Journée de travail
Le lendemain matin, au petit déjeuner, Éric informa Sophie qu’il ne l’accompagnerait pas sur le tournage. Il avait divers dossiers à gérer et il s’en occuperait de l’hôtel.
Au réveil, elle avait découvert que son maître lui avait choisi un string rose, elle compléta sa tenue par jupe droite à mi-cuisses et un chemisier un peu large qui ne dévoilerait pas la présence des bijoux sur ces seins mais qui frustrerait sûrement ce pervers de Daniel. Elle enfila tous ses vêtements sous le regard approbateur d’Éric qui la félicita une nouvelle pour son charme.
Elle était remontée dans la chambre pour se brosser les dents et avant qu’elle ne le quitte, Éric l’embrassa avec passion. Sophie était aux anges. Elle était parfaitement consciente qu’elle trompait son mari, mais depuis deux jours, cet homme lui apportait tellement de bonheur qu’elle était presque prête à tout quitter pour être à lui totalement.
Ce fut le cœur léger et le pas alerte qu’elle arriva sur le plateau pour le tournage de la dernière scène. Cette fois-ci, elle n’hésita pas et osa demander un selfie avec tous les acteurs qui ne se firent pas prier.
Pendant ce temps, dans un espace privatif mis à sa disposition par l’hôtel, Éric étudiait les divers projets en cours. Il appela le service achat et tomba sur Brigitte qui l’informa qu’elle venait de négocier l’achat des droits pour six San-Antonio et cinq Hitchcock.
Il la félicita avec toute son équipe pour ces acquisitions qui promettaient d’être rentables à condition de bien choisir les réalisateurs et les acteurs.
Il venait à peine de raccrocher que son téléphone afficha un appel entrant de Madame Kohler.
— Monsieur Martin. j’ai le plaisir de vous annoncer que j’ai trouvé vos deux nounous.
— Déjà ! Quelle célérité…
— Ce sont des jumelles, des bavaroises, blondes, grandes, bien en chair et parlant français
— Elles ne feront pas que le bonheur des enfants…
— Elles ne sont pas farouches et cela ne leur posera pas de problème. Vous les payez bien…
— Je tiens au bien être de mes collaboratrices…
— À leur disponibilité aussi, non ?
— Évidemment… Quand ces deux sœurs seront-elles disponibles ?
— Elles seront à votre domicile samedi !
— Parfait, je vous remercie Madame Kohler…
— Je vous en prie. Je vous envoie leurs photos et leurs références.
Quelques minutes plus tard, Éric découvrait les jumelles avec leur dossier détaillé.
“Cela devrait consoler le cocu… ça va le changer de sa petite femme,” pensa-t-il. Il sourit en imaginant le mari de Sophie dans les bras de ces plantureuses teutonnes, lui habitué à la platitude de Sophie.
Il ouvrit un message de son équipe qui réalisait le documentaire sur l’alimentation des coureurs du Tour de France. Il fut agréablement surpris quand il apprit que le visionnage aurait lieu le lundi suivant et qu’un site internet était intéressé par sa diffusion, ainsi qu’une télévision espagnole mais aux moyens limités.
Il répondit à Federico qu’il enverrait Florence et Sophie négocier avec le site internet et qu’il fallait qu’il prévoie un aller-retour à Barcelone pour le prochain vendredi. Il accompagnerait son collaborateur avec Sophie et si celui-ci rentrerait à Paris dans la soirée, il en profiterait pour rester le week-end en Espagne avec son assistante.
Aussitôt, il envoya un texto à Sophie pour la prévenir.
“vendredi en 8 nous partons en Espagne. Barcelone. Retour lundi. Réserve-moi une chambre au Majestic de Barcelone pour 2 personnes. Réserve aussi les billets d’avion pour le retour de lundi pour nous deux.”
