mardi 16 juillet 2024

Chantage à la Campagne -03-

 

Je profite du soleil de ce samedi après-midi pour passer la tondeuse dans le jardin. Il ne me reste plus que quelques dizaines de mètres carrés à tondre quand je vois Bernard arriver. Je suis un peu surpris de le voir seul.

— Je pensais que Marie Catherine t’accompagnerait.

— Elle finit un gâteau pour demain et elle arrive…

— D’accord ! Sophie est sur un transat de l’autre côté, elle profite du soleil.

— Elle a bien raison !

— Rejoins-là, je termine ici, je prends une douche rapide et j’arrive.

— Ok !

Je laisse Bernard faire le tour de la maison. Il découvre Sophie allongée sur son transat, ses lunettes de soleil sur les yeux. Comme à son habitude, quand elle nous sait seuls, elle a retroussé sa robe d’été dévoilant ses cuisses. Je sais aussi que quand elle se met comme cela dans le jardin, elle ferme les yeux et somnole. Le bruit de la tondeuse de l’autre côté de la maison, ne l'empêche pas de s’endormir. Il est évident que Bernard verra le fond de la culotte de ma femme, surtout s’il arrive discrètement.

***

En passant derrière la maison, Bernard découvre ma femme langoureusement allongée. Il la regarde discrètement se questionnant sur ma demande. Il pense que j'ai de la chance car je peux faire chanter Marie-Catherine alors que lui ne peut jouer sur ce registre. Comment procéder ? C’est un dilemme. Une grosse drague serait incongrue et décalée par rapport à ce couple d’amis pense-t-il. même si c’est le souhait du mari, la femme n’est pas dans ce trip. Il va falloir la jouer fine. Il regarde la culotte en dentelle blanche de Sophie. Il prend une photo. Il avance à pas de loup, sans un bruit. Arrivé à un mètre de ma femme, il se racle la gorge en disant, en rigolant :

— Heureusement que je ne suis pas le facteur !

Sophie sursaute mais elle ne rabat pas sa robe alors qu’il est là devant elle. Peut-être une ouverture ? se dit-il;

— Ah c’est toi ? Je ne savais pas que tu passais, Hervé est toujours devant ?

— Dis donc, on dirait que tu aimes montrer ta culotte ? dit-il en souriant.

— Euh… dit-elle en réalisant sa position. Euh… non… ce n’est pas ce que tu crois…

— Mais je ne crois rien, je vois c’est tout et je ne m’en plains pas !

Sophie rougit et attrape l’ourlet de sa robe pour la descendre un peu.

— Tu n'es pas obligée si tu veux bien bronzer…

Elle ne sait pas comment réagir, ayant un peu peur de ma réaction.

— C’est vrai, mais… J’aime bronzer oui, en plus ma peau bronze vite… mais… comment te dire…

— Oui, dis-moi on est entre amis non ? Et ça me fait plaisir ! Tu n’as rien contre me faire plaisir ?

— Non, au contraire… dit-elle rougissante.

— C’est gentil Sophie de bien vouloir me faire plaisir. Tu peux donc probablement faire mieux. Tu dois savoir comment faire non ?

— Euh… non… je ne sais pas… répond-elle, un peu déstabilisée se demandant où notre voisin veut en venir.

— Ma chère Sophie, tu montres ta culotte à qui peut entrer sans prévenir ! Est-ce bien normal ou de l’inconscience, voire du désir ?

— Je te jure que ce n'est pas volontaire… dit-elle, en tentant de reprendre contenance.

— Certainement, mais imagine que par mégarde la photo de ta culotte que j'ai prise bien sûr malencontreusement, sans intention, puisse tomber entre des mains malveillantes, que se passerait il ???

— Tu ne laisserais pas une telle chose arriver ? répond-elle affolée. Réalisant mais un peu tard, comme le corbeau de la fable, qu'elle est piégée.

