Au
petit matin, je me lève. Sans surprise, Sophie me rejoint nue dans
la cuisine. Sa lourde poitrine généreuse, même si elle est
tombante, me fait toujours le même effet.
— Tu
sais ce que j’ai envie avant de partir ?
— Une
petite sodomie, mon chéri ?
— Gourmande…
Je la vois rougir. Celle d’hier soir ne t’a pas rassasiée…
Prends la pose alors, et peut-être devrais-tu te filmer avec ton
téléphone en disant ce que tu es et ce que tu vas faire ?
— Je…
Heu… Oui… Tout ce que tu veux mon amour…
— Je
suis sûr que cela fera plaisir à Bernard, Paul et monsieur le
Maire ?
— Oh
non pas Paul ni monsieur le Maire…
— Pourquoi ?
Tu avais l’air d’aimer sa saucisse, à Paul !
— C’était
sur ordre ! Enfin… Je… comme tu veux…
— Rappelle-moi
ce que Bernard a dit, ce que tu es ?
— Oh !
Je suis une salope, une chienne, une truie, chéri.
— Et
pas autre chose ?
— Des
trous à remplir… me dit-elle en se pinçant les lèvres, mais ses
tétons bien durs.
— Tes
trous ont-ils des envies ?
— J’ai
honte… Oui, mon amour !
— Quelles
envies ?
— D’être
baisée, prends-moi ! Je suis une chienne, une pute, une
salope ! Fourre-moi le cul ! Je suis un réceptacle à
foutre !
— Ce
matin, je suis pressée donc tu vas juste me faire une somptueuse
cravate de notaire. Je laisse à Bernard le plaisir de trouver
comment remplir tes trois trous.
Je
lis la frustration sur son visage, mais elle s’accroupit et après
avoir bavé entre ses gros seins, elle serre ma que raide entre ses
deux globes de chair. Je lui caresse les cheveux en regardant le mot
truie qui s’efface sur son front.
Je
jouis rapidement sur elle et je l’embrasse avant de partir.
Dans
la voiture, j’envoie un message à Bernard pour lui raconter ce
début de journée. Je suis très curieux de découvrir comment il
aura transformé mon épouse si sage et réservée il y a encore
quelques jours lorsque je reviendrais de ce déplacement.
***
Un
peu plus tard, Marie-Catherine se prépare pour aller à la banque.
Mal à l’aise, elle enfile simplement son chemisier et sa jupe
par-dessus son porte-jarretelles et ses bas. Heureusement qu’elle
portera un blazer par-dessus, mais elle n’est pas rassurée, compte
tenu des ordres que je lui donne.
Je
profite d’une pause sur mon trajet pour envoyer un message à
Monsieur Raffali.
“Vous
pouvez toucher Madame Mazière mais juste avec les doigts !”
“Obéira-t-elle
en se mettant nue ?”
“Oui
elle se mettra nue”
“Voulez-vous
que je la filme ?”
“Elle
se filmera elle-même”
“Pourra-t-elle
me toucher ?”
“Avec
les doigts, oui”
“Elle
me branlera donc ?”
“Oui”
“Je
pourrai la couvrir de mon jus ?”
“Sur
ses mamelles, oui”
“Génial
et pourrais-je garder sa culotte ?”
“Elle
ne portera pas de culotte”
“Alors
que pourrais-je avoir en trophée ?”
“son
porte-jarretelle”
“Ah
OK j’aurai préféré le chemisier mais OK”
“Affaire
conclue”
“merci”
Je
ne veux pas que cet homme pense que tout lui est dû. Je connais les
rumeurs qui courent sur son compte. J’ai aussi effectué quelques
recherches et j’ai découvert que Monsieur Raffalli a une épouse
qui participe activement à une association caritative. Je suis
certain que Bernard trouvera un moyen d’intégrer cette jolie
rousse, jeune quinquagénaire à notre troupeau de salopes.
Avant
de reprendre la route, j’envoie ces dernières instructions à
Marie-Catherine qui les lit, horrifiée mais excitée.
***
En
ouvrant le portail pour sortir, elle voit Frédéric qui vient vers
elle.