Une fois ces dossiers finalisés, Éric se rendit au siège du CAP, le club de rugby local, évoluant en National. Il avait rendez-vous avec le président pour évaluer la faisabilité d’un futur projet. Il en profita pour lui demander une faveur : deux maillots de l’équipe encadrés, l’un côté face et l’autre le côté pile floqué du prénom du mari de Sophie.
Le président lui assura que ces cadres seraient prêts pour le soir-même et qu’il les fera déposer à l’hôtel.
Cela faisait une demi-heure qu’il était au restaurant, il attendait Sophie qui l’avait prévenue qu’elle aurait un peu de retard. Il la vit arriver en pressant le pas. Elle était toujours souriante.
— Excusez-moi Monsieur Martin, mais après avoir reçu votre message pour Barcelone, j’ai dû résoudre une panne d’électricité.
— Je suppose que tu as fait cela d’une main de maître…
— J’ai dû quémander auprès d’un agriculteur le prêt d’un groupe électrogène… Un sourire, la promesse d’une invitation à l’avant-première et qu’il puisse assister à la fin du tournage…
— Tu prends un peu trop de liberté Sophie…
— Comment cela Monsieur…
— Ce film ne sortira jamais au cinéma… C’est un pilote, pour voir… Mais il sera peut-être distribué sur des plateformes mais rien de plus…
— Expliquez-moi ! Et je pensais bien faire…
— C’est de la merde ! Nous avons acheté les droits du roman et des suites éventuelles mais on va arrêter les frais à ce stade…
— Je suis désolée… Mais, d’ici là, il aura oublié…
— On verra… Bon j’ai commandé un Coca et un Orangina…
— Merci Monsieur…
— Et pour la suite, une salade César !
— Très bien Monsieur…
— Dis-moi ! As-tu une robe pour la réception de ce soir ?
— Euh non… Monsieur, je n’avais pas envisagé cette éventualité…
— Après le repas, nous irons t’en trouver une… J’ai repéré une boutique pas loin. On te trouvera ce qu’il te faut.
— Merci Monsieur…
Dans la boutique de mode, Éric choisit plusieurs robes qu’il fit essayer à Sophie. Cela lui permettait de pouvoir admirer le corps de sa soumise. Ses tétons restaient pointés en raison de leur réaction aux bijoux qui les ornaient. Cette femme était comme une pierre précieuse à extraire de sa gangue. Son choix se porta sur une robe blanche longue dos nu avec un décolleté juste assez profond pour laisser entrevoir sa poitrine libre sans être vulgaire. Il voulait que Sophie soit séduisante, sensuelle sans paraître être une pute. Sophie essaya aussi une paire d’escarpins à talons aiguille un peu plus hauts que ceux qu’elle avait dans sa valise. Ils renforçaient sa cambrure et il lui fallut quelques pas pour s’adapter à leur hauteur.
— Tu vas être magnifique ce soir ! Les gens ne verront que toi !
— Vous croyez ? Est-ce moi qu’ils vont regarder ou mon décolleté ?
— C’est la même chose, non ?
— Si vous le dites…
— Bien… Il va être temps que tu y ailles. Veux-tu que je te dépose à la mairie ?
— Non merci, nous n’en sommes pas loin… je vais marcher un peu.
— Donne-moi le sac avec la robe, il va t’encombrer. Je vais le déposer à l’hôtel…
En la regardant s’éloigner, il se dit qu’il allait devoir lui apprendre à s’habiller avec des robes et des jupes plus courtes. Il lui voyait à peine les cuisses.
Sophie commençait à se poser des questions. La veille, son patron lui avait offert des bijoux, aujourd’hui, une robe et des chaussures. Elle couchait avec lui. N’était-elle pas en train de se prostituer ? Il était évident que Monsieur Martin lui offrait ses cadeaux en échange de ses faveurs. Non, pensait-elle. “Je ne suis pas comme cela !” Mais plus elle y réfléchissait et plus elle réalisait qu’elle agissait bien comme une pute, elle aurait pu refuser, mais elle ne l’avait pas fait.