— Bien sûr que non ma chère amie. Je ne suis pas comme ça.

— Ouf… souffle t elle

— Mais imagine… Enfin à ton avis, pour me faire plaisir ?????

— Dis-moi ! dit-elle paniquée. Oui, pour te faire plaisir. Dis-moi !

— Si je te demande de remonter ta robe, cela pourrait-il me faire plaisir à ton avis ?

— Oui sûrement…

Rouge, elle remonte lentement sa robe plus haut dévoilant intégralement sa culotte, permettant à Bernard de voir par transparence la toison brune. Il en profite aussi pour prendre une nouvelle photo.

— Excuse-moi Sophie, mais à voir la tache sur ta culotte, le soleil te fait de l’effet, non ?

— Euh… il fait chaud oui…

— Et pourrais-tu me faire encore plus plaisir ?

— Euh… Oui bien sûr… Évidemment, dit-elle effrayée à cause de la photo.

— Alors, fais-moi encore plus plaisir !

— Comment ?

— A ton avis ? cherche un peu tu dois bien savoir non ?

— Non, je ne sais pas…

— Allons, allons, qu’est-ce que tout homme aime bien ?

Je suis caché à l'angle de la maison et je vois bien que ma femme ne sait pas ce que Bernard attend. Je reste là pour voir jusqu'où il va oser aller.

— Je ne sais pas… aide moi, donne-moi des indices…

— Un indice ? Voyons, heu… Les marques ne sont pas très jolies !

— Quelles marques ?... Non… s’il te plait, je ne peux pas…

— C’est comme tu veux mais, je vais aller voir Hervé !

— Nooon… Je t’en prie… Je ferais, dis-moi…

— Alors, fais… tu sais très bien, tu en as envie, malgré toi, alors lâche-toi !

Je vois alors Sophie faire glisser les fines bretelles de sa robe et dévoiler sa poitrine généreuse, une poitrine qui n’a jamais été exposée au soleil.

— Mon Dieu ! Cache-moi ces seins que je ne saurai voir. Si je ne te connaissais pas Sophie, je penserais que tu es une fieffée coquine pour ne pas dire plus, lui dit Bernard en prenant une photo. Mais ce n’est pas ce que j’aurais aimé. Je vais te laisser à tes problèmes pour aller voir ton mari !

Sophie est complètement déstabilisée, que voulait-il exactement ? Mais elle ne se le fait pas dire deux fois et remonte les bretelles de sa robe. Elle pense comprendre alors ce qu’il veut.

— Bon d’accord… puisque tu insistes… dit-elle toute rouge.

Je la vois soulever ses fesses et retirer son string.

— Tu es content ?

Elle entend le déclic de son téléphone, une photo, puis il tend la main.

— Donne, s’il te plait !

Sophie tend le petit bout de tissu à Bernard.

— Mais, pour qui me prends-tu ? Ce n’est pas la culotte qui m’aurait fait plaisir mais que tu me serves un apéritif à prendre avec Hervé. Franchement je ne sais que penser de toi !

***

Je me réjouis de la manière dont cela se passe. Je toussote alors pour signaler que j'approche, sortant ma femme de cette situation délicate.

— Ah ! Salut Hervé, tu as fini de tondre !

— Oui enfin, c'est bon pour quinze jours…

— Ton épouse se proposait de servir un apéro qu’en penses-tu en attendant Marie-Catherine ?

— Ah oui ! Excuse-moi, chérie. Je ne te l'avais pas dit mais hier, j'ai proposé à Bernard et Marie Catherine de venir prendre l'apéro… cela ne te gêne pas…

— Non, pas du tout ! me répond-elle, venant juste de rabattre sa robe quand elle m'a entendu approcher. Je vais aller le préparer.

Sophie se lève de son transat et va dans la maison pour tout préparer. Je profite d'être seul avec Bernard pour lui demander s’il pense que ma demande est réaliste.

