vendredi 8 août 2025

La Dédicace - 04 -

 

Au lycée


Quand son mari rentra, elle prétexta une journée fatigante pour aller se coucher tôt et elle enfila un pyjama pour dormir afin de cacher la ceinture. En allant aux toilettes, elle réalisa que si la ceinture ne la gênait pas pour uriner, il n’en allait pas de même pour le reste. Elle allait devoir attendre jeudi pour se soulager. Elle eut une bouffée d’angoisse.

Il n’en prit pas ombrage et vint se coucher après le match de football. Il s’endormit rapidement après avoir embrassé son épouse.

Ce fut à ce moment-là que le téléphone de Chantal vibra, un SMS.

« Très bien je vous rappelle que je n’ai toujours pas les photos debout jambes écartées et main sur la tête pour ton dossier.

Cela peut être fâcheux pour ta demande d’immatriculation auprès de la confrérie à laquelle j’appartiens. »

« Comment cela ? »

« Je suis membre d’une confrérie qui regroupe des maîtres et des soumis partout dans le monde. En tant que Maître, je me dois d’y inscrire mes soumises » eut-elle en réponse. Elle comprit alors que sa décision de l’après-midi pourrait avoir des répercussions plus importantes qu’elle ne l’avait imaginé.

« Dites-moi Chantal, dans quel établissement enseignez-vous ? »

Elle lui donna le nom de son nouveau lycée en lui expliquant qu’elle avait changé à la rentrée et qu’elle ne connaissait pas encore l’ensemble de ses collègues seulement un mois après la reprise.

« Très bien, Nadia enseigne également dans cet établissement. Elle sera mon œil si cela ne vous ennuie pas, car je dois vous imposer un nouveau dress-code.

À partir de demain vous ne devrez plus porter que des jupes qui ne descendront pas en dessous des genoux et un large décolleté qui doit dévoiler la base de vote poitrine et ainsi laisser votre cou bien en vue et bien évidement des talons hauts. »

Elle pensa qu’elle devait revoit toute sa garde-robe, car elle était plutôt habituée à porter des pantalons et des tuniques du fait de ses formes généreuses. Mais elle lui répondit qu’elle serait vêtue comme il le désirait.

« Je vous laisse maintenant dormir. Bonne nuit. Je vous écrirai demain. »

Elle eut du mal à s’endormir avec la ceinture et les godes qui la pénétraient. À chaque mouvement, elle était proche de la jouissance.

Quand le réveil sonna, elle se leva rapidement pour aller se doucher. Elle fit pipi sous la douche afin de pouvoir nettoyer avec le jet de la douche l’urine qui aurait pu être entre la ceinture et sa peau.

Elle choisir un tailleur foncé et un chemisier blanc sur un soutien-gorge noir, une demande de son maître pendant la nuit. Et elle se chaussa de talons de huit centimètres qui étaient les plus hauts qu’elle possédait.

Lorsqu’elle arriva dans la salle des professeurs, Nadia s’approcha d’elle avec un grand sourire comme si elle la connaissait depuis toujours.

— Chantal ! Je vous attendais. Erwan m’a demandé deux trois petites choses avant que les cours commencent.

Puis elle lui chuchota à l’oreille :

— Viens allons aux toilettes de l’étage !

— Oui Nadia ! dit-elle en la suivant.

Nadia savait que de monter les escaliers allait attiser son trouble et elle le remarqua. Ce qui la fit sourire vicieusement. Les portes du lycée ne s’ouvrant pas avant une demi-heure aux élèves, elle avait le temps de faire ce que son mari lui avait demandé de faire. Quand elles furent toutes les deux dans les toilettes, Nadia referma la porte et fixa Chantal du regard.

— Bon ! Erwan m’a demandé des photos de toi est de ta tenue. Donc si tu veux bien te mettre en position numéro un : tu sais main sur la tête debout jambes écartées.

Obéissante, elle prit la pose demande et Nadia la photographia sous toutes les coutures et transmit aussitôt les images à son époux.

— Merci Chantal ! lui dit-elle en l’enlaçant.

Elle profita de sa surprise pour arracher le bouton du haut de sa jupe ce qui allait s’avérer très inconfortable, car celle-ci risquait de glisser à tout instant.

— C’est pour un petit souvenir ! dit-elle en lui montrant le bouton entre ses doigts, souriante.

— Je te laisse, je file préparer mon cours.

Chantal réalisa que sa journée allait être longue et qu’elle ne pouvait plus presser le pas sans risque de perdre sa jupe. Heureusement pour elle, elle n’avait pas besoin de changer de salle ce jour-là, mais au réfectoire les choses en furent tout autrement. En effet, il n’était pas facile de tenir le plateau avec son déjeuner et de marcher en espérant que la jupe ne glissa pas. Au moment où elle allait s’asseoir, Nadia l’invita à s’asseoir avec deux autres collègues qu’elle ne connaissait pas encore.

— Éric ! Nathalie ! Je vous présente Chantal. Je ne sais pas si vous vous connaissez.

— Non ! dit-elle. Je ne vous connais pas. C’est ma première année dans ce lycée !

— Ne t’inquiète pas l’ambiance est sympa ! dit Nadia en souriant puis se tournant vers les deux autres collègues, elle ajouta :

— J’ai rencontré Chantal hier chez moi elle se fait dresser par Erwan.

Complètement affolée par les mots de Nadia, elle ne savait plus comment réagir. Éric souriait vicieusement. Elle remarqua alors la tenue de Nathalie, très similaire à la sienne avec une jupe droite bien plus courte que celle qu’elle portait et de très hauts talons.

— Elle est novice, mais d’après Erwan elle est très prometteuse ! Et Éric ! Ne fait pas ta tête de soiffard, elle est équipée de toute façon.

Chantal ne savait plus où se mettre, elle aurait voulu être une petite souris pour se glisser sous la table. Surtout que les regards de son collègue se faisaient de plus en plus insistants vers sa poitrine. Nadia le réprimanda comme un enfant.

— Tu sais comment ça se passe Éric, tu laisses Erwan faire son rodage. Il y a des choses qu’elle ne peut pas encore entendre.

Chantal était de plus en plus déstabilisée par cette partie de ping-pong entre les deux et le fut plus encore quand Nadia lui demanda de leur dire comment elle était sous sa jupe. Même si elle l’avait bien laissé entendre quelques minutes plus tôt, elle voulait que sa collègue le leur dît elle-même.

— Je porte une ceinture de chasteté, murmura-t-elle rouge de honte.

— Plus fort, je suis sûre que Nathalie et Éric n’ont pas bien entendu.

Elle répéta ces mots un peu plus fort, de plus en plus rouge.

— Voilà, ce n’est pas si difficile ! Et dis-nous qui te l’a posée et qui en a la clé ?

— C’est Erwan…

Les yeux de Nadia la foudroyèrent et Chantal se reprit en disant :

— Mon Maître me l’a posée.

Nadia sourit et sans insister davantage, elle les invita à finir leur repas avant de retourner dans leur classe. Elle s’était renseignée et elle savait que Chantal tout comme elle, n’avait cours que dans deux heures.

Chantal remonta lentement les deux étages qui conduisaient à sa salle de cours, elle devait faire attention à ce que sa jupe de ne glissa pas pour ne pas dévoiler ce qu’elle portait dessous. Mais la montée faisait remuer les godes dans ses orifices. Elle dut s’arrêter pour calmer l’excitation qui montait en elle. Elle s’installa alors à son bureau pour corriger le dernier devoir qu’elle avait donné à ses élèves. Le premier de l’année qui allait lui permettre de se faire une idée plus précise du niveau de cette classe de terminale. Soudain son téléphone vibra.

« Bonjour Chantal. Nadia m’a raconté votre repas. J’espère que cela vous fait plaisir d’être vu à votre place de soumise. Vu l’engouement d’Éric, je désire que vous lui proposiez une pipe dans les toilettes pour 40 euros. Vous lui direz que c’est moi qui ai fixé le prix. »

Aussitôt elle lui répondit :

« Mais je ne peux pas faire cela… »

Elle ignorait qu’Éric et Nadia avait reçu un message similaire. Elle se disait que si elle l’ignorait, il ne se passerait rien. Les pensées troubles, elle entendit quelqu’un toquer. Nathalie ouvrit la porte après avoir attendu l’autorisation.

— Chantal ! Monsieur Éric désire vous voir dans son bureau à la fin des cours.

— Merci, Nathalie, j’y vais de suite.

Elle suivit la jeune femme, en se demandant ce que lui voulait le CPE. Elle aurait dû comprendre à la manière dont sa collègue lui avait parlé qu’il ne s’agissait pas d’une affaire concernant le lycée, mais elle n’était pas encore parfaitement au courant des règles de langages.