Arrivée à la mairie, elle n’eut pas le temps de s’approfondir sur cette question. Il y avait une réception à organiser, aménager l’espace, penser à ce que les logos de l’ARPTEC et TV Suisse soient bien visibles, accueillir les différents prestataires. Elle ne vit pas le temps passer et elle n’arriva à l’hôtel qu’une heure avant le début de la soirée.
Éric de son côté avait passé une après-midi bien plus calme même s’il avait pris le temps de réserver leur soirée du lendemain, à l’Élixir, un club libertin de la région. Il s’était surtout reposé en vue d’une nuit qu’il envisageait particulièrement animée.
— Dépêche-toi Laïka, il faut te préparer…
— Oui Maître, je me dépêche.
En sortant de sa douche, Sophie découvrit sur le lit un objet insolite à côté de la robe et du string choisi par Éric, un œuf en silicone blanc.
— Est-ce que tu sais ce que c’est ?
— Oui répondit-elle en rougissant. Un œuf…
— Exactement, un œuf vibrant ! Je veux que tu le mettes. Tu le porteras pendant la réception… mais avant on va le tester.
Sophie prit l’objet entre ses doigts et le glissa entre ses cuisses. L’œuf entra facilement entre ses lèvres humides. Elle caressa un peu son intimité et son vagin avala l’œuf. Éric sourit et depuis son téléphone, il mit la vibration au plus faible.
— Il y a quatre niveaux de vibrations… Là, c’est le niveau un ! Marche un peu que je vois…
Sophie fit quelques pas dans la chambre. Elle sentait les vibrations dans son ventre, supportables, agréables mais pas vraiment excitantes. Éric monta le niveau d’un cran. Sophie se cambra et ouvrit la bouche pour parler.
— Deux…
— Oui Maître ! C’est agréable !
Cette fois-ci la vibration fit se tordre Sophie. Éric avait monté le curseur au maximum. Sophie serra les cuisses et se plia en deux, jetant un regard suppliant vers son maître qui ne semblait pas décidé à faire cesser cette exquise torture.
— S’il vous plaît, Maître !
Éric attendit que sa soumise tombe a genoux avant de couper les vibration. Pour Sophie, c’était à la fois un soulagement et une frustration.
— Retire-le de ta chatte ! Nettoie-le et mets-le dans ton sac !
— Oui maître, répondit-elle en faisant glisser le terrible jouet avant de le récupérer entre ses doigts.
Elle le léchait consciencieusement avant de le mettre au fond de son sac à main.
— Habille-toi ! Il faut encore que tu appelles ton cocu !
— Oui maître…
Pendant que Sophie enfilait sa robe par-dessus un string, Éric consultait ses mails, l’un d’eux attira son attention. Il se promit de le regarder plus en détail plus tard.
Cette robe était parfaite pour mettre en valeur le corps de son assistante. Le décolleté laissait entrevoir sa poitrine libre et le string qui se devinait par transparence allait attirer de nombreux regards sur cette petite rousse.
Comme elle prenait son téléphone pour appeler chez elle, Éric s’éloigna en se dirigeant vers le parking de l’hôtel. Il devina qu’elle parlait à son mari par vidéo quand elle éloigna son téléphone de son oreille pour se montrer dans sa robe.
— Tu es superbe ma chérie… Tu as un super patron…
— Oui, je le sais…
— Je pourrais lui parler ?
— Pourquoi ? s’interrogea Sophie.
— Pour le remercier de vive voix pour tout ce qu’il nous a proposé…
— Monsieur Martin… Pascal veut vous parler !
— Moi ! Fit Eric surpris.
“Que me veut-il ? Qu’est-ce que je vais lui raconter ?”
Éric prit l’appareil que lui tendait Sophie. Quand il vit Pascal, il fut troublé. Ce visage, cette tête lui disait quelque chose.
— Monsieur Martin ! Quel plaisir de vous parler…
— Monsieur Lamothe, enchanté… Mais dites-moi… Ne nous sommes-nous pas déjà rencontrés ?
