Mes aventures
ont commencé de manière banale. Une simple rencontre entre deux voyageurs dans
les transports en commun pour se rendre au travail. Je suis une petite bonne
femme brune aux cheveux longs que je ramène souvent en chignon simple sur ma
tête pour ne pas avoir trop chaud. J'ai de belles formes sur lesquelles les
hommes se retournent au grand désespoir de mon mari. Je sais aussi que mes
fesses sont souvent l'objet de commentaires plus ou moins discrets, d'autant
que je suis une adepte des pantalons plutôt que des robes.
Plongée dans
ma lecture, je n'ai tout d'abord pas remarqué cet homme qui me regardait du
coin de l'œil depuis l'autre bout du wagon. En particulier, quand je me suis
levé à ma station et que ses yeux ont suivi les ondulations de mes fesses vers
la sortie. Même s'il se rapprochait insensiblement de moi au fil des jours, je
n'y prêtais pas attention, d'autant plus qu'il était souvent dans mon dos.
C'est ainsi
qu'en me suivant discrètement il a ainsi pu repérer mon lieu et mes horaires de
travail, mon domicile, mes petites habitudes ainsi que celles de ma famille.
Mais tout ça je ne le comprendrai que plus tard… trop tard… bien trop tard.
***
Ce matin-là,
alors que je sors du train, il me frôle et s'excuse poliment, c'est à cet
instant, que je le découvre. Je remarque son sourire, ses lunettes. Il me
domine d'une bonne tête, ce qui en soit, n'est pas très difficile au vu de ma
propre taille. Ce premier contact, bien que bref ne m'a pas déplu, j'en avais
même frissonner, comme pendant une caresse. A mon tour, je m'excuse en riant et
nous partons chacun de notre côté.
Les jours
suivants, je le vois non loin de moi, assis ou debout. Je suis un peu déçue, il
ne semble pas faire particulièrement attention à moi.
Le deuxième
contact a lieu, encore une fois un matin, à la descente du train. Cette fois-ci,
à la suite d'un freinage un peu plus brutal que d'ordinaire, il me percute.
— Décidément,
je suis bien maladroit, me dit-il, sur un ton mêlé d'agacement et d'amusement.
— Ce n'est
rien. Ça m'arrive aussi !
Il est
silencieux, faussement gêné de sa maladresse. il me sourit gentiment et me
glisse :
— Bonne
journée !
Je le regarde
s'éloigner, après l'avoir remercié et je lui souhaite la même chose.
A partir de
ce jour, même si nous ne nous parlons pas, nous avons pris l'habitude de nous
saluer et d'échanger un bonjour lorsque nous nous rencontrons sur la ligne.
***
Quelque temps
plus tard, le train est bondé. Nous sommes serrés les uns contre les autres. En
montant, je n'ai pas vu mon maladroit. Il me manque, je l'avoue. Peut-être
a-t-il pris le train précédent ? me dis-je.
Je sens
soudain une main se poser sur mes fesses. Je sursaute et me retourne afin de
blâmer l'importun. Il est là, il me sourit. C'est lui qui vient de me caresser
la fesse et cette fois, ce n'est clairement pas une maladresse. Je lui dis
simplement en souriant :
— Décidément…
Je crois que
c’est là que tout a basculé. En fait, je viens de lui signifier mon accord pour
qu’il dispose de moi selon son plaisir. Je crois qu'en acceptant, d'un simple
sourire, sa caresse, je lui montre que ne déteste pas ce qu'il vient de faire.
Son regard ne
laisse pourtant aucun doute sur son envie. Il sourit toujours. Il met son doigt
sur sa bouche. Il m’intime l'ordre de garder le silence. Je ne peux pas le contrarier. Je ne le veux
pas en fait. Cette relation m’amuse presque.
Finalement,
cet homme me plait et je n’ai pas le sentiment d'avoir fait quelque chose de
mal en étant restée passive sous sa caresse. Je sors de la rame tandis qu'il me
suit du regard.