Eric l’attendait assis derrière son bureau, il leva à peine la tête à son entrée.

— Ah ! Chantal ! Fermez la porte à clé, je vous en prie.

Un peu surprise de sa demande, elle obéit néanmoins et resta immobile au milieu de la pièce.

— Vous avez reçu un message d’un ami commun…

Ces mots achevèrent de la déstabiliser, surtout quand il ajouta.

— Je trouve cela un peu cher, mais le prix, c’est le prix. Alors à ce tarif, je veux profiter de vos mamelles.

En tremblant, elle commença à déboutonner son chemisier dévoilant la dentelle du soutien-gorge. Le Maître ne perdait pas de temps pour appliquer les termes du contrat qu’elle avait signé la veille. Éric la regardait faire toujours installée à sa place comme si l’attitude de cette professeure qui dévoilait une opulente poitrine devant lui était naturelle.

— Chantal ! Vous allez vous mettre à poil pour ma fellation, dit-il sans lever la tête.

Humiliée par l’attitude de cet homme, elle acheva de se dévêtir, posant ses vêtements sur une chaise à côté d’elle. Il sourit vicieusement en voyant la ceinture qu’elle ne pouvait pas retirer.

— À genoux ! Les mains dans le dos.

Il attendit qu’elle eût pris la pose pour se lever et s’approcher d’elle. Il tourna autour d’elle, soupesa ses seins. Il prit quelques photos et l’attrapa par les cheveux pour lui tirer la tête en arrière.

— Ouvre la bouche !

Chantal s’exécuta avec les yeux nimbés de larmes. Il ouvrit son pantalon et approcha son gland de ses lèvres. Il le frotta autour de la bouche puis il recula. Il se pencha au-dessus de son visage et fit couler un filet de bave dans la bouche de la femelle humiliée à genoux devant lui. Elle déglutit, choquée, tremblante. Puis il posa son sexe sur les lèvres en attendant qu’elle entrât en action. Sans les mains, elle devait sucer et lécher ce membre qui lui remplissait la bouche. Pendant qu’elle s’activait, il répondit à l’appel d’un parent d’élève.

Il la prit en photo avec son téléphone au moment où il gicla dans sa bouche et sur son visage. Il envoya immédiatement les images à Erwan puis retourna à son bureau, la laissant nue immobile face à lui. Elle n’osait pas bouger et commençait à avoir mal de cette posture pas très confortable. Quelques minutes avant le début de son cours, il l’autorisa à se relever. Quand elle fut debout, il s’approcha d’elle et lui glissa deux billets de vingt euros dans la ceinture.

-— Tu es un peu chère pour ce qui tu offres, mais Erwan saura te bonifier…

Il lui donna une claque sur la fesse par-dessus la jupe quand elle quitta le bureau sans se soucier si des élèves avaient pu se trouver dans le couloir.

Au milieu de l’escalier pour regagner sa classe et parmi les lycéens qui changeaient de salle elle fut obligée de s’arrêter, submergée par un violent orgasme.

Une élève lui demanda si tout allait bien. Elle ne put que lui faire un signe de la tête pour ne pas trahir son état puis parvint à rejoindre la salle de cours. Aussitôt Nadia entra et lui dit qu’elle voudrait la voir après les cours avant de rentrer.

À peine le dernier venait-il de refermer la porte de la classe, que Nadia entra en souriant.

— Coucou Chantal ! Je passe rapidement pour chercher l’argent. Erwan m’a dit que tu as bien travaillé… Tu as droit à cinq pour cent des gains, dit-elle

Elle prit les deux billets et tendit une pièce de deux euros à sa collègue médusée.

Abasourdie, celle-ci regarda la jeune femme quitter la salle. Elle fixait la pièce sur le bureau. Elle s’effondra en larmes en prenant conscience que son acte de l’après-midi était celui d’une prostituée.

jeudi 7 août 2025

Chantage à la Campagne - 23


Au petit matin, je me lève. Sans surprise, Sophie me rejoint nue dans la cuisine. Sa lourde poitrine généreuse, même si elle est tombante, me fait toujours le même effet.

— Tu sais ce que j’ai envie avant de partir ?

— Une petite sodomie, mon chéri ?

— Gourmande… Je la vois rougir. Celle d’hier soir ne t’a pas rassasiée… Prends la pose alors, et peut-être devrais-tu te filmer avec ton téléphone en disant ce que tu es et ce que tu vas faire ?

— Je… Heu… Oui… Tout ce que tu veux mon amour…

— Je suis sûr que cela fera plaisir à Bernard, Paul et monsieur le Maire ?

— Oh non pas Paul ni monsieur le Maire…

— Pourquoi ? Tu avais l’air d’aimer sa saucisse, à Paul !

— C’était sur ordre ! Enfin… Je… comme tu veux…

— Rappelle-moi ce que Bernard a dit, ce que tu es ?

— Oh ! Je suis une salope, une chienne, une truie, chéri.

— Et pas autre chose ?

— Des trous à remplir… me dit-elle en se pinçant les lèvres, mais ses tétons bien durs.

— Tes trous ont-ils des envies ?

— J’ai honte… Oui, mon amour !

— Quelles envies ?

— D’être baisée, prends-moi ! Je suis une chienne, une pute, une salope ! Fourre-moi le cul ! Je suis un réceptacle à foutre !

— Ce matin, je suis pressée donc tu vas juste me faire une somptueuse cravate de notaire. Je laisse à Bernard le plaisir de trouver comment remplir tes trois trous.

Je lis la frustration sur son visage, mais elle s’accroupit et après avoir bavé entre ses gros seins, elle serre ma que raide entre ses deux globes de chair. Je lui caresse les cheveux en regardant le mot truie qui s’efface sur son front.

Je jouis rapidement sur elle et je l’embrasse avant de partir.

Dans la voiture, j’envoie un message à Bernard pour lui raconter ce début de journée. Je suis très curieux de découvrir comment il aura transformé mon épouse si sage et réservée il y a encore quelques jours lorsque je reviendrais de ce déplacement.

***

Un peu plus tard, Marie-Catherine se prépare pour aller à la banque. Mal à l’aise, elle enfile simplement son chemisier et sa jupe par-dessus son porte-jarretelles et ses bas. Heureusement qu’elle portera un blazer par-dessus, mais elle n’est pas rassurée, compte tenu des ordres que je lui donne.

Je profite d’une pause sur mon trajet pour envoyer un message à Monsieur Raffali.

Vous pouvez toucher Madame Mazière mais juste avec les doigts !”

Obéira-t-elle en se mettant nue ?”

Oui elle se mettra nue”

Voulez-vous que je la filme ?”

Elle se filmera elle-même”

Pourra-t-elle me toucher ?”

Avec les doigts, oui”

Elle me branlera donc ?”

Oui”

Je pourrai la couvrir de mon jus ?”

Sur ses mamelles, oui”

Génial et pourrais-je garder sa culotte ?”

Elle ne portera pas de culotte”

Alors que pourrais-je avoir en trophée ?”

son porte-jarretelle”

Ah OK j’aurai préféré le chemisier mais OK”

Affaire conclue”

merci”

Je ne veux pas que cet homme pense que tout lui est dû. Je connais les rumeurs qui courent sur son compte. J’ai aussi effectué quelques recherches et j’ai découvert que Monsieur Raffalli a une épouse qui participe activement à une association caritative. Je suis certain que Bernard trouvera un moyen d’intégrer cette jolie rousse, jeune quinquagénaire à notre troupeau de salopes.

Avant de reprendre la route, j’envoie ces dernières instructions à Marie-Catherine qui les lit, horrifiée mais excitée.

***

En ouvrant le portail pour sortir, elle voit Frédéric qui vient vers elle.

— Salut ma chère voisine, tu vas à la banque ???

— Euh… oui…

— Tu devrais défaire deux boutons à ton chemisier et amuse-toi bien !

Elle obéit, vaincue sachant que sa vie vient de changer définitivement. Elle ne se demande même pas comment son voisin peut-être au courant de son rendez-vous.

Tremblante, elle démarre et prend la direction de la banque. Les ordres qu’elle a reçus lui font honte, mais l’excitation monte.

Elle entre dans l’agence bancaire où Monsieur Raffalli l’attend avec grand sourire.

— Madame Mazière, c’est un plaisir de vous recevoir à nouveau… Allons dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles.

Le banquier profite de l’étroitesse du couloir et de l’autorisation qu’il a reçue pour palper sans vergogne le cul de sa cliente qui se laisse caresser.

Il ferme son bureau à clé et face à Marie-Catherine, il la toise.

