Je viens de finir de faire ma vaisselle. Ce soir, je suis seul. Sophie, ma petite femme chérie, a dû se rendre chez son père souffrant. Veuf depuis quelques années, il est atteint d'une maladie liée à son grand âge et il a de temps en temps besoin d'aide.
“Je sais me débrouiller tout seul, je ne suis plus un enfant !” lui avais-je dit pour la déculpabiliser de m'abandonner quelques jours. Même si, je dois bien l'avouer, sa poitrine généreuse, ses fesses rebondies et ses lèvres gourmandes vont me manquer, surtout la nuit.
Mais, ce soir, je ne serai pas seul. Marie-Catherine Mazière va venir pour préparer avec moi la prochaine messe dominicale. D'ailleurs en y réfléchissant, c'est une sacrée coquine Marie-Catherine ! Il y a quelques jours, en surfant sur des sites pas très catholiques, il est vrai, au détour d'un vieux forum de discussions tombé dans l'oubli, j'ai découvert de vieilles photos floutées, postées anonymement. Je les ai traitées avec un nouvel algorithme mis au point par des collègues de travail pour améliorer la qualité de nos images et légèrement modifié par mes soins. Grâce à lui, à ma grande surprise, le visage de Marie-Catherine m'est apparu. Une Marie-Catherine avec vingt, trente ans, voire quarante ans de moins, mais c'est bien elle qui se présente sous le pseudonyme “lachiennebcbg”. Bernard, son mari, m'avait bien dit, il y a quelque temps, que lorsqu'ils étaient jeunes, ils étaient loin d'être ce couple modèle et vertueux montré en exemple par le père Anatole, le curé de la paroisse. J'ignorais cependant ce qu'il avait voulu dire, il n'était pas entré dans les détails. Il m'avait surtout dit cela pour me déculpabiliser de pensées que je peux entretenir envers Sophie, qui je le sais, il me l'a aussi avoué, ne le laisse pas indifférent, aveu qui ne m'a pas rendu jaloux, mais plutôt troublé.
***
Seul devant mes fiches de préparation, je réfléchis à la manière dont je pourrais profiter de ces informations, pour réaliser mon projet, quand Marie-Catherine sonne au portail. Depuis la fenêtre, je lui fais signe d'entrer et je lui ouvre la porte.
— Bonsoir Marie-Catherine, lui dis en l'embrassant, une main sur sa taille.
— Bonsoir Hervé, me répond-elle, frémissante.
Je sens son trouble. Elle est surprise par mon geste inhabituel. Je retire ma main rapidement.
Marie-Catherine n'est plus toute jeune. Elle a une quinzaine d'années de plus que moi, mais elle possède toujours un charme certain avec ses cheveux blonds entourant son visage souriant et ses yeux bleus mutins.
Elle est égale à elle-même, vêtue de ses éternelles jupes, chemisiers et gilets qui lui donnent l'air d'une dame patronnesse.
— Tu veux boire quelque chose ? Un thé, un café, une tisane ?
— … Oui merci bien une tisane verveine ou camomille si tu as, sinon tilleul.
— Verveine, j'ai ! Installe-toi pendant que je vais la préparer…
De la cuisine, je lui dis que j'ai bien avancé sur la préparation et que je souhaite son avis sur quelques détails.
— Sophie n’est pas là ?
— Non, elle a dû aller chez son père, elle fait la garde-malade cette nuit et demain.
— Effectivement, cette situation n’est pas simple. Nous n’avons plus ce problème avec mon époux. Nos parents sont décédés. Mais quand on voit la pauvre Odette avec son mari Alzheimer, c’est trop dur.
— Oui, c’est comme pour Sophie, son père souffre de la même chose. Il faudrait qu'elle puisse penser à autre chose de temps en temps. Je fais de mon mieux pour l'aider
— Oui, je sais que tu es très dévoué. Je t’admire pour ça.
— J'ai tout mis sur la table si tu veux commencer à regarder.
— Ok, merci je regarde.
Quand je reviens avec les tasses, je la vois regarder les feuilles de préparation. Parmi les feuilles, j'ai laissé par mégarde ou pas, une chemise sur laquelle est écrit “lachiennebcbg” avec des photos défloutées.
Je ne dis rien, j'observe la réaction de Marie-Catherine.
***
Son regard passe de la chemise vers moi, plusieurs fois. Je reste impassible.
— Ouvre !
— Mais… mais qu’est-ce ? Non, non, Hervé qu’as-tu là ? Que… que fais-tu ?
— Moi, je fais rien ! Ouvre ! C'est toi, n'est ce pas ?
— Oooh, non, non, c’est pas possible mon dieu où as-tu trouvé ça ? Ce n’est pas moi… Non, ne va pas imaginer des choses ! C’est… Heu… un… heu… montage… Heu… Photoshop, mon mari m’avait heu pré… prévenu…
— Pourtant cette tâche sur ton épaule, c'est bien la tienne !
