Je la vis se mordre les lèvres et soupirer, en me souriant quand mes doigts entrèrent dans sa chatte trempée. Quelques gémissements étouffés se faisaient entendre. Deux ou trois avaient du mal à rester stoïques, j’étais fier car Laurence subissait son inspection sans un mot et sans un soupir.

L’ordre “de dos !” tomba. J’avais sous les yeux la croupe parfaite de la journaliste. A la différence de Laurence qui n’en avait une que sur l’épaule, Nathalie arborait fièrement une autre fleur de lys tatouée sur sa fesse droite. Elle posa ses mains sur la table pour m’offrir ses fesses. Son anus était particulièrement souple. Je pensais avec raison que prendre cet orifice serait un vrai délice.

— De face ! tonna Paul.

Nathalie me suça les doigts à la perfection et sa gorge était prête à être possédée.

— Cette femelle est prête et disponible, dit l’homme qui venait d’inspecter Laurence.

Un par un nous prononceront ces paroles, puis une des femmes dit :

— Je dois être punie pour ne pas avoir su retenir mes gémissements.

Je fixais Nathalie. Je vis la journaliste blonde frémir. Elle savait qu’elle aussi devait être punie.

Elle fut la dernière des trois femmes à demander sa punition.

Paul nous donna une cravache. La punition était simple : cinq coups de cravache chacun. Toutes les femmes se tournèrent face à la table en position d’inspection.

Paul frappa dans ses mains pour indiquer que nous pouvions commencer la punition. Ma cravache siffla dans l’air et laissa une strie rouge sur la fesse de la jeune femme qui sut rester immobile.

Après mes cinq coups, je me décalais d’une place. Marie-Christine n’était pas punie, donc je ne levais pas mon bras pendant que les trois femmes continuaient à être punies. Quand je me retrouvais derrière Nathalie, je pris mon temps pour passer la pommade apaisante et cicatrisante sur ses fesses fermes.

— Merci, Monsieur !

Elle s’agenouilla alors devant moi, comme toutes les autres femmes et entama une des plus mémorable fellation qu’une femme ne m’ait jamais faite.

Était-ce son talent de fellatrice ou son statut de femme publique qui rendait la chose encore surréaliste ? Je l’ignore.

Toujours fut-il, que je me suis épanché dans sa bouche avec plaisir.

La nuit ne faisait que commencer. Encore une fois, avec l’aide des petites pilules bleues, nous pûmes honorer toutes les femmes de la soirée et quand l’aube de la nouvelle année arriva. Nous n’étions pas encore rassasiés.

Nous trouvâmes, bien évidemment, des raisons de punir les femmes qui avaient échappé à la première punition. L’imagination de mes compagnons pour trouver des punitions diverses semblait n’avoir comme limite que celle de ne pas porter préjudice à l’intégrité du corps. Laurence fut punie en étant suspendue, le ventre vers le sol, dans un espèce de harnais, ses seins étaient étirés par des poids reliés par une cordelette que l’indien lui avait posé sur les tétons. Dans cette position, sa tête était tirée en arrière par des cordes attachées à ses chevilles, ses cuisses étaient largement écartées. Sa bouche, sa chatte et son cul nous étaient accessibles. Pendant qu’un homme forçait sa bouche, un autre prenait son cul ou sa chatte. Les autres femmes furent aussi invitées à profiter de son corps.

***

Cette soirée nous avait introduit dans cette petite communauté de couples libertins aux plaisirs particuliers. Notre seule devise : “le plaisir dans la discrétion.”

Pas de sites internet, pas de réseaux sociaux, juste des contacts directs, discrets.

Tout semblait aller pour le mieux. De plus, avec Laurence, nous avions décidé de nous marier. Les enfants étaient ravis et imaginaient déjà le déroulement de la journée.

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