vendredi 19 avril 2024

Rééducation de Bourgeoises Hautaines -09- Nouvelles Epreuves

 

Didier :

Lundi soir, 21h00, j’arrive enfin chez moi, épuisé de mon week-end avec Philippe. Mais bon, il a maintenant une petite secrétaire toute dévouée. Je jette mon sac dans un coin, me sert un verre et m’affale dans mon canapé. 

J’ai envie de voir Charlotte, elle m’a manqué ma petite chienne. Je prends mon téléphone, trouve son numéro et lui envoie un SMS : "Trouve un prétexte ! Chez moi dans 10 minutes !"

Je regarde la grande horloge fixée sur le mur. Il ne se passe pas dix minutes avant que l’on frappe à la porte.

— Entre !

Charlotte pénètre dans mon appartement. Elle porte un jogging un peu informe. Je suppose que c’est ce qu’elle doit mettre quand elle est tranquille chez elle. Je fronce les sourcils. Elle le voit et baisse la tête gênée. Puis elle se dépêche de venir au centre de la pièce, de se déshabiller et de se mettre en position au milieu du salon, jambes écartées, mains sur la tête, regard fixé sur le mur au-dessus de moi.

Je la regarde pendant un bon moment sans parler. Elle attend sans broncher.

— Comment vas-tu petite chienne ?

— Bien Monsieur !

— C’était quoi cette tenue horrible ?

— Je suis désolé Monsieur, je n’ai pas eu le temps de me changer et mon mari se serait posé des questions si je l’avais fait.

— D’accord, j’avais envie de te punir pour ça, mais tu as une excuse. Est-ce que tu as fait quelque chose pendant ces quatre jours, qui mériterait une punition ?

Elle réfléchit et me dit :

— Non Monsieur !

— Tu es sûre ?

Je vois que le doute s’installe dans son esprit. Elle doit se demander si je sais qu’elle m’a désobéi pour une chose ou si je bluffe. Mal assurée, elle répond :

— Euuuhhh non Monsieur !

— As-tu toujours eu le plug ?

— Oui Monsieur, comme vous me l’aviez demandé. Tous les jours je le mets avant le travail et le retire au retour chez moi.

— Et ce week-end ?

Elle réfléchit encore, je la vois trembler. Elle doit essayer de se rappeler mes instructions pour savoir si elle devait le porter ou non.

— Je ne l’avais pas Monsieur.

— As-tu baisé avec ton mari ?

Je la vois souffler de soulagement à mon changement de sujet.

— Oui Monsieur !

— As-tu joui ?

— Non Monsieur !

— Depuis combien de temps n’as-tu pas joui ?

— Depuis le week-end chez votre ami, quand vous m’avez fait jouir Monsieur !

— Ça te manque petite chienne ?

— Oui Monsieur ! S’il vous plaît Monsieur, puis-je parler ?

— Je t’écoute !

Je la vois alors s’agenouiller à mes pieds, baisser la tête, les mains dans le dos et dire.

— S’il vous plaît Monsieur, je vous supplie de me sodomiser. J’ai besoin de sentir votre bite dans mon cul, S’il vous plaît Monsieur…

— Ah ah ! Tu veux échapper au plug ! Je dis non, pas tout de suite. Retourne te mettre en position !

Elle se relève et se replace debout au milieu du salon. Je sors de mon canapé et m’approche d’elle. Je fais le tour de son corps en faisant glisser un doigt sur sa peau blanche. Je le passe sur sa poitrine, son ventre, ses hanches, ses fesses. Elle frissonne. Je me replace alors face à elle, mon visage très près du sien.

— Embrasse-moi !

Elle est tout d’abord interloquée, puis elle réagit et pose ses lèvres sur les miennes. Je sens sa langue dardée contre ma bouche. Je l’ouvre et lui laisse titiller la mienne. Nous avons un long baiser langoureux, elle les mains sur la tête, moi les mains sur son gros cul.

Puis je romps le contact. Je vois qu’elle est désorientée, se demandant sûrement la raison de cet acte. Je retourne m’asseoir sur le canapé et je lui dis :

— Je vais t’autoriser à jouir ce soir. Mais, je suis épuisée et je ne peux rien faire. Alors débrouille-toi avec ma bite !

Elle s’approche de moi et s’agenouille. Elle défait mon pantalon et sort ma bite semi-raide avec précaution, comme s’il s’agissait d’un trésor. Elle la lèche lentement avant de la prendre en bouche. Il ne faut pas longtemps avant que je bande comme un âne.

Elle lâche alors mon engin, monte au-dessus de moi, les genoux sur le canapé. Puis elle reprend ma bite et la guide alors qu’elle s’empale dessus. Nous gémissons en cœur. Elle pose ses mains sur mes cuisses et commence à monter et descendre sur ma queue. Je lui prends les seins et les tripote, tirant sur ses mamelons bien durs. Elle semble ne pas sentir la douleur. Elle a fermé les yeux et sa respiration est rapide. De la sueur apparaît sur son front. Elle commence à accélérer le mouvement et bientôt je la vois pousser un cri en souriant. Elle vient de jouir, ma bite nage dans sa chatte humide. Elle tremble et je sens qu’elle n’a plus beaucoup de force pour bouger. Je mets alors mes mains sous ses fesses et je la soulève puis la repose. Après quelques répétitions de ce mouvement, je remplis son ventre de ma semence. 

Nous restons ensuite immobiles quelques secondes. Je fais glisser Charlotte sur le canapé à côté de moi et lui laisse reprendre ses esprits. Après une ou deux minutes, sans que je dise quoi que ce soit, elle glisse du canapé pour s’agenouiller devant moi et s’applique à bien nettoyer ma bite.

