vendredi 31 octobre 2025

Journal d'un Impuissant - 09 -

 

Nous avons pris le temps de réfléchir pour savoir si nous pouvions accepter leur proposition. Il était évident que les enfants seraient contents de passer deux ou trois semaines de vacances au soleil, à côté de la mer et, en plus, dans une maison avec une piscine. Gérard et Marie-Christine n’avaient jamais eu d’enfants, comment allaient-ils supporter l’agitation créée par cinq enfants ? Réussirions-nous aussi à ne pas dévoiler les liens particuliers qui nous unissait ?

Finalement, nous avons accepté. Ils nous avaient rassurés. Laurence m’avait convaincu. Elle se souvenait que lorsqu’elle les avait rencontrés à la fin de ses études, ils lui avaient souvent répété qu’ils auraient aimé avoir des enfants mais que la vie en avait décidé autrement. Elle se souvenait de la manière dont ils s’occupaient des enfants de leurs voisins et que ceux-ci n’hésitaient pas à leur demander s’ils pouvaient les garder lorsqu’ils avaient envie de passer une soirée ou un week-end tranquille.

Nous prîmes donc la direction du Sud dans notre premier achat commun, un monospace pouvant accueillir toute notre tribu recomposée. A notre arrivée, les enfants lassés par plusieurs heures de routes se sont précipités dans la piscine. Gérard et Marie-Christine étaient aux anges. Leur villa résonnait de cris d’enfants comme ils en avaient toujours rêvé et elle en résonnerait encore pendant deux semaines. Assis sur la terrasse, nous les regardions s’ébattre.

Nos amis avaient offert en cadeau de bienvenue à ma compagne un bikini très minimaliste. Quand elle l’avait découvert sur le lit de la chambre, elle en rougit.

— Je ne pourrai jamais mettre cela devant les enfants…

— Pourquoi ?

— Tu as vu le haut ! Autant ne rien porter !

— Je pense que c’est ce qu’ils attendent…

— Mais ! Comment peux-tu dire cela ? me dit-elle mi-amusée mi-irritée. 

— Je crois que Marie-Christine est une adepte du topless, tu ne ferais que l’imiter…

— Grrr…

— Et si tu essayais ?

— Là ! Maintenant ?

— Ben oui ! Pas aux calendes grecques !

Acceptant sa défaite, elle se changea devant moi. Elle avait raison, si le bas du maillot était relativement décent à condition d’être comme elle totalement épilée, pour le haut, il en allait tout autrement. Les petits triangles de tissu recouvraient à peine ses aréoles. 

— Je crois que tu as raison ! Tu seras mieux sans !

Elle enfila juste une petite robe de plage qui lui couvrait tout juste les fesses.

Je me changeais aussi, enfilant un bermuda de bain et un tee-shirt avant de rejoindre nos hôtes. 

De leur côté, Gérard et Marie-Christine, s’étaient aussi changés. Il était torse nu, en maillot de bain et sa femme portait une robe en crochet sous laquelle je pouvais deviner l’absence de haut.

— La chambre vous plaît ?

— Oui la vue sur la baie est superbe, répondis-je.

— Nous devrons partager la même salle de bains. Cela ne vous gêne pas ?

— Non, pas du tout… Merci, mais on pourra utiliser celle de l’étage avec les enfants.

— Non, dit Marie-Christine en me posant une main sur la cuisse. J’insiste…

— D’accord ! Comme tu veux…

Laurence rougit et baissa les yeux. Je supposais avec raison que cette volonté n’était pas exempte de désirs que nous ne pouvions évoquer à portée d’oreilles enfantines.

— Les enfants ! cria Gérard. Vous nous laissez un peu de place !

— Oui ! Vous pouvez venir, répondit une des filles.

Il me regarde puis regarda Laurence. Même s’il n’avait fait aucune remarque, il savait parfaitement que sous sa robe, elle avait enfilé le cadeau. Assise en face de notre hôte, elle avait délibérément gardé ses genoux écartés ce qui avait permis à Gérard d’avoir une vue parfaite sur tissus rose-fluo du string et l’absence de bretelle retenant le haut indiquait que si elle retirait sa robe, elle serait topless.

— On y va ? Me demanda Gérard.

— Avec plaisir ! Ça va me faire du bien… répondis-je en retirant mon tee-shirt. Tu viens Laurence !

Elle hésita un peu. Si elle refusait, elle savait que nous ne serions pas contents mais si elle acceptait, elle devrait se montrer seins nus devant les enfants. Je fronçais les sourcils. Elle céda. Marie-Christine venait d’ôter sa robe et dévoila un corps qui ferait pâlir d’envie beaucoup de femmes bien plus jeunes, peut-être était-ce dû au fait qu’elle n’ait jamais eu d’enfant.

Laurence nous suivit sous les regards un peu surpris des enfants devant ces deux femmes qui montraient leur poitrine. Mais, emportés par les jeux et le plaisir de la baignade, aucun d’eux ne fit de remarque.

Nos ébats aquatiques furent soudainement interrompus par la sonnette du portail. 

— Ce doit être les pizzas que nous avons commandées pour le dîner, dit Marie-Christine. Laurence, peux-tu aller voir ? Elles sont payées…

— Ouaiiis ! Des pizzas ! Crièrent les enfants en sautant de plus belle dans l’eau.

— Moi ? Demanda Laurence.