— Bien madame Mazière, je pense qu’il sera plus facile pour discuter que vous vous mettiez à l’aise.

— Heu je ne comprends pas bien.

— Fous-toi à poil, la vieille !

— Oooh… je… je… heu… oui d’accord.

Écarlate, la tête basse, elle obéit pour respecter les consignes de son maître. Elle retire son blazer puis sa jupe et son chemisier. Elle apparaît aux yeux salaces du banquier juste en porte-jarretelles noir retenant des bas de couleur chamois. Vaincue, elle ne cherche même pas à cacher ses atours intimes restant les bras ballants face à cet homme.

— Regarde-moi, donne-moi ton smartphone pour te filmer et mets tes mains derrière la tête pour redresser tes magnifiques mamelles en écartant les jambes.

Elle obtempère lui donnant son appareil qu’il cale sur un petit trépied, le mettant en marche, mode vidéo, alors qu’elle prend la position demandée. Elle est mal à l’aise et honteuse, rougissant autant de subir cette humiliation que de sentir sa chatte qui s’humidifie.

Il tourne autour d’elle, l’inspecte comme un maquignon. ll se remplit les yeux avant que ces derniers, sans abandonner leur action, passent le relais à des mains baladeuses. Elles s’attardent sur le cou pour descendre l’une sur le dos, l’autre saisissant un sein dont les tétons pointent. La première main vient ensuite effleurer le fessier un peu flasque. La bourgeoise avilie subit, fermant les yeux, sans pouvoir retenir les frissons qui la parcourent.

— Tu es une belle cliente bien conservée. Penche-toi sur le bureau pour signer le document complémentaire pour finaliser le crédit.

Elle obéit, prend le stylo et se penche pour opérer cet ordre scriptural en acceptant l’écartement de ses jambes par son tyran qui en profite pour lui pincer les tétons, tout en titillant son clitoris.

— Ne bouge pas ! Mais dis-moi que tu aimes ça, car ta chatte est toute mouillée !

— Oooh… je… ou… oui j’aime ça ! balbutie-t-elle.

— Tu aimes parce que tu es ???

— Oooh gloup… je suis une salope…

— Oh oui ! Une belle salope qui va me branler !

— Oui monsieur…

— Mets-toi à genoux et sort mon matériel !

Elle sait qu’elle ne peut que obtempérer. Elle s’agenouille face à Raffalli appuyé contre son bureau, elle ouvre la braguette, extrait le pénis qui est déjà pas mal dressé. Elle le dégage complètement et commence des va-et vient sur cette hampe qui grandit entre ses doigts. Elle ne maîtrise plus son excitation et lorsque le vit est bien dur, elle le prend en bouche et commence à le sucer. Mais, l’employé craintif et peu courageux la repousse.

— Même si tu en as envie, tu n’en as pas encore le droit ! Cela se mérite !

Rafalli tente, en disant cela, de se faire passer pour un mâle dominant malgré sa veulerie. Marie-Catherine est désappointée mais, revenant sur terre, elle sait effectivement qu’il ne faut faire que ce qu’on lui dit de faire.

Elle s’active donc sur cette queue, malaxant les bourses et astiquant ce mât dressé.

Elle mouille beaucoup, fière de voir un homme bander pour elle. Enfin, elle sent la jouissance de l’employé arriver. De puissants jets de semence viennent frapper sa poitrine. Elle est maculée de ce foutre blanc collé à son épiderme vallonné. Il souffle comme une bête, voulant plus mais sachant se contenter de ce qu’on lui accorde, ne voulant pas être viré.

Marie-Catherine se relève devant accomplir la dernière partie du marché entre Rafalli et son maître. Elle retire ses bas et défait son porte-jarretelle pour les donner à l’infâme employé puis elle se rhabille et récupère son smartphone avant de quitter l’agence bancaire en sentant que son chemisier se colle à sa peau, là où le sperme la recouvre.

Sur le trottoir, en regagnant sa voiture, tandis que le sperme de monsieur Rafalli continue de couler lentement entre ses seins et de laisser des traces sur son chemisier, elle reçoit mon dernier message.

Pour ton déjeuner, rends-toi au restaurant routier sur la nationale. Pour ton dessert, tu soulageras un ou deux routiers.”

Elle n’apprécie pas vraiment cet ordre d’autant qu’elle ne sait pas comment soulager ? Elle réfléchit en roulant. Peut-être y aura-t-il ceux qu’elle a déjà rencontrés ? Elle l’espère.

***

Marie-Catherine et Sophie redoutent ces restaurants où elles vont chacune de leur côté, elles le savent, donner de leur personne. Mais, en dépit de cela, elles sont excitées, leurs trous suintent d’envie. Sophie ne comprend pas comment elle peut accepter cette déchéance. Est-elle, comme le lui répète Bernard, une chienne dans un corps de truie ?

Sur le chemin du restaurant, elle se décide à téléphoner à sa voisine pour en discuter.

— Allô ? allô ? Sophie ? je suis en Bluetooth en voiture…

— Tu peux parler quand même ?

— Oui, pas de problème que veux-tu ?

— C’est à propos de ce qui m’arrive… de ce que je deviens…

— C’est-à-dire ?

— Une salope, une chienne, une pute, une truie… comment en suis-je arrivée là…

— Je ne sais pas ??? tu n’aimes pas ça ?

— Au contraire… Je voudrais être baiser tout le temps…

— Alors où est le problème ?

— Ce n’est pas moi, cela ne me ressemble pas ! Je ne suis pas normale… je dois être malade…

— Qu’est-ce que la normalité ? Et crois-tu que je sois normale moi ? à mon âge ?

— Je suppose oui… aide-moi, s’il te plaît… que dois-je faire ? Je fais confiance en ton expérience.

— On croit en avoir mais à chaque jour suffit sa peine. Quand on croit que tout est fini, tout recommence, tu sais !

— Bernard dit que je suis une chienne dans un corps de truie… que je suis juste trois trous à remplir… je commence à le croire… et Paul, qui veut que je travaille pour lui… après mon arrêt maladie !

— S’il y a des avantages pourquoi pas !

— Tu le connais mieux que moi… son office est plus près de la maison, au milieu des champs…

— Oh tu sais, on croit connaître quelqu’un et on a des surprises. Regarde Hervé !

— Oui, je sais, dommage qu’il ne se soit révélé que si tard… j’aurais découvert ma nature de chienne plus tôt…

— Tu es encore jeune, profite !

— Oui tu as raison et tant pis pour la morale. J’aime être baisée, je devrai vivre ma vie de pute et tant pis pour la morale. Tu pourras le dire à Bernard.

— Si tu veux !

— J’arrive au restaurant, je dois te quitter.

— Je ne suis pas loin non plus, à plus tard.

Les deux femmes pénètrent dans leurs restaurants respectifs, se demandant ce qu’elles vont y trouver.

***

Dans le routier, Marie-Catherine découvre une atmosphère chargée de testostérone malgré les deux ou trois femmes qui déjeunent à une table. Elle s’installe dans un coin de la salle qui lui permet de voir ce qu’il s’y passe tout en restant assez discrète.

Elle commande le menu du jour et en attendant d’être servie, elle regarde les clients et se demande comment elle va pouvoir satisfaire l’ordre de soulager un routier. Ceux-ci sont absorbés dans leur discussion avec leurs compagnons de tables et aucun ne s’intéresse à elle. Elle a beau lancer des sourires dans la direction de ce qui lève parfois la tête de leur assiette, aucun déclic ne se profile.

Elle attend qu’il y ait moins de monde. Elle voit alors entrer un bel hidalgo trentenaire au regard d’aigle cherchant sa proie. Quand ses yeux tombent sur elle, elle sait qu’elle doit le regarder, sourire et écarter les jambes pour signaler sa disponibilité. Le contact est établi. Il vient s’asseoir à une table, face à elle. Leurs regards se croisent. Elle rougit. Il sourit. Avec deux doigts qui s’écartent, il montre ce qu’il veut. Elle comprend immédiatement et écarte davantage ses genoux, ce qui fait remonter plus sa jupe. Elle n’ignore pas qu’il n’est pas le seul à voir sa chatte, mais elle n’en a cure. Il prend sa commande puis se dirige vers les toilettes. Pour s’y rendre, il frôle la vieille bourgeoise. Elle le voit passer à ses côtés, les yeux braqués sur son chemisier tâché. Elle est troublée. Elle tourne sa cuillère dans sa crème renversée sans rectifier sa tenue. À son retour, il laisse tomber discrètement un papier sur la table de Marie-Catherine et retourne s’asseoir en continuant de lui sourire. Elle lit en tremblant le petit mot :

belles tâches qui voudraient voir 3 boutons défaits”

Il ne sait pas si cela va marcher mais cette belle femme en face à l’air ouverte, alors pourquoi ne pas tenter. Elle le regarde mal à l’aise.