***
Je suis
troublée et indécise. Cela fait bien longtemps que je n'ai pas eu cette
impression. Cet homme ne me laisse pas de marbre ! il m'effraie et m'attire en
même temps. Les jours suivants, il reste à distance et j’en suis contrariée. Je
ne comprends pas. Il ne semble plus oser s'approcher de moi. Mon attitude
l'a-t-elle effrayée ? J'espère capter
son attention en le regardant discrètement, attendant un sourire de sa part. Il
me l'offre enfin lorsque nos yeux se croisent juste quand je quitte la rame.
Enfin, ce que
j'attends depuis qu'il m'a mis la main sur les fesses se produit. Aujourd'hui,
je le sens dans mon dos, bien avant mon arrêt. Sa main ferme trouve mes fesses
et il sait ce qu'il fait. Il les pétrit pour en apprécier la fermeté, je me
laisse faire. Je souris. Je suis sûre qu'il peut le voir dans mon reflet dans
la glace.
— Bonne
journée ! me dit-il quand je descends.
Je le
remercie et je passe la journée étrangement bien, sur un nuage. Je suis mariée
mais j'aime le fait de me sentir encore désirée par un autre. Cela me fait
tellement sentir femme, en plénitude !
***
Avec les
beaux jours, je porte à nouveau des jupes et je vois à ses regards que cela lui
plait. Il me fait alors une autre surprise. Il vient se coller dans mon dos et,
entre mes fesses, je sens quelque chose qui ne fait aucun doute : Il bande. Il
me remercie de ne rien dire mais je suis moi aussi excitée. Je pense qu'il l’a
compris. Mon silence vaut pour l'acceptation de ses gestes et le plaisir
partagé.
***
Ce soir, les
choses changent complètement.
Ce matin, au
lieu de prendre le bus pour me rendre à la gare, j'ai pris ma voiture. Pour
rentrer chez moi, je traverse le parking. Je ne me suis pas rendu compte de sa
présence derrière moi. Je ne le voyais jamais le soir. Mais, pendant que je
fouille au fond de mon sac, pour y prendre mes clés, je sens sa main.
Sa main
droite vient saisir mon postérieur avec force et il me plaque un peu
abruptement contre ma voiture. Sa main gauche coupe la sortie de l'éventuel cri
de surprise que je pourrais pousser. Il me retourne pour que je puisse le
reconnaître, il sourit toujours, mais sans l'habituelle innocence qu'il avait
dans les transports en commun. Il retrousse ma robe à ma taille et il commence
à caresser mes hanches.
— Une belle
croupe de jument ! Elle doit en faire des heureux.
Honteuse, je
n'ose pas lui dire que personne, pas même mon mari, n'en profite. Je me tais
alors qu'il continue l'exploration de mon corps. Avec un plaisir non dissimulé,
ses mains vont et viennent sur ma peau. Parfois, ses doigts glissent sur ma
culotte dessinant la raie de mes fesses par-dessus ma culotte. Il jette, tout
de même, de temps en temps, un coup d'œil rapide autour de nous pour vérifier
que nous sommes seuls et qu'il peut prendre son temps. Maintenant, sûr de notre
solitude, ses gestes sont nettement plus fermes.
Il roule ma
culotte sur mes cuisses découvrant mes fesses et ses mains goûtent à l'humidité
qui perle entre elles. Je me mords la lèvre.
— Il faudra
penser à enlever tous ces poils et décorer ce gros cul.
Je me demande
s'il me parle où s'il se parle à lui-même. Je ne dis toujours rien.
Puis, sa main
gauche remonte sur mon torse et s'attarde sur ma poitrine qu'il ne connaît pas
aussi bien que mes fesses. Il la palpe, la soupèse, pour en apprécier le poids
et la fermeté comme il l'a fait avec ma croupe dans le train.
Je me sens
comme une génisse à la foire. Il presse sur mon sein.
— Des
mamelles de vaches, sûrement pleines de lait !
C'est vrai,
j'ai allaité ma fille mais il y a dix-sept ans. Maintenant, il y a peu de
chance qu'elles aient du lait. Je réalise que je viens de penser à mes seins
comme à des mamelles comme il vient de le dire. Il faut que je me ressaisisse.
