lundi 29 juillet 2024

Erika : Dresseuse de Couples -14- Au Magasin

 

 

Cela fait plusieurs jours, on pourrait même dire plusieurs semaines que Laure trouvait que sa patronne avait changé. Elle arrivait le matin avec des cernes sous les yeux comme si elle passait des nuits blanches. De plus, il lui arrivait de plus en plus souvent de la laisser gérer seule les clientes pendant des après-midi entières.

Cela ennuie beaucoup Laure qui est amoureuse de sa patronne, surtout qu'elle a remarqué depuis longtemps qu'elle n'est pas insensible aux charmes féminins. En plus, elle lui fait régulièrement des confidences sur le désintéressement de son mari. Lorsqu'elle embrasse Marie-Gabrielle le matin, Laure voit bien que celle-ci cherche à prolonger le contact de ses mains sur ses hanches.

Ce changement date du jour où cette mystérieuse cliente, Erika Karminka, a acheté pour une somme importante des sous-vêtements que Marie-Gabrielle a essayés devant elle. Depuis quand essayons-nous les vêtements que choisissent les clientes, surtout leur petite culotte ? pensait Laure. Ce n'est pas très professionnel.

Laure a donc cherché à savoir qui pouvait bien être cette femme. Grâce à la magie d'internet et des réseaux sociaux, elle a vite retrouvé la trace du Docteur Erika Karminka, spécialiste en rééducation fonctionnelle.

Un matin, elle décide d'en avoir le cœur net et appelle Erika.

— Secrétariat du Docteur Karminka, Bonjour !

— Pourrais-je parler au docteur Karminka, s'il vous plaît ?

— Hélas, elle est en rendez-vous. Laissez-moi vos coordonnées et elle vous rappellera.

— Je suis Laure Le Dreun, de la boutique "Ô Belles Dames".

— C'est noté madame, je lui transmets.

— Merci !

***

Erika, informée par Maeva secrétaire du cabinet médical, de l'appel de Laure, décide de se rendre dans la boutique pour la rencontrer.

— Bonjour Laure, je suis Erika ! Vous vouliez me parler ?

Laure, face à la prestance de cette grande brune, bafouille. Elle voulait se montrer ferme pour lui dire qu'elle savait ce qu'elle faisait à Marie- Gabrielle mais le sourire silencieux d'Erika lui coupe ses moyens. Elle les perd encore plus quand Erika lui caresse la joue du dos de la main.

— Tu es très jolie, ma chérie ! Va fermer la boutique, nous avons à parler.

— Oui Madame ! de suite !

Erika la regarde aller fermer la porte. Elle évalue rapidement le potentiel de la jeune femme aux long cheveux bruns qu'elle sait être lesbienne. Elle l'avait découvert lors de ses repérages pour aborder Marie-Gabrielle. Quand Laure revient, Erika est assise sur le comptoir, sa jupe courte remontée et ses cuisses écartées permettent à Laure de voir la fente lisse de la doctoresse.

Laure rougit, troublée par cette vision que lui offre volontairement Erika, elle en est bien consciente !

— Qu'y a-t-il Laure ? Tu n'aimes pas ?

Laure baisse les yeux. Erika descend du comptoir et vient embrasser Laure qui se laisse faire. Son ventre papillonne, si elle aime ? Bien sûr, mais cette femme l'effraye autant qu'elle l'attire. Elle respire un grand coup quand Erika se recule.

— Bien ma chérie, tu m'as appelée car tu veux me parler de Marie-Gabrielle, n'est-ce pas ?

— Oui Madame, c'est cela ! Marie-Gabrielle ne semble pas aller bien, elle me fait peur !

— Ne t'inquiète pas, au contraire ! Elle est parfaitement heureuse !

— Mais, vous avez vu sa tête ?

— Oui je sais ! Bien sûr ! Je vais t'expliquer. Tu as du thé ? Ça va prendre du temps !

— Oui Madame, je vais le préparer.

Assise avec Laure dans l'arrière-boutique en buvant du thé, Erika lui explique que Marie-Gabrielle est sa soumise, tout comme Olivier. Elle la rassure en lui disant que c'est un choix libre et réfléchi du couple. C'est dans leur nature, il y a des gens qui sont naturellement soumis et des gens comme elles deux qui sont du côté des dominants

— Moi, dominante ? Réplique Laure.

— Oui tu es une dominante, toi aussi. Oh ! pas une dominante comme je le suis, tu as besoin d'être guidée, pour habiter pleinement dans ton rôle. Mais, tu es une dominante !

— Si c’est le cas, expliquez-moi comment me comporter !

— Bien sûr ! Tu vas être au magasin, mon relais auprès de Marie-Gabrielle ! Tu vas soumettre ta patronne. Elle en a besoin. Un besoin vital comme manger, boire, ...

— Mais comment puis-je faire cela ? je ne sais pas faire !

— Tu verras, c'est inné en toi. Je le sais !... Je t'ai apporté dans ce sac quelques accessoires pour t'aider dans cette tâche.

— Eh bien, oui, Madame, si vous le dites…

— Autre chose…

— Quoi ?

— Pour le moment, tu ne parles pas de notre rencontre à Marie-Gabrielle. D'accord ?

— Oui Madame.

Pendant qu'elles parlaient entre elles, Erika massait la cuisse de Laure. Sa main est remontée jusqu'à sa culotte et lorsque Erika a approché ses lèvres, Laure a fermé les yeux et a répondu à son baiser. Quelques minutes plus tard, Laure est à genoux en train de lécher la chatte d'Erika.