Elle dégrafe un bouton alors que deux sont déjà défaits, tête basse. Elle ne voit pas que deux plats sont servis sur la table de son admirateur. Elle défait ensuite le quatrième bouton, tremblotante. Le sillon mammaire commence à bien se dévoiler. Pour “m’obéir” par procuration, quand elle dégrafe enfin le “troisième” bouton demandé, elle voit un autre homme, gros, moins avenant qui se retourne, suivant le doigt de l’hidalgo la désignant. Surprise, elle serre les jambes. Le plus jeune ne cesse de la regarder tout en discutant avec son compère, le sourire aux lèvres. Elle voit le geste de la main du premier lui faire le signe explicite de la fessée, puis ses doigts s’écarter. Elle comprend qu’elle doit à nouveau montrer sa moule. Elle sait que ce sont eux qui vont bénéficier de son corps comme exigé par son maître. Sont-ils au courant ou de parfaits inconnus ? Qui sait ?

***

Quelques minutes avant l’arrivée de Marie-Catherine, Frédéric que j’avais informé de la situation, était venu se garer non loin des énormes semi-remorques. Je veux aussi qu’une personne de confiance puisse intervenir au cas où ma voisine se retrouve dans une situation délicate. Il était sorti de sa voiture, il faisait les cent pas en fumant une cigarette quand un poids lourd immatriculé à l’étranger est venu se garer près de lui. Deux hommes en sont descendus, un trentenaire au regard perçant et un homme nettement plus âgé, presque obèse. Le plus âgé vient lui demander une cigarette.

Alors que Frédéric sort son paquet, il voit Marie-Catherine sortir de sa voiture. Il la suit du regard tandis qu’elle entre dans le restaurant.

— Tu la connais, lui demande le gros dans un français approximatif.

— Oh oui, c’est une vieille nympho qui vient voir si elle peut trouver une ou deux bites pour se faire baiser…

Il vit dans le regard du plus vieux un désir lubrique. Ces hommes sur la route depuis plusieurs jours et loin de leur famille avaient envie de se soulager.

— Si ça vous dit, je vous explique comment faire.

— Si señor, dit le plus jeune.

— Alors voici comment vous allez procéder…

Frédéric leur proposa une stratégie d’approche en deux temps. Tout d’abord, le plus jeune entre et attiré le regard de Marie-Catherine, puis quand elle sera appâtée, l’autre le rejoindra.

***

Dans le restaurant, les deux hommes profitent du spectacle que leur offre gracieusement Marie-Catherine. Ils savent que ce n’est que l’apéritif d’un repas plus copieux qui leur sera servi dans la chambre à l’étage que le bel hidalgo vient de réserver sur les conseils de Frédéric.

Cette dernière est très mal à l’aise de s’exhiber ainsi dans un restaurant. Elle à honte et se sent humiliée ce qui malgré elle l’excite. L’adrénaline monte et son cerveau raisonnable n’arrive plus à contrôler son corps déraisonnable. Elle rougit encore plus quand un nouveau serveur lui apporte une Marie-Brizard offerte par ces deux messieurs en face.

— Pour heu… Excusez-moi ce sont leurs mots, pour la vision de… Heu… vos mamelles, c’est leur mot ! Qu’ils voudraient mieux voir. Je suis désolé, avec le chemisier ouvert, ! Je n’y suis pour rien, sans obligation. Je ne fais que transmettre, dit-il en bafouillant, tout en attendant qu’elle défasse les derniers boutons pour lui aussi profiter de la vue.

Tremblante, pivoine, regardant autour d’elle, elle boit d’un trait la liqueur et fermant les yeux libère entièrement les pans de son chemisier qui, naturellement, s’écartent, offrant aux voyeurs la vision de la moitié de ses globes mammaires. Les routiers se délectent plus de la vision de cette salope en rut que de leur steak-frites quelconque. Elle voit le serveur passer à leur table et semble distinguer un échange discret de billets. Il revient vers elle, moins timide et il lui dit d’aller aux toilettes : de retirer son chemisier et de ne garder que sa veste ouverte en revenant et le donner aux deux messieurs. Horrifiée de réaliser qu’elle va le faire, obéissant plus à sa chatte qu’à sa tête. Elle se lève et fait ce qu’on lui demande.

Elle revient blazer ouvert dissimulant mal ses seins et s’approche de la table des routiers à côté de laquelle se tient le serveur qui débarrasse. Elle tend son chemisier à l’hidalgo qui est au téléphone. Il lui fait comprendre que c’est à l’autre qu’elle doit le donner. Elle le fait à contre-cœur tendant le bras ce qui ouvre sa veste, offrant la vue de sa généreuse poitrine aux regards du serveur et du gros.

L’hidalgo lui ordonne de s’asseoir à leur table, comme il faut, répétant, “comme il faut” deux fois, reportant en cela les ordres de Frédéric qu’il a au bout du fil. Elle comprend le message et affolée trousse quelque peu sa jupe pour être cul nu sur la chaise ce qui ne passe pas inaperçu autour d’elle et un léger sifflement s’élève dans le restaurant déjà bien déserté.

La jupe découvre un maximum de cuisses, la veste baille. Elle est exposée comme au foirail ce qui lui donne des papillons dans le ventre, dresse ses tétons et inonde sa chatte.

— Tou es une bellisima female, lui dit le bel hidalgo.

Elle remercie souriant jaune. Tandis que le gros la mate avec une concupiscence perverse.

— Tou va être gentil da pailler no bouffe

Marie-Catherine est tétanisée d’aller à la caisse ainsi, avec sa seule carte bleue, car le routier a gardé son sac en otage. Comme un phare, elle attire les regards des derniers clients. Tremblante, les jambes flageolantes, elle traverse l’établissement dépeuplé à quatorze heures passé. Le serveur désinhibé et sans vergogne prend sa carte pour encaisser.

— Cela fera cent-quarante euros, Madame Mazière aux beaux nichons et petit cul qu’elle va montrer en soulevant sa jupe pour regagner la table si elle ne veut pas que je distribue son nom partout facilement trouvable avec Google comme ça. Il lui montre son téléphone avec son adresse sur Google Map.

Elle est sidérée. Elle regarde tout autour d’elle. Elle ne voit plus que les deux routiers et deux hommes scotchés au bar, bien imbibés.

Prise au piège, maudissant son maître-chanteur, elle récupère sa carte et la met en bouche pour pouvoir trousser sa jupe à deux mains. Elle découvre ses fesses aux routiers et son ventre au serveur qui ouvre bien sa veste. Il la pousse ensuite avec une tape au cul vers les routiers. Elle est écarlate et sa mouille coule sur ses cuisses.

— Tou viens avec nouveau bellisima chaloupe et tou rest comme ça…

Au bar, un des ivrognes n’est que Frédéric, grand comédien avec perruque et fausses moustaches qui sourit sous cape voyant sa voisine jupe troussée aux hanches, poitrine à l’air. Les deux chauffeurs enjoués l’encadrent et la tirent par la bandoulière de son sac à main. En sortant, l’hidalgo fait un clin d’œil au serveur. Pour rejoindre la chambre, ils ont vingt mètres à faire, face au parking où voitures et camions sont garés. Elle n’est pas rassurée et s’en veut que je la piège ainsi mais d’un autre côté, cet avilissement exhibitionniste entre ces deux mâles, augmente sa libido. Elle est forcée, mais elle aime ça.

Un klaxon la fait sursauter avant d’entrer dans la chambre. Là, elle se déshabille sur demande et, nue, tire le rideau de la baie pour dégager la vue. Les mains commencent à la parcourir. Elle est pelotée, caressée, pincée, sucée avant de prendre le vieux en bouche alors que le bel homme lui fourre sa bite dans la chatte. Ils ont dû se shooter, car ils tiennent un bon moment alors que certains curieux regardent de l’autre côté de la baie vitrée. Elle a une première jouissance foudroyante. Grâce aux petites pilules bleues, ils tiennent la distance et échangent les positions. Le gros homme enfile une capote et force sa moule grande ouverte avec un mandrin de bonne facture qui la ramone avec plaisir. Tandis que la bite de l’hidalgo dans sa bouche la lime plus qu’elle ne le pipe. Enfin sa gorge se remplit du foutre du mâle alpha alors que derrière elle, le bedonnant souffle comme une bête, l’insultant dans une langue étrangère avant de remplir le condom, ce qui lui procure une seconde jouissance. Ils reprennent leur esprit quand on frappe à la porte.