— Oui bien sûr, confirma Gérard. Et… pense… au pourboire…

— Oui, vas-y ! Marie-Christine est en plein jeu…

— D’accord ! répondit Laurence en sortant de l’eau.

Je la suivais du regard, ses fesses nues rebondissaient un peu. Je la trouvais de plus en plus désirable. Elle remit sa robe et se dirigea vers le portail la tête basse, comme gênée. Gérard me fit un clin d’œil que j’interprétais mal sur le moment.

Le livreur allait pouvoir se rincer les yeux. Laurence revint les bras chargés quelques minutes plus tard. Le livreur avait été bavard. Je la soupçonnais aussi de ne pas avoir raccourci la discussion afin que le jeune homme puisse profiter de la vue sur sa poitrine.

— Le livreur vous remercie pour le pourboire, dit-elle à nos hôtes. 

***

— Mon chéri… je mérite une punition…

Je relevais la tête de mon roman, surpris. Laurence était debout, devant moi, nue, ses mains sur la nuque.

— Pourquoi ? Dis-je d’une voix neutre.

— Je ne t’avais pas prévenu de la nature des pourboires.

— Explique !

Ma voix était toujours aussi neutre, impassible.  Gérard m’avait expliqué que c’était le ton et l’attitude à adopter dans ces situations : ne pas révéler ses sentiments, son état émotionnel. La soumise devait avouer ses fautes face à un mur.

Elle m’expliqua donc que lorsqu’un livreur apportait quelque chose, une femme présente dans la villa devait se présenter à lui et lui proposer un pourboire pour le remercier d’être arrivée jusqu’à la grille. La villa de Gérard et Marie-Christine se trouvait au bout d’un chemin de campagne à plus d’un kilomètre de la route principale. Le facteur et les livreurs laissaient le courrier et les colis dans les boîtes aux lettres à l’entrée du chemin mais, pour les pizzas ou les autres livraisons alimentaires, les livreurs venaient jusqu’au portail.

— Et donc ?

— C’est-à-dire que…

— Que quoi…

Je voyais bien que Laurence avait du mal à me dire en quoi consistait ce pourboire, même si je commençais à comprendre. Mais, il était important que ce fut elle qui me le dise.

— J’ai… J’ai… J’ai sucé le livreur…

Je dus retenir un éclat de rire, non pas en raison de ce qu’elle venait de me dire, mais plutôt de l’air contrite qu’elle avait en le disant. Laurence aimait sucer, surtout parce qu’elle savait que cela était le prélude à encore plus de plaisir. Je n’avais pas vu le livreur mais je n’eus aucune difficulté à l’imaginer accroupie près du portail, la bite d’un homme dans la bouche. La connaissant, faire cela en risquant d’être surprise avait dû l’exciter.

— Répète ! lui ordonnais-je, toujours de ma voix monocorde.

— J’ai sucé le livreur.

— Mieux que cela ! Que lui as-tu fait ?

Je voulais qu’elle me le dise avec d’autres mots.

— J’ai fait une pipe au serveur…

—  Et bien voilà… En effet, tu mérites une punition… Mais avant, tu vas me faire ce que tu as fait à ce livreur. Cela va me laisser le temps de réfléchir à la punition que tu vas recevoir.

J’étais un peu embêté. Nous étions en vacances avec les enfants, il m’était donc impossible de la punir avec la cravache. Cela aurait laissé des marques et les enfants se seraient posé des questions.

J’étais allongé sur le dos, Laurence monta sur le lit et prit mon sexe dans sa bouche en me regardant.

— Doucement ! On a tout notre temps… Effectivement je dois te punir. Tu as raison ! Mais… je ne te ne punis pas parce que tu as sucé le serveur. Pour cela tu devrais même être récompensée pour avoir agi en bonne soumise. Non… je dois te punir car tu ne m’as pas révélé toutes les règles de vie dans cette maison que tu connais pourtant si bien.

— Oui je comprends, me dit-elle.

Alors que je profitais de sa fellation quasi-divine, je réfléchissais à la punition de ma compagne.  J’eus soudain une idée que je gardais pour moi. La pensée que je venais d’avoir se cumula avec le plaisir que j’eus à jouir dans la bouche de Laurence.

— Allez viens ! Il est temps de dormir, lui dis-je en tapotant l’oreiller à côté de moi.

Je vis Laurence me regarder avec de la déception dans les yeux. Elle était frustrée, je le savais. Elle s’attendait toujours à ce que je me retienne pour venir finir dans son ventre ou dans ses fesses. Mais cela faisait partie de la punition que j’allais lui infliger.

***

Le lendemain matin, je me suis levé le premier pour rejoindre Gérard qui m’avait proposé de venir courir avec lui dans les collines autour de sa villa. “Un petit footing de quelques kilomètres, ça fait du bien pour commencer la journée” m’avait-il dit.

Nous avions rapidement avalé un café avant de partir et après une bonne demi-heure de course tranquille, nous avons fait une pause. Je reprenais mon souffle, mon rythme cardiaque reprenait une vitesse normale et je profitais du panorama sur la garrigue et la mer.

— Dis-moi Gérard ! As-tu encore beaucoup de surprises comme le pourboire à me faire ?

— Pourquoi ? Je ne comprends pas.

Je lui racontai ma discussion avec Laurence dans la chambre. Il s’excusa d’avoir poussé Marie-Christine à demander à Laurence d’aller récupérer les pizzas. Il ignorait que ma compagne ne m’avait pas prévenu de ces petits extras offerts à certains livreurs habitués aux frasques de la maison.