— Je ne sais pas… dans un cadre professionnel ?
— Non, votre nom m’aurait dit quelque chose…
— Je ne vois pas…
— Ça y est j’y suis… Tournoi des Six Nations… France-Irlande… Stade de France…
— Oui j’y étais… on avait perdu sur le terrain… mais une troisième mi-temps mémorable avec les Irlandais…
— Exactement…
Éric se souvenait de cet homme dans cette soirée privée. Un sacré queutard, rien à voir avec le mari timoré que Sophie lui avait décrit. Il ne lui avait pas parlé mais il lui semblait l’avoir vu en pleine action avec Daniel. Sur ces mots, il rendit le téléphone à son assistante qui embrassa son mari avant de raccrocher.
— Vous auriez donc déjà vu Pascal ?
— Vu, c’est beaucoup dire… Nous sommes allés dans la même soirée après ce match.
— Le rugby, c’est sa passion… Il a dû arrêter de jouer jeune, par suite d’une blessure, alors qu’il avait été repéré par quelques grands clubs… mais tout ça c’est du passé… finit elle de dire en haussant les épaules. Dès qu’il y a un match, il va au stade et rentre tard dans la nuit…
— Ça m’arrive parfois de participer à ces troisièmes mi-temps entre supporters… sourit Éric. Mais assez discuté, nous allons être en retard.
A l’entrée de la salle, dès que Sophie eut retiré son manteau, la plupart des regards masculins se tournèrent vers elle. En particulier ceux du maire qui se dirigea vers eux.
— Sophie, n’as-tu pas envie de te rafraîchir un peu ? lui demanda Éric.
— Euh si… j’y vais…
— Très bien ! Et n’oublie pas ton œuf…
Sophie rougit et se dirigea vers les toilettes. Dans l’intimité de la cabine, elle écarta son string et glissa l’œuf dans sa fente déjà bien humide. Elle n’ignorait pas qu’Éric allait jouer avec la télécommande pendant la réception, mais surtout, elle anticipait la soirée qui allait suivre quand ils se retrouveraient seuls dans leur chambre. Il lui avait promis qu’il l’utiliserait toute la nuit. Même si l’expression était vulgaire, elle n’avait qu’une hâte, découvrir ce que cela faisait d’être utilisée par un homme tel que lui. Il avait dit utiliser, pas aimer. Il y a longtemps avec Pascal, ils avaient passé des nuits entières à s’aimer, elle n’avait pas été utilisée.
Elle rejoignit Éric qui était entouré par le maire, le bijoutier et un homme qu’il lui présenta comme étant le président du club de rugby de la ville.
— Je vois que les bijoux vous vont à merveille, dit le bijoutier en souriant.
Elle comprit qu’il avait repéré les pierres qui ornaient ses seins, de côté, sa poitrine libre était visible dans le décolleté de la robe. Le maire avait aussi remarqué ce détail, et tandis qu’il discutait avec Éric, son regard était dirigé vers la poitrine de la petite rousse.
— … Donc, Monsieur le maire, vous ferez le premier discours, puis Clovis dira quelques mots et je terminerai…
— Cela me convient. Mais, j’aimerais que votre assistante monte à mes côtés sur l’estrade.
— Bien sûr, elle en sera ravie, n’est-ce pas Sophie ?
— Oui Monsieur Martin. Avec plaisir…
Sur l’estrade, celle qui attirait l’attention plus que les orateurs fut Sophie. Elle était un peu en retrait derrière le maire et la vedette du film, mais elle pouvait voir les regards qui se penchaient pour mieux la voir. Soudain, elle sentit la vibration dans son ventre. Éric venait d’activer l’œuf, cela commençait. A chaque applaudissement, il montait le niveau de vibration pour la redescendre ensuite. Elle tentait de garder une expression neutre, mais elle n’allait pas pouvoir tenir très longtemps.
