La vibration
de mon téléphone m’annonce l’arrivée d’un message. Je me tourne dans mon lit.
J’y suis seule, mon mari est parti hier pour un déplacement de quelques jours.
A moitié endormie, je regarde l’écran. Un message d’un numéro inconnu !
Serait-ce mon mystérieux inconnu ? Je n’ose y croire, je me suis faite à l’idée
que je ne le reverrai plus.
Je me
redresse dans mon lit. La bretelle de ma nuisette ne suit pas mon mouvement et
dévoile un de mes seins, mais peu importe et je suis seule. Je lis ce message
bref, mais percutant.
“Je t’ai
manqué ! Ma grosse suceuse !”
Sans prendre
le temps de réfléchir, je réponds “Oui”. Un frisson me traverse et mes tétons
se dressent, je ne me sens même pas choquée par le terme "suceuse"
qu'il utilise pour me qualifier. Au moins, il ne m'a pas appelée jument ou
vache.
"Je le
sais. J'ai vu que tu te maquilles toujours mais entretiens tu toujours ta
chatte ?"
Son message
est accompagné d'une photo de moi dans le train, prise il y a deux jours, je
reconnais ma tenue. Comment se fait-il que je ne l'ai pas vu ? Et surtout,
comment sait-il que je m'épile la chatte ? Mais, ce n'est pas grave, il est de
retour, mon corps réagit à cette information. Mon ventre papillonne. Je me
caresserais bien mais il est temps que je me lève.
Ma fille me
regarde, surprise de me voir sortir de la chambre dans cette tenue. Je la vois
fixer ma poitrine et mes cuisses. Ma nuisette courte et légère ne cache rien de
ma totale nudité. En effet, la nuisette que j’avais choisie est d’un tissu très
fin qui laisse entrevoir, par transparence, l’ensemble de mes formes… ainsi mes
tétons dressés et les fesses sont mis en valeur et montrent de manière
explicite mon excitation du moment !
Le regard de
ma fille s'attarde sur mon bas ventre. Je réalise trop tard que le tissu
quasiment transparent lui montre aussi que je suis épilée.
— Tu m'avais
dit qu'il n'y a que les putes et les actrices pornos qui s'épilent la chatte !
Je rougis, je
ne sais que répondre, si elle savait que j'ai sucé un inconnu sur un parking !
Je détourne la conversation en lui rappelant l'heure.
"Fais
toi une queue de cheval !"
Je regarde ce
message, gênée. Une queue de cheval à mon âge, je vais avoir l'air de quoi ?
Comme s'il avait conscience de mon hésitation, mon inconnu m'envoie un nouveau
message.
"Préfères-tu
les couettes ?"
Là, je
panique. La queue de cheval, c'est possible ! Mais, les couettes, il n'en est
pas question. J'attrape un chouchou de ma fille et remplace mon chignon
habituel par cette coiffure.
***
Je ne sais
pas s’il me frustre volontairement, mais encore une fois, je ne l’ai pas vu
dans le train. J’ai pourtant été attentive aux autres passagers, surtout ceux
qui ont la silhouette de mon inconnu. La photo qu’il m’a envoyée au réveil
indique qu’il me voit sans que je ne m’en aperçoive. J’arrive au bureau la mine
triste, ce qu’encore une fois Martine ne manque pas de remarquer et de plus
j’ai droit à un commentaire sur ma queue de cheval. Je m’y attendais… Donc
j’étais prête à l’entendre.
“dans cinq
minutes dans les toilettes des hommes près de l'ascenseur !”
Je me dis que
ce n’est pas possible, il ne peut pas être dans l’immeuble, il faut un badge
pour entrer dans cet immeuble. Je réalise aussi qu’il sait où je travaille et
même à quel étage je suis ! Saurait-il aussi où je vis ? Non, là c’est
impossible, il n’a jamais été dans le bus et quand il m’avait accompagné à ma voiture,
il était reparti à pied vers la gare.