— D'ailleurs ! dis-je à Bernard. Nous avons un nouveau jacuzzi gonflable, j’ai fini de l'installer ce matin, l'eau doit être chaude, vous voudriez l'essayer avec Marie Catherine ?

— Pourquoi pas, mais nous n’avons pas de maillot !

— Nous faisons à peu près la même taille, je peux t'en prêter un et Sophie en prêter un à Marie Catherine ?

— Pour nous, peut-être ! Mais, pour les femmes, pas sûr ! D’un autre côté cela peut être rigolo !

Bernard me tend le string de Sophie en me demandant si cela me convient.

— J'allais justement te poser la question… mais il ne faut pas lui faire peur et la bloquer.?

— Pas si elle réfrène ses pulsions, la peur peut au contraire la décoincer en la disculpant, ce qu'elle fera ne sera pas de sa faute, me répond-il.

— Tu as l’air de mieux connaître le sujet que moi… Mais je crois comprendre ce que tu veux dire. En tout cas pour une première, c’était impressionnant. Tu veux garder le string ?

— En fait, elle a un potentiel à développer, comme tu veux pour le string, mais pas vraiment. Tu sais honnêtement, moi c’est Marie-Catherine qui est le centre de toutes mes intentions. Cependant si je peux te rendre service c’est avec plaisir.

— Je sais et je vais m’occuper de ta femme… lui dis-je.

— D’un autre coté, donne-moi le string ! Il peut finalement m’être utile pour ce jeu de soumission avec ta femme. M’autorises-tu à être grossier avec des mots crus envers Sophie ?

— Tu as carte blanche…. Tout ce que tu veux !

— Fessée aussi ? Et plus, jusqu’où ? Sachant que je ne me maîtrise pas dans ce secteur ?

— Oui fessées aussi, avec ceinture ou cravache…

— En cercle uniquement privé ou cela peut-être partout avec discernement et modération ça va sans dire ?

— Je fais confiance en ton discernement.

— Je pourrai donc l’envoyer au boulot sans sous-vêtement ?

— Oui bien sûr !

— C’est noté ! La voilà qui revient !

***

Marie Catherine qui est arrivée entre-temps a rejoint Sophie dans la cuisine et les deux femmes arrivent ensemble avec l'apéritif et quelques petits gâteaux salés.

Je m’approche de Marie Catherine pour l’embrasser et ma main lui caresse discrètement la fesse. Je lui murmure quelques mots de félicitations pour porter un string comme je l'avais exigé.

— Sophie, pourras-tu prêter un de tes maillots à Marie Catherine pour que nous puissions inaugurer le jacuzzi ?

En rigolant, Bernard s’esclaffe disant que le jacuzzi c’est “à poil”, cherchant à choquer, tel un gaulois graveleux et grivois. Je vois ma femme rougir. Je sais qu'elle n'est pas encore prête à se mettre nue devant moi en présence d'autres personnes.

Marie Catherine tance son mari en disant que ses blagues de potache de bistrot sont mal venues

— On est entre nous, dis-je. On connaît tous Bernard, n'est ce pas Sophie ?

— Oui chéri, dit-elle un peu rouge.

Alors que Bernard lui montre discrètement son string sans que nous le voyons, Sophie soutient Marie Catherine en disant que cela n’est pas convenable entre gens de bonne compagnie, et qu’il est normal qu'elle dise. Il ne faut pas laisser son mari déraper bêtement. Peut-être est-elle effrayée car j'abonde dans le sens de Bernard.

— Tu as toujours le mot juste Marie Catherine, lui dis-je. Mais vous n'avez pas de maillot et vous n'allez pas retourner en chercher.

Je regarde les deux femmes et j'ajoute :

— Sophie tu vas en prêter un à Marie Catherine.

— Euh… oui bien sûr, on ira se changer après l'apéro… dit-elle un peu gênée.

— Il fait bon et on peut prendre l'apéro en maillot, cela donnera un avant goût de vacances, dit Bernard.

