mercredi 3 juillet 2024

Chantage à la Campagne -02-

 

 

Le lendemain matin, Je prends tranquillement mon petit déjeuner, me demandant si ma proie va venir. Je suis resté en peignoir et caleçon après ma douche, assis dans ma cuisine à écouter par la porte-fenêtre les oiseaux gazouiller dans le jardin.

A neuf heures, je vois Marie Catherine sonner au portail. Je me lève pour l'attendre à la porte d'entrée. Comme hier soir, elle porte une jupe et un chemisier sous un gilet.

Je la fixe. Elle comprend qu'elle doit se mettre seins nus pour entrer. Elle hésite quelques secondes, regardant apeurée à droite et à gauche Je la vois poser son gilet et son chemisier sur le muret de la terrasse. Je tends la main pour récupérer son soutien-gorge de coton blanc très simple, ce qui me déçoit un peu.

— La jupe aussi… dis-je.

— Non, Hervé ! Pas la jupe, je suis dehors.

— Ne me fais pas répéter… dis-je en brandissant mon téléphone.

— Non, non, je ne peux pas…

— Alors, j’envoie une photo !

Elle entend le clic d’envoi et la réception sur son téléphone. Elle regarde et se voit sur son écran, avec sa fille en copie du message. En fait, je n'ai envoyé la photo que sur son téléphone, mais elle ne peut pas le deviner.

— Salaud, me dit-elle en pleurs.

Je la regarde faire glisser sa jupe le long de ses cuisses. Ai-je réussi à briser sa volonté ? Je me le demande. Elle m'apparaît presque nue, seule une petite culotte de culotte blanche, très sage, trop sage protège son intimité.

— Puis-je vite entrer, s'il te plaît ? Hervé !

— Oui entre… je prenais mon café…

Elle est soulagée de ne plus risquer d'être vue. Je constate que comme la veille, ses tétons pointent.

— Tu vas me sucer pour me dire bonjour, n’est ce pas ?

— Oooh… Oui, Hervé, me répond-elle à moitié vaincue. Mais tu iras en enfer pour ça !

— Tu m’y accompagneras aussi… Allez ! Vas sous la table, comme une chienne… et dis-moi, tu as bien un rendez-vous à dix heures avec les dames catéchistes ?

— Heu, oui en effet !

— Très bien… mais applique toi, je ne sens rien.

En culotte sous la table le sexe en bouche, elle s’applique à bien me sucer. J’apprécie ces montées et descentes de ces lèvres, sans oublier les coups de langue sur le prépuce.

— N’oublie pas mes couilles…

Sa langue, délaissant un temps sa succion, lèche en descendant la hampe jusqu’aux bourses, les gobant, titillant avant de remonter emboucher le vit et recommençant méthodiquement.

— Plus bas aussi… il faut tout te dire !!!

Elle relève la tête, surprise, avant de me dire :

— Comment plus bas ? Y a rien !

— Vraiment?

— Ben oui !

— Pourtant sur cette photo, tu sembles savoir qu’il y a autre chose à lécher…

— AAAAh… Nooon…  Noon…  Pas le… Pas le… Je t’en prie Hervé, c’est sale, pas ça !

Je montre le téléphone.

— Je sors de la douche !

— Fu… Fumier ! Tu… tu veux que je… je te lèche le… le c… ?

— Cette image montre que tu l’as déjà fait… donc…

— C’était mon mari !

— Et alors ?

— Charognard ! D’accord ! finit-elle par dire.

Elle descend jusqu'à l'œillet fripé et commence à me lécher entre les fesses. Je ferme les yeux, lui tenant la tête, guidant ses caresses où je veux.

Elle est écœurée, mais elle lèche avec précision mon anus. Je sens le plaisir monter. Je prends alors le soutien gorge de Marie Catherine pour y lâcher des jets de semence dans chaque bonnet. A son regard, je la devine désappointée, ne comprenant pas mon geste et pourquoi j'ai fait cela.