Laure était toute chamboulée, cela semblait aller trop vite ! Elle dominante ? Sans doute, car cette Erika lui paraissait savoir de quoi elle parlait. Mais elle venait de se laisser vraiment faire sans rien dire… et de se retrouver à genoux devant elle. Mais est-ce vraiment incompatible ?  L’essentiel est d’avoir éprouvé du plaisir et un plaisir partagé ! A quand la prochaine fois, finissait-elle par se demander. Avec envie !

***

Marie-Gabrielle est encore sous le choc de son viol par son beau-père. Quand elle arrive ce matin-là, à la boutique, elle est dans un état second.

— Tu vas bien Marie-Gabrielle ? demande Laure. Tu n'as rien à me dire au sujet d'Erika ?

— Comment cela ? Pourquoi me parles-tu d'elle ?

— Eh bien ! Tu te souviens l'autre jour quand tu m'as demandé si je la connaissais. Je t'avais dit que non. Mais, j'ai fait quelques recherches et en fait si, je la connaissais. Je l'avais rencontré un jour dans une soirée avec des amies. Je suis désolée, j'aurais dû m'en souvenir !

— Oh Laure ! Si tu savais. Si je l'avais su, peut-être que je n'en serais pas là où j'en suis aujourd'hui !

— Explique-moi, demande ingénument Laure.

Marie-Gabrielle avoue l'intégralité de ses relations avec Erika. Elle lui explique même comment se passent ses nuits et son état d'excitation permanente. Quand elle se tait, Laure ne dit rien. Elle pose ses mains sur les genoux de la petite rousse puis, quelques secondes plus tard, elle demande.

— Tu ne m'as pas tout dit. Je le sais, je le vois.

Marie-Gabrielle parle alors de sa séance dans la boîte et de ce que son beau-père lui a fait. Laure frissonne. Ce que ne sait pas sa patronne, c’est qu’Erika lui a raconté cet événement ! Aussi elle n'est pas surprise mais ne laisse rien paraître. Elle prend alors Marie-Gabrielle dans ses bras pour la consoler.

— Tu t'es sentie comme une petite pute, n'est-ce pas ?

— Oui, Laure je me suis sentie une petite pute.

— Et tu aimes cela être une petite pute, dis-moi ?

— Oui j'aime ça ! Oh Laure, que suis-je devenue ?

— Tu es devenue une petite pute. Tout simplement ! Une petite pute qui aime être traitée comme telle ! D'ailleurs regarde toi ! Tu portes des jupes ras la moule, des talons si haut que même les putes n'en portent pas de tels, tu exhibes ta poitrine à toutes les clientes…. Que me caches-tu d'autre ?

Complètement déstabilisée par les paroles de Laure, Marie-Gabrielle commence à trousser sa jupe. Laure découvre les tatouages de sa patronne.

— Tu vois tu es une petite pute. C'est écrit sur ta peau.

— Oui Laure, je suis une petite pute.

— Alors, c’est très clair pour moi maintenant ! Et cela doit l’être aussi pour toi, je suppose ! A partir de maintenant, appelle-moi Mademoiselle ! Compris petite pute ! Et terminé pour le "tu", quand tu t'adresseras à moi, ce sera "vous" Mademoiselle !

— Oui Mademoiselle !

— Bien ! Alors va ranger la réserve avant de regarnir les rayons ! Et ensuite tu viendras me lécher.

— Oui Mademoiselle, bien sûr ! Avec plaisir !

Dans la réserve, Marie-Gabrielle réorganise les stocks et sort les produits manquants en magasin.

— Dépêche toi Petite Pute, ça va être l'heure de l'ouverture !

— Oui Mademoiselle, je me dépêche !

— Et c'est quoi ce classement, pourquoi je trouve ce 42 devant ? Il devrait être entré le 40 et le 44, non ?

— Oui Mademoiselle, dit Marie-Gabrielle. Je suis désolée.

— Tu peux, oui ! Ça mérite une punition ! Mais, je n'ai pas le temps, là ! On va ouvrir ! Donc en attendant, va dans une cabine d'essayage, enfile ta cagoule et à genoux, mains sur la tête et tu attends que je t'appelle ! Je te punirai à midi.

— Oui Mademoiselle ! J'y vais.

Marie-Gabrielle entre dans la cabine et après avoir mis sa cagoule aveuglante, elle prend la pose. Rapidement ses genoux lui font mal et elle commence à trembler. Enfin, alors qu'elle ne s'y attendait plus, elle entend Laure l'appeler.

— Petite pute ! Viens m'aider et bouge ton cul !

Marie Gabrielle rejoint Laure dans la boutique en train de réceptionner une livraison.

Quand la pause déjeuner arrive, elle se demande quelle punition a pu imaginer Laure. Elle est presque soulagée quand celle-ci lui annonce quarante deux coups de martinet sur les fesses, autant que la taille du string mal classé. Dans l'arrière boutique, Marie-Gabrielle doit se mettre nue sans attendre. Laure lui demande alors de se pencher pour pouvoir lui tenir ses chevilles avec les mains et elle commence à faire tomber le martinet sur la croupe de sa patronne.

Laure n'en revient pas. Sa patronne en gémit de plaisir

— Je t'interdis de jouir Petite Pute !

— Bien Mademoiselle, je ne jouirais pas !

Au quarante-deuxième coup, c'est Laure qui est excitée, elle s'assied sur une chaise et demande à Marie-Gabrielle de venir la lécher. Ses gémissements de plaisirs remplissent la petite pièce et elle jouit sous la langue maintenant experte de Marie-Gabrielle.

Marie-Gabrielle ne comprend pas pourquoi elle est aussi excitée par le fait que Laure, enfin, Mademoiselle, s'occupe d'elle ainsi. Elle est vraiment devenue une petite pute. Elle s’imagine presque en train de faire le trottoir ou attendre le client dans une fourgonnette stationnée dans un chemin forestier, comme on en voit de temps en temps.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire