jeudi 1 avril 2021

Le Congrès ou... : Une Nouvelle Vie Commence (La Confrérie d'Artémis)

 

Une vive lumière me réveille, Je plisse les yeux pour supporter la luminosité des spots qui sont au plafond. J’essaye de me rappeler tant bien que mal où je suis en comment je suis arrivée là.

Je passe ma main sur ma tête. C’est donc vrai, Léa m’a bien rasée le crâne. Je m’assieds sur ce qui me sert de lit, une planche recouverte d’un tapis de sol de camping. Je regarde autour de moi. La pièce ou je me trouve est recouverte de carrelage blanc, Elle n’a aucune ouverture sur l’extérieur. Il m’est donc impossible de savoir le temps qui s’écoule au dehors.

Je regarde alors mon pubis sentant l'air sur ma peau, pendant mon inconscience, j'ai été épilée, je suis toute lisse.

La porte est capitonnée et possède une trappe au sol, aucune poignée, Je suis donc enfermée et à la merci de mes geôliers, c’est presque plus effrayant que la porte ouverte de l’hôtel lors de ma première nuit.

À part la planche de bois, Je découvre une douche à l’italienne avec un pommeau de douche sur le mur mais aucun robinet. Le trou d’évacuation est grand et sans grille. Je comprendrais vite pourquoi.

Je suis assise sur la planche, la tête entre mes mains. Je suis privée de tout.

Soudain un écran apparaît dans le mur en face de moi. Je vois mon visage apparaître. Par je ne sais quel procédé, ils me font me parler.

— Bonjour “huit”. Voici ta nouvelle chambre jusqu'à nouvel ordre. Comme tu peux le voir, tu as droit au strict minimum. La douche se mettra en route de manière aléatoire afin de te permettre de te laver. Comme tu n’as pas de poils, Tu n’auras pas besoin de savon.

J’écoutais ma voix, complètement hypnotisée.

— Pour tes repas, Un plateau apparaîtra par la trappe, comme pour la douche ceux-ci te seront donnés de manière irrégulière.

Décidément, ces gens sont très forts pour rendre les gens fous. Sans repère temporel, Je vais vite perdre la notion de la réalité.

— Pour finir, Tu peux faire tes besoins par le trou de la douche, Un système d’aspiration éliminera tes déchets…

L'écran s'éteint et je retrouve le silence.

Je m’allonge sur le lit et commence à somnoler quand un bruit de moteur me fait sortir de mon état de veille.

Un plateau coulisse, il est composé de deux compartiment, Un avec de l’eau et l’autre avec une sorte de bouillie. Je vais être obligée de me mettre à quatre pattes et de mange comme un animal. Je n’ai pas faim et pour boire je me dis que je vais attendre que la douche s’allume. Je reste donc sur mon lit. Quelques temps plus tard le plateau disparaît.

Je le regarde partir et me retourne sur le lit. Soudain la porte s’ouvre et deux personnes masquées et vêtues d'une combinaison de cuir entrent, sûrement des hommes vus leur force.

Sans un mot, ils me prennent par les bras et me conduisent le long d’un couloir tout aussi neutre que ma chambre jusqu'à un ascenseur. Celui-ci descend, je pense donc alors que ma chambre est à l'étage d’un bâtiment assez haut vu le temps que nous passons dans la cabine.

Lorsque la porte s’ouvre à nouveau, Ils me traînent dans une pièce étrange. Elle ressemble à ce que j’ai pu voir des salles de traite des fermes, Mais des tuyaux sortent du plafond. Sans ménagement, Ils m’attachent dans un cadre à quatre pattes, ma tête est relevée en arrière face à une sangle. Mes genoux et mes chevilles sont solidement attachés par des sangles.

Ils me mettent un écarteur entre les dents et l’un d'eux approche l'extrémité souple d’une canule de ma bouche. Je la sens entrer dans ma gorge, Je gémis mais le tube est bien en place dans mon œsophage. L’autre personne attrape deux espèces de grosses ventouses qu’elle fixe à ma poitrine et j’entends du bruit derrière mes fesses.

Un écran s'allume devant mes yeux et je me vois de nouveau.

— Tu n’as pas voulu manger, Tu vas être punie. Tu vas être gavée avec une triple dose de nourriture, la machine posée sur ta poitrine n’est pas une trayeuse mais juste un système de pompe qui va aspirer tes seins et pour le reste tu vas le découvrir toute seule.

Je sens alors du liquide passer dans le tube et ma poitrine aspirée de manière très douloureuse.