— Tou va ouvrir……

— Mais, je suis nue !

— TOOUU VA OUVRIIIR !!!

Marie-Catherine sait qu’elle doit obéir et se dirige vers la porte qu’elle ouvre, inquiète.

— Madame M A Z I E R E, clame à forte voix le serveur. Vos rafraîchissements sont avancés. Aidez-moi à faire rentrer le chariot !

Cela oblige la vieille blonde à sortir nue. Il passe en premier la laissant montrer son cul à n’importe quel voyeur potentiel. Et, plus rapide que l’éclair, il rentre avec le chariot et claque la porte. Elle reste interloquée, nue, dehors. Elle regarde autour d’elle, soulagée de ne voir personne. Elle toque à la porte demandant son ouverture. Elle entend une voix lui demander qui elle est.

— C’est moi… dit-elle avec angoisse.

— Moi, qui ? Répond la même voix.

— Madame Maziere !

— Comment ? je n’entends pas.

— MADAME MAZIERE.

— Vous êtes quoi ?

— Oooooh… un… une sa salope !

— Pas entendu !

— UNE SALOPE !

— Dites : Madame Mazière la salope !

— Oui… oui si vous voulez !

— Comment ?

— JE SUIS MADAME MAZIERE, LA SALOPE !

— Bien ! Viens devant la baie vitrée montrer ta chatte.

Affolée, mais en transe, elle se positionne face à la baie et avec ses mains écarte sa moule.

— Retourne-toi et montre là à tout le monde…

Elle ne peut qu’obtempérer, surexcitée… La moule baveuse, la poitrine tendue. Quand elle voit un camionneur descendre de sa cabine et venir vers elle, elle panique. Alors, la baie s’ouvre et la voilà happée à l’intérieur.

— Alors, madame Mazière, on aime s’exhiber et se faire tringler apparemment !

— Oui !

— Bien ! Tu vas donc nous contenter ces messieurs et moi !

— Mais, je l’ai déjà fait !

— Regarde leur bite ! On dirait que c’est pas vrai ! Il ne faut pas mentir.

— Mais… je… je… oui… oui…

— Sers-nous donc à boire ! Fais le service ! Mais… c’est quoi ça ? Ajoute-t-il en montrant le préservatif, jeté par terre. Quelle honte ! C’est une maison sérieuse ici ! Ramasse-moi ça et mets-le dans ton verre !

Marie-Catherine complètement sous la coupe de son excitation se penche et ramasse la capote remplie de foutre pour la vider dans son verre.

— Bon ! Maintenant, nous pouvons trinquer avant que les agapes commencent.

Elle est complètement anéantie et déboussolée, mais toujours excitée. Ils boivent tous leur breuvage avec plus ou moins de délectation selon le contenu de chaque verre.

Une nouvelle partie de jambes en l’air commence. Elle est utilisée, manipulée et pénétrée en alternance. Elle perd la notion du temps. Pourtant, il n’y a qu’une heure de défoulement durant laquelle seul son cul est épargné. C’est sur elle qu’ils libèrent leur sperme. Cette fois, ils sont tous repus et elle a enfin le feu éteint.

Le temps d’émerger en buvant, les chauffeurs finissent par s’en aller.

Le serveur lui dit :

— C’était pas mal pour une première fois madame Mazière. Comme dédommagement de tout le travail que j’ai dû faire pour vous satisfaire, je garde votre veste et votre jupe.

— Mais, ce n’est pas possible ! Je ne peux pas rentrer toute nue. Je vous en prie !

— Qui vous a dit toute nue ? Ouvrez la porte et allez dans la pièce d’à côté ! À droite, vous trouverez de quoi vous vêtir.

Sur ces mots, le serveur quitte la chambre avec son chariot. Habituée à obéir, Marie-Catherine frappe à la porte qui ne s’ouvre pas. Elle insiste craintive.

— Qui est-ce ? Lui demande une voix qu’elle semble reconnaître, mais comment cela serait-il possible ?

— Moi !

— Moi qui… ?

Elle comprend et prononce la réponse que l’homme attend.

— Madame Mazière, la salope !

La porte s’ouvre et surprise, Frédéric lui tend un imperméable très court.

— Marie-Catherine tu vas rentrer comme ça, mais avant tu vas me violer !

Malgré sa fatigue, elle déshabille son voisin et se jette sur lui pour le sucer avant d’enfourner sa bite dans sa chatte ouverte.

C’est de la folie, mais elle se sent rassurée et soulagée de la présence de son voisin. Elle lui montre sa reconnaissance en lui donnant le plus de plaisir possible.

Frédéric enfin comblé, elle peut rejoindre sa voiture cachée sous un imper ras du cul, sans bouton, fermant simplement avec une ceinture. Frédéric qui était venu en taxi profite de la voiture de sa voisine.

Cette journée bien remplie la laisse épuisée mais satisfaite. Elle profite de la douceur de l’eau chaude dans sa baignoire afin d’être de nouveau fraîche et disponible au retour de Bernard qui, elle le sait, s’occupe de sa voisine. Fugacement, connaissant la perversité de son mari, elle se demande jusqu’où sa pauvre voisine va être entraînée, mais rapidement cette pensée s’efface de son esprit. À chacune sa vie !

mercredi 6 août 2025

Le Mariage de Anne et Romain : Deuxième journée : La Soirée

 



Il est 17 h quand nous décidons de revenir à la marina. Je redemande à ma filleule si elle a toujours envie d’aller voir ce couple et elle est toujours aussi décidée à mon grand regret. Chacune de nous se prépare tranquillement pour cette soirée qui s’annonce particulière. Cynthia et Bernie ne voulant pas entrer dans le jeu de ce couple, décident de porter des tenues simples et pas attirantes. Jeans, baskets et chemisiers sans aucune connotation sexuelle. Pour ma part, inconsciemment, je m’habille de façon sexy. J’avais pris des talons hauts pour notre seconde soirée en discothèque, une robe légère de saison ainsi qu’un chemisier vert olive très légèrement transparent. Anne, de son côté, ne cache aucunement ses intentions, short hyper moulant, arrivant à mi-fesses, chemisier pigeonnant avec une vue imparable sur le soutif bleu qu’elle a acheté dans l’aprèm.

19 h 30, j’envoie un texto sur le téléphone de David, lui disant que nous partons. D’après le GPS, on en a pour une vingtaine de minutes de trajet. Je sais qu’il nous attend pour 20 h, mais je préfère arriver avec un peu d’avance. Les filles tentent bien de plaisanter dans la voiture, mais on sent la tension que ce genre de soirée nous procure. David habite un mas isolé à la limite de l’Hérault et du Gard. Sur le parking, je distingue seulement une voiture, sans doute la sienne, ce qui voudrait dire que les hommes prévus ne sont pas encore arrivés. Je préfère cela pour qu’on ait moins de gêne en entrant chez lui.

En sortant de la voiture je reçois un texto d’un numéro inconnu, en ouvrant le message, je m’aperçois que c’est l’homme à qui j’ai envoyé mes photos coquines. Ce message est assez hot pour me procurer des frissons le long de la colonne vertébrale et je rougis comme une novice, putain David va croire que je rougis pour lui s’il m’aperçoit ainsi

L’inconnu : « Moi qui pensais être fidèle, je regrette de ne pas avoir été seul cette aprèm car à la vue de votre sexe, j’aurais aimé en découvrir plus et nous faire du bien ensemble. En tout cas, vous avez mon numéro, n’hésitez pas à me contacter, car j’aimerais beaucoup vous revoir. Signé Julien. »

Je referme vite mon téléphone et les filles ne remarquent pas ma subite gêne. Je suis troublée, car d’un coup je me rends compte que moi aussi j’ai presque envie de revoir cet inconnu qui m’attire sexuellement parlant alors que je ne l’ai vu qu’à peine deux minutes.

David nous ouvre la porte, mettant fin à ma rêverie. Il porte un ensemble élégant en lin beige. Il nous fait rentrer et se comporte en parfait gentleman. Nous pénétrons dans une vaste salle à manger-salon, Patricia n’est pas encore là, il nous indique qu’elle a du retard et qu’elle est en train de finir de se préparer. Il commence à nous servir un Mojito à chacune, j’ai beau dire que je ne veux pas d’alcool, il insiste fermement sans être lourd pour que je cède.

David : « Juste un verre, chère Estelle, vous verrez qu’il n’est pas corsé et cela va vous aider à toutes vous détendre. Je vais vous annoncer un peu comment va se passer cette soirée. »

Effectivement son cocktail est dosé juste ce qu’il faut, sans abuser en alcool. Il commence à nous dire que cette soirée est exclusivement réservée à sa soumise Patricia, quatre hommes seront là pour l’honorer. Nous ne sommes là qu’en tant que simple spectatrice. S’adressant directement à Anne il lui dit.