Je lui demande de rester sous la table et de me garder en bouche le temps que je finisse mon petit-déjeuner, ce qu'elle fait sans protester. Je soupire d'aise, ma bite dans ce fourreau chaud et humide. Frissonnant à chaque fois qu'elle déglutit pour avaler sa salive.

***

Quelques minutes avant dix heures et son rendez-vous au presbytère, avec les dames catéchistes, je lui tends son soutien gorge.

— Rhabille-toi, sinon tu vas être en retard… et au fait comme hier, ta culotte elle va dans la boîte aux lettres des Menard.

— Mais, mon soutien-gorge n’est pas mettable, me dit-elle.

Je la vois hésiter à retirer sa culotte. Je prends une paire de ciseaux et avec deux coup de ciseaux, je coupe l'élastique de la culotte de chaque côté de ses cuisses. Je prends la culotte coupée et comme hier soir, je l’étale devant moi. Je l’examine en détail.

— Et, encore une fois ! Ce n’est pas une culotte de chienne ! Sur les photos ce n’est pas ce que tu portes…

Elle baisse la tête sans un mot tandis que je lui tends à nouveau son soutien-gorge.

— Enfile-le… sinon de quoi tu auras l'air, les pis ballotant…

— Bien ! c’est ignoble, me répond-elle en serrant les dents.

— Et à dix heures trente, tu m'enverras une photo assise sur les toilettes avec le chemisier ouvert…

Elle est terriblement gênée de sentir cette semence virile sur ses tétons, je suppose qu'elle craint l’odeur qui pourrait se dégager. Puis, elle remet sa jupe et son chemisier que j’ai récupérés sur le muret. Elle regarde sa montre et elle file mettre la culotte dans la boîte aux lettres de Ménard, regardant de tous côtés si personne ne remarque son geste.

En la voyant ainsi vêtue, je me demande si mon sperme va traverser le tissu du soutien-gorge et venir tacher le chemisier pendant la réunion et la réaction que pourrait avoir ces grenouilles de bénitier, surement d’honnêtes mère de famille entre quarante et soixante-dix ans. Mais, après tout, cette chienne l’a bien cherché.

Marie Catherine file au presbytère arrivant avec dix minutes de retard, sous le regard fixe de ses comparses. Elle pique un phare et s'assoit vite, en s’excusant.

Vers dix heures vingt, je lui envoie un message : “tu mettras ton mari en copie de la photo”

Je l'imagine, cachant son trouble devant cet ordre.

***

Ce que Marie Catherine ignore, c'est qu'à cette heure, je suis chez elle en train d'aider son mari dans le jardin. De fil en aiguille, je l'emmène à me faire des confidences sur leur passé libertin. Il me parle de son plaisir de voir sa femme avec d'autres hommes. Je lui réponds que cela me tenterait de voir la mienne dans la même situation mais que je n'étais pas sûr qu'elle soit d'accord.

***

De son côté, Marie Catherine s’excuse et part aux toilettes où elle s’enferme pour ouvrir son chemisier et prendre la photo de son soutien-gorge avec les tâches bien visibles. Elle tremble en mettant son mari en copie terrifiée et envoie le selfie, avant de rejoindre ses collègues, correctement rajustée, cardigan fermé, pour la fin de la réunion.

***

A dix heures trente, mon téléphone vibre. Je ne le sors pas en entendant celui du mari de Marie Catherine émettre un son à la réception du message.

Je le vois regarder et froncer les sourcils.

— Un problème Bernard ? lui demandé-je.

— Non, un message de Marie Catherine…

— Elle a un souci ?

— Oh non, mais cela fait longtemps qu'elle ne m'a pas fait ce genre de surprise…

— Une bonne, j'espère !

— Oh oui ! Regarde !

Sans hésiter, Bernard me montre alors la photo de Marie Catherine.

— Veinard ! J'aimerai bien que Sophie me fasse le même type de surprise…

— Mais, dis moi… pourquoi tu es en copie de ce message ?

Je m'attendais à sa question, j'avais préparé ma réponse.