— Salut
ma chère voisine, tu vas à la banque ???
— Euh…
oui…
— Tu
devrais défaire deux boutons à ton chemisier et amuse-toi bien !
Elle
obéit, vaincue sachant que sa vie vient de changer définitivement.
Elle ne se demande même pas comment son voisin peut-être au courant
de son rendez-vous.
Tremblante,
elle démarre et prend la direction de la banque. Les ordres qu’elle
a reçus lui font honte, mais l’excitation monte.
Elle
entre dans l’agence bancaire où Monsieur Raffalli l’attend avec
grand sourire.
— Madame
Mazière, c’est un plaisir de vous recevoir à nouveau… Allons
dans mon bureau, nous y serons plus tranquilles.
Le
banquier profite de l’étroitesse du couloir et de l’autorisation
qu’il a reçue pour palper sans vergogne le cul de sa cliente qui
se laisse caresser.
Il
ferme son bureau à clé et face à Marie-Catherine, il la toise.
— Bien
madame Mazière, je pense qu’il sera plus facile pour discuter que
vous vous mettiez à l’aise.
— Heu
je ne comprends pas bien.
— Fous-toi
à poil, la vieille !
— Oooh…
je… je… heu… oui d’accord.
Écarlate,
la tête basse, elle obéit pour respecter les consignes de son
maître. Elle retire son blazer puis sa jupe et son chemisier. Elle
apparaît aux yeux salaces du banquier juste en porte-jarretelles
noir retenant des bas de couleur chamois. Vaincue, elle ne cherche
même pas à cacher ses atours intimes restant les bras ballants face
à cet homme.
— Regarde-moi,
donne-moi ton smartphone pour te filmer et mets tes mains derrière
la tête pour redresser tes magnifiques mamelles en écartant les
jambes.
Elle
obtempère lui donnant son appareil qu’il cale sur un petit
trépied, le mettant en marche, mode vidéo, alors qu’elle prend la
position demandée. Elle est mal à l’aise et honteuse, rougissant
autant de subir cette humiliation que de sentir sa chatte qui
s’humidifie.
Il
tourne autour d’elle, l’inspecte comme un maquignon. ll se
remplit les yeux avant que ces derniers, sans abandonner leur action,
passent le relais à des mains baladeuses. Elles s’attardent sur le
cou pour descendre l’une sur le dos, l’autre saisissant un sein
dont les tétons pointent. La première main vient ensuite effleurer
le fessier un peu flasque. La bourgeoise avilie subit, fermant les
yeux, sans pouvoir retenir les frissons qui la parcourent.
— Tu
es une belle cliente bien conservée. Penche-toi sur le bureau pour
signer le document complémentaire pour finaliser le crédit.
Elle
obéit, prend le stylo et se penche pour opérer cet ordre scriptural
en acceptant l’écartement de ses jambes par son tyran qui en
profite pour lui pincer les tétons, tout en titillant son clitoris.
— Ne
bouge pas ! Mais dis-moi que tu aimes ça, car ta chatte est
toute mouillée !
— Oooh…
je… ou… oui j’aime ça ! balbutie-t-elle.
— Tu
aimes parce que tu es ???
— Oooh
gloup… je suis une salope…
— Oh
oui ! Une belle salope qui va me branler !
— Oui
monsieur…
— Mets-toi
à genoux et sort mon matériel !
Elle
sait qu’elle ne peut que obtempérer. Elle s’agenouille face à
Raffalli appuyé contre son bureau, elle ouvre la braguette, extrait
le pénis qui est déjà pas mal dressé. Elle le dégage
complètement et commence des va-et vient sur cette hampe qui grandit
entre ses doigts. Elle ne maîtrise plus son excitation et lorsque le
vit est bien dur, elle le prend en bouche et commence à le sucer.
Mais, l’employé craintif et peu courageux la repousse.
— Même
si tu en as envie, tu n’en as pas encore le droit ! Cela se
mérite !
Rafalli
tente, en disant cela, de se faire passer pour un mâle dominant
malgré sa veulerie. Marie-Catherine est désappointée mais,
revenant sur terre, elle sait effectivement qu’il ne faut faire que
ce qu’on lui dit de faire.