— Oooooh !
— Que dirait le père Anatole s'il les voyait, et la vieille Odette et tes filles, si dévotes ?
— Non ! Non ! C’est pas possible ! Snif… Tu ne voudrais pas faire ça Hervé, je t’en prie !
— Cela va dépendre de toi, chiennebcbg !
— Oooh ! Non… Mon dieu ! Pas ça ! Pas ça, c’était une erreur.
Je prends alors une photo dans le dossier et je lui demande de me dire ce qu'elle fait avec cet homme qui n'est pas son mari.
— C’est à sa demande que… que… Enfin tu vois !
— Je vois, oui. Mais, que fais-tu à cet homme ?
— Oooh, non… Non, je ne peux le dire comme ça.
— Je les ai sur mon téléphone, je fais un message à ta fille aînée ?
— NOOOON s’il te plait… je… je… le suce. Snif…
— Et, sur celle-là ?
Je lui montre une photo où elle montre sa chatte nue à la terrasse d'un café ou d'autres consommateurs sont attablés. Elle a un mouvement de recul.
— Et cette autre, tu ne joues pas aux cartes !
— Ooooh ! Il... il… me… prend, pitié ! Hervé, cesse cela.
— Tu ne peux pas dire ça autrement ?
— Mon dieu, snif ! Il… il me… me bai… baise !
— Que me proposes tu pour mon silence ?
Je pose la question par principe mais je sais qu'elle ne me donnera pas la réponse que j'attends.
— On a pas beaucoup d’argent que veux-tu ?
— Ce n'est pas l'argent qui m'intéresse, c'est toi !
— Comment ça, moi ? Moi ? Que veux-tu dire ?
— Ce que je viens de dire, je te veux toi ! D'ailleurs tu as l'air d'aimer t'exhiber !
— Noon… Noon pas du tout !
— Ah bon ! Et cette photo ?
Je lui présente une image dans le métro. On la voit assise, la jupe relevée à la taille, sa culotte aux genoux et ses cuisses écartées. J'observe sa réaction avant de pousser un peu plus mon avantage.
— Tu vas me montrer tes nichons, vite !
— Ooh, non pas ça, Hervé ! Je t’en supplie ! Pense à Sophie.
— Je pense toujours à elle ! Mais elle n'est pas là ! Alors obéis.
— Oui, mais… mais ta conscience ? Je t’en supplie, Hervé.
— Ma conscience va bien… Dépêche-toi !
Je montre mon téléphone avec une photo prête à partir.
— Non, non… d’ac… d’accord, je… je défais mon chemisier.
Je la vois ouvrir les boutons, un par un. Elle écarte les pans, je découvre un soutien gorge noir, très sage, trop sage. Je ne dis rien, je la fixe.
— Snif… Snif… Voila ! Tu es satisfait maintenant… Snif… Snif… peut-on travailler ?
— J'ai dit montre-moi tes nichons !
— Mais soit… snif… raisonnable Hervé, tu veux pas que je les sorte des bonnets ?
— Retire le soutien gorge !
— Mais, j’ai mon cardigan et mon chemisier !
— Je te veux seins nus !... Dépêche-toi, sinon je vais être plus exigeant !
— Non ! Oui, oui, je retire tout !
Quand elle est à moitié nue, je prends le temps de la regarder. J'essaye de deviner la taille de sa poitrine. Je me dis que je glisserai bien ma queue entre ces magnifiques globes mais je vais patienter encore un peu.
***
— Bon, on peut travailler maintenant, dis-je.
— Heu… Oui… Je… je dois rester ainsi, torse nu ?
— Ai-je dit que tu pouvais te rhabiller ?
— Heu… Non… Non, Hervé mais j’ai un peu froid.
— Tu vas me faire croire que tes tétons pointent à cause du froid ?
Je vois Marie-Catherine rougir et balbutier quelques mots en tentant de reprendre le fil de notre préparation.
— Heu… Oui, oui, c’est sûr… Heu… Gloup…Tu… Tu veux ce… ce decro… ce credo ???
— Je l'aime bien… Oui on va le prendre…
— Pour… pour… tant Nicée… est moins connu surtout la nouvelle version avec la consubstantialité… Snif !
— Je sais… mais, je vois que tu as la croix entre deux saints…
— Oooooh, tu devrais avoir honte de faire ça.
— J'ai un goupillon qui aimerait bien les rencontrer…
— Que ??? Que veux-tu ?? Dire, je… je ne com… comprends pas ???
— Je t'expliquerai plus tard, mais dis-moi ! Pourquoi chiennebcbg ?
— Oooh non ! Non ! C’est du passé !
