jeudi 2 novembre 2023

Les Dames de Piques - Sophie et Ophélie -02- Un café prometteur

 

Un café prometteur

 

Dès qu'il se réveille, Monsieur Ali envoie un message à Sophie, surtout ne pas laisser refroidir le fer. Elle tarde à lui répondre. Il va falloir qu'il l'éduque comme ses autres soumis pour qu'elle réponde rapidement. Elle doit savoir qu'on ne fait pas attendre Monsieur Ali Beaujour. En attendant, il demande à Cristina de le rejoindre dans sa chambre, il a envie de sa blondeur scandinave. La jeune cadre bancaire d'origine danoise ne traîne pas pour le rejoindre. Son mari a encore découché ce week-end pour une partie de chasse en Bourgogne avec ses copains. Cela fait maintenant trois ou quatre ans que Cristina et son mètre quatre-vingt a succombé aux charmes de Monsieur Ali.

Elle se dépêche de se mettre nue et de venir honorer de sa bouche le sexe de son maître. Malgré son expérience, la taille du membre noir est trop imposante pour qu'elle réussisse à réaliser une gorge profonde mais elle fait de son mieux et ne proteste pas quand Monsieur Ali commence à passer dans sa bouche et exige qu'elle n'en perde pas une goutte.

Quand le message de Sophie arrive, Monsieur Ali est en train de faire crier de plaisir Cristina. Comme à son habitude, il la baise en levrette ce qui lui permet d'alterner les pénétrations vaginales et anales, selon son envie. Cette position lui permet aussi d'admirer les as de pique tatoués au creux des reins et sur la nuque de cette beauté nordique.

Il faut dire que la pensée de prendre le gros cul de Sophie et celui qui doit être si serré de sa fille l'a fortement excité.

Le mari est d'accord pour qu'il viennent prendre le café. Elle lui a aussi mis leur adresse.

***

Ils habitent dans une zone résidentielle un peu excentrée, il lui faut trente minutes de route pour s'y rendre.

Quand Monsieur Ali arrive devant la maison de la petite famille, il ne prend pas la peine de sonner au portail. Il entre. Il sait qu'il est attendu. Il se dirige vers la terrasse ou Sophie et Thomas viennent de finir de manger.

— Nous vous attendions pour prendre le café, lui dit Thomas en s’avançant vers lui.

Monsieur Ali, contrairement à ses habitudes, serre la main qui lui est tendue et avance vers Sophie et lui fait un baisemain, en tenant sa main entre les deux siennes, puis il prend Ophélie par l’épaule pour lui faire la bise.

Enfin, pour bien montrer qu’il se considère déjà comme chez lui, il s’assied à côté de Sophie qui porte une robe bleue qui lui dévoile les genoux.

— Je vais préparer le café, je reviens, dit Thomas en entrant dans la maison.

Il sourit à Ophélie qui porte un petit haut qui laisse voir son ventre et son piercing au nombril et un short moulant qui met ses fesses en valeur, Monsieur Ali s’adresse à Sophie : 

— Vous avez fait une très jolie fille ! Puis regardant Ophélie. Il faut faire attention, très belle fille à ne pas trop faire tourner la tête aux personnes mures…

Monsieur Ali, en indiquant la chaise de Thomas, soutient le regard d’Ophélie jusqu’à qu’elle baisse la tête. Elle rougit sous un tel compliment venant d’un très bel homme rassurant et sent un frisson la parcourir

Après un regard circulaire vers le jardin, de nombreuses images salaces lui viennent à l'esprit.

— Vous avez une piscine, c’est agréable pour les jours comme aujourd’hui, vous en profitez, j’espère !

— Oh ! C’est surtout Ophélie qui en profite, moi je préfère le spa, lui répond Sophie.