Elle
s’active donc sur cette queue, malaxant les bourses et astiquant ce
mât dressé.
Elle
mouille beaucoup, fière de voir un homme bander pour elle. Enfin,
elle sent la jouissance de l’employé arriver. De puissants jets de
semence viennent frapper sa poitrine. Elle est maculée de ce foutre
blanc collé à son épiderme vallonné. Il souffle comme une bête,
voulant plus mais sachant se contenter de ce qu’on lui accorde, ne
voulant pas être viré.
Marie-Catherine
se relève devant accomplir la dernière partie du marché entre
Rafalli et son maître. Elle retire ses bas et défait son
porte-jarretelle pour les donner à l’infâme employé puis elle se
rhabille et récupère son smartphone avant de quitter l’agence
bancaire en sentant que son chemisier se colle à sa peau, là où le
sperme la recouvre.
Sur
le trottoir, en regagnant sa voiture, tandis que le sperme de
monsieur Rafalli continue de couler lentement entre ses seins et de
laisser des traces sur son chemisier, elle reçoit mon dernier
message.
“Pour
ton déjeuner, rends-toi au restaurant routier sur la nationale. Pour
ton dessert, tu soulageras un ou deux routiers.”
Elle
n’apprécie pas vraiment cet ordre d’autant qu’elle ne sait pas
comment soulager ? Elle réfléchit en roulant. Peut-être y
aura-t-il ceux qu’elle a déjà rencontrés ? Elle l’espère.
***
Marie-Catherine
et Sophie redoutent ces restaurants où elles vont chacune de leur
côté, elles le savent, donner de leur personne. Mais, en dépit de
cela, elles sont excitées, leurs trous suintent d’envie. Sophie ne
comprend pas comment elle peut accepter cette déchéance. Est-elle,
comme le lui répète Bernard, une chienne dans un corps de truie ?
Sur
le chemin du restaurant, elle se décide à téléphoner à sa
voisine pour en discuter.
— Allô ?
allô ? Sophie ? je suis en Bluetooth en voiture…
— Tu
peux parler quand même ?
— Oui,
pas de problème que veux-tu ?
— C’est
à propos de ce qui m’arrive… de ce que je deviens…
— C’est-à-dire ?
— Une
salope, une chienne, une pute, une truie… comment en suis-je
arrivée là…
— Je
ne sais pas ??? tu n’aimes pas ça ?
— Au
contraire… Je voudrais être baiser tout le temps…
— Alors
où est le problème ?
— Ce
n’est pas moi, cela ne me ressemble pas ! Je ne suis pas
normale… je dois être malade…
— Qu’est-ce
que la normalité ? Et crois-tu que je sois normale moi ? à
mon âge ?
— Je
suppose oui… aide-moi, s’il te plaît… que dois-je faire ?
Je fais confiance en ton expérience.
— On
croit en avoir mais à chaque jour suffit sa peine. Quand on croit
que tout est fini, tout recommence, tu sais !
— Bernard
dit que je suis une chienne dans un corps de truie… que je suis
juste trois trous à remplir… je commence à le croire… et Paul,
qui veut que je travaille pour lui… après mon arrêt maladie !
— S’il
y a des avantages pourquoi pas !
— Tu
le connais mieux que moi… son office est plus près de la maison,
au milieu des champs…
— Oh
tu sais, on croit connaître quelqu’un et on a des surprises.
Regarde Hervé !
— Oui,
je sais, dommage qu’il ne se soit révélé que si tard… j’aurais
découvert ma nature de chienne plus tôt…
— Tu
es encore jeune, profite !
— Oui
tu as raison et tant pis pour la morale. J’aime être baisée, je
devrai vivre ma vie de pute et tant pis pour la morale. Tu pourras le
dire à Bernard.
— Si
tu veux !
— J’arrive
au restaurant, je dois te quitter.
— Je
ne suis pas loin non plus, à plus tard.
Les
deux femmes pénètrent dans leurs restaurants respectifs, se
demandant ce qu’elles vont y trouver.