— Tu m'as dit plusieurs fois que tu aimais savoir que Marie Catherine soit occupée avec d'autres hommes. Je me suis permis de m'occuper d'elle… tu ne m'en veux pas… Regarde…

Je lui montre alors la photo que j'ai prise hier, quand elle est à genou, couverte de sperme dans mon salon.

— Tu la soumets ?

— Elle est encore un peu rétive, mais je devrais y arriver. Si tu es d’accord !

— Oui ! Vas-y mais discret ! Mais,... dis-moi, comment tu as fait ça ?

— J'ai retrouvé de vieilles photos floutées sur un forum et quelques manips avec le bon algorithme et voilà ce que j'ai obtenu.

Je lui montre les photos défloutées.

– Ah oui ! Oui, c’était le bon temps… Mais, chapeau, gars ! Je pensais pas qu'on pouvait. J’espère que tu es le seul à connaître la chiennebcbg ?

— Oui je pense… le forum ou j'ai trouvé ces images est inactif depuis des années. Et cet algorithme n'est pas encore diffusé dans le grand public… Mais, puis-je te confier un secret ?

— Bien sûr !

— J'aimerai bien faire de Sophie une chiennebcbg, aussi… mais elle est plutôt pudique.

— Si ça te dis, pourquoi pas, mais toujours avec le consentement, même caché. Marie Catherine, l’intello, avait la tête qui disait non, mais le corps demandait. Elle nous a inondé plusieurs fauteuils et autres moquettes.

Je souris en imaginant les scènes avant de lui répondre.

— Bien sûr le consentement est indispensable, mais on peut peut-être le provoquer, non ?

— C’est ce que je dis ! Mais j’y pense. Comment dois-je réagir maintenant avec ma femme qui ne m’a rien dit pour hier alors qu’elle sait que j’aime ?

— Peut-être lui imposer un gage…

— Non, j’ai toujours sous-traité. Je suis plus candauliste, voyeur, je n’interviens uniquement lorsque je vois le maître en perdition…

— J'ai une idée qui vient de me traverser la tête…

— Oui, dis ?

— Si tu es d'accord, elle pourrait s'occuper de Sophie pour en faire une chiennebcbg, et bien sûr, tu pourras en profiter… Je sais que tu lorgnes sur ses formes généreuses…

— Si tu es son maître, c’est à toi de jouer… mais, j’ai aussi une règle qui a sauvé notre couple. Marie Catherine est jalouse. Je m'interdis donc de frayer avec d'autres femmes mais si je peux aider, je suis partant comme voyeur et éventuellement maître, j’ai moins de scrupule avec d'autres femmes.

— Pour le moment cela restera entre nous quatre, ensuite on verra comment Sophie réagit. Mais oui, tu pourras être son maître !

— Tu ne crains pas ma perversité ?

— Non… au contraire ! Tiens ! Et si on se faisait un barbecue dimanche ?

— Si le temps s’y prête, après la messe.

— Oui… Je te laisse carte blanche pour Sophie.

— D’accord et je compte sur toi avec ma douce soit imaginatif et pervers.

— Promis et tout en discrétion.

— Oui car on a une ré…pute… à Sion à tenir.

— Exactement… lui dis-je, amusé par sa remarque.

***

Nous scellons notre accord en trinquant avec une bière au moment où Marie Catherine rentre de sa réunion.

Je vois son regard stupéfait de me découvrir à discuter avec Bernard autour d'une bière.

— Merci pour la photo, lui dit-il en me souriant. Pourquoi l’as-tu envoyé à Hervé, dis-moi ?

Je regarde Marie Catherine, me demandant quelle réponse elle va lui donner.

— Parce qu’il me l’a demandé…

— Et toi, quand un homme te demande une photo cochonne, tu obéis ?

— Heu… oui parce que je sais que c’est ce que tu veux.

— Et pourquoi Hervé ?

— Il a découvert notre passé !

— Et à part le sucer, que t’a-t-il fait faire par exemple ?