Quand le maire eut fini son discours, les applaudissements durèrent un peu plus longtemps et elle commençait à se trémousser, ne pouvant presque plus se retenir. D’autant plus que lorsque Clovis Cornillac prit la parole, les applaudissements redoublèrent. Elle était certaine que l’intensité des vibrations était au maximum. Elle était trempée, elle n’avait qu’une crainte que l’œuf ne glisse. Elle se contractait pour le retenir, mais cela ne faisait qu’empirer les choses.
Quand Éric prit la parole, il arrêta tout. Elle put un peu reprendre le contrôle de son corps mais il ne lui en faudrait pas beaucoup pour qu’elle atteigne le plaisir.
— Tu as été parfaite ma pute… Lui murmura Éric alors qu’ils descendaient de l’estrade. Allons profiter un peu du buffet avant de partir… J’ai hâte de me retrouver seul avec toi.
Sophie lui sourit, elle aussi était impatiente d’être seule avec cet homme, son amant, son maître, son initiateur. Malgré son désir de retourner rapidement à l’hôtel, Éric fut sollicité de toute part. Parfois il s’amusait à monter les vibrations de l’œuf de Sophie quand il la voyait parler avec quelqu’un, la forçant à mettre fin à la conversation pour pouvoir souffler.
Quand ils furent enfin seuls Éric toisa Sophie.
— Laïka ! Déshabille-toi !
Elle n’eut pas besoin qu’il le lui répète. Sophie, Laïka, fit glisser sa robe à ses pieds, puis son string. Elle ne garda que ses bas et ses talons. Elle retira son œuf, qu’elle lécha sensuellement avant de le ranger. Sa petite poitrine était gonflée de désir et ses tétons décorés pointaient avec arrogance. Éric s’approcha et prit le sein droit dans sa bouche. Il savait comment faire, il commençait à bien connaître ses réactions. Tandis que sa bouche aspirait le sein, sa langue tournait autour du téton. Il posa sa main gauche entre les cuisses de sa soumise et entra deux doigts dans son sexe accueillant. Sophie gémit. Elle en pouvait plus. Éric le sentit, mais il ne voulait pas lui faire ce plaisir trop rapidement. Il s’assit sur le lit.
— À genoux ! Viens me sucer !
La petite rousse s’agenouilla entre les cuisses de son maître, elle sortit le sexe qui ne demandait qu’à être libéré et le prit dans sa bouche.
Éric appréciait la maladresse de Sophie. Son sexe remplissait sa petite bouche. Il la prit par les cheveux pour imposer son rythme et la profondeur de la pénétration. Il savait qu’elle n’était pas encore prête pour une gorge profonde même si elle faisait de son mieux, chaque chose en son temps.
Quand il estima qu’il était assez raide pour continuer, il la prit dans ses bras et la déposa à quatre pattes sur le lit.
— Cambre-toi ! Offre-moi ton petit cul, ma chienne ! Ouvre-le avec tes mains !
Sophie, la tête dans les oreillers, prit ses fesses entre ses mains et les écarta. Éric l’attrapa par les hanches et posa son gland contre cet anus offert. Il poussa doucement. Il aimait entendre les gémissements de ses soumises quand il pénétrait cet orifice. Sophie ne faisait pas exception. Il entrait doucement, mais profondément. Quand il fut totalement en elle, il s’immobilisa pour apprécier la sensation que lui apportait ce cul presque vierge Sophie soupira ce n’était que la deuxième fois qu’elle était sodomisée, mais elle ne détestait pas. Elle soupirait, elle tendit son cul. Ce geste fut le signal qu’Éric attendait. Aussitôt, il commença ses mouvements de va-et-vient dans cette croupe offerte. Il ponctuait ses pénétrations par des claques sur ces fesses pâles qui commençaient à rougir.
— Caresse-toi pendant que je t’encule…
Sophie glissa sa main droite entre ses cuisses et commença à caresser son clitoris, accompagnant Éric. Il ne lui fallut pas longtemps pour s’approcher du plaisir, Surtout après la stimulation par l’œuf au début de la soirée.
