Seul dans
sa chambre d'hôtel, près de Denfert-Rochereau, Olivier est perplexe. Il tourne
et retourne cette carte de visite au nom du Docteur Erika Karminka, médecin en
rééducation post-traumatique. La rencontre avec cette femme l’avait perturbée.
Allongé
sur le lit, la revue est ouverte sur une page qui montre la photo d’un homme
nu, à quatre pattes, tenu en laisse qui embrasse les pieds bottée d’une femme
vêtue d’un pantalon et d’une veste de cuir noir. Il ne cesse de comparer cette
tenue avec celle que portait Erika dans le train.
Et si
Erika était la maîtresse qu’il recherche sans se l’avouer depuis des mois.
Cette femme l’avait séduit, sans parler de sa main qu’elle avait posée de
manière autoritaire sur sa cuisse et qu’elle avait lentement et insidieusement
remonté jusqu’à son entre jambe. Il en avait été tellement excité que la
première chose qu’il a faite en arrivant dans sa chambre fut de se masturber.
Il s’imaginait à la place de l’homme du magazine.
Il était
aussi excité par les images montrant des femmes dans des postures de
soumission, dans ce cas, il imaginait Marie-Gabrielle à leur place. Mais, il
devait reconnaître que le plaisir était plus fort si c’était lui qui se trouvait
dans cette posture.
Après
quelques minutes d’interrogation, il se décide et compose le numéro indiqué sur
la carte de visite. Il tombe sur le répondeur, ce qui ne le surprend pas. En
tant que médecin, Erika doit souvent être sollicitée et elle doit filtrer ses
appels. Il laisse un message dans lequel il se présente et donne son numéro de
téléphone.
***
Il vient
juste de raccrocher qu’Erika le rappelle.
— Allo !
Olivier !
— Oui !
Madame…
—
J’attendais votre appel…
Erika
laisse sa phrase en suspens, ce qui déstabilise Olivier, surpris par cette
réponse.
—
Expliquez-moi ! Je ne comprends pas ?
— Vous
désirez reprendre notre discussion, n’est-ce pas ?
— Euh !
Oui, bien sûr !
— Alors
rendez-vous dans trente minutes à la Brasserie Saint Germain, vous connaissez ?
— Je
trouverai !
— Bien ! A
tout de suite alors !
Il cherche
l'adresse de cette brasserie et il s'aperçoit qu'elle se trouve au bas du
Boulevard Saint Michel. S'il veut y aller à pied, il ne doit pas traîner. Il a
toujours aimé marcher avant de prendre des décisions importantes.
***
Une
demi-heure plus tard, Olivier arrive devant cette brasserie réputée du quartier
latin. Erika est là, installée en terrasse. Elle s'est changée, elle a remplacé
le pantalon par une jupe de cuir noir qui dévoile des cuisses musclées. Elle
lui sourit et lui fait signe de venir s'asseoir en face d'elle.
Erika
s'amuse de la gêne causée par son profond décolleté. Olivier ne sait pas où
poser son regard. Il n'y a rien à faire, ses yeux sont attirés par cette
poitrine bien plus généreuse que celle de Marie-Gabrielle. Il faut dire que sa
femme n'a pas été gâtée par la nature, même Kate Moss n'aurait pas à craindre
la concurrence.
— Donc, le
BDSM vous attire ! commence Erika avant même que le serveur ne soit venu
prendre leur commande.
— Attire,
je ne sais pas mais je suis curieux ! Je pense que ce doit être une expérience
unique et inoubliable.
— Je vous
le confirme et… même addictive.
— Comment
cela ?
—
Addictive ! Quand on y a goûté, on ne peut plus s'en passer !
Olivier
respire profondément. Voilà l'occasion de vivre ces sensations qu'il cherche
depuis plusieurs mois et il se prend à oser une question.
— Vous
seriez d'accord pour me guider ?
Erika le
regarde, elle se tait. Elle sait que le silence est le meilleur atout pour faire
parler les gens. Elle se dit qu'elle a raté sa vocation et qu'elle aurait dû
choisir la psychiatrie.