David : « Je sais que c’est vous qui avez émis l’idée de venir ce soir, alors en tant que future mariée je vous demande aussi de bien réfléchir à ce que vous ferez. Je ne veux pas être un briseur de mariage. »

Anne sans être gênée lui répond que son futur époux est au courant de l’endroit où elle se trouve.

David : « Au départ Patricia se retirera avec ces messieurs dans une autre pièce et vous voyez ce miroir, il est sans tain et on pourra tout voir et tout entendre en appuyant sur le bouton à côté de l’interrupteur. Avertissez-moi malgré tout si l’une d’entre vous désire les rejoindre. »

Je constate qu’il consulte régulièrement sa montre et soupire du léger retard de Patricia, quand nous entendons des talons descendre du premier étage.

Elle est terriblement sexy et porte une robe à trous rose, sans aucun dessous avec des talons d’au moins quinze centimètres.

Elle nous sourit et nous embrasse chacune notre tour, quand elle s’approche de David, celui-ci ne semble pas content et lui demande de se tourner, de se cambrer et de lui montrer son cul. Je suis choquée car sans aucune gêne pour nous, elle s’exécute et soulève sa robe pour nous montrer ses fesses nues, où l’on découvre qu’elle porte un beau bijou anal.

David avec une voix calme mais autoritaire lui claque les deux fesses :

David : « Ceci c’est pour avoir fait attendre nos invités, mais heureux de constater que tu portes le rosebud que je t’ai imposé de mettre. »

Patricia est toute penaude et s’adresse à nous en baissant le regard.

Patricia : « Pardon mon Maître pour le retard. »

David lui sert un Mojito et nous trinquons enfin à cette soirée en attendant ses invités « mâles ». Un buffet dînatoire est installé dans un coin de la salle à manger et il a l’air succulent. Patricia n’est pas aussi réservée que la veille et nous parle ouvertement de sa relation extraconjugale. Avec son mari, le sexe était devenu banal et répétitif, elle avait besoin de se sentir encore désirable à son âge et voulait exploiter sa part de soumission. Ils ont rencontré David qui lui a fait découvrir cet aspect caché de sa personnalité. Tout en parlant à toutes les quatre, je vois bien que son regard s’attarde plus sur le mien que sur celui de mes jeunes camarades. L’alcool commençant à légèrement faire son effet, j’ai une légère montée d’adrénaline. Déjà une heure que nous sommes arrivés et toujours pas de trace des hommes. Notre soirée reste amicale et le buffet est un pur délice, le champagne ayant remplacé le Mojito, les filles commencent à être légèrement pompettes. Anne curieuse ose enfin demander à Patricia ce que David a prévu pour elle ce soir ?

Patricia : « Pour vous ma chère Anne, rien ! Vous êtes là seulement en tant que voyeuse, ainsi que les trois autres. Pour moi, quatre blacks vont venir me baiser. Mais si vous voulez aller plus loin et me rejoindre, libre à vous de le faire. »

C’est à ce moment-là qu’on entend sonner à la porte. David se lève pour aller ouvrir. Le visage de Patricia se transforme, on sent qu’elle entre déjà dans son rôle de Soumise. Comme elle vient de nous l’annoncer, quatre blacks entrent dans le salon, je reconnais Mike le serveur de la paillote, moi qui le trouvais déjà balèze c’est presque le plus « maigre » des quatre. Ces messieurs ne semblent pas surpris de notre présence, David a dû les prévenir avant. Mike nous présente rapidement ces comparses.

Mike : « Voici mon cousin Driss et deux potes d’enfance Raoul et Benji. »

Ces quatre gaillards nous impressionnent toutes, hormis Patricia bien sûr. Ne perdant pas de temps, David met au point les derniers détails avec ces hommes.

David : « Mike a déjà participé alors je sais que je peux avoir confiance en lui. Les règles sont simples, baisez Patricia comme il vous plaira, elle adore les mots crus mais attention aucune violence sur elle. Par contre pour ce soir, son cul doit être pris tout le temps. Et n’oubliez pas que cette belle bourgeoise adore lécher les anus alors ne vous privez pas. »

Un frisson parcourt mon corps, cette soirée va vraiment dégénérer dans du hard, je me demande encore pourquoi je reste, je devrais m’enfuir et pourquoi pas répondre à ce Julien. Je prends Anne par la main et lui demande qu’on parte mais elle me répond que voir des blacks en action reste un de ses plus grand fantasme, alors pas question de se débiner.

Patricia s’approche d’Anne, l’embrasse sur les lèvres et lui dit.

Patricia : « Puisque c’est ton enterrement de vie de jeune fille, je vais me surpasser pour te montrer combien nous pouvons être de vraie Chienne quand nous le décidons. Mais attends au moins un petit quart d’heure avant de me rejoindre, car je sais que tu vas venir à un moment ou un autre. »

Elle prend Mike par la main, demande aux trois autres de venir un par un toutes les cinq minutes et part en se déhanchant de façon indécente.

David actionne le bouton et au lieu de nous voir dans le miroir nous apercevons cette pièce secrète. Contrairement à ce que je m’attendais, c’est une pièce normale où un grand divan nous fait face. Pas de croix, pas d’engin de torture. David doit lire en moi, car il vient me murmurer :

David : « Je vois que vous attendiez à autre chose, vous me prenez vraiment pour un sadique. Je ne possède pas de pièce type « donjon » si c’est ceux que vous imaginez, il existe des clubs pour cela. »

Estelle : « C’est vrai. Malgré tout vous connaissez ses lieux où il y en a. »

David : « En effet, mais cela ne veut pas dire que Patricia et moi les fréquentions assidûment. »

Nous nous installons sur des chaises face au miroir. Anne au milieu, à sa gauche Cynthia et Bernie, moi à sa droite et David à mes côtés. Les trois autres blacks sont derrière nous et on entend qu’ils commencent à se déshabiller et à choisir l’ordre de leur entrée en scène. Aucune d’entre nous n’ose se retourner pour voir leurs sexes.

Patricia et Mike ne perdent pas de temps en tendresse, à peine dans la pièce que Mike est déjà entièrement à poil et s’installe sur le bord du divan.

Mike : « Allez ma Salope de bourgeoise, viens me lécher le cul comme tu aimes si bien le faire. »

Patricia ne se le fait pas dire deux fois et juste avant de mettre sa langue sur l’anus de Mike, elle soulève sa robe à mi-fesse pour nous exhiber son cul. La réputation des blacks est bien vérifiée, je n’avais jamais vu d’aussi près un sexe aussi long que celui-ci. Et pourtant cela ne gêne nullement Patricia qui entre deux léchages de cul et de couilles, le prend quasiment en gorge profonde. Elle bave et crache dessus chaque fois qu’elle y retourne. Je n’ose bouger et pourtant au fond de moi, je commence à ressentir une excitation, je devine que mes nichons sont en train de légèrement durcir. Par contre Anne ne se prive pas de faire des commentaires salaces et commence à se caresser l’entre-cuisse. À croire qu’on lui a mis quelque chose dans son verre pour qu’elle soit aussi dévergondée.

David annonce que cela fait cinq minutes et qu’un second peut rentrer dans la pièce, c’est au tour de Benji qui lui aussi à un sexe d’un assez bon calibre mais un peu moins long que celui de Mike. Quand il entre dans la pièce, il prend la place de Mike et c’est à son tour de se faire lécher le cul, Mike se relève et sans aucun préliminaire ni préparation, prend directement le cul de Patricia à sec. Je m’attends à ce qu’elle proteste mais au contraire cette garce dit :

Patricia : « oh oui !!! vas-y encule-moi fort Mike, tu sais combien j’aime ça. »

Mike : « Tes désirs sont des ordres, j’ai jamais connu une aussi Salope en anal que toi. Mais ce soir je te réserve malgré tout une petite surprise. Et toi Benji, comment tu trouves la langue de cette Putain. »

Benji : « Au top frérot !!! Y a pas à dire, on voit qu’elle aime ça cette Chienne. »

De notre côté, le spectacle commence aussi à faire de l’effet à nos deux lesbiennes, Cynthia a sorti un nichon et Bernie est en train de lui caresser tendrement, ma nièce elle, a sa main dans son string et s’active à se caresser frénétiquement ; il n’y a que moi qui reste impassible mais seulement en surface, car c’est le feu à l’intérieur de mon corps. Je vois bien en plus que David me regarde du coin de l’œil.