Éric sentait la tension monter et sans la prévenir, il la retourna et pénétra sa chatte d’un coup.
— J’espère que tu prends la pilule car je vais jouir en toi…
— Maître, allez-y… baiser moi jouissez en moi.
Éric accéléra, la baisant à fond.
— on va jouir ensemble…
Pour Sophie, sentir ce sexe dans son anus n’était pas une nouveauté, c’était la deuxième fois qu’Éric la possédait ainsi. Elle avait un peu mal, mais cette douleur était vite compensée par le plaisir qui allait arriver et le bien être qu’elle avait de se sentir possédée de cette manière. Quand Éric commença à remuer entre ses fesses, elle se cambra naturellement pour lui faciliter ces choses. Éric était aux anges. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas sodomisé une femme de cet âge, vierge du cul. Il prenait son temps, faisait durer le plaisir.
— C’est bon Maître… Continuez…
Éric ne répondait pas, il utilisait son assistante pour son plaisir à lui, pas pour le sien. Il voulait l’utiliser totalement, qu’elle sente qu’elle lui appartenait et qu’il pourrait en faire ce qu’il voulait. Il allait et venait dans ce fondement étroit. Il sentait le plaisir monter. Il ne voulait pas jouir dans son cul mais dans sa chatte.
— Hummm… fit Sophie quand il se retira. Il perçut la frustration de sa soumise quand il sortit de son cul.
Toujours en silence, il la retourna et avant qu’elle ne réagisse, il pénétra profondément sa chatte.
— J’espère que tu prends la pilule… Je vais jouir dans ta chatte de pute…
Il utilisait volontairement des mots vulgaires pour provoquer une réaction.
— Oui… Vas-y ! Ne vous inquiétez pas… Oui je suis votre pute !
Éric synchronisa ses mouvements en fonction des réactions de Sophie et rapidement, ils jouirent ensemble.
Sophie sentit son amant et maître se vider dans son ventre. “Bien sûr que je prends la pilule, j’ai déjà quatre enfants !” Elle aimait cette sensation de bien-être qu’elle ressentait quand son mari finissait ainsi dans son ventre, surtout le moment où il restait immobile en elle, sur elle. Elle l’appréciait encore plus avec Éric.
Quand il se retourna sur le lit. Elle fit ce qu’elle ne faisait jamais avec son mari. Elle se souvenait des mots d’Éric dans le train : “tu dois toujours nettoyer après.” Elle vint prendre le sexe ramolli de son amant pour le prendre en bouche et le nettoyer. Éric lui caressait les cheveux tendrement. “Cette fille est une perle,” pensait-il.
— Tu ne m’as pas répondu… Prends-tu la pilule ?
— Oui bien sûr…
— Tu as intérêt, car je finirai souvent dans ta chatte…
— Oui Maître…
— Vas prendre une douche et reviens… La nuit n’est pas finie…
Quand Sophie ressortit nue de la salle de bain, il lui fit signe de s’allonger sur le lit. Il se pencha sur elle et prit son sein dans sa bouche. Il joua avec son téton percé et d’une main il lui caressait l’entrejambe. Sophie écartait les cuisses naturellement. Elle s’offrait aux caresses. Elle se mordit les lèvres quand les doigts de son amant se firent plus précis.
Éric remplaça ses doigts par sa bouche sachant exactement que faire pour rendre folle de désir cette femme qu’il entendait gémir.
— Encore… Continue… Vas-y !…
Ces soupirs, ces gémissements, ces paroles, ces cris remplissaient la chambre. Sophie plaquait le visage de son maître contre sa fente. Il ne fallut pas longtemps à Éric pour retrouver sa vigueur et remettre son membre viril au fond de ce fourreau de chair si accueillant. Fixant la femme dans les yeux, il lui dit :
— Laïka, je vais faire de toi ma poupée, ma chienne, ma pute…
— Oh oui maître… Faites-le…
— Demande-le-moi ! Dis-moi ce que tu veux être…
— Je veux être votre poupée, votre chienne, votre pute…
— Très bien, dis-moi : qui es-tu ?