— J’ai dû mettre deux culottes chez les Ménard…

— Ah Ah ! Le gars que tu ne peux pas voir ! Ah ! Ah ! Hi ! Hi ! J’espère qu’il y avait ton nom dessus au moins… hihihi !

Marie Catherine baisse la tête en rougissant et en disant que non, heureusement, mais que je n’aime pas ses culottes.

— Moi non plus, lui dit-il. Mais bon ! on n’a plus vingt ans !

J’écoute cet échange silencieusement attendant le bon moment pour intervenir.

— Je pense qu'elle pourrait porter des strings ficelle, non ? Qu'en penses tu Bernard ?

— Je lui demande en vain. Mais, si tu y arrives, bravo ! Surtout avec son prolapsus plus ou moins bien traité, on verra !

— Tu as compris chiennebcbg ! dis-je à Marie Catherine.

— Oui, oui, j’ai compris !

***

A ce moment, mon téléphone sonne. C’est Sophie qui est désolée de m’annoncer qu'elle ne rentre pas pour le déjeuner mais qu’elle sera là en fin d'après-midi. J’en profite pour lui dire que dimanche Bernard et Marie Catherine nous invitent après la messe, pour le déjeuner. Elle est contente.

Cela me changera les idées !”, me dit-elle.

Après avoir raccroché, je regarde Marie Catherine.

— Je pense que cet après-midi, il serait utile que nous allions dans cette enseigne pour adolescentes afin de voir ce que nous pourrions trouver pour Marie Catherine !

A son regard, je comprends qu'elle se demande ce que j'ai en tête.

— Et si tu restais déjeuner avec nous Hervé, me propose Bernard. Qu'en pense Marie Catherine ?

— Heu… oui, oui ! Mais ai-je le choix ? Vous faites la paire vous deux !

Je la regarde comme quand elle s'est présentée à ma porte ce matin.

— Dis moi, n'es-tu pas trop couverte ? lui dis-je.

Bernard laisse faire en me disant que je mène le jeu. Marie Catherine comprend alors qu'elle n'a pas le choix. Elle attend mes ordres comme elle le faisait autrefois avec les autres hommes. Obéir ! Et obéir, c’est tout !

— Retire ce chemisier et cette jupe, tu feras le service juste en soutien-gorge ! ordonné-je.

— Sur la terrasse ? répond-elle, un peu hésitante.

— Vous n’avez pas de vis à vis… donc oui !

Je vois Bernard qui opine du chef, bien qu’il sache que de la rue, la terrasse n’est pas complètement cachée. Sa femme vaincue, obéissante, retire son cardigan, son chemisier et sa jupe. Gênée, car elle sait bien qu’elle n’est pas absolument cachée.

— Voilà vous êtes satisfait ? Je suis en soutien-gorge, les fesses à l’air !

Je tends ma main et caresse une fesse, la palpant, la soupesant.

— C'est un beau cul, n'est ce pas Bernard. Il a dû rendre de nombreux hommes heureux ! demandé-je à Bernard, maintenant que je connais mieux leur passé.

— Je le trouve un peu plat…

Je donne lui donne une petite claque en lui disant de se dépêcher de préparer car nous avons des courses à faire cet après midi.

— Steak haché, frites, cela vous va-t-il ?

— Très bien oui !

Je ne suis pas là pour déguster un repas gastronomique, même si je sais que c’est une excellente cuisinière, un cordon-bleu même. Avec Bernard, nous restons assis pendant que Marie Catherine, dans la cuisine, s'occupe du repas. Je finalise avec lui notre accord au sujet de Sophie, puis il me dit alors :

— Tu vois le chêne derrière la haie du jardin chez le voisin et bien ils ont construit une cabane et je suis sûr que les gamins peuvent nous voir.

— Cela fait leur éducation, dis-je en regardant dans la direction qu'il me montre. Mais à cette heure, ils doivent être à l'école.

— Hihihihi !