— Tu as aimé petite chienne ?

— Oui Monsieur, Merci Monsieur !

— J’espère que tu en as profité, parce que tu ne sais pas quand tu auras le droit de jouir à nouveau. D’ailleurs, je veux qu’avant de mettre le plug le matin et après l’avoir enlevé le soir, tu te caresses et que tu arrêtes juste avant l’orgasme. Je veux que tu sois continuellement excitée. Compris ?

— Oui Monsieur !

— Bon va rejoindre ton mari, il va s’inquiéter !

— Oui Monsieur !

Elle va récupérer ses vêtements et les tient en boule sur sa poitrine. Elle se dirige vers la porte. Elle s’habillera sur mon palier. Alors qu’elle a la main sur la poignée, je la vois hésiter et se tourner vers moi.

— Monsieur ?

— Oui quoi ?

— Je voulais vous dire que mon mari a accepté un poste à l’étranger. Il part samedi pour trois mois.

— Ok !

Elle sort et referme la porte. Voilà que ça m’ouvre d’autres perspectives. Mais j’y penserai plus tard. Il faut que je me couche et me repose, j’ai une journée bien remplie le lendemain. Et mon ami Alain sera chez moi tôt.

Le lendemain matin, Alain et moi prenons un café dans un bar face à l’appartement de Natacha. Nous parlons de la secrétaire de Philippe, Agnès. Nous attendons que Natacha revienne de l’école. Elle devrait être seule toute la journée, Alain m’ayant averti que son mari est en débriefing au ministère pour sa dernière opération. Bientôt nous la voyons arriver les mains sur la poussette avec le petit dernier. Elle porte un jean avec un petit pull léger. Nous décidons de la rejoindre.

— Bonjour petite salope !

— Hein ! Euhhhh…. Bonjour Monsieur Didier, bonjour Alain !

Je la vois étonnée et un peu effrayée de nous voir. Je me tourne vers mon ami et lui dit :

— Tu ne trouves pas qu’elle est un peu familière avec toi ? A moi elle me dit Monsieur.

— Oui c’est une chose à régler ! Me dit Alain l’air sévère.

Elle ouvre de grands yeux en entendant notre échange.

— Allez, invite-nous chez toi ! Tu vas appeler le père Sylvain pour lui dire que ton gamin est malade et que tu ne peux pas le rejoindre.

Elle ne dit rien et ouvre la porte de son immeuble. Nous voilà bientôt chez elle. Elle prend le petit Baptiste endormi et l’emmène dans son petit lit. Puis elle téléphone au père Sylvain. Nous nous sommes installés sur le canapé dans le salon. Quand elle revient, elle semble embêtée, elle tord ses mains. Je la vois prendre une grande inspiration et dire :

— Écoutez-moi s’il vous plaît, tout ce qui s’est passé n’aurait pas dû se produire. J’aime mon mari et je n’aurai jamais dû le tromper.

Elle voit que mon visage se ferme.

— Euhhh… Je vous remercie… J’ai apprécié l’attention que vous m’avez porté… Mais je ne peux pas continuer…

Je la regarde encore plus durement. Je fixe ses yeux. Je vois une larme se former. Elle n’arrive pas à soutenir mon regard et baisse la tête.

— C’est vraiment ce que tu veux ? Tu as oublié notre discussion ? Il faut que je te remontre les photos que tu nous as envoyées ? Je parierais ma fortune sur une chose : Je suis sûr que depuis que tu nous as vus ce matin tu mouilles, ce n’est pas vrai ?

Elle ne répond pas. Je continue alors :

— Voilà ce que l’on va faire. Soit tu nous dis de sortir tout de suite, soit tu te déshabilles !

Elle hésite pendant une minute en tordant ses mains devant elle, tête toujours baissée. Je la vois rougir sous ses cheveux blonds. Enfin, elle se baisse et enlève ses chaussures. Ensuite elle tire son pull au-dessus de sa tête, déboutonne son pantalon qu’elle laisse tomber. Puis c’est l’ensemble soutien-gorge et culotte qui rejoint le tas de vêtements. Elle n’ose toujours pas nous regarder et se couvre les seins avec un bras, l’autre main cachant son sexe.

— Mains sur la tête ! Jambes écartées ! Tête haute ! Ordonné-je d’une voix qui ne laisse aucune alternative.

Apeurée, elle s’exécute. Une larme coule sur sa joue. 

— Tu as fait le bon choix, Natacha. Mais, nous devons te punir pour ton manque de respect vis à vis d’Alain et ton manque d’obéissance. C’est Monsieur Alain quand vous êtes en privé. Compris ?

— Oui Monsieur Didier ! Excusez-moi Monsieur Alain.

Je me lève du canapé, suivi d’Alain et nous faisons le tour de Natacha en la palpant et la tripotant.

— Joli cul, même si la cellulite commence à apparaître.

— Et ces seins, de vraies mamelles de vache nourricière.

— Elle a gardé un ventre plat malgré s’être fait engrosser plusieurs fois.

Mon but est de l’humilier afin qu’elle soit plus malléable. Alain me connaît et suit mon exemple. Cette fois ce sont plusieurs larmes qui coulent sur le visage tout rouge de Natacha.

— Dis Alain, je viens de parier ma fortune, tu ne veux pas voir si j’ai raison.

Mon ami ne se fait pas prier, il descend sa main sur la chatte de Natacha, la fait glisser sur sa fente et introduit deux doigts rapidement dans son sexe. Il les ressort presque immédiatement et il me les montre. Ses phalanges luisent de la mouille de la mère de famille.

— Tu vois que j’avais raison petite salope, tu mouilles donc je suppose que tu aimes ce traitement.

Elle baisse la tête en sanglotant.