Après Benji, c’est Raoul qui entre à son tour et les chaises musicales tournent. Raoul à la place de Benji et Benji remplace Mike dans l’anus de cette Salope. Mike en sortant son sexe de l’anus vient lui présenter à sa bouche.

Mike : « Allez ma Putain, lèche là bien et goutte l’odeur de ton cul brûlant. »

Tandis qu’elle englobe le gros calibre de Mike, elle branle avec frénésie celui de Raoul. Benji lui l’encule encore plus violemment que Mike n’hésitant pas à lui donner de grandes claques sur ses fesses et on entend de temps en temps Patricia pousser un « aie ». Je ne peux m’empêcher de dire à David.

Estelle : « Vous voyez bien qu’il lui fait mal et vous vous ne dites rien ? »

Tout en souriant, David me rétorque : « Je peux vous assurer Estelle que Patricia n’a pas mal et qu’au contraire elle adore ce genre de traitement. Si elle veut que cela s’arrête, elle n’a qu’un mot à dire. Dans le lot c’est elle qui mène la danse contrairement à ce que vous croyez et non ces messieurs. »

C’est à ce moment-là que Driss le cousin de Mike fait son entrée, alors lui c’est le summum au niveau de la grosseur, son sexe n’est pas le plus long, mais il a une circonférence impressionnante. Quand il s’installe sur le divan, même Patricia est admirative.

Patricia : « Ouah quel engin !!! Mike ne m’avait pas menti en parlant de toi. Je pense que j’aurais du mal à le prendre en entier dans ma bouche, mais laisse-moi faire, ne force pas sur ma bouche. »

Driss : « Bien Madame, de toute façon personne n’a réussi à me l’avaler en entier. »

Mike : « Arrête avec tes Madame, tu vois bien qu’elle aime qu’on l’insulte alors ne fais pas ton timide et tu la baiseras aussi comme une bonne catin. »

C’est maintenant quatre hommes qui s’occupent d’elle. Tandis qu’elle suce Driss, Raoul l’encule, Benji lui pétri sans délicatesse sa grosse poitrine en étirant fortement ses tétons.

Mais Mike a une autre idée derrière la tête, il redresse Patricia, demande à Raoul de se mettre par terre. Patricia vient sur lui et la prend encore dans son anus. Driss et Benji sont devant son visage et se font sucer et branler à tour de rôle. Mike alors arrive par-derrière et veut la prendre en double anale. Patricia sursaute quand elle sent son gros gland à l’entrée de son anus déjà occupé.

Patricia : « Non Mike, vous êtes trop gros tous les deux. »

Mike : « Ta gueule blanchette, David nous a dit que t’avais jamais eu de double anale, il est temps maintenant pour toi de combler ce manque. Et vu comme tu aimes la sodomie, je peux te garantir que tu vas apprécier quand j’aurais fait la place, en attendant ne bouge pas. »

Je suis bouche bée devant ce spectacle, Patricia commence à hurler, et sans doute pas de plaisir, quand les deux gros sexes sont dans son anus.

Mike ordonne à Driss : « Fais la faire taire et baise lui sa bouche de vieille Mature. Ne soit pas tendre, je veux qu’elle bave à fond sur ta grosse queue, ce sera à ton tour après de venir l’enculer quand on l’aura bien élargie. »

Aussi incroyable que celui puisse paraître, Patricia se laisse faire et au bout de deux à trois minutes, je vois même que c’est elle qui imprime le rythme en déhanchant son cul. Cette femme me fascine tout comme elle me choque.

Cynthia et Bernie se lèvent et partent s’installer sur un autre canapé en 69 de façon à se lécher mutuellement.

Anne est au bord de la jouissance, elle a quitté ses habits ne gardant que les dessous bleus achetés cet aprèm. Elle demande à David.

Anne : « Puis-je les rejoindre ? Je sais que c’est la soirée de Patricia, mais j’ai envie moi aussi de goûter à ces beaux calibres avant mon mariage. »

David « Faites vous plaisir si c’est votre souhait, juste un petit conseil, prenez Mike en priorité c’est un amant hors pair et très endurant. »

Estelle : « S’il te plaît, ma chérie, fais attention, tu vois bien combien Mike vient d’être brutal avec Patricia. »

David : « Estelle, rassurez-vous, il peut être le plus doux des amants, il connaît très bien Patricia, et il sait comment elle veut être baisée, je vous le redis, c’est un jeu entre tous les deux. C’est Patricia qui m’a demandé ce matin qu’on lui fasse une double anale, elle a fait l’outrée alors qu’elle en mourait d’envie. »

Anne : « Je peux vous demander une autre faveur ? J’ai avertis Romain, mon futur mari, du genre de soirée auxquelles je me rendais, il m’a donné sa permission à condition qu’on filme si je viens à participer car il souhaite le voir demain quand on se retrouvera. »

David accepte volontiers sachant que la pièce est équipée de mini-caméras. Il nous explique même que les quatre blacks ont donné leur accord pour être filmé car la caméra est déjà en train de tourner pendant qu’ils baisent Patricia.

C’est le cœur serré que je vois ma nièce pénétrer dans cette pièce, je ne sais même pas si je vais pouvoir supporter de regarder cela. J’entends Bernie et Cynthia qui s’arrêtent un instant de se faire du bien pour voir leur amie se dévergonder.

Bernie : « Ça alors !!! Je n’aurais jamais cru qu’elle irait jusqu’au bout de son fantasme. »

Je me lève ne tenant pas à assister à cela et je me retourne vers le buffet pour me servir une grande coupe de champagne. C’est alors que David s’approche de moi et me murmure :

David : « Enfin seul, vous et moi. »

Je frissonne et comme une idiote je ne dis rien, alors que je devrais quitter cette maison, fuir et oublier ce que je viens d’assister. Sa main gauche touche mon épaule, tandis que la droite descend très lentement le long de mon corps, effleure le pourtour de ma poitrine. Je suis tétanisée, mes jambes commencent à trembler et je lui réponds un faible : « non pas ça. » et pourtant je ne repousse pas sa main qui continue à descendre. Elle arrive maintenant à la lisière de ma jupe. Il embrasse mon coup et je fond littéralement, mes dernières barrières tombent et mon corps entier se laisse guider par le plaisir. Je me retourne et embrasse cet inconnu. David est lui-même étonné que j’ai pris cette initiative et tout en me rendant mon baiser, commence à prendre en main mes fesses. Nos baisers se font de plus en plus intenses et je sens que je vais perdre pied, alors je le repousse légèrement et tente de reprendre mes esprits.

Estelle : « S’il vous plaît, STOP. »

David : « Pourquoi ? je vous bien que ce que nous faisons vous procurent autant de plaisir qu’à moi. Que vous me croyez ou pas, depuis hier je ne pense qu’à vous. »

Estelle : « Pourtant j’ai rien de particulier, par rapport à Patricia. »

David : « C’est votre pseudo-innocence qui m’attire justement, avec Patricia on a fait le tour de tous nos délires et on risque bientôt de mettre un terme à notre relation Maître/Soumise, et si elle le souhaite elle pourra se chercher un autre Dominant. »

Estelle : « Vous parlez comme si je vais la remplacer. »

David : « Chaque chose en son temps, profitons d’abord de cette soirée. »

Estelle : « Je ne veux rien faire, du moins pas devant tout ce monde, je ne suis pas exhib comme Patricia. »

David : « Très bien, dans ce cas, promettez-moi qu’on se voit demain soir, seul à seul. »

J’hésite longuement mais son regard intense me fait lui dire OUI.

David : « Alors, retournons voir comment se débrouille votre nièce. »

Perdu dans mes préoccupations j’avais complètement oublié Anne. Retournant devant le miroir sans tain, je la vois debout au centre de la pièce, à genoux avec Mike en train de lui « baiser » la bouche. Sa main derrière la tête, il lui tient fermement les cheveux afin qu’elle ne se dérobe pas. Sagement elle a les mains derrière le dos,

Mike y va malgré tout en douceur. Son chibre coulisse lentement et ressort tout aussi lentement.

Mike : « T’es sure que c’est ta première queue black ? tu es douée ma douce. »

Anne : « Hummm, hummm !!! »

Mike : « T’as un jolie petit corps de blanchette, alors comme cela tu vas te marier, si malgré tout tu t’ennuies plus tard dans ton couple, tu sais où me trouver. »

Libérant un moment la bouche d’Anne, celle-ci reprend sa respiration et je n’ose croire l’entendre le provoquer.