Marie Catherine revient avec les plats et nous sert. Je profite de son passage à côté de moi pour flatter sa coupe. Elle sait qu’elle doit accepter cela, surtout que cela la fait mouiller malgré elle.

Quand elle apporte le dessert, je glisse un doigt entre ses cuisses et constate son niveau d’humidité…

— Mais, tu es trempée “chiennebcbg” ?

— Oui Hervé, j’en ai honte, dit-elle en baissant la tête rougissante.

— Tu en as honte mais cela t’excite… Bien… Pour le café, tu sais comment j’aime le prendre maintenant !

— Oui !

— Dis-le à Bernard !

— Oooh ! Je… heu… Hervé aime prendre son café pendant que je… Je le su… suce.

— Voilà, tu peux aller nous les chercher maintenant.

— Oui, Hervé !

— Tu retireras ton soutien gorge pour me sucer, je veux aussi sentir tes pis sur ma bite.

— Oui Hervé…

Elle revient avec les cafés qu’elle dépose sur la table basse puis elle dégrafe son soutien gorge tâché et s’agenouille entre mes cuisses. Elle sort mon sexe en le caressant avec les mains, les pis et la bouche, regardant son mari qui je le vois est lui aussi excité par la situation. Je caresse les cheveux de Marie Catherine. Je la laisse faire. Elle s’applique. Je ne me retiens pas et je jouis dans sa bouche. Elle avale tout mon jus.

Quand elle se relève, je lui dis de débarrasser et de faire la vaisselle que je dois discuter un peu avec Bernard. Elle obtempère sans dire qu’ils ont un lave-vaisselle

— Alors, suis-je à la hauteur de tes espérances ?

— Oui, t’es gentil ! Peut-être peux-tu lui faire dire ce qu’elle est la forcer à être vulgaire avec des mots orduriers qui la coince la BCBG intello.

— Je vais essayer mais je ne suis pas sûr d’y arriver.

— Mais si je pense que tu es un rien pervers, mais il faut te libérer, te lâcher. C’est une chienne ou pas ? Ta chienne ou pas ?

— Oui c’est ma chienne, tout comme Sophie sera la tienne ou ce que tu voudras.

— Lâches toi, elle revient !

— Ma salope, il serait temps sue tu t’habiller pour aller en courses… dis-je à Marie Catherine qui revient, souriante jaune.

— ??????

— N’es tu pas ma chienne, ma salope ?

— Oui !

— Alors enfile ta jupe et ton chemisier… Vu l’état de ton soutien gorge, mieux vaut éviter. J’ai pas envie de faire les magasin avec une femme qui pue la chienne à dix mètres…

— Gloup… Oui ! Bien Hervé !

Elle enfile sa jupe et remet son chemisier évitant de fermer les deux boutons du haut par prudence. Je la regarde et j’ouvre un bouton supplémentaire.

— C’est bon, nous pouvons y aller ! Je te la ramène dans une heure ou deux environ.

— Ok faites ce que vous avez à faire ! nous dit Bernard. Bonnes courses ! T’as ta carte chérie ou ton chéquier avec ton nom dessus.

***

Je conduis tranquillement jusqu'au centre commercial, profitant des feux pour caresser la cuisse de Marie Catherine. Je trouve une place assez loin de l’entrée. Nous nous approchons de l'enseigne presque vide en cette après-midi de semaine. Aussitôt, une vendeuse vient nous proposer son aide.

— Ça devrait aller, lui dis-je. Mon amie cherche les strings, vous pouvez nous indiquer le rayon ?

— Oui bien sûr, au fond du magasin à droite…

— Merci mademoiselle !

Sans rien dire, je me dirige vers le rayon que nous a gentiment montrer la jeune vendeuse un peu perplexe de voir une femme de cet âge dans ce magasin.

Je savais que les ados raffolent des strings, mais je ne m'attendais pas à en voir autant, certains semblent même provenir directement d'un sex-shop tellement ils sont minimalistes.