— Tu as raison… lui dis-je. Allez vous changer… Bernard, je vais te prendre un maillot.

— Ok, pas de souci pour moi ! Si c’est comme ça.

J'accompagne les deux femmes que je laisse dans la chambre et prend un maillot pour Bernard. Pour ma part, je l'ai déjà sur moi, je l'avais enfilé après ma douche.

***

— Tiens ! Ton maillot ! Ces dames se changent… Je vais servir, que veux tu ? Whisky, Pastis, Martini ?

— Pastis ! Si ça ne te gêne pas, je me change sur place en l’absence de ces dames.

— Comme tu veux, ça ne me gêne pas… J’ai fait du sport et dans les vestiaires on était tous à poil…

— Ben oui ! Forcément, moi aussi, j’ai fait du sport. J’ai même eu quelques petits moments de gloire.

— Moi, ce fut plus modeste…

— Ah ! La jeunesse ! Quelques titres de champion universitaire et de région et une belle place en championnat de France ! Une autre époque où j’étais svelte tout en muscles…

— Moi, juste un titre départemental avec mon club et d'honorables places en régional. Tu es encore bien charpenté.

— Oui, c’est encore correct. Sauf cette abominable brioche. Comme dit un ami, j'ai le complexe du boulanger : grosse brioche, petite baguette !

— A qui le dis-tu… Je suis pareil…

***

Alors que nous rions de nos anciens exploits sportifs, nous voyons arriver Sophie avec un maillot une pièce noir bien enveloppant sous son peignoir éponge ouvert.

— Chéri, il y a un problème pour Marie Catherine… les maillots sont trop grands.

Je réfléchis quelques secondes et je lui dis qu'il me semble qu'elle a toujours ce maillot deux pièces rose fluo qu'elle mettait il y a quelques années.

— Dis à Marie Catherine de le mettre !

— Euh, oui c'est vrai, je n'y avais pas pensé, je vais le lui donner !

— Dépêchez-vous, dis-je. Les glaçons vont fondre…

Bernard la fixe et lui murmure quelque chose dans l’oreille. Je me demande bien ce qu’il a pu lui dire pour qu’elle rougisse ainsi.

Quand Sophie est rentrée, Bernard me dit qu’il lui a montré le string en lui signalant que ce maillot est nul et qu’il lui faut un deux pièces avec un string, ce serait même mieux.

Je sais qu’elle n’en a pas, je me demande comment elle va se débrouiller.

Quelques minutes plus tard, les deux femmes arrivent en maillot de bain deux pièces. Celui de Marie Catherine est vraiment grand pour elle et au moindre mouvement, il ne cache pas grand chose. Quant à Sophie, elle a enfilé le maillot le plus échancré qu’elle possède qui sans être un string glisse un peu entre ses deux globes de chair pâles.

Je dis à mon épouse de s’asseoir à côté de Bernard tandis que Marie Catherine s’assied à côté de moi.

— Ah enfin on va pouvoir boire et grignoter avec deux charmantes belles femmes, dit Bernard qui les voit bien gênées d’être ainsi exhibées.

Je souris discrètement à Bernard en voyant comment ma femme est mal à l’aise dans ce maillot de bain blanc, dont le haut ne massue pas grand chose de sa poitrine.

— Trinquons à cette soirée et au changement pour Sophie, dis-je.

— Ah bon pourquoi ? me demande Bernard.

— Sa cheffe l'autorise à télétravailler trois jours de par semaine. Il me reste quelques finitions à faire dans son bureau, je te montrerai si tu veux…

— Oui avec plaisir ! Mais dis-moi ? Quels jours seras-tu ici ? Demande-t-il à Sophie. Et dans quoi travailles-tu ?

— Mercredi, jeudi et vendredi, répond-elle. Comme assistante RH.

— Et toi, me demande Bernard.