***
Dans
le routier, Marie-Catherine découvre une atmosphère chargée de
testostérone malgré les deux ou trois femmes qui déjeunent à une
table. Elle s’installe dans un coin de la salle qui lui permet de
voir ce qu’il s’y passe tout en restant assez discrète.
Elle
commande le menu du jour et en attendant d’être servie, elle
regarde les clients et se demande comment elle va pouvoir satisfaire
l’ordre de soulager un routier. Ceux-ci sont absorbés dans leur
discussion avec leurs compagnons de tables et aucun ne s’intéresse
à elle. Elle a beau lancer des sourires dans la direction de ce qui
lève parfois la tête de leur assiette, aucun déclic ne se profile.
Elle
attend qu’il y ait moins de monde. Elle voit alors entrer un bel
hidalgo trentenaire au regard d’aigle cherchant sa proie. Quand ses
yeux tombent sur elle, elle sait qu’elle doit le regarder, sourire
et écarter les jambes pour signaler sa disponibilité. Le contact
est établi. Il vient s’asseoir à une table, face à elle. Leurs
regards se croisent. Elle rougit. Il sourit. Avec deux doigts qui
s’écartent, il montre ce qu’il veut. Elle comprend immédiatement
et écarte davantage ses genoux, ce qui fait remonter plus sa jupe.
Elle n’ignore pas qu’il n’est pas le seul à voir sa chatte,
mais elle n’en a cure. Il prend sa commande puis se dirige vers les
toilettes. Pour s’y rendre, il frôle la vieille bourgeoise. Elle
le voit passer à ses côtés, les yeux braqués sur son chemisier
tâché. Elle est troublée. Elle tourne sa cuillère dans sa crème
renversée sans rectifier sa tenue. À son retour, il laisse tomber
discrètement un papier sur la table de Marie-Catherine et retourne
s’asseoir en continuant de lui sourire. Elle lit en tremblant le
petit mot :
“belles
tâches qui voudraient voir 3 boutons défaits”
Il
ne sait pas si cela va marcher mais cette belle femme en face à
l’air ouverte, alors pourquoi ne pas tenter. Elle le regarde mal à
l’aise.
Elle
dégrafe un bouton alors que deux sont déjà défaits, tête basse.
Elle ne voit pas que deux plats sont servis sur la table de son
admirateur. Elle défait ensuite le quatrième bouton, tremblotante.
Le sillon mammaire commence à bien se dévoiler. Pour “m’obéir”
par procuration, quand elle dégrafe enfin le “troisième” bouton
demandé, elle voit un autre homme, gros, moins avenant qui se
retourne, suivant le doigt de l’hidalgo la désignant. Surprise,
elle serre les jambes. Le plus jeune ne cesse de la regarder tout en
discutant avec son compère, le sourire aux lèvres. Elle voit le
geste de la main du premier lui faire le signe explicite de la
fessée, puis ses doigts s’écarter. Elle comprend qu’elle doit à
nouveau montrer sa moule. Elle sait que ce sont eux qui vont
bénéficier de son corps comme exigé par son maître. Sont-ils au
courant ou de parfaits inconnus ? Qui sait ?
***
Quelques
minutes avant l’arrivée de Marie-Catherine, Frédéric que j’avais
informé de la situation, était venu se garer non loin des énormes
semi-remorques. Je veux aussi qu’une personne de confiance puisse
intervenir au cas où ma voisine se retrouve dans une situation
délicate. Il était sorti de sa voiture, il faisait les cent pas en
fumant une cigarette quand un poids lourd immatriculé à l’étranger
est venu se garer près de lui. Deux hommes en sont descendus, un
trentenaire au regard perçant et un homme nettement plus âgé,
presque obèse. Le plus âgé vient lui demander une cigarette.
Alors
que Frédéric sort son paquet, il voit Marie-Catherine sortir de sa
voiture. Il la suit du regard tandis qu’elle entre dans le
restaurant.
— Tu
la connais, lui demande le gros dans un français approximatif.
— Oh
oui, c’est une vieille nympho qui vient voir si elle peut trouver
une ou deux bites pour se faire baiser…
Il
vit dans le regard du plus vieux un désir lubrique. Ces hommes sur
la route depuis plusieurs jours et loin de leur famille avaient envie
de se soulager.
