Une vive lumière me
réveille, Je plisse les yeux pour supporter la luminosité des spots qui sont au
plafond. J’essaye de me rappeler tant bien que mal où je suis en comment je
suis arrivée là.
Je passe ma main sur
ma tête. C’est donc vrai, Léa m’a bien rasée le crâne. Je m’assieds sur ce qui
me sert de lit, une planche recouverte d’un tapis de sol de camping. Je regarde
autour de moi. La pièce ou je me trouve est recouverte de carrelage blanc, Elle
n’a aucune ouverture sur l’extérieur. Il m’est donc impossible de savoir le
temps qui s’écoule au dehors.
Je regarde alors mon
pubis sentant l'air sur ma peau, pendant mon inconscience, j'ai été épilée, je
suis toute lisse.
La porte est
capitonnée et possède une trappe au sol, aucune poignée, Je suis donc enfermée
et à la merci de mes geôliers, c’est presque plus effrayant que la porte
ouverte de l’hôtel lors de ma première nuit.
À part la planche de
bois, Je découvre une douche à l’italienne avec un pommeau de douche sur le mur
mais aucun robinet. Le trou d’évacuation est grand et sans grille. Je
comprendrais vite pourquoi.
Je suis assise sur la
planche, la tête entre mes mains. Je suis privée de tout.
Soudain un écran
apparaît dans le mur en face de moi. Je vois mon visage apparaître. Par je ne
sais quel procédé, ils me font me parler.
— Bonjour “huit”.
Voici ta nouvelle chambre jusqu'à nouvel ordre. Comme tu peux le voir, tu as
droit au strict minimum. La douche se mettra en route de manière aléatoire afin
de te permettre de te laver. Comme tu n’as pas de poils, Tu n’auras pas besoin
de savon.
J’écoutais ma voix,
complètement hypnotisée.
— Pour tes repas, Un
plateau apparaîtra par la trappe, comme pour la douche ceux-ci te seront donnés
de manière irrégulière.
Décidément, ces gens
sont très forts pour rendre les gens fous. Sans repère temporel, Je vais vite
perdre la notion de la réalité.
— Pour finir, Tu peux
faire tes besoins par le trou de la douche, Un système d’aspiration éliminera
tes déchets…
L'écran s'éteint et je
retrouve le silence.
Je m’allonge sur le
lit et commence à somnoler quand un bruit de moteur me fait sortir de mon état
de veille.
Un plateau coulisse, il
est composé de deux compartiment, Un avec de l’eau et l’autre avec une sorte de
bouillie. Je vais être obligée de me mettre à quatre pattes et de mange comme
un animal. Je n’ai pas faim et pour boire je me dis que je vais attendre que la
douche s’allume. Je reste donc sur mon lit. Quelques temps plus tard le plateau
disparaît.
Je le regarde partir
et me retourne sur le lit. Soudain la porte s’ouvre et deux personnes masquées
et vêtues d'une combinaison de cuir entrent, sûrement des hommes vus leur
force.
Sans un mot, ils me
prennent par les bras et me conduisent le long d’un couloir tout aussi neutre
que ma chambre jusqu'à un ascenseur. Celui-ci descend, je pense donc alors que
ma chambre est à l'étage d’un bâtiment assez haut vu le temps que nous passons
dans la cabine.
Lorsque la porte
s’ouvre à nouveau, Ils me traînent dans une pièce étrange. Elle ressemble à ce
que j’ai pu voir des salles de traite des fermes, Mais des tuyaux sortent du
plafond. Sans ménagement, Ils m’attachent dans un cadre à quatre pattes, ma
tête est relevée en arrière face à une sangle. Mes genoux et mes chevilles sont
solidement attachés par des sangles.
Ils me mettent un
écarteur entre les dents et l’un d'eux approche l'extrémité souple d’une canule
de ma bouche. Je la sens entrer dans ma gorge, Je gémis mais le tube est bien
en place dans mon œsophage. L’autre personne attrape deux espèces de grosses
ventouses qu’elle fixe à ma poitrine et j’entends du bruit derrière mes fesses.
Un écran s'allume
devant mes yeux et je me vois de nouveau.
— Tu n’as pas voulu
manger, Tu vas être punie. Tu vas être gavée avec une triple dose de
nourriture, la machine posée sur ta poitrine n’est pas une trayeuse mais juste
un système de pompe qui va aspirer tes seins et pour le reste tu vas le
découvrir toute seule.
Je sens alors du
liquide passer dans le tube et ma poitrine aspirée de manière très douloureuse.
Mais le pire est la
machine qui est derrière moi. Une sangle de cuir s’abat sur mes fesses de
manière aléatoire puis le mouvement est inverse et cela cingle par dessous pour
frapper mon clitoris.