— Oh moi, mon boulot ne se prête guère au télétravail, donc je devrais y aller tous les jours.

Je vois Marie Catherine me regarder tristement. En effet le maillot est réduit par lui-même et un peu trop grand, il laisse quelque peu bailler l’échancrure des jambes, sans parler du soutien-gorge dévoilant un peu trop sa poitrine dès qu’elle remue un peu.

Nous buvons un premier verre, puis je sers un deuxième à Bernard. Le plat avec les petits gâteaux est vide. Je regarde Sophie.

— Ma chérie, tu ne veux pas aller en chercher d’autres ?

— Si bien sûr…

Je sais qu’en allant vers la maison, elle va exposer son dos et ses fesses à peine cachées par son maillot à Bernard. Je regarde Bernard qui ne quitte pas des yeux ma petite femme.

— Tu vois chérie qu’un joli maillot de bain met en valeur !

— Je suis tout à fait d’accord avec toi, souvent les maillots gâchent l’esthétique, ajouté-je.

—Il faut dire que dans ce monde hypocrite une fausse pudibonderie emprisonne la liberté naturelle. On interdit le nudisme mais on laisse défiler une gay-pride devant des gosses !

— Hélas… c’est si vrai !... En tout cas, ces maillots vont bien à nos femmes, non ?

— Effectivement, Marie-Catherine et Sophie font honneur au créateur !

— Tout à fait…

Alors que je dis cela, Sophie revient souriante et retourne s'asseoir à côté de Bernard. Après ce deuxième verre, je propose de profiter enfin des bienfaits du jacuzzi.

***

Pour Marie Catherine, les choses s'aggravent dans le jacuzzi avec l’eau et les bulles qui écartent la culotte sans parler des seins qui essayent de sortir des bonnets. Je la regarde qui voit son mari tout sourire qui n'arrête pas de fixer Sophie. Je suppose que comme l’a dit Bernard, elle éprouve une pointe de jalousie. Elle est entre moi et Sophie alors quasiment en face de Bernard. La mousse générée par les sels et les remous dissimulent en partie les corps sous l’eau. Je glisse ma main sur sa cuisse en la remontant vers son maillot. Mes doigts se glissent sous le tissu lâche ce qui la surprend. Elle se redresse, dévoilant ainsi sa poitrine car le soutien-gorge n’a pas suivi. Elle pique un phare et replonge pour cacher ses seins. Je presse sa cuisse pour lui faire comprendre de remonter.

Obéissante, elle sort sa poitrine de l’eau, l’exposant à notre vue. Sophie la regarde, gênée. Elle comprend que le soutien gorge est trop grand pour son amie. La gêne de Sophie augmente aussi quand elle sent la main de Bernard se poser sur sa cuisse avant qu’il ne lance :

— Le créateur nous gâte aujourd’hui…

Quand les remous cessent, je propose à Bernard de rester pour le dîner.

— Marie Catherine va venir m’aider dans la cuisine, dis-je. Sophie, tu peux rester avec Bernard, détends-toi je vais préparer le repas.

— Quelque chose de simple, me dit Bernard.

— Ne t’inquiète pas, une salade avec un rosé…

— Très bien, me répond-il. Une salade bien garnie bien sûr avec les melons présents.

— Cela va sans dire… dis je amusé.

Marie Catherine me suit. Le haut de son maillot ne cache plus rien, je vois bien le trouble dans son regard. Je suppose qu’elle se pose des questions sur les relations entre Bernard et Sophie, je me demande si je dois lui parler de l’accord que j’ai avec Bernard. Peut-être que cela calmera sa jalousie de savoir que l’initiative vient de moi ? Puis je me dis qu’il est sûrement trop tôt.

Dans la cuisine, je regarde Marie Catherine tout en jetant un œil sur la terrasse pour observer comment cela se passe entre Bernard et Sophie.