Et, ces comparaisons animalières, a quoi va t il me comparer ensuite, une
chienne, une truie, une lionne ? Mais, la pression de sa main sur ma poitrine
se fait plus intense. Je grimace de douleur et ouvre la bouche, surprise. Il en
profite pour glisser son pouce. Je referme mes lèvres dessus et je sens
l'extrémité du doigt rouler sur ma langue. Il se met à avancer et à reculer son
pouce, lentement, comme quand un enfant tète son pouce. Il me regarde alors,
droit dans les yeux. Je suis désorientée.
Son pouce
quitte ma bouche, en faisant sortir un filet de bave qui me coule sur le menton
et le décolleté. Il raffermit sa prise autour de ma gorge, il s'approche de mon
oreille et me glisse ces quelques mots :
— Tu en as
envie hein ?
— Oui... euh
non ! Je ne sais plus !
— Voyons ce
que ta langue en pense, je suis sûr que je ne serais pas déçu…
Il me glisse
alors deux doigts dans la bouche, me faisant baver encore plus. Ses doigts
remuent à l'intérieur. Je commence à les téter, les sucer.
— C'est que
tu as une bouche sacrément profonde, tu as l'habitude de faire ça on dirait !
Il ressort
légèrement ses doigts pour me laisser la possibilité de répondre.
— Que
voulez-vous dire ? Je ne comprends pas...
— Je
m'attendais à un "oui" timide, mais ça m'est égal, je te sais
suffisamment bonne avec ta langue.
Puis, il
m'agenouille de force.
—
Déboutonne-moi ! Mais n'oublie pas de me regarder dans les yeux, je te le dirai
quand tu pourras les baisser sur ce que tu auras devant toi.
— Oui
Monsieur ! dis-je timidement.
Je continue
de fixer son visage, son sourire pervers. Je dégrafe le pantalon et je sens son
sexe raide sous mes doigts.
Mes mains
rabattent le haut de son boxer pour libérer le morceau de chair bien dur,
courbé vers l'avant, assez long, d'une large épaisseur, sur toute sa longueur.
Son gland large et bien rond sécrète déjà un léger filet.
— Tu peux
regarder maintenant.
Je baisse les
yeux et je découvre ce pieu, devant mon visage
— Il ne
s’agit plus de sucer des doigts, montre-moi que tu sais aussi y faire avec
quelque chose de plus volumineux... me dit-il menaçant.
— ...Et mets
du cœur à l'ouvrage."
Des larmes
aux yeux, je prends le gland entre mes lèvres et commence à téter. Je
m'enhardis, je l'aspire plus profondément et joue avec lui avec ma langue. Il
me caresse les cheveux en me disant qu'avec une perle sûr la langue cela sera
beaucoup plus excitant. J'ai honte de ce que je fais sur ce parking, mais cela
m'excite.
Sa main
commence, lentement, à m'indiquer le rythme à suivre, tandis que ma langue
roule sur son sexe. Il ferme les yeux, je peux presque entendre ce qu'il pense
: "je passe un moment de consécration total, ma persévérance obstinée et
extrêmement déplacée a porté ses fruits, j'ai pleinement conscience de la
valeur morale de mon geste et y prend un malin plaisir, je me sens avoir tout
pouvoir sur toi et j'escompte bien l’exercer pleinement".
Il m'appuie
derrière la tête pour que le gland s'enfonce le plus profondément possible. Je
hoquette et bave à n’en plus finir.
Ces hoquets
le sortent de sa réflexion et il pose à nouveau les yeux sur moi, il extirpe
son membre luisant de ma bouche et commence à le frotter sur mon front et mes
joues. il abîme quelque peu le maquillage légèrement plus appuyé que je me suis
mise à porter depuis que sa main s'était habituée à rendre visite à mes fesses.
— J'espère
que la semence sur les cheveux ne te dérange pas, je te trouve mieux comme ça.
Sa queue
projette plusieurs séries de jets avec force, je sursaute de surprise les deux
premières fois, puis je ferme les yeux. Après un discret râle de plaisir, il
ajoute :
— Donne-moi
ton téléphone !
Sans
réfléchir, je le sors de mon sac à main et le lui donne.