— Certaines aiment
cela, dit mon avatar à l’écran avant de s'éteindre.
Je ne sais pas qu’elle
est là douleur la plus intense entre mes seins et mon bas ventre.
Le flot de nourriture
cesse et je suis détachée pour être remontée dans ma chambre.
Lors de l'apparition
suivante du plateau, Je me lève et mange l’intégralité de ce qui m’est offert.
Après quelques difficultés psychologiques j’arrive à faire mes besoins dans le
trou de la douche. Le temps s’écoule sans que je n’en connaisse la durée,
j’ignore si Barbara subit le même supplice que moi.
Je ne peux que
constater l'augmentation de mes bourrelets, immobile et nourrit comme je le
suis, il est évident que je grossis. Je n’ai pas revu mes deux cerbères mais
l’écran s’allume de temps en temps pour me montrer des vidéos de l’hôtel où je
fais l’amour, enfin pour être plus réaliste, où je suis baisée.
Après plusieurs
séquences de sommeils, mes geôliers refont leur apparition. Cette fois ci, Je
suis conduite dans une sorte de cabinet médical.
Je suis allongée et
attachée nue sur une table similaire à celles que l’on trouve chez les
gynécologues. Deux personnes en blouses blanches s’affairent autour de moi. Ils
ne me parlent pas. Cette situation et ce silence est angoissant. Que vont-ils
me faire ?
Soudain, je reconnais
une voix derrière moi. C’est celle de Monsieur Moreau.
-je tenais à être là
pour assister à ce qui va faire définitivement de toi une de mes soumises. Tu
vas porter ma marque et être embellie comme j’aime. Je tenais absolument à être
le dernier à te sauter avant cette opération après laquelle ta chatte sera
inaccessible.
La façon dont je suis
attachée ne me permet pas de le voir, mais je devine au son de sa voix qui se
déplace qu’il est maintenant entre mes jambes maintenues écartées par des
liens. Que vont-ils faire à mon sexe ? Je n’ai pas le temps de réfléchir plus
que Monsieur Moreau reprend.
— Tu es bien ouverte
numéro huit ça va être facile de te baiser.
Tout en me parlant il
me lime en rythme après m’avoir pénétrée violemment.
— Tu te souviens quand
tu t’appelais encore Bénédicte ?
Bien sûr que je m’en
souviens mais cela me semble si loin maintenant.
— Je t’ai tout de
suite repérée avec ton allure de femme frustrée qui ne demandait pas mieux qu’à
répondre à mes avances. Tu as fini par me réclamer que je te baise. Tu te
souviens que tu me suppliais de te baiser.
Je me mords les lèvres
car son sexe qui me laboure, commence à me donner du plaisir. Aussi il a
raison. J'ai voulu qu'il me baise, j'ai voulu être son jouet. Cet homme m'a fasciné
et il me fascine encore, même là maintenant qu'il abuse de moi, et après tout
ce que j'ai déjà subi et enduré, je reste je crois subjuguée par sa voix et son
regard.
— Tu aimes jouir hein,
numéro "huit". Profites en, car quand tu sortiras de cette pièce tu
ne pourras te toucher, tu ne pourras plus jouer avec ta chatte. On t’a vu te
faire jouir dans ta chambre, dis-toi bien que c’est fini, ce temps-là.
En prenant appui sur
mes cuisses largement écartées, il pénètre encore plus profondément dans ma chatte
et de plus en plus vite. Je l’entends finalement grogner puis il jouit au fond
de mon ventre. Il se retire et je le vois alors apparaître devant mon visage et
il me présente son sexe à nettoyer. Depuis le temps que je n’ai pas sucé,
j’ouvre la bouche et je sors ma langue avec plaisir.
Il me caresse la tête.
Il me dit qu’il m’aime bien et que je serais surement sa meilleure poupée de
plaisir. J’apprécie ses caresses et le goût de sa semence mélangée à ma
cyprine. Quand il estime que je l’ai assez nettoyé, il se retire et disparaît
de mon champ de vision.
— Allez-y ! Faites ce
que vous avez à faire.
Je vois alors
apparaître ma chatte ouverte béante et dégoulinante du sperme de Monsieur
Moreau sur un écran géant.
— Devons-nous nettoyer
Monsieur Moreau ? dit une voix féminine.
— Non laissez-lui mon
jus en elle, c’est la dernière fois avant longtemps que sa chatte va en goûter…
Laissons-la apprécier.