— Je suis vraiment désolé, me dit-il à nouveau. J’aurais dû t’en parler…

— Ce n’est rien, lui dis. Tu n’as pas à être désolé, c’est entièrement de la faute de Laurence qui aurait dû me prévenir avant son arrivée. D’ailleurs, elle sera punie pour cette omission. Elle vous l’annoncera elle-même.

— On rentre ! me dit-il.

— OK !

— Le premier à la maison ! Le premier à la douche ! lança-t-il en accélérant le rythme.

Je le suivis sans difficulté, même s’il avait été sportif dans sa jeunesse et qu’il avait continué à entretenir sa forme, nos vingt-cinq ans d’écart me donnaient un avantage non-négligeable.

Nous franchîmes le portail ensemble et dans la cuisine, Laurence et Marie-Christine discutaient du programme de la journée.

— Allez prendre une douche avant de venir nous embrasser ! dit Marie-Christine en riant.

***

Douchés et changés, nous les rejoignîmes dans la cuisine pour un brunch bien mérité. Les quelques kilomètres proposés par Gérard s’étaient transformés en une course de près de dix kilomètres. Laurence me regardait avec un peu d’inquiétude dans les yeux. Elle se demandait ce que j’allais lui imposer comme punition.

— Ma chérie, n’as-tu rien à dire à nos amis ?

— Euh… comment cela ? Non, je ne crois pas !

— Tu en es sûre ?

— Euh… oui… Ah non… C’est vrai !

Elle baissa les yeux et prit une longue respiration.

— Monsieur Gérard, Madame Marie-Christine, j’ai fait une erreur par omission et je dois être punie.

— Quelle est cette erreur ? demanda Marie-Christine qui n’était pas dans la confidence.

— Dis le nous ! ajouta Gérard.

— Voilà ! Avant d’arriver, j’ai oublié de parler à Marc des pourboires !

— En effet ! dit Marie-Christine. Tu mérites une punition ! Et qu’elle va-t-elle être ?

— Je pense, dit Gérard, que tu devrais nous rappeler la règle des pourboires !

Je vis ma brune déglutir.

— Oui, Monsieur Gérard ! Bien sûr…

J’étais tout ouïe. Laurence bafouilla un peu.

— P… Pour un pourboire normal, je dois faire une pipe au livreur… pour un pourboire spécial, le livreur a le droit de me baiser et pour un pourboire extra-spécial, je dois lui offrir mon cul.

Je réalisai que ma relation avec Laurence avait complètement changé de nature depuis que j’avais accepté le cadeau de Gérard et Marie-Christine lors de leur visite. Le monde de ce couple était vraiment très particulier et même si je n’avais pour le moment fait qu’en entrouvrir la porte, il était très différent du monde dans lequel la majorité des couples vivaient. Pour faire partie de cet univers, il ne fallait absolument pas être jaloux et avoir confiance dans son partenaire.

— Laurence aimait bien offrir des extra-spéciaux, n’est-ce pas Petite ?

— Oui Monsieur Gérard, c’est vrai ! Mais c’était il y a longtemps !

— Et cela te plairait toujours ? lui demandai-je.

Là, ce fut elle qui fut surprise, je voyais bien qu’elle ne savait pas quoi répondre.

— Ton homme t’a posé une question, dit Marie-Christine.

— Oui ça me plairait…

— Qu’est-ce qui te plairait ? demandai-je à nouveau

— Ça me plairait de donner des pourboires extra-spéciaux ! 

— Pourquoi cela te plairait-il ?

A nouveau Laurence prit une longue inspiration avant de répondre.

— Parce que j’aime être sodomisée…

Cette révélation me surprit un peu. Certes, depuis notre première fois comme cela, nous avions souvent recommencé, je me doutais qu’elle aimait cela mais de l’entendre nous le dire, me satisfaisait encore plus.

— Bien, après toutes ces révélations, il est temps que je te dise ce que je t’ai réservée comme punition…

— Oui ! dis-le-nous, Marc ! demanda Gérard.

Il avait l’air d’un prédateur qui se pourléchait les babines en imaginant le plaisir qu’il tirerait de déguster sa proie.

— Bien… Comme nous sommes en été, au bord de la mer et avec la piscine… En présence des enfants… Je ne peux pas utiliser la cravache, cela laisserait des marques que nous aurions du mal à expliquer aux enfants. J’ai donc pensé à quelque chose de plus discret mais qui n’en sera pas moins éprouvant pour toi, ma chérie…

Laurence me regardait, je devinais son appréhension augmenter.

— J’ai donc décidé que jusqu’à la fin de notre séjour ici, personne ne pénétrera ni ta chatte ni ton cul… Mais… Nous pourrons utiliser ta bouche quand nous en aurons envie… Et tu devras tous me raconter à chaque fois que tu auras été utilisée. Qu’en pensez-vous ?

Ma compagne me regarda affolée. Elle réalisa qu’elle allait devoir passer deux semaines sans être baisée. Son regard me suppliait.

— Intéressant, dit Gérard. Je ne sais pas si j’y aurai pensé. Mais cela me convient parfaitement. Et pour toi Marie-Christine ?

— Très bien aussi. Tu as bien dit : dès que nous avons envie ? me demanda-t-elle.

— Oui ! C’est ce que j’ai dit !

Marie-Christine regarda Laurence les yeux brillants.

— Viens avec moi dans la salle de bain, avant que les enfants arrivent.

