mercredi 21 avril 2021

Le Congrès ou... : Mère à Tout Prix (La Confrérie d'Artémis)

 

 

A ma grande surprise, quand la porte de ma chambre s’ouvre cette période de veille, ce ne sont pas mes geôliers qui entrent mais Monsieur Moreau. Instinctivement, je prends la position de soumise à genoux devant lui. Il me sourit et il caresse mon crâne nu.

— Huit, je viens t’annoncer une grande nouvelle, mais avant tu vas me préparer pour je puisse t’enculer.

Je ne me fais pas prier pour sortir son sexe de son pantalon et le prendre entre mes lèvres. Il ne bouge pas et me laisse agir. Je lèche ce membre qui se dresse devant mon visage avec d’autant plus de plaisir que depuis quelques temps mes nausées ont cessé et je ne ressens plus que des sortes de gargouillis dans mon ventre. Si j’avais dix ans de moins, je pourrais croire que je suis enceinte mais j’ai largement passé la quarantaine.

Monsieur Moreau grossit dans ma bouche et je lui offre même une gorge profonde car je me souviens qu’il aime cela. J’ai les yeux brillant de plaisir en le regardant alors que mon nez est dans ses poils contre son ventre. Je dois faire attention car je sais qu’il veut profiter de mon cul et si je le fais jouir dans ma bouche, ma punition risque d’être terrible.

Je le fais aller et venir quelques instants dans ma bouche puis je me retourne pour lui présenter ma croupe.

Viens t’empaler, mon enculée, recule-toi.

Obéissante, je recule et je sens son gland à l’entrée de mon petit trou. Il me pénètre sans difficulté. Il faut dire que depuis la séance avec quinze et seize, je suis régulièrement enculée dans ma cellule par les geôliers, Avec le sexe si ce sont des hommes et avec un gode si ce sont des femmes. Ces séances d’enculage sont elles aussi espacées de manière irrégulières mais si fréquent que mon anus n’a pas le temps de se refermer entre chaque, d’autant plus que les godes deviennent de plus en plus gros. Je ne peux même plus les prendre dans ma bouche pour les préparer à investir mon trou. Malgré tout, cela ne m’empêche pas de jouir à chaque fois.

Quand mes fesses sont contre son ventre, il me prend alors par les hanches et c’est maintenant lui qui impose le rythme des pénétrations. Il me claque les fesses et me dit de jouir comme la grosse pute que je suis.

Ce mélange de honte et de plaisir me fait une nouvelle fois monter au septième ciel et je jouis en même temps qu’il se vide dans mon cul. Bien évidemment, je me retourne pour le nettoyer. Puis il m’ordonne de reprendre la position d’attente car il a une importante nouvelle à m’annoncer.

Intriguée, je m’agenouille et j’attends en silence. Il me fixe, je frissonne. Que va-t-il me dire ? J’imagine tout et n’importe quoi mais surtout pas ce que j’entends.

— Voilà ma chérie… oui, je peux appeler comme ça la mère de mon enfant, exceptionnellement et juste aujourd'hui. Je vois à ton regard que tu as compris, dit-il.

— Oui tu as l’honneur de porter le fruit de mon amour pour toi. Je dis bien porter car c’est ce que tu es maintenant… une mère porteuse.

— Tu te souviens de la dernière fois que je t’ai pris la chatte avant qu’elle soit si joliment fermée ? C’est à ce moment-là que je t’ai fertilisé.

Je restais dans un mot sidérée une fois de plus.

— Tu es étonnée ? Je te comprends. Tu vas tout comprendre si je te dis que les hormones que l’on a ajoutées à ta nourriture t’ont rendue hyperfertile.

Il caresse mon visage.

— Tu comprends maintenant pourquoi tu vomissais ? Comme tu es enceinte de quatre mois maintenant, je suppose que tu sens des choses dans ton ventre ?

— Oui maître je sens comme des bulles en effet.

— Bien saches que le bébé se porte bien…

— Je suis si heureux que tu me donne un enfant que je vais m’occuper personnellement de toi pendant tout le reste de ta grossesse.