— Je suis
prêt à faire ce que vous désirez pour vivre cette expérience ! lâche alors
Olivier.
Ça y est !
Nous y sommes, pense Erika. Il vient d'avouer son penchant pour la soumission.
D'ailleurs un futur dominant ne lui aurait pas demandé si elle souhaitait le
guider, il lui aurait dit : guidez-moi ! Ce qu'elle aurait bien évidemment
fait.
— Alors !
Il va vous falloir accepter ce que je vais vous demander.
— Bien sûr
! Cela me semble évident.
Erika
sourit.
— J'ai vu
que vous aviez cherché l'adresse d'une boutique dans le train.
— Oui ! Ce
matin en quittant la maison, je me suis juré de franchir la porte d'un sex-shop
pour voir ce qui se cache derrière ces portes.
— Très
bien ! Alors suivez-moi ! Je connais une boutique à quelques rues d'ici. Je t'y
emmène.
Olivier
constate que le tutoiement d'Erika à son encontre à de fait changé la nature de
leur relation.
— Oui
Madame, je vous suis.
— Reste
deux pas derrière moi et ne t'avise pas à reluquer mes fesses !
Olivier
baisse les yeux, il sait que cela fait partie du jeu, il l'accepte.
— Paye nos
consommations et nous y allons !
Erika fait
un signe à la serveuse qui leur apporte la note. Quand Olivier regarde la jeune
femme pour régler, Erika fronce les sourcils.
— Tu n'es
pas digne de regarder une femme dans les yeux si elle ne te l'autorise pas,
compris !
— Oui
Madame !
Il réalise
que cela risque de ne pas être facile dans son travail et dans sa relation avec
Marie-Gabrielle. Erika, qui s'aperçoit de sa perplexité, le rassure en lui
disant qu'il ne doit rien changer dans son comportement au travail.
— Une
relation de ce type est du domaine privé, notre vie professionnelle ne doit pas
en pâtir.
— Merci
Madame !
— Ne me
remercie pas trop vite ! Tu ne sais pas encore ce que je peux faire !
Ces
dernières paroles excitent Olivier au lieu de l'inquiéter.
Erika se
lève et marche d'un pas affirmé vers la boutique. Olivier respecte la consigne
de la suivre, deux pas en arrière et garde les yeux rivés sur les talons de sa
maîtresse. Ce n'est pourtant pas l'envie qui lui manque de regarder ses fesses juste
couvertes par une jupe très moulante. Il sait pour avoir souvent tourné les
yeux vers ce genre de spectacle que de nombreux hommes ne se privent pas de
suivre Erika du regard.
***
Ils
entrent dans une boutique, bien éclairée, aux rayons ordonnés. Elle ne
ressemble en rien à ce qu'Olivier avait toujours imaginé, pas de porte
discrète, de façade neutre voire décrépite. Au contraire, la façade, bien
éclairée, expose sans complexe des robes minimalistes et des jouets consacrés
au plaisir sexuel. La porte est une porte vitrée coulissante qui s'ouvre au
passage des clients.
— Madame,
Monsieur ! En quoi puis-je vous aider ? leur demande une jeune vendeuse blonde.
Même la
tenue de la vendeuse est normale, réalise Olivier. Elle porte un débardeur et
un legging, chaussée de sandales, une tenue quasiment identique à celle des
vendeuses du magasin de Marie-Gabrielle. Seuls les tatouages et les piercings
de la jeune femme auraient empêché sa femme de l'embaucher.
— Explique
pourquoi nous sommes ici ! dit Erika, d'un ton qui s'oppose à toute discussion.
Olivier
devient tout rouge et sent son sexe se tendre, se durcir. Il bafouille un peu.
Erika lui fait répéter plusieurs fois ses demandes.
— Ne
bafouille pas comme cela ! Cette jeune personne ne comprend pas ce que tu
demandes ! Répète !
— Oui
Madame ! Je viens pour acheter des sous-vêtements de soumis…
— Et un
plug anal ! ajoute Erika.