Je n’ignorai pas que Laurence avait eu des relations intimes avec des femmes et plus particulièrement avec Marie-Christine, mais leur disparition dans la salle de bain en était la confirmation.

***

Au cours des jours suivants, la bouche de Laurence fut souvent mise à contribution, dès que nous pouvions le faire sans craindre l’arrivée inopinée d’un enfant. Gérard insistait aussi pour qu’elle fut le plus longtemps possible seins nus ; dans la piscine, pour prendre un bain de soleil ou même pendant les repas que nous prenions tous en maillot de bain. Il ne fallut que quelques jours pour que sa poitrine et ses fesses eurent le même teint hâlé que le reste de son corps. Je la trouvais de plus en plus désirable et je n’étais pas le seul. Gérard me dit un matin pendant notre footing quotidien qu’il n’aurait pas détesté la prendre si elle n’avait pas été punie.

Le soir, Laurence manifestait sa frustration en venant se coller contre moi. Elle me branlait en espérant que je cède et que la bascule pour la baiser.

— S’il te plaît ! me suppliait-elle. Baise-moi ! Encule-moi ! Prends-moi !

Elle devenait de plus en plus vulgaire. Parfois je passais ma main entre ses cuisses, je frôlais ses lèvres, son clitoris puis je m’écartais. Elle gémissait, pleurait presque de frustration.

— Suce-moi ! C’est tout ce à quoi tu as droit.

Je n’ignorais pas que dans la journée elle avait sucé plusieurs fois Gérard ou léché la chatte de Marie-Christine qui par perversité lui demandait cela après être passée aux toilettes.

Je mis fin à son supplice le dernier soir de notre séjour chez Gérard et Marie-Christine. Lors de cette dernière soirée, nos hôtes avaient invité un couple de leurs amis que Laurence connaissait aussi de longue date. Paul et Françoise étaient cogérants d’une petite société de production audiovisuelle. Je n’avais pas osé demander à Gérard quels types de vidéos ils produisaient mais Paul répondit rapidement à ma question quand il demanda à Laurence si elle allait enfin accepter de tourner pour lui. Il ne produisait que des documentaires sur la vie secrète des termites dans la forêt amazonienne les nuits de pleine Lune.

Ils étaient arrivés avec leurs petits enfants dans l’après-midi, très vite les enfants avaient joué ensemble et nous avaient laissés tranquilles. Laurence m’apprit que Paul avait été l’un des premiers à lui prendre son cul. Elle en gardait un cuisant souvenir, car le sexe de Paul était de belle dimension. C’était aussi avec lui et Gérard qu’elle avait connu sa première double pénétration.

Tard dans la nuit, alors que les enfants étaient profondément endormis et que nous profitions tous les six de cette belle nuit d’été, sur la terrasse, je dis simplement :

— Inspection !

Laurence se leva immédiatement et prit la pose, imitée par Françoise.

— Paul, à toi l’honneur ! Lui dis-je.

— Je t’en prie, fais de même ! me proposa-t-il.

Il déshabilla Laurence et plongea ses doigts dans la fente sevrée de sexe depuis deux semaines. Laurence dût serrer ses lèvres pour ne pas gémir. Paul avait été informé de la punition de ma compagne, il prenait son temps. Je voyais Laurence trembler de tous ses membres.

Je fis de même avec Françoise qui avait à peine dix ans de plus que moi. Elle était grande, mince, élancée. Elle me souriait, je me sentais un peu nerveux. C’était une première pour moi. Jusqu’à présent, je n’avais inspecté que Laurence. Mes doigts glissèrent sans résistance entre ses lèvres intimes. Je les fis coulisser plusieurs avant de lui ordonner d’offrir ses fesses à mon Inspection. Je constatais immédiatement la différence entre son orifice et celui de Laurence. Quand je me suis occupé de sa bouche, elle aspira mes doigts sans aucun mouvement de recul.

Paul prit un malin plaisir à stimuler les trous de Laurence, au bord de la jouissance. Juste avant de lécher les doigts de Paul, elle ne put pas masquer un tremblement que je reconnus immédiatement. Elle jouissait en silence

— Je crois que les deux soumises sont prêtes et accueillantes, dit Marie-Christine.

Les deux femmes avaient repris leur pose d’attente.

— Marc, dit Gérard en maître de cérémonie Si tu es d’accord, je propose que tu ailles dans la chambre, avec Marie-Christine et Françoise, pendant Paul et moi, nous nous occupons de Laurence.

— Cela me convient parfaitement. Mais…

— Qu’y a-t-il ? Demanda Paul.

— Je pense que Laurence mérite une nouvelle punition…

— Comment cela ? Demanda Paul.

Gérard sourit, il avait noté la même chose que moi.

— Laurence, dis à Paul pourquoi tu mérites une punition.

Elle baissa la tête.

— Je mérite une punition car j’ai eu un orgasme pendant l’Inspection, Monsieur Paul.

— Très bien ! Dit Paul qui se tourna vers sa femme. Françoise ! Quel est le tarif pour avoir joui pendant l’inspection ?

— Vingt coups de martinet sur la chatte, répondit-elle.

Laurence blêmit en me regardant. Je ne savais que dire. Je ne pouvais pas changer les choses. J’avais proposé à Paul de l’inspecter, je devais le laisser aller jusqu’au bout. Je n’avais uniquement puni Laurence qu’en lui cravachant les fesses. Cette punition serait infligée au martinet sur son sexe affamé et excité. De plus, les lanières étaient beaucoup plus souples et épouseraient parfaitement les formes de son corps.