“Il te reste
deux minutes, suceuse”
Je frissonne
et je me lève pour aller vers les ascenseurs. Je passe devant Martine qui à la
tête plongée dans un magazine. Personne sur le palier, je peux donc entrer sans
être vue dans les toilettes des hommes. Il est là ! Je comprends comment il a
pu entrer ! Il porte un bleu de travail d’un agent de maintenance. Ces gens
entrent partout sans badge. Il accroche une pancarte à l’extérieur de la porte
et la ferme.
— Nous ne
serons pas dérangés, suceuse !
— Oui
Monsieur !
— Commence
par retirer cette culotte que tu portes !
Je me dépêche
d'obéir et je lui donne ma culotte. Il la met dans une de ses poches avant de
me demander de m’appuyer sur le lavabo, face au miroir. Il me tire sur ma queue
de cheval, je grimace. Il approche son visage du mien, je sens son souffle. Il
me murmure vicieusement :
— Alors que
préfères-tu devenir, une pute ou une star du porno ? N’est-ce pas ce que tu
penses des femmes qui s’épilent la chatte ?
— Si Monsieur
c’est ce que je pensais jusqu’à maintenant, mais j’ai changé d’avis !
— D’accord !
mais tu n’as pas répondu à ma question. Pute ou pornostar ?
— Je ne sais
pas…
Je suis en
panique, que veut-il dire par là. Je ne suis et je ne serai ni l’une ni
l’autre. Il me demande alors de retrousser ma jupe quand elle arrive au ras de
mes fesses, il arrête mon geste et je le vois prendre une photo.
— C’est ainsi
que devront être tes jupes maintenant ! Je t’envoie la photo pour que tu t’en
souviennes.
— Oui
Monsieur, dis-je en tremblant.
— Et pas
besoin de faire d'achats, un simple coup de ciseau suffira !
— Oui si vous
le dites.
— Allez !
continue ! Montre-moi ton cul de jument et ta chatte de pute.
Humiliée,
j’obéis. Je tourne sur moi-même lentement pendant qu’il me photographie. Il est
satisfait de mon épilation et me le dit. Quand je suis face à lui, il tient un
cutter à la main. Je le regarde effrayée quand il ‘approche de ma poitrine. Il
coupe le bouton du haut de mon chemisier tendu par ma poitrine. On va voir mon
soutien-gorge ! Quand je le vois descendre la lame sur le bouton suivant, je
blêmis. Il s’amuse de ma frayeur. Encore une fois j’ai l’impression de
l’entendre penser : "je suis aux portes du paradis, ma patience est
récompensée. Ce que je fais est immoral et déplacé mais tu vas être totalement
à moi. Pour mon unique plaisir et ta plus grande honte".
Je souffle
quand il ouvre le bouton avec ses doigts sans le couper. Il ouvre les pans du
chemisier.
— Voyons ces
mamelles de vaches maintenant !
Je baisse la
tête, confuse. Il recommence avec les comparaisons animalières. Je n’ai pas le
temps de réagir quand d’un geste précis et rapide il coupe mon soutien-gorge
entre mes deux seins. Il les sort des bonnets qui ne servent plus à rien et
commence à me pétrir les seins. Cela ne sert à rien me dis-je tu n’en tireras
pas de lait. Mes tétons pointent.
— Tu
comprends pourquoi je te voulais avec une queue de cheval ! me dit-il en tirant
dessus pour me forcer à m'agenouiller.
— Allez
maintenant, tu sais quoi faire !
Oui, je le
sais, je le déboutonne et sors son sexe, toujours aussi impressionnant. Je lève
la tête et à son sourire je comprends qu’il est satisfait quand je le prends
dans ma bouche. Il imprime le rythme qu’il souhaite en me guidant avec ma queue
de cheval. Ma bave coule sur mon menton et sur ma poitrine. Je l’entends gémir.
Il sort de ma bouche. Je crains qu’il se libère dans mes cheveux, je ne
pourrais pas me les laver et je ne me vois pas finir la journée au travail et
prendre le train avec les cheveux souillés de sperme. Mais est-ce mieux de
recevoir tout ce liquide visqueux sur ma poitrine ?
Il se recule,
je le vois essuyer sa queue dans ma culotte et refermer sa combinaison.