— Et, un
plug anal, évidement.
La
vendeuse sourit. Elle comprend vite qu'Olivier est un novice dans la
soumission. Elle ne connaît pas Erika, mais elle l'a déjà aperçue dans la
boutique et elle se doute que celle-ci est beaucoup plus expérimentée.
—
Suivez-moi ! Ce rayon est à l'étage.
Olivier
suit les deux femmes, les yeux baissés. En découvrant ce rayon, il n'en croit
pas ses yeux. Devant lui, en plus des objets cités par Erika, il peut voir des
martinets, des fouets, des pantalons, des combinaisons, des harnais et même des
objets bien plus gros comme une croix de st André et une cage !
Erika
choisit alors deux ou trois strings, un boxer fesses nues. Elle les regarde,
les montre à la vendeuse.
— Qu'en
pensez-vous ?
— Oh moi,
vous savez, je n'en pense rien ! Je ne suis que la vendeuse ! Il faudrait le
voir sur lui ! Les cabines sont au fond du rayon.
—
Qu'attends tu pour aller essayer ? lui dit Erika.
Olivier
sursaute comme un enfant pris en faute.
— Oui
Madame !
Il prend
les vêtements et rentre dans une cabine. Il commence à tirer le rideau quand
Erika l'interrompt sous le regard amusé de la vendeuse.
—
Qu'est-ce que tu fais ? Tu laisses ouvert. Je veux voir !
Olivier
tente de ne rien montrer de son trouble et il retire son pantalon. Après tout,
sur la plage, il est en maillot de bain devant tout le monde, il peut bien se
montrer en caleçon devant Erika et cette jeune femme.
— Retire
tout ! exige-t-elle.
Olivier
rougit, il hésite. Se mettre nu devant une femme, cela ne le gêne pas. Mais se
déshabiller comme cela, dans cette boutique, il a du mal.
Erika le
fixe. La vendeuse le fixe.
Il baisse
son caleçon, il se sent ridicule. Mais il est excité son sexe est raide dans
son caleçon.
— Oh ! Le
petit chéri, cela l'excite de se montrer à poil !
Erika
attrape son sexe et lui palpe les bourses. Olivier est en sueur, elle a raison,
il est tellement excité qu'il sent qu'il va jouir.
Erika
retire sa main et lui tend un des strings qu'elle a choisis, en simili cuir, un
triangle prévu pour cacher et maintenir le sexe maintenu autour de la taille
par une étroite ficelle qui lui passe aussi entre les fesses. Quand il
l'ajuste, il comprend alors pourquoi Marie-Gabrielle refuse d'en porter après
lui avoir dit que ce n'est pas confortable.
—
Tourne-toi ! lui demande Erika.
Olivier obéit,
elle opine du chef et lui fait essayer le short fesses-nues. Celui-ci s'ajuste
parfaitement. La sensation est étrange.
Erika est
satisfaite, cet homme est vraiment le soumis parfait. Dès leur première
rencontre, il accepté ce qu'elle lui demande. Elle décide alors de tester
quelque chose qui devrait confirmer son impression. Elle laisse Olivier dans la
cabine et va chercher dans la boutique un collier de cuir et une laisse.
— Mets-toi
nu et à genoux ! Non, garde ce short ! Je n'ai pas envie de voir ton sexe
pendre.
Olivier
frissonne. Il voit les deux objets dans les mains d'Erika. Il finit de se
mettre nu, encore plus excité. Il baisse la tête. Il attend qu'Erika lui
attache le collier autour du cou. Le cuir le serre un peu mais il trouve cette
sensation agréable. Erika attache la laisse au collier. A ce moment
précis, tout bascule dans sa tête. Il est vraiment à la merci d’Erika qui peut
le mener là où elle veut. Il hésite à refuser d’être traité ainsi. Mais à peine
a-t-il esquissé cette pensée que l’ordre claque :
— A quatre
pattes petit chien !