— Marie-Christine ! Dit Gérard. Je pense que tu devrais prendre le bâillon en plus du martinet. Il ne faudrait pas réveiller les enfants.

N’avais-je pas été trop loin ? Je tentais de deviner dans le regard de ma compagne ce qu’elle pouvait ressentir. Je sus plus tard qu’elle gardait un lointain et cuisant souvenir de cette punition qu’elle avait subi dans sa jeunesse. Elle me souriait. Elle était fière de moi et elle le fut encore plus quand que je lui ai attaché le bâillon sans avoir cédé, sans avoir renoncé à la punir.

Marie-Christine me donna le martinet. J’étais son maître, j’avais prononcé la sanction, je devais l’exécuter. Gérard m’indiqua comment procéder. Je levais le bras et j’infligeai le premier coup. Laurence sursauta. Le bâillon étouffa son cri. Françoise comptait. 

— Un !

Je recommençais. Une lanière s’insinua entre ses cuisses. Elle se tendit, une larme apparut au coin de son œil.

— Deux !

Je relevai le bras et recommençais.

— Trois !

Comme Gérard me l’avait expliqué, je donnais mes coups sans rythme, de temps à autre je caressais sa peau avec les lanières.

Au vingtième coup, le pubis et le devant des cuisses de Laurence étaient rouges. Elle tremblait de tout son corps.

Je la pris dans mes bras, lui retirai son bâillon. Elle respira profondément. Françoise et Marie-Christine vinrent essuyer sa salive et ses larmes.

— Je te félicite ma chérie… tu as été forte et courageuse.

— Merci, mon amour de m’avoir punie comme je le méritais. Je t’aime.

Nous nous embrassâmes longuement puis elle alla rejoindre Gérard et Paul pour la fin de la nuit.

***

J’ai passé une nuit qui reste encore dans ma mémoire. Marie-Christine et Françoise étaient âgées mais leur âge n’enlevait rien à leur ardeur, au contraire.

Je finis par céder à la volonté de Françoise pour que je prenne une petite pilule bleue, un vrai miracle qui me permit de faire des galipettes avec ces deux femmes jusqu’au lever du soleil. Quand Laurence me rejoignit, il ne fallait pas que les enfants voient que leurs parents ou grands-parents n’avaient pas dormi dans leurs chambres respectives, je fus encore en état de lui procurer un ultime orgasme.


lundi 27 octobre 2025

Jouer n'est pas gagner - 01

 

Le récit que je vais vous conter me vient des souvenirs de Christian, un vieil ami qui ne savait pas comment mettre en forme l’histoire de ce couple, dont le mari est le fils d’un de ses amis. Le mari, Joseph, ingénieur dans une grande entreprise de la région marseillaise est un joueur de poker invétéré. La femme, Brigitte est une jolie blonde de la cinquantaine au tempérament chaud.

Sans dévoiler les aventures de Joseph et Brigitte, sachez que la dépendance au jeu peut entraîner de graves conséquences et que les histoires dans le monde réel finissent rarement comme au cinéma. Cette histoire commence dans la cuisine de Joseph et Brigitte.

***

Joseph, les yeux brillants, interpella Brigitte qui était en train de préparer le dîner. Il lui agitait sous les yeux un ticket de la Française des Jeux.

— Je me sens en verve ce soir ma chérie… je le sens bien ! Je vais récupérer ce que j’ai perdu…

— Jo ! Fais pas le con, tu leur dois déjà vingt-mille balles…

— Je t’assure que les étoiles sont de mon côté… j’ai acheté un ticket au PMU à gratter et j’ai gagné cinquante euros… Regarde ! Je t’assure ! Je vais gagner… et même plus…


Sachant qu’elle ne pourra pas s’y opposer, Brigitte céda à son mari et accepta de l’accompagner dans le bar, ou plutôt ce bouge où elle travaillait le soir, pour assurer le service dans l’arrière salle transformée en salle de jeux clandestine.

Malgré ses cinquante ans, elle plaisait encore aux hommes et elle pouvait le constater lors de ces parties de poker clandestines. Elle ne faisait rien pour empêcher les joueurs de venir caresser ses fesses tout juste cachées par une jupe ou un mini short en jean bien moulant. Certaines mains se glissaient même parfois sous la jupe et s’aventuraient jusqu’aux fesses non couvertes par son string. Il faut dire que Marcus, le patron, l’incitait à aguicher les autres joueurs afin de leur donner envie de revenir.

Ces gestes avaient le don d’irriter Joseph, mais il ne pouvait pas dire grand-chose vu les sommes qu’il devait à Marcus et que celui-ci acceptait toujours de lui garantir tant que Brigitte l’accompagnait et Brigitte auraient refusé de revenir si elle ne pouvait pas être sautée au moins une fois dans la soirée.


Marcus avait acheté ce bar dans une ruelle en plein milieu du quartier du Panier au bord d’un ruisseau, à la veille de son quarantième anniversaire. Dans la journée, il était parfaitement recommandable même si quelques individus louches venaient parfois s’accouder sur le zinc pour discuter avec le patron ou faire du gringue à la serveuse. Rapidement Marcus s’était rendu compte qu’en l’ouvrant à une clientèle restreinte amatrice de poker et triée sur le volet le mercredi soir, en les faisant entrer par l’entrée de derrière, ses revenus en seraient grandement améliorés et tout cela dans le dos du fisc. Cela faisait cinq ans que la salle de jeux clandestine existait et sa discrétion et le sérieux du patron en avait fait un lieu incontournable pour ceux qui voulaient blanchir de l’argent gagné de manière peu recommandable. Trafiquants en tous genres, proxénètes et autres, se retrouvaient dans ce lieu pour de longues parties de poker.