— REPONDS !

— Euhh... oui Monsieur Didier !

— Bien, lèche les doigts d’Alain !

Elle ouvre la bouche pour laisser entrer les doigts de mon ami et elle s’applique avec sa langue à bien les nettoyer.

— Bon ! Passons aux choses sérieuses. Tu sais que tu dois être punie. Je n’ai pas amené ma badine, donc nous allons te fouetter avec nos ceintures, cinq coups pour ton manque de respect envers Alain et cinq coups pour ta désobéissance. Est-ce que ça te paraît correct petite chienne ?

— Oui, Monsieur Didier.

Je vois dans ses yeux qu’elle a peur. Je lui explique les règles :

— Tu compteras chaque coup et nous remercieras. Je veux que tu restes debout. Si tu t’écroules, je doublerai le nombre de coups. Compris ?

— Oui, Monsieur Didier !

Alain s’est placé derrière elle. Je lui fais un signe de tête et il abat immédiatement sa ceinture en cuir sur le fessier de la belle. Elle crie, sursaute et a un mouvement involontaire de fuite en avant. Mais elle se ressaisit très vite et se remet en position :

— Un, Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain !

A mon tour, je fais claquer ma ceinture sur ses cuisses.

— Ouille ! Deux, Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain.

Avec mon compère nous alternons nos coups, lui derrière, moi devant. Natacha continue de compter, mais bientôt elle pleure à chaudes larmes tout en serrant les dents. Je suis le dernier à la frapper. Ma ceinture s’abat en travers de ses seins et laisse une belle traînée rouge.

— Ouille ouille, snif… Dix… snif… Merci… snif… Merci Monsieur Didier, merci Monsieur Alain.

Je m’approche d’elle et essuie de ma main les larmes qui coulent le long de ses joues. Son corps est couvert de striures rouges, mais ce sont ses cuisses et son cul qui ont le plus pris.

— Je crois qu’il va falloir que tu caches le résultat de ta punition à ton mari pendant un ou deux jours. Mais tu as bien résisté Natacha et je suis très fier de toi ! Qu’en penses-tu Alain, elle mérite une récompense ?

— Oui pour sûr !

— Bien ! A genoux petite soumise, tu vas nous sucer.

Dans la seconde elle s’exécute et sort nos bites de nos pantalons. Elle commence à nous faire une fellation digne d’une professionnelle. Elle alterne entre Alain et moi. Elle y met vraiment de l’énergie, elle veut vraiment nous faire plaisir. Je sens que je ne vais pas résister longtemps à ce traitement. Alors je lui fais lâcher ma queue et je vais m’asseoir sur son canapé.

— Viens me chevaucher petite chienne ! Dis-je

Elle laisse la bite d’Alain et viens se positionner au-dessus de moi avant de s’empaler sur mon membre qui rentre sans difficulté dans sa chatte bien humide. Elle se lève et descend sur mon sexe plusieurs fois avant que je passe mes mains derrière elle pour l’attirer sur mon torse. Sur le moment elle ne comprend pas pourquoi. Mais quand Alain se positionne derrière elle, sa bite sur son petit trou, elle grimace.

Mon ami force l’entrée interdite, et pénètre son cul déjà bien endolori. Natacha pousse un cri de douleur, mais je vois sur son visage que la douleur disparaît devant le plaisir d’être complètement pénétrée. Tandis que nous la baisons en rythme, je vois de l’extase sur son visage. Elle a les yeux fermés et passe sa langue sur ses lèvres. Il faut peu de temps avant qu’elle pousse un long cri de bien-être et s’écroule sur mon épaule. Nous continuons à la baiser et lui provoquons des répliques de l’orgasme qu’elle vient de subir. Elle n’arrête pas de gémir de plaisir sur mon épaule. Involontairement elle pousse son cul sur nos bites pour que nous nous enfoncions encore plus en elle.

Quelques minutes plus tard, Alain et moi jouissons et remplissons son ventre de nos foutres. Alain se retire et vient s’asseoir à côté de moi. Je soulève le corps inerte de Natacha pour le poser de l’autre côté. Elle a toujours les yeux fermés, la respiration très lourde, elle est épuisée de sa série d’orgasme. 

Je la laisse récupérer pendant cinq minutes, puis je lui tapote la joue. Elle ouvre les yeux.

— Nettoie-nous ! Dis-je.

Avec difficulté, elle sort du canapé pour se placer entre nos jambes et lécher soigneusement nos attributs virils. 

— Tu n’as pas une petite faim Alain ?

— Oui, l’exercice ça creuse.

— Quand tu auras fini de nettoyer, tu seras gentille et tu iras nous préparer quelque chose à manger. D’accord petite chienne ?

— Oui Monsieur Didier ! Dit-elle après avoir sorti ma bite de sa bouche.

Quelques instants plus tard elle se lève et se dirige vers sa cuisine. Nous regardons son corps strié de rouge, un mélange de sperme et jus glissant sur ses cuisses. Elle nous tourne le dos pour nous préparer des sandwichs.

Alain se lève alors et la rejoint. Il la recule légèrement du plan de travail, écarte ses jambes avec ses pieds et pénètre sa chatte d’un coup sec. Elle pousse un long gémissement :

— Ooooooooohhhhhhhhhhhhhh

Alain agrippe ses seins et commence à la baiser violemment. Il prend de l’élan pour bien enfoncer sa bite au plus profond. Natacha abandonne son travail sur les sandwichs. Elle agrippe le plan de travail pour se tenir sous les assauts répétés de mon ami. Bientôt elle jouit à nouveau, accompagné d’Alain qui se vide une nouvelle fois en elle.