—-Il est rare que je décide de me reproduire avec une de mes soumises. Tu as beaucoup de chance. Mais vois-tu une de mes connaissances est prête à payer très cher pour ce bébé.

Je comprends alors le projet de Monsieur Moreau et je crois que je vais m'évanouir ou devenir folle. Le bébé qui grandit en moi va être vendu ! Je ne suis qu’une reproductrice !

Il n’y a pas de mot pour décrire la douleur que je ressens.

Instinctivement je me caresse le ventre et j’imagine l’enfant en moi.

Monsieur Moreau me laisse seule dans le flot de larmes qui me submerge.

Peu après son départ, deux geôliers me tirent de mon état catatonique pour m’emmener une nouvelle fois dans le cabinet médical.

Je reconnais la femme qui m’avait posé les anneaux.

Sans un mot elle enduit mon ventre de gel et sur l’écran au mur je peux voir le déroulement de mon échographie.

Là, je suis de nouveau frappée d'effroi. Ce n’est pas un mais deux cœurs qui battent ….

Depuis ce jour, Monsieur Moreau honore sa promesse et vient régulièrement constater mon état.

Il se réjouit du développement de ma poitrine au fur et à mesure que mes seins se préparent pour l’allaitement. Cela lui plaît de les malaxer et de les mordiller.

Je n’ose imaginer que j’aurai la possibilité de donner ce premier lait aux bébés lorsqu’ils naîtront.

Aussi, il en profite à chaque fois pour me remercier du cadeau que je lui fais en m’offrant son sexe à sucer avant de me faire jouir en m’enculant.

Je suis maintenant enceinte de huit mois passés. Lors de sa dernière visite, Monsieur moreau me flatte de caresses sur le ventre et me dit que grâce aux jumeaux que je porte les enchères vont vite grimper.

— Cela montre que tu es une bonne reproductrice et de nombreux maîtres aiment cela. Ta vente ainsi que celle des bébés devraient être intéressante.

A ces mots je crois que le sol s’ouvre sous moi. Je tombe au sol et sombre un état de confusion mentale. Mes pensées se disloquent au point que je visualise un tunnel inondé de lumière.je voudrais mourir.

Comprenant le danger pour ma grossesse, Monsieur Moreau me fait amener en salle de soin. Je suis attachée et perfusée jusqu'au jour où on vient me chercher.

C’est sur un brancard que l'on m'amène dans une salle que je ne connaissais pas encore.

Là, je vois d'autres femmes attachées en laisse par le nez.

Je retrouve Barbara ou plutôt ce qu’il reste de mon amie.

C’est très difficilement, encadrée par les femmes en blouse blanche, que je marche jusqu'à un fauteuil de cuir dans lequel elles m’installent.

Monsieur Moreau vient vers moi.

— Tu es belle comme ça. Tu es la reine de cette assemblée de soumises. Je suis si heureux de te présenter à mes amis. Je ne doute pas que tu vas leur plaire. En attendant que l’on s’occupe de toi, je te laisse profiter du moment qui va suivre

Il me laisse là-dessus et s’éloigne pour retrouver son fauteuil de président de séance.

La séance commence par un défilé des femmes présentes, chacune tenue en laisse par un homme ou une femme. Elles sont ensuite placées en ligne devant la scène et laissées quelque temps à l’appréciation des acheteurs qui viennent en faire le tour, les palper, les mesurer, fourrer leur chatte et leur cul de leurs doigts ou de godes pour être certains qu’elles mouillent correctement.

J’ai le temps de regarder mon amie Barbara.

Si mon état est lamentable, le sien n’est pas meilleur. Je ne reconnais plus son visage dont les lèvres et les joues ont été siliconées à outrance. Ses seins et ses fesses sont gonflés comme des ballons. Ses cuisses sont énormes. Elle me fait penser à une poupée gonflable que l’on aurait tellement remplie d’air qu'elle serait prête à exploser. Je la vois marcher très difficilement, comme moi, sauf qu'elle on ne la ménage pas. On la tire par le nez pour l’obliger à marcher si elle montre des signes de faibles.