— Si
ça vous dit, je vous explique comment faire.
— Si
señor, dit le plus jeune.
— Alors
voici comment vous allez procéder…
Frédéric
leur proposa une stratégie d’approche en deux temps. Tout d’abord,
le plus jeune entre et attiré le regard de Marie-Catherine, puis
quand elle sera appâtée, l’autre le rejoindra.
***
Dans
le restaurant, les deux hommes profitent du spectacle que leur offre
gracieusement Marie-Catherine. Ils savent que ce n’est que
l’apéritif d’un repas plus copieux qui leur sera servi dans la
chambre à l’étage que le bel hidalgo vient de réserver sur les
conseils de Frédéric.
Cette
dernière est très mal à l’aise de s’exhiber ainsi dans un
restaurant. Elle à honte et se sent humiliée ce qui malgré elle
l’excite. L’adrénaline monte et son cerveau raisonnable n’arrive
plus à contrôler son corps déraisonnable. Elle rougit encore plus
quand un nouveau serveur lui apporte une Marie-Brizard offerte par
ces deux messieurs en face.
— Pour
heu… Excusez-moi ce sont leurs mots, pour la vision de… Heu…
vos mamelles, c’est leur mot ! Qu’ils voudraient mieux voir.
Je suis désolé, avec le chemisier ouvert, ! Je n’y suis pour
rien, sans obligation. Je ne fais que transmettre, dit-il en
bafouillant, tout en attendant qu’elle défasse les derniers
boutons pour lui aussi profiter de la vue.
Tremblante,
pivoine, regardant autour d’elle, elle boit d’un trait la liqueur
et fermant les yeux libère entièrement les pans de son chemisier
qui, naturellement, s’écartent, offrant aux voyeurs la vision de
la moitié de ses globes mammaires. Les routiers se délectent plus
de la vision de cette salope en rut que de leur steak-frites
quelconque. Elle voit le serveur passer à leur table et semble
distinguer un échange discret de billets. Il revient vers elle,
moins timide et il lui dit d’aller aux toilettes : de retirer
son chemisier et de ne garder que sa veste ouverte en revenant et le
donner aux deux messieurs. Horrifiée de réaliser qu’elle va le
faire, obéissant plus à sa chatte qu’à sa tête. Elle se lève
et fait ce qu’on lui demande.
Elle
revient blazer ouvert dissimulant mal ses seins et s’approche de la
table des routiers à côté de laquelle se tient le serveur qui
débarrasse. Elle tend son chemisier à l’hidalgo qui est au
téléphone. Il lui fait comprendre que c’est à l’autre qu’elle
doit le donner. Elle le fait à contre-cœur tendant le bras ce qui
ouvre sa veste, offrant la vue de sa généreuse poitrine aux regards
du serveur et du gros.
L’hidalgo
lui ordonne de s’asseoir à leur table, comme il faut, répétant,
“comme il faut” deux fois, reportant en cela les ordres de
Frédéric qu’il a au bout du fil. Elle comprend le message et
affolée trousse quelque peu sa jupe pour être cul nu sur la chaise
ce qui ne passe pas inaperçu autour d’elle et un léger sifflement
s’élève dans le restaurant déjà bien déserté.
La
jupe découvre un maximum de cuisses, la veste baille. Elle est
exposée comme au foirail ce qui lui donne des papillons dans le
ventre, dresse ses tétons et inonde sa chatte.
— Tou
es une bellisima female, lui dit le bel hidalgo.
Elle
remercie souriant jaune. Tandis que le gros la mate avec une
concupiscence perverse.
— Tou
va être gentil da pailler no bouffe
Marie-Catherine
est tétanisée d’aller à la caisse ainsi, avec sa seule carte
bleue, car le routier a gardé son sac en otage. Comme un phare, elle
attire les regards des derniers clients. Tremblante, les jambes
flageolantes, elle traverse l’établissement dépeuplé à quatorze
heures passé. Le serveur désinhibé et sans vergogne prend sa carte
pour encaisser.