— Bien ! dit-elle et
soudain je sens une série de piqûre tout autour de mon pubis. Je vois des
doigts tripoter mes lèvres et soudain je sens quelque chose me percer mais je
ne ressens pas de douleur. Je vois avec horreur que l’on me pose des œillets
comme si mes lèvres étaient un morceau de tissu. Je voudrais hurler mais on met
un bâillon dans la bouche. Après mes lèvres, je sens que l’on s’occuper de mon
clitoris, les mains s’écartent et je le vois percé d’une petite barre. Je sens
du froid sur ma peau, je suppose qu’ils me passent un produit désinfectant
avant de continuer.
Une main me passe des
anneaux dans les œillets et une autre main vient les sceller. Je comprends
alors les mots de Monsieur Moreau, ma chatte est complètement fermée. Ma
surprise continue quand j’aperçois les mains couvrir mon clitoris avec une coque
métallique fixée sur la barre. Monsieur Moreau se lève et vient tirer sur les
anneaux de ma chatte, puis il joue avec la coque sur mon clitoris.
— Parfait ! dit-il à
mes tourmenteurs. Puis il s’adresse à moi.
— J’aurais pu te faire
retirer le clitoris et les lèvres mais je pense que je pourrais encore avoir
envie de t’entendre jouir par ce trou un jour.
Il me caresse le
visage tendrement et entre son pouce dans ma bouche pour que je le suce.
— Finissez ! dit-il.
Je la reverrai plus tard quand elle se sera remise de cette opération.
Je reste seule avec
les deux femmes en blouses blanches qui continuent à s'affairer autour de moi.
À l'écran je peux voir l'une appliquer un gel sur mes seins et quelques minutes
après je vois l'autre lui présenter un plateau sur lequel se trouvent deux
anneaux. Toujours sans douleur, je sens que mes tétons sont percés et les anneaux
sont fixés à chacun d’eux. Puis avec le même silence et avec la même froideur,
elle me perce la langue et y place une perle.
On m’applique du gel
sur le nez et à l’intérieur de mes narines et quelques minutes plus tard un
gros anneau de cinq centimètres de diamètre au moins est fixé au niveau du
septum, comme on peut le voir au nez des vaches.
Lorsqu'elles sortent
je me dis que mon calvaire est fini mais en réalité ce n'était pas le cas
Sans pouvoir le voir, j'entends
de nouveau la voix de monsieur Moreau. Je vois sur l’écran qu’il est accompagné
d'un homme qui vient poser au sol un petit brasero. Il tourne autour de moi d'abord.
Il a l’air satisfait du résultat. Il me flatte. Il me dit que comme cela mes
seins sont beaucoup plus excitants et que lorsque j'aurai appris à jouer avec
ma perle, les hommes seront beaucoup plus heureux lorsque je les sucerai.
— Bien, encore un
petit effort numéro "huit" et tu seras parfaite. Une beauté comme toi
va faire des envieux il faut donc que tout le monde sache à tout moment à qui
tu appartiens. Toi-même tu ne l'oublieras jamais.
— C’est prêt monsieur
dit l’homme.
Monsieur Moreau libère
ma cuisse droite puis me tord sur la table de manière à dégager ma fesse droite.
Il y applique un gel en me caressant. Il me fixe dans les yeux et me dit.
— Ne t’en fais pas tu
n'auras pas mal, tu es insensibilisée… et estime toi heureuse. Tu devrais
savoir que d’autres maîtres ne prennent pas le soin de rendre cette opération
indolore. En plus, c’est moi même qui vais m’occuper de toi personnellement
cette fois. Ça devrait te faire plaisir ! Tu veux me faire plaisir, tu veux
rester ma protégée n'est-ce pas "huit" ? Je vais être tellement fier
lorsque tu auras ma marque sur ta fesse.
Allez, allons-y maintenant. Reste bien dans cette position.
Je comprends ce qu’il
va faire et là je dois dire que je suis au paroxysme de l’angoisse.
Je m’évanouie au
moment où le fer se pose sur ma peau, non par la douleur mais par le choc
psychologique. La vue du fer, la fumée, l’odeur de ma peau brûlée, la vue de
mes chairs calcinées et boursouflées m’est insupportable.
Je ne sais combien de
temps je suis restée sur cette table après l’épreuve du fer, ni combien de trous
on a fait dans mon corps, mais lorsque mes geôliers me ramènent dans ma chambre
je peux voir dans un miroir fixé au mur que je suis complètement déformée par
les inflammations dues aux piercings, la brûlure et par les kilos que j’ai pris
du fait de la nourriture trop riche que je suis obligée d’avaler plusieurs fois
par veille. J’ai au moins pris dix kilos je pense ou peut être plus. Je ne me
reconnais plus. Je découvre aussi le tatouage qu’ils m’ont fait pendant mon
inconscience et en me tournant, je vois la marque faite par le fer sur ma
fesse.
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