Mais le pire est la machine qui est derrière moi. Une sangle de cuir s’abat sur mes fesses de manière aléatoire puis le mouvement est inverse et cela cingle par dessous pour frapper mon clitoris.

— Certaines aiment cela, dit mon avatar à l’écran avant de s'éteindre.

Je ne sais pas qu’elle est là douleur la plus intense entre mes seins et mon bas ventre.

Le flot de nourriture cesse et je suis détachée pour être remontée dans ma chambre.

Lors de l'apparition suivante du plateau, Je me lève et mange l’intégralité de ce qui m’est offert. Après quelques difficultés psychologiques j’arrive à faire mes besoins dans le trou de la douche. Le temps s’écoule sans que je n’en connaisse la durée, j’ignore si Barbara subit le même supplice que moi.

Je ne peux que constater l'augmentation de mes bourrelets, immobile et nourrit comme je le suis, il est évident que je grossis. Je n’ai pas revu mes deux cerbères mais l’écran s’allume de temps en temps pour me montrer des vidéos de l’hôtel où je fais l’amour, enfin pour être plus réaliste, où je suis baisée.

Après plusieurs séquences de sommeils, mes geôliers refont leur apparition. Cette fois ci, Je suis conduite dans une sorte de cabinet médical.

Je suis allongée et attachée nue sur une table similaire à celles que l’on trouve chez les gynécologues. Deux personnes en blouses blanches s’affairent autour de moi. Ils ne me parlent pas. Cette situation et ce silence est angoissant. Que vont-ils me faire ?

Soudain, je reconnais une voix derrière moi. C’est celle de Monsieur Moreau.

-je tenais à être là pour assister à ce qui va faire définitivement de toi une de mes soumises. Tu vas porter ma marque et être embellie comme j’aime. Je tenais absolument à être le dernier à te sauter avant cette opération après laquelle ta chatte sera inaccessible.

La façon dont je suis attachée ne me permet pas de le voir, mais je devine au son de sa voix qui se déplace qu’il est maintenant entre mes jambes maintenues écartées par des liens. Que vont-ils faire à mon sexe ? Je n’ai pas le temps de réfléchir plus que Monsieur Moreau reprend.

— Tu es bien ouverte numéro huit ça va être facile de te baiser.

Tout en me parlant il me lime en rythme après m’avoir pénétrée violemment.

— Tu te souviens quand tu t’appelais encore Bénédicte ?

Bien sûr que je m’en souviens mais cela me semble si loin maintenant.

— Je t’ai tout de suite repérée avec ton allure de femme frustrée qui ne demandait pas mieux qu’à répondre à mes avances. Tu as fini par me réclamer que je te baise. Tu te souviens que tu me suppliais de te baiser.

Je me mords les lèvres car son sexe qui me laboure, commence à me donner du plaisir. Aussi il a raison. J'ai voulu qu'il me baise, j'ai voulu être son jouet. Cet homme m'a fasciné et il me fascine encore, même là maintenant qu'il abuse de moi, et après tout ce que j'ai déjà subi et enduré, je reste je crois subjuguée par sa voix et son regard.

— Tu aimes jouir hein, numéro "huit". Profites en, car quand tu sortiras de cette pièce tu ne pourras te toucher, tu ne pourras plus jouer avec ta chatte. On t’a vu te faire jouir dans ta chambre, dis-toi bien que c’est fini, ce temps-là.

En prenant appui sur mes cuisses largement écartées, il pénètre encore plus profondément dans ma chatte et de plus en plus vite. Je l’entends finalement grogner puis il jouit au fond de mon ventre. Il se retire et je le vois alors apparaître devant mon visage et il me présente son sexe à nettoyer. Depuis le temps que je n’ai pas sucé, j’ouvre la bouche et je sors ma langue avec plaisir.

Il me caresse la tête. Il me dit qu’il m’aime bien et que je serais surement sa meilleure poupée de plaisir. J’apprécie ses caresses et le goût de sa semence mélangée à ma cyprine. Quand il estime que je l’ai assez nettoyé, il se retire et disparaît de mon champ de vision.

— Allez-y ! Faites ce que vous avez à faire.

Je vois alors apparaître ma chatte ouverte béante et dégoulinante du sperme de Monsieur Moreau sur un écran géant.

— Devons-nous nettoyer Monsieur Moreau ? dit une voix féminine.

— Non laissez-lui mon jus en elle, c’est la dernière fois avant longtemps que sa chatte va en goûter… Laissons-la apprécier.