Les règles de ce “club” très fermé étaient simples, discrétion absolue et chaque joueur devait déposer l’argent qu’il voulait miser dans le coffre de Marcus avant chaque partie. En échange, il recevait autant de jetons que d’argent déposé, un jeton pour cent euros. Officiellement les joueurs jouaient des jetons… au cas où une descente surprise des forces de police tomberait, sur une dénonciation d’un perdant s’estimant arnaqué.

Marcus ne jouait pas, mais il conservait vingt pour cent des sommes gagnées et chaque joueur devait payer un droit d’entrée. En plus d’arrondir ses fins de mois, ces sommes lui permettaient de mettre à la disposition de joueurs boisson et nourriture pendant leurs parties, mais aussi, de garantir à tous les gagnants qu’ils toucheraient leur gain en fin de soirée, même un joueur ayant perdu plus que son dépôt. Mais gare au joueur qui ne pouvait pas le rembourser, la sanction était sévère. Les derniers à connaître cette punition furent un prof d’université et son épouse qui fait le bonheur d’un producteur de films pornographiques et est connue des visionneurs sous le nom de Luna Boobs. Quelques parents d’élèves de l’école où elle enseigne commencent à la reconnaître et certains ne détesteraient pas profiter de son savoir-faire. Il faut dire que cette blonde aux yeux bleus de trente-cinq ans, donnant toujours l’impression de sortir de la messe avec son serre-tête de velours bleu marine retenant ses cheveux, ses jupes droites et ses chemisiers blanc sous un gilet attire les convoitises. Sur la plage, le tatouage qu’elle porte sur l’épaule gauche : un croissant de lune entre deux seins stylisés, est remarqué par les amateurs de ces vidéos qui sont surpris de la voir accompagnée de ses deux jeunes enfants. Hormis son mari, sa famille ignore encore les activités de Ludivine Mercier, alias Luna Boobs, quand elle s’absente le week-end ou pendant les vacances. Elle va s’occuper de tatie Béa, une vieille grand-tante revêche que personne n’a jamais vu, chaque côté de la famille supposant que c’est une paria de l’autre famille. Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai peut-être plus tard, si cela vous intéresse et si je trouve assez d’informations.


Joseph, ou Jo pour les intimes, accro au jeu n’avait pas pu résister quand Marcus lui avait proposé de participer à une soirée. “Et si Brigitte accepte de faire le service, ce serait le jackpot pour vous deux !” lui avait dit Marcus qui connaissait l’appétence de la blonde pour les hommes. Il savait que les joueurs apprécieraient de pouvoir profiter du cul de cette bourgeoise blonde.

Brigitte connaissant les vices de son mari avait accepté sans difficulté la proposition du patron de la Belle de Mai en se disant qu’elle pourrait peut-être aussi profiter d’extra. Toutes les semaines elle assurait le service entre le bar et les tables de poker. Quelques fois, elle avait assuré un peu plus que le service des boissons et était rentrée au petit matin avec le string trempé de sperme de joueurs qui avaient voulu se consoler de leurs pertes ou pour fêter de juteux gains.

Un jour, après une longue nuit de poker, Brigitte avait fait attendre Joseph car elle était occupée à vider les couilles de Farid, un proxénète, que Joseph avait délesté de quelques milliers d’euros un peu plus tôt. Quand, elle l’avait rejoint au bar, devant Marcus et le proxénète, Jo lui avait fait remarquer qu’elle se comportait comme une pute, la réponse avait été cinglante : “tu es accro au jeu, moi à la bite !”

Ces paroles n’étaient pas tombées dans l’oreille de sourds, Marcus et Farid s’étaient regardés en souriant.


Ce soir-là, en arrivant au club, Marcus les accueillit en souriant.

— Jo, tu as emmené du cash ?

— Oui ! Voici cinq-mille balles…

— Ça ira pour ce soir, mais n’oublie pas le reste !

— J’oublie pas, j’aurais une grosse prime bientôt. Je te rembourserai tout… et peut être même dès ce soir ! Ajouta Jo en riant grassement.

Brigitte grommelait tout en fusillant son mari des yeux. “Ce con, pensait-elle, allait encore dépenser l’argent de sa prime dans le jeu au lieu de le dépenser dans des vacances en Thaïlande comme il le lui promettait depuis dix ans…“ Elle espérait que Farid serait présent et qu’il trouverait le temps entre deux parties de venir s’occuper de son cul, au moins elle ne perdrait pas son temps et cela la changerait un peu d’apporter leur boisson aux joueurs.

Marcus embrassa Brigitte en lui flattant la croupe.

— Toujours aussi salope, ma belle !

— Faut bien ! Si je veux profiter de la soirée moi aussi…

— Allez ! File au bar ! lui dit Marcus en lui claquant les fesses sous le regard furibond de Jo.

Depuis le bar, Brigitte voyait la salle de jeux. Ce soir, Marcus avait fait salle comble, ses six tables étaient occupées, à raison d’au moins de cinq-mille euros par joueur cela allait lui faire un soirée à au moins six-mille euros, sans compter les intérêts des retardataires comme son mari.