— Fais-moi un
beau sourire, me demande-t-il.
Je m'exécute
un peu maladroitement en affichant un sourire gêné, il s'en contente et il
prend le cliché. Il compose alors son numéro de téléphone et joint la photo par
message. Puis il efface ensuite l'historique.
— J'ai ton
numéro à présent !
— Je vous
l'aurais donné, dis-je tremblante.
— Je le sais
mais c'est mieux comme ça !
Telle que je
suis accroupie devant lui, les cuisses écartées, la jupe troussée, il peut
ainsi bien voir ma fente moulée par ma culotte.
Il hausse les
épaules, en simple guise de réponse. Il me redresse et il me plaque de nouveau
contre ma voiture. Sa langue pénètre ma bouche sans ménagement tandis qu'il
malaxe mon sein gauche une dernière fois avant de saisir ma main.
— Reste comme
ça jusqu'à être arrivée chez toi…
Il porte ma
main sous mes yeux, essuyant une partie de son sperme avec mon doigt.
— Et fais en
sorte que ton mari ne se doute de rien.
— Oui !
dis-je choquée, les jambes flageolantes…
***
Je monte dans
ma voiture et je conduis dans un état second jusqu'à la maison. Je sais que je
vais arriver la première. Je file dans la salle de bain pour me doucher afin de
nettoyer mes cheveux souillés de sperme. Je fais durer ce bain pour me
détendre. Je me rappelle ses mots quand il a baissé ma culotte "il faut
enlever ces poils !". Sans vraiment réfléchir, je prends le nécessaire que
j'utilise pour l'entretien du maillot, mais cette fois-ci, je retire tout. Je
caresse mon mont de Vénus Quelle sensation étrange et agréable de retrouver
cette partie de mon corps lisse comme au premier jour ! J'ai l'impression de ne
plus être une femme, tout au moins une épouse, une mère de famille.
Sortant de la
salle de bain, je me couvre juste de mon peignoir et je vais m'étendre sur le lit
pour attendre le retour de mon mari et de ma fille.
***
Je me sens
bizarre avec cette impression d'avoir trompé mon mari sans réellement l'avoir
fait. Sucer est- ce tromper ? Et, ce n'est pas de ma faute, il m'a forcé. Je
suis d'accord, je me suis laissée faire. Je suis partagée entre un mélange de
honte et d'excitation, de peurs aussi.
Je me demande
finalement de quoi cet homme est capable. Il a une photo de moi le visage et
les cheveux maculés de sperme. Il peut
chercher à me faire chanter, me menacer de révéler tout à mon mari. Il peut
aussi m'en demander plus si je le revois. La soudaineté de son assaut et sa
façon singulière de se comporter avec moi me font craindre sa nature perverse.
Pourtant, il en avait mis du temps avant de passer “à l’acte”. J’étais un peu
perdue.
Mais ce
frisson dû au danger, quel plaisir intense me fait-il ressentir !
J’ai peur
aussi de moi. De quoi suis-je capable ? Je ne lui ai opposé aucune résistance.
J’ai été passive et soumise à sa brutalité et sa domination. Il me semble même
que le viol de ma bouche m’a excitée. Je ne me reconnais pas là. Cela m'affole,
je suis sidérée d’y penser autant que j’ai été sidérée de le faire.
Que se
passera-t-il s'il m'appelle ?
Tout à ces
pensées, je sens mes lèvres humides, mon clitoris gonflé. Ma chatte réclame.
Sans réfléchir, je me caresse. Rapidement, je gémis, je suis seule dans la
maison, personne ne peut m'entendre me donner du plaisir
***
Quand mon
mari rentre, je suis redevenue la sage et la fidèle épouse qu'il connaît. J'ai
enfilé ce pyjama de satin qu'il m'avait offert pour une Saint Valentin
par-dessus une culotte de coton.
Je mens par
omission à mon mari en lui disant que j'ai passé une journée banale, qu'au
bureau, à part les monologues de Nadia qui me raconte ses derniers déboires
amoureux et les commérages de Martine à l'accueil, il n'y a rien de neuf sous
le soleil.