— A bientôt !
me dit-il en sortant des toilettes.
Je me
précipite dans une cabine pour tenter de remettre en ordre ma tenue. Je trouve
au fond de mon sac à main une épingle à nourrice, que faisait-elle là
d'ailleurs ? Elle me permet de réparer tant bien que mal mon soutien-gorge. Je
referme les boutons intacts de mon chemisier, laissant apparaître le clivage de
ma poitrine et descendant ma jupe, je regagne mon bureau. Heureusement,
personne ne me voit sortir des toilettes des hommes.
Quand je
passe devant Martine, elle m’interpelle et d’un air de conspiratrice, elle me
montre ma culotte.
— Regarde ce
que le livreur m’a dit avoir trouvé dans les toilettes des hommes. Je ne sais
pas à qui c’est, mais il y en a deux qui ont dû bien s’amuser !
— Oui en
effet ! lui dis-je en riant.
Je fais
semblant de rentrer dans son jeu ce qui me permet de rassembler mes esprits.
— Et tu sais
quoi ! Vu la taille de la culotte, il n’y en a pas cinquante possibilités à cet
étage.
— Ah bon ?
Fais-je faussement étonnée. Pourquoi ?
— Regarde,
c’est du quarante-deux ! Et cette taille de culotte, crois-moi, je sais qui
c’est !
— Ah oui !
dis-moi.
Je me penche
encore plus vers elle.
— C’est
facile, il y a Samia, à la compta, Laure, au service généraux et Aline la
secrétaire du patron…
— C’est tout
? lui dis-je étonnée qu’elle ne m’ait pas mise dans le lot.
— Oh ben oui
! Avec une taille pareille, il faut un gros cul et ce sont les seuls gros culs
de la boite… Regarde ! Moi je fais déjà trente-huit déjà et cette culotte
regarde comme elle dépasse.
Elle se lève
et la place devant elle en tirant dessus pour me montrer la largeur de ce
sous-vêtements.
— Alors
comment tu vas faire pour savoir à qui elle est ? Tu vas leur demander si elles
ont perdu leur culotte ?
— Non, non !
J’ai l'œil. Je saurais voir celle qui est la chatte à l’air… Tu verras, je suis
sûre qu’à midi je le saurais. Enfin c’est étrange quand même…
— Quoi donc ?
— Et bien
cette culotte, ce n’est pas une culotte de pute !
— Pourquoi
c’est quoi une culotte de pute pour toi ?
— C’est une
culotte blanche avec le devant tout en dentelles, renforcée au centre ! Bien
sûr… coquine et en même temps sans doute très agréable à porter…
Je lui souris
avant de reprendre mon travail.
Le midi,
Martine me dit, triomphante, qu’elle sait à qui est la culotte.
— C’est celle
d’Aline !
Je la
félicite pour sa perspicacité. Comment peut-elle être aveugle à ce point et ne
pas voir qu’il s’agit de la mienne ! Et comment n'a-t-elle pas pu sentir sortir
cette odeur de sperme qui émanait de ma poitrine et qui embaume les pièces où
je me trouve ?
Mais, ce
n’est pas cela qui me turlupine. Moi j’ai vu un homme d'entretien et c’est un
livreur qui a donné ma culotte à Martine. Qui est donc cet homme ? Un caméléon
! serait-ce pour cela que je ne l'ai pas vu dans le train quand il a pris la
photo ?
***
Je suis
allongée sur mon lit. J'attends l'appel quotidien de mon mari. Il était temps
que je me pose, je n'en pouvais plus, ou du moins ma poitrine ou dois-je dire
mes mamelles comme cet homme, je ne sais plus, n'en pouvaient plus. Après une
journée à se balader librement dans un soutien-gorge hors d'usage, elle me fait
mal. Et ma chatte et mon cul à l'air ! Parlons-en ! Même si je sais que ma jupe
est assez longue, dès qu'un regard se tournait vers moi, j'imaginais que la
personne qui me regarde sait que je ne porte rien Au lieu de m'angoisser, ces
pensées m'excitent. Que suis-je en train de devenir ?