Lorsque nous le pouvons, nous échangeons des regards et dans ces regards, tout est dit. La peur, la tristesse, la douleur, l'amour aussi. Je me souviens que Barbara s'est sacrifiée pour moi, par amour pour moi. Ce soir-là, à l'hôtel, lorsque monsieur Moreau et Léa lui ont laissé le choix entre partir libre ou rester avec moi dans les mêmes conditions que moi, elle a décidé de rester.

Même si je sais que je ne suis pas responsable de son choix, j'ai si mal pour elle. Barbara a été mon amie de toujours. Elle était tellement belle avant. Je sais que c'est probablement la dernière fois que je la vois.

Perdue dans mes pensées, je ne fais attention ni aux sommes annoncées ni aux départs successifs des soumises vendues. Il ne reste alors plus que Barbara et moi.

Monsieur Moreau lance les enchères en vantant les mérites de cette somptueuse bimbo aux courbes arrondies. J’entends deux ou trois acheteurs faire monter les prix avant que le marteau ne s’abatte. Je vois alors disparaître mon amie pour une destination inconnue. Elle est emmenée par nos geôliers toujours recouvert de leur combinaison noire intégrale. Elle me lance un dernier regard comme si elle me disait à bientôt et maintenant toute l’attention de la salle se reporte sur moi.

— Et voici la plus belle pièce de la soirée, annonce Monsieur Moreau. Cette femme est une parfaite reproductrice, idéale pour vos harems. Ce soir, elle va accoucher de jumeaux. Je vous en prie, faites vos offres.

Je réalise alors ce qu’il vient de dire, commence cela, je vais accoucher de jumeaux ce soir ? Je ne ressens aucune contraction et je n’ai pas perdu les eaux…

Pour faire monter les prix, Monsieur Moreau annonce que tous ceux qui auront participé aux enchères pourront avoir la chance d'apprécier ma chatte quand les bébés seront nés. Cela me semble surréaliste, mais les sommes fusent de partout dans la salle, une dizaine de personnes semble vouloir s’offrir une reproductrice. J’entends alors le claquement du marteau et la salle retrouve son calme.

Sur un signe de Monsieur Moreau, les femmes en blanc viennent m’aider à sortir de mon fauteuil et m’approche d’un rideau encore fermé.

La tenture s’ouvre et je découvre une table d’accouchement équipée du matériel de perfusion. Je comprends alors ce qu'il voulait dire. Je n’ai pas la force de résister et je me laisse sangler sur cette table. Quand je suis installée, une femme en blanc me pose alors la perfusion en me souriant cette fois et me caresse la joue. Je vois le liquide couler goutte à goutte dans mes veines.

Je vais accoucher en public et sans péridurale.

L’autre femme en blanc coupe avec une pince les anneaux qui fermaient ma chatte et je sens qu’elle introduit un objet dans mon vagin. Sur un écran, apparaît l’intérieur de mon ventre.

— Avec cet endoscope, nous allons pouvoir suivre la progression de la dilatation et l’arrivée du premier bébé, annonce fièrement Monsieur Moreau.

Je me crispe lorsque je ressens la première contraction.

— Le travail commence, dit Léa au micro.

Je vois alors Monsieur Moreau près de moi qui me caresse le visage.

— Je suis fière de toi, montre que tu es ravie de devenir mère une nouvelle fois, souris…

Je me fends d’un sourire forcée mais sans que je comprenne pourquoi, sa présence à mes côtés me rassure.

Peu à peu les contractions se succèdent de plus en plus fréquemment, je commence à avoir mal. Léa donne les chiffres de la dilatation de mon col. Elle finit par retirer la caméra et tout le monde attends. Certains parient sur le moment ou arrivera la contraction suivante que je leur signale en hurlant. La douleur est atroce, bien pire que pour mes précédents accouchements. Je suis en sueur. Soudain une femme en blanc annonce, on aperçoit la tête.

— Pousse ! me dit-elle.

Je fais de mon mieux, tout mon corps n’est que douleur.