Comme à son
habitude, il finit son café, me fait un bisou sur la joue et va s'installer
devant son ordinateur pour jouer jusqu'à l'heure du repas. Il n'a même pas
remarqué mes tétons qui pointent sous le satin de mon pyjama. Seule ma fille,
en rentrant du lycée, me complimente en me disant que je suis radieuse.
Une fois au
lit, comme d'habitude, il se couche après moi, il se retourne et s'endort. Je
ne cherche pas à m'approcher de lui, pourquoi faire ? Depuis quand n'avons-nous
plus fait l'amour ? Malgré le sentiment de culpabilité qui me ronge, je me dis
qu'il est autant responsable que moi de ce qui s'est passé sur le parking de la
gare.
***
Dans la salle
de bain, je regarde mon téléphone. Mon nouvel “ami” ne m'a envoyé aucun
message. J'en suis presque frustrée, il a une photo de moi dans une situation
compromettante et il ne cherche pas à en profiter. D'ailleurs qu'a-t-il bien pu
faire avec cette photo ? S'est-il branlé dessus en repensant à moi ? Cette
pensée m'excite et je serre les cuisses.
Ma fille me rappelle
qu'elle a besoin de la place, elle ne veut pas rater son bus. Moi, non plus je
ne veux pas qu’elle le rate, sinon je vais devoir l'emmener au lycée et je ne
verrai pas mon inconnu. Je réalise que j'ai envie de sentir ses mains sur mon
corps et même retrouver le goût de son sexe dans ma bouche. Je me secoue.
Allons, ma fille, soit raisonnable ! Je donne la dernière touche à mon
maquillage et cède la salle de bain à Justine.
— Ouah !
Maman ! Tu es superbe ! On dirait que tu vas à un rendez-vous amoureux !
Si elle
savait ! Je lui souris sans répondre avant de prendre mon sac à main.
***
Je monte dans
le train et je le cherche, il n'est pas là ! Je me sens abandonnée comme une
petite fille perdue. A chaque gare, je regarde s'il ne monte pas. C'est idiot car
il monte toujours avant moi, pourquoi monterait-il maintenant ? Mais il a
tellement l'habitude de me surprendre que jusqu'au bout, j'espère le voir
apparaître.
Martine se
rend compte que mon visage n'est pas aussi souriant que les autres jours. Je
n'ose pas imaginer quelle histoire elle va inventer sur mon dos. Un autre jour,
cela m'aurait fait sourire mais ce matin je me renfrogne encore plus.
Nadia me
saoule avec son dernier mec. Il l'a quitté car elle a refusé qu'il la sodomise.
— Non mais
pour qui me prend-il ce con ? Pour une pute !
Honnêtement,
je la comprends. Je ne l'accepterais pas non plus.
— Si la
nature nous a doté d'un vagin c'est pour l'utiliser ! A chaque orifice sa
fonction ! lui dis-je.
— Tu as
raison ! Le cul c'est fait pour chier pas pour baiser !
Je réalise en
souriant que ni elle ni moi n'avons fait mention de la bouche. Je ne peux pas
m'empêcher de sourire en l'imaginant à genoux avec une bite dans la bouche.
— Pourquoi tu
rigoles ?
— Oh, pour
rien ! Juste une idée qui m'est passée par la tête.
— Laquelle ?
— C'est trop
dégoûtant, lui dis-je.
Elle rigole
et replonge son nez sur son ordinateur.
Pendant le
trajet du retour, il ne se manifeste pas non plus. Pourtant, arrivée chez moi,
je ne résiste pas à l'envie de me caresser, paradoxalement, sa présence dans
son absence m'obsède. Je revis la scène du parking.
Les jours qui
suivent se ressemblent. Il brille par son absence. Je commence à me dire que ce
soir-là sur le parking, il était parvenu à ses fins. Qu'il avait juste eu envie
de m'humilier et qu'il en a fini avec moi, il a fini de jouer.
Mais non ! me
dis-je. Cela ne peut finir comme cela. Toute cette énergie qu'il a mise pour se
rapprocher de moi, pour attirer mon attention, pour gagner mon attention ! Il
ne peut pas avoir fait tout cela pour si peu !
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