Pour
couronner le tout, ma fille occupait la salle de bain à mon retour, je voulais
prendre une douche pour faire disparaître cette odeur de stupre que je
transporte avec moi depuis ce matin. Mais non, Mademoiselle se prépare pour sa
sortie à la piscine avec ses copines de demain !
Quand elle
sort, il m'est impossible de repousser son câlin. Elle va sentir c'est sûr !
— Humm maman,
tu sens bon ! C'est quoi ton parfum ?
Je ne peux
pas lui dire la provenance de ce parfum spécial.
— C'est mon
parfum habituel, mais on est en fin de journée !
— Tu es sûre
maman, on dirait un parfum pour homme !
Je rigole en
lui disant qu'à part mes collègues du bureau, je n'ai rencontré personne.
— Et je suis
mariée à ton père !
— Oui c'est
vrai… mais bon…
— Que veux-tu
dire ?
— Oh rien !
Sur ces mots,
je la vois monter dans sa chambre. J'en profite pour occuper la salle de bain
et plonger dans un bain réparateur. Je ferme les yeux. Je repense à mon
inconnu, à son sexe qui me remplit la bouche, qui me fait baver. Je glisse mes
doigts entre mes cuisses et je me fais jouir dans la baignoire.
Quand je
prends le tube de crème dépilatoire, je constate que ma fille l'a vidé.
Évidemment, elle a piscine demain ! Mais s'est-elle contentée de ses aisselles
et de ses cuisses ou a-t-elle été ailleurs ?
Je ne me
permettrai pas de lui poser la question. Je ne suis plus légitime.
Pendant le
repas, elle m'a raconté sa journée au lycée, les mésaventures d'une de ses
amies avec un garçon, la vie banale d'une adolescente.
— Ah si ! Ce
midi en sortant manger au fast-food, on a croisé un homme, beau comme un dieu !
Avec des yeux à tomber par terre !
— Et alors ?
— Et alors
rien ! Il est trop vieux ! Au moins trente ans !
— Je te
remercie !
— Mais non
maman, tu n'es pas vieille toi !
— Je souris.
Ma fille est vraiment adorable.
***
Enfin, le
téléphone sonne. Je décroche et j'écoute mon mari me parler de sa journée puis
je sens qu'il est gêné.
— Que se
passe-t-il ? Un problème ?
— Non ! Enfin
si !
— Quoi, rien
de grave !
— Non, rien
de grave mais je ne pourrai pas rentrer de sitôt ! La situation est
catastrophique ici. Je vais rester loin au moins six mois !
— Six mois
oui ! Si ce n'est plus !
— Mais ! Les
vacances aux Antilles ? Elle va être déçue.
— Ce n'est
que partie remise, demande à mes parents, ils seront heureux de l'emmener avec
eux.
— D'accord !
— Bon courage
mon chéri !
— Merci ma
chérie ! Je t'aime !
— Moi aussi !
Je raccroche,
pensive. Six mois ! Jamais, une de ses absences n'aura été aussi longue ! Pour
ce qui est de notre fille, ce n'est plus un bébé, elle vit sa vie toute seule
ou presque.
***
"Cette
nuit, tu es seule donc tu dors à poil suceuse"
Cette
vibration me sort de ma rêverie. Ça va, sa demande n'est pas compliquée. Je
réalise alors une chose. Comment sait-il que mon mari est absent ?
M'espionne-t-il ? Le lui ai-je dit ?
Je regarde
dans les messages que nous nous sommes échangés et je ne vois rien dans ce
sens. J'ai dû lui en parler lorsque nous nous sommes rencontrés. Mais, nos
échanges furent brefs et quand ils ont été prolongés, j'avais la bouche pleine.
Rien qu'à
cette évocation, je sens l'excitation monter en moi. Je me suis pourtant
caressée en rentrant.
Mais c'est
plus fort que moi ! Ma main retrouve le chemin de mon entrejambe toujours aussi
trempée.
"Interdiction
de te caresser !"
Comment le
sait-il ? Il a mis une caméra dans la chambre ? Je me lève et regarde partout.