— Cela
fera cent-quarante euros, Madame Mazière aux beaux nichons et petit
cul qu’elle va montrer en soulevant sa jupe pour regagner la table
si elle ne veut pas que je distribue son nom partout facilement
trouvable avec Google comme ça. Il lui montre son téléphone avec
son adresse sur Google Map.
Elle
est sidérée. Elle regarde tout autour d’elle. Elle ne voit plus
que les deux routiers et deux hommes scotchés au bar, bien imbibés.
Prise
au piège, maudissant son maître-chanteur, elle récupère sa carte
et la met en bouche pour pouvoir trousser sa jupe à deux mains. Elle
découvre ses fesses aux routiers et son ventre au serveur qui ouvre
bien sa veste. Il la pousse ensuite avec une tape au cul vers les
routiers. Elle est écarlate et sa mouille coule sur ses cuisses.
— Tou
viens avec nouveau bellisima chaloupe et tou rest comme ça…
Au
bar, un des ivrognes n’est que Frédéric, grand comédien avec
perruque et fausses moustaches qui sourit sous cape voyant sa voisine
jupe troussée aux hanches, poitrine à l’air. Les deux chauffeurs
enjoués l’encadrent et la tirent par la bandoulière de son sac à
main. En sortant, l’hidalgo fait un clin d’œil au serveur. Pour
rejoindre la chambre, ils ont vingt mètres à faire, face au parking
où voitures et camions sont garés. Elle n’est pas rassurée et
s’en veut que je la piège ainsi mais d’un autre côté, cet
avilissement exhibitionniste entre ces deux mâles, augmente sa
libido. Elle est forcée, mais elle aime ça.
Un
klaxon la fait sursauter avant d’entrer dans la chambre. Là, elle
se déshabille sur demande et, nue, tire le rideau de la baie pour
dégager la vue. Les mains commencent à la parcourir. Elle est
pelotée, caressée, pincée, sucée avant de prendre le vieux en
bouche alors que le bel homme lui fourre sa bite dans la chatte. Ils
ont dû se shooter, car ils tiennent un bon moment alors que certains
curieux regardent de l’autre côté de la baie vitrée. Elle a une
première jouissance foudroyante. Grâce aux petites pilules bleues,
ils tiennent la distance et échangent les positions. Le gros homme
enfile une capote et force sa moule grande ouverte avec un mandrin de
bonne facture qui la ramone avec plaisir. Tandis que la bite de
l’hidalgo dans sa bouche la lime plus qu’elle ne le pipe. Enfin
sa gorge se remplit du foutre du mâle alpha alors que derrière
elle, le bedonnant souffle comme une bête, l’insultant dans une
langue étrangère avant de remplir le condom, ce qui lui procure une
seconde jouissance. Ils reprennent leur esprit quand on frappe à la
porte.
— Tou
va ouvrir……
— Mais,
je suis nue !
— TOOUU
VA OUVRIIIR !!!
Marie-Catherine
sait qu’elle doit obéir et se dirige vers la porte qu’elle
ouvre, inquiète.
— Madame
M A Z I E R E, clame à forte voix le serveur. Vos rafraîchissements
sont avancés. Aidez-moi à faire rentrer le chariot !
Cela
oblige la vieille blonde à sortir nue. Il passe en premier la
laissant montrer son cul à n’importe quel voyeur potentiel. Et,
plus rapide que l’éclair, il rentre avec le chariot et claque la
porte. Elle reste interloquée, nue, dehors. Elle regarde autour
d’elle, soulagée de ne voir personne. Elle toque à la porte
demandant son ouverture. Elle entend une voix lui demander qui elle
est.
— C’est
moi… dit-elle avec angoisse.
— Moi,
qui ? Répond la même voix.
— Madame
Maziere !
— Comment ?
je n’entends pas.
— MADAME
MAZIERE.
— Vous
êtes quoi ?
— Oooooh…
un… une sa salope !
— Pas
entendu !
— UNE
SALOPE !
— Dites :
Madame Mazière la salope !
— Oui…
oui si vous voulez !
— Comment ?
— JE
SUIS MADAME MAZIERE, LA SALOPE !
— Bien !