— Le passé est souvent révélateur… dis-moi vite !
— Heu, c’était pour plaire à mon mari qui voulait me voir avec d'autres.
— Donc, il ne sera pas jaloux si je te demande de me sucer !
— Lui non, mais… mais, j’ai soixante-dix ans…
— Et alors, tu as une bouche, une chatte et un cul ?
— Oooh non, non ! C’est ignoble Hervé. S’il te plait ! Tu voulais voir mes seins, tu les as vu ! S’il te plait restons en là !
— C'est de ta faute ! A pinailler, tu m'as donné envie d'en avoir plus…
— Ooooh, sois raisonnable, que veux-tu de plus ?
— Je le suis. Je te veux, je veux que tu sois ma chienne…
— Snif… Snif… mon dieu, qu’y puis-je ? Que veux-tu faire de ta ch… ?
— Une chienne, une traînée, une suceuse
— Mais c’est la honte !
— Tu aimes cela, ces photos le prouvent…
— C’était une autre époque et j’étais “présentable”.
— Tu l'es toujours… mais tu parles trop…
— C’était il y a vingt ans ! Pourquoi veux-tu m’humilier ?
— Tais-toi et obéis !
— Comment ?
— Suce ! Applique-toi ! Mets-y tout ton cœur… je veux savoir si tu suces mieux que Sophie…
— Ooh, d’accord !
— Si je ne suis pas satisfait, j'ai une ceinture…
— Non, non je vais m’appliquer… Snif !
Effondrée, Marie-Catherine se penche vers mon bassin. Elle défait la braguette en descendant le zip. Elle extirpe mon sexe gonflé du slip et commence à le caresser avec les mains tout en approchant mal à l’aise sa bouche. Craignant le pire, l’envoi de photo, elle fait l’effort de gober ce vit qui grossit à vue d'œil. Quand il lui remplit bien la bouche, elle descend et monte sur la hampe caressant les bourses.
J'en profite pour malaxer ses seins, en appréciant la texture et leur fermeté. Elle s’applique à bien me pomper. Elle essaye de l’enfoncer au maximum jusqu’à la glotte avant de ressortir la hampe dure comme du bois. Elle glisse ses lèvres dessus montant descendant tout en titillant le méat où un peu de liquide suinte, elle le lèche.
Elle s’active, je sens qu'elle veut en finir au plus vite.
Au bout de quelques minutes, je suis au bord de l’éjaculation. Je la tiens par les cheveux pour ne pas qu'elle se relève. Va-t-elle aller jusqu'au bout ?
Ne pouvant rien faire d’autre, elle déglutit et avale à chaque jet de sperme pour ne pas s’étouffer.
Je soupire de bien être. Elle a dû vécu, cela se voit et se sent. Bien plus que ma femme ! Une idée perverse me traverse alors l'esprit.
— Bien, pas trop mal… tu as évité la ceinture pour ce soir… il te faudra faire mieux demain…
— Demain ? Non, je t’en prie Hervé… Il faut arrêter
— Demain matin, je veux te voir à neuf heures… La porte sera ouverte, tu entreras et tu te mettras seins nus avant de me sucer.
— Oooh… Noon… Pas ça ! Je t’en prie ! Il faut cesser, Hervé. Que vais-je devenir ? La paroisse ? Les amis ?
— Ma salope…
— Mais pourquoi ? Que t’ai-je fait ? on était bons amis ?
— Mais on va le rester, amis. On sera juste un peu plus intimes…
— Je ne peux pas devenir ta sa……
— Vraiment, pourtant sur cette photo, tu le fais bien !
— Je ne peux pas, on ne peut pas…
— Pourquoi ?
— Mais ça ne se fait pas... Puis-je me rhabiller ?
— Pourquoi veux-tu te rhabiller, on n'a pas fini !
— Ooooh… Noon… que veux-tu encore ? je t’ai sucé ça ne te suffit pas ?
— Ne t'ai-je pas dit que mon goupillon souhaitait rencontrer tes saints…
— Je ne comprends pas…
— Tu vas me faire une belle cravate de notaire…
— Oooh… non… non…
— Tu préfères la ceinture ou la diffusion ?
— Non ! Non… Pas ça ! D’accord pour la cravate !
— Bien, tu vois quand tu veux… Vas-y alors !
Elle ne sait pas trop comment se mettre pour œuvrer ainsi. Je la toise silencieux. Elle est affolée, saisissant ses seins, elle approche de ma bite qu’elle essaye de coincer entre sa poitrine généreuse.
Elle bave sur mon gland. Mon sexe est confortablement installé entre ses gros seins. Je ne bouge pas attendant qu'elle monte et descende pour que mon pieu coulisse entre. Elle remue son torse, serrant ses mamelles, emprisonnant mon sexe qui durcit de plus en plus. Comme j'ai joui il y a peu de temps, cela va prendre du temps avant une nouvelle éjaculation. Elle sait bien que cela va être très fatiguant mais elle joue aussi avec ses jambes pour créer un mouvement de va et vient sur cette pine qu’elle masturbe ainsi avec difficulté, terriblement avilie.
Au bout de longues minutes, le plaisir monte à nouveau. Je ne la préviens pas et un jet jaillit.
Elle est surprise voulant se reculer mais craignant le pire elle continue à monter et descendre pour essorer ce phallus. Elle reçoit trois ou quatre autres giclées sur son visage, ses mamelles ou doit-on dire des pis ?
Je le lui demande, pour voir jusqu'où je peux aller dans son humiliation. Je veux que ce soit elle qui me le dise
— C’est ignoble Hervé, dit-elle larmoyante. Oui, tu peux dire pis !
— Tu n'es pas une chienne alors ? Mais une vache…
— Snif… Oui si tu veux. Puis-je m’essuyer ?
— Non, reste comme cela pendant que l'on finit la préparation. Cela te va bien
— Oui d’accord, qu’on en finisse, soupire-t-elle.
Sous son regard horrifié, je la prends en photo à genoux devant moi, seins nus, couverte de sperme.
— Oooh ! Non, pas de photos, je t’en supplie !
— La prochaine fois je filmerai…
— NOOOOON !!!
— On verra, dis-je simplement.
Alors que le sperme coule, nous reprenons la préparation que j’avais déjà bien avancé. Je suppose qu'elle se sent rassurée que je ne lui ai pas encore demandé de se mettre totalement nue, d’avoir gardé sa jupe et sa culotte. Cela sera pour une prochaine fois. Car il est évident que cette soirée n’est que le prélude à d’autres moments de plaisir avec ma voisine.
***
Lorsque nous avons terminé, je regarde Marie-Catherine remettre son chemisier sans avoir eu le droit de s’essuyer. Je viens de lui dire que je garde son soutien-gorge en souvenir. Quand elle a fini de boutonner le chemisier, j'attrape des ciseaux et je m'approche d'elle. Avec un sourire, je coupe les trois boutons du haut.
— Je les garde aussi !
Sur le pas de la porte alors que je lui souhaite de passer une bonne nuit, je me recule et la fixe profitant de son super décolleté.
— Que regardes-tu comme cela ?
— Toi, chiennebcbg…
Elle baisse les yeux. Je comprends qu’elle n’aime plus être appelée comme cela. Mais je n’en ai cure.
— Tu porterais mieux ton nom si tu retirais ta culotte !
— Nooon… Pas ça… Hervé, s’il te plait… on peut me voir de la rue…
— Donne-la moi !
Je montre mon téléphone, sans dire un mot de plus. Aussitôt, je la vois relever sa jupe. Nous sommes dans la nuit, dans l’obscurité, personne ne peut rien voir. La maison est assez loin de la rue et les lampadaires n’éclairent pas jusqu’à nous. De plus, nous sommes protégés par la haie. Je sais que je ne la mets pas en danger malgré l’éclairage au-dessus de la porte.
Elle se dandine un peu pour faire glisser sa culotte. Je devine la chair pâle de ses cuisses au-dessus des bas noirs. Lorsque la culotte arrive à ses chevilles, elle se penche pour la ramasser. Je tends ma main.
Je vois le désespoir dans son regard quand elle me donne ce bout de tissu noir. Je prends le sous-vêtement et le déplie devant moi.
— C’est une culotte de grand-mère ! Je m’attendais à quelque chose de plus sexy… Pour ta punition d’être aussi peu sexy, tu vas la glisser dans la boite au lettre en face… Sous le lampadaire. Je te surveille d'ici. Gare à toi si tu n'obéis pas.
— Oui, d’accord Hervé !
Je la regarde sortir du jardin et se diriger vers la boîte aux lettres des Ménard, un couple de quadragénaires, enfin de Frédéric, le pauvre est veuf depuis quelques mois. Je souris en pensant à sa réaction en découvrant cette culotte en ramassant son courrier.
Après s'être acquittée de sa tâche, Marie-Catherine monte dans sa voiture pour aller retrouver son mari.
Il me tarde de savoir si elle se présentera demain matin comme je le lui ai demandé. Mais, chaque chose en son temps, il est l'heure d'aller dormir. Je dois me lever tôt.
Avant de me coucher, j'appelle ma femme en vidéo pour lui demander des nouvelles de son père. Elle me répond de son lit vêtue juste d'un petit débardeur à fines bretelles qui me permet d'apprécier la beauté de sa généreuse poitrine de jeune quinquagénaire.
De nouvelles pensées lubriques me viennent à l’esprit, mais je verrais cela plus tard en fonction de l’attitude de Marie-Catherine.