A la table de Jo, elle reconnut un habitué, un jeune entrepreneur plus doué dans les nouvelles technologies qu’aux cartes, un vieux rentier plein aux as qui bandait mou mais qui lui offrait toujours un petit pourboire après qu’elle lui eut fait une bonne pipe. Pourboire qu’elle se gardait bien de signaler à Marcus et son mari. Le quatrième était un nouveau, la cinquantaine, grand blond avec un accent germanique prononcé. Elle se dit que la chance serait peut-être du côté de son mari, vu le niveau de deux des joueurs.

Jo regarda ses cartes, Dame Fortune était avec lui ce soir, cela fait deux mains successives qu’il tirait directement une quinte flush et là, il avait même le Graal de tout joueur, la quinte flush royale !

Les mises commençaient à monter. Jo bluffait bien, les autres joueurs connaissant un peu les probabilités de sortie des séries n’imaginaient pas qu’il puisse avoir obtenu deux fois de suite une main aussi haute. Si l’allemand se coucha bien vite, appelant Brigitte pour avoir bière et en profiter pour lui palper les fesses, les deux autres insistaient. Il était près de deux heures du matin quand ils décidèrent de voir.

Jo eut un sourire radieux en ramassant la mise. Avec ses gains de cette soirée, il rembourserait Marcus et il pourrait s’offrir un petit week-end au Cap-d’Agde avec Brigitte. Elle serait contente et pourrait assouvir sa soif de bites.


Malheureusement pour Jo, ce fut sa dernière soirée de chance. Mais cela, il ne le savait pas encore.


Après le départ du couple, Marcus appela Farid qui n’était pas venu ce soir-là.

— Désolé mon vieux mais le cave s’est refait… Il n’a plus de dettes…

— Vu comment il est accro, je ne m’inquiète pas, ce n’est qu’une question de temps… Mais, sinon, tu as pu tester la petite dernière ?

— La Chloé ?

— Oui l’étudiante en Histoire de l’Art que Malik à lever lors d’une soirée étudiante…

— Oui bien sûr, elle ne suce pas trop mal, mais pour les gorges-profondes il va lui falloir de l’entraînement et elle encaisse bien par le cul… Je vais la confier quelques jours à Roberto…

— OK ! Tiens-moi au courant…

— Au fait, tu as pu avoir des informations sur les trois types qui sont intéressés par les mercredis…

— Mes gars ont fait du bon boulot, il y en a deux qui sont solvables sans problème, vu leur baraque, leurs voiture et leur train de vie, perdre 10 000 balles en une soirée ne leur posera pas de problème, ils paieront…

— OK et le troisième ?

— Lui c’est un peu délicat, c’est comme le Benjamin, il a l’air d’avoir les thunes mais c’est difficile de savoir si c’est vrai ou s’il fait de l’esbroufe… je le sens pas ce type…

— Tu me conseilles quoi ?

— Accepte-le ! Plume-le une fois ! Et fais-lui peur ! Ça devrait le calmer…

— Et s’il revient à la charge…

— Dans ce cas laisse mes gars s’occuper de lui…

— Oh… je te sens grognon… Tu m’en veux toujours d’avoir refilé la Mercier à André ?

— Oh non, car je sais que je vais la récupérer bientôt… Son mec ne pourra pas s’empêcher de revenir… En plus, je sais que cela l’excite de voir sa femme dans les pornos… Pour le moment, il fait bonne figure devant elle, mais il recommence à parler des soirées…

— Je lui réserve une place pour la semaine prochaine…

— OK ! Mais dis lui de venir avec sa pute…

— T’inquiète… je vais mettre ces deux loosers avec le prod et toi…

— Je croyais que tu tirais les tables au hasard…

— On peut toujours aider le hasard…

— OK, dit Farid en riant. À mercredi !


Dans leur pavillon de Gardanne, Brigitte et Jo se réveillent après une courte nuit. Alors qu’ils étaient en train de prendre leur café, Jo regardait son téléphone puis il releva les yeux en souriant

— Ce week-end, je t’emmène au Cap-d’Agde… tu as bien mérité de t’amuser un peu…

— Oh mon chéri ! C’est vrai ? demanda Brigitte qui n’en croyait pas ses oreilles. Elle aurait préféré un week-end à Venise mais le Cap, ce n’est déjà pas si mal.

— Bien sûr… Hier soir j’ai pu intégralement rembourser Marcus et il m’est même resté quelques centaines d’euros… Je viens de réserver un bungalow au club !

— OK ! Mais promets-moi de ne plus jouer autant !

— Oui promis !

Sur cette promesse fallacieuse, Jo pris sa femme dans ses bras pour l’embrasser, en lui murmurant à l’oreille :

— Et si tu me faisais une petite pipe pour me remercier avant que je parte au boulot.

— Cochon va ! Je te fais ça ne va pas t’imaginer que je te ferai cela tous les jours.

La blonde se pencha devant son mari et sorti un sexe fripé du caleçon. Elle joua avec pendant quelques minutes avant de l’emboucher. Elle connaissait parfaitement son mari et savait utiliser sa bouche. Elle le prenait totalement avant de reculer tout en aspirant puis reprenait la queue maintenant bien dure. Elle lui massait les couilles et au bout de quelques minutes de ce traitement, Jo ne put plus se retenir. Gourmande elle garda tout dans sa bouche et après avoir tout avaler, elle se lécha les lèvres avant de se relever.