Anne : « Arrête de parler Mike et viens me baiser, j’ai bien dit BAISER, pour l’amour j’ai tout à la maison, donne-moi du hard et de la baise intense. »

Mike : « Chaudasse et provocante en plus, t’as tout pour me plaire, que dirais-tu si je prenais ton p’tit cul en premier comme j’aime le faire avec Paty. »

Anne : « Te gênes pas, cette Salope m’a bien chauffé de la voir se prendre en double anale. »

Mike la relève brusquement et la plaque contre la vitre sans tain, il sait forcément qu’on les regarde faire. Il crache sur l’anus de ma filleule et aussi dans sa main recouvrant de salive sa grosse queue.

Mike : « Attention ça va piquer au début, mais tu vas vite y prendre du plaisir. »

Anne sursaute à chacun de ses coups de rein brutaux, je vois son visage au départ perclus de douleur mais au fur et à mesure des sons de plaisir sortent de sa bouche. Mike lui caresse en même temps le clito, je constate que ma nièce gicle sur le sol.

Anne : « Oh Putain !!! t’arrêtes pas je joui !!! c’est trop bon. »

Mike : « Alors t’en veux une seconde dans ta bouche ma petite Putain ? »

Anne : « Oui, donne-moi de la bite à sucer. »

Mike : « Raoul sort ta queue de la bouche de Patricia et prends-lui la sienne, tu verras elle est douée aussi. »

Patricia subissait toujours une double pénétration anale et Raoul lui prenait la bouche. Quand celui-ci va rejoindre Anne, elle demande à Benji de venir dans sa bouche car elle souhaite avoir toujours le gros engin de Driss qui lui laboure la rondelle. Putain elle est insatiable, déjà au moins vingt bonnes minutes qu’elle se fait enculer et toujours pas rassasiée.

Et voilà que sous nos yeux Anne et Patricia sont prises de la même façon, à quatre pattes, une queue dans la bouche et une queue dans leur anus.

Cynthia et Bernie ayant fini de se donner du plaisir assistent elles-aussi au dernier instant de ce spectacle. David est debout derrière moi et me caresse le clito à travers mon string, il va me faire jouir et il le sent car il accélère son mouvement.

Anne jouit intensément sous les coups de boutoirs de Mike, il lui claque les fesses en même temps et on voit que ma nièce apprécie ce traitement. Par contre Benji n’en peut plus de se retenir et envoie son foutre sur le visage de Patricia. Celle-ci réclame à tous les autres de venir jouir sur son visage.

Voilà que Driss et Raoul l’encerclent. Mike amène ma nièce au centre à côté de Patricia et de ses baiseurs.

Mike : « Toi aussi Anne, tu vas avoir droit à nos jus. Une Mature et une jeunette, deux beaux visages à spermer. »

Ma nièce n’est pas habituée à se faire jouir sur son visage, cela se voit, car elle se débat un peu et tente de tourner la tête au moment où ils jouissent mais c’est cette garce de Patricia qui la lui maintient fermement. Et quand tous ces blacks ont joui et aspergé leurs faces, Patricia s’amuse à lécher le sperme sur le visage de ma filleule et alors l’embrasse d’un baiser bien juteux. Je suis surpris qu’elle se laisse faire, sachant qu’elle n’est pas bi et même Cynthia s’écrit en rigolant : « oh putain la garce !!! et dire qu’à nous, elle n’a jamais voulu faire un simple petit baiser, là voilà embrasser cette Chienne avec tout ce foutre gluant. »

Pour ma part j’ai aussi eu un orgasme au contact de la main de David, celui-ci a même entré deux doigts dans ma chatte humide juste avant ma jouissance. Il retire ses doigts remplis d’un peu de ma mouille et en suce un puis me donne le second à lécher, ce que je fais sans gêne, prise dans l’excitation de l’instant.

***

Les quatre blacks sortent de la pièce et sans prendre une douche remettent leurs habits et partent en remerciant David d’avoir eu deux salopes pour le prix d’une. Patricia amène Anne prendre une douche salvatrice et réparatrice. David nous ressert une dernière fois à boire en les attendant. Un grand verre d’eau pour ma part afin de me calmer et de me remettre de mes émotions. David profite encore de mon trouble pour m’accoster.

David : « Comme vous me l’avez promis tout à l’heure, je compte vous voir demain soir pour un repas que tous les deux. Je vous laisse décider où vous voulez que cela se passe. Ici chez moi au dans un autre endroit. »

Je n’ose plus rien dire en espérant que ma nièce revienne vite et qu’on quitte cette maison, car j’ai autant envie de lui dire oui que de poliment refuser.

Patricia revient la première et vient me complimenter sur les talents de ma nièce, comme si j’y étais pour quelque chose. Elle va voir aussi Cynthia et Bernie leur demandant si malgré leur statut de lesbiennes, le spectacle leur a plus. Toutes les deux acquiescent et Patricia toujours aussi garce leur dit :

Patricia : « Pour ma prochaine soirée Maître David, j’adorerais faire un trio lesbien avec ces charmantes jeunes filles. »

Bernie rougit tandis que je vois que Cynthia fulmine mais n’ose rien dire, prenant encore plus fort dans ses bras Bernie. Patricia aussi l’a remarqué et rigolant lui annonce.

Patricia : « Rassurez-vous Cynthia je ne compte pas dissoudre votre couple, mais j’ai vu que vous aussi vous aimez dominer les femmes alors je pourrais être un de vos sujets de soumission. »

C’est pas possible cette garce ne s’arrête jamais. Anne revient de sa douche, elle paraît fatiguée et va voir David pour lui demander la vidéo de la soirée. Celui-ci revient avec une clé USB lui disant qu’elle peut la garder et là ma nièce me sidère une fois de plus en lui annonçant :

Anne : « Sous la douche, j’ai invité Patricia à mon mariage le week-end prochain et j’aimerais vous y inviter également. Et je voudrais aussi le numéro de Mike, je voudrais l’engager comme serveur à notre table. »

Mais c’est pas possible, elle est aussi garce que Patricia. Que Mike serve Romain, alors qu’il a baisé ma nièce, je plains mon futur neveu de cette humiliation qu’elle va lui faire subir.

David me regarde alors intensément en lui répondant un « oui » franc et massif.

***

Trois heures du matin et nous voilà sur le chemin du retour, Anne s’est de suite assoupie contre la vitre à peine entrée dans la voiture, tandis que ces deux amies me disent que la soirée fût étrange mais qu’elles ont malgré tout apprécié l’hospitalité de nos hôtes.

Quand on rentre dans la marina et que je réveille Anne, la première chose qu’elle fait malgré l’heure tardive c’est de textoter à Romain et de lui envoyer par mail la vidéo qu’elle a téléchargé de la clé USB. À peine dix minutes plus tard, j’entends la sonnerie de son Messenger. Elle regarde la réponse de Romain et d’un coup elle fond en larmes.

Prise de paniques j’accours et la prends dans mes bras, lui demandant ce qui se passe.

Estelle : « Je t’avais dit que ce n’était pas une bonne idée, Romain t’en veut c’est ça ? »

Anne s’essuie les yeux sur ma chemise de nuit.

Anne : « Non tata, tu te trompes sur la signification de mes larmes, ce n’est pas des larmes de peine mais des larmes de joie. »

Elle me montre alors le texto de Romain.

« Ma chérie je suis si fière de toi, je t’aime et je veux encore plus que tout être ton mari. Merci de m’avoir fait partager ta soirée avec cette vidéo très hard. Pour ce qui est d’inviter ce couple à notre mariage, tu as eu une excellente idée, il me tarde de leur parler et si c’est ce que tu désires alors nous pourrons les voir plus tard. Pour Mike j’aurai aussi des choses à lui demander. Passe une excellente nuit ma chérie. Vivement demain. Ton Romain qui t’aime si fort. »

Ce jeune homme me surprend autant que ma nièce.

Anne : « Je l’aime de m’avoir dit cela et vois-tu j’ai pris encore plus mon pied que ce que j’avais imaginé et je ne compte pas m’arrêter à ce soir. On va donc rester en contact avec David et Patricia. Alors c’est pourquoi je pleure mais de joie réellement car Romain est mon âme sœur. Mais par contre dis-moi que tu comptes téléphoner à David demain ? »

Estelle : « J’en sais rien ma chérie, il se fait tard. Couchons-nous la courte nuit me portera peut-être conseil. »



La courte nuit fut agitée pour ma part, j’ai fait un rêve hard ou deux hommes me prenaient à tour de rôle. David et étonnamment cet inconnu Julien que j’ai accosté cet aprèm. Moi qui avais une libido calme ces temps-ci, me voici accoster par deux hommes attirant dans la même journée. Je sais très bien que je ne répondrais pas à ce Julien, pas envie d’être celle qui mette en danger un couple en ménage. Pour David, j’ai mon téléphone en main depuis dix minutes et je ne sais toujours pas quoi taper comme texto…