— On va trouver ton bonheur, je suis sur…

Marie Catherine lève les yeux au ciel, se sentant ridicule dans ce magasin lolita sans soutien gorge et sans culotte. Je prends cinq ou six modèles de formes et de couleurs différentes, mais, que des strings ficelles bien sûr.

— Tu vas être superbe avec ça… une vraie chienne bcbg…

— Pfuuuuuu…

— Que dis-tu ?

— Heu… Oui… Oui Hervé !

— Il y a ta taille en plus, alors ne te plaint pas ! Au fait, en traversant le magasin, j’ai vu une jolie jupe plissée rose et un crop-top vert pomme. Ils seront parfaits aussi…

— Oooh non ! Non, je vais être ridicule !

— C’est moi qui vais décider… tu vas les essayer…

— Oh pas ça Hervé ! Tout ce que tu veux à la maison mais pas ici.

— Alors, si tu ne veux pas les essayer, ne te plains pas s'ils sont trop petits…

— Sois raisonnable, s’il te plait, Hervé !

— Je te laisse le choix…

— Ooh ! Bon d’accord je les essaye.

Je prends les deux vêtements et nous nous dirigeons vers les cabines. Marie Catherine entre pour se changer pendant que j’attends à l'extérieur et cherchant du regard si je ne pas trouver autre chose

— Alors, lui demandé-je.

— C’est trop court et trop moulant, je pe… peux pas sortir de la cabine comme ça !

J’ouvre alors le rideau pour regarder. Effectivement, la jupe est très courte et le haut moule bien son 90 D.

— Les adolescentes n’ont pas de si grosses mamelles, lui dis-je. Mais on les prend !

— Mais non c’est scandaleux !

— Je suis certain que Bernard aimera… Tiens d’ailleurs je vais lui demander.

Je la prends en photo et envoie un message à son mari.

— Vous êtes fous ! dit-elle désespérée mais excitée à la fois.

La réponse de Bernard ne tarde pas. “si ça te plait Hervé moi ça me va… ça devrait faire un effet bœuf à McDo !“

— Tu vois, il est d’accord… On va aussi prendre le haut en maille de filet et le minishort en jean…

Je vois bien que Marie Catherine se décompose, mais elle accepte aussi de les essayer en me disant que nous sommes des grands malades et que cela va coûter cher. Je lui rétorque que ce genre de magasin privilégie les petits prix au dépend de la qualité. C'était bien tenté de sa part, mais l’argument financier tombe à l’eau. Nous sommes chez H&M pas chez Christian Dior.

A la caisse pour régler ces achats, je remarque avec un certain plaisir sa gêne lorsqu’elle dépose les strings et le reste sur le comptoir.

— Il nous reste un magasin à aller voir, lui dis-je.

Et en moi-même, je me dis que je ne veux pas non plus trop traîner, car je veux être de retour quand Sophie arrivera à la maison. Nous traversons le centre commercial et nous entrons dans une animalerie. Sans hésiter, je conduis Marie Catherine au rayon des laisses pour chien où je trouve un collier de cuir rouge avec sa laisse.

— Tiens ! Ça, c’est parfait pour une chiennebcbg !

Elle ne dit rien croyant qu’elle n’aurait jamais à revivre cela. Pour elle ce n‘est pas nouveau, mais cela fait partie d’un passé tellement lointain. Malgré elle, son corps s'échauffe, je peux le constater à son comportement et je dois dire que le mien n’est pas en reste.

Sur le trajet du retour, particulièrement excité, je décide de faire un petit détour. Je me dirige vers un petit bois où je sais qu’à cette heure nous serons tranquilles. Je me gare et invite ma compagne à sortir de la voiture. Je lui passe le collier et la tenant en laisse, nous nous enfonçons sous les arbres.

Après quelques centaines de mètres, je lui demande de s’appuyer face à un tronc et d’écarter les pieds. Je baisse mon pantalon et mon caleçon et trousse sa jupe. Sans autre cérémonie, je pénètre sa chatte trempée.