Monsieur Moreau me dit de pousser plus fort pour ne pas le décevoir. Je vois que ce qui pouvait ressembler à de la tendresse à l’instant se transforme en injonction menaçante. Sachant de quoi il est capable je ne pense plus qu’à expulser ces bébés qui occupent mon ventre. Pour m’aider, Je m'efforce de ne pas les considérer comme des enfants mais comme des monstres dont il faut absolument que je me libère.  Je ne dois pas les aimer, je dois les rejeter.

Cette pensée est efficace puisqu’une première tête apparaît, immédiatement suivie des épaules et du reste du corps.

Monsieur Moreau exulte de joie. Je me demande si c’est son premier enfant ou non et comment il peut faire pour vendre ainsi sa progéniture. Sa monstruosité de cœur est sidérante.

Comme je le pensais, l’enfant ne m’est pas présenté. Il est emmené pour être lavé et examiné sans doute puisque je ne le revois pas.

— Encore un petit effort ma chérie et tout sera fini me dit mon bourreau.

Le second enfant vient presque tout de suite après, sur une longue contraction qui semble m’arracher le ventre. Comme le premier, il est emmené rapidement, sans doute pour être mis en condition d’être présenté aux enchères.

J’ai à peine le temps de reprendre mon souffle, le temps qu’une des femmes en blanc aille dans mes entrailles vérifier que les placentas soient bien libérés.

Aussitôt après, la dizaine d’homme que j’avais vus participer à faire monter le prix de ma vente se sont succédés sur ma chatte encore béante et ensanglantée. La monstruosité humaine n'a décidément pas de limite !

Je hurle, je crie pendant que je suis prise sans ménagement. Je me débats tant que je le peux encore mais une femme en blanc m’injecte ce qui doit être un sédatif puissant, puisqu'à bout de force physique et mentale je sombre dans un état second.

Je ne sais combien de jours je suis restée dans ma chambre après l’accouchement. Mon état quasi végétatif à a été entretenu par des injections régulières. Tout ce que je sais c’est que sans pouvoir opposer aucune résistance j’ai été régulièrement prise, violée je pourrai dire, par un homme, sans doute mon nouveau propriétaire, comme s’il voulait à son tour me féconder.

La lactation était entretenue mais d’une terrible façon puisqu'on attendait que je hurle et me torde de douleur pour tirer mon lait.

Puis un jour mes geôliers sont venus me chercher et pour la dernière fois j’ai été emmenée en salle médicale. On a replacé des anneaux entre les œillets qui étaient toujours là. Ma fente était refermée et mon clitoris à nouveau emprisonné.

Comme j’étais toujours sédatée. Je me suis laissée manipuler lorsque l'on m'a habillée. J'aurai dû me douter que quelque chose se préparait parce que ce n’était pas normal que l'on m’habille comme pour sortir. En effet depuis mon arrivée dans ce bâtiment, il y a plusieurs mois, j’ai toujours été nue.

En effet sans plus attendre deux hommes que je ne connaissais pas sont venus me chercher et m'ont fait monter à l'arrière d’une voiture aux vitres teintées.

Malgré tout ce que j’ai souffert ici, ce départ est comme un arrachement. Je veux me débattre mais je ne peux pas. Je veux crier mais je ne le peux pas non plus. Je veux appeler monsieur Moreau pour le supplier de me garder mais il n’est pas là. D’ailleurs, je ne l’ai plus revu depuis ma vente aux enchères. Il m'a abandonnée à mon nouveau propriétaire. Je n’aurai pas la possibilité de le remercier de toute l’attention qu’il m'a accordée. J’aurai voulu lui dire que j’ai aimé qu’il me dise que j’étais sa reine.

Je sais que je lui dois d’avoir été une autre femme. La folie de cet amour pour lui me parait plus douce que le sort qui m’est réservé. C’est en larmes, comme une fiancée éconduite que je quitte cet endroit et que je laisse cette partie de ma vie.

Je ne pouvais pas savoir à ce moment ce qui allait advenir, ce choc, cet accident… !

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