Je cherche, je déplace les bibelots posés sur la commode, je tourne les cadres
aux murs. Mais je ne trouve rien. Je me recouche, troublée.
J'ai du mal à
m'endormir, entre l'envie de me caresser et le frottement du drap sur ma peau
nue, le sommeil ne vient pas. Et quand il arrive je fais un rêve troublant. Ma
fille est dans les bras de mon inconnu.
La sonnerie
du réveil est stridente ; c’est dur, mais il faut bien y aller.
***
Évidemment,
ma fille remarque de suite les cernes sous mes yeux, elle m'en fait la remarque
et me dit gentiment qu'elle va être rapide dans la salle de bain pour me
laisser le temps de me maquiller.
Quelle petite
peste ! Mais une adorable peste !
Alors que je
m'habille, un nouveau message tombe.
"As-tu
pensé aux jupes !"
Quelle
horreur, quand je suis rentrée hier soir, j'avais oublié cette injonction de ma
rencontre matinale et, comment appliquer cette demande ? Porter des jupes au
ras de la culotte, à mon âge ! J'aurais dix-sept ans comme ma fille, peut-être
mais à trente-six ans !
Je cherche la
jupe la plus courte que j'ai. C'est une jupe droite grise qui m'arrive à
mi-cuisses. Je n'ai dû la porter que deux ou trois fois lorsqu'il fallait que
je représente ma société lors de salon. Je ne me suis jamais senti à l'aise
dedans, à exposer ainsi mes cuisses et je ne l'ai jamais portée dans les
transports en commun.
Je masque mes
cernes avec du fond de teint et je me dépêche pour aller attraper mon bus. J'ai
l'impression que tous les regards se tournent vers moi et c'est avec
soulagement que je trouve une place à l'écart dans le train. Je sais que ce
n'est que partie remise car d'ici quelques arrêts le wagon sera plein.
"Ta jupe
est trop longue ! Retire ta culotte ! "
Je regarde
partout, où est-il ? Là-bas, cet étudiant prolongé travaillant sur son
ordinateur, cet homme qui lit encore un journal en papier ou ce cadre au
téléphone avec un de ses collègues ? Tous ont des cheveux de la même couleur,
un gabarit similaire, mais aucun n'est mon inconnu.
"Retire
ta culotte maintenant, suceuse !"
Je baisse la
tête et discrètement, je la fais glisser à mes chevilles. Je la libère et la
repousse sous le siège avec mes pieds.
"Pose-la
sur le siège à côté de toi !"
Rouge de
honte, je la ramasse et la mets discrètement sur le siège. Je me plonge dans un
jeu sur mon téléphone pour faire celle qui ne sait rien et surtout je serre les
cuisses.
Une femme
d'un certain âge vient s'asseoir en face de moi. Je la vois grimacer en voyant
ma culotte.
— Décidément,
il y en a qui sont vraiment sans gêne, dit-elle tout haut.
— Oui je vous
l'accorde, c'est assez indécent !
— Tout à fait
! Les principes se perdent !
Je lui souris
et recommence à jouer.
"Ecarte
tes cuisses !"
Je résiste à
cette injonction, mais un nouveau message tombe.
"Écarte
tes grosses cuisses !"
Je cède à la
volonté de mon inconnu et écarte mes cuisses. Cette fois c'est un homme qui est
face à moi. Bien évidemment, il ne manque pas de lorgner sur mes cuisses nues.
Je suis certaine qu'il peut voir que je n'ai rien sous ma jupe.
Nous
descendons au même arrêt. Je l'entends alors me dire tout bas :
— Merci pour
la perspective Madame !"
Je le suis du
regard, honteuse. Je viens de m'exhiber devant un inconnu à la demande d'un
autre inconnu et j’ai abandonné une culotte ! Mon intimité.
Je me dis que
ce n'est plus possible, il faut que cela cesse.
"Tu
vois, si tu avais respecté mes consignes, tu aurais toujours ta culotte et tu
n'aurais pas excitée cet homme. Il doit bien bander ! Tu as de la chance que je
ne te demande pas de le suivre pour soulager sa tension dans son
pantalon."