— Bon lui, dis-je. Pendant que je vais préparer les melons, tu vas venir t'occuper de moi ! Tu me montres tes nichons depuis une heure… assume maintenant !

— Mais que voulez-vous Hervé ? Nos conjoints sont là !

— La table est loin et je crois qu’ils discutent, ils ne s’occupent pas de nous… Et j’aime que tu me vouvoies quand tu me parles… Cela marque vraiment ce que tu es…

— Je vous en prie Hervé je ne suis pas comme ça !

— Il n’y a que les salopes qui montrent leurs nichons comme tu le fais, non ?

— Mais, c’est vous qui m’avez imposé ce maillot de bain trop grand. Non, je ne suis pas une… une, non !

— Dis le… que tu es une salope…

— Ooh mon dieu… sa.. salope !

— Une salope qui va me sucer à genoux, en bonne chienne obéissante…

Vaincue, Marie Catherine se met à genoux devant moi pendant que je prépare la salade. Depuis la fenêtre, j’observe le manège de Bernard avec ma femme. La table me masque ses gestes et je suis trop loin pour entendre ce qu’il lui dit.

De plus, la caresse buccale de Marie Catherine me procure le plus grand plaisir. Je ne lui avais pas menti quand je lui disais que son exhibition ainsi que la gêne de Sophie m'avaient excité.

Comme je me déplace dans la cuisine, elle est obligée de me suivre pour ne pas que mon sexe sorte de sa bouche. Cela me force à marcher lentement, mais je ne suis pas le plus mal à l’aise.

— Dépêche-toi, j’ai fini la salade… remarque, j’ai préparé dans des bols indépendants, peut être veux-tu que je l'assaisonne avec ma sauce… au lieu de la vinaigrette ?

— Oooh ! Pas ça s’il vous plait, c’est ignoble !

— Pas quoi ?

— Pas de sper….sperme comme vinaigrette

— Et si je demandais à Bernard ce qu’il en pense ? Dis-je en prenant mon téléphone.

— Nooooon ! non ! non ! pas ça ! oui ! oui ! si vous voulez ! Faites la vinaigrette que vous voulez !

— Bien, alors donne moi ton bol !

— Le voilà !

— Vas-y ! Vide-moi dans le bol, je le tiens !

Elle saisit mon vit dur humide de sa salive et le branle jusqu’à l’jaculation qu’elle dirige écœurée dans le bol qui se remplit quelque peu de foutre blanc visqueux et abondant en plusieurs jets puissants qui recouvrent la salade. Elle est obligée pour ne pas salir le maillot de nettoyer ma queue.

— Ça arrive ? demande Bernard depuis la terrasse.

— Oui ! Dis-je assez fort. Un problème de vinaigrette. On arrive… Tiens prends les bols, et ne te trompes pas !

Avant de les prendre, Marie Catherine essaye de réajuster son soutien gorge et sa culotte qui tendent à glisser. Je la laisse finir et j’attrape l'arrière de la culotte et la rentre entre ses fesses.

— Serre les fesses si tu veux que ça tienne !

— Oooooh !

Sans m’occuper de sa remarque, je donne lui donne deux bols et prenant le plateau avec les melons et la bouteille de rosé, nous regagnons les deux autres. En arrivant, je demande à Sophie si elle peut aller chercher ce qui reste dans la cuisine. Je suis certain que Bernard appréciera le spectacle offert par la croupe de Sophie. Je remarque que son maillot est bien rentré entre ses deux globes qui le font presque disparaître.

Pendant le repas, nous parlons de choses et d'autres. J’abuse un peu de la situation en demandant à Sophie d’aller chercher ce qui nous manque, ce qu’elle fait à ma grande surprise sans manifester d’agacement d’être la seule à se lever.

Bernard jubile de voir mes basses manœuvres pour exhiber sa femme tout en faisant plus moins discrètement la même chose avec la mienne. Il se doute que la vinaigrette blanchâtre n’est que du jus de couille d‘autant que la mine de son épouse ne peut cacher son dégoût.