Après s’être fait nettoyer, mon compère me rejoint sur le canapé, un sourire de satisfaction sur son visage. Dix minutes plus tard, Natacha, fatiguée, revient avec un plateau chargé de sandwichs et boissons. Elle pose le tout sur la table basse et attend, debout, ses prochaines instructions. Nous nous servons et je dis :

— Suce-nous !

Elle se remet à genoux et s’applique à nous faire plaisir. Alain et moi mangeons avec appétit pendant que la mère de famille nous tire des gémissements de bonheur. J’éjacule dans sa bouche en pensant qu’il faut bien qu’elle se restaure elle aussi. Elle avale sans un mot avant de retourner s’occuper d’Alain.

A la fin de notre casse-croûte improvisé, je sors de la poche de mon manteau un collier en cuir que je tends à Natacha.

— Désormais, tu garderas ça avec toi et tu le mettras quand tu dois nous rencontrer.

Elle est effarée devant ce collier et ses yeux s’agrandissent quand elle voit l’inscription gravée dessus : « S : Salope, suceuse, soumise ». Je sens qu’elle veut protester, mais elle réfléchit et baisse la tête en disant :

— Bien, Monsieur Didier.

Avec Alain nous nous rhabillons, et après une dernière claque sur le cul de notre hôtesse, nous sortons de chez elle. Je quitte mon ami sur le trottoir. Je veux passer à l’agence pour voir si Charlotte continue de suivre mes instructions

Dix minutes plus tard, j’entre en trombe dans la boutique et me dirige vers le bureau de Charlotte, sous le regard ébahi d’Adeline.

Je ferme la porte du bureau et regarde Charlotte se lever et venir au milieu de la pièce. Elle porte une robe qu’elle commence à déboutonner. Je l’arrête tout de suite :

— Attends ! Tourne-toi et penche-toi !

Elle m’obéit. Je trousse sa robe et je vois qu’elle porte bien le plug et qu’elle n’a pas de petite culotte. 

— Bien redresse-toi et tourne-toi !

Elle m’obéit encore et reste immobile, les bras sur le côté.

— T’es-tu caressée ce matin comme je l’avais demandé ?

— Oui Monsieur Didier :

— As-tu joui ?

— Oh non, Monsieur Didier !

— Es-tu excitée ?

Elle rougit, de ce beau rouge qui ne va qu’aux rousses. Elle me répond honnêtement :

— Oui Monsieur Didier, très !

— As-tu envie de ma bite ?

— Oui Monsieur Didier, s’il vous plaît Monsieur Didier !

Je la vois hésiter un moment, puis prenant son courage à deux mains, elle continue :

— Je suis prête à vous satisfaire comme vous le voulez Monsieur Didier. Je suis totalement à vous. Vous pouvez faire ce que vous voulez de moi. Baisez-moi Monsieur Didier, je ne veux que votre plaisir.

Je vois l’envie dans ses yeux. Elle ne ment pas, elle veut me faire plaisir et se faire plaisir en même temps. Je souris et lui réponds :

— Pas maintenant, je viens de bien baiser une salope et je suis fatiguée.

La consternation s’affiche sur son visage. Ses yeux viennent de lancer des éclairs meurtriers. Elle est jalouse. Elle se demande sûrement qui ose lui prendre son maître. Je la laisse réfléchir et fulminer. Je quitte son bureau aussi rapidement que je suis venue et je sors de l’agence. Du coin de l’œil, je vois la jeune Adeline se précipiter dans le bureau de sa patronne.

******

Charlotte

Je viens à peine de me poser sur le canapé devant la série du soir que mon téléphone vibre : "Trouve un prétexte ! Chez moi dans 10 minutes !". Je me mors les lèvres, j'ai presque joui en recevant ce message. Je regarde mon mari qui est sur son ordinateur à préparer son départ. Il fait à peine attention à moi.

Je panique. Comment faire, pour aller rejoindre Monsieur Didier, quel prétexte trouver ? En plus, je suis en pull et jogging, ce n'est absolument pas la tenue qui va plaire à Monsieur Didier. Mais si je me change, François va se poser des questions.

— Chéri ! Monsieur Didier vient de me dire que j'ai oublié quelque chose chez lui, il vient de le retrouver… Je vais le chercher, je reviens vite.

— Oui, oui ! Pas de problème, vas-y !

Quelques minutes plus tard, je frappe à la porte de Monsieur Didier. Je crains un peu sa réaction en me voyant dans cette tenue.

J'entre, je me mets nue et je lui explique. Je suis soulagée en constatant qu'il comprend la situation. J'ai un peu peur quand il me parle des consignes qu'il m'avait données. Il n'a que ma parole. Je ne saurais pas lui mentir, il doit le savoir. Je lui dis donc la vérité, que j'ai porte le plug comme je devais le faire et que je n'ai pas joui depuis le dimanche chez Alain, même ce week-end avec mon mari quand nous avons fait l'amour.

Il me croit, je prends mon courage à deux mains et je lui demande si je peux lui poser une question. Quand il me donne son autorisation je m'agenouille et je le supplie.

— S’il vous plaît Monsieur, je vous supplie de me sodomiser. J’ai besoin de sentir votre bite dans mon cul, S’il vous plaît Monsieur…

— Ah ! Ah ! Tu veux échapper au plug ! Non, pas tout de suite. Retourne te mettre en position ! me répond-il.

Je suis au bord des larmes, je suis désappointé mais je me relève et je me remets en position. Monsieur Didier me tourne autour, il me caresse, un de ses doigts me frôle. Je frissonne. Puis soudain, il me dit :

— Embrasse-moi !

Prise au dépourvue, je ne sais pas comment réagir. Je prends confiance, puisqu'il me le demande, je veux lui offrir le meilleur baiser que je n'ai jamais offert à un homme. Je fonds littéralement quand je sens ses mains sur mes fesses. J'aimerai que ce baiser n'en finisse pas.

Il finit par reculer et aller s'asseoir sur le canapé.

— Je vais t’autoriser à jouir ce soir. Mais, je suis épuisée et je ne peux rien faire. Alors débrouille-toi avec ma bite !

A ces mots, je jubile, même si vais devoir m'appliquer. C'est merveilleux que Monsieur Didier m'autorise à prendre du plaisir sur son sexe.

A genoux devant lui, je sors sa queue pas encore tout à fait raide et je la lèche avant de la prendre dans ma bouche où je la sens durcir et grossir. Quand j'estime qu'elle est au maximum de son volume, je m'installe à genou, au-dessus du sexe raide. Je le guide en moi et mes mains sur les cuisses de Monsieur Didier, je monte et descends sur ce membre qui m'empale. Je suis trempée, cela coulisse tout seul. JE gémis quand il tire et tord mes tétons. Cela me fait un peu mal mais cela accroit aussi mon excitation. Je ferme les yeux et j'accélère. Je vais jouir. Je crie. Je le sens jouir en moi.

Je suis tremblante, jamais je n'ai joui avec cette intensité. Monsieur Didier me repousse doucement sur le canapé où je reste affalée quelques instants.

Je lui souris quand je m'agenouille pour le nettoyer. Je me délecte de ce mélange de son foutre et ma mouille. Monsieur Didier semble satisfait. Je suis comblée.

— Tu as aimé petite chienne ?

— Oui Monsieur, Merci Monsieur !

— J’espère que tu en as profité, parce que tu ne sais pas quand tu auras le droit de jouir à nouveau. D’ailleurs, je veux qu’avant de mettre le plug le matin et après l’avoir enlevé le soir, tu te caresses et que tu arrêtes juste avant l’orgasme. Je veux que tu sois continuellement excitée. Compris ?

— Oui Monsieur !

— Bon va rejoindre ton mari, il va s’inquiéter !

— Oui Monsieur !

Avant de partir, je me rappelle alors la nouvelle la plus importante de ces derniers jours, le départ de mon mari pour l'Arabie Saoudite. Nue, mes vêtements dans les bras, je me retourne vers Monsieur Didier pour le lui dire. Sa réponse laconique me trouble mais je n'en laisse rien paraître et je me rhabille rapidement en sentant le foutre de Monsieur Didier couler entre les cuisses.

Quand je rentre chez moi, François lève à peine la tête de son écran. Je me dirige dans la chambre où je me mets en pyjama. Je ne peux pas retourner prendre ma douche, mon mari serait surpris et se poserait sûrement des questions. Je vais devoir dormir avec la chatte pleine du sperme de Monsieur Didier.

Je m'endors vite et je ne me rends pas compte quand François s'allonge à côté de moi. C'est seulement au milieu de la nuit, quand je me lève pour aller aux toilettes que je sens sa présence. 

Dans la salle de bain, je me caresse comme Monsieur Didier me l'a demandé, me stimuler jusqu'à la limite de la jouissance avant de mettre le plug dans mes fesses. Je remarque d'ailleurs de matin qu'il entre presque sans difficulté. Je ne grimace plus en le sentant passer. Ce matin, j'ose ne rien mettre sous la jupe pour aller travailler.

La journée se passe tranquillement, les clients habituels qui veulent des rabais, les prestataires à convaincre de baisser leurs tarifs en leur faisant miroiter plus de client. Rien de très excitant, rien ne sort de la routine.

Soudain en fin d'après-midi, je vois la porte de mon bureau s'ouvrir brutalement, Monsieur Didier entre. Je me lève et tandis que je commence à déboutonner ma robe, il m'arrête. Il me retourne et trousse ma robe. Il vérifie que le plug est bien en place.

Il me demande simplement si je me suis bien caressée et si je suis excitée.

— Oui Monsieur Didier, très !

— As-tu envie de ma bite ?

— Oui Monsieur Didier, s’il vous plaît Monsieur Didier !

Oui je veux le sentir en moi, jouir sur son sexe, qu'il se vide dans mon ventre, dans ma bouche, dans mon cul, sur moi. Où il veut, je veux son plaisir et le mien.

Mais sa réponse me détruit.

— Pas maintenant, je viens de bien baiser une salope et je suis fatiguée.

Qui a-t-il baisé ? Rachel, elle est en cours. Justine ? elle est encore en classe. La Générale ? peut-être, mais je n'y crois pas trop cela ne semble pas être son style de femme. Une autre, mais qui ?

Adeline entre alors et elle voit mon trouble. Elle ose alors me prendre dans ses bras, c'est une familiarité que je n'aurais jamais acceptée si je n'étais pas dans un tel état de trouble. Elle remarque des larmes dans mes yeux.

— Cet homme, ce n'est pas un client ?

— Non Adeline… Ce n'est pas un client… Mais, promets-moi de ne rien dire !

— Je te le promets Charlotte… Tu peux tout me dire. Mais, je crois que j'ai deviné. C'est ton amant !

Je n'ai pas besoin de lui répondre, je hoche juste ma tête. Elle me passe sa main dans les cheveux et je m'effondre en larmes.

— Allez, fermons l'agence, de toute manière, on ne va plus avoir de clients maintenant. Je t'emmène prendre une bière avec Carole… on va profiter de l'happy-hour entre filles.

Je me laisse entrainer par Adeline dans ce bar du Marais, où la communauté homosexuelle se rencontre. Nous y passons deux bonnes heures, les deux amantes me changent les idées et je finis par rentrer chez moi un peu requinquer.

