vendredi 1 mars 2024

L'institutrice - Première Scene

  

Arthur se présente le premier, Laurence joue le jeu et l'accueille à la porte de la "classe".

— Bonjour monsieur, je suis ravie de vous rencontrer.

Arthur s'assied, comme le matin, face à elle, les jambes écartées. Elle remarque rapidement que son sexe est déjà bien gonflé sous le tissu léger de son pantalon.

Arthur ne loupe pas une miette de sa tenue très courte qui laisse deviner ses dessous et ses formes généreuses.

— Je voulais vous voir car votre fils semble perdu, souvent ailleurs en ce moment...

— Bonsoir, oui mon fils est un rêveur mais c'est un enfant très curieux…

— Et, j'ai déjà abordé ce sujet avec lui, répond Laurence

— Et… Je dois avouer que je comprends pourquoi il est rêveur…

Il se lève et se dirige vers la blonde, sa bosse débordant de la braguette ouverte. Laurence regarde ce sexe qui sort, déjà à moitié raide devant son visage.

Le producteur s'approche et la félicite sur sa tenue, et l'attirance qu'elle provoque.

A ce moment, un MMS arrive sur le téléphone de Laurence qui en l'ouvrant découvre une image d'elle nue, dans sa maison. Elle est intriguée. Elle ne s'est jamais prêtée à ce genre de photos, comment est-il possible qu'on lui envoie une telle image d'elle et chez elle en plus.

— Qu'est-ce que cette photo ? murmure-t-elle.

Arthur s'approche de la maîtresse comme le matin et caresse son bras avec son sexe.

— Tu as un look et potentiel d'actrice extraordinaire… et… nous te suivons depuis longtemps…

— Comment cela vous me suivez depuis un moment ?

Arthur élude cette question en demandant à Laurence de s'exhiber en marchant devant lui. Elle lui tourne le dos pour marcher vers le fond du studio-classe, ce qui lui permet de voir la jupe très courte de l’institutrice moulée par ses fesses. Quand elle se retourne, elle peut le voir assis sur la chaise en train de se branler. Il la fixe, elle lui sourit.

— Comme ce matin, dévoile-toi ! Libère-toi…

Laurence ouvre son chemisier, dévoile la dentelle rouge du soutien-gorge. Arrivée au bureau, elle retire le chemisier, ne garde que le sous-vêtement.

— Voici Laurence de Bonnard, notre nouvelle actrice, notre héroïne de ce soir ! dit Arthur à la caméra.

Dans le dos de la blonde, il lui caresse les seins par-dessus le tissu, elle peut sentir son sexe à portée de ses doigts qui presse sur ses fesses.

L’homme masse cette opulente poitrine à pleine mains, il remue un peu son bassin pour que sa verge glisse sous la jupe et vienne se placer entre les cuisses de la jeune femme, frottant sur le tissu du string.

Le caméraman, dans une position acrobatique, filme en gros plan, la scène qui se déroule sous la jupe de Laurence, ce gland qui apparaît sur le devant, contre la dentelle qui masque à peine le pubis lisse de la jeune femme.

— Laurence met à notre disposition cette superbe poitrine naturelle, dit Arthur qui venait de dégrafer le soutien-gorge. Ça va nous faire chavirer chers abonnés !

Sous l'effet de la pesanteur, l'opulente poitrine de l'institutrice s'affaisse un peu et le producteur continue d'utiliser la gravité pour que la petite jupe tombe au sol.

— Et regardez chers abonnés ! Qui aurait cru que madame De Bonnard, cette instit si réservée, mariée porte des dessous aussi sexy en classe ! Il faudra qu'elle nous fasse découvrir son tirroir de sous-vêtements.

Sans laisser le temps à la blonde de réagir, il enchaîne :

—Mais avant cela, elle va nous montrer comment elle sait se servir de sa bouche, et pas uniquement pour parler à ses élèves. 

Arthur s'assied sur une chaise en écartant ses cuisses, son sexe émergeant de sa braguette. Il fait comprendre à sa proie de s'agenouiller et de commencer à le sucer. Laurence prend dans sa bouche ce membre à moitié raide et malgré son manque d'expérience, elle sait le faire se dresser et grossir dans sa bouche.

Arthur lui écarte les cheveux afin que le cameraman puisse filmer en gros plan l'activité orale de l'institutrice.

Il lui appuie doucement sur la tête pour la forcer à prendre un peu plus profondément dans la bouche. Laurence hoquette, bave pour le plus grand plaisir des voyeurs derrière leur écran.

— Laurence ne soit pas hésitante... c'est ton jour…

Il pousse sa tête vers lui, pour qu'elle avale à moitié son sexe déjà bien tendu. 

— Regardez comme elle est gourmande et le potentiel à venir… 

Les coups de langue hésitants de la jeune femme le font frissonner. Il le cache pour la faire aller plus loin.

A voix basse, il lui dit que ce début de vidéo est en live. La bouche pleine, elle le regarde sans vraiment comprendre ce que cela implique. Mais il la sent encore hésitante à se laisser aller complètement.

Il la fixe droit dans les yeux.

— Laurence rend moins dingue, lâche toi, SUCE !

Elle relève la tête et regarde de loin tous ces acteurs au profil très différent. Soudain, un doute dans son esprit, elle commence à en reconnaître quelques-uns. Et, elle réalise… ce sont tous des papas d'élèves de sa classe ! 

Elle a un mouvement d'arrêt mais sous le regard rassurant d'Arthur, elle replonge son visage entre ses cuisses. Elle tente de le prendre le plus profond possible.

— Voilà c'est mieux… Regardez chers abonnés… Comment elle aime avaler !

Il expose ses tétons dressés. On voit sa bave couler sur sa joue et se coller à tes cheveux.

— Laurence ! Excitons un peu plus les abonnés, tu veux bien ?

Elle hoche la tête.

— Je n'ai pas entendu ta réponse Laurence....

— Oui je veux bien !

— Branle-moi avec tes seins !

Elle se redresse un peu et tend sa poitrine vers lui.

— Presse tes seins l'un contre l'autre ! 

Son sexe humide se glisse entre ses seins. Elle écrase ses gros globes de chair pâles sur son membre raide et remue son torse. Il lui attrape la tête par son chignon pour que l'on voit bien son visage à la caméra.

Le réalisateur lance un compte à rebours et annonce : "moins trente secondes".

Arthur commence des va et vient entre ces deux gros seins. Son gros gland frotte sur sa peau tandis que des acteurs se branlent devant cette scène.

— Vingt secondes !

Arthur râle de plaisir.

— Dix secondes !

Il se bloque entre tes seins et éjacule sur Laurence…

Le réalisateur crie : "Coupez ! La prise est bonne !"

En même temps, un assistant accourt vers Arthur et lui dit : "Patron, le live a explosé les prévisions"

Il se lève d'un coup et caresse le visage de Laurence et lui dit qu'elle a cinq minutes pour être prête. L'assistant lui donne une serviette et l'aide à lui essuyer ses seins, en profitant pour bien les caresser.

Elle sort excitée de cette scène, mais frustrée sans jouissance. Elle comprend qu'elle va être un objet toute cette soirée, mais elle est prête à jouer le jeu.

Elle se rhabille et retourne à son bureau.


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