Viens devant la baie vitrée montrer ta chatte.
Affolée,
mais en transe, elle se positionne face à la baie et avec ses mains
écarte sa moule.
— Retourne-toi
et montre là à tout le monde…
Elle
ne peut qu’obtempérer, surexcitée… La moule baveuse, la
poitrine tendue. Quand elle voit un camionneur descendre de sa cabine
et venir vers elle, elle panique. Alors, la baie s’ouvre et la
voilà happée à l’intérieur.
— Alors,
madame Mazière, on aime s’exhiber et se faire tringler
apparemment !
— Oui !
— Bien !
Tu vas donc nous contenter ces messieurs et moi !
— Mais,
je l’ai déjà fait !
— Regarde
leur bite ! On dirait que c’est pas vrai ! Il ne faut pas
mentir.
— Mais…
je… je… oui… oui…
— Sers-nous
donc à boire ! Fais le service ! Mais… c’est quoi ça ?
Ajoute-t-il en montrant le préservatif, jeté par terre. Quelle
honte ! C’est une maison sérieuse ici ! Ramasse-moi ça
et mets-le dans ton verre !
Marie-Catherine
complètement sous la coupe de son excitation se penche et ramasse la
capote remplie de foutre pour la vider dans son verre.
— Bon !
Maintenant, nous pouvons trinquer avant que les agapes commencent.
Elle
est complètement anéantie et déboussolée, mais toujours excitée.
Ils boivent tous leur breuvage avec plus ou moins de délectation
selon le contenu de chaque verre.
Une
nouvelle partie de jambes en l’air commence. Elle est utilisée,
manipulée et pénétrée en alternance. Elle perd la notion du
temps. Pourtant, il n’y a qu’une heure de défoulement durant
laquelle seul son cul est épargné. C’est sur elle qu’ils
libèrent leur sperme. Cette fois, ils sont tous repus et elle a
enfin le feu éteint.
Le
temps d’émerger en buvant, les chauffeurs finissent par s’en
aller.
Le
serveur lui dit :
— C’était
pas mal pour une première fois madame Mazière. Comme dédommagement
de tout le travail que j’ai dû faire pour vous satisfaire, je
garde votre veste et votre jupe.
— Mais,
ce n’est pas possible ! Je ne peux pas rentrer toute nue. Je
vous en prie !
— Qui
vous a dit toute nue ? Ouvrez la porte et allez dans la pièce
d’à côté ! À droite, vous trouverez de quoi vous vêtir.
Sur
ces mots, le serveur quitte la chambre avec son chariot. Habituée à
obéir, Marie-Catherine frappe à la porte qui ne s’ouvre pas. Elle
insiste craintive.
— Qui
est-ce ? Lui demande une voix qu’elle semble reconnaître,
mais comment cela serait-il possible ?
— Moi !
— Moi
qui… ?
Elle
comprend et prononce la réponse que l’homme attend.
— Madame
Mazière, la salope !
La
porte s’ouvre et surprise, Frédéric lui tend un imperméable très
court.
— Marie-Catherine
tu vas rentrer comme ça, mais avant tu vas me violer !
Malgré
sa fatigue, elle déshabille son voisin et se jette sur lui pour le
sucer avant d’enfourner sa bite dans sa chatte ouverte.
C’est
de la folie, mais elle se sent rassurée et soulagée de la présence
de son voisin. Elle lui montre sa reconnaissance en lui donnant le
plus de plaisir possible.
Frédéric
enfin comblé, elle peut rejoindre sa voiture cachée sous un imper
ras du cul, sans bouton, fermant simplement avec une ceinture.
Frédéric qui était venu en taxi profite de la voiture de sa
voisine.
Cette
journée bien remplie la laisse épuisée mais satisfaite. Elle
profite de la douceur de l’eau chaude dans sa baignoire afin d’être
de nouveau fraîche et disponible au retour de Bernard qui, elle le
sait, s’occupe de sa voisine. Fugacement, connaissant la perversité
de son mari, elle se demande jusqu’où sa pauvre voisine va être
entraînée, mais rapidement cette pensée s’efface de son esprit.
À chacune sa vie !