***

Après le café, c’est Bernard qui propose à nos deux épouses de débarrasser et d’aller faire la vaisselle et de ranger la cuisine. Là encore, Sophie s'exécute quant à Marie Catherine, il me suffit de la regarder pour qu'elle se lève.

— Alors ? lui dis-je. Comment cela se passe-t-il avec Sophie ?

— Bien mais j’y vais avec prudence d’autant qu’elle ne comprend pas de voir sa copine aussi passive.

— Je l’ai félicitée sur son popotin callipyge, attirant les yeux et forcément les mains. Elle a rougi quand je lui ai demandé de me le présenter en lui montrant son string quand tu préparais la “vinaigrette” de Marie-Catherine. Elle est donc venue pour que je lui caresse les fesses que j’ai trouvées bien fermes. Tout en pratiquant ce massage je lui ai dit que cela serait sympa qu’elle se le fasse caresser plus souvent par d’autres. Elle a poussé un léger cri de négation et est partie s’asseoir. Je l’ai laissé digérer cette “menace” avec un sourire carnassier, vous laissant le temps de revenir

— J’imagine bien… Mais j’ai aperçu son maillot bien rentré entre ses fesses ! C’est toi aussi ?

— Oh un petit geste malheureux !

— Malheureux ! Vraiment ?

— Tu sais à mon âge. On n’a plus la main précise. Elle tremblote un peu !

— C’est vrai… et pour demain ?

— Non, c’était avec une seule main ! Hihihihhahaha !

— Hahahaha !!!! Et ? Es-tu toujours satisfait de la manière dont je m’occupe de ta femme ?

— Oui bien sûr, continue sans restriction, c’est parfait !

— Merci, et pour toi, pareil, sans restriction ! Demain je vais demander à Marie Catherine de ne pas mettre de culotte pour venir à la messe.

— Pourquoi pas !

— Je ne sais pas si je peux lui demander de ne pas mettre de soutien gorge… Cela est peut-être trop ! Surtout que le père Anatole va encore lui demander de donner la communion avec lui.

— Oui c’est une bonne idée ! Et pour la communion, elle pourra refuser ou accepter. Elle fera ce que tu exigeras.

— Je verrais demain matin… et je sais aussi que Sophie fera une lecture.

— Je pense, excuse-moi, mais qu’il faut qu’elle réalise ce qui se passe sans la coincer. Peut-être lui demanderai-je de me montrer qu’elle a des bas simplement ?

— Elle est à toi, tu fais ce que tu veux ! Tu as son numéro pour lui envoyer des messages ?

— Non… Mais alors peut-être une jupe plutôt courte à la limite, pour la voir se contorsionner pour cacher ses jarretelles ?

— Cela risque d'être amusant, oui.

— Tu lui demanderas son numéro quand elles vont revenir.

— Ok, dès que l’occasion se présente.

Nous voyons alors Sophie qui s’est changée, l’air est devenu plus frais, revient pour nous proposer des cerises à l’eau de vie. Nous oublions systématiquement de les proposer quand nous avons des invités, dis-je à Bernard

— Marie Catherine est passée aux toilettes, nous dit-elle.

— Je vais chercher les cerises, dis-je en me levant.

Je m’éloigne en les laissant seuls.

Bernard profite de notre absence demande à Sophie son numéro qui le lui donne en voyant son string apparaître dans la main de son tourmenteur.

A mon retour, je les vois discuter tous les trois. Sophie semble moins gênée que tout à l’heure en maillot de bain.

Bernard me dit qu’il se fait tard et qu’il est temps pour eux de rentrer. Je les raccompagne jusqu’au portail et je flatte les fesses de Marie Catherine en l’embrassant. Sophie est restée pour finir de ranger.

— Nous avons passé une bonne soirée, dis-je. Il faudra recommencer !

— Avec plaisir !

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