François ne remarque rien et quand après avoir mis les enfants au lit, je vais me coucher, il me fait juste un grognement pour me dire qu'il va arriver. Je le repousse quand il vient me prendre dans ses bras. Je n'ai pas envie de lui. Je veux Monsieur Didier.

Le mercredi matin, je me prépare du mieux possible. Je veux être prête au cas mon amant déboule dans mon bureau. Aujourd'hui encore, je ne mets pas de culotte sous ma jupe. J'espère toute la journée un message ou sa visite, mais rien.

Il a trouvé mieux que moi. Ce n'est pas possible !

Je passe une mauvaise nuit, je ne trouve pas le sommeil. Les ronflements de François m'agacent. Quand je me regarde dans le miroir ce jeudi matin, j'ai des valises sous les yeux. J'ai du mal à les cacher.

Quand je sors avec les enfants, ce matin, Albert me remet une enveloppe. Monsieur Didier ne m'a pas oubliée. Je la glisse dans mon sac à main, je l'ouvrirai au bureau, je veux profiter de cet instant tranquille. 

Je lis : "Je t'attends à 18h45 !".

Je suis toute excitée. J'envoie un message à Natacha pour lui dire que je ne pourrais pas venir à la salle ce soir. Sa réponse ne tarde pas. Elle aussi sera occupée, elle vient de s'apercevoir qu'elle a un rendez-vous qu'elle ne peut pas reporter.

******

Natacha :

C'est décidé, il est hors de question que cette histoire avec Didier et Alain continue. Je suis dans cet état d'esprit quand je rentre de l'école après y avoir déposé les enfants. Arrivée devant la porte de mon immeuble, j'entends une voix derrière moi :

— Bonjour petite salope !

Je me retourne surprise d'être interpellée de la sorte. Je vois Didier et Alain derrière moi, ils me sourient vicieusement, je suis affolée. Mais quand Didier me dit de les inviter et de dire au père Sylvain que je ne pourrai pas venir au presbytère car Baptiste est malade, je lui obéis et je les fais entrer chez moi.

Ce n'est pas grave, c'est très bien qu'ils soient là, tous les deux. Je n'aurais à dire qu'une seule fois que je ne veux plus continuer. Je couche Baptiste et décidée, je retourne au salon pour les affronter.

— Écoutez-moi s’il vous plaît, tout ce qui s’est passé n’aurait pas dû se produire. J’aime mon mari et je n’aurai jamais dû le tromper.

Je m'arrête quelques secondes en voyant leurs regards se figer. Puis, je reprends.

— Euhhh… Je vous remercie… J’ai apprécié l’attention que vous m’avez porté… Mais je ne peux pas continuer…

— C’est vraiment ce que tu veux ? Tu as oublié notre discussion ? Il faut que je te remontre les photos que tu nous as envoyées ? Je parierais ma fortune sur une chose : Je suis sûr que depuis que tu nous as vus ce matin tu mouilles, ce n’est pas vrai ? me dit Monsieur Didier

Je ne dis rien, je suis déstabilisée. Ce regard ferme, ce ton autoritaire m'excite, il a raison

— Voilà ce que l’on va faire. Soit tu nous dis de sortir tout de suite, soit tu te déshabilles !

Il me faut quelques minutes pour prendre ma décision. J'hésite. Si je me mets nue, dans quoi vais-je m'engager ? Mais si je leur dis de sortir, vais-je supporter de retrouver ma petite vie tranquille et morne de femme mariée, mère de famille ?

Je prends ma décision. Je retire mes chaussures puis mon pull et mon pantalon. Je les regarde. Ils restent silencieux. Je dégrafe mon soutien-gorge que je laisse tomber sur les autres vêtements avant de retirer ma culotte. Dans un dernier sursaut de pudeur, je me couvre les seins et le bas-ventre.

— Mains sur la tête ! Jambes écartées ! Tête haute ! Ordonne Monsieur Didier.

En retenant mes larmes, je prends la position exigée, pendant que Monsieur Didier reprend. 

— Tu as fait le bon choix, Natacha. Mais, nous devons te punir pour ton manque de respect vis à vis d’Alain et ton manque d’obéissance. C’est Monsieur Alain quand vous êtes en privé. Compris ?

— Oui Monsieur Didier ! Excusez-moi Monsieur Alain.

Je les vois se lever. Ils tournent autour de moi. Ils commentent crûment mon corps mes formes. Je me sens comme un simple objet sous leurs regards. Puis Alain introduit brutalement deux doigts dans ma chatte. Je gémis et je me raidis. Il m'a fait mal mais il ressort ses doigts et me les passe sous le nez. Je les vois enduits de ma mouille.

— Tu vois que j’avais raison petite salope, tu mouilles donc je suppose que tu aimes ce traitement, dit Monsieur Didier.

Je pleure, humiliée. Je voudrais disparaitre sous un meuble.

— REPONDS !

— Euhh... oui Monsieur Didier !

— Bien, lèche les doigts d’Alain !

Je le lèche jusqu'o ce que ses doigts n'aient plus aucun goût ce qui semble amuser les deux hommes.

— Bon ! Passons aux choses sérieuses. Tu sais que tu dois être punie. Je n’ai pas amené ma badine, donc nous allons te fouetter avec nos ceintures, cinq coups pour ton manque de respect envers Alain et cinq coups pour ta désobéissance. Est-ce que ça te paraît correct petite chienne ?

— Oui, Monsieur Didier.

Je suis affolée, je n'ai jamais été punie, même mes parents ne me punissaient pas physiquement.

— Tu compteras chaque coup et nous remercieras. Je veux que tu restes debout. Si tu t’écroules, je doublerai le nombre de coups. Compris ?