Je ne sais si
je dois être en colère ou en rire. Il me prend pour une pute pour vouloir me
faire soulager un inconnu. Puis, je réalise que c'est ce que j'ai déjà fait deux
fois avec lui.
Je m'arrête,
je réalise ce que je suis en train de devenir. Une pute ! Hier quand il m'a
demandé ce que je voulais être, pute ou star du porno, il savait ce qu'il
disait. Je suis une pute.
"Et oui,
suceuse, tu es une pute, ma pute ! Tu baiseras qui je voudrai, quand je
voudrai, ou je voudrai !"
— Non, non,
non ! Je ne suis pas une pute ! M'exclame-je dans la gare.
J'ai dû le
dire assez fort car je vois plusieurs personnes se retourner vers moi.
Ce n'est
rien, leur dis-je en souriant.
***
En arrivant
au bureau, Martine m'appelle discrètement.
Regarde ce
que le livreur a encore trouvé dans les toilettes.
Décidément !
dis-je en entrant dans son jeu.
Oui ! Elle a
le feu au cul Adeline !
Tu es sûre
que c'est elle ?
Qui d'autre ?
C'était la seule à être arrivée quand le livreur m'a apporté sa culotte.
Oui vu comme
cela !
Comment ma
culotte a-t-elle pu parvenir jusque sur le bureau de Martine ? Elle était sur
le fauteuil dans le train quand je suis descendue. Je suis en train de devenir
folle !
Au fait ! Le
livreur avait un paquet pour toi. Nadia l'a posé sur ton bureau.
Merci,
Martine.
Je t'en prie.
Que vais-je
découvrir dans ce paquet ? Connaissant le livreur, j'imagine le pire.
Heureusement, Nadia est occupée quand j'ouvre ce paquet.
Je reste sans
voix. N'étant pas née de la dernière pluie, je reconnais un plug métallique. Je
prends l'objet et le cache dans mon tiroir. Sous le sextoy, je trouve une
petite enveloppe avec une petite carte bristol et un petit mot.
"Suceuse,
voici de quoi orner ton cul de jument. Tu as cinq minutes pour m'envoyer une
photo de l'objet en place !"
La signature
me terrifié, je déchiffre le mot Caméléon. Ce n'est pas possible. Je n'ai
jamais dit à personne que je le surnomme ainsi. Je finis de lire de
post-scriptum :
"Je te
conseille de bien le lécher avant. Il entrera plus facilement ! Je sais que ce
passage est encore vierge."
Avant le
retour de Nadia, je me rends aux toilettes et comme il me l'a conseillé, je
salive bien sûr le plug avant de le présenter devant mon anus.
Je gémis un
peu quand la partie renflée dilate mon cul et je soupire, soulagée, quand il
est finalement aspiré par mes intestins. Je vérifie qu'il est placé et, des
larmes de honte dans les yeux, je prends la photo attendue.
Nadia me voit
revenir. Elle fronce les sourcils.
— On dirait
que tu as un balai dans le cul. Mais en tout cas, tu es super sexy, cette jupe
te va super bien ! Tu devrais montrer tes cuisses plus souvent.
— Merci
Nadia.
Je m'assieds
en pensant qu'elle ne serait peut-être pas si souriante si elle savait la
vérité.
Au bout de
quelques minutes, je finis par m'habituer à la présence incongrue de cet objet
dans mon cul qui donne l'impression d'avoir envie d'aller aux toilettes en
permanence.
***
Dans le train
du retour, j'en ai oublié le plug dans mon cul et que je ne porte pas de
culotte. C'est le regard du jeune lycéen assis en face de moi qui me rappelle
que ma chatte à l'air est à la vue de tous si je ne resserre pas les cuisses
rapidement.
"Il va
se branler dans son lit, en pensant à ta grosse chatte de pute faite pour
donner du plaisir"
Ce n'est pas
possible ! Comment peut-il connaître ce que je fais à tout instant ?
Mais ces mots
m'excitent. Il a raison. Ma grosse chatte de pute va donner du plaisir à un
homme. Je serre fort mes cuisses pour tenter de calmer mon excitation.
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