Monsieur Ali lui sourit, pour la mettre en confiance en ajoutant :

— Vous n’avez pas de vis-à-vis, ici, alors, j’imagine que c’est très agréable de prendre un bain de soleil sans retenue. Qu’en penses-tu Ophélie ?

— Oui, c'est vrai qu'on est tranquille… répond-elle en baissant les yeux.

— Tu te mets parfois seins nus ? demande Monsieur Ali.

Ophélie rougit et Sophie ne sait pas comment réagir. Elle trouve la question de Monsieur Ali déplacée et se prépare à intervenir quand Thomas arrive avec le café. 

— Que se passe-t-il ? On dirait que vous avez vu un monstre ? 

— Je demandais à Sophie et Ophélie, si elles profitaient de l'intimité de votre jardin pour prendre le soleil nues !

— Nues, non ! Mais sans le haut du maillot ça leur arrive oui ! Enfin, chérie, ça fait longtemps que tu ne le fais plus ! Dit-il en regardant sa femme.

— Et pourquoi cela ? demande Monsieur Ali.

— J'ai passé l'âge !

— Il n'y pas d'âge pour faire ça, dit Ali en rigolant.

Monsieur Ali félicite Thomas pour la qualité de son café et ils commencent à parler de leur travail respectif. Quand c'est à son tour de décrire son activité, Monsieur Ali se contente de répondre qu'il travaille dans les relations humaines et qu'il s'occupe de mettre en contact des personnes qui ne se rencontreraient jamais sans son travail.

— Je suis désolé, mais je vais devoir vous abandonner, j'ai un cours à finir de préparer pour demain matin. Je vais aller travailler dans le bureau. A plus tard.

Monsieur Ali voit Thomas se lever, embrasser Sophie et rentrer dans la maison.

— Votre maison est aussi belle que votre jardin, à l'image de ses propriétaires.

— Merci, répond Sophie, flattée de cette remarque. Vous voulez visiter ?

— Pourquoi pas ! Si cela ne dérange pas votre mari.

— Oh ! Dans le bureau au bout du couloir, on ne va pas le gêner. Suivez-moi !

Sophie précède Monsieur Ali qui, comme la veille, admire ses fesses généreuses qu'il imagine voir rebondir à chacun de ses assauts.

Comme il s'y attendait, il découvre une maison typique d'une famille de ce type, rangée, ordonnée, meublée simplement mais avec goût.

— On ne va pas aller déranger Thomas dans le bureau, à l'étage, il y a nos chambres et au sous-sol le garage… vous voyez, une petite maison, simple et fonctionnelle…

— Me montreriez-vous l'étage ?

— C'est-à-dire que…

— Je n'insiste pas, c'est votre maison, vous êtes chez vous.

Monsieur Ali regarde Sophie dans les yeux. Elle frissonne, ce regard est si intense qu'elle n'arrive pas à le soutenir. Elle baisse les yeux.

— D'accord, suivez-moi !

Monsieur Ali suit Sophie. Il a du mal à détacher son regard des fesses de cette petite brune. Malgré ses nombreuses conquêtes, il n'a encore jamais baisé de petite grosse. Sa réussite depuis qu'il a brillamment réussi le concours à HEC, doublé d'un réseau de relations pas toujours très honnêtes, lui ont toujours permis de coucher avec des jeunes femmes toutes plus séduisantes les unes que les autres. Il n'a d'ailleurs jamais été attiré par les femmes plus âgées que lui, mais le passage de la quarantaine y est sûrement pour quelque chose.

De plus, un de ses amis notaires, Maître Beaufond, n'arrête pas de lui décrire les avantages des femmes avec de l'embonpoint. Selon lui, elles sont beaucoup plus ouvertes sue les autres. Elles accepteraient avec beaucoup plus de facilités les perversités dont ses clients raffolent.