Même si je désire en profiter au maximum, la situation depuis hier soir m’excite tellement que je jouis rapidement dans son ventre. Sans que je le lui demande, elle s’accroupit devant moi et nettoie mon sexe avant de le ranger dans mon caleçon.

Quand elle remonte dans la voiture, je lui conseille de soulever sa jupe pour ne pas la tacher avec ce qui coule de sa chatte. Elle s’exécute facilement, je dirai même qu’elle éprouve un certain plaisir à montrer ses cuisses.

Arrivé chez elle, je la rends à Bernard en le remerciant et en lui disant :

— A dimanche, à la messe !

— Ok, à dimanche ! Rien d’autre d'ici là ? me demande-t-il. Alors Que Marie Catherine entre précipitamment dans la maison.

— Je travaille demain et samedi, je n’aurais pas beaucoup de temps. Je dois m’occuper du jardin. A moins que tu ne veuilles passer prendre un café samedi après-midi, lui proposé-je.

— Oui pourquoi pas ?

— Alors à samedi, je dirais à Sophie que tu ou… vous passerez ?

— Ok on viendra selon tes instructions.

— Tu sonderas Sophie, ok…

— Oui sans problème ! me répond-il, le visage souriant. Je me demande quelles pensées perverses traversent son esprit.

— OK… je rentre, elle ne va pas tarder.

— Tu la salues de notre part avec nos compassions pour son père.

— Promis !

***

Je rentre chez moi satisfait. Je me doutais un peu que Bernard ne verrait aucune objection à ce que je m’occupe de sa femme. Il aime cela, cela lui plait. Ce qui me tracasse un peu c’est de savoir si je vais être capable d’être à la hauteur de ce qu’il attend de moi.

Je me demandai aussi s’il accepterait de s’occuper de ma femme, il m’a donné son accord. Je lui ai promis que comme lui, je n’interviendrai pas dans leur relation, sauf s’il me le demande. J’essaye d’imaginer ma petite femme chérie dans des situations similaires à celles que Marie Catherine a vécue, même si je pense que cela prendre plusieurs semaines à Bernard pour arriver à ce résultat.

Je dois avouer que ces pensées m’excitent terriblement quand Sophie arrive.

Nous prenons tranquillement un café sur la terrasse pendant lequel je lui demande des nouvelles de mon beau-père et je lui dis que Bernard et Marie Catherine pensent beaucoup à elle et sont de tout cœur avec elle dans cette épreuve.

— Je les reconnais bien là, me dit-elle. Toujours prêts à aider les autres. Nous avons vraiment de la chance de les avoir pour amis.

— Oui c’est bien vrai… repose-toi, je vais m’occuper du repas.

— Merci mon chéri, me dit-elle en mettant son transat en position allongée.

Je la regarde. Elle a sûrement les yeux fermés derrière ses lunettes de soleil. Installée comme elle est, elle a remonté sa robe longue sur ses cuisses pour les exposer au soleil. Je peux découvrir le triangle de dentelle rouge de son string qui masque tout juste le petit triangle brun de sa toison.

De la cuisine, je l’observe somnoler.

J’en profite pour envoyer un message à Marie Catherine pour lui demander de ne pas oublier de me faire des photos d’elle avec ses nouveaux sous-vêtements. Je demande aussi à Bernard ce qu’il pense des achats de sa femme.

Je reçois les selfies recto-verso dans la soirée alors que nous sommes confortablement assis sur le canapé avec Sophie, à regarder une émission de variétés à la télé.

— Qui est-ce ? me demande-t-elle.

— Marie Catherine ! Au sujet de dimanche…

— Ok ! me répond-elle en posant sa tête sur mon épaule.

Je la caresse tendrement, laissant glisser sur le bas de son dos et ce qui doit arriver, arrive. Nous abandonnons la télévision pour nous ébattre dans le lit.

Avec la journée que j’ai passée et les images qui défilent dans ma tête, j’ai rarement été aussi ardent. Je partage mon excitation avec ma femme qui en profite largement en jouissant sans retenue dans notre chambre.

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