Olivier ne
se le fait pas dire deux fois et aussitôt, il se met à quatre pattes. Erika
tire sur la laisse et commence à promener Olivier à travers le magasin. Il est
de plus en plus excité. De plus, ici, à Paris, il est impossible qu'il croise
quelqu'un qui le connaisse. Erika lui fait faire le tour de l'étage sous le
regard blasé des quelques clients. Ils en ont vu d'autres. Puis, ils reviennent
à la cabine où Olivier a laissé ses vêtements. Olivier est littéralement vaincu
! Il a l’impression d’être tombé au plus bas… et pourtant ce ne sera qu’un
début !
***
Erika tire
le rideau et Olivier, à genoux, la voit trousser sa jupe sur ses longues
cuisses musclées. Il découvre le haut des bas, retenus par un porte-jarretelle.
Comme il aurait aimé que Marie-Gabrielle porte ce style de dessous. Puis,
enfin, il voit le sexe lisse de sa maîtresse.
— Lèche !
Fais-moi jouir !
Olivier
est content ! Ça ! Il sait faire. Ses précédentes maîtresses l'ont toujours
félicité pour son adresse avec sa langue. Pauvre Marie-Gabrielle, si elle
savait le plaisir dont elle se prive.
Erika sent
la langue de son soumis passer entre ses lèvres. Il trouve le clitoris et joue
avec. Il l'aspire, le pince entre ses lèvres. Elle commence à mouiller.
"C'est
qu'il est adroit ce salaud, pense-t-elle. Il va vraiment réussir à me faire
jouir !" Pour une fois, elle tombe sur un homme qui sait se servir de sa
langue. Il faut dire que vu la taille de son membre, il faut bien qu'il ait
d'autres arguments.
Elle se
cambre. Elle lui maintient la tête bien plaquée contre son entrejambe.
— Le cul
aussi ! lui dit-elle dans un feulement.
Olivier
hésite à peine, il est tellement bouleversé par ce qu’il vient de vivre qu’il
est prêt à s’exécuter. Il n'a jamais fait cela mais elle est propre. Il passe
sa langue entre les fesses d'Erika. Il la pointe contre la rosette frisée qui
palpite. Le goût est un peu âcre mais pas repoussant. Erika gémit.
— Oui
c'est bon ! Continue ! Fais-moi jouir !
Olivier
s'applique après de longues minutes, Erika se crispe et jouit en inondant le
visage de son lécheur d'un abondant jet de cyprine.
— C'est
bon ! Tu es un bon toutou ! lui dit-elle en tapotant sa tête. Rhabille-toi ! Il
nous reste deux trois choses à trouver.
Avant de
rejoindre la vendeuse à la caisse. Erika donne à Olivier, un plug anal et elle
choisit aussi un martinet.
Erika
oblige Olivier à montrer tous ses achats avant qu’il les règle avec sa carte.
La vendeuse remarque son visage recouvert de la mouille d'Erika. Elle ne peut
s'empêcher de sourire.
Quand ils
sortent de la boutique, Erika lui dit :
— J'ai un
rendez-vous ! Retourne à ton hôtel ! Mais garde ton téléphone près de toi, je
veux pouvoir te joindre en permanence.
— Oui
Maîtresse ! Bien sûr ! Avec plaisir !
Erika
s'éloigne sans se retourner.
De retour
dans sa chambre d'hôtel. Olivier étale tous ses achats sur le lit.
***
Il fixe
longuement les divers objets. Il repense au plaisir qu’il a éprouvé dans le
magasin ; une expérience qui lui semblait encore impossible le matin même. Il
ne peut s'empêcher de chercher à retrouver cette sensation. Il se déshabille,
enfile le short puis il se met le collier autour du cou, bien serré et attache
la laisse. Il attrape le plug et commence à le glisser entre ses fesses. Il le
présente devant son anus, il force un peu, il pousse un petit gémissement. A
cet instant, son téléphone sonne. C’est Erika.
— Allo !
— Allo !
Que fais-tu Petit-Chien ?
— Je me
repose dans ma chambre d’hôtel, Madame.