— Va bosser mon coquin ! Tu vas être en retard. Je te promets une surprise ce soir…

Son mari parti, Brigitte agit comme tout les matins, femme au foyer depuis la naissance de ses enfants, elle n’avait jamais travaillé. Cela expliquait qu’elle n’eut jamais trouvé le courage de le quitter et malgré son addiction au jeu, Jo avait entre les jambes un membre qui ferait rougir pas mal d’hommes et il savait s’en servir.

Après avoir fait son étage et ranger la maison, Brigitte se rendit dans un magasin de lingerie pour s’offrir un ensemble de lingerie de dentelle violette pour accueillir Jo quand il rentrera.

Toute la journée, Jo se demandait quelle surprise sa femme lui préparait pour son retour. Il s’en doutait un peu, il connaissait sa femme. Il se préparait à une soirée très chaude et il était certain qu’elle leur aurait mitonné un dîner aux petits oignons.

Il réprima un geste qui aurait pu être mal interprété par Sonia, sa jeune assistante. Il faut dire qu’elle savait comment aguicher ses collègues et qu’elle en usait avec habileté.

Pourtant, il aurait aimé la voir en tenue de pute faire service chez Marcus, il aurait pu lui mettre la main au panier sans risquer un blâme de sa hiérarchie. Mais il devait se concentrer, en plus il avait promis à Brigitte d’arrêter de jouer au poker. Il se disait qu’il pourrait peut-être négocier une soirée par mois. Il lui en parlerait pendant le week-end entre deux mecs.

Comme il s’y attendait, le repas fut un vrai délice pour les papilles et pour les yeux. Brigitte avait mis les petits plats dans les grands et la tenue qu’elle portait, augurait d’une nuit particulièrement chaude et agitée.

Cela commença dans le salon, après le repas. Pour servir le digestif, Brigitte laissa tomber sa robe. Jo n’en croyait pas ses yeux. Sa femme portait un ensemble sexy qui le fit bander instantanément. Elle aperçut immédiatement la bosse dans le pantalon et elle vint s’agenouiller entre ses cuisses. Avec agilité, ses doigts libérèrent le membre viril de son mari de sa prison de tissu et avec gourmandise elle commença à le sucer. Elle avait pris de l’assurance depuis qu’elle assurait le service le mercredi soir chez Marcus. Il faut dire que Farid était un bon professeur et il lui avait appris comment réaliser des gorges profondes sans vomir à chaque fois. Jo était aux anges. Il sentait sa bite franchir le passage de la gorge de sa femme sans que celle-ci n’eut le moindre hoquet. Elle le pompait avec adresse. Elle le regardait, les yeux brillants d’amour.

Tu vas faire un tabac ce week-end, lui dit-il en fermant les yeux.

J’y compte bien !” pensait-elle. Mais, elle se concentrait sur cette bite qui lui donnait toujours autant de plaisir même si ce n’était pas aussi fréquent qu’elle l’aurait souhaité. D’ailleurs, elle n’aurait pas besoin d’aller chercher son plaisir ailleurs si son mari était aussi présent au lit qu’il l’était à une table de poker.

Quand elle le sentit sur le point de jouir, elle recula. S’il jouissait maintenant, il ne serait plus bon à grand-chose quand ils seraient au lit et elle avait envie de le sentir dans sa chatte à défaut de le sentir aussi dans son cul. Elle savait que ce serait soit l’un, soit l’autre, mais pas les deux.

— Pourquoi tu t’arrêtes ma chérie ?

— Tu le sais bien… J’ai envie que tu me baises…

— Salope… lui dit-il gentiment.

Il se hâta de finir son verre avant de prendre sa femme par le bras pour l’entraîner vers le lit. Dans la chambre, elle dut recommencer à le sucer pour que le mât de son mari se redresse. Les quelques pas en direction de la chambre avaient eu raison de sa rigidité. Allongé sur le dos, il la regardait faire. Il la regardait avaler son sexe. Il pouvait sentir son nez venir contre son ventre. Il grognait. Il savait que lorsqu’elle se retirait, elle viendrait s’empaler sur lui.

En souriant, Brigitte se laissa descendre lentement sur le membre qui écartait sa chatte. Elle commença à monter et descendre pour faire coulisser le vit de Jo dans sa moule trempée.

— Oh oui ! C’est bon… J’adore ça…

— Continue ma salope ! Je vais jouir…

— Je le sais mon cochon…

Brigitte accéléra le rythme et elle sentit son mari décharger son jus dans son ventre. Elle n’avait pas encore joui, cela ne changeait guère. Elle s’allongea sur son mari pour se frotter sur le sexe qui commençait à débander. Jo refusait de prendre ces petites pilules bleues, elles lui donnaient des palpitations et il était effrayé à l’idée de “crever en baisant.” La blonde frottait son clito sur le sexe ramollit de son mari. Elle fermait les yeux. Imaginait-il qu’elle rêvait qu’une grosse bite lui perfore le cul pendant qu’elle se caressait ainsi. Elle avait l’image de Farid dans son cul en jouissant sur son mari.

Joseph la prit dans ses bras pour l’embrasser et ils s’endormirent ainsi. Au matin, son érection matinale lui permit d’honorer rapidement Brigitte avant de partir travailler pendant qu’elle préparerait leur bagages pour ce week-end de débauche au Cap-d’Agde.