— Bien ! dit-elle et soudain je sens une série de piqûre tout autour de mon pubis. Je vois des doigts tripoter mes lèvres et soudain je sens quelque chose me percer mais je ne ressens pas de douleur. Je vois avec horreur que l’on me pose des œillets comme si mes lèvres étaient un morceau de tissu. Je voudrais hurler mais on met un bâillon dans la bouche. Après mes lèvres, je sens que l’on s’occuper de mon clitoris, les mains s’écartent et je le vois percé d’une petite barre. Je sens du froid sur ma peau, je suppose qu’ils me passent un produit désinfectant avant de continuer.

Une main me passe des anneaux dans les œillets et une autre main vient les sceller. Je comprends alors les mots de Monsieur Moreau, ma chatte est complètement fermée. Ma surprise continue quand j’aperçois les mains couvrir mon clitoris avec une coque métallique fixée sur la barre. Monsieur Moreau se lève et vient tirer sur les anneaux de ma chatte, puis il joue avec la coque sur mon clitoris.

— Parfait ! dit-il à mes tourmenteurs. Puis il s’adresse à moi.

— J’aurais pu te faire retirer le clitoris et les lèvres mais je pense que je pourrais encore avoir envie de t’entendre jouir par ce trou un jour.

Il me caresse le visage tendrement et entre son pouce dans ma bouche pour que je le suce.

— Finissez ! dit-il. Je la reverrai plus tard quand elle se sera remise de cette opération.

Je reste seule avec les deux femmes en blouses blanches qui continuent à s'affairer autour de moi. À l'écran je peux voir l'une appliquer un gel sur mes seins et quelques minutes après je vois l'autre lui présenter un plateau sur lequel se trouvent deux anneaux. Toujours sans douleur, je sens que mes tétons sont percés et les anneaux sont fixés à chacun d’eux. Puis avec le même silence et avec la même froideur, elle me perce la langue et y place une perle.

On m’applique du gel sur le nez et à l’intérieur de mes narines et quelques minutes plus tard un gros anneau de cinq centimètres de diamètre au moins est fixé au niveau du septum, comme on peut le voir au nez des vaches.

Lorsqu'elles sortent je me dis que mon calvaire est fini mais en réalité ce n'était pas le cas

Sans pouvoir le voir, j'entends de nouveau la voix de monsieur Moreau. Je vois sur l’écran qu’il est accompagné d'un homme qui vient poser au sol un petit brasero. Il tourne autour de moi d'abord. Il a l’air satisfait du résultat. Il me flatte. Il me dit que comme cela mes seins sont beaucoup plus excitants et que lorsque j'aurai appris à jouer avec ma perle, les hommes seront beaucoup plus heureux lorsque je les sucerai.

— Bien, encore un petit effort numéro "huit" et tu seras parfaite. Une beauté comme toi va faire des envieux il faut donc que tout le monde sache à tout moment à qui tu appartiens. Toi-même tu ne l'oublieras jamais.

— C’est prêt monsieur dit l’homme.

Monsieur Moreau libère ma cuisse droite puis me tord sur la table de manière à dégager ma fesse droite. Il y applique un gel en me caressant. Il me fixe dans les yeux et me dit.

— Ne t’en fais pas tu n'auras pas mal, tu es insensibilisée… et estime toi heureuse. Tu devrais savoir que d’autres maîtres ne prennent pas le soin de rendre cette opération indolore. En plus, c’est moi même qui vais m’occuper de toi personnellement cette fois. Ça devrait te faire plaisir ! Tu veux me faire plaisir, tu veux rester ma protégée n'est-ce pas "huit" ? Je vais être tellement fier lorsque tu auras ma marque sur ta fesse.  Allez, allons-y maintenant. Reste bien dans cette position.

Je comprends ce qu’il va faire et là je dois dire que je suis au paroxysme de l’angoisse.

Je m’évanouie au moment où le fer se pose sur ma peau, non par la douleur mais par le choc psychologique. La vue du fer, la fumée, l’odeur de ma peau brûlée, la vue de mes chairs calcinées et boursouflées m’est insupportable.

Je ne sais combien de temps je suis restée sur cette table après l’épreuve du fer, ni combien de trous on a fait dans mon corps, mais lorsque mes geôliers me ramènent dans ma chambre je peux voir dans un miroir fixé au mur que je suis complètement déformée par les inflammations dues aux piercings, la brûlure et par les kilos que j’ai pris du fait de la nourriture trop riche que je suis obligée d’avaler plusieurs fois par veille. J’ai au moins pris dix kilos je pense ou peut être plus. Je ne me reconnais plus. Je découvre aussi le tatouage qu’ils m’ont fait pendant mon inconscience et en me tournant, je vois la marque faite par le fer sur ma fesse. 

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