—
Montre-moi un selfie de là où tu es ! De suite !
— Oui
Madame !
Olivier
est un peu paniqué, s’il obéit à Erika, celle-ci va le voir nu avec le collier
et la laisse. Mais, il veut lui plaire, il veut lui montrer qu’il est un soumis
obéissant. Il envoie donc ce selfie compromettant.
— Alors
comme cela mon petit chien se fait du bien tout seul ! A qui as-tu demandé
l’autorisation ?
— Heu… A
personne, Madame !
— A
personne… Tu sais ce que cela signifie ?
— Non
Madame !
— Cela
mérite une punition… Et, tu as de la chance ! Je n’ai rien à faire ce soir, je
vais donc venir te la donner de suite. Donne-moi le nom de ton hôtel et le
numéro de ta chambre !
Olivier
s’exécute et avant de raccrocher, Erika exige qu’il aille entrouvrir sa porte
et qu’il l’attende dans la tenue qu’il porte à quatre pattes sur le lit après
avoir éteint toutes les lumières.
Olivier
attend dans la semi-obscurité et le silence de la chambre. Il entend à
intervalle irrégulier des pas et des voix dans le couloir. A chaque fois qu’il
entend la sonnerie de l’ascenseur, il se demande si cela indique l’arrivée de
sa maîtresse. Il est inquiet, et si quelqu’un pousse la porte et le découvre
dans cette position ?
Soudain,
il entend la porte de sa chambre se refermer. Il reconnaît le parfum d’Erika.
Il est soulagé mais il reste immobile. Il l’entend aller aux toilettes. Il la
voit enfin devant lui. Elle ne dit toujours rien mais soulève sa jupe. Olivier
comprend ce qu’elle attend. Il commence à lécher. Il commence à s’appliquer
comme à la boutique mais Erika le recule en lui tirant les cheveux.
— Je ne
t’ai pas demandé de me faire jouir ! Tu me sers juste à me nettoyer ! Avec moi,
tu n’as plus aucune initiative à prendre de toi-même, tu peux juste suggérer
quand je te le propose ! Compris !
— Oui
Madame ! Excusez-moi Madame ! je ne recommencerais plus.
— Bien passons
à la punition !
— Oui
Madame ! dit Olivier en frissonnant.
— Bien
donc pour ne pas avoir demandé pour porter tes tenues, cela mérite vingt coups
de martinet et tu as droit à dix de plus pour avoir joué avec mon clitoris sans
mon autorisation. Cela fait donc ?
— Trente
coups Madame !
— Bien !
Petit Chien sait compter !
Humilié
par cette remarque, Olivier baisse la tête et attend les coups.
— N’oublie
pas de compter et de me remercier à chaque coup ! Sinon je reprends la punition
de zéro !
— Oui
Maîtresse ! Un ! Merci Maîtresse !
Erika n’a
pas attendu sa réponse pour commencer la punition. Elle frappe durement, de
manière irrégulière. Olivier ne sait pas quand le coup suivant va tomber
d’autant plus que, parfois, Erika se contente de caresser ses fesses ou ses
flancs avec les lanières du martinet. En dépit de la douleur, Olivier est
excité et il bande.
Après
vingt coups, ses fesses le brûlent, son cul est rouge. Il va se souvenir de la
punition pendant deux à trois jours.
Après le
dernier coup, Erika attrape le plug qui était posé sur le chevet. Elle le fait
pénétrer d’un coup sec dans l’anus d’Olivier. Cela lui arrache un cri de
surprise et de douleur. Il ignore que sa maîtresse l'a introduit dans sa chatte
pour le lubrifier un peu avant de le lui enfiler.
— Ne
t’avise pas de le retirer sans mon autorisation sinon ma punition sera encore
plus terrible. Et… si tu as besoin d’aller aux toilettes, tu me le demandes !
— Oui
Madame !
— Bien !
N’oublie pas mes consignes et on se reverra bientôt à notre retour à Nantes.
Sur ces
derniers mots, elle sort de la chambre.
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