— Je suis Laïka, votre chienne soumise.
Avec un sourire vainqueur Éric pilonnait la chatte de Laïka qui s’abandonnait à son maître.
Au milieu de ses soupirs, elle demanda.
— Encule-moi… prends mon cul.
— Tu y prends goût ma salope…
— Oh oui… si j’avais su…
— Bien ! va te mettre à quatre pattes sur la table basse… petite pute !
Éric la regarda s’installer. Il admirait ce corps nu, mince, ces cheveux roux, cette petite poitrine qui pend un peu, ces fesses encore fermes.
Il vint se planter dans ce cul offert de si bonne grâce. Cette fois ci, il n’a pas fait de manière. Dès qu’il fut derrière elle, il pénétra d’un coup cet orifice, faisant gémir et crier sa soumise.
— Oh oui ! Je suis une chienne… une salope… une enculée…
Soudain Sophie entendit et sentit la main de son maître s’abattre sur sa fesse droite.
— Aïe !
L’autre main s’abattit sur la poitrine gauche.
— Ça, c’est pour : “encule-moi !” lui dit Éric.
Tout en restant dans son cul, il continuait de la fesser. Il voyait ses fesses rougir.
— Excusez-moi Maître… je ne recommencerai plus…
Sans un mot, il se retira. Sophie le vit sortir un objet de son sac et revenir derrière elle.
— Tu mérites une punition Laïka.
— Oui maître… répondit-elle inquiète, troublée.
Éric leva le bras et par dix fois, il abattit le martinet sur les fesses déjà bien marquées par la fessée. Les lanières s’enroulaient autour du corps de Sophie qui gémissait en promettant de ne plus recommencer.
Quand il eut fini de la corriger avec le martinet, pour son manque d’éducation. Éric la positionna debout, face à la fenêtre. Elle était bien droite, cambrée, car il avait mis contre son dos, une barre d’écartement et des menottes à ses poignets. Elle était totalement exposée aux regards éventuels de ce qui lèveraient la tête vers cette fenêtre.
— Tu devras supplier pour que je te libère… lui dit-il à l’oreille.
Éric allongé sur le lit la regardait de profil. En attendant qu’elle le supplie de faire cesser la punition, il prit le téléphone de son assistante et chercha des photos de son mari. Il en sélectionna deux qu’il transféra dans son propre téléphone et il envoya un message à Daniel : “tu connais ce mec ? En PJ les 2 photos.”
“Oui ! Bien sûr ! France-Irlande ! Un sacré numéro ! Il me semble que j’avais fait quelques vidéos de cette soirée… Je vais te retrouver tout ça !”
La réponse du réalisateur laissa Éric songeur. Il réfléchissait à cette information. Comment faire pour ne pas briser ce qu’il était en train de bâtir avec cette femme. Elle semblait avoir énormément de potentiel, mais elle était aussi si fragile. Elle ne ressemblait à aucune des soumises qu’il avait possédées jusqu’à présent.
Il fallut une bonne demi-heure pour que Sophie commence à se plaindre et gémir de la douleur imposée par sa position confortable.
— Maître, s’il vous plaît… libérez-moi… je n’en peux plus…
Comme c’était la première fois qu’il lui infligeait ce supplice, Éric se leva et la libéra. Sophie se massa les poignets, remua ses bras, ses épaules pour soulager les tensions qui s’y étaient accumulées. Elle obéit au geste de son amant qui lui fait signe de s’allonger sur le lit. Éric la vit se tourner sur le côté pour s’endormir en chien de fusil. Il se glissa contre elle. Sophie apprécia la chaleur de son maître contre son dos et sa respiration lente montra à Éric que sa soumise venait de s’endormir. Il ne tarda pas à la rejoindre dans les bras de Morphée.
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