— Oui, Monsieur Didier !

Soudain, je sens un premier coup de ceinture sur mes fesses. Alain vient de me frapper. Je crie et sursaute pour échapper au coup. Mais je me ressaisis pour les remercier, en larmes. Puis c'est au tour de Monsieur Didier de donner son premier coup, sur le devant de mes cuisses. Je les remercie à nouveau.

Les coups se succèdent, Alain derrière, Alain devant. Je suis en larmes, je renifle. Il ne reste plus qu'un coup, le dernier de Monsieur Didier. Il abat sa ceinture sur ma poitrine. Je hurle. Je suis au bord de l'évanouissement. Comment vais-je cacher ces marques à Pierre-Henri ?

Ils me demandent alors de les sucer. Je m'agenouille et je sors leurs queues des pantalons pour leur offrir la meilleure fellation dont je suis capable. Pendant que j'en suce un, je branle l'autre. Je sens que mes caresses leur font de l'effet.

Monsieur Didier va alors s'assoir sur le canapé et m'invite à venir le chevaucher. Je viens à califourchon au-dessus de lui et je m'empale sur son membre. Alors que je commence à vouloir monter et descendre sus son sexe quand il me plaque contre son torse. Je suis étonnée, car je ne peux plus bouger. C'est alors que je sens le pieu d'Alain se poser sur mon anus. Ils vont me prendre ensemble, un dans la chatte, un dans le cul. Je grimace, je me sens vraiment comme une poupée de plaisir.

Je pousse un petit couinement de douleur quand son gland force l'entrée puis peu à peu le plaisir prend le dessus. Cette sensation d'être remplie des deux côtés est incroyable. Je ne résiste plus et je me laisse aller.

Je jouis en criant comme jamais je ne le fais et je m'effondre sur Monsieur Didier épuisée. Ils continuent de me baiser en rythme me faisant jouir à nouveau trois ou quatre fois.

Ils finissent par jouir en moi. Inerte, je reprends mon souffle, je sais plus où j'en suis. Il me faut du temps pour récupérer. Mais, quand ils me demandent de les nettoyer, je tombe à genou devant et les lèchent tour à tour, même le sexe d'Alain qui sort de mon cul, ne me dégoute pas.

A leur demande, je me rends dans la cuisine pour leur préparer de quoi manger. Mon corps est un mélange de douleur et de plaisirs, j'en tremble encore.

Soudain alors que je prépare les sandwichs, Alain vient dans mon dos et sans rien dire, il me pénètre et me tenant par les seins il me baise sauvagement. Je suis à nouveau submergée par un orgasme. Et je dois me cramponner pour ne pas m'effondrer.

Alain me demande de le nettoyer à nouveau, je lui obéis avant de retourner à leurs sandwichs.

Quand je les leur apporte, je les entends discuter. Je reste debout, attendant ce qu'ils vont me demander. Je suis presque surprise d'entendre Monsieur Didier me dire :

— Suce-nous !

Sans un mot, je m'agenouille et m'applique sur leur queue. Une nouvelle fois je les reçois dans ma bouche et avale leur sperme.

Quand ils sont prêts à partir, alors que je suis toujours nue, Monsieur Didier sort un collier de sa poche avec une inscription, la même que celle du message qu'il avait envoyé avec la photo : "S : Salope, suceuse, soumise".

Je baisse la tête sans un mot, malgré la colère qui est en moi.

Dès leur départ, je me précipite dans la salle de bain pour prendre un long bain chaud pour me laver. Je me sens sale, souillée. Je ne veux plus continuer mais cela a été plus fort que moi. Je n'ai pas pu résister.

Dans la baignoire, sous l'eau je glisse une main entre mes cuisses et je me fais jouir une nouvelle fois.

Ce sont les pleurs de Baptiste qui réclame sa tétée qui me sortent de ma léthargie.

Le soir, à la surprise de Pierre-Henri, je me change dans la salle de bain et vient dans le lit en pyjama. Je me refuse à lui en prétextant une migraine. Les marques de ceinture sont encore bien visibles.

Ce mercredi matin, je suis au presbytère pour le catéchisme des enfants. A mon arrivée, le père Sylvain m'a dit qu'il souhaitait me voir après la séance pour un petit problème de secrétariat.

Quand j'arrive dans son bureau, je suis horrifiée. Monsieur Didier est là, debout à côté de lui.

— Bonjour, suceuse… Où est le cadeau que je t'ai fait hier ?

—L….. Là ! Monsieur Didier, dis-je en sortant précipitamment le collier gravé de mon sac à main.

— Pourquoi n'est-il pas autour de ton cou ?

— Je ne pensais pas vous voir, Monsieur Didier.

Paniquée, tremblante je me dépêche de le mettre. Dans ma panique, j'ai du mal avec le fermoir mais je finis par l'attacher. Monsieur Didier sourit.

— Bien, maintenant nue, et en position !

Je regarde le père Sylvain, je cherche du secours dans son regard mais il est comme celui de Monsieur Didier, fermé et dur.

— Didier m'a dit que tu avais fauté, Natacha… Tu dois te racheter, tu le sais !

— Oui Père, dis-je comprenant soudain qu'il est de connivence avec Monsieur Didier.

Je me déshabille en larmes. Monsieur Didier me demande de me tourner, de montrer les traces de ma punition.

— Qu'en pensez-vous, Père ? 

— Une femme pècheresse doit être punie par ou elle a fauté, vous avez très bien fait… Mais vous avez dite "suceuse" que voulez-vous dire par là ?

Monsieur Didier me regarde, en me disant :

— Montre tes talents au Père Sylvain…

Je suis tétanisée, je ne peux plus bouger, comment ce prêtre peut-il agir comme cela ? ce n'est pas possible. Je vois Monsieur Didier commencer à retirer son ceinturon. Aussitôt je m'agenouille devant le Père Sylvain et je sors son sexe de son pantalon.