Dans le couloir, Sophie s'arrête devant les portes fermées. Monsieur Ali fait semblant d'être surpris et la bouscule doucement. Dans le mouvement, il en profite pour caresser ces fesses appétissantes. S'il ne se retenait pas, il trousserait cette robe et la baisserait plaquer contre le mur. Il se demandait si Sophie avait déjà été enculée. Thomas n'a rien de l'homme à sodomiser une femme mais le père d'Ophélie ?

Sophie frissonne en sentant cette main ferme lui caresser les fesses, elle sourit puis se retourne. Elle sait que la taille de Monsieur Ali lui permet d'avoir une vue plongeante sur son décolleté. Elle ne fait rien pour le masquer, à son âge, les hommes qui la reluquent sont rares.

— Voici la chambre d'Ophélie, dit-elle en entrouvrant la porte sur une chambre propre et bien rangée.

— Jolie chambre !

— Merci, c'est une jeune fille précautionneuse.

— Je le vois, rien ne traîne !

Sophie referme la porte et montre les deux chambres inutilisées depuis que les grands enfants de Thomas ont quitté la maison. Monsieur Ali regarde les photos qui ornent le mur du couloir, de ces deux jeunes gens, dont l'aînée est déjà maman. Il se dit qu'elle doit plus tenir de sa mère que de son père pour avoir des cheveux aussi roux.

— Et votre chambre ?

— C'est celle du fond !

— Puis-je la voir ?

— Euh ! Oui, bien sûr…

Quand Sophie ouvre la porte, Monsieur Ali comprend la raison de son hésitation. Cette chambre est moins bien rangée que celle de sa fille. Le lit n'est pas fait et il peut voir la tenue de nuit de son hôtesse. "Pas très sexy !" pense-t-il.

— Puis-je me permettre d'abuser une nouvelle fois de votre hospitalité ?

— Bien sûr !

— Merci, où se trouvent vos toilettes ?

— A la porte près de l'escalier ! Je vous attends sur la terrasse !

— Merci ! Oui, je vous rejoins rapidement.

Monsieur Ali entre dans la salle de bain. Pendant qu'il fait ce qu'il a a faire, il regarde rapidement autour de lui. Une salle de bain familiale, sans fioriture, quelques produits de beauté, un peu de maquillage. Avant de sortir, il ouvre le couvercle du panier de linge sale. Comme il s'en doutait, il trouve des strings à Ophélie et pour Sophie, il ne voit que des culottes. Son côté pervers se manifeste alors. Il veut confirmer ses suppositions. Il quitte la salle de bain et se sachant seul à l'étage, il se rend dans la chambre parentale. Il trouve rapidement le tiroir de ses sous-vêtements, aucun jouet caché. Au fond du tiroir, il découvre un string ficelle qui porte encore l'étiquette de prix du magasin. Il en est convaincu, séduire n'est pas la priorité de Sophie et le sexe ne doit en faire partie non plus.

A son retour dans le jardin, Sophie est installée sur un bain de soleil et Ophélie profite de la piscine.

— Je vais devoir vous quitter, dit-il à Sophie qui se relève. Remerciez Thomas de ma part.

— Bien sûr ! je vous raccompagne. 

— A bientôt, ma petite, dit-il à Ophélie en lui faisant un signe de la main.

Avant de franchir le portail, Monsieur Ali fixe Sophie.

— Puis-je vous faire la bise pour vous dire au revoir ?

— Oui bien sûr !

Il pose alors ses mains sur les larges hanches de la brune et vient déposer ses lèvres sur ses joues mais assez proche du coin de la bouche de Sophie.

— Merci ! Puis-je me permettre de vous inviter à déjeuner demain midi ?

— Euh oui ! Pourquoi pas.

— Très bien je passerai vous prendre à 12h30 devant la fac

— D'accord.

— Merci, à demain !

— A demain.

Sophie le regarde s'éloigner, elle sent encore ces mains fermes sur ses hanches et se souvient de la caresse sur ses fesses. Que lui arrive-t-il ? Elle n'est plus une adolescente !

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