Il a un sexe noir, énorme, même au repos. Jamais je ne pourrais le prendre dans ma bouche. Je commence à le lécher, à sucer son gland, à le téter. Je sens des mains sur mat tête pour me forcer à le prendre plus en moi. Je suffoque, je manque de vomir. Je bave. Je pleure. 

Soudain, je sens ma bouche se remplir de sperme, le père Sylvain vient de jouir, un foutre épais abondant. Je suis obligée d'avaler.

Monsieur Didier me tire les cheveux en arrière pour que je leur montre ma bouche vide. Je suis en larmes.

— Alors qu'en pensez-vous ?

— C'est bien, elle commence à se repentir mais il faudra que je la vois plus souvent en confession.

Je ne sais plus où me mettre, je suis toujours nue à genoux et je vois le sexe du père Sylvain se redresser.

-Salope ! Je pense que le père Sylvain a encore envie ! Chevauche-le comme tu sais si bien le faire…

Comme un robot, je me lève et enjambe le ventre du père Sylvain, il guide son sexe monstrueux dans ma chatte. Il me remplit et il commence à remuer.

— Ouvre tes fesses à Monsieur Didier, tu as fauté par la aussi…

Encore plus honteuse, je pose mes mains sur mes fesses et les écarte. Aussitôt, je sens le sexe de Monsieur Didier forcer mon petit trou.

Je pleure, je couine, je gémis mais comme hier, le plaisir prend le dessus sur la douleur et la honte et je finis par jouir alors qu'il me pilonne. Ils se vident en moi.

Je le nettoie et quand ils sont propres, ils me congédient. 

De retour chez moi, je tente de faire bonne figure devant les enfants. Mais j'aurais voulu prendre une douche. Me laver de ce sperme qui est encore ne moi et qui coule dans ma culotte.

Que suis-je en train de devenir ?

Je passe la nuit à repenser à ces évènements, à ce que Monsieur Didier me fait subir. A côté de moi, mon mari dort paisiblement. Je voudrais pouvoir lui dire mais c'est impossible, je suis complètement piégée. Je ne peux en parler à personne.

Quand le jeudi matin, je reçois un message de Monsieur Didier me disant qu'il m'attend à 19 h chez lui, je lui réponds "Oui Monsieur Didier, je serai là".

*****

Didier.

Ce mercredi matin, Je vais voir le père Sylvain. J’ai longuement parlé avec Albert son cousin. Celui-ci m’a dit que son cousin avait dû souvent changer de paroisses pour des aventures avec certaines bigotes. Au moins, en voilà un qui préfère les femmes consentantes plutôt que des petits enfants de cœur innocents. Il me plaît ce curé.

Après avoir discuté avec ce charmant prêtre et lui avoir expliqué ce que je voulais faire, nous attendons tranquillement que le cours de catéchisme se termine. Le père Sylvain avait auparavant convoqué Natacha.

Quand elle arrive dans le bureau de l’ecclésiastique, elle a un mouvement de recul dès qu’elle me voit. Je décide de la mettre dans le bain tout de suite en lui disant :

— Bonjour, suceuse… Où est le cadeau que je t'ai fait hier ?

Elle est complètement décontenancée. En panique elle accroche le collier que je lui ai offert autour de son cou. En pleurant, elle comprend très vite que le père Sylvain est de connivence avec moi. Elle est effarée, mais elle nous obéit. Elle se déshabille honteuse. Je lui demande de sucer le curé. Elle hésite, mais quand je fais mine de retirer mon ceinturon, elle se jette à genoux devant lui. Elle sort son sexe et écarquille les yeux. Elle n’a jamais dû voir de sexe aussi énorme.

Elle ne sait comment faire pour emboucher ce membre, mais elle est vite aidée par le père qui lui appuie sur la tête. Ce n’est sûrement pas la première fois qu’il « bénit » une de ses paroissiennes. Bientôt il éjacule une grande quantité de foutre que Natacha a du mal à avaler.

Le père Sylvain retire sa bite demi-molle. Mais je suis étonné de le voir reprendre de la vigueur peu de temps après son éjaculation. Sa bite se retrouve bien droite en quelques secondes. J’ordonne alors à Natacha de le chevaucher. Comme je bande moi aussi, je sors ma bite et encule la belle blonde. Prise en sandwich, ses grimaces et ses pleurs se changent bientôt en gémissements de plaisir. Elle jouit et nous avec. Nous remplissons son corps de notre sperme.

Bien sûr, nous lui demandons ensuite de nous nettoyer et nous la renvoyons. Je suis content d’elle, elle s’est comporté en bonne petite pute obéissante.

Je m’amuse bien avec mes deux petites bourgeoises. Il faut que je voie jusqu’où je peux les pousser. Je les invite donc à venir chez moi jeudi soir à la place de leur séance de sport afin de ne pas intriguer leur mari, Charlotte à 18h45, Natacha à 19h00.

Ce mercredi soir, je rends une petite visite à Rachel dans les combles. Je croise Imane, une de mes autres locataires. Voilée elle me dit bonjour en baissant les yeux. Je la connais très peu. Je sais qu’elle a vingt ans et qu’elle est musulmane. De plus elle semble très pratiquante. Ses parents l’ont envoyée en France pour des études de médecine. Je n’ai aucune idée des formes de son corps, tellement elle les cache sous de lourds vêtements. Je me dis alors que c’est un autre défi que je dois relever. Je mets cette idée de côté dans ma tête et rejoins Rachel pour lui donner un peu d’exercice.

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